Chapitre V : le début des dérapages
attention lémon :3
Depuis ce fameux baiser, plusieurs jours passèrent. Kaeya reprit les mission et Diluc continua ses journées types ; mais une chose était sure, ce baiser n'eut pas quitter leurs esprits. Ce fut telle une obsession.
Jean put voir kaeya dans ses pensées, ce dernier fit les missions et durant ses moments de pauses les paperasses sans râler. Du côté de diluc, ce fut ses collaborateurs et ses servants qui remarquèrent un changement chez lui ; il fut ailleurs la plupart du temps et fit les tâches sans s'en plaindre.
Point de vue Diluc :
Plusieurs jours furent passés depuis ce fameux baiser avec kaeya, un baiser dont je ne cessa d'y repenser.
Je revois encore cette scène dans ma tête : moi au-dessus de lui, nos lèvres l'une contre l'autre dans un baiser à la fois doux et passionné. Cette sensation de ses lèvres si douce et charnue contre les miennes, je m'en souviens encore comme si c'était le jour même. J'ai embrassé kaeya de mon propre chef, on ne m'a pas forcer, ni personne, ni l'alcool. Pour kaeya je me pose la question. Il était bourré, et s'il m'avait embrasser sous l'effet de l'alcool ? Et s'il était pas sincère dans son baiser ?
Je me posais plein de question, et cela juste à cause d'un baiser ; c'était plus fort que moi. Et le fait de ne pas l'avoir revu depuis n'aidait pas.
Je repense à ce que m'avait dit Jean, et j'y réfléchis sérieusement, assis sur la terrasse avec une boisson et des gâteaux.
Elle m'avait dit que je tenais plus à lui que je ne le pensais, elle avait peut-être raison ; ce baiser ne m'aurait pas fait un tel effet si cette hypothèse n'était pas véridique. Il restait plus qu'à définir à quel point je tenais à lui, comme un frère ou comme...un amant.
Les stocks étaient gérés par Ernest et les affaires viticoles par Elzer, j'avais donc un moment pour moi. Je me dirigea vers mon bar personnel, j'avais un cocktail à finaliser ; pour l'occasion j'avais récupérer des fleurs de brume proche de chez moi. Ce cocktail était un mélange d'un alcool fort servi glacé accompagné d'un jus de fleur de brume. Je testais ce mélange qui, au final, marchait très bien. J'avais trouvé le mélange parfait pour ce cocktail, il lui manquait plus qu'un nom. J'y réfléchis durant quelques minutes avant d'en trouver un ; le cold garden. Ce nom lui allait très bien, et le premier à le goûter sera kaeya, comme promis. J'espérais vraiment qu'il vienne au bar ce soir.
Il était 17h quand je partis pour la ville, et ainsi ouvrir le bar.
Point de vue de Kaeya :
Je me trouvais dans le bureau à faire de la paperasse, plein de rapports de missions et des demandes de missions. Je faisais les papiers sans me plaindre, l'esprit ailleurs tout en signant les papiers. Depuis ce fameux baiser, dont je me souvins très bien malgré mon état d'alcoolémie à ce moments-là, je n'arrêta pas d'y repenser. Je m'en souvins comme si c'était hier, la sensation de ses lèvres sur les miennes ; elles étaient si douce et charnue, et son souffle si chaud mélangé au mien. Je sentis des frissons me parcourir le corps à y repenser.
J'entendis la porte s'ouvrir et une voix me parler.
–Jean : kaeya, tu peux faire les papiers sérieusement s'il te plaît
–Kaeya : oui oui il soupire
–Jean : bon qu'est-ce qui t'arrive encore ? Quelque chose te perturbe ça se voit
–Kaeya : hum...
Sans m'en rendre compte, je commençais à parler comme diluc envers moi avant. Jean fit le rapprochement sans problème.
–Jean : tu parles comme diluc maintenant ? Laisse-moi deviner, ton souci concerne encore diluc
–Kaeya : oui...
On était seul dans la pièce, et elle m'avait déjà bien aider la dernière fois ; je pouvais donc lui dire ce qu'il se passait. Elle était comme une confidente envers moi, une amie sur qui compter. Je laissa de côté les papiers en soupirant, puis je croise mes mains ensemble sur le bureau.
–Kaeya : il y a quelque jours, je l'ai embrasser
Sur le coup de ma nouvelle, je vis la réaction de jean, elle était surprise. Elle me regarde et oublie les papiers pour le coup.
–Jean : tu l'as embrassé ? Pour de vrai ?
–Kaeya : oui
–Jean : d'accord je comprends mieux pourquoi ça te perturbe. Et il en pense quoi ?
–Kaeya : on ne s'est pas revu depuis...il doit penser que je l'ai fait sous le coup de l'alcool, c'est vrai que j'étais alcoolisé mais je savais ce que je faisais. J'en avais l'envie.
–Jean : donc j'avais bien raison.
–Kaeya : oui, je l'avoue
–Jean : tu devrais retourner le voir, il faut mettre les choses au clair. Je te donne ta soirée, fonce
–Kaeya : haha merci c'est gentil
Je souris à cette initiative de sa part, une soirée tranquille au bar je ne dirais pas non. Je quitta le QG pour me diriger vers le bar, il était tôt encore mais le bar allait ouvrir dans quelques minutes.
Point de vue de diluc :
Il était 18h passé quand je me dirigea vers le bar pour l'ouvrir, mais une présence devant me fit me figer sur place. Je vis kaeya, se tenant dos au mur à côté du bar.
Je m'approche de lui.
–Diluc : tiens kaeya, c'est rare de te voir avant l'ouverture
–Kaeya : oui, j'ai ma soirée
–Diluc : bien, je vais ouvrir le bar
Je sors les clés et ouvre le bar, kaeya me suivant derrière. Il entre à ma suite et s'installe sur un des siège devant le bar alors que je passais derrière le bar.
–Kaeya : alors...ce cocktail avance bien ?
–Diluc : il est fini, et tu seras le premier à le goûter, comme promis
–Kaeya : super il sourit
Sans attendre, je fis le cold garden. Il fut prêt en à peine quelques minutes. Je le tendis à kaeya qui le prit. Il le regarda avec attention.
–Kaeya: la couleur est belle...on dirait un lac gelé. Et l'odeur donne envie de le boire
–Diluc : c'était le but du cocktail
–Kaeya : il boit une gorgé hum...il est bon. Glacé comme j'aime et ce goût floral se marie vraiment bien avec l'alcool. Il se nomme comment ?
–Diluc : le cold garden.
–Kaeya : joli nom pour un joli cocktail. Bravo.
Kaeya me sourit, un sourire tendre sans espièglerie. Mon regard était fixés sur ses lèvres malgré moi, notre premier baiser me revenant en tête. Je détourne vite le regard, avant qu'il ne s'en rende compte, et je m'occupe dé vérifier les stocks au bar.
Il buvait lentement le cocktail, sûrement pour le déguster.
Le bar était à peine ouvert, les premiers clients entrent et s'installent dans la salle ; Charles arrivé après moi, s'occupa de prendre leurs commandes et de les réaliser.
J'avais quelques cocktails et verre de vin à servir, sinon la soirée débutait dans le calme ; je pus souffler un peu derrière le bar. Je ne savais pas pourquoi, mais je me sentais comme sur les nerfs, mon regard croisa un regard bleu profond et je compris la raison. C'était à cause de kaeya, il me rendait dans un état qui ne me ressemblait pas d'ordinaire. Je sentais que cette soirée allait être rude pour moi.
Je me concentra sur les commandes à réaliser.
Point de vue de Kaeya :
J'étais arrivé avant l'ouverture du bar, une première pour moi. Je vis diluc arrivé, comme prévu, ce dernier fut surpris de me voir si tôt à son bar. Je le suivi dans son bar dés la porte ouverte puis je m'installa au bar. Il me dit qu'il avait fini son cocktail qu'il me fit goûter dans les minutes suivante.
Je pouvais voir, devant mes yeux, diluc le réaliser. Il faisait des gestes si souples et précis, je n'avais jamais fait attention avant à sa manière d'être derrière le bar ; cependant, ce ne fut pas ses gestes que mon regard fixa. Sans que je puisse le contrôler, je regardais ses lèvres, notre premier baiser me revenant à l'esprit. Je n'avais jamais cesser d'y penser, c'était devenu comme une obsession. Je détourna vite le regard, avant qu'il ne s'en rende compte et qu'il me frappe sur le coup ; je devais penser à autre chose.
Je sirota le cocktail, en profitant un maximum. Ce cocktail, il était à la fois fort et doux, cet alcool givré se mariait à la perfection avec le goût floral des fleurs de brume, c'était sure qu'il avait utilisé ses fleurs. Je l'appréciai beaucoup, et encore plus son nom : le cold garden. Un si joli nom qui correspondait bien avec le cocktail.
Je vis les premiers clients arrivés. Charles et Diluc furent désormais débordés par les commandes, comme chaque soir.
Quelques minutes plus tard, j'étais toujours assis au niveau du bar, j'entendis une voix familière me parler. Je me tourne pour apercevoir rosalia, une jeune femme aux courbes généreuses, des cheveux court rougeâtre, des yeux dorés et une tenue de sœur de l'église. Je lui fis un signe avant de la voir venir s'asseoir à côté de moi.
–Rosalia : Kaeya, salut
–Kaeya : salut rosalia, ça faisait longtemps
–Rosalia : a ce qu'il paraît, tu as eu des soucis il y a quelques jours, ça va ?
–Kaeya : oui je vais mieux, j'ai guéri depuis un moment déjà il rit je suis solide voyons, rien ne m'arrête
Je fis mon fière, ce qui l'a fit rire sur le coup. Nous nous mîmes à discuter ensemble de tout et de rien. Elle me raconta comment ses derniers jours s'étaient passés, ce qui lui arriva et plein d'autres choses. A mon tour, je lui raconta les derniers jours que j'ai vécu ; cependant je ne lui parla pas de ce qu'il s'était passé entre moi et diluc, cela ne regardait que nous. C'est avec lui que je devais en parler. Durant cette soirée, l'ambiance étant à la fête, je la passa en compagnie de rosalia et de venti, ce dernier arrivé quelques heures après l'ouverture. Nous nous mîmes à une table tous les trois.
Il y avait deux bouteilles de vin sur notre table, nous buvons dans la bonne humeur. Je finis mon verre de vin avant de regarder discrètement dans une autre direction ; je regarda le bar. J'y vois diluc en train de servir des cocktails aux clients, je l'observe quelques minutes ; il était si séduisant derrière le bar. Sur le moment, je fus surpris de penser une telle chose. Ce fus la voix de venti qui me sortit de mes observations.
–Venti : kaeya tu es avec nous ?
–Kaeya : hein ? Oui désolé il sourit vous disiez ?
–Venti : on parlait d'amour il rit toi qui est populaire, tu dois bien avoir un crush en ce moment
–Rosalia : ça doit être sure même elle sourit amusé
–Kaeya : haha vous jouez les fouineurs c'est ça, qui vous dit que j'ai un crush
–Venti : tu es ailleurs depuis le début de la soirée, donc ça veux dire que tu penses à quelqu'un
–Rosalia : tu es rarement comme ça donc ça doit être une personne importante
–Kaeya : mais vous allez pas lâcher l'affaire c'est ça ? il rit
–Venti/rosalia : non
Je souris amusé, ses deux-là ne changeront jamais ; quand ils avaient une idée en tête, ils ne la lâchaient pas. Je détourne le regard et remplit de nouveau mon verre, je ne pouvais pas leur avouer qui était mon « crush », enfin si s'en était vraiment un. Mais je les connaissais très bien, ils allaient pas me lâcher sans que je leurs dise quelque chose.
–Kaeya : bon d'accord, j'ai quelqu'un en vue. Mais je ne peux pas et je ne vous direz pas c'est qui
–Rosalia : hum, alors décris la nous au moins
–Venti : oui cette personne est comment
–Kaeya : mon regard regarde vite fait diluc en coin c'est une personne unique au monde, elle a un sale caractère mais ça fait son charme, elle est doué en tout ce qu'elle entreprend
–Rosalia : he ben quelle description, cette personne est vraiment exceptionnelle alors
–Venti : je t'ai jamais entendu parler d'une personne comme ça il boit et rit qu'attends-tu pour tenter quelque chose avec elle, vu comment tu la décris, tu tiens vraiment à elle
–Rosalia : c'est vrai ça, tente quelque chose
–Kaeya : ce n'est pas si simple, elle est inaccessible et je suis même pas sure qu'elle veuille de moi
–Venti : qui ne voudrait pas de toi ? Tu es fort, doué et séduisant. Tu as beaucoup de succès en ville et dans les autres villes
–Kaeya : sauf que pour cette personne, ce n'est pas le plus important. Je vous l'ai dit elle est unique au monde et différente des autres
–Rosalia : bien on te croit. Ce qui est sure, c'est que tu es mordu de cette personne. Ne fait pas de bêtise avec elle, il faudrait pas tout faire rater.
–Kaeya : je ne comptes pas tout faire rater
Je bus mon verre de vin, sure de moi, pour rien au monde je voulais faire foirer ma relation avec diluc. Je continue de boire, modérément évidemment, tout le reste de la soirée. Venti partit en premier, avant la fermeture du bar, il ne restait plus que moi et rosalia.
L'heure de fermeture approchait, rosalia se lève à son tour.
–Rosalia : j'y vais, tu rentres avec moi ?
–Kaeya : non je reste encore un peu
–Rosalia : d'accord si tu veux, ne fait pas de bêtise
Elle me sourit puis partit du bar. Il restait une petite heure avant la fermeture du bar. Je posa ma tête entre mes bras et ferma les yeux quelques minutes. Je repensa à ce que les deux m'avaient dit. Tenter quelque chose ? Depuis ce fameux baiser je ne savais que faire, ni comment me comporter avec.
Une main se posant sur mon épaule, je lève ma tête. Mon regard tomba dans un regard rougeâtre profond et intense.
–Diluc : kaeya, on ferme.
Sur le coup, je fus surpris, j'étais sure qu'il restait une petite heure avant la fermeture, et je ne serais pas rester dans mes pensées aussi longtemps. Je continue de le regarder.
–Kaeya : tu ferme déjà ?
–Diluc : oui enfin, pas de suite, avant je dois faire les stocks, tout ranger et tout nettoyer
–Kaeya : je peux t'aider
Les mots étaient sortis tout seul de ma bouche, il me regarde surpris et semble réfléchir à ma proposition. Il prit sa décision quelques minutes plus tard.
–Diluc : c'est d'accord, tu n'as pas trop bu j'espère
–Kaeya : il sourit et le prouve en sautillant sur place non tu vois ? Je te donne la preuve
–Diluc : il rit sur le coup, puis se reprend bien allons y on a du boulot
Sans attendre, je suivis Diluc. En effet, nous avions plein de travail. Pour commencer, nous débarrassâmes les tables pour les laver ensuite, puis nous nous occupâmes du bar ; il y avait des verres à laver, des bouteilles à jeter et un comptoir à nettoyer. Je m'occupa de jeter les bouteilles vides pendant que diluc s'occupe de faire les stocks. Je finis puis je revins vers lui.
–Kaeya : c'est fait, en fait je te dois combien ce soir ?
–Diluc : tu me dois rien, ton ami rosalia a payer votre tournée
–Kaeya : ha bon ? Ça m'étonne d'elle. Tu veux de l'aide pour le bar ?
Diluc accepta mon aide avec plaisir, je lui passa les bouteilles à ranger quand soudainement nos mains rentrèrent en contact. On se regarde quelques minutes avant de continuer notre tâche. On avait finit de ranger, il restait plus que le comptoir. Il nettoya le comptoir avant de se stopper, il semblait dans ses pensées. Je l'appela mais sans réaction, je pris donc sa main dans le sienne et il réagit enfin. Nos regards se croisent.
–Diluc : hein ?
–Kaeya : ça va ?...tu sembles dans tes pensées
–Diluc : oui ça va
On se regarde puis nos mains ensemble, il fallait peut-être que je lâche sa main mais j'en avais pas envie. A contre cœur j'allais lâcher sa main quand je sentis ma main retenue par la sienne. Je pose mon regard dans le sien, on était seul. Une tension s'installa entre nous.
–Kaeya: diluc...à propos de...tu sais quoi
–Diluc : du baiser...
–Kaeya : oui...je voulais te dire...je savais ce que je faisais, je n'étais pas ivre
Je vis la surprise dans son regard, il ne lâcha pas mon regard ainsi que ma main ; je pouvais sentir une petite pression sur ma main.
–diluc : tu savais ce que tu faisais donc ?
–Kaeya : oui je le savais très bien
Nous nous regardâmes pendant quelques minutes avant qu'on se décroche l'un de l'autre. Il finit de nettoyer le comptoir puis quitta le derrière du bar. Je ne sais comment, on se rentra dedans ; ma main finit sur sa hanche pour le rattraper à temps, nos regards se rencontrent à nouveau. Il y eut, d'un coup, une tension entre nous et cette envie me reprit de nouveau. Nos regards l'un dans l'autre, on ne parlait pas ; nos deux visages se rapprochent l'un de l'autre jusqu'à que nos lèvres se touchent de nouveau.
Je l'embrassais à nouveau, il me répond, ses bras passant autour de mon cou. Je frémis à ce baiser passionné.
–kaeya : diluc...
–Diluc : chut
Il me fit taire d'un autre baiser, sa langue venant jouer avec la mienne ; je prolonge aussi le baiser. S'il voulait ça, je ne suis pas contre. On s'embrasse durant de longue minutes, sans s'en rendre compte on était contre le comptoir ; mes mains sur ses hanches et les siennes dans mes cheveux. On tomba à manque de souffle, mais cela nous empêcha pas de nous embrasser à de nombreuses reprises après.
Je passa, malgré moi, mes mains sous sa chemise, je crains qu'il me rejette mais il n'en fit rien. Il me donnait l'autorisation d'aller plus loin ? Je ne savais pas quoi penser sur le coup, mais je cherche pas à savoir. Je romps le baiser pour venir embrasser son cou et lui murmurer quelque chose.
–Kaeya : chez moi ou chez toi ?
–Diluc : humm le plus proche
Les choses étaient clair, ça serait chez moi. Il ferma le bar puis me suivi jusqu'à chez moi. J'habitais dans une petite maison dans la cité, à deux étages ; et oui j'avais les moyens. Dés arrivé, on s'embrasse de nouveau, nos souffles se mêlant l'un à l'autre ; on préférait ne pas parler. Je le plaque doucement contre le mur, nos langues jouant entre elles, nos vestes finissent sur le sol. Je romps le baiser pour embrasser son cou et l'y mordiller, des petits gémissement se faisant entendre de son côté, je me sentais devenir fou.
Ce qui arrivait était fou et inimaginable.
Nous nous regardons quelques minutes avant de nous embrasser à nouveau tout en se dirigeant vers ma chambre. Je l'y mène sans attendre. Nos lèvres l'une contre l'autre, je lui retire sa chemise et il fit de même avec mon haut ; nous nous retrouvons torse nu tous les deux, à s'embrasser comme des dingues. Je l'allonge sur le lit, me mettant au-dessus de lui et venir embrasser son cou ; il gémit doucement et passa ses doigts dans mes cheveux. Je descend mes baisers le long de son torse musclé avant d'arriver à son pantalon que j'enlève sans attendre, je reviens ensuite l'embrasser, ses lèvres si charnue et douce. Il me retire mon pantalon. Nous étions tous les deux en caleçon à présent.
Il vient embrasser mon cou chaudement et le mordille, nos derniers vêtements rejoignirent très vite les autres sur le sol. Nos corps nu chaud l'un contre l'autre, nous nous embrassons avec passion tout en caressant le corps de l'un et de l'autre. Je quitta ses lèvres pour embrasser chacune de ses cicatrices sur son torse, chacune avait une histoire, il en gémit doucement de plaisir. Je me dirigea ensuite vers son sexe dressé et chaud que je viens lécher sur la longueur tout en caressant ses fesses si rebondies. Ses gémissements m'encouragent à continuer. Je viens caresser, du bout des doigts, son antre avant d'y pénétrer un doigts ; un gémissement plus fort passant ses lèvres à ce moments-là. Je commence à le bouger dans un mouvement de vas et vient, avant d'en ajouter un deuxième ce qui lui arracha un autre gémissement.
–Diluc : hannn kaeya
–Kaeya : je dois te préparer sinon tu auras mal
–Diluc : humm d'accord continue
Je continue puis je rajoute un troisième doigts, mes doigts faisant un mouvement de ciseau en lui. Je viens jouer avec ses tétons que je lèche et mordille, diluc en gémissant de plaisir, il était si sexy que j'en devenais dingue.
Je retire mes doigts puis reviens l'embrasser avec passion tout en me positionnant bien ; il m'incita à venir en lui, vite, chose qu'il fallait pas me redire deux fois. Je le pénétra en douceur, tous deux on en gémit de plaisir. C'était tellement bon.
Nous nous embrassons, je commence à bouger du bassin, des vas et vient doux au départ puis plus rapide. On gémit à l'unisson, mes mains allant sur ses hanches et les caressant sensuellement tout en y prenant appui pour mes vas et vient. Il avait un corps parfait à mes yeux. Nos deux bassins bougeant l'un avec l'autre dans des mouvements rapides et nos gémissements remplissant la chambre, je quitte ses lèvres pour embrasser et mordiller son cou. Je lui laisse des marques au passage, des petites pour pas qu'elles ne se voient pas. Il en gémit de plaisir.
–Diluc : hann kaeya, je t'interdis de me marquer trop
–Kaeya : je t'en fait juste des petites ne t'en fait pas
–Diluc : hann continue
Rien que le fait de l'entendre gémir et me dire ce genre de chose me rendait encore plus dingue, j'allai plus vite dans mes vas et vient, je voulais l'entendre crier de plaisir. Un bruit que j'entendis les minutes qui suivirent. Le lit bougeait beaucoup sous notre activé actuelle.
Au bout de quelques minutes, je me stoppa et me retira de lui, il ne comprit pas ce que je faisais et en ralâ sur le coup ; je viens lui susurrer à l'oreille.
–Kaeya : on change de position, mets-toi à quatre pattes
–Diluc : alors toi
Il s'exécute sans attendre, je savais qu'il ne le faisait pas intentionnellement, mais il le fit d'une manière sexy. Je revins me positionner derrière lui avant de le pénétrer à nouveau, un râle de plaisir venant de nous deux. J'agrippe ses hanches et bouge du bassin avec des mouvements passionné et puissant. Cette position me permettait d'aller plus profondément en lui et de toucher son point G. Il se tenait au drap tout en gémissant sous mes coups de reins, je râle de plaisir tellement que ce fut bon. Je viens prendre en main son sexe pour y appliquer des mouvements de vas et vient, mon pousse caressant son gland en même temps. Il en gémit de plaisir plus fortement, je sentis bientôt la jouissance venir.
J'embrasse son cou et lui susurre à l'oreille.
–Kaeya : hann je vais venir
–Diluc : hummm moi aussi
Nous nous mîmes d'accord pour jouir en même temps. J'accélère d'autant plus la vitesse de mes vas et vient, nos forts gémissement remplissant la chambre ; le moment de jouissance vint. Nous jouîmes ensemble, ma semence le remplissant tant qu''il vint sur les draps. Nos souffles étaient saccadés et nous reprenons notre souffle.
Je me retire de lui après quelques minutes pour ensuite m'allonger sur le drap. Je n'en revenais pas, je venais de faire l'amour avec diluc. Je regarde ensuite l'état des draps, ce qui me fit rire.
–Kaeya : on est bon pour changer les draps ?
–Diluc : hum en effet
Je porte mon attention sur lui par la suite. Avec ce que nous venions de faire, la question allait se poser. Quel rapport il existerait entre nous à présent ? Il fallait en parler.
–Kaeya : diluc ? Tu ne vas pas me frapper si je te pose une question ?
–Diluc : il est surpris de ma question te frapper ? Non sinon je t'aurais frapper au bar déjà
–Kaeya : avec ce que nous venons de faire, notre relation...elle est ou ?
–Diluc : hum
Suite à ma question, je le vis réfléchir quelques minutes avant de me regarder, son regard rougeâtre dans le mien. Je n'y voyait ni haine, ni animosité.
–Diluc : on est clairement pas frère toi et moi, j'en suis sûre maintenant. Et si nous le sommes pas, il reste qu'une chose...amant
–Kaeya : amant ?
–Diluc : oui, c'est dure à avouer mais tu me fais de l'effet kaeya. Notre premier baiser m'a hanté durant des jours, je n'arrêtais pas d'y penser. Et t'avoir dans mon bar, je n'arrive pas à rester concentrer. Donc oui on es peut-être des amants toi et moi. Sauf si tu ne ressens pas la même chose...
–Kaeya : je ressens la même chose diluc. La première fois, je t'ai embrassé car j'en avais envie et non sous l'effet de l'alcool comme je te l'ai déjà dit ; et moi aussi ce baiser m'a obséder durant des jours. J'ai même demander conseil à Jean, c'est pour dire.
–Diluc : tu as demandé conseil à Jean ? surpris puis en rit
–Kaeya : pourquoi tu ris ?
–Diluc : j'ai aussi parler avec Jean de mes soucis. On va pouvoir lui dire merci alors. C'est grâce à elle qu'on en est arrivé là
Suite aux paroles de diluc, je ne pus m'empêcher d'en rire. En effet, on lui doit beaucoup. Je m'approche de lui et vient l'embrasser, ses lèvres je pourrai en devenir accro ; il répond à mon baiser, nos langue venant jouer entre elle. On romps le baiser à court d'air, et on se regarde.
–Diluc : donc que veux-tu kaeya ?
–Kaeya : je veux...être ton amant diluc
–Diluc : bien mais on est discret, je voudrais pas que des mauvais commentaires viennent nous atteindre
–Kaeya : cela me va
Nous nous sourions entre nous. On était d'accord sur le règles. Je viens changer le drap avant qu'on se rallonge, mon bras passé autour de sa taille pour l'avoir proche de moi. Nous nous laissâmes aller au sommeil.
