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Voici un petit chapitre

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Bonne lecture xx


Chapitre 9 – Nappa

Nappa marchait en retrait, à quelques mètres derrière le groupe de captifs qui se faisait guider vers le plus bas étage du vaisseau. Il voulait mettre le plus de distance entre lui et ces répugnants Humains qui s'apitoyaient sur leur sort en pleurant, criant et se lamentant sans arrêt depuis qu'ils avaient quitté la Salle des Commandements. Même la femme aux cheveux bleus, qu'il avait d'abord trouvé amusante à distribuer des insultes à qui voulait bien l'entendre, commençait sérieusement à lui taper sur les nerfs. Ils se dirigeaient tous vers le vestiaire, où lui et les deux autres soldats désignés par Frieza devaient dépouiller les otages de leurs vêtements et de leurs biens, avant de les guider vers le dortoir. Une tâche qui lui était parfois assignée, mais qu'il n'affectionnait pas particulièrement.

C'est pourquoi une fois arrivés là-bas, Nappa fut irrité de voir qu'un deuxième groupe d'Humains en détresse les attendaient. Il grimaça en les regardant s'entasser les uns sur les autres, en plein centre de la spacieuse pièce au plancher métallisé et aux murs décorés d'habits de toutes sortes. Il les compta rapidement. Seize. En tout, il y avait seize Humains à l'aube de la crise de nerfs à gérer.

Rien de mieux pour couronner cette foutue soirée.

Mécontent, Nappa s'efforça donc de se concentrer sur ce que Végéta lui avait demandé. Il grogna en tentant de repérer la femme aux cheveux bleus qui s'était mêlée au reste du groupe. Il n'eut pas besoin de chercher bien longtemps, car une voix aux pointes hystériques attira son attention.

-Chi-Chi!

Il la repéra rapidement, alors qu'elle s'élançait dans les bras d'une autre femme. Nappa la reconnut aussitôt. Il s'agissait de l'Humaine aux cheveux noirs qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à une Saiyenne. Apparemment, elle s'était également fait capturer.

Le Saiyan observa la paire un instant pendant qu'elles s'enlaçaient avec émotion. La plus petite s'était mise à pleurer, alors que l'autre lui murmurait des mots réconfortants à l'oreille. Voyant une opportunité d'intervenir auprès de sa cible, il s'approcha d'elles pour les interpeller.

-Vous deux! tempêta-t-il à leur intention. Séparez-vous!

Elles levèrent les yeux vers lui pendant qu'il contournait le groupe d'Humain pour aller les rejoindre. Il les saisit ensuite toutes les deux par le bras et les força à se séparer avant de les entraîner à l'écart, près des douches qui s'alignaient en rangées sur le mur du fond. Il retourna près du groupe et saisit trois autres Humains au hasard pour leur réserver le même sort.

-Placez-vous tous près des douches. Et déshabillez-vous, ordonna-t-il d'une voix forte sans plus de préliminaires.

Les Humains encore plaintifs se turent en entendant le mastodonte parler de façon aussi autoritaire. Quelques-uns obéirent, d'autres se figèrent, terrifiés devant l'éventualité de devoir se dévêtir devant autant de monde. La femme aux cheveux bleus, elle, ouvrit la bouche pour protester et dire tout haut ce qu'ils pensaient tout bas.

- Nous déshabiller? Mais pourquoi? Qu'est-ce que vous allez faire de nous? Nous sommes vos prisonniers maintenant? Vous allez demander des rançons au gouvernement, c'est ça? Vous voulez de l'argent? Ou bien vous avez l'intention de nous torturer pour nous soutirer des informations? Que va-t-il nous arriver? J'exige des explications. Nous avons le droit de savoir! Cette femme ici a un enfant à la maison qui…

Nappa grogna bruyamment en faisant gonfler son Ki. Elle se tut d'emblée, plus surprise qu'apeurée. Il n'allait certainement pas endurer les cris de cette femme hystérique.

