Chapitre 374 : Murdered without mercy
Sebastian, en bon démon, n'en a strictement rien à faire de la vie des humains. Les tuer ne lui pose, dès lors, aucun problème de conscience.
Il ressemble, à bien des égards, la nature démoniaque en plus, à Jade. Mr Eel ne fait également aucun cas de la vie d'autrui. Les seuls à être dignes de son intérêt et de son respect sont le boss et Floyd.
Et justement, parlant de Jade, c'est lui que j'ai dans le viseur - oui, que voulez-vous, j'aime varier les plaisirs !...
"C'est vraiment aimable de ta part d'être venue prêter main forte en cette période de forte activité, Sugar Cake."
"Hmm mmm. Tu penses bien que c'est intéressé, n'est-ce pas, Jade ?" tapant dans quelques apéritifs, coude sur le comptoir, regard explicite.
Sa surprise passée, il esquisse un fin sourire. "Ton prix sera le mien."
"Ton corps."
Il plisse les yeux. "Pourquoi ai-je l'impression de me prostituer pour la bonne marche du Lounge ?..."
"Ah, Jade, un service en vaut bien un autre, non ?"
"Tu es redoutable en affaires, petite orque. Mais soit !..."
"Pour peu, je te trouverai vexant, Jade." reniflant.
"Le Lounge vaut bien ce petit sacrifice." poursuivant sur la même voie attendu qu'il est en train de faire vibrer une corde sensible chez moi.
"Ne crache pas dans la soupe, Jade Leech."
Petit rire derrière sa main gantée élégamment repliée devant sa bouche de tueur. "Ah, Sugar Cake, te faire sortir de tes jolis gonds demeure un plaisir à part entière."
"Boucle-la, Jade."
La salle se vide lentement. Nous sommes rompus.
Si bien que je me demande quand je vais pouvoir réclamer mon paiement. Surtout avec Floyd dans les parages...
"Je ne sens plus du tout mes jambes..." soupiré.
Petit sourire de Jade. "J'espère que la maison fait crédit."
"Toi, Jade Leech... ton sort va être vite vu."
"Donne-moi un indice..."
"Je compte... m'ébattre entre tes jambes."
"T'ébattre, uh ?"
"Hmm mmm. La bouche bien remplie."
Il déglutit, érection ne tardant pas. "Je te promets... de bien remplir... ta bouche..." ultra-flirtant, doigts gantés commençant à se balader sur moi. "Permets-moi un acompte." venant m'embrasser chaudement, geignant, avant de se séparer de moi à l'approche de Floyd.
L'évolution de Floyd est vertigineuse en ce moment. Le saxophone classique ?... Très peu pour lui, trop simpliste et déjà-vu. Il vient d'opter pour le saxo baryton, aux tonalités plus profondes et chaudes ressemblant presque aux sons d'un violoncelle mixés aux sonorités d'une voix humaines. L'instrument est évidemment plus imposant.
En ce moment, Leech opte pour des costumes d'un bordeaux profond, portés sur chemise d'une teinte plus claire, se distinguant totalement des couleurs prisées par Octavinelle.
Le parfum aussi a changé, plus musqué, plus agressif.
Le caractère a un peu perdu de son côté joueur et ingénu. Floyd est devenu un homme qui entre dans une belle phase de maturité.
Sur le canapé, je m'installe tout près de lui, cherchant à l'embrasser sur la joue - 1,98 m ça ne s'atteint pas aisément ! XD
Il penche la joue vers moi, bras passé sur le haut du dossier. "There."
"Tu sais..." caressant sa cuisse. "... je kiffe l'homme que tu es en train de devenir." à son oreille percée.
"Cool." posé, attrapant une cannette pour y boire, jambe fléchie, semelle posée sur le tranchant de la table-basse.
"T'es ultra-sexy, mon mec."
Petit gloussement. "T'as envie, toi." souriant de toutes ses pointes.
