Bonjour ! Ou Bonsoir !

Je ne sais pas quand vous lirez ce chapitre ou quand je le posterais alors =)

Voici la suite du chapitre... et je sais déjà qu'elle en frustrera certain.e.s ! XD

Mais c'est à escient que je l'ai fait ! Vous verrez plus tard... ;)

Pardonnez les fautes, je ne suis pas ma prof de français ;p

So... Enjoy !


Et il vit les premières égratignures de l'enfant. Des bleus, des bosses, des petites coupures ou piqûres de vaccin obligatoires contre les maladies magiques… seulement cela. Rien de bien alarmant. Elles étaient daté de Novembre 1980 à Octobre 1981.

Il vit aussi les traces d'un rituel, un des bénéficiaire de celui-ci semble selon le test, aussi rigoureusement âgé que celui qu'il auscultait actuellement. A vérifier les authentification des identités avec les Gobelins.

Une autre recherche qui s'impose déjà juste après, car il ne comprenait pas le nom qu'il avait sous les yeux,...

Qu'est-ce qu'un Horcruxe ?

Eh bien, on pouvait déjà se douter de fait beaucoup plus alertant quand on connaissait d'avance la raison pour laquelle l'enfant été ici actuellement ! Nous y avions déjà des indices.

A peine le 1er Novembre entamé, un espace de repas semblait déjà alarmant. Puis encore des érythème fessier et infecté semblait faire de régulière apparition, ce qui démontrait une négligence de l'hygiène du bébé. Obligatoirement. Il n'était pas possible d'en avoir autant sans que les oublis soient volontaires… comme l'ignorance du petit être.

Ce qui était déjà proprement cruel et inadmissible. Ils n'avaient pas cru comprendre que ses tuteurs actuelle eurent manqué de moyens. Il l'aurait bien dit dans le rapport ? Il lui semblait qu'il était dit qu'ils vivaient dans un quartier résidentiel…donc avait un certain standing.

Il n'y avait pas de trace de traitement Non-Maj. Seulement la magie. Sûrement celle-ci voyant son porteur insuffisamment fourni de soins, elle s'en était occupé…

Et voyant la liste, elle a dû avoir beaucoup à faire.

La suite de ce qu'il voyait été une succession de famine légère à modérée sur période, mais l'installation de carence en parallèle… une anémie semble s'être installée d'ailleurs.

il y avait aussi des os cassés, et là encore une fois, seul l'intervention de son pouvoir le guérissait… Sa magie doit sûrement être plus concentré sur sa condition physique, à force d'habitude. Mais cela restait superficielle.

Plusieurs accident magique semblent apparaître, sous forme d'implosion.

Il devrait faire des test, juste pour s'assurer que son noyau n'est pas créé de canaux trop multiples pour sa santé, cela risquerait de l'user sur des dizaines d'années… ou apprendre à son noyau de réduire l'énergie qu'il y implique. Tout comme elle ne pouvait corriger les carences.

De plus, un noyau en perpétuel flux amoindrissait le pouvoir qu'on aurait pu donner dans d'autres choses… où nous rendait en manque de puissance si on avait besoin de plus sans se rendre compte que le niveaux était déjà haut, et fausse donc les résultats ou les espérances.

Pas besoin forcément de magie, qu'elle intervienne à tout bout de champs. Une alimentation saine et du repos suffisent. Ce qu'apparemment ce garçon n'avait pas eu le droit, comme beaucoup de ses malheureux camarades.

Elle était intervenu également pour quelques traumatisme crânien survenaient par-ci par-là, mais moins au travers des années… pourquoi ? Pas qu'il n'en était pas heureux, mais qu'est-ce qui expliquait cet disparition ? Ses tuteurs - incapable, cela va s'en dire - était allé trop loin avec l'un de leur coup est faillirent attenter à sa vie ? Quelque chose est arrivé et a radicalement réduit leur fréquence ?

Hum… de ce qu'il voyait, un nerf optique semblait en perpétuel compression… sûrement que l'un des coups à la tête à mal guérie également… sans compter le manque de bonne vitamine adaptée. S'il soignait ça, peut-être ne serait-il pas trop tard pour que l'enfant se délaisse de ses lunettes. Aujourd'hui plus personne n'en mettait vraiment chez les plus jeunes, sans compter quelle faiblesse était-ce en duel, en bagarre - il parlait de jeunes, il fallait toujours prévoir avec eux tout les cas de figure -… ou lorsque vous vous faîtes kidnapper. C'était ridicule ! Il suffit que votre kidnappeur vous les enlèves, et vous voilà sans défense !

M'enfin, il s'égare.

Donc il disait ! Guérir le garçon de ses problèmes de vue et apparamment reconstruire sa masse osseuse, car s'i la magie peut s'acquérir de ce genre de problème, elle intervenait dans une forme trop primaire - surtout à ces âges -, puisqu'incontrôlée, et sa structure osseuse ne s'était pas parfaitement reformé.

Ce qui d'ailleurs en ressortira en tant que syndrome de Silverman pour le monde Non-maj lors du procès, grâce aux radios. Donc cette guérison devra attendre malheureusement… attendre qu'il passe l'examen.

Il lui refera ensuite un squelette tout neuf ! Foi du Pédiatromage Smith !

Il continua son relevé, et trouva des brûlures tout aussi proches des commotions cérébrales… encore une fois, un rapport ? Et d'autres de cigarettes !

Horrifié, il tomba sur ce que le parchemin avait identifié comme des scarifications.

Par Turkell ! Ces Non-Maj étaient sans limite !

Du moins, une seule chose semble lui avoir été épargné au moins… il détestait lire ce genre de rapport. Il en était que cette fois-ci lui soit épargné également…

enfin pour l'instant puisqu'il n'avait pas fini le rapport, et il décida aussi de regarder selon les années scolaires pour facilité les choses.

… Quand il arriva en 1991 où la famine s'est drastiquement affaiblie. Mais les carences sont restés, car s'il n'est pas au courant de ses manques, comment y remédier. Il pourrait manger n'importe quoi n'importe quel quantité, cela n'y changerait pas grand chose…

Pour la première fois, rien de très préoccupant apparaissait durant l'année jusque la fin de celle-ci, quelques bleus, égratignure et auss- strangulation et possession ?!

Et le premier et déjà terrifiant, le deuxième… Comment ça POSSESSION ?! Le Mg Smith s'agrippa à la feuille. Il n'oserait pas se retourner vers, sentant le sang ayant quitté son visage.