-Tais-toi! s'écria-t-il avec fureur. Je n'ai pas de temps à perdre. Vous faites ce que je dis, et vous ne posez pas de questions. Ça ira beaucoup plus vite. Si l'un de vous se remet à parler, ce sera mon poing qui se chargera de vous fermer la gueule. Est-ce bien clair?

Tous les Humains acquiescèrent silencieusement, signe que le message était bien passé. Ceux qui hésitaient encore prirent place près des douches et commencèrent à retirer leurs vêtements dans la gêne. Tous les Humains, sauf elle, qui le regardait fixement en fronçant les sourcils. Elle avait tout de même suffisamment de jugement pour ne pas rouvrir la bouche.

-Bien, dit Nappa, plus calmement. Je suis ici pour vous accueillir. Une fois vos vêtements retirés, prenez une douche désinfectante et enfilez la combinaison qui vous sera donnée. Vous avez trois minutes à partir de maintenant. Sinon, on vous enverra dans le dortoir sans rien sur le dos, et comme Frieza aime bien les températures fraîches, vous avez intérêt à profiter de ce trois minutes pour faire ce que je vous dis.

Tous s'activèrent avec plus d'entrain lorsqu'ils réalisèrent le délai à respecter. La femme aux cheveux bleus demeura toutefois immobile, ses yeux turquoise toujours rivés sur lui.

-Quoi? Tu as besoin d'aide? Tu veux que ce soit moi qui t'enlève tes vêtements? demanda-t-il en jouant avec sa fine moustache.

Un air de dégoût s'afficha sur le visage délicat de la jeune femme. Nappa se mit à rire. Il n'avait vraiment aucun intérêt pour elle, et encore moins pour lui arracher ses vêtements de force, mais si elle ne coopérait pas, il allait devoir s'y mettre. Heureusement, son amie posa sa main sur son épaule et la résonna avec plus de pragmatisme.

-Allez, viens. Dépêchons-nous. Nous n'avons pas vraiment le choix, de toute façon, dit-elle en regardant l'imposante carrure du Saiyan qui les toisait.

Triomphant, Nappa sourit en voyant les femmes exécuter ses ordres. Elles retirèrent leurs vêtements, l'une avec pudeur, l'autre avec fureur, avant de faire mine de rejoindre les autres Humains dans la douche commune.

-Un instant, dit Nappa.

Les femmes se figèrent et posèrent un regard interrogateur sur lui.

-Vous devez TOUT retirer, ajouta-t-il en pointant le poignet de la femme aux cheveux bleus.

Celle-ci baissa les yeux vers son bracelet, et un éclair d'opposition traversa son visage. Instinctivement, elle serra son bras contre sa poitrine et encercla le bijou de son autre main pour le protéger.

- Ce bracelet a une valeur sentimentale pour moi. Je ne peux pas m'en débarrasser, dit-elle d'une voix ferme.

-Je m'en fous. Mets-le avec le reste de tes vêtements, répondit Nappa en pointant le petit tas de tissus sur lequel trônait un chandail jaune. Tu pourras le récupérer par la suite.

C'était un mensonge, bien sûr, et elle hésita un instant avec raison. Puis, comme le temps pressait, elle obtempéra. Le visage empreint de rage, elle activa un mécanisme qui lui permit d'ouvrir la charnière, retira le bracelet, et le déposa avec soin avec le reste de ses affaires. Elle se dirigea finalement vers les douches, rejoignant les Humains qui frottaient leur corps avec vigueur sous les jets d'eau froide.

Aussitôt qu'elle rejoignit les rangs, Nappa se détourna de la scène et s'affaira à ramasser les vêtements laissés derrière par les Humains. Lorsqu'il prit le chandail jaune, il fit subtilement glisser le bijou doré sous son armure. Ses collègues pervers profitant de la vue qui s'offrait à eux, son geste passa complètement inaperçu.

L'opération n'aurait pas pu être plus facile.

