Hello ! Qui veut revenir voir les aventures d'un fils de Scoia'tael.

Reviews :

- lala : Blaise... Blaise... Toute une histoire qui peut être créée autour de ce personnage ^^. Et pour son arbre généalogique ? Surprise ! Je ne vais pas révéler tout les secrets en avance, non ?

- Yuwine : Mais fais le tour de toutes mes fics. C'est un plaisir de les écrire. Et oui, faut pas me laisser sans surveillance. Les idées fusent avec les deux mondes mélanger ensemble. Et puis, certes, ça fait étrange, mais c'est ce qui est amusant et qui sépare des autres fics.

- lesaccrosdelamerceri : Toujours un plaisir que ça te plaise. Voici une suite et bonne lecture.

Alors, les mondes sont issus des ouvrages de J.K. Rowling et de Andrzej Sapkowski !

/langue/ : Nordien

langue : Anglais

~langue~ : Hen Llingue

~~langue~~ : Fourchelangue

Oubliez pas la petite Review pour l'auteur. ça me fait plaisir de lire vos retours.


Chapitre 11 : La pierre d'alchimie.

Nàmo était excité, à la différence de ses camarades de classes qui le regardaient étrangement. Personne n'aimait aller en potion. Surtout avec le professeur Rogue qui détestait les enfants, selon beaucoup.

La porte de la salle de classe s'ouvrit avec les élèves de Gryffondor et de Serpentard. Blaise s'approcha de lui, cependant, Draco arriva à côté de son camarade, attrapant le morceau de parchemin de ses mains. Nàmo serra les dents, sentant alors peut être un problème. Seulement, le blond tira les notes des mains de Hermione qui passait et roula les deux ensembles avant de lui jeter à la figure l'ensemble.

- Si tu ne veux pas être un idiot toute ta vie, apprends, Cerbin. Je te fais une fleur.

- C'étaient mes notes, siffla dangereusement Hermione.

- Et ? Il a besoin de vocabulaire s'il veut vraiment aller en potion.

Nàmo regarda les deux et secoua la tête en marmonna à Susan à sa gauche qu'il ne souhaitait pas être présent lorsque la crise de jalousie exploserait.

- Si vous n'avez rien de mieux à faire, Granger, je vous conseille de sortir de la porte pour laisser passer vos camarades incompétents.

La Gryffondor sortit prestement du chemin de la porte, faisant rire le blond qui semblait se complaire dans ce qu'il venait de faire. Néanmoins, Blaise donna un coup à l'arrière du crâne de Draco à la surprise de ce dernier et dit quelque chose. Nàmo s'en ficha, voyant alors les notes des potions en nordien et en anglais. Et il redressa la tête vers le professeur Rogue en souriant, attendant vraiment de passer la porte d'une des matières où il était sûr de comprendre quelque chose.

La baguette était une difficulté pour lui. Pourquoi utiliser la baguette à chaque sort ? Certes, il avait appris à user d'objets pour canaliser sa magie mais ce n'étaient que des aides. Ici, les sorciers dépendaient de leur baguette à chaque sort. Nàmo tentait de voir s'il était possible d'user des sorts appris autrement qu'avec l'objet. Et il y arrivait bien dans plusieurs de ses essais. Ce qui faisait que plusieurs de ses camarades, bien qu'avec les difficultés de langue, lui avaient demandé qu'il explique et leur apprenne.

La salle de classe lui rappelait un peu l'un des laboratoires de l'école du Griffon. Il y avait plusieurs tables avec des foyers et des chaudrons. Les armoires, autours, étaient couvertes d'ingrédients en bocaux ou en pots de terre. L'odeur des potions flottait dans l'air. Un de ses camarades le tira à une place libre et étrangement, loin du bureau de Rogue. Il y avait un souci.

- Monsieur Cerbin ! Vous prendrez le bureau devant afin que je puisse éviter la catastrophe de votre abyssale incompétence contre vos camarades de classe.

Les Poufsouffles serrèrent les dents alors que plusieurs des serdaigles fixaient cela étrangement. L'elfe s'en fichait un peu et écouta, au mieux, ce que disait Rogue. Il ne comprit pas beaucoup de mots mais reconnut plusieurs sur la feuille de Hermione. Elle notait littéralement tous ce que disait le professeur ou quoi ? Puis, il compara avec la feuille que lui avait donné Blaise. Il réussit à repérer certains des mots entre les deux feuilles.

