Le soleil se leva sur la cité et les habitants commencent leurs journées. Du côté des deux amants, Diluc se réveille en premier.

Point de vue de Diluc :

Les rayons du soleil venant me caresser le visage, j'ouvris les yeux. Je sentis la sensation de deux bras autour de ma taille, et je souris en comprenant et en me rappelant la soirée d'hier. C'est vrai qu'hier, moi et kaeya nous avons coucher ensemble. Je ne voulais pas le réveiller, je me tourne alors vers lui en douceur pour le regarder. Il dormait tranquillement, un air paisible sur le visage. Je remis en place une de ses mèches de cheveux rebelles, dont je croise ensuite un regard bleuté profond. Il venait de se réveiller, il me sourit avec un regard amusé.

–Kaeya : tu as une drôle de façon de réveiller les gens

–Diluc : je ne voulais pas te réveiller, au contraire

–Kaeya : je le savais, je te taquine juste

Il me sourit, toujours avec ce regard amusé mais aussi avec une lueur de douceur ; je lui donne une petite tape gentille sur l'épaule.

–Diluc : idiot. Bon allez on se lève et on déjeune ? Tu as de quoi cuisiner chez toi j'espère.

–Kaeya : oui j'ai fait les courses il y a quelques jours.

Dés que je me leva du lit, je sentis une petite douleur au niveau de mes reins, j'en grimace un peu. Il n'y était pas allé de main morte ce salaud. J'entendis qu'il en rit, je lui lança un regard noir par la suite. Nous allons ensuite, une fois habillés, dans la cuisine. Il regarde ce qu'il y avait et ce qu'il pourrait faire pour le déjeuner. Je m'assois sur une chaise en attendant, vu l'état de mes reins cela me faisait du bien.

–Diluc : alors une idée de quoi faire ?

–Kaeya : alors je peux te faire des œufs brouillé avec du bacon, ou un truc plus consistant si tu le souhaite

–Diluc : la première proposition me suffit

–Kaeya : bien il se met à cuisiner pas trop mal ?

–Diluc : si, j'ai les reins en feu. Tu as pas intérêt à t'en moquer sinon je te frappe

Il ne rit pas et, laissant le tout cuir à feu doux, il vint vers moi pour m'embrasser ; je réponds au baiser, ses lèvres je pourrai en devenir accro.

–Kaeya : je n'allais pas m'en moquer, on va trouver un soin pour soulager ta douleur

–Diluc : hors de question d'aller voir l'église, ils vont se poser des questions. Pourquoi j'ai mal au reins, qu'est-ce que j'ai fait pour avoir mal...ect.

–Kaeya : bien on fait comment du coup ?

–Diluc : du repos et de la pommade, ça devrait suffire.

–Kaeya : d'accord

Il sentis soudainement que les œufs et le bacon étaient cuits comme il fallait, il revient en cuisine et finit le tout. Tout fut posés sur la table et nous pûmes enfin manger.

Le repas se déroula dans une bonne ambiance, calme et joyeuse ; nous discutâmes de tout et de rien. Il me dit qu'il allait sûrement voir s'il avait des missions à effectuer aujourd'hui, autre que de la paperasse, puis qu'il viendrait à coup sure au bar ce soir, comme à son habitude. Moi, de mon côté, je lui dis ma journée, j'avais une réunion avec des futurs collaborateurs qui se sont déplacés exprès, puis je devais comme tous les fins d'après-midi préparer l'ouverture du bar.

Le temps passa vite, il était temps pour moi de repartir de chez lui, on s'échangea un baiser puis je partis de chez lui. Je marchais bizarrement, mais j'essayais de marcher le plus normalement possible, pour ne pas éveiller les soupçons.

Je rentre chez moi, le début d'après-midi avait déjà commencer. Adeline, comme à son habitude avec les autres servantes, m'accueille le sourire aux lèvres. Je leurs rendis le sourire avant de monter dans ma chambre, je devais prendre une bonne douche avant de me préparer pour la réunion. L'eau chaude ruisselant le long de mon corps me faisait un bien fou, la douleur au niveau de mes reins était un peu atténuée. Une fois sorti de la douche et en train de me sécher, je me regarde dans le miroir, je remarque sans attendre les suçons et traces de morsure dans mon cou, que ce soit devant ou derrière ; il ne m'avait pas rater à ce niveau là non plus. Cependant, je ne l'avais pas rater non plus, il en avait plein le cou, parsemés par endroit.

Je m'habillai d'une tenue professionnelle, une chemise noir boutonné jusqu'en haut pour cacher les marques et un pantalon sombre. J'attachai mes cheveux d'une queue de cheval basse, comme à mon habitude, après les avoir sécher et peigner.

Il était 14h passé quand mes invités arrivèrent. Un homme de grande taille, brun aux yeux vert, entre 20 et 25 ans ; il était accompagné par un jeune homme blond aux yeux marron, dans la vingtaine. Adeline avait préparer la table de réunion avec tout ce qui fallait, mes collaborateur elzer et ernest étaient aussi présent à mes côtés. La réunion put commencer.

–Diluc : déjà, bienvenue à Mondstadt. Je me présente, Diluc ragnvindr, maître du domaine de l'aurore.

