« Mes très chers frères, notre frère bien aimé Hypnos nous a demandé une requête particulière. Il s'agit d'interférer dans les rêves de Rhadamanthe de La Wyvern et de «

Un brouhaha de chaises qui tombent se fit entendre et des bruits de surplis courant aussi, au moment d'ouvrir la porte celle-ci resta bloquée. Un air solennel se mit à retentir et la porte s'ouvrit laissant apparaitre Hadès, deux hommes se tenaient derrière lui en tenant difficilement un troisième.

Hadès : Oneiros, Ikélos et Phantasos ont ne s'enfuit pas comme un vulgaire rat d'égout. C'est une requête venant de moi et de mes frères. Vous n'avez pas laissé Morphée achevé sa phrase il y a Kanon et sa gouvernante en plus.

Phantasos : Oui oui la gouvernante de Kanon c'est Eléonore !

Ikélos : Elle t'a traumatisé la femme du juge, elle a refusé de vivre avec lui et demandé à être scellée dans le cocyte donc tu peux mal de la revoir

Phantasos : Elle n'y est plus !

Ikélos : C'est impossible, met ton cœur à laisse

Phantasos : Je refuse

Oneiros : Je suis le travelo !

Hadès : Vous ne me laissez pas le choix ! Phantasos et Ikélos avancé. Vous avez gagné une chose : vous aller devoir combattre en cas de victoire je vous laisse en paix autrement vous aller accomplir cette mission. Très bien lâchez-le. Que le meilleur gagne !

Zeus et Poséidon lâchèrent l'homme qui était revêtu d'un surplis ainsi de son arme la plus précieuse.

Phantasos : OH NOOOOOONNNNN

Ikélos : C'est c'est EL CIIID !

Phantasos : On se rend

Hadès : Très bien, merci Eaque

Le spectre retira le surplis et ce fut l'occupant d'Antenora qui apparut.

-Château de Manfield-

Eléa : Radamanthe ouvre bon sang, je sais ce que tu fais !

Rhadamanthe passablement éméché : Je ne suis pas là

Eléa : Si tu es là idiot, ouvre autrement

Eléa se dirigeât vers la tapisserie la souleva et tourna un loquet, elle tourna à droite pour rentrer dans le bureau de Rhadamanthe. Elle souriait car il ne savait pas qu'elle connaissait les passages secrets du château. Elle s'était doutée quand Rhadamanthe réussissait à rentrer avec les portes et fenêtres fermées à clé qu'il y avait un passage supplémentaire. Elle poussât sur la porte et le put rentrer dans le bureau. Rhadamanthe était surpris de voir Eléa rentrer dasn son bureau par le mur.

Rhadamanthe : Sors d'ici ! Et comment tu as pu trouver les accès.

Eléa : C'est toi en venant me rejoindre après chaque grosse dispute, pas très discret

Eléa regardant le juge, il ne buvait plus au verre de whisky mais directement à la bouteille. Elle attrapât la bouteille mais Rhadamanthe n'était pas trop d'accord. Il attrapât le bras de la jeune femme et l'attira vers lui. En perdant l'équilibre, elle se retrouve sur les genoux du juge se dernier l'attira vers son torse.

Rhadamanthe : Dis-moi où j'ai foiré s'il te plaît, je ne sais pas vivre sans toi. Pourquoi as-tu carrément demandé le cocyte à ton jugement. Je pensais vivre avec toi éternellement.

Eléa : J'ai aimé un autre, je suis restée pour Elsbeth au début puis je me suis mise à t'aimer. J'ai très mal pris le baiser entre toi et Valentine.

Rhadamanthe : Je l'ai repoussé de suite, pourquoi as-tu été te perdre dans les bras du forgeron ?

Eléa : On s'est aimé puis la vie a fait que j'ai dû vivre à Londres. Il m'écrivait souvent, il n'a cessé de m'aimer et puis j'ai tout quitté, ton deuxième écart.

Rhadamanthe : Pourquoi on a pu eu cette discuter plus tôt

Eléa : Tu as une vie éternelle, je vieillissais et toi non. Tu ne sais pas ce que ça me faisait ce jeu qu'on a dû jouer. A un moment ou l'autre on aurait dû se séparer.

Rhadamanthe caressa la joue droite d'Eléa puis l'enlaçât.

Rhadamanthe : Eléa, accepterais-tu de vivre à nouveau avec moi

Eléa : Jamais, garde la vie précédente comme un souvenir, je ne peux pas j'aime un autre

Rhadamanthe : Un autre donc 'est le sagittaire

Eléa sentit un pincement et dans le ton de a voix de Rhadamanthe elle sentait les sentiments qu'éprouvait le juge à ce moment précis. Elle sourit en regardant Rhadamanthe et voulut déposer un baiser sur son front, ce dernier détournât sa tête et relâchât la jeune femme.

Rhadamanthe : Je vais me retirer dans ma chambre, dorénavant je te prie de m'appeler Monsieur le Juge et de me vouvoyer et pourrais-tu oublier ce qu'on a vécu ? Quant aux enfants si un vient, je lui demanderais de ne pas t'adresser la parole.

Eléa : Comme tu le désire

Eléa sortit dans la pièce en même temps que Rhadamanthe et s'écroulât en longeant le mur, le juge ne se retournât en aucun cas. Kanon qui avait vu la scène était en colère, il ignorait le contenu de la conversation mais elle dut faire mal à Eléa. Blesser Eléa était pour lui inconcevable !