Chapitre 1 : La Musculation Secrète

La petite chambre sous l'escalier de la maison des Dursley était sombre et étouffante. C'était là que Harry Potter, un garçon au physique qui contrastait radicalement avec son environnement, passait la plupart de ses journées. Sa vie à Privet Drive n'était pas des plus agréables. Harry était maltraité par son oncle Vernon, sa tante Pétunia et son cousin Dudley, qui l'appelaient "le garçon" et le maintenaient dans un état de quasi-esclavage.

Pour Harry, cette chambre étroite était un refuge secret, où il pouvait échapper aux réalités oppressantes de sa vie. À l'âge de onze ans, il avait réussi à développer un physique impressionnant grâce à un entraînement intensif. Ses bras étaient devenus sculptés, chaque muscle bien défini. Ses abdominaux étaient taillés en tablettes de chocolat, et ses jambes semblaient prêtes à briser des troncs d'arbres. Harry avait découvert dans le garde-manger de son oncle Vernon un trésor caché : des protéines extrêmes de taureau. Ces suppléments alimentaires l'avaient aidé à pousser ses limites, à devenir fort et musclé.

Le mystère entourant sa transformation physique ne manqua pas d'attirer l'attention de sa famille. Vernon Dursley, un homme corpulent à la moustache taillée en carré, déclara d'un air suspicieux : "Pourquoi es-tu si musclé, garçon ? Qu'est-ce que tu trafiques dans ce placard ?"

Harry baissa les yeux, essayant de cacher la boîte de protéines. "Je fais juste de l'exercice, oncle Vernon. Cela m'aide à me sentir mieux."

Dudley, le gros cousin de Harry, avait presque peur de lui maintenant. Il évitait soigneusement tout contact avec son cousin musclé, craignant sa force naissante.

À l'approche de son onzième anniversaire, Harry sentit un changement dans l'air. Le poids des mystérieuses lettres adressées à lui pesait sur ses épaules, tout comme le poids des haltères qu'il soulevait. Il se sentait anxieux, mais il ne savait pas pourquoi. Il était convaincu que les lettres étaient liées à sa transformation physique, et il voulait comprendre qui les envoyait et pourquoi.

Le jour de son onzième anniversaire, Harry s'entraîna encore plus intensément, cherchant à échapper à l'angoisse qui grandissait en lui. Il avait repoussé ses limites au point de ne plus rentrer dans le placard où il avait passé tant d'heures à se forger. Son oncle Vernon, qui était déjà suspicieux de ses activités, décida de le déplacer dans une autre pièce. Harry fut transféré dans la chambre de Dudley, un espace plus grand mais toujours dépourvu d'affection. Dudley se plaignit bruyamment de devoir partager sa chambre avec "le garçon", mais il n'avait pas d'autre choix.

Les lettres de Poudlard, mystérieuses et intrigantes, ne cessaient de pleuvoir. L'oncle Vernon était de plus en plus inquiet. Il croyait qu'elles étaient liées aux origines secrètes de Harry, et il voulait à tout prix fuir pour échapper à cette situation qui devenait de plus en plus mystérieuse et oppressante.

Le jour de son anniversaire, Harry était assis dans la nouvelle chambre, s'entraînant toujours. Il sentait que quelque chose d'extraordinaire était sur le point de se produire, et il voulait être prêt. Les lettres n'avaient cessé d'arriver, et l'angoisse ne l'avait pas quittée. Pour la première fois, il ressentait le besoin impérieux de comprendre qui lui envoyait ces lettres et pourquoi.

La tension à la maison atteignit son paroxysme lorsque les lettres commencèrent à pleuvoir littéralement de tous les coins, passant par la cheminée, les fenêtres, et même en se faufilant sous la porte. La terreur de la famille Dursley atteignit son apogée, mais Harry ne put s'empêcher de sourire. C'était comme si un monde inconnu se rapprochait, et il était déterminé à le découvrir.

L'oncle Vernon, un sourire maléfique aux lèvres, dit : "Je sais comment semer ces lettres, Pétunia. J'ai trouvé une cachette infaillible."