–Homme : enchanté monsieur ragnvindr. Je me nomme James Wilson et voici mon associé John Watson

–Diluc : enchanté de même. Je vous présente mes collaborateurs, Ernest mon gérant de stocks, et Elzer le présent de l'association viticole. Bien, et si nous discutons de ce futur partenariat ?

–James : oui parlons. Votre vin est connu au-delà des frontières de votre pays, on est intéressé dans un partenariat avec vous. On vendrait votre vin dans nos multiples commerces à notre nom

–Diluc : et de combien de commerces s'agirait-il ?

–John : nous avons une dizaine de commerces parsemés dans la région de Liyue.

–Diluc : Liyue, j'en es déjà entendu parler. C'est une région riche en produits divers. Un partenariat avec vous serez intéressant. Il faut se mettre d'accord sur le pourcentages des ventes.

–James : on ferait du 50/50, cela vous va t-il ? On se partagerait en part égale les bénéfices de chaque vente

–Diluc : il faut avant tout l'avis de mes collaborateurs aussi

–Elzer : cela me semble juste

–Ernest : je trouve cela juste

–James : bien, nous avons un accord alors

L'accord était passé, il restait plus qu'à signer le contrat. Elzer sort le contrat, un long papier relatant les termes du contrat. James signa le premier suivi de son associé, puis ce fut à notre tour. Je signe suivi de mes collaborateurs.

Le contrat était signé, un nouveau contrat de signé, c'était une bonne chose pour mon commerce. Les invités décidèrent de rester un peu en ville le temps de quelques jours, le temps de visiter la région, je leurs indiqua donc une auberge où loger.

Le soir vint rapidement, il était temps pour moi d'aller ouvrir mon bar ; j'espérais ne pas avoir trop mal aux reins pour bosser ce soir.

Point de vue Kaeya :

Diluc était parti en début d'après-midi, après le petit déjeuner. Nous avions déjeuner dans une bonne ambiance.

Une fois qu'il fut parti, j'allai prendre une douche avant d'aller au QG de l'ordre de favonius. Au passage, je vis devant le miroir les marque laissées par mon amant. Mon amant...j'arrivai toujours pas à y croire. J'étais l'amant de monsieur Diluc Ragnvindr.

Je m'habille de ma tenue habituelle, le col de mon haut cachant les suçons ; si je pouvais éviter de me faire attaquer de questions, je ne dirai pas non. Je me coiffa comme à mon habitude avant de partir pour le QG.

Le calme régnait au sein du QG, comme s'il y avait personne, ce que je trouva étonnant. Je vis un garde et j'allai lui parler.

–Kaeya : excuse moi aoûd, pourquoi est-ce si calme ?

–Aoûd : monsieur kaeya, c'est calme car tous les chevaliers, en partie, sont en mission

–Kaeya : bien, es-ce que Jean est là ?

–Aoûd : oui, elle est dans son bureau

–Kaeya : bien

Je me dirige vers son bureau et toqua, elle me dit d'entrer. Elle me sourit dés mon entrée.

–Jean : Kaeya ! Bonjour comment vas-tu ?

–Kaeya : bien, très bien même je sourit de toutes mes dents

–Jean : ho ce sourire...ça veux dire qu'il y a une bonne raison. Tu souris rarement comme ça pour une bonne raison

Suite aux mots de Jean, je préférais jouer le mystérieux et ne rien dire ; diluc voulait éviter les mauvaises rumeurs et j'avais été d'accord.

–Kaeya : hum peut-être que oui, peut-être que non

–Jean : elle comprend vite d'accord tu me diras rien c'est ça ?

–Kaeay : en effet c'est mon petit secret. Mais je t'en parlerais en temps voulu promis

–Jean : bien je serai patiente

–Kaeya : bien, y a t-il des missions pour moi aujourd'hui ?

–Jean : hum attend je regarde

Elle regarde un tas de feuille, il était assez petit, donc peu de mission. Elle lis rapidement dans sa tête chacune des feuilles avant de me regarder.

–Jean : oui nous avons quelques missions. Nous avons une ronde à faire dans un village non loin, il y eut il y a quelques jours des attaques de monstres. Tu peux y aller pour faire une ronde. A part cela, on a pas trop de mission en ce moment, la plupart des chevaliers sont allés s'occuper des autres missions

–Kaeya : d'accord je peux faire ça. Comptes sur moi

Je pris la feuille de mission et partis du bureau. Le lieu de mission n'était pas très loin, en quelques heures cette mission allait être régler, et tant mieux. Je me dirige vers le lieu de mission à pied, en marchant tranquillement, aucune raison de se presser ; c'était une mission tranquille. En à peine une heure de marche j'arrive au petit village, je commença donc ma mission. Je fit une ronde dans tout le village, interrogeant les habitant au passage pour savoir à quoi j'avais affaire. Voici le résumé de la situation : il y eut des brutocollinus, des brutoviandus et quelques mages de l'abîmes. Si jamais ils se montrent, j'aurai aucun mal à m'en débarrasser.

J'attendis moins d'une heure avant de voir rappliquer une petite bande de monstre, je m'arme de mon arme prêt à combattre.