Une fois sa besogne terminée, il jeta les vêtements collectés dans un contenant destiné à la destruction, puis se mit à distribuer des combinaisons propres aux Humains fraichement lavés. La femme prit la sienne avec curiosité. Elle l'enfila, et un air stupéfait s'afficha sur son visage lorsqu'elle constata que l'habit noir moulant lui allait aussi bien qu'à son amie. Toutes deux n'arboraient pourtant pas du tout la même morphologie.

-Cet habit est temporaire, dit le soldat qui s'appelait Valrès d'une voix forte pour être entendu de tous. On vous distribuera de nouveaux habits lorsque vous serez attribués à vos réelles fonctions.

-Nos réelles fonctions? Qu'est-ce que vous voulez dire par là? demanda une voix féminine familière.

- Ce vaisseau est énorme. Il abrite des milliers de soldats. Nous avons un grand besoin de ressources et de main-d'œuvre. Chacun de vous se verra attribuer une fonction spécifique à remplir au sein de l'équipage. Le choix dépend de vos talents, de vos attributs, et de vos qualifications, répondit le soldat en regardant la femme aux cheveux bleus qui venait de parler. Il y a les cuisines par exemple. L'entretien ménager et les premiers soins sont d'autres options.

Nappa s'approcha de la jeune femme d'un pas lent, un sourire méchant sur la bouche. Valrès avait omis de mentionner une option importante, probablement pour éviter d'effrayer les Humains plus qu'ils ne l'étaient déjà.

Mais le Saiyan, lui, n'était pas du genre à être indulgent.

-Sans oublier les Quartiers, ajouta-t-il en reluquant sans gêne la généreuse poitrine de la femme. Dans ton cas, je dirais qu'il y a de fortes chances qu'on t'y envoie.

Les deux autres soldats rigolèrent subtilement de l'autre côté de la pièce, ce qui fit froncer les sourcils de la femme.

-Qu'est-ce que c'est? lui demanda-t-elle, honnêtement curieuse.

- C'est là que les soldats se retrouvent à la fin d'une dure mission. C'est là que les hommes de Frieza se rassemblent pour se détendre un peu.

Nappa croisa les bras sur son torse colossal, un sourire sur les lèvres.

-C'est là qu'on retrouve les putes, informa-t-il crument.

Le Saiyan fut satisfait de voir que cette information avait fait naître un éclair d'horreur dans ses iris bleus. Elle semblait enfin comprendre ce que l'avenir sur ce vaisseau lui réservait si elle s'opposait à l'Empereur et à ceux qui lui obéissaient. Et comme il aimait instiller ce genre de sentiment chez les autres, il décida d'en rajouter une couche.

-Mais ne t'en fais pas, ton petit ami n'est plus là pour te faire des crises jalousie, maintenant. Tu pourras t'amuser autant que tu le voudras avec les hommes qui te voudront.

Les yeux de la femme, jusqu'alors encombrés par la révolte, s'inondèrent de larmes. Elle serra la mâchoire, probablement pour tenter de contenir le flot de tristesse qui menaçait de couler sur ses joues. Elle avança d'un pas dans sa direction, et Nappa jura qu'elle s'apprêtait à sauter dans les airs pour l'étrangler. Par chance, pour la seconde fois en moins de dix minutes, sa bienveillante amie la retint en plaçant ses mains sur ses épaules. Sachant pertinemment qu'elle n'avait aucune chance de sortir gagnante d'un tel affrontement, elle plia sous la rationalité de la femme aux cheveux noirs, et elle se contenta de mots pour lui cracher sa rancœur.

-Sale monstre… souffla-t-elle. Tu vas payer pour l'avoir tué.

Nappa leva effrontément le menton devant la menace. Elle était vraiment ridicule. Ne voyait-elle pas combien elle était insignifiante? Il souffla de l'air par le nez pour le lui indiquer avant de lui tourner le dos, complètement indifférent à sa tristesse et à son envie de vengeance.