- Bien ! Monsieur … Cerbin. Puisque vous avez décidé de prendre un autre nom. Quelle est la différence entre le Napel et le tue-loup ?

- … Aconit ? Même nom ? Même fleur ?

Le professeur haussa un sourcil et posa une seconde question. C'étaient principalement des ingrédients qu'il lui demandait. Puis, il donna l'interaction sur une potion et Nàmo le regarda étrangement, ne sachant pas. Et Rogue le vit ouvrir son livre un instant de potion puis revenir à lui.

- Pas sûr … sang salamandre… propriété soin ? Potion de soin ?

Rogue parut surpris et hocha la tête. Nàmo venait de lui donner une réponse que le professeur ne s'attendit pas. Elle n'était pas fausse, mais elle n'était pas correcte non plus.

- Dommage que vous ne puissiez savoir la réponse. Cela aurait, miraculeusement, donner des points à votre maison. Mais que puis-je attendre d'idiots ?

Nàmo serra les dents à l'insulte mais garda le visage de marbre. Le professeur tourna les talons, faisant flotter sa robe sombre de façon dramatique. Il donna alors la potion que les étudiants devaient faire d'ici la fin du cours. C'était la potion d'amnésie.

Les notes de Blaise et d'Hermione correspondaient exactement à ce qu'avait marqué Rogue sur son tableau sombre. Nàmo regarda l'ensemble des instructions, notant sur un parchemin alors sa propre version mais entoura les mots qu'il ne comprenait pas exactement. Puis, il écarta son parchemin ainsi que les objets qui seraient envahissant pour la préparation. Il entendait presque le Maitre Laufey derrière lui, lui disant de ranger son bazar avant de commencer la moindre potion. Rogue le vit faire mais ne dit rien. Il était jugé sur ce qu'il allait faire.

Il relut les quantités nécessaires puis, à la surprise de son voisin, il tira un bout de parchemin de son sac qu'il coupa en morceaux. Puis, après avoir récupéré les ingrédients, il les posa sur chacun des bouts de parchemin, après les avoir pesés. Ce fut un peu comme lorsqu'il préparait les potions ou les huiles pour les sorceleurs. C'était même plus simple en fait.

Il attrapa les Baies de gui et les écrasa dans le mortier jusqu'à obtenir le jus nécessaire. Il récupéra l'ensemble ainsi que les peaux des fruits qu'il laissa de coté au début. Il jeta dans l'eau de la potion le contenu de son mortier et tourna la louche. Puis, seulement là, il mit les chairs des fruits. Il tira le couteau et effila les brins de valériane avant de les ajouter à leur tour. Il n'était pas très sûr de l'eau du fleuve de Léthé mais, il réussit à trouver dans les étagères en cherchant les exacte lettres. Ce fut ensuite plus qu'une question d'attente.

Il regarda le contenu de son chaudron avant de se souvenir qu'un ingrédient, dans les livres, pouvait accentuer l'effet. Il attrapa l'objet en question, le soupesant dans sa main. Soit il le mettait et pouvait très bien détruire la potion, soit faire comme avait marqué sur le tableau le professeur. De toute façon, il avait presque terminé.

Un fracas le fit sursauter avec les autres. Il tira son chaudron rapidement du feu et tourna la tête vers le fond de la salle, comme tous.

- Peeves ! Sortez de ma classe, grogna violemment Rogue.

- Ohhh Pauvre petite Chauve-souris !

Un objet vola et plusieurs ingrédients volèrent à cause du Poltergeist. Nàmo jura, attrapant le couvercle pour le mettre sur son chaudron alors qu'un pic de porc-épic tomba dans le chaudron de son voisin. Il vit la potion virer verte puis rouge.

- / AU SOL !/

Il attrapa son camarade et le mit sous la table alors que le chaudron sauta. Il redressa la tête, regardant alors l'absence d'un chaudron et ce dernier être au plafond. Et d'autres accidents similaires dans la pièce avaient été fait.

Puis, l'esprit partit comme si le fait d'avoir mis le chao était normal. Il regarda Susan, inquiet.

- Dire moi que courant.

- Oui. Il est en forme en ce moment. J'ai entendu dire qu'il a importuné Rogue pendant toute la semaine. Et à plein de cours.