Le brutoviandus armé d'un bouclier arrive vers moi en courant mais rate son cou, j'avais esquiver à temps. Je l'attaqua par derrière avec une attaque chargé puis des coups d'épée, au bout de trois coups d'épée il fut à terre. Je m'attaque ensuite aux petit groupe de brutocollinus pour m'attaquer ensuite au mage de l'abîme pyro. Je brise son bouclier avant de lui infliger des dégâts grâce à mon sort ultime de glace.

Il ne restait plus aucun monstre et les habitants étaient en sécurité. La mission était faite. Je fus remercier par les habitants dont un groupe de jeune femmes. Elles viennent vers moi. Je pouvais voir l'effet que je leurs faisais, mais j'étais déjà pris.

Je leurs sourit quand elles m'offrent des confiseries de la région.

–femme 1 : tenez c'est pour vous, des confiseries spécialités de notre région

–femme 2 : c'est pour vous remercier

–Kaeya : merci il sourit et les prends

–femme 1 : dites-nous, vous avez quelqu'un ?

–Kaeya : oui j'ai quelqu'un désolé

Suite à ma réponse, je pus voir que les deux jeunes femmes étaient déçues, mais elles sourirent avant de rentrer dans leurs maisons.

La mission était accomplie, je pouvais rentrer à la cité. Une heure de marche plus tard j'étais rentré et j'allais faire mon rapport à Jean.

Le reste de la journée de libre, j'avais du temps devant moi, je me décida donc à me promener. Je passa à côté d'une marchande de bijoux, elle s'appelait Shiliu. Je m'arrête devant elle et lui souris.

–Kaeya : bonjour Shiliu

–Shiliu : bonjour monsieur Kaeya elle sourit ravie de le voir

–Kaeya : quel bijoux tu as sous la main ? Je suis curieux de les voir

J'avais dans l'idée de trouver un bijoux pour diluc, ce n'était ni une fête des amoureux, ni son anniversaire, mais je voulais lui faire un cadeau. Elle me montre l'ensemble des bijoux qu'elle a sous la main. Elle avait des bijoux en tout genre, des bagues, des colliers, des bracelets et même des broches. Mais quoi prendre pour diluc, telle était la question. Lui prendre une bague serait trop précipité vu le début récent de notre relation, un bracelet ou une une broche il n'en porte pas ; mon regard allais sur les colliers donc. Je voulais un collier qui nous représente tous les deux. Je regarde quelques minutes chacun des colliers avant d'en voir un que je trouvais joli. C'était un collier composé d'une chaîne en argent et d'un pendentif sous la forme d'un cristal bleuté sur les bords et rougeâtre en son centre. Shiliu vit lequel je regardais avec tant d'insistance et sourit.

–Shiliu : ho très bon choix, ce collier est très populaire pour ses deux couleurs ensemble. C'est une très belle pierre qui a deux couleurs naturellement. Vous voulez celui-ci ?

–Kaeya : oui s'il-te-plais.

–Shiliu : C'est pour un cadeau ?

–Kaeya : oui, je te dois combien ?

–Shiliu : je te le fais à moitié prix, 250 moras. elle me fait un clin d'œil prends ça comme un avantage client.

–Kaeya : c'est gentil

Je sors ma bourse et paye la somme demandée, puis je pris le bijoux que la marchande me tend. J'espérais qu'il allait plaire à diluc, et qu'il allait pas paniquer. Je souris à la marchande, ravi de mon achat. Je regarde l'heure sur l'horloge de la grande place, le bar allait bientôt ouvrir. Je range dans ma poche le bijoux joliment emballé dans un beau tissu rouge, puis je pars en direction du bar.

Quand j'arrivai au bar après un arrêt obligatoire par chez moi pour me changer, il était ouvert depuis déjà plusieurs minutes. J'entre et vois Charles derrière le bar, mais je ne vis pas Diluc, mon regard regardant partout. Je m'approche du bar pour m'y asseoir sur l'un des sièges.

–Kaeya : bonjour charles

–Charles : bonjour Kaeya, que veux-tu boire ?

–Kaeya : un cold garden s'il-te-plais. Diluc n'est pas là ?

–Charles : si, il est dans la réserve

–Kaeya : bien.

Sur le coup, je ne laissais rien paraître mais j'étais soulagé de savoir où il était. Je touche instinctivement le sac en tissu dans ma poche, j'irai sûrement lui offrir après la soirée à l'heure de fermeture quand je serai seul avec lui. Charles me tend mon cocktail que je prends en main, et le sirote tranquillement.

Au bout de quelques minutes, la voix de diluc retentissant, diluc revint au bar. Il me vis et ne laissa rien paraître, cependant je pouvais percevoir dans son regard qu'il était ravi de me voir.

–Diluc : Charles on a assez de vin et d'alcool dans la réserve pour ce soir

–Charles : bien

–Diluc : il me regarde salut kaeya, on t'a déjà servi ?

–Kaeya : oui ce cocktail est vraiment bon

–Diluc : oui il est populaire parmi les clients

–Kaeya : je sourit amusé, prêt à le taquiner je me demande ce qui t'a inspiré pour le faire

–Diluc : ha ce mon cher Kaeya, c'est un secret

–Charles : il remarque le surnom et se doute de quelque chose mais ne dit rien, il sert les clients

Moi et diluc, comme à notre habitude pour garder secret notre relation, nous nous comportâmes comme d'habitude avec des petits changements. Je le taquinais comme toujours, et lui jouait le mec agacé de mes taquineries et m'ignorant par moment.

