Chapitre 4 : Vigilance constante
Le lendemain soir, Pierre était en train de jouer aux échecs version sorcier avec Lionel dans la bibliothèque du premier étage, quand tout d'un coup, un hibou rentra par la fenêtre ouverte et se posa devant Pierre. Surpris, il prit la lettre attachée à la patte de l'oiseau et y vit le sceau de Poudlard. Il regarda Lionel en disant :
« C'est sûrement ma lettre pour Poudlard
- Il était temps. Va prévenir papa et maman. Sourit Lionel »
Pierre descendit l'escalier à la vitesse de l'éclair et arriva dans la cuisine où Harry et Ginny préparaient le diner. En rentrant dans la cuisine, Pierre cria :
« J'ai reçu ma lettre pour Poudlard !
- Félicitations mon chéri. On commençait à s'inquiéter avec ta mère. Dit Harry »
Harry et Ginny s'approchèrent de Pierre et lurent la lettre avec lui en souriant. Ginny regarda la liste des fournitures avec attention en disant :
« Bon, bah on sait ce qu'on va faire demain Harry. Direction le chemin de traverse. Ça tombe bien, j'avais quelque chose à donner à Tom. En plus, ça fait longtemps que je n'y suis pas allée.
- Tu ne veux toujours pas me dire ce qu'il a ? Demanda Harry
- Harry, on en a déjà parlé. Je n'ai pas le droit de violer le secret médical. Il ne veut pas que ça se sache. Je respecte son choix. Répliqua Ginny
- Vous parlez de qui ? Demanda Pierre
- Un patient que j'ai eu il y a quelques années qui loge chez Tom. J'ai un traitement à lui donner et n'essaye pas de fouiller dans mes potions, j'ai tout fait pour cacher ce que c'était, alors n'insiste pas Harry. Tu le sauras que quand il aura décidé de lever le secret médical. C'est mon dernier mot. Répliqua fermement Ginny »
Harry soupira sachant parfaitement que ça ne servait à rien de discuter. Pierre remonta finir sa partie d'échec septique.
Le lendemain, la famille Potter se prépara pour la sortie à Pré-au-lard. Avant de partir, Harry rappela les règles de sécurité :
« Bon, avant de partir, je vous rappelle les règles : on ne s'éloigne pas. On ne fait pas de bazars dans les magasins. Si vous voyez quelque chose de louche, vous nous prévenez et pas de bêtises. Si vous êtes sage, on ira au magasin de farce et attrape, mais seulement si vous êtes sage. Est-ce-que c 'est clair ?
- Oui papa. Répondirent en cœur les enfants
- Bien, alors allons y. Dit Harry »
La famille Potter partit. Quand ils furent arrivés au Chaudron Baveur. Leurs entrées ne passa pas inaperçu. Les clients chuchotaient entre eux. Harry s'installa à une table avec les enfants, tandis que Ginny se présenta au bar de Tom en disant :
« Bonjour Tom, je voudrais 6 jus de citrouille et 1 bièraubeurre.
- Pas de soucis, on vous l'apporte tout de suite. Dit Tom
- Merci. J'aimerais bien parler à qui tu sais. Dit Ginny à voix basse pour que seul Tom entende
- Je suis désolé Ginny. Il refuse toujours de te parler. Il ne veut pas revenir sur le sujet. Il te remercie pour tout ce que tu fais pour lui, mais il ne veut pas que cela se sache. J'ai essayé de le rassurer, mais rien à faire. Comme tu le sais, il n'y a que toi, Ollivander, Orlane une vendeuse de librairie et moi qui sachons ce qu'il a et il trouve déjà que c'est de trop. Répondit doucement Tom
- Mais je n'ai pu en prendre beaucoup de flacons et je ne pourrais pas le joindre les prochains mois. Il faut qu'il le dise. S'inquiéta Ginny toujours à voix basse
- Je sais que normalement, tu te dois de le dire et que c'est difficile pour toi de le cacher depuis si longtemps, mais il n'est pas prêt à changer d'avis. Dit Tom discrètement
- Il est vrai que je transgresse quelques règles et qu'il me met dans une situation difficile. Je comprends qu'il ait peur. Dis-lui d'être prudent et que s'il change d'avis, je serais toujours là pour lui. Soupira Ginny en donnant un sac à tom.
