Bonjour Bonjour !
Voici la suite !
Qu'on me pardonne les fautes !
Bonne lecture !
Chap 3 : Journal inédit et spéculations…
Monde Original
Fronçant les sourcils, elle papillonna des yeux, essayant de les ouvrir.
Mais la lumière vive l'obligea à se mettre la main en visière pour y voir plus claire.
Elle vit alors qu'elle était dans un endroit qui lui disait quelque chose…
Ah mais oui !
L'infirmerie de Poudlard !
Son frère y était des fois après les matchs quand les cognards l'ont frappé trop fort pour pas qu'il attrape les vifs d'or !
Ils lui avaient déjà rendu visite après avoir vu un match !
Mais- mais pourquoi était-elle à Poudlard ?
Avait-il assisté de nouveau à un match ?
Elle s'est prit un cognard comme son frère ?
Non…non. Elle s'en rappelait pa- les Malfoy !
Et la lumière bizarre !
Et maman !
Elle se releva alors vivement de son lit.
- Oh ma tête ! Gémit Violette de sa voix de petite fille, fermant instinctivement les yeux.
Lorsqu'elle les ouvrit, elle ne vit personne devant elle.
Elle tourna alors la tête, et vit avec surprise tous ceux qui fêtaient Samain avec elle chez les Malfoy !
Elle descendit de son lit lorsque sa tête arrêta de tourner et commença à aller voir son amie à côté d'elle. Elle tenta de la réveiller légèrement mais sans résultats.
Elle vit sa mère un peu plus loin – proche du côté de la porte qu'elle – et alla la voir pour essayer de la réveiller à son tour. :
- Maman ? Tu dors ? Maman ?! Maman ! Réveille-toi s'il te plaît !
Elle la secouait lentement dans le but de l'aider.
Pas plus de succès.
Elle alla alors au milieu de la file de lit où son frère se trouvait et essaya à son tour espérant un peu plus d'effet, son frère avait souvent le sommeil léger…
Il était déjà bizarre qu'il ne se soit pas réveillé avec ses tentatives pour leur mère…
- Harry ? Harry ?! Réveille-toi ! S'il te plait ! Harry !
Son frère ne semblait même pas l'entendre…
Elle était à deux doigts de la panique… Seules les respirations régulières lui permettaient de ne pas les croire morts.
Elle se dépêcha alors, de plus en plus frénétique, de réveillez tour à tour sa marraine, son fils, Luna, mais non patiente, elle arrêta avant de crier, au bord des sanglots dans l'infirmerie :
- MAIS REVEILLEZ-VOUUUS !
Tout à coup, la personne sur le lit à côté d'où elle se trouva sursauta dans le lit, la surprenant tout en la rassurant par la même occasion.
Soulagée, elle se précipita vers lui et monta dans son lit :
- DRACO ! s'écria-t-elle en le secouant.
- mmh… chhht… j'vai-me r'v-iller Vén's… c'est b… fit-il à moitié endormi.
- C'est Violette ! C'est pas Vénus ! rétorqua-t-elle.
- Hein… quoi… bredouilla-t-il essaynat d'émergeait encore.
Il ouvrit avec difficulté les yeux dans le même schéma que la plus jeune avant de se demander :
- Mais- comment, pourqu-…
Le fait que ce soit Violette – dont il reconnut enfin la voix et le visage au-dessus de lui – raviva de force ses derniers souvenirs, notamment le rituel de Samain et ses événements particuliers : il se rappelait lumières… et des bateaux dans le lac, d'une chaleur qui l'enveloppait et d'une sensation gênante … mais surtout les tentatives futiles de ses parents et le visage paniqué de sa sœur qui essayaient de l'aider.
Se redressant d'un bond, essayant tout de suite d'y voir claire malgré le tournis, il lui fallu quelques seconde pour reconnaître l'infirmerie de Poudlard.
Violette, qui ne s'attendait pas à un tel geste brusque, vacilla sur le lit avec un petit cri de surprise. Mais Draco la rattrapa avec l'aisance que lui donnait l'habitude de sa propre sœur.
Il la garda entre ses bras, toujours redressé, essayant de comprendre ce qu'il faisait ici – faisaient tous ici – en voyant la file de lit où ils étaient placés.
Avaient-ils tous fini dans un état tel qu'ils avaient nécessité une aide médicale ? Dans ce cas pourquoi ne pas avoir été envoyé à Sainte-Mangouste ?