J'entendis la porte s'ouvrir et mes amis de beuveries arrivés, ce soir là rosalia et venti étaient présent. Je vis aussi Jean et Lisa arrivées ensemble, ce qui me fit rire. Et s'il se passait quelque chose entre elles ? Elles sont souvent fourrées ensemble ses deux-là.

Je fis signe à mes amis et on s'installa à une des tables du rez de chaussée pour y passer toute la soirée.

Point de vue de Diluc :

La soirée se déroula dans une ambiance de fête avec des moments de calme. Je servais les boissons au bar, tout en scrutant du regard, discrètement bien sure, vers la table où était assis une certaine personne. Je laissais paraître que j'allais bien alors que, à certains moments, la douleur au niveau des reins revenait en force. Le repos et la pommade n'avait pas suffit, il me faudrait plus d'une journée pour aller mieux.

Au milieu de la soirée, je vis entrer dans le bar mes nouveaux collaborateurs. Ils s'approchent et regarde le bar.

–James ; bonjour diluc

–Diluc : bonjour et bienvenue dans mon bar. Qu'est-ce que je vous sert ?

–James : on te laisse nous conseiller

–Diluc : bien si vous voulez un alcool léger, nous avons nos vins, sinon nous avons de multiples cocktail divers.

–James : partons sur un cocktail... il regarde la carte avec son associé John ho le cold garden à l'air bon et original

–Charles : il est très demandé celui-ci. Enchanté je m'appelle Charles, barman au service du cadeau de l'ange. Vous devez être nos nouveaux collaborateurs

–John : oui nous avons signer aujourd'hui

–Diluc : donc ça sera un cold garden et pour vous John ?

–John : je prendrai la même chose s'il-vous-plaît

–Diluc : bien

Comme demandé, je fis deux cold garden, puis je leurs tends à chacun leurs cocktail. Comme toutes les personnes qui le commande, ils l'observent puis le sentent, avant de le goûter. Je pouvais voir sur leurs visages qu'ils l'appréciaient.

–James : il est excellent. Vous faites vos propres cocktail ?

–Diluc : oui ça m'arrive quand j'ai l'inspiration. Celui-ci est de ma création.

–John : il est très bon, ce goût floral vient de quelle fleur ?

–Diluc : d'une fleur de brume

–James : étonnant choix mais aussi très astucieux. On est ravi d'avoir signer avec votre commerce

Suite à leurs compliments, moi et Charles on les remercie. Ils profitèrent de leurs cocktails tout en discutant entre eux et tout en observant l'ambiance du bar. Ils jugeaient à coup sure mon bar pour voir si le commerce marchait bien.

Je n'y fais pas forcément attention et je continue de servir les clients avec le sourire. Le reste de la soirée se déroula sans encombre. Je pus sentir un regard sur moi, je souris intérieurement tout en devinant de qui il s'agissait. Le regard d'une seule personne me faisait cet effet.

L'heure de fermer le bar venu, je pria gentiment aux clients de partir. Charles s'occupait de nettoyer les tables et de tout débarrasser, et mon côté je m'occupais du bar. Je vis kaeya à l'une des tables, la tête entre ses bras. Je fis signe à Charles qu'il pouvait partir et que je m'en occupais. Charles quitta le bar, nous laissant seul moi et Kaeya. Je vins vers lui et posa ma main sur son épaule.

–Diluc : kaeya ? Tu n'as pas trop bu j'espère

–Kaeya : il relève la tête, souriant non, je me reposais juste les yeux quelques minutes. Et puis je voulais être seul avec toi, j'ai quelque chose pour toi

–Diluc : quelque chose pour moi ?

Sur le coup, je le regarde avec un regard interrogatif. Je me demandais ce qu'il pouvait bien avoir pour moi. Je le vis sortir de sa poche un petit sachet fait d'un tissu rouge, puis il me le tendit. Je le pris et l'ouvris pour voir ce qu'il y avait dedans. J'y vis un collier magnifique, fait d'argent et d'un pendentif bleuté/rougeâtre. Sur le choc, je le regarde.

–Diluc : tu...tu es fou kaeya, il a dû te coûter cher

–Kaeya : le prix n'a pas d'importance. Il te plaît ?

–Diluc : oui il est magnifique...mais en quel occasion ? Ce n'est ni une fête spécifique ni mon anniversaire

–Kaeya : je voulais juste t'offrir un cadeau, pour fêter notre nouvelle relation. Un cadeau qui nous représente tous les deux

Je regarde de nouveau le collier et je me sentis touché de son cadeau. J'ouvre ma chemise et je met le collier sans attendre. Je ne pus m'empêcher d'en sourire de joie. Je vérifie qu'il y avait personne avant de venir l'embrasser ; il répond à mon baiser et me regarde.

–Kaeya : ravi qu'il te plaise. Tu fais quoi ce soir après le boulot ?

–Diluc : j'avais prévu de rentrer chez moi, mais si tu as autre chose à me proposer, je t'écoute

–Kaeya : oui de venir dormir chez moi, enfin si tu veux. Puisque chez toi ce n'est pas possible, ça serait pas du tout discret, il reste que chez moi

Suite à sa proposition, je réfléchis quelques minutes, il avait pas tord. Chez moi ce n'était pas possible, pas du tout discret. Je le regarde et sourit.