- Je lui dirais, merci pour lui. Dit Tom »
Ginny partit en soupirant. Elle rejoigna la table où Harry et ses enfants étaient assis. Tom leur apporta les boissons quelques minutes plus tard. Il regarda Pierre et dit :
« Alors, tu es prêt pour Poudlard ?
- J'ai hâte d'y être. Dit Pierre
- Tu vas voir, Poudlard est génial, mais je serais toi, je serai prudent. Dit Tom
- Tu as entendu des choses ? Demanda Harry
- Des bruits qui courent Harry. Rien de sûr, mais en tout cas les mangemorts ne vont pas vous lâcher, alors sois prudent Pierre. Répondit Tom
- Merci Tom, je ferais attention. Dit Pierre »
Tom sourit avant de retourner vers son bar. Après avoir bu leurs boissons, Harry et sa famille partirent vers le chemin de traverse. Ils passèrent en premier par la banque Gringotts pour prendre un peu d'argent. En sortant de la banque, Harry parla :
« Je vais faire les courses pour Poudlard avec Pierre. Vous, pendant ce temps-là, vous allez vous promener de votre côté. On se rejoint devant le magasin de Fred et George. Ginny me dira si vous avez été sage et on verra si on rentre dans le magasin. C'est ok pour toi Ginny ? Et ouvre l'œil
- Ne t'inquiète pas, à tout à l'heure. Dit Ginny »
Harry partit donc de son côté avec Pierre. Ils commencèrent leurs courses par Ollivander dès que Harry et Pierre passèrent le pas de la porte, Ollivander les accueillirent avec le sourire en disant :
« Monsieur Potter, comment allez-vous ? Votre baguette n'est pas cassée j'espère. Ça serait dommage. Dit Monsieur Ollivander
- Bien Monsieur Ollivander. Ne vous en faites pas, tout va bien. Je voulais vous acheter une baguette pour Pierre qui va rentrer à Poudlard. Dit Harry
- Enchanté jeune homme. Tu descends de Godric Gryffondor, il me semble ? Demanda Monsieur Ollivander
- Oui, c'est exact. Dit Pierre
- Voyons voir. Je vais voir ce que j'ai comme baguette qui pourrait faire honneur à tes ancêtres. Dit Monsieur Ollivander en partant dans sa réserve. »
Il donna une première baguette à Pierre qui fit exploser un vase. Ollivander reprit la baguette et fit essayer à Pierre 3 autres baguettes sans qu'il n'y ait plus de résultats. Après quelques minutes de réflexion, Ollivander donna à Pierre une baguette en bois de cyprès composé d'un ventricule de dragon. Quand Pierre la saisit, une lumière rouge jaillit de la baguette. Ollivander dit :
« Intéressant. Le ventricule de dragon est une matière noble qui correspond à vos origines. Tout comme le bois de cyprès qui est associé à la noblesse et au courage. Manipulez-la avec prudence. Le ventricule de dragon peut causer quelques accidents.
- Merci. Dit Pierre »
Harry paya la baguette. Harry et Pierre commencèrent à partir. Quand Harry ouvrit la porte, Ollivander parla :
« Oh, une dernière chose. Soyez prudent, car je crains que le mal n'ait pas fini de menacer les Gryffondor, ainsi que les Potter qui sont votre famille d'adoption. Je vous souhaite une bonne année à Poudlard
- Merci Monsieur Ollivander. Dit Harry en fermant la porte »
Harry et Pierre se retrouvèrent dans la rue. Pierre, inquiet, dit :
« Tu crois qu'il savait quelque chose ?
- Ollivander a toujours été énigmatique. C'est un sorcier que j'apprécie beaucoup. Reste sur tes gardes. Ce n'est pas le premier avertissement. J'aimerais que tu ne sois pas seul à Poudlard. Dit Harry
- Promit papa, je serais prudent. Dit Pierre
- Bien, continuons nos courses. Dit Harry »
Harry et Pierre continuèrent ensuite leurs courses en achetant des robes de sorcier, les manuels scolaires, ainsi que le matériel de potions. Pendant leurs courses, Harry se sentit observé, mais n'en parla pas à Pierre pour ne pas l'inquiéter davantage. Ils finirent par le magasin de farce et attrape des jumeaux Weasley et des maraudeurs où ils rejoignirent Ginny et le reste de la famille. Harry sourit à Ginny en disant :
« Ça a été ?
