Salut!

Voici la suite, qui j'espère vous donnera une bonne idée du type de relation que j'aimerais développer entre ces deux-là. Je ne vais pas vous cacher que j'ai adoré écrire ce chapitre, simplement parce que la tension entre les deux personnages est incroyable! J'espère seulement que ça va transparaître dans mon écriture.

J'ai très hâte de poursuivre les prochains chapitres, qui s'annoncent assez excitants :3 D'ici-là n'hésitez pas à me partager vos avis, c'est toujours grandement apprécié.

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Chapitre 5 - Végéta

Du bruit, des Humains et pas de nourriture. Voilà ce qu'il récoltait après s'être laissé entraîner dans cet endroit dépravé par ces deux imbéciles. Ça, et une femelle aux yeux fascinants, qui lui collait aux basques et qui lui volait sa concentration.

Pourquoi avait-il accepté cette mission déjà? Il était venu ici pour assouvir ses besoins de guerrier. Pas pour entendre ses minables acolytes se plaindre à un Humain encore plus minable qu'eux que le menu ne les satisfaisait pas. Et surtout pas pour se retrouver coincé entre eux et l'incarnation même de ses désirs charnels.

-Comment ça vous ne servez pas de nourriture? s'époumona Raditz à sa droite. Tu me donnes un menu long comme mon bras, et tu dis que vous n'avez rien qui se mange!

À sa gauche, la femme pouffa, ses yeux cristallins toujours posés sur lui.

Il était partagé entre l'idée de donner une bonne baffe à l'arrière de la tête de Raditz pour qu'il se la ferme, et celle de prendre cette femme par la gorge pour l'empêcher de souffler sur lui cet air empreint de luxure.

-Vous n'êtes vraiment pas des habitués à ce que je vois, dit-elle en levant un sourcil.

Elle brisa le contact visuel et leva la main pour interpeller le serveur.

-Élias! dit-elle de sa jolie voix. Je m'en occupe. Apporte-leur chacun une pinte de ta meilleure Stout irlandaise, plus un gin-tonic pour moi. Et s'il te plait, apporte-nous aussi un menu du restaurant. Dis au chef que c'est moi qui demande, et que je paierai un extra pour que les plats soient servis ici. Je m'occupe de la facture.

Le serveur hocha la tête, lui fit un clin d'œil et s'exécuta aussitôt, soulagé de ne plus avoir à répondre aux lamentations des deux énormes Saiyans qui s'impatientaient. En deux temps, trois mouvements, trois verres bien remplis d'un liquide ambré surmonté d'une mousse veloutée se retrouvèrent devant eux, ainsi qu'un autre menu, beaucoup plus épais que le premier. Végéta observa attentivement la femme goûter à son propre breuvage, limpide celui-là, sans toucher au sien. Il entendit Raditz et Nappa approuver bruyamment ce qui leur avait été servi. Elle leur sourit en levant son verre.

-Vous me semblez être le type de personne avec un bon appétit, je vous conseille d'essayer l'onglet de bœuf, leur dit-elle. Quant à toi, ajouta-t-elle en se tournant vers Végéta, tu ne manges probablement pas autant que ces deux-là, alors je te suggère de goûter au plat de Ramen Phô, c'est la spécialité du chef.

Végéta grinça des dents. Comme si l'ampleur de son appétit était modulée par sa taille. Cette femme ne savait vraiment pas de quoi elle parlait. La qualité de ce qu'elle avait entre les deux oreilles était nettement moins sensationnelle que sa beauté. Le jugement était facile à faire. Rien qu'à voir la grosseur de ses seins et la profondeur de son décolleté, il savait qu'elle n'avait probablement pas grand-chose d'autre à offrir de toute façon.

Elle prit une deuxième gorgée de sa boisson.

-Tu ne goûtes pas? demanda-t-elle en déposant son verre et en désignant le sien, qui était resté sur le comptoir.