- Moi pas coupable. Aime pas spectre comme lui. Préfère Ima.

- … Ima ?

- Pas savoir mot correcte. Dame ? Occupe-toi ? … bébé ?

Susan ne put répondre puisque Rogue ordonna qu'ils rangent le bazar et fournisse la potion sur son bureau à la fin du cours. Et Nàmo retira le couvercle et grimaça, notant que la potion n'était pas exactement comme la couleur qu'avait indiqué Blaise. Il renifla celle-ci et sentit comme s'il oubliait quelque chose. Il semblerait quand même que cela avait fonctionné. Néanmoins, lorsqu'il regarda sur son bureau, il n'y avait plus l'asphodèle. Il grogna.

Nàmo mit néanmoins en flacon la potion et l'amena le premier à Rogue. Ce dernier le regarda avec son regard sévère et attrapa le flacon.

- Je vous demande une potion et il est clair que celle-ci n'a pas la bonne couleur, monsieur Cerbin. Comme quoi, la célébrité ne fait pas tous.

- Célébrité ? Pour perdre parent ? Mauvaise célébrité.

Et Nàmo roula clairement des yeux. Il demanda les devoirs néanmoins et Rogue leva juste sa baguette pour que la craie écrive sur le tableau l'ensemble de ce qu'il demandait pour le prochain cours.

La fin du cours sonna. Il n'avait peut-être pas réussi à se faire une place dans la classe. Rogue ne lui avait pas dit s'il pouvait rester au prochain cours. Il rangea ses affaires comme ses camarades.

- Monsieur Cerbin, je n'accepte aucune excuse pour vos devoirs. Si je trouve que vous avez copié sur un de vos camarades, je vous déconseille alors de revenir.

Cela surprit plusieurs des élèves alors qu'ils sortaient de la salle. Et Nàmo regarda la porte un instant avant de mettre une note mentale d'aller voir Coën qui devait être avec Maria Zabini pour ses cours. L'ancien avait bien plus de temps que lui d'apprentissage.

Mais, ce fut étrange, selon Nàmo et Coën, que la femme accepte d'être autant présente dans l'école. C'était comme si elle fuyait sa demeure.

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Rogue regarda à nouveau le flacon du fils de Lily. Un élève de première année n'aurait pu atteindre une pareille perfection. Voir même, il y avait clairement un ajout d'un ingrédient qui augmentait la puisse de la potion. C'est à l'ingestion que l'on oublie, là, les vapeurs même pouvaient vous faire perdre votre fil de pensée.

Il devrait détester le fils de Potter mais, il n'y avait pas de traits auxquels se rapprocher. Le garçon n'était pas arrogant. Et ne savait même pas qu'il était célèbre, clairement jusqu'à arriver dans l'école. Et il n'arrivait pas à voir la ressemblance avec son père à part quelques détails. Les cheveux, par exemple, étaient indisciplinés mais le garçon les avait faits pousser au point qu'il puisse faire des tresses pour maintenir les mèches hors de ses yeux. Il semblait passé sa vie à courir à l'extérieur. Et ses oreilles étaient similaires à celle de sa mère. Le secret de Lily Evans que lui seul savait, à une époque et que Potter avait partagé ensuite.

Le garçon était curieux et travailleur. Il n'était là que depuis à peine un mois et demi et il avait déjà pris pas mal de vocabulaire pour communiquer. Il comprenait énormément de choses malgré ses difficultés.

Rogue marcha jusqu'à la salle qu'utilisait la mère de son Serpentard. Maria profitait de l'excuse de donner des cours pour éviter la maison familiale des Zabini. Et ça, le professeur de potion s'en doutait, connaissant des particularités de chacun de ses serpentards. La serpentarde souffrait silencieuse des devoirs d'obéissances de la famille et ordres du chef de famille. C'était très peu connu par les membres des cercles sorciers. Et il ne le savait que par l'inquiétude qu'il avait eu pour le jeune Blaise. Il avait noté son comportement et avait demandé une entrevue avec les parents. Maria vint et ce fut alors simple de comprendre qu'elle souffrait de ces mariages à outrance, imposer alors qu'elle était adulte. Elle était simplement prisonnière de la volonté d'un fou.