- Oui, ne t'inquiète pas. Dit Ginny
- Bonjour, bienvenue chez les sorciers facétieux. Dit Fred en arrivant devant eux
- Fred, ça va ? Demanda Ginny
- Comme toujours Ginny. Alors Samuel, qu'est-ce qui t'intéresse ? Demanda Fred
- Fred, tu te rappelles de ce que je t'ai dit. Préviens Ginny
- Rien de dangereux, je sais. Ne t'en fais pas. Allez, venez avec moi les jeunes. Dit Fred en emmenant les enfants d'Harry avec lui
- Qu'est-ce qu'ils vont encore nous trouver. Soupira Ginny
- Ça leur fait du bien de rire de temps en temps. Maintenant qu'on est seul Ginny, dis-moi, tu ne t'es pas senti observé ? Demanda Harry après le départ des enfants
- Si. J'ai d'ailleurs été rassurée quand j'ai rejoint Luna et Hermione au magasin pour animaux. Comme on avait convenu, j'y suis allé pour le cadeau surprise pour Pierre. Hermione est repartie avec pour ne pas qu'il soit au courant. Dit Ginny
- Tu lui as acheté quoi alors ? Demanda Harry
- Tu verras. C'est une surprise, mais sache que ce n'est ni un hibou, ni un chat et encore moins un crapaud. Dit Ginny
- Ne me dit pas que tu lui as pris un rat ? Demanda Harry
- Bien sûr que non. On peut acheter d'autres animaux maintenant. Dit Ginny
- Comment ça ? Demanda Harry
- Tu n'as pas vu sur la lettre de Pierre ? Depuis cette année, les élèves peuvent acheter n'importe quel animal. Tant qu'il n'est pas classé comme dangereux, ni classé comme étant une espèce menacée et qu'il ne possède pas de venin. Ça laisse donc un large choix. Expliqua Ginny
- Bon, alors je verrais pendant la fête. Je te fais confiance. Dit Harry
- Au fait, pourquoi tu m'as demandé si je me sentais suivie ? Demanda Ginny
- J'ai eu aussi cette impression et puis Ollivander m'a mis en garde. Dit Harry
- Que veux-tu dire ? Demanda Ginny"
Harry raconta à Ginny sa visite chez Ollivander. Elle en eut des frissons. Tout cela ne présageait rien de bon. Après leur discussion, ils rejoignirent tous les deux leurs enfants. Ginny soupira quand elle vit les courses qu'avait Samuel dans les mains. Elle lui rappela d'être prudent avec ces produits et paya Fred. Ils rentrèrent ensuite tous ensemble à la maison.
En arrivant à la maison, le regard d'Harry tomba sur l'horloge Weasley que Molly lui avait offerte quelques années auparavant. Cette horloge était composée de différentes aiguilles indiquant chacun des membres de la famille d'Harry. Les heures étaient remplacées par des lieux. Harry put voir que toutes les aiguilles étaient pointées sur « A la maison » sauf une. Le sang d'Harry se glaça. L'aiguille de Pierre était pointée sur « en danger d'enlèvement ».
Harry mit Ginny en garde et lui demanda de garder un œil sur les enfants et de rester vigilante. Malgré cet avertissement, le reste de la journée se passa dans le calme.
Le lendemain après le repas du soir, Ginny et Harry étaient en haut en train de coucher les enfants, quand quelqu'un sonna à la porte. Surpris, Harry partit ouvrir en laissant Ginny s'occuper des enfants.
En ouvrant la porte, il put voir un homme et une femme âgés, apparemment d'une quarantaine d'année. Harry ne laissa pas le temps au couple de parler et demanda :
« Bonjour, excusez-moi, mais est-ce qu'on se connait ?
