Lorsque Momonga passa la porte de la salle du trône, tous les gardiens se turent et se mirent en rang avant de saluer. Il s'assit puis leur ordonna de lever la tête.
- Seigneur Momonga, commença Shalltear avec un sourire en coin, votre nuit était-elle agréable ?
- Commentaire oses-tu ? Dit Albedo, très vite arrêtée par la réponse amusante de Momonga.
- Plus que je ne l'aurais imaginé. Et je devrais te remercier pour ton idée.
La vampire se tient fièrement, regard de défi pointé sur la succube.
- Tout pour votre service, Seigneur Momonga.
- Mais ce n'est pas le moment de parler de ça. L'heure est grave.
Ils se mirent alors à discuter des possibilités de mouvements alors qu'ils étaient dans cet endroit nouveau et sans doute pas sans danger. Le maître de Ainz Owl Gown craignait qu'il y ait en ce monde des gens, des adversaires plus puissants que lui, qui serait capable de s'en prendre aux membres de Nazarick.
- Je pense que le mieux est de commencer par dissimuler Nazarick. Mare, que propose-tu ?
- Je ne pense pas que la magie d'illusion suffira. Je propose de…Je propose de… recouvrir les murs avec de la terre.
-Quoi ? Cri de suite Albedo. Tu veux salir les murs de Nazarick avec de la boue.
Momonga leva la main afin qu'elle puisse rentrer en arrière et se calmer.
- Je suis désolée, Seigneur. Mais je ne supporte vraiment pas cette idée.
- Je te comprends, mais nous sommes dans un lieu dont nous ignorerons tout. Le mieux serait réellement de ne pas se faire remarquer. Jument ?
- Ou…Oui, Seigneur !
- Tu as mon autorisation pour déguiser Nazarick. Ton idée est bonne.
Le garçon rougit au compliment et plia sa tête pour que personne ne puisse voir son visage.
- Pour le moment, l'ordre est que personne ne puisse sortir sans autorisation et renforcer au maximum la sécurité de la tombe.
- A vos ordres, Seigneur Momonga ! S'exclamèrent les gardiens en cœur.
Il ordonna ensuite à tout le monde de partir à part Sebas à qu'il demanda de l'accompagner à son bureau qui était dans ses quartiers. En passant dans le couloir, il fut surpris de voir Démiurge couvert de ses robes parler à Yuri Alpha.
- Que se passe-t-il ? Exigez-t-il.
La pléiade s'incline.
- Seigneur Momonga, maître Démiurge n'est pas très coopératif quand à votre demande de repos.
Momonga lui jeta un coup d'œil inquiet quant à sa condition physique, mais il ne reçut qu'un regard heureux et pas du tout fatigué.
- Je comprends. Merci de vos services, Yuri Alpha. Tu peux retourner à ton travail habituel.
- Comme vous le souhaitez, maître.
La servante s'en alla alors que l'archi-démon se rapproche sensuellement de Momonga avant de se jeter dans ses soutiens-gorge.
- Ne vous en faites pas pour moi, Momonga-sama. Je vais très bien. J'ai enfin pu digéré votre magie. Je me sens tellement plein.
La dernière phrase fit sentir à Sebas Tian qu'il était de trop dans cette situation, mais on ne lui avait pas donné l'ordre de s'en aller et il ne pouvait pas désobéir à son seigneur.
- C'est bien que tu te sentes mieux. Veux-tu venir avec moi ?
-Oui.
- Mais avant il serait mieux que tu puisses te changer. Dit-il en lui faisant remarquer sa quasi-nudité.
Aucun des gens de Nazarick n'était très pudique quant à leur corps, mais dans cette situation Momonga se sentait un peu motivé parce qu'il avait envie de baiser Démiurge devant toute personne présente pour leur montrer à qui appartenait cet homme.
- Tout de suite.
- Quand tu auras fini, rejoins-moi dans le bureau.
Démiurge appuya un baiser sur les os qui étaient censés se situer sous la joue et s'en alla s'habiller.