Y avait eu-t-il tellement de victimes à cette cérémonie qu'ils ont dû être transféré ? Leurs parents ont dû choisir un endroit de confiance comme Poudlard alors qui détenait Mrs Pomfresh en tant que Médicomage sous la direction du Directeur Dumbledore…
Les pensées de Draco fusaient à toute vitesse, maintenant qu'il était tout à fait conscient.
- Ils veulent pas se réveiller… fit une petite voix larmoyante d'entre ses bras. T'es le seul qui l'a fait. Continua la voix dans son cou.
Il lui frotta le dos par réflexe et lui embrassa les cheveux – qui semblait sur le point de fondre en larmes – avant se tourna vers ceux qu'elle désigna en même temps.
- Est-ce pour cela que tu criais ? se rappelant maintenant de ce qui l'avait fait sursauté.
- Vouiii, chouina-t-elle contre son torse, désolée…
- c'est pas grave, continua de la cajoler Draco. Personne d'autre n'est entré ?
- Non.
- Hum… voilà qui est étrange… Mrs Pomfresh a toujours pour habitude d'accourir lorsqu'un patient se réveille… fit-il songeur mais à voix haute.
Il rajouta alors d'une voix moqueuse et un regard entendu pour éviter qu'elle s'inquiète :
- A moins qu'elle ne fasse une exception que pour le fameux Colibris de l'équipe…
Évidemment cela marcha. Violette pouffa au surnom moqueur que lui donnaient les amis de son frère à son rôle d'attrapeur.
- Et si on y allait pour en savoir un peu plus, hein ? Qu'est-ce que tu en dis ? Proposa le plus âgé.
- D'accord.
Ils se levèrent du lit et Draco, en bon Gentlemen pour grandes mais aussi petites filles, la porta pour la faire descendre du lit même si elle en était capable.
Il chercha sa baguette mais ne la trouva pas, ni sur lui, ni dans les couvertures. Et alors qu'il regarda sur la table de chevet, il vit un journal avec des gros titres qui attirèrent son attention – chaque lit en avait un d'ailleurs après observation.
Il le prit par curiosité, espérant peut-être des informations sur la soirée de Samain – Rita Skeeter restait après tout la meilleure journaliste dans le domaine et la plus digne de confiance du monde sorcier Anglais avec la Gazette de la Magie.
Si Elle n'avait pas trouvé ce qu'il s'était passée cette nuit, Personne ne le saurait !
Fin bref. Il prit le journal et fût tout d'abord surpris du nom ! Pourquoi la Gazette l'avait-elle changé !?
Bon, peu importe, il y avait plus important d'abo-
C'est la photo d'Harry en première page ?! S'écria-t-il intérieurement.
Pourquoi est-il en si mauvais état ?! Et l'air maigrichon comme ça ?!
Le Directeur avec lui avait l'air d'empêcher les journalistes d'approcher…
Mais ce qui lui serra le cœur, c'est de voir ses yeux.
Son meilleur ami semblait au bord du gouffre.
Prêt à s'y jeter.
Au-dessous de la photo un titre qui donnait autant de questions à poser qu'il l'inquiétait : Le Survivant avait raison ! Vous-Savez-Qui est de retour !
Non, Je-Ne-Sait-Pas-Qui justement… Qui est-ce ?! La personne n'a-t-elle pas eu le bon sens de donner se présenter ?
Et comment osait-il le prendre en photo alors qu'il avait l'air si mal en point ?! Depuis quand les journalistes étaient devenus si rustres et sans professionalisme ?!
Il espérait qu'Harry portera plainte ! Aucun moyen que Lord Potter laisse passer cela, et encore moins sa femme !
Plus loin, une photo l'air tout aussi sinistre : sa mère qui l'emmenait loin des journalistes…
Or, une telle journée – un tel souvenir – ne lui revenait pas…
Qu'est-ce que cela signif-
- Draco ? Interrogea une petite voix.
Celui-ci sursauta de nouveau – décidément pour lui ! – et se tourna vers la responsable.
Mince ! Il l'avait oublié !
Violette le regardait avec une mine curieuse. Sûrement se demandait-elle ce qui lui prenait…
- Dis-moi Violette, tu sais lire n'est-ce-pas ?
- Comment tu sais ?! Dit surprise la plus jeune.
- Ton frère me l'a dit, lui sourit-il charmeur.
- Ehben oui ! Je sais lire maintenant ! Bombant le torse fière de son avance.