–Diluc : d'accord j'accepte, mais rien de sportif ce soir, j'ai encore mal aux reins par ta faute

–Kaeya : haha d'accord, on va prendre soin de tes reins ce soir

–Diluc : laisse-moi juste quelques minutes, je ferme le bar et on peut y aller

Je m'occupe de fermer le bar, puis je suivis kaeya jusqu'à chez lui ; il fallait quelques minutes de marche pour y arriver.

Dés arrivé, nous enlevâmes nos vestes chacun puis je m'installa sur le canapé, lui alla dans la cuisine.

–Kaeya : tu veux quelque chose à boire ou à manger ? Tu n'as pas mangé ce soir

–Diluc : je veux bien du jus de fruit et manger quelque chose

–Kaeya : bien je m'en charge

–Diluc : et si nous cuisinons ensemble ?

Il me regarde et me sourit en guise de réponses positive. Je viens le rejoindre et nous nous mettons à cuisiner. Au menu de ce soir : du poulet avec du riz accompagné d'un sauce gourmande au champignon. Je m'occupe de la sauce pendant qu'il s'occupe de la viande.

–Kaeya : en fait, tu as prévenu tes serviteurs que tu ne rentrais pas dormir ? Ils vont s'inquiéter

–Diluc : je le fais après

–Kaeya : bien

Nous finîmes de cuisiner, puis j'allai écrire un message pour le domaine de l'aurore ; le message fut envoyé à l'aide d'un oiseau messager. Je rejoins ensuite mon amant dans la salle à manger, le repas posé sur la table. Il me sourit, il semblait heureux de m'avoir chez lui ce soir.

– Kaeya : à table

–Diluc : je souris on va se régaler

Pour moi aussi, je me sentais serein et heureux d'être avec lui, j'en était encore étonné. Nous mangeâmes tout en parlant, la discussion fluide entre nous.

Après le repas, nous nous posâmes sur le canapé, il passe son bras autour de moi ; je le regarde, je le sentais pensif.

–Diluc : ça va kaeya, tu es pensif je le sens

–Kaeya : oui désolé

–Diluc : tu penses à quoi ? Dis-moi

–Kaeya : diluc

Soudainement, il me regarde avec un regard tellement sérieux que je ne sus pas comment réagir.

–Kaeya : je sais que notre relation commence à peine, mais je tiens vraiment à toi, je le sais. J'avais si peur que tu prennes peur face à mon cadeau, que ça aille trop vite pour toi. Je suis prêt à prendre mon temps si c'est ce que tu souhaite

–Diluc : kaeya... je soupire puis je souris tu t'inquiètes pour rien. Tu sais je ne couche pas avec n'importe qui. Je couche avec des personnes envers qui je ressens des choses, auxquelles je tiens. J'ai accepter ton cadeau car il m'a fait plaisir. Donc je te rassure, tu n'as pas à t'inquiéter pour ça.

Je lui souris avec sincérité, il vient jouer avec mon pendentif avant de me sourire. Il vient m'embrasser, un baiser auquel je réponds avec tendresse. Je le sens caresser ma joue puis sa main descend vers mes hanches. Je sourit amusé et mordille sa lèvre.

–Diluc : kaeya, je te vois venir, mes pauvres reins s'en souviennent encore, pas ce soir

–Kaeya : ho mais j'avais pas l'intention de faire quoi que ce soit il sourit amusé je voulais prendre soin de toi, j'ai des soins pour tes douleurs si tu le souhaites

–Diluc : d'accord

Sans attendre, il alla chercher les soins en question et revint quelques minutes plus tard, c'était une sorte de pommade. Je me déshabille en haut puis m'allonge sur le canapé pour qu'il puisse me l'appliquer. Je pouvais sentir ses mains douces et expertes sur mes reins, il me fit des petits massages agréable. Ça me faisait du bien, je sentis déjà la douleur au niveau de mes reins partir ; j'en soupire de soulagement.

–Kaeya : tu te sens mieux ?

–Diluc : oui ça va mieux, tu l'as eu où ce soin miracle ? La pommade chez moi ne faisait pas autant d'effet

–Kaeya : c'est rosalia qui me l'a donner

–Diluc : kaeya...tu lui as pas dit des choses bizarre j'espère, tu connais les règles qu'on s'est imposés

–Kaeya : je te promets que non, je lui ai dit qu'un vieil homme avait mal aux reins à cause de l'âge dans un village que j'ai visité, que c'était une requête de sa part. Elle a gobée l'histoire et m'a passer le soin hehe

–Diluc : bien il sourit amusé

Dès qu'il eut fini, je relève et me rhabille de ma chemise. Je m'assieds de nouveau à ses côtés, son bras passant autour de mes épaules pour me rapprocher de lui. Je souris et nous passâmes le reste de la soirée ainsi, à discuter et à s'embrasser.

Point de vue de Kaeya :

Le matin suivant, les rayons du soleil traversant les volets de la chambre, je m'étais levé en premier pour préparer le déjeuner. Diluc dormais encore, pour une fois que je me levais en premier, c'était rare.