- Bonjour, excusez-nous de vous déranger. Nous somme de la famille de Pierre. Excusez-moi pour mon accent, mais nous somme français. Pouvons-nous rentrer pour discuter. Demanda l'homme
- J'ai du mal à vous croire. Avant d'adopter Pierre, je me suis documenté sur la famille Gryffondor et d'après ce que j'ai vu, Pierre était le seul survivant. Je sais que le Ministère avait également fait des recherches avant d'accepter ma demande. Je peux vous dire que si quelqu'un avait vu qu'il restait encore des membres de la famille de Pierre en vie, j'aurais été au courant. Pierre a 11 ans maintenant. Vous vous réveillez un peu tard. Expliqua Harry
- Je sais, mais on est de sa famille éloignée. Vous comprenez ? Et on avait peur de Voldemort, donc on évitait de crier sur tous les toits nos origines. Nous habitons en France et on a pris du temps avant d'apprendre que Pierre était encore en vie et encore plus pour savoir où il était. S-il-vous-plais, laissez-nous entrer. Demanda la dame
- Je suppose que vous n'avez pas de papier me prouvant que vous êtes bien de sa famille. Dit Harry
- Nous n'avons qu'une lettre du père de Pierre stipulant que s'il lui arrivait quelque chose, il voudrait qu'on s'occupe de Pierre. Je sais que ça va le bouleverser et nous ne voulons pas le perturber. C'est pour cela qu'on voulait juste savoir si tout allait bien. Dit la dame
- Ecoutez, Pierre fait partie de ma famille et je l'aime comme mon propre fils. Je fais très attention à son bien-être et à sa sécurité. C'est pour cela que j'ai besoin de réfléchir et d'enquêter sur ce sujet. Donnez-moi vos noms et prénoms, ainsi qu'une adresse où je pourrais vous joindre et je vous recontacterais quand j'en saurais plus. Dit Harry d'une voix hésitante »
Le couple resta muet et échangèrent un regard. Avant qu'Harry puisse faire quoi que ce soit, l'homme jeta un sort en direction d'Harry qui fut intercepté par une barrière invisible. L'apparition de cette barrière permit à Harry de jeter un sort qui éjecta les 2 inconnus avant de fermer la porte.
Harry eut la respiration saccadée. Il jeta un sort pour fermer la porte à clé et essaya de se calmer. Ginny, qui était en haut avec les enfants, interpella Harry du haut de l'escalier :
« Ça va mon chéri ?
- Quoi qu'il arrive, restez en haut. Comprit ? Je vous expliquerais. Dit Harry
- Tu veux que je contacte Hermione ? Demanda Ginny
- A mon avis, elle est déjà au courant. Dit Harry en entendant du bruit venant de l'extérieur »
Harry regarda ensuite par la fenêtre donnant vue sur l'extérieur où il put voir Hermione qui se battait face aux deux inconnus. Voyant qu'il s'était éloigné de la porte, Harry décida de sortir pour aider Hermione, car il ne croyait absolument pas à leur histoire.
En sortant de la maison, Harry jeta divers sortilèges envers les deux inconnus. Les inconnus ripostèrent avant de transplaner. Harry s'approcha d'Hermione en disant :
« Des Gryffondor ça ? Ils me prennent vraiment pour un idiot ! Ça va Hermione ?
- Oui, ils sont de la famille de Pierre ? Demanda Hermione
- C'est ce qu'ils ont prétendus, mais j'ai eu des doutes et ils m'ont jeté un sort. Merci pour ton aide. Dit Harry
- Tu as eu de la chance. Je regardais à la fenêtre donnant sur ton jardin, quand ils sont arrivés. Surprise, je vous aie observé et comme tu ne les as pas laissés rentrer, je me suis posé des questions. Je suis donc venue t'aider en arrivant discrètement. Dit Hermione
- Discrètement, ça tu peux le dire. Je ne t'ai même pas vu arriver. J'ai juste senti le bouclier quand le sort a été arrêté. Tu viens prendre un café ? Dit Harry
- Je ne suis pas Auror pour rien. Avec plaisir. Dit Hermione »
Harry et Hermione rentrèrent chez Harry. Harry cria en disant :
« Vous pouvez descendre. Ils sont partis. »
Harry servit un café à Hermione en lui expliquant toute l'histoire. Ginny descendit avec Pierre, Samuel et Lionel. Olympe et Sabrina étaient déjà couchés. Pierre entendit la discussion en arrivant dans la salle. Il interrompit son père en disant :
« Ils étaient de ma famille ? Non ! Ce n'est pas possible ! Ne m'abandonne pas papa !
- Ne t'inquiète pas Pierre. Je t'aime comme mon propre fils et puis, je pense que ce n'est qu'un mensonge. Des mangemorts pour essayer de t'enlever. Rassura Harry
- Et si c'était vrai ? Demanda Pierre
- Je ne souhaite que ton bonheur Pierre, sache-le. Je te demanderais ton avis sur la question, mais quoi qu'il arrive, je me battrais pour que tu sois heureux. Dit Harry en ayant peur de la réponse
- Je veux rester avec vous. Vous êtes ma famille. Je vous aime. Dit Pierre en prenant Harry dans ses bras
- Moi aussi je t'aime fiston et je te promets que tu resteras avec nous. Dit Harry en soupirant de soulagement.