"Tu crois ?" dessinant des arabesques du bout d'un doigt sur sa cuisse. "T'es vraiment ce qu'Octavinelle a fait de mieux."
Il siffle. "Purée, les louanges ! Arrête, jvais rougir et me sentir redevable !..." rit.
"Par redevable, tu entends ?..." féline.
"Ah non, j'ai pas besoin de me sentir redevable pour faire des trucs cochons avec toi, ma Shachi !..."
L'ombre du majordome quitte les flammes qui rongent la bâtisse.
"Tu es beau dans ton élément, démon Michaelis."
Il s'incline légèrement en avant en guise de remerciement, sensible aux compliments.
"Vous passiez par là ?..."
"Oui, je circulais à cheval dans les bois. La lueur a attiré mon regard. S'agissait-il de la demeure d'un ennemi de ton jeune Maître ?..."
"On ne peut rien vous cacher."
"Ufufufufu. Je connais à présent tes habitudes, Sebastian."
"Il est vrai que vous... me connaissez bien." s'approchant, sourire s'ouvrant sur des crocs affolants, pupilles fendues.
Je note qu'il transporte, sous le bras, une petite valisette. "Qu'est-ce ?..."
"Des documents et quelques échantillons qui intéressent beaucoup mon jeune Maître."
La charpente entière vient de s'effondrer, provoquant un souffle haut en température dont il me préserve, me retournant dos contre lui, voûté sur moi, absorbant la chaleur.
"Je viendrai vous défaire ce soir, comme à l'ordinaire." soufflé à mon oreille, langue voyageant d'une commissure à l'autre, affamé, bras passé devant mes épaules.
Je ne saurai dire qui de la demeure incendiée ou du butler possède la plus corsée des fournaises...
"Pour moi ?"
Petit rire moqueur. "Pour qui d'autre ?..." me tendant le paquet.
Je le pose et le déballe, découvrant une magnifique chemise de nuit de coton fin, blanc. Les empiècements sont à la fois beaux et discrets. Décidément, ce diable a beaucoup de goût !...
"Superbe !... Elle a dû te coûter une fortune !..."
"Un brin d'alchimie ancienne et le tour était joué. Par contre, la vendeuse de la boutique n'a eu de cesse de me poser des questions pour le moins... embarrassantes." amusé de disposer d'autant de charme. "J'ai dû y mettre fin de façon pour le moins cavalière."
"Ne me dis pas que tu l'as tué..." plissant les yeux.
"Non mais je puis vous assurer qu'elle ne me posera jamais plus la moindre question." sur un petit sourire énigmatique. "Je n'ai pas eu besoin de gestes pour m'assurer de son silence. Le poids des mots que j'ai choisis a suffi."
Je prépare l'article pour qu'il me la passe pour la nuit.
Il me tient contre lui, mains œuvrant dans mon dos, défaisant le ruban du corset avant de le faire passer d'un œillet à l'autre, habile, en profitant pour humer mon parfum.
"Ton Maître a-t-il été satisfait par le succès de ta mission ?"
"Comment aurait-il pu en être autrement ? Comme vous le soulignez si bien : cette mission a été un succès."
"Ah, démon... si tu n'étais pas aussi... séduisant."
Il entrouvre la bouche sur un rictus terrible. "Cela vous gênerait-il que je plaise ?..." déterminé à en jouer dès à présent. "Cela vous plairait-il de me voir séduire ?..."
"Oui. Mais je souhaite choisir moi-même la proie."
"Mmm... vous en choisirez une qui, assurément, me donnera du fil à retordre."
"Je te la choisirai naïve au possible. N'ayant aucune pratique des bêtes comme toi."
"Aaah... quel présent." faisant tomber mon corset, m'éloignant un moment pour contempler la rondeur gracieuse de mes seins, ne résistant guère à en cueillir un dans sa paume gantée. "Mon cœur de démon brûle véritablement pour vous." yeux fendus remontant jusqu'à la clarté des miens.