Il demeura silencieux. Ses yeux, jusque-là noyés dans le bleu, dardèrent un instant vers la langue qui venait de lécher les lèvres écarlates sur lesquelles une goutte de son breuvage s'était perdue. Elle le vit, et lui fit un petit sourire.

Elle savait.

Elle savait que, dès l'instant où ils s'étaient croisés dans la rue, un feu indomptable s'était attisé en lui. Elle savait que quelque chose, une attirance, un désir inhabituel, bouleversant, s'était emparé de lui dès qu'il avait posé ses yeux sur elle pour la première fois.

Tout comme il savait que ce même feu brûlait en elle, la réciprocité du sentiment nourrissant sa propre flamme.

Elle n'était pas venue à la rencontre de trois inconnus en armure pour rien. Elle ne s'était pas installée sur le banc voisin du sien sans aucune raison.

Elle avait une idée derrière la tête, et Végéta savait très bien ce que c'était, car la même trottait dans la sienne.

Mais Végéta était un guerrier d'exception. Appliqué, assidu, et fier de l'être, il ne se laissait jamais emporter par le désir de la chair.

Enfin… presque jamais.

Parfaitement conscient de ce qui était en train de se passer, se disant qu'il ne risquait pas de se brûler en jouant à ce petit jeu, il afficha un sourire en coin, et sans la quitter des yeux, il prit son propre verre et le porta à ses lèvres.

Le liquide était froid, un peu onctueux. Amer, mais sucré aussi. Et le goût d'alcool se mariait parfaitement à celui d'un grain qu'on avait probablement fait torréfier.

C'était délicieux.

Tout comme l'Humaine qui s'était assise à ses côtés et qui prenait plaisir à le regarder déguster une bière pour la première fois de sa vie.

-Alors? demanda-t-elle.

L'orgueil ne lui permettait pas d'avouer qu'elle lui avait offert le meilleur breuvage auquel il n'ait jamais goûté. Il releva le menton pour la toiser, mais, pour une seconde fois dans la soirée, elle ne parut pas impressionnée par sa tentative de domination. Elle se contenta de scruter son visage, en quête d'une réponse, d'un verdict.

Mais il y avait quelque chose d'autre derrière ces deux saphirs. Une inquisition, une demande silencieuse, une curiosité inébranlable, et Végéta eut le sentiment que cette femme avait peut-être plus à offrir qu'un décolleté plongeant, finalement.

Mais ça, ça restait à confirmer.

Ainsi, c'est lui qui plia, détournant le regard pour regarder le comptoir sur lequel il déposa doucement son verre.

-Qu'est-ce que tu veux? demanda-t-il sans détour en regardant ses mains gantées.

Elle répondit à sa question par une autre.

-Qu'est-ce que vous faites ici?

Végéta afficha un sourire narquois.

-C'est évident, non? dit-il en désignant son verre et les assiettes bien remplies d'ailes de poulet qui venaient d'être déposés devant les deux autres Saiyans. Nous sommes venus profiter de tout ce que cette planète a à offrir à des visiteurs comme nous.

-Des conneries. Eux, dit-elle en pointant Raditz et Nappa qui avaient commencé à se goinfrer comme seuls les Saiyans savaient le faire, ils profitent peut-être un peu de ces choses. Mais toi, ajouta-t-elle en le pointant grossièrement, tu n'as pas particulièrement la tronche du gars qui s'amuse, si tu veux mon avis.

Le sourire de Végéta s'étira.

- N'est-ce pas une façon de te traiter toi-même d'ennuyeuse, puisque c'est toi qui me tiens compagnie? demanda-t-il méchamment.

Elle plissa les yeux et croisa les bras sous sa poitrine. Elle avait l'air vexée, ce qui lui allait plutôt bien.

-Je suis venue m'asseoir pour discuter avec toi, mais tu n'es même pas foutu de me saluer convenablement. Je t'ai payé un verre que tu as clairement apprécié, mais tu ne daignes même pas me remercier. J'ai même fait en sorte que tes amis aient la panse pleine et t'ai suggéré mon plat favori, mais ça aussi, tu sembles le mépriser! S'il y a quelqu'un d'ennuyeux ici, ce n'est certainement pas moi!