Et à nouveau, le premier mal de l'enfant depuis la soirée d'Halloween est réapparu ! Il devrait vraiment faire des recherche dessus ! Mais comment l'enfant en était venu à être possédé ?! N'était-il pas censé être scolarisé ? Qui aurait pu faire ça dans une école !?

Ensuite un coma magique fut suivi - tu m'étonnes ! - fut écrit et la guérison plus les sorts utilisé, jusqu'au jour du réveil.

A partir de là, une famine moins modérée s'installe à nouveau. En contrepartie, il ne vit aucune blessure quelconques à part quelques insolations….

Ah oui ! le rapport procédural des Gobelins ! Il le récupéra de son bureau… et effectivement ! L'enfant n'avait pas dit qu'il avait gardé pour lui qu'il leur était interdit d'utiliser la magie… Avant que les choses dégénèrent… Ce qui explique la famine beaucoup plus importante qui suit plus loin !

Celle-ci s'améliore seulement vers la fin Aout avant de se stabiliser à nouveau.

1992-93 : À nouveau seulement rien d'alarmant, juste intriguant, un bras cassé un sort la disparition du bras et du poussos … avant la fin de l'année encore !

Doux Merlin ! Perforation de l'avant-bras et empoisonnement au venin de BASILIC ! Mais comment est-ce possible ?! Il se répète, mais n'était-il pas censé être à l'école ?!

Des basilics n'ont pu s'évader des réserves Grecques ! Encore moins pour aller jusqu'au Nord de l'Angleterre ! ça se saurait su bon Merlin !

Le venin de basilic faisait partie des poisons - outre des plus rares car difficiles à récupérer sur leurs créatures - les plus foudroyants, sans compter qu'il n'y avait aucun remède ! Après tout, qui aurait ou s'approcher ou avoir sous la main un basilic qui lui fournirait assez de venin pour étudier un antidote… Outre cela, qui garderait sur lui un antidote aussi spécifique sur lui ?!

Heureusement, des larmes de phénix semblent être passé par-là… Il se demande comment l'enfant en a eu… Elle était très chère sur le marché, et ce n'était pas un achat commun chez une aussi jeune personne…

A nouveau une famine s'installa, aussi sévère que celle d'avant l'été 1992…

Et puis, après des épuisement physique, et des insolation à nouveau. Une explosion à nouveau de magie. Sûrement l'incident avec la sœur de son oncle checka-t-il sur le "rituel-procès".

1993-94 : cette année scolaire commençait par une énorme dépression et un épuisement sévère magique très inquiétants ! Qu'est-ce-qui avait causé cette baisse extrême d'énergie ? Dès le premier jour ?! Mais ce n'est pas tout, si la première s'est rétabli sur le moment, l'année démontre les mêmes symptômes de manière fluctuante ! Sans compter deux autres cas du jour de rentrée ! Ainsi que deux grandes dépenses magiques ! Attendez.

Ne voit-t-il pas un- mais si ! C'est bien ça !

Les mêmes symptômes répéter deux fois aux mêmes heures.

… Ceci n'était la marque de fabrique que d'une spécialité pour la connaître : un retourneur de temps.

Qu'est-ce-qu'un mineur faisait avec un retourneur de temps ?! Le corps n'était pas assez mature pour ça ! Avait-il reçu les check-up réguliers nécessaires à son utilisation ?!

C'est une nouvelle question à poser plus tard.

Et à nouveau plus rien.

La dépression magique total s'amoindrie avant qu'une nouvelle famine plus ou moins sévère s'installe de nouveau. Lui faisant perdre au passage tout ce qu'il gagnait presque dans l'année.

1994-95 : le voilà pour une nouvelle année, et il ne pensait jamais arriver au bout de ce parchemin !

Alors alors, nous avons cette fois… un bras cassé ! Des blessures superficielles au visage et une légère infiltration d'eau dans les poumons… ? Juste après l'expiration d'une branchiflore qu'il est écrit.

Oh oh oh… mais que voit-t-il écrit ici ! Voilà qui est intéressant, pensa le médecin espiègle. Il faudra le mettre au courant des risques et des inconvénients de son statut. Il y avait quelques points communs avec le sexe opposé, pas tous les désagrément, toutefois les mêmes protections. De plus, malgré le retard de puberté des garçons face aux filles, ceux qui en avaient la capacité en faisait les frais plutôt, puisqu'ils partageait donc la capacité avec leurs pairs féminins. Pourtant, malgré cette bonne surprise inattendu, il devra s'assurer encore plus méticuleusement que ces anciens, car ils n'arriveront certainement plus, n'est pas atteint son heureuse aptitude !

Cependant, sa bonne humeur continua de chuter rapidement à la suite de ce qu'il vit…

Commotion cérébrale, coupures…

ENDOLORIS !? !?

Plusieurs fois !

Instabilité magique ? Flux magique fluctuants inégale ?!

Et le même vecteur qui semblait apparaître durant sa première année.

Puis plus rien à nouveau !

Qu'est-ce que c'était que ça !?

Il se répétait… seulement, l'enfant était censé être à l'école !

Comment un tel diagnostic puisse être fait ?!

Poudlard ne savait-elle pa-

Non.

Le Directeur ne savait-il pas garder ses élèves en sécurité ?! Ou seul cet enfant subissait autant de choses dans un lieu dédié uniquement, normalement, à l'étude de la magie ?!

Ils devront mener une enquête plus profonde…

Ils étaient sûrs qu'ils seraient d'accord avec ça.

Une accalmie semblait être présente de nouveau avec son lot de famine… et à nouveau un épuisement magique qui accompagnait la fameuse dépression ! Bien qu'elle fut légère cette fois.

Encore une fois une accalmie était présente et puis une Super-fluctuation du noyau avec énorme épuisement magique !

Sûrement son accident magique mentionné plus tôt !

Une chambre magique de régénération… sa magie semble avoir pris connaissance de son état et a dû vouloir l'aider. Ça doit être la chose qui a mis Mr Stark sur la voie d'un autre monde…

Puis plus tard - après la visible bonne alimentation qu'il pouvait voir durant son séjour chez Stark à son plus grand contentement ! -, il vit seulement - enfin ! - un affaiblissement sanguin momentané.

Hum, le rituel des gobelins.

Et aujourd'hui, ponction de sang et piqûre au doigts.

Pour conclure, il en avait fini.

Jamais il n'en avait vu autant…

Qu'est-ce-que qu'il allait faire ?

Il ne savait plus par où commencer !

Non ! Ah si. Les radios. Oui, les radios.

Concentration.