-Ça suffit maintenant! déclara-t-il d'une voix forte. Assez bavardé. Ce soir, vous pourrez profiter d'une bonne nuit de sommeil dans les dortoirs. Votre attribution sera officielle dans les prochains jours.

Il se tourna vers ses collègues.

-Je m'en vais. Vous êtes capables de les escorter tout seuls, conclut-il en prenant la direction de la sortie et de les abandonner derrière.

Une fois la porte du vestiaire refermée, Nappa activa son scooter pour repérer l'empreinte vitale de Végéta et de Raditz. Il constata que ceux-ci ne se trouvaient plus dans la Salle des commandements, mais plutôt deux étages plus hauts, dans sa propre chambre, où ils l'attendaient probablement pour discuter des récents événements. En empruntant la direction de l'ascenseur, le Saiyan se questionna brièvement sur la raison pour laquelle ils avaient été congédiés aussi rapidement. Il s'était attendu à ce que Frieza exige des explications de la part de Végéta, qu'il le sermonne ou le punisse. Mais apparemment, il en avait été autrement, parce qu'une fois arrivé à sa chambre personnelle, il les trouva tous deux assis à la petite table au centre de la pièce immaculée. Dès que la porte glissa sur le côté pour le laisser entrer, il vit Végéta se lever d'un bond de sa chaise.

Il attendit que la porte leur procure un peu d'intimité avant de plonger sa main sous son armure.

-Si j'avais su que tu avais un intérêt pour les bijoux féminins, je t'en aurais offert plus souvent, se moqua Nappa en lui lançant le bracelet doré.

Végéta l'attrapa au vol en grognant pendant que Raditz s'esclaffait. Ce dernier était lâchement affalé sur sa chaise, ses bottes souillées de sang et de suie appuyées sur la table. L'énorme Saiyan s'approcha de lui et frappa rageusement sur ses pieds pour lui indiquer de dégager.

-Ôte tes sales pattes de ma table à dîner, ronchonna-t-il.

-Ce n'est pas de ma faute si on m'a mal élevé, rétorqua Raditz, puisqu'ils savaient tous les trois que Nappa était celui à blâmer.

Ce dernier répondit en lui donnant un coup de poing dans l'épaule. Le Saiyan à la longue chevelure eut le souffle coupé sous l'impact, mais il lui en fallait plus pour se plaindre.

-Végéta ne voulait pas ce bracelet pour le porter pendant ses moments coquets, expliqua Raditz. Tu te souviens dans la boîte de nuit, la belle fille aux gros seins à qui il appartenait avait une arme au Ki.

Nappa grogna en signe d'approbation.

-Comment se fait-il qu'elle ait été capable d'en utiliser une d'ailleurs? se questionna-t-il en laissant tomber sa lourde carcasse sur la chaise à ses côtés. Je croyais que les armes au Ki étaient synchronisées aux scooters de l'Empire, et que ça prenait un entraînement complet pour savoir l'utiliser comme il faut.

-Exactement, répondit alors Végéta, qui avait suivi la conversation en observant minutieusement le bijou. Il est donc impossible qu'elle se soit emparée d'une arme qui traînait au sol pour l'utiliser.

-Et c'est quoi le lien avec ce bracelet? demanda Nappa.

Végéta ne répondit pas tout de suite. Les deux Saiyans le virent plisser les yeux en examinant l'une des minuscules breloques en forme d'ellipse qui l'ornaient. Il se mit à tâter l'objet, y fit glisser son pouce sur la surface métallique dorée, puis appuya plus fortement sur ce qui semblait être un interrupteur.

Et… rien ne se passa.

Végéta leva les yeux vers ses acolytes.

- Juste avant de nous séparer, je l'ai vu, accroupie sous le comptoir à jouer avec ce bracelet comme si sa vie en dépendait. La seconde d'après, elle était armée. Cette arme n'est certainement pas apparue comme par magie. Et d'après ce que j'ai pu constater, ce n'était probablement pas la première fois qu'elle en avait une entre les mains.