- Tu es notre frère, Pierre. N'aie aucun doute là-dessus. Dit Lionel
- Merci Lionel. Dit Pierre en se séparant des bras de son père
- J'imagine que tu as déjà utilisé ton miroir de l'espoir pour parler aux parents de Pierre ? Demanda Hermione
- Oui, et ils ne m'en ont jamais parlé. Dit Harry
- Je leur parle souvent par le miroir, même s'ils sont morts. Ça me fait du bien de leur parler et ils ne m'ont jamais parlé de ça. Dit Pierre
- Alors dans ce cas, ça devait être des mangemorts qui ont essayé de vous embobiner. Ils font dans la psychologie maintenant. Restons sur nos gardes. Ils vont peut-être réessayer. Dit Hermione
- Qu'ils essayent ! Ils auront un comité d'accueil. Merci pour ton aide Hermione. Dit Ginny
- C'est normal voyons. Vous auriez fait pareil à ma place. Et puis, faut bien que le faite qu'on soit voisin ait une utilité. Merci pour le café Harry. Je vais vous laisser. Dit Hermione
- Tu diras bonjour à tout le monde de notre part. Dit Pierre
- Promis Pierre. On se revoit bientôt. Rappelez-vous, vigilance constante. Dit Hermione avant de partir »
Après le départ d'Hermione, Harry, Ginny, les jumeaux et Pierre partirent dans le bureau d'Harry pour en avoir le cœur net sur toute cette histoire. Harry regarda son miroir de l'espoir qui servait à parler aux morts. Il respira profondément et appela les parents de Pierre et parla :
« Bonjour.
- Bonjour, comment allez-vous ? Et toi Pierre, ça va ? Demanda Monsieur Gryffondor
- Ça va. Maman et papa Gryffondor, est-ce-qu'appart moi il reste d'autre Gryffondor en vie ? Demanda Pierre
- Non. Pourquoi tu me pose cette question ? Demanda Monsieur Gryffondor
- Vous n'avez pas laissé de lettre à quelqu'un demandant de s'occuper de moi en cas de problème ? Demanda Pierre
- Non. Nous n'avions plus personne quand les mangemorts sont arrivés au village. Tous nos proches ont été tués avant l'attaque qui nous a séparé Pierre. Si quelqu'un de la famille avait été en vie, on te l'aurait dit. Je ne sais pas ce que l'on t'a dit, ni qui te l'a dit, mais tu dois me croire. Tu es le dernier Gryffondor Pierre. Écoutez Harry et Ginny. On a confiance en vous. On sait que vous vous occupez bien de Pierre. Dit Madame Gryffondor
- Pierre vous a demandé cela parce que deux inconnus sont venus à notre porte et ont dit qu'ils étaient de la famille et qu'ils avaient une lettre. Je me suis méfié d'eux et je leur ai demandé de partir et ils ont ripostés. Un combat a ensuite eu lieu et ils sont partis. Je vous remercie de me faire confiance et je vous promets de protéger Pierre et ça, quoi qu'il arrive. Expliqua Harry
- Merci Harry. Les mangemorts n'ont pas encore baissé les bras à ce que je vois. Sois prudent Pierre. On t'aime. Dit Madame Gryffondor
- Merci maman Gryffondor. Je t'aime aussi. dit Pierre
- On va vous laisser vous reposer. Prenez soin de vous. Dit Monsieur Gryffondor avant que l'image de son visage et de celle de sa compagne disparaissent du miroir de l'espoir. »
Pierre partit se coucher, rassuré. Harry et Ginny couchèrent les jumeaux. Harry redescendit avec Ginny et posa le regard sur l'horloge Weasley. Il fut rassuré. L'aiguille de Pierre avait rejoint celle de ses frères et sœurs. Toutes les aiguilles indiquaient la maison. Harry et Ginny pouvaient passer leurs soirées loin de la menace mangemort jusqu'au prochain mouvement de l'horloge Weasley.
la suite sera en ligne lundi 23 octobre
merci a ceux qui laisserons une trace de leurs passage
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