La dimension d'Oropo, un lieu seulement occupé de quelques privilégiés, et uniquement composé d'un immense désert au milieu duquel trône la tour des rêves, comme un pilier du ciel dominant l'entièreté de son royaume désolée. Un royaume au silence seulement interrompu par les bruits sourds des engrenages de machines incomplètes. Cette monotonie sonore fut soudainement brisée par un son inconnu provenant du promontoire rocheux sur lequel se trouvait un ancien portail zaap inactif. Le son résonna une seconde fois, cette fois accompagné de quelques particules colorées avant qu'enfin deux formes humaines n'apparaissent.
Avançant prudemment à travers tout les débris du comte Harebourg, le duo encapuchonnait était plutôt silencieux, leurs auras dégageant désormais un sentiment de soulagement. Alors qu'ils se rapprochaient de l'entrée de la tour, il devenait plutôt visible que les deux sortaient d'un affrontement brutal. Marques de déchirures, entailles et traces de brûlure recouvraient leurs capes. Tandis qu'ils avançaient le plus petit resserrât sa prise sur un objet bien particulier placé entre ses mains, un parchemin à l'air très ancien et mystérieux.
Soudain, un nouvel arrivant fit son apparition, lui aussi encapuchonner, il arborait un étrange masque de hibou et semblait flotter dans les airs face au duo. Les deux individus en voyant leur hôte apparaître retirèrent leurs capuches révélant leurs visages, deux cornes et deux ailes d'un bleu puissant au sommet de la tête des deux. Yugo fut le premier à prendre la parole « Notre mission est une réussite frère Oropo, malgré quelques… Événement. » Finit par dire le jeune éliatrope en repensant à la taverne et a comment ils avaient quitté le palais de Bonta. « Je suis très heureux de vous voir réussir mes chers frères, bien que je n'ai jamais douté de votre capacité à réussir cette mission-là.» Lui répondit l'homme en touchant le sol et tendant sa main en direction de son créateur et désormais allié précieux. Le jeune dieux-roi réagit en lui donnant le parchemin que l'homme s'empressa d'examiner. « C'est très intéressant, c'est exactement ce dont j'avais besoin, merci mes frères …. » Dit Oropo en continuant d'observer le parchemin en long et en travers. « Et que comptes-tu faire de ce bout de papier frère Oropo. » Questionna d'un air septique Adamaï. « Vous le saurez tous les deux bien assez tôt, vous serai essentiels à ce projet mes frères. Bien, je pense que vous pouvez retourner à vos appartements, j'aurai à nouveau besoin de vous dans quelques jours. » Déclara-t-il avant de refermer le bout de parchemin tandis qu'Adamaï sortait ses deux grandes ailes et que Yugo commencer a légèrement flotté au-dessus du sol en prévision de la montée de la tour. Mais alors que le trio allait s'envoler Oropo ajouta une dernière chose : « Plus tard dans la journée, vient me voir Yugo, il y a quelque chose que je voudrais t'apprendre. » Déclara-t-il avant de s'envoler à une vitesse phénoménale en direction de sa station. Yugo regarda son frère d'un air confus et Adamaï se contenta d'hausser les épaules avant de s'envoler à son tour en direction de l'étage éliatrope, très vite suivi de son frère.
Quelques heures plus tar le soleil se leva sur le royaume sadida et les premiers rayons du soleil traversèrent les fenêtres de la chambres de la princesse du royaume pour aller réchauffer sa peau délicate et la réveillant par la même occasion. La jeune femme laissa s'échapper un soupir lasse alors qu'elle tentait t'en bien que mal d'ouvrir ses délicates paupière encore irritée des larmes de la veille, et celle de lavant veille, et de la semaine dernière …
Alors que la jeune femme quittait le confort des draps elle frissonnât légèrement en sentant la fraicheur matinale s'attaquer a sa peau exposée. Après quelques minutes de silences et d'adaptation de sa peau nue a son environnement elle se décida enfin à aller en direction d'une petite table a l'autre bout de la pièce devant laquelle elle s'assise dans une grande délicatesse. Sur le meuble désormais clairement identifier comme un autel se trouvait une bougie, deux pots d'encens dont elle ralluma les bâtons avant de commencer à prier aux deux statuettes. La première, plus grande était faite d'un bois ébène et qui représentait les dieux sadida contrastait assez drastiquement avec la seconde, quelle avait acheté a prix d'or en secret. Cette très ancienne statuette retrouver dans des ruine datant d'avant même l'âge des dofus était plutôt petite bien que d'une délicatesse et d'une qualité presque aussi divine que la femme aux longs cheveux représentée sur la statuette d'un marbre blanc au reflet bleuté.