Le baiser qui suit scelle un pacte charnel. Nos langues se pourchassent sensuellement dans la moiteur, lèvres s'offrant des délices inégalables. Il possède véritablement l'art des baisers. Et cela est tout à mon régal.
"Je demanderai bien où tu as été enseigné de cet art... mais tu n'en répondras rien, n'est-ce pas ?..."
"Je suis un démon millénaire. Ce baiser vous aurait-il rendue amnésique ?... Même si l'apparence d'un butler est une première pour moi et m'amuse beaucoup, j'ai déjà emprunté ce même corps maintes fois et l'est livré au plaisir charnel."
"Et tu n'es jamais tombé sur... un ou une partenaire décevante ?..."
"Rarement. N'oubliez pas que j'observe les humains depuis fort longtemps. Aucun acte, aucun geste, aucun appétit ne m'échappe ; mes yeux sont exercés à choisir le meilleur."
"Même lorsque tu étais un morfale notoire ?"
"Tous mes appétits se sont affinés. J'ai même fini par priser un certain sens de l'esthétisme."
"Dirait-on que je suis tombée sur le meilleur d'entre vous. Même si je peine à me faire une idée de tes... pairs."
"Vous n'avez pas envie de les connaître davantage, cela je puis vous l'assurer." sur un petit rire, tout en me défaisant du reste, admirant un moment ma chair, regard s'attardant sur mes courbes, incapable de dévier de sa cible, pupilles crépitant de luxure.
Heavy is the heart that is hollow,
Whose pain can saturate even the most avaricious void.
O Galadrielic collapsar,
Ecstatic in its beauty,
Horrific in its devastation, Starving on a promised feast
Of a capture savoured like a caged flightless bird.
Give wings to your prey,
And lend it you strength.
Assure its willing surrender,
Irrevocably,
Embracing its soul with the lullabye of beasts(*).
Au lit, face à face, après l'amour, nous adressant des caresses tendres après le tumulte.
"Possèdes-tu une langue maternelle, démon ?"
"Celle de la matrice infernale qui m'a engendré."
"Te sens-tu d'humeur à m'en délivrer quelques bribes ?..."
Petit rire. "C'est un langage très peu fait pour... délivrer de l'affection. Sa base est composée d'un dialecte très ancien que seuls les démons pratiquent. Il s'agit plutôt... d'une surenchère de menaces. Le tout ponctué de sifflements de serpent. Assez complexe à appréhender pour des oreilles humaines. Il faut d'ailleurs posséder la langue fourchue pour pratiquer ce type de langage."
"Ça a l'air passionnant." caressant ses cheveux sombres, faisant glisser les mèches entre mes doigts. "Tu m'en offres une brève démon... stration ?..."
Mon jeu de mots le fait sourire. Ainsi que la façon dont je ne lâcherai rien avant d'avoir obtenu satisfaction.
"Vous êtes, décidément, aussi opiniâtre que l'est mon jeune Maître..." se calant un peu mieux dans le lit. "Permettez que je reprenne un peu de mon apparence originelle, dans ce cas." transformant son visage, yeux perçant, d'un carmin magnétique, pupilles fendues, ouvrant la bouche pour y dérouler la langue dont la pointe se scinde en deux. Le ton est rauque, emplissant la pièce même s'il ne hurle pas, faisant penser au roulement d'un tonnerre ; ce langage est fait pour impressionner et délivrer un message clair. Le sifflement de serpent sert de ponctuation.
Puis il reprend son apparence. "Satisfaite ?"
"Hmm mmm. Ce n'est effectivement pas fait pour de tels moments."
"Vous étiez avertie." amusé.
"Est-ce cette langue dont tu t'es servie lorsque tu es apparu dans notre monde ?"
"Pour partie. J'ai cependant voulu qu'on me comprenne. J'ai donc choisi des mots tout en conservant le ton. Les mortels... un rien les fait trembler." caressant mes cheveux à son tour.
"C'est agréable de t'avoir au lit, Michaelis." souriante.