Momonga toussa deux fois dans sa paume avant de recommencer la marche pour son bureau. Bureau dans lequel une fois assis, il demanda à Sebas Tian de lui rapporter un objet magique. C'était un miroir qui permettait de voir à des kilomètres sans se déplacer. Il n'en a jamais vraiment eu besoin dans Yggdrasil, mais tout de suite, il ne regrettait pas ses précautions.
Pendant un instant, il chercha comment l'activé sans tableau de contrôle pour donner des ordres aux objets. Quand il eut trouvé en quelques minutes, il fut heureux de s'entraîner une fois de plus à la manipulation directe de la magie.
« C'est fascinant. Je sens comme une chaleur qui irradie de mon corps quand je me sers directement de ça. »
A force de s'éloigner, afin de voir s'il n'y avait pas autre forme de vie que les animaux et les plantes qui ne cessaient de défiler devant lui, il finit par tomber sur la vue d'un village qui avait l'air assez animé.
- Que se passe-t-il ? Un festival ?
Il rapproche l'image pour voir que non. C'était juste un massacre d'humains.
- On dirait qu'ils sont attaqués.
Il se surprit lui-même de la manière dont il pouvait le dire sans aucun sentiment dans sa voix et dans son esprit. Il ne se sentait pas désolé pour eux. Ce massacre ne provoquait rien chez lui.
« Est-ce que c'est parce que je suis dans le corps d'un mort-vivant que le massacre d'humains ne me fait plus aucun effet ? Après tout, la nature des mort-vivant les pousse à cheveux la vie. Je ne les déteste pas. Je ne me sens juste pas concerné. »
Ce fut la voix de Sebas qui le sortit de ses pensées.
- Allons-nous intervenir ?
- Je n'en vois pas l'utilité.
A ces mots, il met en évidence une baisse de l'ambiance de la pièce. Puis il se rappela qui était le créateur de Sebas, son très cher ami Touch Me dont l'esprit chevaleresque était bien connu. Il semblait qu'il avait donné une partie de cet héroïsme arthurien à son PNJ.
- Finalement je pense que ce serait une bonne occasion pour nous de récolter des informations et de peser la capacité des gens de ce monde.
- Voulez-vous que j'appelle les pléiades ?
- Non, je vais y aller seul.
- Seigneur, ce n'est pas une bonne idée.
- Qu'est-ce qui n'est pas une bonne idée ? Demande Démiurge en entrant.
- Le Seigneur Momonga veut sortir affronter des humains sans escorte.
Démiurge regardait l'Etre Suprême. Oui, il croyait profondément à la puissance de son seigneur, mais il ne supportait pas l'idée de n'avoir personne à ses côtés pour sa surveillance.
- Laissez-moi vous suivre dans ce cas. En plus, ma magie déborde de mon corps en ce moment, m'entraîner un peu ne peut pas me faire du mal.
Le refus ne met jamais passer la barrière de ses os et c'est comme ça qu'il les téléporta directement vers les lieux. Avant d'apparaitre devant tant de monde, il donna à Démiurge un masque, un objet magique qui permettait de cacher à la fois sa présence et son aura, baissant son niveau devant ses adversaires.
Ils sortent devant une scène cruelle. Deux soldats qui tentaient de tuer une petite fille et sa sœur qui était déjà blessée dans le dos.
- Vous ne pouvez pas vous battre contre des gens de votre niveau ? Exigez Momonga. Prise cardiaque. Cita-t-il, écrasant sans hésiter le cœur de son adversaire qui mourut sur le coup avant d'achever l'autre qui tentait aussi de s'enfuir.
Il tourne son regard vers les deux filles et la plus grande paniqua et serra sa sœur contre elle pour continuer de la protéger.
- Un mort vivant ! Je vous en prie ne nous faisons pas de mal. Pleura-t-elle.
Leurs crises étaient vraiment agaçantes pour lui. Mais il semble qu'il devait d'abord les aider. Il sortit de son inventaire une potion de guérison.