Végéta se tourna vers elle pour lui faire face, un peu piqué dans son orgueil.

- Humaine, ta définition de plaisir n'est pas la même que la mienne, dit-il en affichant un air narquois. Alors, si cela ne te convient pas, tu peux disposer. Cela m'épargnera ta désagréable compagnie.

- Pardon?! Comment ça, désagréable?! s'écria-t-elle. Je ne suis pas…

Elle se tut soudainement, ravalant le reste de sa phrase en réalisant qu'elle était en train de prouver son point. Elle fronça les sourcils, l'air de se questionner sur la pertinence de rester ou de partir. Au bout d'un moment, elle sembla reprendre ses esprits et secoua la tête vigoureusement.

- Ça ne répond pas à ma question.

Apparemment, elle avait décidé de ne pas s'éclipser, puisqu'elle poursuivit, plus doucement, mais fermement tout de même.

-Qu'est-ce que vous faites ici? répéta-t-elle en tapotant l'extrémité de l'épaulette de son armure. Tous ces soldats qui pullulent ce soir, dans les rues, dans les magasins, dans cette boîte de nuit. Pourquoi vous nous envahissez? Tout ça, dit-elle en faisant un geste vers les soldats qui s'entassaient devant la scène, ce n'est certainement pas pour établir des relations d'affaires. Et n'essaie surtout pas de me faire croire que Frieza leur a mis une arme dans les mains pour veiller à la sécurité des Humains.

Elle avait prononcé le nom de l'empereur comme on aurait nommé une bestiole particulièrement répugnante. Elle aurait pu cracher à ses pieds en même temps, il n'aurait pas été surpris.

-Tu dois avoir une idée de la raison pour laquelle ton petit cul de soldat est assis sur cette chaise. Dis-moi pourquoi le lézard t'a envoyé ici! ordonna-t-elle.

Végéta se redressa. La vulgarité et l'audace de ses paroles le firent souffler de l'air par ses narines. Il n'avait pas coutume de se faire parler de cette manière. D'habitude, c'était lui qui donnait les ordres. Soit l'idiotie de cette femme atteignait des sommets, soit son innocence la rendait un peu trop téméraire. Dans tous les cas, elle ne savait vraiment pas à qui elle avait affaire, et il eut envie de remettre cette insolente à sa place. De lui montrer qu'on n'ordonnait pas au prince des Saiyans et que les faibles finissaient invariablement par le supplier.

Mais, une part de lui appréciait aussi cette petite chose qui s'animait devant lui. Quelque part, il était surpris de la vivacité de cette Humaine et il était heureux qu'elle ait décidé de rester pour le distraire.

Il prit une longue gorgée de bière tout en délibérant intérieurement sur la meilleure façon de gérer cette situation.

-Tu veux savoir ce qui m'amuse ? demanda-t-il finalement à la femme, qui haussa un sourcil en le voyant, une fois de plus, esquiver sa question.

Lentement, il leva « son petit cul » de son banc pour se mettre sur ses pieds. La femme ouvrit de grands yeux en le voyant approcher, et il la sentit se tendre lorsqu'il agrippa son banc pour le faire pivoter vers lui. Il plaça ses bras de part et d'autre de son corps frêle, chacune de ses mains étant appuyée sur le comptoir derrière elle.

Putain. Si seulement la musique n'avait pas été aussi forte dans ses oreilles. Il mourrait d'envie d'entendre son cœur frapper contre sa généreuse poitrine, et de voir s'il arrivait à en faire accélérer le rythme.

-Ce qui m'amuse, c'est de vous observer, vous, les Humains, gronda-t-il. Et constater à quel point vous êtes faibles, innocents et pathétiques. Puis rapporter toutes ces informations à Frieza, pour lui dévoiler combien il serait facile de tous vous écraser.