- Oh que non! acquiesça le soldat à la longue tignasse. Tu l'as vu toi aussi, Nappa, hein? Elle savait exactement ce qu'elle faisait quand elle a fait exploser ce Saibaman.

- Elle a fait quoi?! demanda Végéta, son attention soudainement captée.

-Elle a fait exploser un Saibaman, répéta Nappa. Pouf! Juste comme ça. C'était dément! Les derniers modèles d'armes sont vraiment plus puissants que je pensais. La bête n'a vraiment eu aucune chance.

- Tu as manqué un joli spectacle, renchérit Raditz en replaçant ses pieds sur la table. Regarde, j'ai encore plein de fluides sur mon armure.

Le prince fronça les sourcils. Il leva le bras pour mieux observer le bracelet à la lumière des néons suspendus au plafond. Au bout d'un moment, son visage se détendit, comme hypnotisé par les reflets dorés qui scintillaient dans ses pupilles.

Nappa, ne comprenant pas trop la fascination de son prince pour la chaînette, se racla la gorge avant de changer de sujet.

- Comment se fait-il que tu ne sois pas en train de te faire tabasser? demanda-t-il en repoussant une seconde fois les pieds crasseux de Raditz de sa table. Frieza devait être de bonne humeur pour te laisser partir sans avoir essayé de t'arracher la tête. La mission de ce soir a été complètement bâclée.

Raditz riposta en lui donnant un coup de pied dans le flanc, pendant que Végéta plaçait le bracelet en sécurité sous son armure.

-Son précieux Zarbon est arrivé dans la Salle des commandements juste après que tu sois parti, expliqua le Saiyan assis à ses côtés. Et dès que Frieza a vu son petit cul, il nous a tous congédiés.

Nappa leva un sourcil en se tournant vers Végéta.

-Il ne t'a même pas demandé de rapport?

-Pas encore, répondit le prince en lui tournant le dos. Apparemment, il avait plus d'intérêt pour ce que Zarbon avait à lui dire.

Végéta se dirigea vers la sortie à grands pas. Il n'avait plus rien à faire avec eux, maintenant qu'il avait obtenu ce qu'il voulait. Il appuya sur le bouton à droite de la porte d'un doigt ganté et celle-ci s'ouvrit dans un coup de vent.

-Mais ça ne saurait tarder, ajouta-t-il en tournant la tête vers eux pour leur adresser un sourire lugubre par-dessus son épaule.

Et sans un mot de plus, il s'éclipsa.

Raditz et Nappa se mirent à rire. Ils savaient, tout comme leur prince, que ce qui s'était passé durant la soirée ne leur serait pas pardonné aussi facilement. Frieza ne manquait jamais une opportunité de leur donner une bonne raclée, et la remise du rapport de cette mission gâchée n'y ferait certainement pas exception. Il ne s'agissait donc pas de savoir « si » il y aurait des conséquences, mais plutôt « quand » elles arriveraient.

Mais les Saiyans qu'ils étaient ne craignaient pas les réprimandes de l'Empereur. Au contraire, ils voyaient plutôt ces moments comme une opportunité de mettre en action leurs talents de combattants et de se fortifier à travers l'épreuve que cela représentait. Même si cela se soldait inévitablement par quelques os cassés et une ou deux articulations déplacées.

Une fois le prince parti, Raditz, toujours paresseusement appuyé sur le dossier de sa chaise, plaça ses mains derrière sa tête et positionna pour une troisième fois ses pieds en plein centre de la table à dîner de Nappa.

-Combien de temps avant qu'il aille faire son tour aux Quartiers, à ton avis? demanda-t-il à son collègue.

Nappa pris son élan et cette fois, il poussa les jambes de Raditz avec suffisamment de force pour le faire tomber en bas de sa chaise.

-Je ne lui donne même pas une semaine, répondit-il en s'esclaffant.