Joignant ses deux mains elle baissa la tête en récitant les même prière quelle avait apprise a répéter chaque jour depuis déjà presque deux mois , tout d'abord une salutation envers le dieux sadida très vite suivie d'une demande désespérer , celle que bientôt son très cher père aille mieux , mais surcout qu'il reste avec elle un peu plus longtemps , elle ne voulait pas se retrouver plus seul qu'elle ne l'était déjà . Puis une seconde prière, celle-ci était plus hasardeuse, elle ne connaissait pas cette déesse et elle avait a chaque fois l'impression que quelque-chose de profondément mauvais lui était lié. Mais malgré cela Amalia s'efforçait de s'adresser a cette déesse, s'excusant comme par obligation pour ses erreur et souhaitant que cette mère protège ou qu'il soit son fils, ce garçon si particulier, le seul quelle n'ai jamais aimée et quelle avait perdu beaucoup trop tôt.
Une larme solitaire coula sur sa joue tandis quelle finissait se prière. se relevant elle déplaçât son corps nu vers ses bains privée a la recherche du réconfort de l'eau. Presque une heure plus tard la jeune sadida sortie, se séchant et s'habillant de ses habits d'apparat que son frère exigeait désormais presque tout le temps dans le palais. Inspirant puis expirant profondément elle ouvrit la porte de son appartement. A l'extérieur les deux gardes chargée de la surveillance de ses appartement la saluèrent de manière formelle quelle se contenta d'ignorer en se dirigeant vers la salle du trône ou son frère immature et son insupportable femme l'attendait. Mais en se rapprochant du centre névralgique du palais l'agitation inhabituelle se faisait de plus en plus ressentir, inquiétant la princesse. En entrant dans la salle principale elle fut accueillie par une discussion entre un mètre Joris a l'air encore plus sérieux qu'a l'accoutumée et par un Armand a l'air contrarié. La tension dans l'air ne fit qu'augmenter lorsqu'elle pénétra dans la pièce, annoncée par l'un des deux gardes. Le duo en proie à une importante discussion se retournât pour faire face a la princesse. « De quoi s'agit-il ? » demanda telle d'un ton neutre et sérieux à la fois. « Te voila enfin Amalia, cela fait déjà près de deux heure qu'Aurora et moi t'attendons ! » soupirant Amalia reprit en ignorant son frère « qu'importe. De quoi s'agit t'il maitre Joris ? »
« une attaque au palais de Bonta . » tout de suite la tension déjà présente dans la pièce augmenta drastiquement « une duo de voleurs inconnu se sont introduit dans l'enceinte du palais et y on dérober un objet d'une valeurs inestimable , faisant plusieurs dizaines de blesser parmi les gardes et les occupants d'une taverne a proximité ,un homme est d'ailleurs dans un était critique . » continua l'ambassadeur de Bonta de son ton d'un sérieux absolu , il était claire que la situation était très grave pour la nation de Bonta . « Et... Que contenait ce document maitre Joris ? » Lui demanda prudemment la jeune princesse. « Et surtout qu'avons-nous a voir avec cet histoire ! » beugla de son coin de la pièce le prince sadida clairement sur les nerfs comme a son habitude. « Il suffit Armand ! Nous vous écoutons maitre Joris. » Armand du s'étrangler pour ne pas répondre a ca sœur de manière d'autant plus violente mais finit par se taire en ruminant sa colère au plus profonde de lui.
«Ce document était en réalité un très anciens artefact de la civilisation, et malgré le fait que ce texte soit dans une très ancienne langue complètement étrangère au yeux de nos esprits les plus brillants tous les archaologue de Bonta s'accordes tous sur une chose, ce document contient de nombreuses informations primordiales a propos des pouvoir de l'éliacube et des dofus éliatrope. Qui que soient ces personnes qui l'on dérobées une chose est sur c'est qu'ils risquent de nous causer de grand problèmes dans les temps à venir » finit l'homme.