Il frappa à la porte et rentra. Le « gardien » du fils de Lily le regarda avec ses yeux jaune perçant. C'était comme s'il était capable de voir la moindre respiration ou le battement de cœur du sorcier. Et il était en conversation avec Maria. Il semblait bien plus à l'aise que l'adolescent.

- Professeur Rogue. Il y a un problème ?

- Non. Une question pour monsieur Coën. Le jeune Nàmo Cerbin est sous apprentissage, n'est-ce pas ?

- Maitre Laufey est l'un de ses maitres, répondit l'homme avec difficulté. Maitre Keldar aide aussi. Comme tous.

- Les potions. Nàmo a-t-il déjà fait des potions ?

L'homme donna un sourire jusqu'aux oreilles en disant simplement une chose. Nàmo était un très bon élève. Ça ne répondait pas à sa question. Puis, Coën regarda Maria, disant alors quelque chose dans leur langue étrange. Le professeur se demandait encore comment la femme avait acquis cette langue alors que personne ne savait d'où elle venait. Peut-être une langue morte. Elle revint vers lui.

- Le jeune Cerbin est l'élève d'un maitre mage. Son apprenti, semblerait-il. Et il a déjà pratiqué de nombreuses potions et a appris les plantes de leur monde.

- Donc, cela pourrait expliquer ce « miracle ».

Il posa la potion sous les yeux du sorceleur qui fronça les yeux et sentit, presque comme s'il avait des sens surdéveloppés. Il regarda l'objet ensuite, les sourcils rejoignant presque la racine des cheveux. Il reposa la potion en commentant alors une chose à Maria.

- Il ne connait pas cette potion. Et Nàmo non plus.

- Je n'ai pas dit qu'il connaissait la recette. Il s'y connait en potions, simplement. Je vais donc moins avoir le désespoir d'un idiot dans ma salle de classe.

- Nàmo pas idiot. Futé, renard. Fils du renard. Renard autant.

Les deux regardèrent Coën qui dit alors une chose à Maria qui se mit à rire à la surprise de Rogue. Elle traduisit qu'actuellement, Cerbin voulait dire Corbeau et que le surnom de son oncle était Crevan qui voulait dire Renard. Et que Nàmo était parfois surnommé le renardeau par sa famille.

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Nàmo regarda le journal. Ça, c'était plutôt une bonne invention. Même si il sentait que c'était comme les panneaux d'affichages des villes. On ne mettait que ce que le gouvernement voulait bien que l'on mette dessus. À la limite, les annonces pour les monstres, c'était normal.

Il tourna la page et fronça le nez. Il tourna la tête vers son voisin et présenta l'article qui l'avait frappé. C'était surtout que l'elfe avait reconnu sur la photo les goblins.

- Problème banque ?

- Fais voir ? … oh ! Il y a eu un vol.

- … Vol ?

Ce n'était pas un mot qu'il connaissait et Blaise était hors de vue. Néanmoins, Susan et Hermione, qui s'était invité à la table pour les devoirs, lui expliquèrent. Un vol avait été commis à la banque. Il faut dire que c'était une banque et que cela restait parfaitement normal que quelqu'un tente de la voler. Même s'il avait été marqué que le coffre avait été vidé au mois de septembre et que le vol s'était déroulé le jour d'après.

- / Étrange./

Il revint à ses devoirs, grognant en regardant les lignes d'écritures ainsi que les quatre livres qu'il devait lire avec agacement. Cependant, les discussions actuelles le firent relever la tête.

- … Je pars dans ma famille, cette année. On a prévu de descendre en France pour les vacances.

- Chanceuse ! Bien que je suis content de pouvoir retrouver ma chambre et mes parents.

Les discussions tournaient autour des vacances. Il baissa les épaules, essayant de se concentrer sur son livre. Mais, c'était une douleur à la poitrine. Yule approchait à grand pas et il ne pouvait pas rentrer. Dumbledore leur avait dit qu'il chercherait mais l'homme semblait avoir son propre agenda. Coën lui avait demandé de ne jamais être seul avec l'ancien.

Nàmo souffla avant de sortir de la grande salle. Il avait terminé les devoirs au mieux avec sa connaissance de la langue. Il se dirigea vers la forêt interdite, avançant dans la neige et resserrant autour de ses épaules l'épais manteau.