Il plaça l'un de ses index sous le menton de la femme pour la forcer à relever la tête vers lui. Ses yeux, jusque-là rivés dans le bleu des siens, parcoururent brièvement les courbes de sa bouche, et il vit que ses lèvres écarlates étaient subtilement entrouvertes.

Son estomac gronda.

De la salive inonda sa bouche.

Cette faim n'avait vraiment rien à voir avec la nourriture qui s'accumulait sur le comptoir derrière eux.

-Toi, en particulier, dit-il en plongeant de nouveau dans ses océans.

Il emprisonna son menton entre son pouce et son index. Son intention originale avait été d'ajouter de l'ampleur à la menace cachée qu'il venait de proférer. Mais, sans le vouloir, le geste se transforma en quelque chose qui ressemblait beaucoup plus à de la convoitise. Lentement, comme attiré par une force magnétique, il approcha son visage du sien et ce n'est que lorsqu'il sentit la chaleur émaner de ses joues roses qu'il s'immobilisa.

Elle avait d'abord été prise de court lorsqu'il l'avait touché avec son gant immaculé et avait obéi sans résistance au mouvement qu'il lui avait imposé. Puis, en voyant que la simple vision de sa bouche lui avait fait perdre sa concentration, elle lui répondit d'un air malicieux.

- Qu'est-ce qui t'amuse le plus exactement? De voir à quel point je suis faible et pathétique, ou bien de m'observer, moi.

- Le premier choix, sans hésiter, répondit-il en montrant les dents.

Elle soutint son regard sans ciller, et il sut qu'elle doutait de sa réponse. Avec raison, puisque lui-même n'en était pas certain.

La femme s'écarta un peu de lui. Il la libéra de son emprise.

- Eh bien, finit-elle par dire, vos intentions sont claires, hein? La prochaine fois que tu verras Frieza pour lui rapporter combien il serait facile d'éliminer et de soumettre les Humains, tu lui livreras un message de ma part.

Il releva le menton pour l'inviter à poursuivre.

- Qu'il aille se faire foutre, s'exclama-t-elle avec fougue en le repoussant.

La force qu'elle avait employée était si minuscule que Végéta ne broncha pas d'un poil. Elle ne parut pas s'en plaindre, car elle s'ajusta plus confortablement sur son banc et appuya ses coudes avec confiance sur le comptoir derrière elle. Il sentit l'une de ses épaules effleurer son avant-bras par-dessus le tissu de sa combinaison. Il prit plaisir à s'imprégner de cette image, celle d'une femme au potentiel de combat nul, qui venait de lui demander fièrement d'envoyer promener son supérieur.

Il afficha un sourire mauvais en s'imaginant transmettre ce message à l'empereur le plus craint de tout l'univers.

- Avec plaisir, gronda-t-il.

Ils s'observèrent un instant. Même s'il venait ouvertement d'insulter son peuple et de la menacer de mort, elle n'avait pas l'air apeurée, ni même en colère. Au contraire, elle semblait prendre plaisir à interagir avec lui, appréciant cette confrontation teintée de flirt à peine camouflé. Sans aucun doute, elle partageait cette excitation qui l'envahissait, lui aussi.

Végéta s'imagina, l'espace d'une seconde, ce que ça pourrait être de la baiser. Juste-là, sur le comptoir, son short déchiré et ses énormes seins débordant de son chandail jaune trop petit pendant qu'il la faisait crier au rythme de ses coups de rein. Une pensée qu'il chassa sur le champ, car déjà, il pouvait sentir le bas de son abdomen s'échauffer.

Eh merde, mais qu'est-ce qui pouvait bien lui arriver? Il devait y avoir quelque chose dans l'air qui le rendait aussi peu concentré; la musique, les lumières tamisées, les gens qui dansaient, se touchaient, s'embrassaient partout autour d'eux. Ou peut-être était-ce la pleine lune? Il y a bien longtemps qu'il n'avait pas été sur une planète doté d'un astre lunaire. C'était probablement l'influence des ondes Blutz sur ses gênes de Saiyan qui jouait des tours à ses instincts.