- Prends ça. Ordonna-t-il à la grande.
Elle obéit par peur et au dépit des demandes de sa sœur de ne pas faire ce que le mort vivant lui demandait, malgré qu'elle redoutait aussi que ce fut du poison. Sa surprise fut de se voir guérir instantanément après la prise de la potion.
- Enri ! Cria la plus jeune. Tu vas bien ?
- Oui, je vais très bien.
Elle se prosterna ensuite devant Momonga.
- Je vous remercie infiniment monsieur. Et je… Et je… Je vous prie, monsieur. Le reste du village…sauvez-les ! Please.
Momonga ne répond pas. Il sortit deux minuscules cornes de son inventaire et les donna à l'humaine avant de les recouvrir toutes les deux d'une barrière à plusieurs canapés.
- Je vais le faire. Si vous êtes encore en danger, souffle dans cette corne, il y aura des gens pour te défendre.
Il réveilla ensuite le corps de celui qu'il venait de tuer en chevalier de la mort.
- Chevalier de la mort, tue tous les attaquants présents dans le périmètre de ce village.
Puis silencieusement, il jeta une sorte étendue qui transformait tous les combattants morts dans cet espace en chevalier de la mort. Ils purent entendre de loin des effusions de crise, de la panique à tous les niveaux.
En compagnie de Démiurge, il se dépêcha afin de voir la scène de plus prête et fut presque déçue de voir que tous les chevaliers présents étaient bien plus faibles que ses monstres basics. Mais avant de se montrer à ce monde, il sortit de son inventaire un masque qu'il n'aurait jamais pensé utilisé un jour. Il l'avait obtenu en se connectant un jour férié ou un truc comme ça et il était un peu ridicule à ses yeux même si son mais de base est de pouvoir attisé la peur de ceux qui le voit.
- Cela suffit, chevaliers de la mort. Ordonna-t-il.
Le mort vivant abaissa son arme avant de reculer à l'ordre de son maître.
- Qui êtes-vous ? Exigez l'un des chevaliers sur ses gardes.
Après tout, ils suivront tous de voir cet homme donné des ordres à un monstre que presqu'aucun aventurier ne pouvait battre seul.
- Je suis Ainz Ooal Gown. Je suis venu au secours de ce village. Allez-vous-en ou périssez !
Les hommes ne se firent pas prier alors qu'ils prenaient tous les jambes à leur cou dans la panique.
Momonga détourna son regard des lâches qui n'assumaient maintenant plus leurs actes et regardaient les villageois qui étaient soit morts sur le sol soit réunis les uns contre les autres en un seul groupe tentant de se protéger tant bien que mal.
- Qui est le chef de ce village ?
Un homme avec un bonnet leva la main puis se relève en trébuchant. Il n'était plus tout jeune, mais pas trop vieux non plus.
- Je… C'est moi. Je suis le chef de ce village.
- C'est bon à savoir. Pouvons-nous discuter ?
Pendant un moment, il n'eut pas de réponses et pense que l'homme s'apprêtait à refuser. Démiurge voulait s'avancer, mais fut reculer par les bras de Momonga.
- Cette fois, veille ne pas intervenir tant que tu n'es pas nécessaire, Démiurge.
Il savait ce dont l'archidémon était capable, mais ce n'était pas un endroit merveilleux pour témoigner de ses capacités.
- Comme vous le souhaitez, seigneur.
- Bien sûr que nous pouvons. Nous sommes honorés d'avoir été secouru par vous et pour cela, au nom de tout le village, vous avez nos sincères remerciements.
- Ce n'était pas grand-chose.
Et Momonga avait raison, pour lui ce n'était même pas un exercice suffisant pour ses pouvoirs. Il pensait que les gens ici pourraient avoir le même niveau que les joueurs de Yggdrasil et même si cela était juste la première fois, il avait quand même l'impression d'avoir perdu son temps. Se gardant de pousser un soupir, il suivit l'humain qui les guidait vers sa hutte dans laquelle il se mit, Démiurge toujours debout à ses côtés.