Il regarda les bois sombres alors que la neige maculait le lieu. Il passa l'orée, avançant dans les bois en restant proche du parc. Mais, il aurait bien pris une pointe de vitesse dans les bois et courir sans réfléchir.

Il monta dans un des arbres et commença à avancer sur les branches tranquillement. Il faisait froid mais, ça allait. Il avait connu pire par le passé. Cependant, il entendit quelque chose d'étrange, comme un hennissement. Il tourna son œil dans la direction en question. Un cheval ? Il marcha vers, utilisant les branches pour avancer. Le danger venait souvent d'au-dessus de la tête. Alors, être dans les arbres était un avantage sur beaucoup de chose.

Il avait beau avoir onze ans, il avait appris rapidement à survivre. Et surtout, éviter plusieurs choses pour ne pas être blessé. Sans oublier qu'il avait participé, comme d'autres enfants, à des entrainements avec les sorceleurs. Laufey, malgré son grand âge, croyait à l'âme saine vit dans un corps sain et un esprit sain.

Plusieurs minutes à sauter d'arbres en arbres, il trouva la source du problème. Il vit un tout jeune cheval blanc, tentant de faire bouger le corps inerte sur le sol. Il regarda autour mais la petite créature était seule. Il sauta de l'arbre silencieusement et chercha s'il n'avait pas quelque chose dans sa sacoche. Avant de se souvenir qu'il n'avait pas son sac, comme à la maison. Il posa la main sur le sol, se concentrant pour faire pousser alors un peu d'herbe sur le sol des bois.

La magie luit d'une couleur or autour de sa main alors que des herbes de luzerne apparurent. L'elfe eut un coup de fatigue plus important qu'il n'aurait cru. Il était vrai qu'il n'avait pas mis de graine donc, ça avait demandé encore plus d'énergie. Il prit les herbes et rentra dans la petite clairière. La créature tourna la tête vers lui et Nàmo fut surpris. Le poulain avait une corne sur la tête et sa mère aussi.

Maintenant qu'il regardait de plus près, il ne put que voir ce qu'il avait devant lui. C'était une licorne. Le poulain hennit de panique et recula contre l'arbre. Nàmo s'assit alors sur la racine, la main tendue avec le foin frais. Le poulain regarda autour puis, après des minutes de patience, approcha. Pourtant, il ne mangea pas le foin de suite. Il lui renifla la main doucement. L'elfe sourit, posant alors sur le museau celle-ci et commençant à caresser la créature. Et celle-ci le poussa alors, reniflant encore plus, joueur. Nàmo tourna son œil vers la mère au sol. Maintenant proche, il ne put que voir la blessure au coin du cou. C'était une morsure et quelqu'un avait bu le sang de la pauvre bête. Nàmo continua de frotter le museau du plus jeune, lui donnant le foin qu'il avait entre les mains. Et ce dernier mangeait avidement.

- /Il devrait en avoir d'autre… tu ne dois pas rester seul, toi. Et tu te nommes comment, petit goinfre ?/

Il avait parlé à voix haute et l'animal le regarda alors attentivement, penchant la tête, comme le comprenant. Mais, il revint à sa nourriture, laissant l'elfe sans réponse.

- *Khancorwynt !*

Nàmo se figea nette en entendant alors une très jeune voix. Il tourna la tête vers le poulain qui semblait insistant. Puis, à nouveau, plus distinctement, dans son esprit, le mot fut répété.

- *khancorwynt !*

- /c'est ton nom ?/

La créature se colla contre lui, cherchant clairement la chaleur et surtout, d'être consolé. Il était seul depuis combien de temps ? Il frotta doucement la crinière du petit animal jusqu'à entendre alors une voix s'exclamer.

- Par les culottes de Merlin !

Il tourna la tête vers ce qui était presque un géant. C'était l'homme qui avait été désigné comme le garde forestier de Poudlard : Hagrid.

- Mon garçon, que … ? C'est ? Oh… pauvre petite.

Le grand personnage venait de voir alors la mère morte sur le sol. Nàmo se redressa, à moitié poussé par la licorne qui se mit derrière lui, à moitié. Le gardien se pencha vers la mère et souleva doucement le corps.

- Tu l'as trouvé ainsi, n'est ce pas ?

- … Oui. Trouvé ici. Petit pleurer.

- Tu es un bon garçon. Mais la forêt est dangereuse. Mais, il faut que l'on ramène au troupeau ce petit garnement. Avec de la chance, une des mères le prendra.