- C'est bien, hocha-t-il la tête. Mais dis-moi, tu n'as pas lu le journal en te réveillant ?
- Pourquoi ?
- Réponds juste à ma question d'abord.
- Non, je l'ai pas fait. Et je l'ai pas vu. Et tout façon j'aime pas lire le journal ! C'est maman ou Ryry qu'il le fait pour moi !
- D'accord…
- Alors, pourquoi ?! Ne perdant pas le nord Violette.
- Il – il y a.. des choses bizarre dans le journal… Et… je voulais savoir si tu les avais vu toi aussi avant de nous réveiller. Ne bégaya presque pas Draco.
A vrai dire il ne savait pas quoi répondre.
Ni comment réagir…
…oOo…
Monde 2
- Comme ça, vous dîtes ? Voulait s'assurer le nouvel Auror.
- Oui ! Répondit le Maître de maison épuisé, excédé... et désespéré, il fallait l'avouer. Mais il se devait de garder la tête froide, ce n'est pas en se laissant aller à ses sentiments devant tant d'inconnu qu'ils feront avancer l'affaire.
- Je vous remercie de votre nouveau témoignage My Lord… et je suis navré de ce qui vous est arrivé.
Il ne répondit rien à cela et hocha sèchement de la tête. Il n'y avait rien à dire. L'Auror le fit à son tour et reparti dans l'autre sens.
- Merlin ! Je n'en peux plus de toutes ces questions ! S'exclama une voix plus loin.
- Lord Potter, s'il vous plaît ! Nous faisons de mieux pour enquêter ! Vous connaissez les procédures… sans compter qu'il s'agit de la première fois des archives du monde sorcier que nous entendons parler d'un tel phénomène lors de cette cérémonie ! Plaida un des autres Aurors. Nous essayons par tous les moyens de comprendre comment cette situation a pu arrivé !
Car oui, les Aurors avaient bien du mal à trouver un sens à cette soirée de Samain qui fut bien particulière chez les Malfoy !
Apres l'inattendu volatilisation de leur Héritier à la fête des morts, le premier réflexe de Lord Malfoy – avant de contacter les Aurors et les informer de la situation – fût de vérifier les protections tout en se précipitant à la salle de la tapisserie Familiale… histoire de se rassurer que sa disparition n'avait aucun rapport avec le sens des festivités du jour.
Après avoir brièvement expliquer son but aux autres présents, les Lords Prince et Potter s'empressèrent de retourner chez eux en faire de même.
Cependant, rien n'indiquaient un lien de causalité à la fête !
Tous étaient démontrés comme vivant.
Quelque part ou personne ne sait mais en vie.
Donc après seulement leurs retours, ils appelèrent le bureau des Aurors – la permanence notamment toujours prête malgré la période – pour venir enquêter et essayer d'y voir plus claire !
Malgré cela, aucune avancée ne semblait vouloir se faire sentir.
C'était il y a près de cinq jours.
Vénus avait été inconsolable. Severus et Potter portaient tout deux encore plus d'inquiétantes cernes que lui.
Après tout, c'était TOUTE leur famille qui avait disparu. La femme de leurs vies et les enfants qu'elles leurs avaient donné !
Dans un pur élan d'égoïsme – qui ne le serait pas, franchement ? – Lucius Malefoy était soulagé d'avoir toujours sa femme et sa fille !
Pour autant cela ne l'empêchait d'apporter soutien s'il fallait aux deux hommes qui en sont actuellement dépossédés.
Lord Potter avait beau faire partie de la fonction, il était tout autant dépassé en temps que victime.
Severus lui avait ratissé les trois bibliothèque de familles pour trouver une origine au évènement et si il s'agissait de la première fois pour un tel phénomène.
Il n'a évidemment pas – c'est pour dire – toucher à l'une de ses potions sous commande.
Une premier fois depuis tout son Doctorat.
Mais sans indice, ni voie de recherche, celui-ci avançait à l'aveugle. Lucius l'aidait en tant qu'il pouvait bien sûr, mais ils devaient souvent intervenir Narcissa et lui – à l'aide de temps à autre de la petite Vénus – pour calmer ses ardeurs.
Severus était un passionné, et si on lui donnait une raison solide – à comprendre sa famille inestimable pour lui – sa détermination était inarrêtable (était plus dure que de l'email encore) ! Au détriment de sa santé !