"Vous aimez cela, n'est-ce pas ?..." glissant ses longues jambes contre les miennes, talons revêtus.
J'entrouvre la bouche de délice, corps redémarrant aisément, suivant le mouvement de ses jambes.
Il descend d'un cran, abreuvant mon cou de baisers moites, cheminant plus bas, passant entre mes seins qu'il salue un à un, liant soudain d'une étrange façon sa langue autour de la pointe réactive, m'arrachant un hoquet de surprise. Bref eye-contact.
Il chemine plus bas et je l'y accompagne, doigts égarés dans sa chevelure sombre.
Ce qu'il m'offre alors sort totalement du commun ! Je n'ai jamais, je dis bien jamais, été autant choyée, orgasmes me dévorant les uns après les autres !...
"DE... MON !" crié vers le plafond, empoignant les mèches à pleins poings, corps totalement arqué vers sa bouche.
Il boit chaque jouissance, s'en régalant d'un long tressaillement de tout le corps.
Il finit par remonter, souriant, faisant passer entre ses pointes de canines cette langue divisée, faisant danser les extrémités, mobiles et indépendantes l'une de l'autre.
Le baiser qui suit me rappelle, en un sens, ceux de Malleus, le côté terriblement sulfureux en plus.
Le diable sait rendre terriblement addictives ses attentions. Le malin a toujours possédé cet art exquis. On sait qu'on doit éviter de basculer dans le piège mais on en crève aussi dans le même temps...
"Tu me racontes quelque chose que j'ignore ?..."
"Mmm... pourquoi pas..." s'y prêtant plus volontiers qu'au début de notre relation. "C'est le roi Narmer qui a choisi d'unir la Haute à la Basse Égypte. Son épouse était ravissante... Neith-Hotep était son nom. Elle était également la grande prêtresse de Seth, le dieu du chaos. Elle lui a d'ailleurs sacrifié son premier né."
"Je devine à qui a profité ce sacrifice..."
"Et me voici à la cour du roi Narmer. Somptueux, fastueux... un empire naissant. Je n'avais cependant d'yeux que pour elle... elle..." petit sourire qui me rendrait presque jalouse. "... m'obsédait. Je lui dérobais des sujets chaque nuit... causant d'inquiétantes disparitions dans l'empire. On imaginait la colère d'un dieu. Dès lors les temples dédiés ne désemplissaient plus. Alors qu'il s'agissait simplement de l'œuvre d'un diable incapable de réfréner son appétit pour les âmes."
"Tu l'as séduite ?..."
"Oh oui." s'en rappelant distinctement. "J'étais un régulier de ses appartements."
"Connaissait-elle ta véritable nature ?"
"J'imagine que... quelques signes filtraient. Mais l'Égypte était si empreinte de croyances..."
"Comment t'appelait-on alors ?"
"Je me faisais appeler Mered."
"L'Égypte était-elle déjà aussi décadente que notre présent siècle ?"
"Oui. Du fait de l'infinité de ses croyances. La multiplicité des dieux a toujours été profitable aux diables. Il était aisé de se faire passer pour l'un d'eux notamment."
"Elle t'a pris pour... Seth ?..."
"Voilà qui aurait été très amusant !... Non. Plutôt pour un très puissant médium."
"Vous avez passé de bons moments ?"
"Ce furent cinq années particulièrement riches et fastes, appétits comblés à tous les points de vue."
"Et son mari, le roi ?"
"Le couple était disloqué. Lui possédait ses maîtresses. Le lit idéal pour un démon de mon espèce." souriant de tous ses crocs.
"Et... avec quel homme t'es-tu amusé ?..."
"Ce n'était pas à cette époque. Bien qu'un séduisant berger eut suscité en moi une forme de désir. Non. J'ai jeté mon dévolu, bien plus tard, sur un poète sous opium. Il disait que j'étais... sa muse."
"Pauvre garçon !... Je note que nous avons bien vécu, tous les deux."
"Votre période la plus faste a été votre voyage initiatique dans le désert. Je me trompe ?"