- … pas comprendre après Bon.

Le géant se tourna vers lui en clignant des yeux puis, il y eut la lueur de reconnaissance.

- Mais je ne t'ai pas reconnu. Et pourtant, tu es le portrait de tes parents, Harry.

Nàmo donna un air agacé d'avoir à nouveau été appelé Harry. Et le grand personnage barbu continua de l'appeler ainsi avec ce côté doux, rempli d'affection. Néanmoins, ça ne lui donna pas la même impression qu'avec le directeur. Non. C'était plutôt l'image d'une sorte de gros ours en peluche un peu naïf. Iorveth aurait dit que l'homme n'était pas un danger très certainement.

Lorsque Hagrid s'approcha du poulain, celui-ci se colla encore plus dans le dos de Nàmo, enfonçant un peu sa corne contre l'elfe qui s'écarta en regardant agacé la créature. Hagrid soupira.

- Bon… il semble que ce petit bonhomme ne te quittera pas. Donc, tu viens avec moi.

- … suivre ? Où ?

- Voir son groupe. Il n'est pas loin.

Le demi géant avança, lui faisant signe de le suivre mais Nàmo croisa les bras, ne bougeant pas. Suivre un parfait inconnu ? On l'avait pris pour quoi ? Un idiot ? Seulement, des bruits de sabots approchèrent. Les deux se retournèrent pour voir alors des créatures que Nàmo n'avait jamais vu avant : des hommes aux corps de chevaux. Puis, de l'autre côté, des licornes. Et une semblait particulièrement agacé. Comment un cheval pouvait paraitre agacé ?

- Hola ! On se calme tout le monde, commença Hagrid. Vous allez inquiéter celui qui a gardé ce petit.

- Nous savons qui il est. Et il ne craint rien en ces bois de nous. Mais la jeune licorne doit retourner à son clan.

Nàmo entendit néanmoins, de son coté, une conversation bien différente.

- *Attention, jeune Aen à celui qui craint la mort. Tu croiseras souvent sa route. *

- /Qui ? /

- *Tu sais déjà. Et tu rentreras chez toi. Lorsque le moment sera venu. *

- /Vous êtes les responsables de…/ commença Nàmo avec colère.

La licorne avança jusqu'à lui et le regarda dans les yeux. Le plus jeune vint contre ce dernier, tournant la tête dans sa direction.

- *Tu rentreras chez toi avec ton ami. Ceux qui sont des tiens trouveront un moyen… Ou toi avant eux. *

Les licornes disparurent et Nàmo fut tiré par le géant qui indiqua qu'il était peut-être plus prudent de rentrer. Et se balader dans la forêt interdite était dangereux. Le professeur Dumbledore avait pourtant bien précisé au banquet de début d'année qu'il ne fallait pas y aller. Nàmo grogna qu'il n'était pas là depuis le début.

Mais faire comprendre cela était compliqué et Nàmo se retrouva devant le bureau du directeur. Hagrid se tourna vers lui.

- Ne t'inquiète pas… je suis juste inquiet pour ce qui attaque les licornes. Et puisque tu en as trouvé une… il me faut quelqu'un pour en discuter avec le directeur.

- … parle pas correct. Vraiment idée bonne ?

- Oui. Une seconde : Citron meringuer !

Ce n'était pas un nom de dessert si il se souvenait bien ? Ils montèrent les marches pour entendre plusieurs professeurs discuter. Nàmo reconnut Mcgonagall mais aussi Rogue ainsi que Chourave. Il espérait qu'il n'était pas question de lui en fait.

- … Vous devez contacter Nicolas Flamel. Il est clair que Poudlard ne restera pas le lieu le plus sûr pour le voleur.

- Je fais parfaitement confiance, Minerva, aux pièges qui ont été créé par chacun d'entre vous, dit Dumbledore. Et puis, comme la souligner Rogue, il faut déjà passer Touffu, le chien. Et comprendre chaque piège et épreuve pour arriver à la fin.

Nàmo venait de terminer de mettre le sort de traduction. Ça commençait à l'épuiser de ne pas comprendre les adultes. Surtout qu'il était sûr que lorsque c'était question de lui, on en profitait qu'il ne comprenne pas.