Il répondait aux questions également des Aurors, toutefois, avec beaucoup d'impatience et d'irritation. Sa mère délaissait ses propres recherches à ce moment et l'aidait en général à se calmer. Elle était revenu de son nouveau pays d'adoption pour ça.
Apres tout -pour Severus - ils lui faisaient perdre tout autant de temps avec leurs interrogatoires – au lieu de continuer ses recherches ! – alors qu'il n'avait autant rien à ajouter que ses condisciples du Magenmagot !
Lord Potter après avoir laissé un passe-droit sur sa bibliothèque à Severus et Lucius, il ne lâchait plus le bureau des Aurors ! Il y guettait la moindre miette de nouveauté sur l'enquête.
Il avait bien essayé de lire et de faire avancé le temps – comme les recherches – mais il était hélas un homme d'action , et non de patience et d'instruction.
Se placer avec un livre et espérer à un moment donné à trouver la réponse n'était pas pour lui – c'était sa femme qui en était capable, pas lui, c'est l'une des raisons qui faisaient leur complémentarité –, alors quand les Aurors ne l'interroger plus , il allait dans les bureaux pour en savoir plus.
C'est à peine si il avait de la chance – dans cette situation peut-on se considérer comme tel ? – d'être Lord malgré son travail parmi eux, car il sait qu'il n'aurait pas eu droit normalement à la connaissance d'enquête en cours en tant que l'un des principaux concernés !
Et les membres savaient que toutes leurs paroles dites seront partagées avec les co-Lord concerné par l'affaire.
Il attendait toute la journée dans les salles d'entraînement à se défoule sur les mannequins et retournait le soir dans les locaux demander les avancées.
Et lorsqu'il retournait chez lui et c'est avec le même dessein qu'il allait voir ses parents qui avaient arrêtés leur tour des Amériques sous l'étonnante nouvelle, ne s'attendant clairement pas à de tels événements lors de son nouveau contact…
Fortement inquiet pour leur famille, Charlus et Dorea s'était tous les deux mis à la pâte et mis à attaquer la bibliothèque ancestrale des Potter sur le sujet.
Mais rien non plus de leur côté pour l'instant.
Elle, Vénus, demandait tout les soirs, sous le cœur serrés de ses parents, où était son frère. S'il allait revenir et pourquoi il était plus là.
Ils essayaient de la rassurer mais eux-mêmes incertains des évènements en cours avait du mal à ne pas laisser filtrer leur sentiments dans leur paroles censé la rassurer.
Et naturellement, les enfants sentant instinctivement ce genre de chose n'était, à son tour, pas rassurée.
L'enfant en était même venu à dormir de nouveau dans le lit de ses parents de peur de les voir disparaître à leur tour. Sous les inquiétudes de l'enfant, aucun des deux ne put le lui refuser, ayant secrètement la même peur en ce qui l'a concerne.
Cela leur paraissait il y a des années, comme hier, de ses nuits à trois qu'ils avaient passés au début de l'arrivée de l'enfant sous leur toit. Cela les avait rendu nostalgique…
En outre, devant le cas jamais rencontré auparavant, on parlait déjà de faire intervenir le Directeur du département des Mystères...
Et même le Ministre Jedusor-Serpentard, connu pour son savoir aussi sans limite que Dumbledore lui-même, dont il a été le disciple dans ses jeunes années, et restaient très proches encore aujourd'hui.
Malheureusement, celui-ci était actuellement en déplacement avec sa famille pour une affaire privée…
…oOo…
Monde Original
Derrière un mur illusoire, jamais l'infirmerie n'avait été autorisé à être aussi remplie.
Tout comme Draco le jour de son réveil, les spectateurs ne savaient comment réagir.
La raison ?
Des corps – double des leurs pour certains – occupaient une partie de la pièce, toujours sous les yeux effaré de ceux qui les ont trouvé et regardaient actuellement.
L'escarmouche précédente entre les élèves fût apprise, mais n'expliquait pas comment ils en étaient tous arrivés à cette situation.
Et ne parierait pas sur la facilité des recherches aux réponses… après tout, cela touchait vraisemblablement au miroir du risèd.
Un objet puissant dont la seul chose connu de sa part jusqu'à aujourd'hui était de montrer les désirs les plus chers à notre cœur.
Et pas autre chose !
Flashback
- Que se… que s'est-il passé ici ? Demanda Minerva
- Qu'est-ce que cela signifie ?! Se reprit Filius.
A leur interjection, les autres semblèrent reprendre leurs esprits.