Pour ce petit déjeuner, j'avais prévu la veille de préparer du poisson du chou en salade ; un petit déjeuner copieux et sain pour le corps. Je cuisine en chantonnant au passage, puis j'entendis des pas venir vers moi. Je souris en voyant diluc torse nu, à peine réveillé et baillant légèrement.

–Kaeya : bonjour

–Diluc : bonjour, tu es levé depuis combien de temps ?

–Kaeya : environs une heure, j'ai préparer le déjeuner. Du poisson avec du chou en salade, j'espère que tu aimeras

–Diluc : oui tu sais bien que ta cuisine est bonne, même si je ne l'ai jamais avouer jusqu'à présent

–Kaeya : haha tu l'avoue enfin

Il rit légèrement avant de mettre la table, j'apporte le déjeuner à table sans attendre. Nous nous mîmes à table et nous mangeâmes.

Le reste de la journée se déroula de deux façons différentes, comme d'habitude. Diluc repartit de chez moi en début d'après-midi, on s'était promis de remettre ça dans la semaine.

Point de vue général :

Quelques jours passa, des jours se ressemblant. Diluc gérait son affaire, dont les nouveaux collaborateurs avait agrandi son commerce, un événement dont son amant était ravi pour lui. Kaeya, de son côté, effectuait des missions, faisait des rondes ou faisait de la paperasse au bureau ; le soir il allait au bar se détendre avec ses amis, mais aussi pour voir son amant.

Un soir comme les autres, la soirée ne fut cependant pas comme d'habitude.

Point de vue de Kaeya :

Comme la plupart des soirs, je venais au bar. À ce rythme, j'étais depuis des années, un client habituel maintenant. Je lança un regard discret à mon amant avec un petit sourire en coin, un sourire qu'il me rendit en toute discrétion. Je vis mes amis déjà présent à une des tables, je les rejoins.

–Kaeya : salit les amis

–Rosalia : salut kaeya, tu es en retard pour une fois, tu fichais quoi ?

–Kaeya : j'ai dû régler des soucis. Je suis là maintenant

–Venti : alors comment va les affaires au QG de l'ordre ?

–Kaeya : la routine, tout va bien. Et vous les affaires ? Enfin la question se pose plus à rosalia, car toi venti tu ne fous rien de tes journées

–Venti : hey c'est faux, je propage mon art à travers tout le pays fière de on art de barde

–Kaeya : haha oui si tu le dis

–Rosalia : les affaires de l'église vont bien aussi, la routine

Nous nous regardâmes et nous rîmes ensemble. On passait toujours de bonne soirée entre amis de beuverie. A un moment, je sentis rosalia ailleurs, son regard fixé dans une autre direction.

–Kaeya : rosalia, ça ne va pas ?

–Rosalia : regardez au bar, je crois bien que diluc se fait draguer par une jeune femme

–Venti : il est populaire lui aussi même s'il est secret sur ses relations. Je suis même pas sure qu'il en est.

Suite aux paroles de rosalia, je regarde au bar, et en effet une jeune femme draguait diluc. C'était une jeune femme au long cheveux blond bouclé, des formes harmonieuse et des yeux marrons, il me semblait. Elle était souriante envers lui et alla même jusqu'à toucher son bras quand il lui servit un cocktail. Sur le moment et face à cette vue, je sentis un drôle de sentiment monter en moi. Un sentiment que, jusque là, je n'avais jamais éprouvé. Je voulais réduire à néant cette jeune femme, je voulais qu'elle ne touche plus ainsi mon diluc. Oui, mon diluc car j'étais avec lui en secret.

Rosalia sentit que j'étais sur les nerfs et passa sa main devant mon visage pour me faire réagir. Je réagis enfin et la regarde.

–Kaeya : oui ?

–Rosalia : tu es sur les nerfs d'un coup, ça va ?

–Kaeya : oui oui ça va, mais cette fille devrait abandonner. Ça ne risque pas de marcher

–Venti : il fut intrigué sur le coup et pourquoi ? Il est célibataire d'après ce que je sais, et il est populaire

–Kaeya : hum... « ça m'énerve ! »

Je ne pouvais m'empêcher d'être sur les nerfs, ça m'énervais de voir une telle situation. Je bus d'une traite mon verre de vin, puis je regarde ailleurs sinon j'allais exploser de rage.

Point de vue général :

Kaeya, sur le coup eu un drôle de comportement, comme si cette vue l'agacer au plus haut point.

De leurs côtés, Rosalia et Venti se regarde, ils trouvaient le comportement de leur ami étrange. Pourquoi ça le mettait à ce point sur les nerfs ? Ils savaient que kaeya tenait à diluc, son comportement envers lui en a toujours été la preuve, mais à ce point ils ne savaient pas. Vu de l'extérieur, on aurait dit de la jalousie.

De son côté, Diluc était mal à l'aise de la situation. Cette jeune femme était un petit peu trop proche de lui, alors qu'il lui servait juste un cocktail. Il ne savait pas pourquoi, mais elle en avait après lui ; mais lui il ne la voulait pas. Il garda son sang froid et sourit à cette dernière, il était temps de mettre fin à cette drague.

–Diluc : excusez moi demoiselle ?

–?: oui beau gosse ?

–Diluc : s'il-vous-plaît, arrêtez ce manège. Je ne suis pas intéressé.

–?: ha bon ?...tu as quelqu'un alors ?