Commença alors la chasse aux informations de ce monde. L'homme ne met rien leur dire de plus que le nom du pays, Re-Estize, celui de la ville la plus proche, E-Rantel, de leur pays et empire voisin et l'informateur des conflits qui les opposent. Ce fut un moment un peu gratifiant, un peu frustrant pour Momonga. Gratifiant parce qu'il avait enfin des informations sur le lieu où il se trouvait et frustrant parce qu'il ne pouvait pas avoir autant d'informations qu'il le voulait en étant dans un tel endroit. Vu la distance qui séparait ce lieu de la capitale, les données qui arrivaient ici y débarquaient en étant déjà obsolètes.
Ressentant la présence d'une cinqquantaine de personnes qui ultérieurement dans leur direction et ayant reçu toutes les informations qui leur étaient utiles, les deux sortirent voir qui étaient là. Un homme en tête d'un bataillon descendant de son cheval et posa des questions aux villageois qui ramassaient encore leurs morts. On lui indiqua la hutte du chef et son regard tomba sur Momonga qui avait l'air de ne pas avoir sa place dans ce village. Il s'avança vers lui et la file de Démiurge, dans son invisibilité, se mit à onduler.
« Calme-toi. Je ne pense pas qu'il soit là pour nous attaquer. »
Son mouvement se fit plus discret.
- Il me semble que vous soyez la personne dont les villageois m'ont parlé. Monsieur ?
-Ainz.
-Ainz. Merci infiniment pour vos services. Je suis Gazef Stronoff, capitaine de la garde royale.
Les mouvements des villageois autour d'eux se figèrent et le chef du village, derrière Ainz, se dépêcha de se mettre à genoux.
- Nous sommes vraiment désolés de ne pas mieux vous accueillir, mais comme vous pouvez le constater : notre village est en plein deuil et si ce n'était le seigneur ici présent, nous serions déjà complètement anéantis.
- Veuillez-vous levier. Ordonna-t-il avant de se tourner vers Ainz. Il me semble que je dois vous remercier d'avoir effectué notre travail. Sans vous, nous serions arrivés trop tard. Mais savez-vous qui a attaqué ce village ?
- Je n'en ai aucune idée. Je ne faisais que passer par là.
- Il semblerait que ce soit les chevaliers de Baharus. En tout cas, ils avaient les symboles du royaume sur leurs boucliers et leurs armures. Répondit au chef du village.
Le capitaine de la garde royale réfléchit un bon coup en fronçant les sourcils.
- Il semble que nous soyons tombés dans un piège et ce ne serait pas une surprise que ce soit le Saint empire de Slane qui ait organisé toute cette mascarade.
- Pouvez-vous expliquer ?
- Bien entendu. Peut-être que j'aurais besoin de votre aide dans le futur. Il faut savoir que nous soupçonnons un haut-noble de trahison. Il a utilisé de son influence afin de m'envoyer ici et de me séparer de sa majesté. Si je me fais tuer et que je ne reviens pas, la garde risque d'être en déroute et les nobles introduirons plus facilement leurs espions dans les rangs de l'armée ou les murs du château.
- Ça m'a tout l'air du début d'une trahison.
- En effet. Les autres royaumes tentent toujours tant bien que mal de nous mettre en déroute. Le pire est qu'on ne peut même pas faire confiance aux nôtres.
Un soldat de la garde royale débarqua en courant.
- Capitaine Stronoff, nous sommes encerclés !
- Il semblerait que vos amis soient déjà là.
- Il ne manquait plus que ça. Monsieur Ainz ?
- Oui, capitaine Stronoff ?
- J'aimerai vous engager.
- Cela n'est malheureusement pas possible. Je ne prends pas de fête et je suis un voyageur calme.
Il pointe alors son arme contre le mort-vivant. Démiurge à son tour se mit en garde même s'il savait qu'aucune de ses armes ne pouvait égaler la puissance de son seigneur. Sa mission numéro un restait de protéger le gardien, c'était écrit dans son ADN.