A part quelques uns qui eurent du mal à se départir d'une une façade troublées… notamment un vieil homme qui voyait le double de son Survivant et un autre qui voyait le double d'une certaine rousse…
- qui est-ce ?
- et le miroir que fait-il ici Albus ?!
- il faut les emmener à l'infirmerie. Nous en discuterons bien plus tard ?! Fit une Pomona pleine de bon sens.
Les autres qui en rougiraient presque firent léviter les corps et les menèrent jusqu'à l'infirmerie.
Le trajet fut accompagné du bourdonnement de murmures inquiets.
Les questions étaient retenus mais ne devraient plus tarder après l'intervention de Mes Pomfresh.
- Merlin ! Mais qu'est-ce tout ceci ?! Que s'est-il passé ?! Arriva depuis son bureau l'infirmière toute affolée. Ce serait-ce des victimes du tremblement que nous avons senties ? Réfléchit-elle à toutes possibilité de faire autant de blesser d'un coup, aussi rapidement qu'elle pouvait le faire en tant que membre du médical.
- Mettons ceux que… qui étaient au plus proche du miroir et qui nous ne semblons pas connaître sur cette rangée, désigna la marche à suivre Albus en se dirigeant vers celle là face aux carreaux. Nous mettrons ceux nous « semblons connaître » et qui « luisaient » sous les fenêtres. Pompom pouvez-vous d'abord les examiner ? Ils ne sont pas victimes de ce que vous dîtes… pas à proprement parler dirons-nous.
Celle-ci le regarda curieusement avant d'attendre qu'ils soient placés.
Tout les corps furent mis aux places désignées et Mrs Pomfresh commença par l'observation de ceux sous les vitrages.
Une fois fini elle déclara qu'ils étaient simplement tous inconscient, comme vidé d'énergie !
Mais physiquement et magiquement, ça aller.
Ils devront se réveiller sans soucis après quelques jours de sommeil forcés.
Les quittant, elle s'en alla vers la rangée en face pour examiner les voisins.
Elle examina d'abord la dame aux cheveux blanc comme la neige, puis celle d'à côté aux cheveux noir comme de l'encre mais bouclé de la même coiffure. Ensuite la petite rouquine à la tignasse très touffu et bouclé, se demandant ce que ces enfants trop jeune pour être à Poudlard faisaient ici…
Quand elle passa à la dame rousse juste ensuite , quelque chose la turlupina, bien qu'elle se concentra sur son travail… pourquoi cette femme lui disait TANT quelque chose ?!
Après la dame, là, elle pila net.
Le corps face à elle, elle était sûre de l'avoir déjà examinée- Elle regarda à nouveaux vers la rangée d'où elle venait pour être sûre qu'elle ne perdait pas la tête ... Mais non! Il y avait un AUTRE Potter ! Comment ?! Polynectar ? Mr Potter s'était-il dédoublé ?! Pourquoi avait-il changé de robes ?!
Elle se retourna vers Dumbledore, des questions dans les yeux.
- Examinez-les d'abord. Répondit-il simplement.
Elle se remit alors au travail de plus en plus perturbé… Miss Granger qu'elle vit encore une fois qui avait changé de robe également, Miss Lovegood, Mr Malfoy – mais non Miss Bones ni ce jeune homme inconnu.
Une fois fini, elle lança ses sorts classiques pour s'assurer des états de ses patients à tout moment, avant de se retourner vers le Directeur de l'école.
Cependant, elle n'eut pas le temps d'ordonner des explications qu'elle se vit donner en réponse, après un résumé de leur découverte, un :
- Nous n'avons aucune explication, et sommes tous aussi surpris que vous. Fit-il.
- Il est temps d'y réfléchir alors ! aboya Maugrey.
- Mais comment voulez-vous expliquer cela ! lui retorqua la sous-directrice.
- Il faudra bien !
- Allons, allons, du calme ! s'interposa entre les deux querelleurs, Dumbledore, avant de continuer : quiconque à une théorie peut la partager…
Son vieil ami ne perdit pas de temps accompagné de sa véhémence habituelle :
- ça doit être une ruse de Voldemort ! Il veut nous déstabiliser ! Avec des visages que nous connaissons et ne connaissons pas pour baisser notre garde ! Et même d'une morte ! Ma foi, cela ne fonctionnera pas pour moi !