« Je vois … mais pourquoi donc venir ici ? auprès du royaume sadida , d'autant plus que vous savez tout autant que moi ce qu'il est advenu du dernier éliatrope de ce monde … » lui répondit la princesse en détournant le regard a cause du malaise entrainé par le fait d'avoir évoquée involontairement le jeune éliatrope qu'elle avait perdue a jamais .
« Et bien justement. Votre royaume a par le passé abrité un éliatrope et son frère et vous avez également gardée durant une certaines période l'éliacube, il a donc traversée l'esprit de mon roi que vous auriez pu vouloir … » tenta de présenter de la meilleurs des manières le maitre Joris mais il n'u même pas le temps de tenter quoi que ce soit que sont discours fut interrompu brusquement par un Armand furieux et rouge de rage.
« Comment le roi de Bonta Ose t'il remettre en question notre royaume !? Nous sommes ses plus fidèles alliez depuis la naissance du Krosmoz ! » Hurla t'il a travers la pièce en fulminant presque littéralement.
« Calmez vous s'il vous plait prince Armand, je me suis peux être trop mal exprimée. La majorité des soupçons du conseil Bontarien se porte surtout sur la princesse. » Fini l'ambassadeur en indiquant la jeune femme en face de lui le regardant dans un état de stupeur et d'incompréhension totale.
« Que v-voulez vous dire maitre Joris, je n'aurais jamais t-tenter quoi que ce soit de ce genre. Jetait au palais toute la semaine, n'es-ce pas, A-Armand ? » Interrogeât t'elle son frère en le regardant paniquée et désemparée, pour ne trouver dans son regard qu'une méfiance abjecte qui la fit encore plus perdre pitié alors qu'une douleur soude semblait se répandre dans son thorax.
« les membres du conseil vous soupçonne d'avoir employer des mercenaires pour nous dérober ces documents princesse , en effet les espions du royaume nous on révélée que depuis la disparition de Yugo l'éliatrope et plus précisément depuis prés de deux mois vous vous êtes de plus en plus intéresser a l'ésotérisme éliatrope , allant même jusqu'a acheter des anciennes relique de ce peuples disparus et a prier de manière régulière la statuette de la grande déesse éliatrope , pourtant bannie par les dieux . » lança t'il de son ton sombre . Fixant sur place la princesse dans une crise de panique folle.
« Ces accusassions sont t'elle vrai Amalia, a tu réellement pratiqué des cultes tels que décrit par maitre Joris ? » questionna le prince Armand d'un ton accusateur.
« Et bien … oui mais – mais je n'y suis pour rien ! Je n'ai rien volé, je-je ne fais que prier pour Yugo et … je n'aurais jamais fait quelque chose comme ça … » dit t'elle dans un discours incohérent et emprise de panique. Jamais Amalia n'aurait pensé une situation pire que celle-ci. Elle tenta de reprendre une respiration normale tandis que des larmes commençait à couler sur ses jouer de manière abondante.
Prise de panique la jeune sadida s'enfuie , ne prenant même pas la peine d'écouter les hurlement de son frère ,a peine quelques mètre plus tard elle s'effondra au sol se foulant la cheville , mais s'efforça de se relever et de se remettre a courir malgré la douleur et a peine un instant plus tard elle s'enferma dans ses appartements a nouveau , se roulant en boule en plein et restant ainsi durant plusieurs minutes .
Puis au bout d'une dizaine de minutes elle se releva, et prise d'une sorte de rage soudaine elle s'approcha de l'autel et renversa brutalement le meuble, laissant se fracasser a travers la pièce tous les bibelots entassés a son sommet, y compris les statuettes. À la fin, après avoir repris son souffle et une partie de son esprit, Amalia se décida de regarder le résulta de son excès de colère. Au sol des dizaines d'objet brisée, tous a l'exception d'un seul et unique objet, resté comme intouché au sol. La statuette de la déesse allongé, le visage vers le ciel semblait tout de même la fixée d'un regard accusateur, à la fois celui d'une déesse et d'une mère réprobatrice.
Reprenant a la hâte la relique, elle la redéposa sur l'autel désormais vide en dehors de cet unique objet. Soupirant longuement Amalia se dirigeât en direction de son lit pour pouvoir y oublier ses responsabilités écrasantes, mais c'était sans compter sur un Prince enragée tambourinant de manière frénétique sur la porte de l'appartement de sa sœur en l'exhortant de sortir.
Pendant ce temps au douzième étage de la tour des rêves, la nuit ou quoi qui puisse s'en approcher dans cette endroit était tombé depuis plusieurs heures, et alors qu'Adamaï se réveillait en entendant un bruit il se rendit compte de l'absence de son frère jumeaux dans la chambre. Grognant il sortit de la pièce avec un air bougons pour parcourir les couloirs de l'étages a la recherche du garçon. Adamaï le trouva bien vite , dans une grande salle aménagée comme un dojo il s'entrainait , une véritable épée lourde a la mains , les yeux bandées et le torse recouverts de sueur , faisant d'ailleurs remarqué a Adamaï que le garçon avait retirer son haut , le laissant torse nu . Yugo répétait d'une manière presque religieuse une série très précise de mouvements à la perfection. Entendant son frère arriver le jeune éliatrope pris une pause dans son entraînement, retirant son bandeaux de ses yeux il pu observer attentivement le regard désapprobateur de son frère alors que celui-ci semblait se préparer à lui adresser la parole. Se retournant pour faire fasse a son frère il le scruta de son œil valide, tandis que son deuxième œil, du quel s'écoulait du wakfu de manière continuelle semblait lui explorer les profondeurs de l'âme du dragon.
« Yugo, Nhu bile fulang xieleat. » finit par dire le plus grand des deux d'un air inquiet bien que strict, faisant lâcher ce petit rire innocent bien qui anxieux si caractéristique de son frère éliatrope en retour. Avant que se dernier ne ce décide de lui répondre.
« Nhu zifio ad, wi zemas bhith neli. » lui répondit le garçon en essayant de convaincre son frère, sans réel succès au regard que ce dernier lui fit.
« Bragdi… sinn qugo shuidal. » déclara le dragon en se retournant et commençant se repartir vers leurs chambre commune.
« Thi… » Dit enfin le jeune dieux-roi en prenant un ton et un air vaincu tandis qu'il rangeait son arme et reprenait ses affaire, avant de suivre son frère en direction d'un bon vieux lit douillet.
(L'entièreté de ses phrases on un véritable sens, a vous de les traduire)
Etre réveiller par la douce chaleur des rayon du soleil réchauffant votre peau comme vous annoncer l'arriver du jour, ouvrir les yeux et ne voir qu'un ciel nocturne constellé d'étoiles et au centre du quel trône une lune aussi brillante que le serait un diamant . Pour Elely c'était très simple, il n'y a qu'un seul endroit pouvant faire cela, le monde des songes, comme elle avait prise l'habitude de l'appeler, ce royaume apaisant et terrifiant a la fois qui semblait lui rendre visite de plus en plus souvent. Se relevant avec précipitation, et manquant de s'effondrer presque aussi vite elle pu observer son environnement proche. Une clairière, toujours la même clairière entourée de pins millénaires aux fleurs luisantes et de statues apaisée a l'air protecteur. se retournant pour faire face a son casse tête habituel qu'était L'immense monolithe , face au quel elle était rester bloqué chaque nuits depuis plus d'une semaine que ne fus pas ça surprise lorsqu'elle aperçue sur l'immense bloc de pierre une suite de mots dans un alphabet inconnu formant un cercle qu'elle parvient tout de même a décrypter sans trop savoir pourquoi comment. « Zho caiczi tagxé » chuchota telle en passants ses doigt sur le texte, presque aussitôt quelle referma ses lèvre un énorme flash lumineux l'aveugla, la faisant sursauter alors qu'un symbole de mains apparaissait au centre des inscriptions. La main était lumineuses d'un bleuté chargé de wakfu et semblait plutôt petite, un peu comme la sienne. Intrigué, la jeune iop se rapprocha à nouveau du monolithe et déposa délicatement sa mains sur le symbole, presque immédiatement un bruit sourd se fit entendre alors qu'un choc électrique traversait la jeune fille. L'immense bloc de pierre disparu pour laisser place a un long tunnel embrumé dont les parois semblaient recouvertes d'une épaisse végétation et alors qu'Elely s'engouffrai dans le couloir verdoyant, accompagné de quelques lumière paisible elle sembla entendre un bruit d'écoulement provenant de l'autre bout du tunnel, dont elle apercevait déjà la lumière.
Quelques secondes plus tard, la fille se retrouva dans une clairière largement éclairé par le ciel étoilé et une herbe aussi douce que du coton luisante légèrement d'un vert pomme apaisant. La pièce était très large et au centre de cette dernière ce tenait un petit lac accompagner d'une petite chute d'eau. Au centre de l'étang se trouvait un ilot, et sur cet ilot quelque-chose qui fit rater un battement a Elely, une autre personne.
Il était là, les yeux fermé, méditant en tailleur dans un silence religieux. Son visage caché par la longue cape accompagné de capuche bleue nuit aux bords dorés. Une combinaison de la même couleur sur le reste de son corps a l'exception de son visage, ou la tenue ne s'arrêtai qu'a l'arrête du nez du supposé garçon. Son aura était calme mais puissante, il était clair qu'il se trouvait dans un état de réflexion profond mais qu'il ne s'était pour autant pas assoupi. Elely était presque sur que cet inconnu étrange l'avait vue, ou avait au moins perçu la présence de la jeune iop mais semblait préférer ne pas s'en soucier pour l'instant.
Se calmant Elely pris la peine d'observer plus attentivement son environnements, la clairière était situé dans un cratère offrant un lieu fermé entouré de courte parois surplomber des mêmes énormes arbres. La clairière était plutôt vide à l'exception du lac et d'un petit coin ou était placé un fauteuil et une petite table sur laquelle un plat couvert d'une cloche en terre cuite semblait attendre l'occupant des lieux avec une théière. Se rapprochant un peu plus du lac, bien qu'avec méfiance compte tenue de la présence de l'homme inconnu au centre de celle-ci. L'eau y était d'une clarté presque divine, les diverse pierres et cristaux au fond du lac donnant au lieu des reflets incroyablement colorées. Un grand nombre de poissons exotiques naviguaient paisiblement à l'intérieur du bassin, leurs écailles nacrées reflétant les couleurs et les lumières de leurs environnements.
Intrigué Elely s'accroupie près du bord de l'étang et plongea prudemment ses mains dans l'eau cristalline, elle était froide, mais très agréable pour une raison inconnue. Les poissons ne semblaient pas faire attention a l'intrusion des bras de la jeune iop dans leurs sanctuaire et continuez de se déplacer a proximités de ces dernier comme semblant ne pas remarquer cette nouvelle présence. Alors qu'elle observait la scène relaxante dans laquelle elle s'était introduite, une sorte de carpe au corps blanc tachetée de bleue l'observa, immobile. Lentement Elely entreprit d'attraper le poisson en plaçant ses mains sur ses cotée tout en gardant une certaine distance, chose de la carpe, comme les autres poissons, ne sembla pas remarquer. Le plus délicatement et discrètement possible la jeune fille rapprocha ses deux mains de l'animal et, alors quelle était a moins d'un centimètre d'attraper la carpe, elle disparu , en un clin d'œil, en même temps que tout les autres poissons.
L'ambiance changea brusquement pour aller avec la stupeur de la jeune iop, et tandis que l'atmosphère semblait s'alourdir une légère brise, traversant les arbres se fit entendre. Brusquement Elely releva les yeux paniqué, pour se rendre compte avec terreur que l'inconnu avait disparu. Puis alors qu'Elely commençait à paniquer et a perdre ses moyens une immense aura se fit ressentir dans sont dos, la tétanisant de peur et d'appréhension.
Et alors que le silence régnait depuis quelques secondes qui auraient semblée être des heures dans l'esprit de la jeune iop, une voix à la foi inconnue et si familière se fit entendre.
« Bonsoir, Elely.»
Salut !
Un nouveau chapitre déjà, et dans les temps en plus. Je m'excuse à l'avance ce chapitre n'est que transitoire comparé au chapitre précédant, mais également suivant qui eux sont réellement importants pour le déroulement de l'histoire. Ce chapitre donc est plus court que le précédent mais reste un des plus longs que j'ai écrit pour cette histoire pour l'instant. Comme d'habitude si vous avez aimé le chapitre n'hésitez pas à me le faire savoir en votant pour se dernier et en vous abonnant ce compte pour suivre l'évolution de l'histoire et me motiver à écrire plus. Si vous avez des remarques, des questions ou même des théories n'hésitez pas, les commentaires sont faits pour ça et je me ferais un plaisir de répondre.
Sur ceux a dans deux semaine environ pour la suite de l'histoire, nous verrons enfin la rencontre être Elely et l'occupant pas si inconnu qui hantes ses songes depuis plusieurs mois maintenant.
Sur ce Zaimar, et faites de beaux rêves.