–Diluc : ma vie privé ne vous regarde pas

–?: bon tant pis alors elle soupire et abandonne

Diluc était soulagé qu'elle arrête, ce manège le rendait mal. Il regarde en direction de la table de son amant, et vit ce dernier faire la tête. Sur le moment, il ne comprit pas pourquoi il était soudainement comme ça, peut-être un mauvais moment avec ses amis ; mais pourtant ça se passait toujours bien entre eux. Il trouva le comportement de son amant encore plus étrange, mais il allait régler ce souci plus tard, il y avait des clients à gérer.

Point de vue de Diluc :

La fin de soirée arriva vite, j'avais servi les clients toute la soirée, sans prendre en compte, bien sure, cette jeune femme lourde à la drague.

Je soupire de soulagement quand la soirée était finie, je pouvais souffler enfin. Les clients partent les uns après les autres, tous sauf kaeya, avachi sur la table. Avec tout ce qu'il avait bu, j'étais sure cette fois qu'il ne se reposait pas, il était bourré. Je soupire et m'approche de lui pour toucher son épaule légèrement. Il râla et leva la tête.

–Kaeya : hum non encore un verre

–Diluc : kaeya ça suffi tu as suffisamment bu, je ne te servirais pas de verre de plus

–Kaeya : aller...

–Diluc : non c'est non je soupire aller, je vais t'aider à rentrer. Charles tu peux fermer à ma place ?

–Charles : oui je peux, occupe toi de kaeya, il est bien bourré, il a bu pas mal de vin ce soir. Et pour sa note ?

–Diluc : je m'en charge.

Charles ferma la bar pendant que, un bras en-dessous du sien pour le soutenir, je le ramène chez lui ; sans me rendre compte un regard sur nous.

Je marche tranquillement avec lui, je connaissais le chemin jusqu'à chez lui par cœur, à force d'y aller. Je pris les clés dans sa poche, ouvrit la porte et entra avec lui. Je le posa sur le canapé et alla chercher un verre d'eau dans la cuisine.

–Diluc : bon sang, je t'ai déjà vu bourré mais qu'est-ce qui t'a prit.

Je venais de lui poser une question indirecte, sans réponse. Je revins vers lui, posa le verre d'eau sur la table et prit sa main dans la mienne.

–Diluc : hey kaeya...réponds-moi bon sang

–Kaeya : hum...cette fille c'était qui ?

Sur le moment, je fus surpris de la question. Il avait donc vu la scène. Soudainement, une idée me vint en tête, une raison de son comportement ; mais ça ne pouvait être cela.

–Kaeya : elle semblait bien proche de toi je trouve

–Diluc : c'était personne, elle me draguait mais je l'ai vite refroidi...kaeya...ne me dis pas que tu étais jaloux ?

–Kaeya : il me regarde et si je l'étais ?

–Diluc : kaeya

Je soupire légèrement puis vient l'embrasser, je mordille sa lèvre et il répond à mon baiser, ses bras passant autour de mes hanches pour me coller à lui. On s'embrasse durant plusieurs minutes, nos langues jouant ensemble. On rompe le baiser et je le regarde avec un sourire.

–Diluc : tu n'as pas à être jaloux, tu sais bien que j'ai que toi en vue

–Kaeya : oui je sais mais je n'aime pas voir des gens te tourner autour, c'est plus fort que moi

–Diluc : haha oui je te connais par cœur, je trouve ça...mignon et sexy

–Kaeya : ha oui ?

Il me regarde avec une lueur chaude dans le regard, je le connaissais sur le bout des doigts ce regard ; sans m'en rendre compte j'avais le même. Le voir si jaloux, et je l'avoue, m'a excité. Je viens embrasser son cou chaudement, mordillant sa peau par moment ; il en gémit de plaisir. Je viens lui susurrer.

–Diluc : et si je gérais cette fois ?

–Kaeya : hum cette idée me plaît, vient

Je ne le fis pas répéter deux fois, je viens l'embrasser tout en retirant son haut ; il en fit de même avec le mien. Je l'allongea sur le canapé avant de venir l'embrasser. On s'embrasse, nos langues jouant ensemble et nos souffle mêlés l'un à l'autre. Je caresse son torse sensuellement, m'attardant sur ses tétons que je m'amuse à caresser ; il gémit dans le baiser. Je lâche ses lèvres pour embrasser son cou, avant de descendre le long de son torse. Je lèche et mordille ses tétons pour le faire gémir, un but réussi.

Je pouvais sentir son sexe grossir sous son pantalon devenu trop étroit selon moi. Je le regarde.

–Diluc : pas trop à l'étroit mon cher ?

–Kaeya : si je l'avoue hum

Je souris et me débarrassai de son pantalon puis je baissai son boxer pour voir son sexe en érection. Je viens lécher son sexe sur la longueur, puis sucer son gland, des gémissements passant ses lèvres. Je continue ma douce torture avant de le prendre entre mes lèvres, je commença des vas et vient buccale doux puis plus rapide. Il en gémit de plaisir, ses mains venant dans mes cheveux pour accompagner le mouvement. Je le suça durant plusieurs minutes tout en venant caresser du bout des doigts son antre, je pénétrai un premier doigt en lui ; un geste qui lui arracha un gémissement. Je bouge mon doigt dans des mouvements de vas et vient, avant d'en rajouter un deuxième puis un troisième, ses gémissements m'encourageant à continuer.