- Alastor ! Ecoutez-vous donc ! De plus, on ne peut pas transplaner à l'intérieur de Poudlard ! renchérit sa duelliste de la soirée. Comment voulez-vous qu'ils puissent introduire des personnes – tout aussi ressemblantes qu'elles puissent l'être à d'autres – dans l'établissement ?! Sans compter que le château entier à trembler ! Comment vous l'expliquez ?!
- Sûrement que sa démarche s'est entrechoqué aux protection de l'école ! Il est inquiétant de voir qu'il ait réussit à la faire trembler jusque dans les fondations ! Nous devons absolumen-
- Avez-vous remarqué le miroir brisé ? Intervint Flitwick dans tout le chahut que faisaient ses collègues. Pensez-vous que sa cassure soit en rapport avec la situation ? Continua-t-il comme profondément pris dans ses pensées, la discussion houleuse des deux ne l'atteignant pas. Après tout, les corps étaient quasiment séparés par une ligne invisible derrière celui-ci… de plus, le miroir luisait légèrement… de la même façon que les corps retrouvés justement !
Le silence accompagna sa déclaration. Mais son raisonnement atteint certains plus facilement que d'autres :
- Est-ce le résultat d'un mauvais sort… ? Se hasarda Pomona.
Une idée folle traversa tout à coup l'esprit des jumeaux, qui n'hésitèrent pas à la partager à double voix haute :
- Peut-être vient-il d'un monde parallèle ?!
Tous se turent. Le silence fut assourdissant, les visages interloqués les dévisageaient face à une telle éventualité… Du moins, avant que la professeur de métamorphose ne les reprenne :
- Allons Messieurs, ne soyez pas ridicules, les morigéna-t-elle. Les mondes parallèles ça n'existe pas !
- Je pense, Minerva, que nous devons garder nos esprits ouverts et garder toutes possibilités…
- Celles aussi de Maugrey qui ne fait que suggérer là une ruse de Vous-Savez-Qui ?! répliqua-t-elle au petit professeur.
- Oui. Toutes. Du moins pour l'instant, tempéra Dumbledore. Restons prudents et visualisons toutes éventualités.
Elle le regarda à son tour, sidérée, avant de s'incliner sous sa décision.
- Très bien ! Abdiqua-t-elle sèchement. Et que faisons-nous en attendant ?
- Je crains que rien ne puisse se faire tant que nos… mystères ne se réveillent, prit un ton contrit Dumbledore.
Bien qu'il parla à sa collègue, son ami compris qu'il s'adressait également à lui au vu du regard qu'il lui a également jeté.
- Bien ! J'accepte ! Plia Maugrey à son tour. Mais à la moindre entourloupe ou mouvement suspect, je les jette dehors ! Admonesta-t-il.
- Pas tant qu'on aura pas toutes les répons-
- Ce serait inconsidérés ! Rabroua Alastor.
- Bon, très bien… Très bien. Alors nous avons un accord. Résuma le Directeur. Je pense que nous pouvons désormais libérer l'infirmerie et laisser en paix Mrs Pomfresh faire son travail.
Acquiesçant bon gré mal gré, tout le monde se dirigea vers la sortie, quand Dumbledore s'arrêta et fit demi tour de nouveau. Tout le monde se retournèrent à leur tour et le regardèrent curieusement.
Ils le virent pratiquer des mouvements de baguettes sans en connaître le but et attendirent qu'il finisse.
Cela fais quelques minutes plus tard, fol-eil fur le premier à l'interroger :
- Qu'est-ce que tu as fait ? L'apostropha-t-il.
- oh, eh bien j'ai mis des limites, une alarme s'ils se réveillaient… et un mur illusoire pour lors de celui-ci, nous puissions les voir dans qu'ils puissent le faire à l'inverse… et peut-être mieux définir à qui nous avons à faire avant d'interagir avec eux.
- Bien ! répondit-il d'un ton bourru. C'est une bonne idée.
- Vous voyez que je prends en compte tes dires, et reste prudent. Lui répond-il plein de malice dans la voix.
- Oui oui… maugrea-t-il en retour.
Tous quittèrent pour de bon l'infirmerie, laissant à Mrs Pomfresh le soin des tous les patients impromptu pour la nuit…
Fin Flashback
Deux matinées plus tard, c'est avec le même hébétement que Harry et Hermione se retrouvèrent devant leur double.
Alors ? Vous en pensez quoi ?
Je continue ? Je délaisse complètement ?
Reviews accepté !
A la prochaine ! :)