- Et même maintenant ?
- Ma réponse ne change toujours pas. Dit Ainz d'une voix presqu'amusée à la surprise de Gazef qui rangea son arme.
- Je vois que je ne peux rien faire pour vous convaincre, mais j'aurais une dernière demande.
- Allez-y. Protégez une fois de plus le village, je vous en prie.
- Je ne laisserai rien que j'ai sauvé de ma main être réduit en cendres, vous avez ma parole. Mais avant que vous ne partiez, j'aimerai vous donner ceci.
Ainz fit apparaître une statuette qui rappelait à un totem dans ses mains et la remise au capitaine qui se demandait ce que cela pouvait bien être.
- C'est un objet magique très puissant. Dit le mage sans donner plus de détails.
Et il semblait que Gazef lui faisait assez confiance pour le mettre dans sa poche sans lui poser plus de question. Après quoi il lui adressa un dernier salut et grimpa sur sa monture avant de s'en aller vers le combat.
- Il vous intéresse ? Demande Démiurge.
- Oui, il m'a l'air d'être un bon combattant. Mais d'après ce que je sens, il n'a pas beaucoup de chance de s'en sortir cette fois.
- Non, je voulais savoir si vous le vouliez comme vous me voulez. Explicita-t-il en collant son corps contre son maître qui passe un bras autour de ses fines hanches.
- Mmh… Je ne pense pas que je le vois de cette manière. Il n'est réellement pas de mon genre. Mais il est vrai que je ne peux pas rester insensible devant la force et sa détermination.
Ils ne se rendaient pas compte qu'ils faisaient un sacré spectacle pour les villageois en étant aussi intime. Après tout, ils étaient tous les deux des hommes et ça se voyait. Pour les gens de ces contrées, ce genre de choses n'étaient permises que parmi les nobles qui pouvaient se payer n'importe qui afin de coucher avec, tant que cette personne lui plaisait. Eux devaient avoir des enfants et aucun homme ne se voyait tomber pour un autre.
Ce n'est que lorsque cela devenait trop insistant que Momonga leva la tête en leur direction et chacun prit le choix de retrouver ses obligations.
- Je ne pense pas que cela soit une bonne idée de rester ici. S'adressa-t-il au chef du village. Le combat du capitaine pourrait être bien plus féroce que prévu et les dégâts non négligeables.
Ils prirent alors la décision d'abriter tout le monde dans la même grange sur laquelle Momonga reprit le même schéma que pour les filles et y jeta des sortes de protection avant d'attendre dans un coin en compagnie de Démiurge qui s'avérait bien plus collant que prévu, s'appuie sur son corps alors qu'il ne ressentait aucune fatigue.
Mais Momonga ne pouvait pas lui porter autant d'attention qu'il ne l'aurait voulu. Il observait de loin le combat qui se déroulait entre le capitaine de la garde royale et les mages de l'empire de Slane.
« J'ai l'impression que rien n'est au niveau d'Yggdrasil. Les anges évolués ici ne sont que des créatures de bas étages dans le jeu. Ils peinent pourtant à les tuer. »
En voyant les yeux concentrés de son seigneur, Démiurge savait qu'il ne pouvait pas lui causer plus de souci. Il se contenta de se tenir près de lui sans lui demander plus d'attention.
- C'est l'heure. Dit subitement Ainz.
La surprise a mis se lire sur le visage de tous alors que les deux disparaissaient, remplaçant Gazef à la surprise de leurs adversaires.
- Je suis très égoïste, vous savez ? Et je ne laisse personne prendre ce que je considère comme étant à moi. Déclara-t-il en ôtant son masque. J'espère que vous êtes prêts à mourir.
La panique noya les rangs de Slane en voyant son visage. L'excitation fit serrer les jambes de Démiurge heureux de voir son maître dans cette situation de puissance. La suite allait être merveilleuse.