"Non. Le désert est un lieu magique. J'ai pu y développer mon énergie et la maîtriser."
"Vous étiez magnifique lorsque vous quittiez le campement sur le dos de cet étalon immaculé, richement paré. On aurait pu vous prendre pour l'un d'entre eux tant ce que vous portiez était ample et ne trahissait pas vos formes. En aucun cas vous ne laissiez la monte à l'apanage des hommes. Vous brisiez ainsi la bienséance patriarcale. Et croyez-moi, le diable se régale toujours de telles actions."
"Majordome..." glissant une jambe par-dessus les siennes, finissant par me hisser sur lui, conquérante. "... je veux du sexe."
Un petit rire le secoue des pieds à la tête, pupilles se rétrécissant, iris carmin crépitant tel une flamme infernale.
"Et si je venais à vous le refuser ?"
Mon rire vire à l'incrédulité. "Tu n'oserais pas."
"M'en priver pour vous en priver ? Si." basculement de situation dans un jeté de hanches vif et maîtrisé, emprisonnant mes poignets, me dominant, mèches sombres camouflant pour partie son visage de bête féroce. "Pensez-vous que je vais céder au moindre de vos caprices ?... Vous êtes pas mon Maître, je vous le rappelle." me dardant de ses yeux rougeoyants.
"Se... bastian..." cherchant à me frotter à lui, tension nouée au corps.
"Vous n'êtes en aucune manière en position d'exiger quoi que ce soit de moi." raffermissant sa prise sur mes poignets. "Je vous l'offre simplement parce que j'y trouve mon compte." me rappelant clairement sa position d'entité surnaturelle, bloquant mes hanches des siennes. "Aaah... quelle partenaire insatiable je tiens là..." m'offrant un baiser renversant, faisant bourdonner nos sens.
Le jeune pyromane observe le mouvement hypnotique de la flamme, captivé.
Si petite... et pourtant si dévorante !... Il lui semble que l'appétit des flammes ne connaît aucune limite.
Il rêve d'un incendie immense qui ravagerait tout sur son passage et il en demeurerait le maître des flammes.
"Having fun ?..." questionne une voix au timbre chaud dans son dos.
Le jeune bourgeois se retourne d'un trait, avisant celui qui s'adresse à lui. Fort heureusement il ne s'agit que d'un majordome !...
"Cette flamme, vous aimeriez la voir grandir et tout dévaster, n'est-ce pas, Duc de Drancy ?"
Le noble écarquille les yeux. "Qu'allez-vous imaginer ?... Et qu'est-ce qui permet à un majordome de s'adresser ainsi à moi ?..."
"Vous vous trompez ; ce n'est pas le majordome qui s'adresse à vous mais bien l'expert du phénomène que vous vénérez."
Poisson ferré. La suite, à présent. Sebastian s'avance d'un pas, envahissant l'espace privé de son interlocuteur.
"Vous souhaiteriez y mettre le feu, n'est-ce pas, à ce manoir qui abrite tant de secrets ?... la trahison de votre mère avec ce palefrenier, le goût prononcé de votre père pour votre jeune sœur."
Les yeux s'écarquillent davantage en face, au grand délice du diable.
Les pupilles se fendent soudain, les iris irradient. Le diable est à l'œuvre.
"Comme je vous comprends... Un tel incendie purifierait toute cette évidente, répugnante souillure."
Sebastian est proche, bouche impie penchée sur l'oreille attentive. "Laissez-moi... appeler les flammes pour vous." levant la main gantées, donnant ordre à son élément de prédilection de redoubler de puissance, flammes vives commençant à ronger les rosiers qui ornent la façade de pierre, propageant sa puissance, provoquant un brasier véritablement suffoquant.
"Que... Comm... ent... avez-vous... Qui êtes-vous ?" s'étonne le jeune Duc.
"Il n'y a rien de plus classique pour un diable de majordome." sur un sourire tout à fait senti.
(*) Kuroshitsuji soundtrack