-Tu sais, tu es plutôt mignon quand tu rougis, avoua-t-elle en lui faisant un clin d'œil.

Végéta fut pris par surprise. Mignon. Il n'était pas convaincu que le terme qu'elle venait d'utiliser pour le qualifier lui collait à la peau.

- Je t'inviterais bien chez moi pour faire plus ample connaissance, poursuivit-elle en prenant une gorgée dans son verre. Mais, je me doute de l'effet que je te fais, et je me demande si tu sauras bien te tenir.

La vulgarité de son vocabulaire le laissa encore plus pantois. Et merde, il détestait l'avouer, mais elle n'avait pas tout à fait tort de douter non plus.

-Je ne suis pas mignon, rétorqua-t-il. Et comment oses-tu insinuer que je ne serais pas en mesure de bien me tenir? Tu n'as aucune idée de qui je suis, et ce dont je suis capable.

- Oh, mais ne te gêne surtout pas pour me le montrer, soldat.

Il sentit de nouveau le rouge lui monter aux joues, ce qui la fit sourire encore plus. Déterminé à prouver qu'elle avait tort, il s'approcha un peu plus d'elle.

-Tu sais ce que je pense? demanda-t-il dangereusement. Je crois que tu fais de la projection, et que c'est plutôt toi qui n'arriverais pas à bien se tenir.

Elle se mit à rire, et c'est avec des yeux pervers qu'elle scruta les muscles de son torse et de son abdomen. Elle, contrairement à lui, n'avait absolument aucun remords à afficher ses désirs.

- Tu as probablement raison, concéda-t-elle, et il sentit une nouvelle vague de chaleur se propager vers son entre-jambes.

Elle lui fit un sourire entendu et déposa son verre sur le comptoir.

-J'ai vraiment envie d'aller danser. Tu viens?

- Je ne danse pas, grogna-t-il d'un air ténébreux. Enfin, je ne danse pas de la même manière que vous, les Humains.

N'importe qui de suffisamment renseigné savait qu'une telle réplique venant d'un Saiyan pouvait être considérée comme préjudiciable. Mais apparemment, ce n'était pas son cas à elle. Elle feignit une moue, déçue de le voir refuser son invitation, puis se mit soudainement sur ses pieds. Leurs corps s'étaient dangereusement rapprochés, mais il en fit un point d'honneur de rester immobile.

Lentement, elle inclina son visage vers l'avant. Elle prit tout son temps pour aller porter sa bouche près de son oreille, et noyé dans le désir, il la laissa faire. Il sentit son souffle chaud effleurer son cou lorsqu'elle parla.

-J'aimerais bien savoir comment tu danses, Saiyan. Peut-être pourras-tu me montrer de quoi tu es capable un peu plus tard ce soir.

Elle posa une main sur l'armure de Végéta, qui retint sa respiration en comprenant ce à quoi elle avait fait allusion. Il était certain qu'elle ne parlait pas de danse au sens littéral ni de ses capacités de combattants, cette fois.

Elle s'écarta un peu pour vriller ses yeux bleus dans les siens. Végéta plongea dedans sans hésiter, et lui offrit l'un de ses célèbres rictus.

Voilà une invitation difficile à refuser.

Malheureusement, le temps sur Terre s'écoulait particulièrement rapidement. Les ordres qu'il attendait du vaisseau impérial ne tarderaient pas à venir. Et il devait absolument compléter cette mission s'il voulait obtenir ce qu'il voulait.

Alors, c'est en scrutant les yeux de cette magnifique Humaine aux paroles remplies de sous-entendus que la proposition que Raditz lui avait faite plus tôt lui traversa l'esprit. Et pour une fois, il considérera sérieusement ramener une femelle aux Quartiers de son vaisseau.