Il se retourna vers l'enfant, et le vit l'observer, dans l'attente. Il avait été silencieux durant toute sa lecture ! A aucun moment il n'avait montré son mécontentement - s'il y avait - sûrement avait-il l'habitude de ne pas se faire remarquer.

Comme les autres.

- Ai-je été long à lire ? Questionna-t-il gentiment. Il espérait que son visage ne trahirait pas ses pensées.

- Hum, ça fait dix minutes que vous êtes avec le parchemin dans les mains, répondit nerveusement Harry, triturant ses doigts.

Il n'avait pas menti. Ça faisait dix minutes qu'il angoissait en silence à ne voir le médecin qu'en quart de profil, celui tourné vers la table du lit d'hôpital.

Avait-il vu ce que les Dursley lui avait fait ?! Qu'allait-il en penser ?! Le trouver faible ? De ne pas avoir su se défendre face à des moldus ?

- Et si nous allions faire désormais les radios ? Hum ? Je vais signer juste tout de suite une dérogation de tutelle conjointement avec Gringotts pour que Mr Stark ait ta garde malgré que le procès n'ait pas encore eu lieu.

regarda, l' interrogeant silencieusement sur les détails. Ce qu'il fit :

- Parmi les documents que m'ont fournis les Gobelins, il s'y trouvait un changement de tutelle juridique, et l'approbation d'un médecin agréé est demandé après les vérifications nécessaire… ce qu'a permis la pierre. Lorsque je t'ai dis que la pierre pourrait te permettre de te libérer des Dursley, c'est en partie à quoi je faisais référence. De ce fait, pour ta sécurité, nous n'avons pas à attendre le procès en conformité pour le changement de tutelle. Mr Stark peut d'ores et déjà être considéré comme ton seul tuteur et référent en ce qui te concerne. Ton ancien tuteur magique - qui a manqué à ses devoirs - qui qu'il soit lui-même ne pourra rien y faire.

Et il finit son discours sur un visage souriant, pratiqué et parfairé pendant des années pour rassurer ses patients quoiqu'il arrive.

- Oh.

Harry n'avait à en dire plus. Son ton soulagé parlait pour lui.

- Mais, attendez. Je n'ai pas parlé de tuteur magique… ? Rétorqua Harry, vrillant son regard vert sur lui. Méfiant.

Mince!

- Oh ? Eh bien tu es un Héritier magique, il est normal que tu es un tuteur magique qui doit t'apprendre ce que tu dois connaître pour ton entrée dans le monde sorcier… peu importe que tu fus dans un foyer Non-Maj ou sorcier, bien qu'un magique devrait toujours être privilégié. Et, le plus important si ce n'est que ça, assurer ton intégrité physique. Toutefois de tout ce que j'ai pu voir, celui-ci a failli à sa mission. Et pas qu'un peu. Donc il n'aura aucune excuse s' il ose même penser recouvrer ta garde !

Harry ne savait pas qui était son tuteur magique, mais il était rassuré qu'on se batte visiblement contre son retour envers une personne qu'il ne connaissait pas premièrement… et qui avait complètement négligé son existence deuxièmement.

Néanmoins une nouvelle chose vint le titiller. Il en avait déjà entendu parler avec les Gobelins. Et il le fit savoir, puisque le Médecin semble si disposé à oui répondre quoiqu'il demande :

- Dîtes… ?

- Oui ? Répondit immédiatement Smith en levant les yeux de son bureau, occupé à acter son changement de tutelle.

- Ce n'est pas la deuxième fois que j'entends parlé d'Héritier… pourquoi on parle de moi en tant que que Héritier.

Le Médicomage se figea. Le regardant droit dans ses yeux et vit son regard sincèrement questionné et confus. .

Spoliation d'héritage. Voilà l'une des possibilités auxquelles ils faisaient référence. Et qui pourrait expliquer la négligence volontaire de son tuteur.

Ainsi donc les Gobelins avait raison

Il avait reçu des notes comme quoi il y avait une ingérence de l'héritage, en plus de tout ce qui fut dit dans leurs bureaux.

- Si tu le permets, commença doucement et très prudemment à ne pas vexer son interlocuteur - car ce serait la première question à laquelle il ne répondrait pas et pourrait dégrader la relation qui s'installe -, je souhaiterais qu'on en parle plus tard. La priorité aujourd'hui est ton état de santé. Et je ne pourrais t'apporter en plus les réponses que tu souhaites.

Puis après lui avoir fourni un sourire navré, il se remit à ses documents.

…oOo…

Qu'est-ce-que c'était intéressant !

Voilà longtemps qu'il n'avait plus été aussi passionné par un bouquin de l'histoire de son pays !

Il n'avait même plus embêté les créatures à côté de lui tellement il était plongé dedans.

Le bâtissement de la société sorcière américaine… dont il pouvait mentalement faire les parallèles avec celle Non-Maj et ainsi avoir les deux histoires et y trouver des corrélations !

Comme par exemple : Il a ait ouvert le livre à une page au hasard, et était tombé sur la guerre de Sécession… il n'avait pas pu s'empêcher de lire pour avoir le point de vie des sorciers à ce sujet.

Savoir que c'était un sorcier, celui qui avait réussi à ramener les informations capital qui amèneront les Nordistes à la victoire ! Ou encore que le chemin de fer célèbre de l'époque été en grande partie dirigé en collaboration avec des sorciers !

Les Noirs Américains ayant plaidé à la cour du Conseil Magique Américaine - la cour de justice magique américaine n'existait pas encore - d'intervenir sur la cruauté actuelle à leur semblable dans le monde Non-Maj !

Et que toutes les réussites impliquait la magie ! Ceux attrapé dans ces chemins était le plus souvent dû à des Non-maj qui n'avait pas reçu à temps certaines informations que ce soit d'interférences ou des aléas des trajets d'informations ou les impatient beaucoup trop sous pression qui firent des erreurs à certains passages !

Fascinant !

Ce n'était pas qu'une impression… Il redécouvrait l'histoire de son pays !

Mais après s'être avancé sur cette partie de l'histoire, il retourna au début - de bonne humeur - et commença réellement le livre, sachant que ça lui plairait.

"Bien que les explorateurs européens l'ont appelé le "Nouveau Monde" quand ils ont atteint pour la première fois le continent, les sorciers connaissaient l'Amérique bien avant les Moldus (Note : chaque nationalité ayant son propre terme pour "Moldu", la communauté américaine utilise le terme argot "No-maj", diminutif de "No magic"). Divers modes de transports magiques - dont les balais et le Transplanage - sans mentionner les visions et les prémonitions, ont fait que même les communautés magiques les plus lointaines étaient en contact les unes avec les autres à partir du Moyen Âge…. "

Donc les sorciers avaient eu de l'avance sur ce point-là : la découverte du Monde… attendez ! Prémonition ?! Quoique… devrait-il s'en étonner à ce stade ?

Ne pouvait-il pas avoir de religion ? Être sorcier et peut importe ? Car il lui semblait qu'à cette époque en Europe - Le Vieux-Monde - le clergé dominait et propageait la doctrine du "T dans l'O", ainsi, il n'y avait que 3 continent dans le monde : l'Asie, l'Europe et l'Afrique, le tout sur une terre plate entourée d'un "anneau océanique"… avant que l'inverse soit découvert bien plus tard….

Ou devrait-il dire découvert par tout le monde bien plus tard ?

Les sorciers auraient-ils par hasard découvert avant également que celle-ci était ronde avant eux ?

D'ailleurs est-ce que le premier homme à l'avoir affirmé avant d'être exécuté par l'église était un sorcier ? Ou partagé à un Non-Maj qui, l'information le convaincant, il avait été le partager ?

Bon sang, que d'hypothèses !

Et il n'en était qu'au début ! Il avait l'impression de découvrir la partie cachée de l'iceberg de leur monde !

C'était exaltant ! La suite !

"La magie est aussi apparue de façon inattendue dans des familles où, jusque alors, il n'y avait jamais eu de sorcière ou de sorcier connu. Le ratio global de sorciers et de non-sorciers n'a pas semblé changer entre les populations, tout comme l'attitude des No-Maj. Dans la communauté des Indiens d'Amérique, quelques sorcières et sorciers ont été acceptés, voire glorifiés dans leur tribu, en atteignant des réputations de guerisseurs ou de chasseurs exceptionnels. Cependant, d'autres ont été stigmatisés pour leurs croyances, souvent parce qu'on pensait qu'ils étaient possédés par des esprits malveillants.

La légende des "changeurs de peau" amérindiens - une sorcière ou un sorcier malfaisant pouvant se transformer en animal à volonté - a son fondement dans la réalité. Une légende est née autour des Animagi amérindiens, […] Ces rumeurs méprisantes étaient souvent lancées par des médecins No-Maj qui feignaient leurs pouvoirs magiques et qui avaient peur que la vérité éclate."

Mais dans quel sens ? Le leur faire du tord ou les aider ? Ces derniers mots sont un peu flou.

Et on peut se transformer en un animal ? Ou était-ce là qu'une capacité des Amérindiens ? Ou initié au monde par eux ?

- Hein hein… fit Tony à voix haute, sans réfléchir.

- Un problème avec votre lecture Mr Stark? Fit poliment le Directeur de la banque Gobeline, après quelques secondes.

Bon, il avait peu l'habitude de faire ce genre de demande désintéressé… enfin à moitié.

D'une part cet homme allait faire partie de l'économie sorcière par eux de manière plus prononcé qu'habituellement avec le monde Non-Maj pour commencer, ce qui va les enrichir grandement - c'était toujours apprécié - , et deuxièmement, il allait avoir sous sa responsabilité un Héritier Sang-Pur, ce qui n'était pas une mince affaire.

Il devra le soutenir, et pour ça, il devra tout connaître sur le bout des doigts comme s' il avait toujours été dans ce monde. Être irréprochable.

Et il fallait l'aider, car le fait que l'enfant n'ait jamais été contacté par Gringotts ou que même ses lettres personnelles - car des lettre sont toujours envoyées au tuteur seul mais également à la charge seul - puissent avoir été intercepté par son tuteur… ce ne sera pas une excuse auprès du monde sorcier ni de la Cour Suprême Magique.

- Ehbien… quelques unes oui.

Et Tony partagea ses réflexions du début de sa lecture.

- effectivement la magie fut un avantage indéniable dans la découverte de nos voisins

- oui j'ai vu prémonition d'ailleurs ?! Peut-on lire l'avenir ? Ou comment en sont les nuances de ce pouvoir ?!

- Oui mais il faut avoir prédisposition en la matière, il se développe à certains stade selon la personne… cela peut vous mener à de simple prescience et de sentiments rapide de prédiction - sentir que quelque chose de bien ou de mal va arriver -, à devenir Gardien du temps aux départements des mystères, ou même certains s'amuse entre les deux, à faire de la bonne aventure dans les rues des Non-Maj.

… et non, la doctrine des 3 continents et son anneau océanique ne nous concernait pas. Les sorciers - comme les créatures magiques - n'ont qu'une religion : celle de la Magie où on l'appelle Magia - avec un grand M pour les deux. Comme vous l'avez vu avec les nombreux transports, nous pouvions voyager plus efficacement : sans attente, sans morts, sans perte,... toujours plus efficient avec les sorts, toujours de plus en plus loin - et découvrir par la même occasion qu'elle ne fut pas plate. Ce qui nous a permis de souder des liens plus rapidement. Au Moyen-âge, nous avions tous découvert nos voisins et qui étaient ceux de qui. La communauté Magique est moins vaste que la vôt- que celle des Non-Maj. Et comme vous le remarquez, ce plus faible taux de population - et plus facilement crédule, par preuves bien évidemment, que la doctrine du clergé - nous a permis d'avancer plus vite.

Tony ingéra l'information. C'était intéressant.

Mais Tony ne rata pas non plus le lapsus. Qu'est-ce-qu'on lui cachait depuis le bureau ?!

Ils n'allaient encore pas lui répondre tant qu'il n'aurait pas fait d'examen ! Ça le frustrait tellement ! Peu étaient capable de le tenir tête quand il demandait quelque chose ! Il avait l'impression que ça faisait de lui encore un enfant ! Et ce n'était pas pour lui plaire. Mais comme il n'était pas en terrain assez conquis encore, il était obligé de se plier aux obligeances…

- Autre chose Mr Stark ? Continua poliment le gardien des coffres.

- Oui ! Hum attendez que je retrouve… ah oui là !

Et il lut la deuxième partie qui lui posait problème.

- Disons que les intentions y étaient partagées. Là où elles pouvaient être méprisantes, il y avait aussi une réelle intention de vérité qui éclate, et aussi donc vouloir protéger le Secret. On ne va pas cherché, en tant que personne rationnelle - ou leurs adeptes - plus de preuves que ça, s'ils ne le font pas ou dénigre la chose - les légendes et les dires notamment.

- Ce qui m'amène à ma deuxième question ! Peut-on se transformer en un animal ? Ou était-ce là qu'une capacité des Amérindiens ? Ou initié au monde par eux ?

- La capacité de se transformer en animal s'appelle être un Animagus. Les Amérindiens ont développer ce pouvoir de la branches de magie déjà il y a des siècles avant la découverte de nos voisins, et leur savoir s'est petit expansé durant les voyages et la mise en structure de la technique - et de leur écrit particulièrement - par des Maître de la métamorphose au cours de siècles qui ont suivi… développant le processus et le rendant toujours plus claire et moins dangereux qu'à l'époque. Bien qu'il se doit être majeur et un sorcier sous bonne instruction pour le faire tout de même aujourd'hui.

Le Gobelins allait toujours plus loin dans ses réponses dont celles qu'attendait son faisant-face. Comme il l'avait précédemment pensé, il fallait qu'il sache ce genre d'information comme si il avait grandi dans le monde magique depuis toujours. Et ce genre de détails s'apprenait, se recherchait durant leur études lorsqu'ils le souhaitait. Donc il devait les connaître au cas où.

Tony se tournait vers les Gobelins dès qu'il avait une question. Et les créatures en question lui répondait toujours plus que ce qu'il demandait pour parfaire son éducation.

D'ailleurs, le Directeur pensa qu'il serait judicieux de faire un cours d'accélérer aux deux nouveaux citoyens Américains sur ce qu'ils doivent savoir. Et vérifier le niveau de l'enfant avant son entrée dans un des établissements.

Sans compter que la cour de justice américaine devra acté le statut de réfugié politique de l'enfant.

Le Gobelin avait mal à la tête rien que d'y penser. Cependant, cette affaire avait le mérite de sortir de l'habitude et de les intéresser réellement.

Un sujet lui fit quelque peu perdre sa joie d'apprendre.

Les Ratisseurs.

Et tout ce que ces hors-la-loi avaient engendré, lorsque le pays n'était encore qu'une terre qui demandait à se développer… des gens sans foi ni loi. Même pour les leurs !

Ils perdurèrent un peu sur le sujet des Ratisseur… et que finalement, le plus grand problème de l'Amérique n'avait pas tant été les procès de Salem si célèbre dans le monde Non-Maj - malgré la perte de quelques uns des congénères dans l'évènement - mais ces criminels qui se sont réfugiés dans ces grandes contré, qui ont profité de l'absence de réelle de législation à l'époque pour trahir les leurs.

… bien que les procès de Salem furent beaucoup moins joyeux à lire, la plaie étant réellement ces ordures.

Une annotation dans le bouquin indiquait qu'à ce moment le partage du gèle flamme se fit rapidement car le sort, inventé par Jean Geler - un sorcier français - l'avait fait pour cette défense spécifique - à noter les grandes croisade contre la sorcellerie était mené partout à travers les frontières, et qu'il voyagea lors des migrations massives des gens du Vieux-Monde vers le Nouveau Monde, notamment à cause des persécutions des Non-Maj toujours plus persistant…

Mais le mal pour beaucoup avait déjà été perpétré par les Ratisseurs,... Bien que ce nouveau sort fut tout de même salué avec reconnaissance.

C'était scandaleux à ses yeux ! Vraiment ! Comment trahir ta communauté pour- Pourquoi d'ailleurs ? C'est pas comme si c'était une activité lucrative - déjà que le fait le dégoûté déjà il essayait de rationaliser -

Ils étaient dans un nouveau pays, ils auraient pu refaire leur personne n'auraient rien su ! Mais non il ont fait pire ! Et trahit les leur même !

Le pire à ses yeux étaient ceux qui avait participé en tant que juges dans les procès où ils avaient aidé à trouver et participer à condamner les leurs !

Puis plus tard alors qu'il continuait le livre il tomba sur le problème... Dorcus ? Et comprit alors que venait de là le plus gros traumatisme des Américains à leur propos … et encore à cause d'un Ratisseur !

Et d'une fille plus naïve qu'un bébé auquel on aurait donné du cyanure dans le biberon… mais un Ratisseur quand même !

La pauvre fille n'avait qu'eut le malheur de tomber amoureuse de la mauvaise personne. Et que son soit désormais passé à posteriori dans le vocabulaire pour sa faute était un tantinet cruel pour lui, mais elle n'est pas là première et ne serait pas dernière, à travers l'histoire, de qui on se rappellera d'utiliser son nom pour quelque chose de négatif… ou positif.

Au moins une chasse de ces criminels a été faite, et il n'était censé ne plus en rester depuis les années 50, grâce aux Gardiens du temps des époques.

Les deux heures suivantes se passèrent dans cet état d'esprit.

Vingt-trois minutes plus tard, un clique se fit entendre.

La conversation s'arrêta net. Ils se retournèrent vers la provenance, et constatèrent que le Médicomage en sortait avec Harry devant lui.

Immédiatement Tony se leva pour l'accueillir. Le visage inquiet. Toutefois il n'eut pas le temps d'en placer une qu'il se fit savoir :

- Nous pouvons désormais aller à l'annexe non magique pour le reste des examens complémentaires Non-Maj.


Le procès


- Nous avons établi qu'ils te maltraitent physiquement, mais, pour que nous soyons sûrs, j'en suis navré mais je me dois de poser la question… Ne t'ont-ils jamais touché de manière plus inappropriée que ça encore…?

Harry fut perdu pendant un moment, alors que tous - ayant compris l'allusion - retenaient leurs souffles, avant que la réalisation le fasse s'exclamer :

- Non ! Avait l'air aussi horrifié que dégoûté, malgré son rougissement.

Il ne pouvait qu'être honnête.

L'assemblée relâcha son souffle, soulagée.

Tony aussi l'était. Harry avait partagé une partie de ce qu'il avait vécu, ce n'était que ça… une partie. Il était du moins ravi qu'il n'ait pas eu à le subir.

- Tu n'as plus rien à partager de toi-même Harry ? fit d'une voix douce et compréhensive.

- Non Monsieur.

- Alors merci à toi d'avoir trouvé le courage de nous partager tout ceci. Je n'ai plus d'autres questions pour ma part.

Il se tourna vers l'assemblée et leur demanda s'ils avaient des questions. - Non, je pense que ce sera tout pour le moment.

Ils étaient tous sidérés. Abasourdis. Estomaqués. Indignés.

Ils méritaient tous une pause.

Les Dursley depuis leur cage en verre trempés en fou de rage ! Menottés à leurs sièges, Vernon, Marjorie, et Dudley - les plus violents en sommes -, ne pouvaient pas bouger alors qu'il n'avait qu'une envie : lui faire comprendre qu'il n'aurait jamais dû ouvrir la bouche !

Quand se garnement finira entre leurs mains, ils le

Un bruit d''estomac se fit entendre dans ce silence assourdissant.

Tous se tournèrent vers la provenance du bruit, l'enfant qui les avait captivés par son récit - pas pour de bonnes raisons - au cours des dernières heures, avant de regarder l'heure, pour qu'ils se rendent tous comptent que la matinée était passée et fût tout aussi éprouvante pour lui !

Ils lui sourirent avec indulgence alors qu'il rougissait et décidèrent de donner rendez-vous dans une heure et demie - à 14H45 donc - pour écouter les témoignages.

..oOo..

Nous étions mercredi.

Après avoir entendu les témoins hier après-midi - en moins de deux heures -, ce matin nous allions entendre les Dursley.

Du moins s'il faisait preuve de coopération… parce que restait enfermé durant quasiment tous les jours de procès ne témoignait pas en leur faveurs.

- M. Dursley, commença en sueur leur commis d'office, objectez-vous le témoig-

- OUI ! IL MENT ! COMME D'HABITUDE ! NOUS NE SOMMES QUE D'HONNÊTE GENS !

- M. Dursley s'il vous plaît ! plaida son avocat.

Il avait pourtant convenu qu'il ne devait pas hurler comme ça pendant son témoignage s'il voulait passer le premier !

- Et si vous nous partagiez votre version de l'histoire plutôt… ils avaient répété cela ensemble pour minimiser ses peines, il espérait juste qu'il s'en tienne à ce qu'il lui avait dit.

Il devait s'en tenir au fait et se taire.

- Nous avons reçu l'enfant contre notre gré il y a près de quatorze ans. J'étais sorti pour aller au travail et nous eu la désagr- la surprise de trouver un le fils de… ma belle-soeur - le dégoût facilement perceptible au terme malgré son effort apparent - sur notre porche.

- Vous ne saviez pas plus tôt qu'il était là ?

- Non. Le ton était sec.

- Il n'y avait rien d'autre avec lui ?

- Juste une lettre expliquant la mort de ses parents.

- Personne ne vous a expliqué la situation de vive voix ?

- Non. Juste une lettre. fit-il plus hargneux encore.

- Votre honneur j'ai une question… demanda Me Harlow.

Me Brown eut des sueurs froides. Il n'avait pas fini :

- Objection, votre honneur, fit-il espérant retarder l'inévitable, je n'ai pas fini avec mes clients…

- Accordé. Ce n'est pas si important, nous les interrogerons un par un. - Bien, votre honneur, fit-il défait.

C'était le moment parfait.

Vernon ayant été toujours le plus virulent dès le sujet de la magie abordé, les Gobelins et Me Harlow eurent donc l'idée d'utiliser un sort pour l'aider à se ''délier'' la langue…

C'était pour la bonne cause… Ils savaient à quel point Vernon Dudley aurait du mal à se libérer de son fardeau. Ils ne faisaient que l'aider.

Il devrait se considérer chanceux qu'ils se sentent si concernés envers ses problèmes de communication… Ce n'était pas de la triche donc.

Me Harlow toucha sa montre alors que Vernon s'apprêter à parler et se prépara à doser le sort intégré, ils iront crescendo…. . Quoique vu le personnage, il n'aura pas à forcer, pensa-t-il.

- Comment vous êtes-vous retrouvé avec votre charge, Mr Dursley ? Fit son avocat face à la barre.

- le 1er Novembre 1981, j'allais me rendre sur mon lieu de travail, comme tout les matins comme un bon employé, quand ma femme eut la surprise de retrouver un bambin dans un panier devant notre porte en allant chercher le lait. Il y avait une lettre nous informant de la mort de sa sœur et son mari, et que l'enfant n'avait plus de famille.

On venait de le coir hurler au loup, et maintenant il essayait de se faire passer pour l'agneau ?!

Quel déluré !

Il ne put s'empêcher de grimaçer malgré lui à ses appellations banales, après tant d'années à les nommer autrement. et son tic de dégoût fut remarqué par les juges, les plus proches de lui.

- Nous l'avons recueilli pour cela et il a vécu avec nous durant ces quatorze dernières années.

- Comment se passait la garde ? interrogea Mr O'neill.

- C'était un enfant très difficile, s'essayant à une moue contrite Vernon. Il désobéit souvent, nous attirait que des problèmes avec les voisins, l'école et la justice. Il s'en prenait à notre pauvre fils qui ne demandait qu'à vivre une vie normal et tranquille, et son cousin l'en empêchait.

Ouf ! Il s'en était tenu à ligne de défense. Cela permettrait de ne pas trop se mouiller, mais se doutait que l'avocat en face laisse passer cela aussi facilement.

- Votre honneur ? Puis-je interroger le suspect ?

- Objection. ! tenta vainement Mr O'neill. Mon client a dit tout ce qu'il avait à dire !

Était-ce une pointe de désespoir dans sa voix ?

- Refusé. répondit le juge qui voulait aller au fond de cette affaire.

Me Harlow se leva et se dirigea vers Vernon et, pendant les prochaines minutes, le cuisina de sorte à le faire craquer. Tout n'était qu'hypocrisie dans son discours, cela de voyait.

Les grimaces et convulsions impatiente trahissait la contrition qu'il feignait. Son corps le trahissait.

Mais au bout de cinq minutes, Harlow se décida à toucher sa montre et d'augmenter la dose :

- Non… non… Vernon semblait constipé.

- Pour le corriger ? Vous avez vu les gravités de ses marques… ce n'était définitivement pas pour le corriger mais vous défouler et lui regretter d'exister sous votre toit !

Oui. Il dépassait ses prérogatives en l'accusant aussi explicitement mais il fallait du résultat avec la dose double qu'il mit.

- … j- JE J- EHBIEN OUI JE DÉTESTE CE GARCON AUSSI ANORMAL QUE SES PARENTS !

Pétunia se plaqua immédiatement la main sur la bouche face à la nouvelle bévue de son mari. l'assistance fut surprise par tant de véhémence soudaine.

- JE LE DÉTESTE LUI ET TOUS SES SEMBLABLES QUI MERITENT TOUS DE CREVER POUR GACHER LA VIE DES GENS !

- Pourquoi l'avoir accepté alors ? Le seul gardant son sang-froid demanda Harlow, alors que de tous dans l'assistance, il était celui qui comprenait mieux que les autres la signification de ses paroles. Tous autour pensaient qu'il parlait de la noblesse du pays aux vues de leurs visages scandalisés ... alors qu'il en était tout autre.

- POUR L'ARGENT ! IL FALLAIT BIEN AU MOINS CA POUR LE SUPPORTER CHEZ MOI ! ET CE GOSSE EN AVAIT BEAUCOUP ! C'ÉTAIT INDÉCENT ! LE GARDER PERMETTAIT D'EN PROFITER !

Ça y est. Vernon était en roue libre. Il était peut-être allé un peu fort sur la nouvelle dose... mais Vernon n'avait pas qu'à résister. Ce n'est pas sa faute.

Le bois qui l'entourait ne devait même pas supporter l'assaut des postillons qui venait avec une telle parole déliée…

Le sien d'avocat avait l'air au bord du gouffre.

- ... d'en profiter ? Les allocations d'un Héritier ont servis à faire profiter la famille plutôt que de servir ses intérêts émotionnel moral et physique…

- C'EST LA NOTRE QU'ELLE A SERVI ! J'AI PU FAIRE VALOIR MON ENTREPRISE PAYER XE AUE JE VOULAIS POUR AVOIR L'AIR MEILLEUR QUE MES VOISINS INSIGNIFIANT ET MEME AVOIR UNE VILLA !

- L'enfant n'a jamais vu cet argent ?

- BIEN SUR QUE NON ! NON LUI DISIONS QU'IL PRENAIT TOUTE LE PAIN DE LA BOUCHE DE NOTRE FILS ! ET IL Y CROYAIT ! ALORS IL SE TAISAIT ! ET FAISAIT TOUT CE QU'ON LUI ORDONNAIT CAR IL ESPÉRAIT FAIRE PARTI DE LA FAMILLE COMME ÇA ! ET CET INGRAT A PORTÉ PLAINTE ! ALORS QUE C'EST LA RAISON POUR LASUELLE NOUS L'AVONS GARDÉ !

- Donc vous avouez les faits qui vous sont reprochés ?

- NON ! JE SUIS INNOCENT ! IL LE MÉRITAIT ! JE N'AI RIEN FAIT !

Et la, sous l'ahurissement de tout le monde, il commença à passer au-dessus du box de bois.

Suivant son regard, il est clair qu'il voulait attenter à l'intégrité de son neveu par alliance !

Il réussit à passer, et surprenament, à atterrir sur ses jambes avant de s'élancer vers ce qu'il devait considérer comme les responsables de sa situation.

Les services de police et de sécurité qui avait compris la démarche l'arrêtèrent à la moitié du chemin le temps qu'ils l'atteingnent.

- NON ! LACHEZ-MOI ! JE VAIS LUI FAIRE REGRETTER ! CET INGRAT !

Et alors qu'il se débattait, le même scénario qu'à son arrestation se reproduit, et il fut contraint de retourner à la cage de verre.

Tous pouvait voir l'enfant qui avait l'air d'un cerf dans le sohare du voiture.

Son nouveau -surprenant et connu pour être excentrique entre autre, tuteur - essayait de le cajoler pour le remettre en état sous des paroles qu'ils devinaient rassurantes… Pauvre enfant. Il devait avoir l'habitude, et pourtant il fut figé devant le spectacle… beaucoup d'entre eux furent choqué de ce caractère.

On appela alors sa femme, car l'homme était interrogeable, et coupable à l'évidence. Sans la moindre trace de repentit. Il était inutile de l'interroger plus.

- Madame Dursley…

Celle-ci était livide.

- Que pensiez-vous de votre soeur ?

Elle semblait plus rusée que son mari.

- On ne s'appréciait pas, je n'ai rien à dire d'elle.

Alors elle ne se mouillerait pas.

- Ah bon ? C'est pourtant pas ce que l'enquête à démontrer… Vous étiez celle qui ne l'appréciait pas. Nous avons découvert que vous harceler régulièrement votre sœur dans votre enfance et s…

- ça suffit, je n'ai rien à dire.

- et maintenant que votre sœur n'ai plus, vous avez continué à vous en prendre à son fils en continuité de…

- je n'ai rien à répondre.

Alors il lui faudra l'aider. Et réitera le même système.

- Vous jalousiez votre soeur ! Meilleure notes, plus agréable à regarder, il faut l'avouer, avec des prétendants qui se battaient devant elles, un meilleur cursus notamment dans l'école d'élite Saint-Poudlard… elle était souvent encensé par vos parents. Et vous pour contre-balancer ces éloges mérités vous ave-

- Objection ! Son histoire de vie n'a rien avoir avec ce procès.

- Au contraire ! Il nous amène en premier lieu au pourquoi l'enfant eu fut envoyé chez elle et ensuite la source de sa maltraitance envers son neveu !

- Objection invalide ! Continuez Me Harlow, statua le juge.

- Merci Votre honneur. Je disais donc - il augmenta la dose - sa jalousie envers sa soeur qu'elle a harcelée durant toute leur enfance et leur adolescence est le principal motif de sa maltraitanc-

- TAISEZ-VOUS ! ragea Pétunia. Je vous interdit de continuer de parler d'ELLE ! Elle était un monstre et s'est mariée à l'un de ses semblables !

Elle respirait fortement. Comme si elle venait de courir un marathon. La colère brillait dans ses yeux, accusant sa culpabilité auprès de l'audience à son tour.

C'était parfait pour Me Harlow. Il était temps d'expédier ce procès définitivement.

La suite il ne lui donnera aucune pitié. remuant le couteau dans la plaie, il la rendit encore plsuco upable.

Les coups répétitif avec sa fameuse casseroles chaudes, qui ont notamment donné des problèmes de vues à son neveu, lui seront rappelées. La maltraitance psychologique, pour l'enfant de ne pas se voir soutenir par sa tante de sang, voir tous les jours son cousin privilégié à lui de manière si indécente… et se voir récolter tous les lauriers pour son travail et lui les conséquences de son fils ingérable.

Les témoignages de certains voisins ont été mis en avant.

Bien qu'il ne seront pas sauvé pour autant.

Car Tony avait l'intention de tous les faire passer à la casseroles =, car on parlait de son fils désormais.

Personne ne sera sauvé... il partait dans une chasse aux procès aussi assidu que celle des sorcières aux époques !

Les personnels qu'ils avaient fait virés étaient passé à la barre aussi.

Plus sous l'effet du sort que l'avocat Harlow avait désactivé durant son retour, Pétunia retourna dans ses tourbillons de pensé qui l'accablaient depuis son arrestation.

Elle se rendait compte de toutes ses erreurs….

Elle aurait dû mieux contrôlait le garçon que ça.

Lui dédegnait complètement de l'attention avait fait tourné les choses au vinaigre !

Ainsi ils aurait été plus discret… mais Vernon était tous sauf discret !

Ils n'aurait pas dû le lâcher des yeux… si l'ordre ne l'avait pas pris avec eux ils ne l'auraient pas perdu de vu, si il ne serait pas sortit dehors… Il fallait pas lui donner l'autorisation - juste pour ne plus l'avoir sous les yeux - mais plus de corvées…

Effectivement, Pétunia regrettait.

Elle regrettait tout dans le sens inverse à ce qu'on attendrait d'une tante…

Elle ne se repentissait pas.

Plutôt que de regretter de ne pas avoir mieux pris soin du fils de sa sœur… Elle déplorait le fait de s'être fait prendre.

Et son Dudlynouchet qui allait finir dans un endroit de mauvaise fréquentation à cause de l'Autre, sans sa maman pour prendre soin de lui à cause de cette ingrat qu'ils ont du supporter… elle allait défaillir rien que de penser à la séparation avec son bébé innocent !

Un bébé innocent dont il était le tour de passer à la barre.

- J'appelle à la barre je jeune Mr. Dursley ! fi le juge.

L'adolescent fut amené par deux policiers depuis la cage de verre pour témoigner à son tour.

- Dudley Dursley, commença doucement Harlow. Après tout, l'enfant restait également victime de l'éducation de ses parents… à voir s'il lui fallait une détention pour mineur - s'il était trop tard - ou une rééducation en correctionnel - s'il y avait de l'espoir - pour l'aider.

- Vous avez…

…oOo…

- Tu as fini tes bagages ? Entra dans la chambre de sa récente charge Tony.

- Euh oui… heureusement que tu as insisté pour m'acheter une valise pendant ta proposition de shopping, sinon celle actuelle n'aurait pas supporté tout ce que tu m'as acheté ! Tu aurais dû me laisser prendre ma malle sorcière !

- Elle aurait trop attiré l'attention à l'aéroport. Et j'aime t'acheter des choses...

Les yeux de Harry était un mélange d'accusation, de gêne, et une pointe de désarroi, qui démontrait son inhabitude face à un tel sa personne.

C'était pire depuis cette brève - et dernière il l'espérait - entrevue avec les Dursley durant leur procès.

Il était encore chamboulé…

Il avait du mal à croire. Il était REELLEMENT libéré des Dursley.

Depuis aussi longtemps qu'il fut assez grand pour l'espérer en conscience de ses traitements.

Depuis son faux espoirs il y a un an.

C'était beaucoup à digérer.

Il devrait lui en parler en rentrant.

Surtout qu'il avait dû sauté deux rendez-vous à cause de son ancienne famille.

Mais c'était fini maintenant…

- ça va mon p'tit Merlin ?

Harry sortit de ses pensées.

- hum oui… desolé j'étais dans mes pensés

- Pas besoin de t'excuser ! ça ira mieux maintenant ! tu retourneras en cours et commencer une super nouvelle vie ! Et tu sais pourquoi elle est super ! Parce que tu seras avec Moi ! Se montra-t-il du doigt. The Grand et Mignifique Tony Stark ! N'est-ce-pas génial ?!

- Magnifique, rigola brièvement un Harry soudainement plus enjoué .

Son nouveau tuteur était d'une exubérance et d'une joie constante qu'il trouvait souvent contagieuse et l'avait détendu petit à petit. Même avant le rituel, mais celui-ci avait amplifié les choses !

Il se sentait enfin appartenir à quelqu'un grâce à ça. Beaucoup plus que les simples photos de ses parents biologiques que Hagrid lui avait fourni… ou la constante comparaison qu'elle soit firère bégnine ou accusatrice de son physique ou de ses yeux par Remus, Sirius ou Snape.

Il n'était plus seulement la trace de fantômes sur cette planète.

Il était sa propre personne. Et il aimait cette nouvelle liberté de penser et d'action !

- Décidément tu devrais mieux dormir la nuit !

Il sursauta. Tony s'était approché et avait posé sa main sur son front.

- Tu n'as pas de fièvre… tu es sûr que tu vas bien ? le regard de son tuteur se fit perçant.

Harry ne l'empêcha pas. Il aimait ça aussi. Qu'il s'inquiète et ce genre de geste qu'il n'eut jamais de qui que ce soit… pas avant Poudlard et de Hermione... Ceux de Madame Weasley l'étouffait plus qu'autre chose. Comme si elle souhaitait à tout prix devenir sa mère... et ne le considérait que comme un tout petit encore !

Eh oui il n'avait toujours pas digérer son comportement cachotier et les secret des réunions alors qu'IL SAVAIT qu'elle LE CONCERNAIT. Mais il lui fallait répondre s'il ne voulait pas l'inquiéter plus que ça.

- Oui j'ai- j'ai juste du mal à dormir depuis qu'on est de retour en Angleterre. J'ai des cauchemars… pas sur les Dursley.

- Qu'est-ce que tu y vois ?

- Des couloirs le plus souvent… je cherche mais je ne n'arrive pas à trouver ce que je veux…

- La sortie, hum ? leva un sourcil Tony. Peut-être à cause de tout ces procès etc…Tu es peut-être perdu mais tu sais pas comment sortir ? Tu n'es pas le seul à avoir ce genre de cauchemars après des évènements conséquents sur le mental… ne t'inquiètes pas, posa sa main sur sa tignasse indiscipliné, ça ira mieux. Qui sait, c'est peut-être ce pays qui est maudit, gloussa celui-ci, une fois qu'on sera repartit tu dormiras à nouveau comme un loir ! l'encouragea-t-il.

Harry sourit.

- J'espère.

Une fois arrivé à l'aéroport, Harry regarda une dernière fois la ville rapetissir à travers le hublot du jet.

Il était temps pour lui d'embrasser une meilleure vie, il pouvait s'autoriser à espérer dorénavant, juste pour le fait que ce mol- Non-Maj avait agi plus pour lui, purement dans son intérêt, en un peu plus de deux mois que tous les autres adultes qu'il a pu rencontré dans sa vi- son ancienne vie.

Et alors, dans l'avion, conduit par des sorciers sous serment, il prit la bague à son annuaire et retourna la pierre… Qui retira son ancienne enveloppe pour la nouvelle.


Merci à WikiFandom pour les morceaux du livre ! Bien que je le pense avoir modifié certaines choses pour l'histoire... mais je m'en rappelle plus ! et aie la flemme de revérifier XD ! Vous m'excuserez ;)

Reviews acceptées ! ;D

A la prochaine !