–Kaeya : hannn diluc, tu me rends fou

–Diluc : c'est le but

Au bout de plusieurs minutes, je retire mes doigts puis j'enlève mes dernier vêtement, mon sexe en érection prêt à lui donner du plaisir. Je reviens l'embrasser avec tendresse avant de le pénétrer en douceur. On gémit tous les deux à cette sensation. J'entre de toute ma longueur, embrassant son cou chaudement puis je commence à bouger du bassin en lui. Il était si chaud en lui, j'en devenais dingue.

Je bouge dans des mouvements de vas et vient doux puis plus rapide, mes mains sur ses hanches pour le prendre profondément ; ses jambes s'enroulent autour de mes hanches et son bassin accompagne le mien dans ses mouvements. Il gémit sous moi, ses joue rosies par le plaisir et son regard chaud dans le mien ; le voir dans cet état me faisait un tel effet. Je vient mordiller son cou et bouge du bassin plus rapidement, je touchais le fond à chaque coup de bassin et trouva son point G. Il en cria de plaisir et se tient au canapé.

–Kaeya : hannnn oui là !

–Diluc : là ? je retouche son point G avec mon sexe chaud, long et gros

–Kaeya : ahhh humm ! Diluc hannn !

Je mordille son cou et y laisse des suçons. Au bout d'un moment à le prendre fortement, je me retire d'un coup, ce qui le rend râleur. Il me regarde avec un regard interrogateur, je l'embrasse et vient lui susurrer.

–Diluc : vient, suis-moi et laisse toi faire

Je le fait se relever et le mène dans la cuisine, je le plaque doucement contre le comptoir de la cuisine et l'embrasse avec passion. Je frotte mon gland contre son antre, entre puis sort, et cela plusieurs fois. Il en gémit de plaisir et me supplie du regard, il 'écarte les jambes d'avantage et écarte les lèvres de son antre devant moi.

–Kaeya : hann vient me prendre avec ton gros sexe je t'en supplie diluc

Je ne le fis pas répéter deux fois, je soulève ses jambes pour les maintenir sur mes bras alors que je tenais fermement ses hanches. Je revient avec force et d'un coup sec le pénétra, dans cette position j'arrivais tellement à le pénétrer profondément, c'était tellement bon. Je bouge du bassin avec force sous ses forts gémissements, voire ses cris de plaisir ; je gémit fortement à l'unisson avec lui. Il se tenait à mon cou, les bras autour de son mon cou, il vient m'embrasser avec passion et nos langues jouent ensemble.

–Kaeya : hannn oui encore

–Diluc : hummm

–Kaeya : hum han trop bon !

–Diluc : mordille ses lèvres puis vient mordiller son cou hann je vais te remplir, tellement que ça va déborder

–Kaeya : hannn oui remplie moi

Au bout d'un moment je me sentis venir, j'embrasse son cou et vient caresser dans des mouvements rapide son sexe en même temps ; il en gémit d'avantage. Après quelques coups de reins puissant et profond, je jouis et le remplie de ma semence. Je râla de plaisir à ce moment-là, il jouit aussi entre nous dans un dernier cri de plaisir. Nous reprenons notre souffle et embrassons avec tendresse. Ce fut tellement bon.

Je me retire de lui au bout de plusieurs minutes, ma semence coulait le long de ses cuisses ; je l'avais vraiment remplie jusqu'à que cela déborde. J'en ris, il me regarde et prend ma main.

–Kaeya : haha au lieu de rire, allons prendre un bain, on en a bien besoin

–Diluc : oui bonne idée

Nous allons dans la salle de bain, fîmes coulés l'eau et allâmes dans l'eau. Je me trouvais entre ses jambes, dos à lui et ses bras autour de moi, il m'embrassait le cou tendrement.

–Kaeya : tu as oublié de prévenir tes servantes

–Diluc : hum pas besoin, ils savent que certains soir je m'absente. Je crois qu'ils se doutent de quelque chose

–Kaeya : diluc, je sais que tu veux prendre ton temps, mais au bout d'un moment on sera obligé de révéler notre relation

–Diluc : il réfléchit hum...je suis d'accord on devra officialisé

–Kaeya : c'est vrai tu es d'accord ?

–Diluc : le regarde oui c'est vrai, peu importe ce que les gens diront sur nous, ce qui compte c'est nous

–Kaeya : oui c'est nous embrasse son cou tendrement

Nous profitâmes du bain pendant moins d'une heure, puis nous le quittâmes pour nous habiller. Le soleil était couchés depuis des heures déjà, l'heure du coucher arriva. Allongé à côté de mon amant, ce dernier vient enrouler ses bras autour de mes hanches et me colle à lui ; je souris et je me blotti d'avantage contre lui. J'avais garder le collier depuis qu'il me l'avait offert, il s'amuse un peu avec.

–Kaeya : tu ne le lâche plus depuis

–Diluc : non il résiste à l'eau, et pourquoi je l'enlèverais, tu me l'as offert

–Kaeya : oui et je suis ravi que tu aimes le porter

–Diluc : oui

Nous nous sourîmes puis, après quelques baisers, nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre.