Je vous salue !
Aujourd'hui je publie le chapitre 32.
Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout appartient à la merveilleuse J K Rowling, aux comics et à Netflix, sauf l'histoire.
Un soupçon de magie
Crossover Harry Potter et Umbrella Academy
Résumé : Et si les Hargreeves faisaient leur entrée à Poudlard en même temps que Harry, Ron et Hermione.
Attention : pour coller à l'univers de JK Rowling, ici les frères et sœurs Hargreeves seront nés en 1980.
Voilà fin du blabla
On se retrouve en bas.
Bonne Lecture
Chapitre 32 :
Ben soupira en se levant cette nuit là. Cela faisait une semaine que les funérailles avaient eu lieu. Il n'arrivait pas à dormir et il avait soif. Il passa devant la chambre de Cinq et il remarqua que la porte était ouverte. Il jeta un coup d'œil à l'intérieur et constata que son frère n'était pas dans la pièce. Où était-il ?
La maison était calme, si il y avait un bruit, il l'entendrait. Si Cinq était levé, il allait faire du bruit, non ? Mais il n'y avait aucun bruit.
« Cinq ? » Appela-t-il.
Aucune réponse. Son frère l'ignorait-il ? Peut-être ne l'avait-il tout simplement pas entendu ? Ben avança lentement, il scrutait chaque pièce avec attention. Il faisait trop sombre, mais ses pupilles étaient habituées à l'obscurité. Et Cinq était introuvable.
« Cinq ? » Essayait-il encore.
Il vérifia chacune des pièces, en vain. Pendant un instant, il paniqua, Cinq pouvait être n'importe où et il était blessé lors des autres fois où il avait disparu.
Alors que Ben tournait au coin d'un couloir pour aller voir dans d'autres pièces, il vit que de la lumière filtrait par la porte entrouverte d'une salle et là, il compris.
Ben poussa la porte de la bibliothèque et, il plissa les yeux, éblouit par la lumière. Néanmoins, il sourit, il avait trouvé son frère.
Cinq était assis affalé contre une des étagères, des livres étaient éparpillés autour de lui, l'un appuyé sur ses jambes. Ben s'agenouilla devant son frère endormi, attrapant doucement le bouquin sur ses genoux. Un cahier emplit de l'écriture du brun, emplit d'équations. D'ailleurs le stylo traînait au sol, non loin de lui.
« Oh Cinq... » Murmura-t-il pour lui-même.
Cinq remua légèrement au son de sa voix, et Ben décida qu'il valait mieux le réveiller.
« Hé ? » Il posa une main douce sur l'épaule de son frère. « Hé, Cinq ? »
Ses yeux s'ouvrirent brusquement et il balança son poing dans le nez de Ben avant de s'écarter d'un bond, sur ses gardes.
« Cinq, c'est moi, Ben. » Essaya Numéro Six, portant une main à son nez douloureux.
Cinq cligna lentement des yeux, il se mordit la lèvre, puis il se téléporta.
Ben soupira... avant Cinq n'hésitait pas à lui parler. Avant Vanya, Cinq et lui étaient inséparables. Mais depuis son retour, Cinq était différent. Oh Ben le savait, Cinq avait grandi comparés à eux. Mais il avait été seul pendant très longtemps et c'était dur de changer des habitudes qui dataient de quarante-sept ans...
Il observa les livres qui étaient au sol. Ils ne traitaient qu'un seul sujet, mais ce n'était pas un sujet qui intéressait son frère habituellement. Le titre de l'un d'eux était : comment organiser une fête d'anniversaires ?
C'était intéressant, mais qui pouvait bien fêter son anniversaire prochainement ? Mais oui, Harry ! C'était une bonne idée, il en parlerait avec ses frères et sœurs...
« Pogo, fais visiter la ville à Harry. » Ordonna Cinq.
« Ce qu'il veut dire par là, c'est qu'on a besoin que tu occupes Harry pendant une partie de la journée. » Expliqua Vanya.
« Pour une surprise. » Ajouta Ben.
« Je comprends. Comptez sur moi les enfants. » Sourit le singe.
« Je suis pas un enfant ! » Siffla Cinq.
« Excusez moi monsieur Cinq. Mais aussi pour mes erreurs. »
Cinq ne répondit rien. Il se téléporta dans sa chambre, pour ne pas éveiller les soupçons. Aujourd'hui c'était l'anniversaire de Harry et ils comptaient bien organiser une petite fête pour le Serpentard. Il devait avouer qu'il était nul pour les organisations de fête, mais il avait lu beaucoup de livres à ce sujet et il en avait parlé avec Klaus, Ben et Vanya, qui avaient dit qu'ils seraient très heureux de faire une fête pour leur ami. Diego, Allison et Luther s'étaient joints à eux tard le soir.
Cinq attendit que la porte de l'académie claque, pour se téléporter dans la cuisine où sa famille faisait semblant de déjeuner.
« Vous êtes prêts ? » Demanda-t-il.
« Cinq, on devra quand même parler un jour de... » Commença Ben.
« Mission Anniversaire de Harry, donc... au travail. Allison et Vanya vous vous occupez du gâteau. Klaus, Ben, vous décorez la maison. Diego, Luther, allez chercher les cadeaux, ils sont dans le bureau de papa. »
« Et toi ? » Demanda Vanya.
« Moi, je vérifie tout. »
« Super. » Sourit Klaus.
« Allez au travail. »
Ils se dispersèrent. Allison et Vanya commencèrent à préparer la pâte à gâteau, suivant soigneusement les conseils de leur mère. Klaus alla chercher des ballons et il commença à les gonfler en compagnie de Ben. Luther portait les paquets destinés à Harry, tandis que Diego ouvrait les portes.
Diego fit un croche pied au Numéro Un qui trébucha. Cinq apparut et repoussa Luther, le remettant sur ses pieds.
« Ose faire tomber un de ces paquets et je t'arrache la langue. » Grogna-t-il.
« C'est Diego qui... » Commença à protester Luther.
« C'est valable pour vous deux. »
Luther reprit sa route, puis il déposa les cadeaux sur la table de la salle à manger. Ensuite, il aida pour la déco. Une banderole fut suspendue au plafond. Beaucoup de ballons furent gonflés, des chapeaux et des sifflets pour la fête étaient sortis. Grace aida pour mettre les couverts.
Tout était presque prêt. Soudain, une odeur de brûler s'éleva dans les airs. Instantanément, Cinq se plia en deux et tira que le col de sa chemise. Depuis quelques semaines, il portait à nouveau l'uniforme de l'académie. Il desserra sa cravate et essaya de respirer. Mais c'était impossible. L'air n'entrait pas. Merde ! Son corps claqua sur le sol. Il se recroquevilla sur lui-même. Il plaqua ses mains contre sa gorge. De l'air. De.. L'air... Autour de lui, il n'y avait que du feu et des cendres. Des cendres. Des cendres...
Il poussa un petit cri étranglé, puis des voix s'élevèrent autour de lui, alors que les cendres tombaient un peu plus fort.
« Puis-je toucher... »
« ...S'il ne répond pas... »
« ...Cinq ? »
« Fermez-la ! » Cria l'une des voix, et la cacophonie fut assourdie.
Peut-être qu'il n'avait jamais été là. Il avait déjà imaginé des voix. Il préférait avoir des illusions sonores plutôt que du silence. Il resta là, essayant de respirer. C'était insupportable... il laissa échapper un souffle lent qui lui déchira la gorge. Il avait tellement mal...
Il cria jusqu'à s'essouffler, et le silence revint tout de suite, plus fort qu'avant. Il voulait autre chose. N'importe quoi d'autre.
« S'il vous plaît... » Croassa-t-il, à quiconque qui pouvait l'entendre, qu'il s'agisse de fantômes ou de son propre esprit « Ne partez pas... »
Il y eut un moment de silence. Pour l'instant, il avait l'impression que c'était fini. Il était de nouveau seul. Dans un vide de poussière, de feu et de souvenirs disparus. Il se sentait faible, impuissant, et un autre cri lui monta à la gorge lorsque le silence se brisa enfin.
« Cinq. Je suis là » Lança une voix prudente. « Peux-tu ouvrir les yeux ? »
Il y avait des sons, maintenant.
« 'spire... »
« Doucement... »
Il laissa ses mains tomber de son cou, chassant l'obscurité alors que ses yeux s'ouvraient. Il y avait trop de choses dans son champ de vision, mais il pouvait distinguer un visage. Vanya. Son regard était si doux et si inquiet. Il savait à quoi cela ressemblerait si elle ne ressentait rien du tout. Son visage ne bougea pas et le silence revint. Elle pourrait être partie. Elle était partie. Son cœur se serra dans sa poitrine. Elle n'avait jamais été là, il le savait. Cet objet était peut-être vivant autrefois, mais c'était maintenant un objet inanimé. Il se tenait debout maintenant, même s'il ne sentait plus ses jambes. Il avait renoncé à vérifier son pouls il y a des années. Il n'y avait jamais de pouls dans l'apocalypse.
Les derniers mots résonnaient encore et encore dans ses oreilles, pénétrant son esprit. Il ne se rendit pas compte qu'il les prononça à voix haute jusqu'à ce que...
« Prends ma main, Cinq. »
Il croyait imaginer la voix, mais son écho persistait. Il ne s'était pas rendu compte qu'il avait de nouveau fermé les yeux, mais une main était tendue devant lui. Il n'osait pas l'attraper. Si sa main passait à travers, ce serait pire que de ne pas le savoir.
Mais la voix avait l'air sûre, et vraiment, qu'avait-il à perdre ?
Il tendit la main et, à sa grande surprise, l'attrapa. Il reposa mollement dans sa paume. Comme des centaines de fois auparavant, il ne bougea pas.
« Vérifie mon pouls. »
Les mots étaient peut-être son imagination, mais l'envie était toujours forte. Presque automatiquement, Cinq chercha le poignet, sous le cubitus, comme on lui avait appris des années auparavant, codé dans son instinct. Il posa ses doigts là pendant un moment, et bien sûr, léger comme un insecte, un doux boum boum fut ressenti. Sa main gauche serrait la paume plus fort, plus près, tout en gardant ses doigts attachés.
Les battements étaient doux, mais leur importance amplifiait leur volume. Il leva les yeux vers Vanya et enregistra vaguement son doux sourire. Plus important encore, il n'y avait pas de sang. Il n'y avait pas de sang...
Il comptait le temps entre les coups, en respirant. Pendant un moment, tout ce qu'il pouvait entendre, ce fut ses propres respirations et le pouls. Tout ce qu'il pouvait voir, c'était les veines sous ses doigts, et tout ce qu'il pouvait ressentir, c'était la pression chronométrée au bout de ses doigts. Mais à chaque respiration, il sentait son esprit clair. Chaque impulsion qui venait lui assurer que la suivante les battements resteraient. Chaque respiration était moins tendue. Jusqu'à ce qu'il puisse enregistrer le sol sous lui, le souffle de Diego à sa droite, un verre d'eau près de son visage, avec un Luther au bout. Ben non loin de là, Klaus et Allison derrière Vanya.
Il desserra lentement sa prise sur la main de Vanya, la regardant s'agenouiller à côté de lui, afin qu'il puisse toujours la tenir doucement. Il cligna des yeux vers ses frères et sœurs. Ils semblaient tous prudents, comme s'ils avaient affaire à une bête effrayée.
« Comment te sens-tu ? » Demande finalement Vanya.
« C'est vraiment de la merde » Admit-il. « Mais que s'est-il passé ? »
« Ma faute... » Avoua Klaus. « Je voulais faire fondre le chocolat... il a brûlé... »
« Vous n'avez rien vu ! » Grogna Cinq.
Sa gorge était toujours douloureuse et il avait l'impression qu'il venait de soulever des poids avec chaque orifice de son corps.
Le verre d'eau fut doucement poussé contre sa joue et il l'attrapa, avant de le boire lentement. L'image que son esprit évoquait cette fois n'était pas celle du regard sans vie de Luther, mais de son expression qu'il avait en tant que Numéro Un, mais il avait des yeux brillants et un sourire mal dissimulé.
« Tu nous as fait quoi là ? » Demanda Allison.
« Souvenir d'apocalypse... » Grogna Cinq, se redressant. « Merde... Harry... l'anniversaire... »
« Tout est prêt. » Sourit Grace en entrant dans le salon.
Cinq soupira. C'était lui qui avait déconné. Merde. Des mains le touchèrent. Il ne parvenait pas à tenir sur ses jambes. Merde... Il fut guidé vers le canapé et s'y installa.
« Quelle heure ? » Demanda-t-il.
Luther pointa simplement la pendule. OK... Harry arrivait dans... 23 minutes. C'était suffisant.
« Café... il me faut un café. »
« Il y en a pas... » Répondit Ben.
Merde... et son père qui détestait la caféine... bon, si il fallait faire les choses lui-même...
« Pixie ! » Appela-t-il.
L'elfe de maison apparut et il demanda un café. Il le savoura tranquillement, puis il alla faire un tour dans la salle de bain pour remettre un peu d'ordre dans sa tenue. Lorsqu'il fut paraît, il se téléporta dans le salon, prêt à accueillir Harry.
Cinq posa un doigt sur ses lèvres alors qu'il entendait Harry et Pogo qui rentraient au Manoir. Le silence se fit instantanément, et lorsque Harry entra dans le salon, les autres s'écrièrent :
« SURPRISE ! »
Cinq resta de marbre. Des sifflets retentirent, Klaus essaya de lui mettre un chapeau en carton sur la tête, mais ses tentatives furent vaines et il fut menacé de mort au moins six fois. Harry resta bouche bée.
« Tu n'as jamais eu d'anniversaire, alors on t'a organisé une fête. » Expliqua Cinq.
« Vraiment ? » Demanda Harry, ému.
« Bien sûr mon pote ! » S'écria Klaus.
Ben poussa Harry, Klaus lui posa un chapeau en carton sur le crâne et il le guida jusqu'à la table de la salle à manger. Ensuite, Grace apporta le gâteau et Cinq posa douze bougies qu'il alluma d'un geste de sa baguette.
« Fais un vœu ! » Le pressa Diego.
Klaus fit une autre tentative pour mettre un chapeau d'anniversaire sur la tête de Cinq, qui attrapa une fourchette pour la planter violemment entre les doigts de la main de Klaus qui était posée sur la table.
« La prochaine fois, tu perdras un doigt. » Prévint Cinq.
Klaus se recula légèrement et Cinq se concentra sur Harry qui soufflait ses bougies.
« C'est quoi ton vœu ? » Demanda Vanya.
« Ça se demande pas ! » S'opposa Allison.
Grace coupa le gâteau, leur donnant chacun une grosse part. Cinq regarda son assiette avec des yeux ronds. Il ne fallait pas gâcher la nourriture. Il allait tout manger. Il observa les autres, alors qu'ils entamaient leur part. Il prit un petit bout dans sa cuillère, il le porta à ses lèvres. Le gâteau était bon, mais Cinq restait méfiant depuis qu'il était tombé sur un gâteau périmé. Il avala un autre petit bout.
Il en était à sa cinquième bouchée lorsqu'il constata que les autres avaient presque fini. En plus il n'avait plus faim. Mais il ne devait pas gâcher la nourriture. Alors à son rythme, il termina sa part, ignorant les regards de ses frères et sœurs.
« Et si tu ouvrais tes cadeaux Harry ? » Lança Klaus, faisant diversion pour détourner l'attention portée sur Cinq.
Il devait le reconnaître, il était reconnaissant envers Klaus qui était toujours le meilleur pour lui éviter des situations embarrassantes. Même si il préférait s'arracher lui-même la langue plutôt que de l'avouer au concerné ou même aux autres.
Luther poussa donc son cadeau en direction du Survivant. Harry le prit avec un sourire tout en le remerciant vivement. Il ouvrit le paquet avec délicatesse et il découvrit une paire de mitaine en cuire.
« Merci. » Sourit Harry.
« C'est toi qui les a faite ? » Demanda Vanya.
Luther hocha la tête, bombant le torse, fier d'avoir réalisé quelque chose de ses mains. Eh bien, Cinq était surpris, il ne savait pas que son frère était capable de faire cela.
Diego offrit une de ses lames au Serpentard.
« Pour te défendre. » Expliqua Numéro Deux.
« Mais... il ne sait même pas s'en servir et si il se blessait ? » Intervint Ben.
« Mais je vais lui apprendre ! » Indiqua Diego.
« À moi ! » Cria Allison.
Elle confia son paquet au brun à lunette, qui l'ouvrit avec joie. Il trouva dans le paquet un étuis pour ranger sa baguette. Puis ce fut le tour de Klaus. Qui lui offrit une bouteille de whisky.
« Mais tu es fou ! » Cria Vanya.
« Il ne tient pas l'alcool. » Avertit Cinq.
« Je vais la garder précieusement. Merci Klaus. » Déclara Harry.
« À toi Cinq ! » Lança Diego.
« Mon cadeau est plus une demande en réalité. » Cinq se tourna vers Klaus. « Tu penses pouvoir le faire ? »
« Je me suis entraîné et j'y arrive, mais pas très longtemps, je dirai quatre minutes. »
« Ce sera suffisant. Vas-y. »
Les mains de Klaus se mirent à briller de bleu et deux personnes enveloppées de la même couleur lapis-lazuli apparurent. L'un était un homme qui portait qui lunettes rondes et l'autre était une femme qui avait de long cheveux.
« Bonjour mon chéri. » Sourit Lily Potter.
« Ma... maman... » Souffla Harry, des larmes débordant de ses perles émeraudes.
« Mon fils. » Sourit James Potter.
« Papa... »
« Nous sommes heureux de pouvoir te parler mon chéri. » Reprit sa mère.
« Moi aussi. Vous... vous savez je suis... À Serpentard. »
« Nous étions des Gryffondors, mais nous sommes fiers de toi. » Le rassura James.
« Vraiment ? »
« Bien sûr. Et nous voyons que tu as beaucoup d'amis. » Déclara Lily.
« Oui. »
« Amis c'est vite dit. »
« Ta gueule Diego ! » Siffla Cinq.
Lily éclata de rire.
« Quel langage... » Grogna James.
« Ne leur en veut pas papa. Cinq est gentil tu sais. » Sourit Harry.
« Plus qu'une seule minute, évite de la perdre en bavardage inutile. » Grogna Cinq.
Non mais, lui, l'assassin, gentil ? Non, décidément Harry se trompait.
« En tout cas, Harry, sache qu'on veille toujours sur toi, ton père et moi. » Déclara Lily.
« Ne fais pas trop de bêtises comme moi à ton âge. » Ajouta James.
« On t'aime. » Sourirent-ils d'une même voix.
« Moi aussi je vous aime... » Souffla Harry, alors que des perles salées roulaient sur ses joues.
Après un autre sourire, les Potter disparurent dans un scintillement de lumière bleu. Immédiatement Harry se jeta sur Cinq, le prenant dans ses bras.
« Merci Cinq ! » Sanglota-t-il, alors que Cinq se téléportait loin de lui.
« De rien. »
Klaus se jeta sur Harry, le prenant dans ses bras.
« Dans mes bras petit Harry. Notre petit meurtrier n'aime pas les câlins, mais moi j'adore. Et puis c'est un peu mon cadeau. »
« Ton petit cerveau n'aurait jamais pensé à cela, si je ne t'avais pas soufflé cette idée. Et puis je préférais cette idée plutôt que de voyager dans le temps et nous piéger quelque part. » Siffla Cinq.
Klaus fusilla son frère du regard, avant de relâcher le Serpentard.
« Merci à tout les deux. » Sourit Harry.
Cinq lui accorda simplement un signe de tête. Puis Ben offrit son cadeau. Harry l'ouvrit avec joie. Il trouva un livre retraçant des dessins des aventures vécues par la Umbrella academy.
« C'est moi qui l'ai fait. » Sourit l'asiatique.
« Tu es très doué. Merci. » Le complimenta Harry.
Vanya courut chercher son violon, puis alors que le silence s'installait, elle commença son morceau. Un nouveau morceau que Cinq n'avait jamais entendu. Il dû avouer qu'il était très beau. Lorsque sa sœur eut terminé, Harry était en larme, une nouvelle fois.
« Merci ! Mais... Il est très dur, tu as dû mettre beaucoup de temps à l'apprendre. »
« C'était ton cadeau. » Déclara simplement Vanya.
Klaus lança un vinyle et monta le son à fond. Cinq décida de fuir. Il y avait trop de bruit. Il quitta la maison, prit une voiture, puis se rendit jusqu'au magasin de donuts alors que la nuit était encore assez claire. Il commanda un café, tout en ignorant les regards étranges que lui lançait la serveuse. Puis il savoura son café lorsque Agnès le lui apporta, tout en songeant que cet anniversaire n'était pas aussi mauvais que ce à quoi il s'était attendu.
Un nouveau chapitre fini.
Qu'avez-vous pensé de ce chapitre ?
À bientôt.
Biz
Gin' pour vous servir