Ils arrivèrent dans le bureau qu'il avait déjà vu avant et vit l'oiseau de feu voler jusqu'à lui. Il tendit le bras et le phénix s'y posa, chantant alors, content de le voir. Les professeurs et le directeur le regardèrent très étrangement.

- Excusez-moi de vous déranger, professeur Dumbledore. Mais, le petit Harry a trouvé une licorne encore une fois morte proche de ma cabane.

Les yeux du directeur se tournèrent vers lui.

- Vous avez trouvé alors cette pauvre licorne, monsieur Potter.

- C'est Cerbin. Nàmo Cerbin. Eh oui. J'ai entendu son poulain hennir. Je suis allé voir. Mais il y n'y avait personne lorsque j'y suis arrivé.

- Professeur chourave ? Pouvez-vous ramener monsieur Potter à son dortoir ? Nous allons voir pour cette affaire.

La sorcière arriva à son niveau, lui demandant s'il n'avait rien. Il rétorqua qu'il allait parfaitement bien, à la différence d'une créature morte. Et que la chose qui tentait de boire le sang était dans la catégorie de monstre.

Cependant, Nàmo nota le nom dans un coin de son crâne. Nicolas Flamel. Il se souvenait d'avoir entendu cela à un moment, mais où ?

Il fallut attendre le lendemain pour poser la question à la seule personne qui lui répondrait sans savoir pourquoi il posait la question : Maria Zabini.

- /Peux tu répéter le nom ?/

- /J'ai entendu parler par des camarades de Nicolas Flamel mais je n'ai pas réussi comprendre de quoi il s'agissait./

La femme le regarda longuement avant de tirer un nouveau livre des personnes célèbres du monde sorcier. Plus ou moins la version papier de ce qu'était les cartes de Chocogrenouilles. Nàmo se retrouva alors à voir la fiche de Nicolas Flamel et Maria Zabini lui demanda de la lire à haute voix. Elle utilisait sa question pour de la pratique. Ça lui allait en fait.

- Alchimiste français qui a fabriqué la Pierre philosophale, une pierre permettant de transformer n'importe quel métal en or et de rendre immortel grâce à l'élixir de longue vie.

Certes, il avait buté sur presque tous les mots. Mais, à la fin, il avait réussi à avoir l'information qu'il voulait. Une pierre d'alchimie capable de donner un élixir de longue vie avait été créé. Cela répondait à une de ces questions. Les mages et sorcier, ici, ne pratiquait pas des rituels pour prolonger leur vie ni garder une apparence « jeune ». Car si c'était le cas, Dumbledore devait être très, très vieux.

Ensuite, changer le métal en or. C'était inquiétant pour des raisons diverses et varier. Certes, les gens se penseraient heureux avec de l'or mais ça apportait de la cupidité principalement.

Puis, qui voudrait la vie éternelle ? Certes, les elfes vivaient très, très, très longtemps. Mais, il y avait un prix à payer pour cette longue vie. Par exemple, ils n'avaient que très peu d'enfant et n'étaient fertile que les cent ou deux cents premières années de leur vie. Son oncle n'aurait pas la chance d'avoir un enfant. Sauf si on trouvait un moyen de rendre à nouveau fertile les elfes.

Chose que personne ne chercherait en fait. Les humains étaient bien plus intéressés à découvrir comment prolonger leur vie. Mais ce serait une chose qu'il chercherait. Après tout, les sorciers d'ici semblaient avoir pas mal de potions et sorts qui changeaient de ceux des royaumes du nord.

Il continua la leçon mais nota alors, en sortant, blaise discuter avec sa mère. Et il nota surtout que le Serpentard serrait les dents, cachant sa main dans sa manche. L'elfe fronça les yeux puis, juste l'espace d'un instant, cru voir des griffes sur la main de son camarade. Certes, le collier d'argent tremblait continuellement sur les terres de Poudlard, mais il n'y avait aucune traces de réels monstres. Et blaise n'avait aucun trait qui pouvait l'apparenter à un monstre à part quelques particularités.

Nàmo ferma les yeux. Blaise ne le connaissait que depuis plusieurs semaines. Il ne dirait pas à Nàmo s'il y avait quelque chose qui le dérangeait. Néanmoins, l'elfe fit la note mentale de garder l'œil attentif.

Autre chose occupait son esprit. Une pierre alchimique se trouvait dans les murs de Poudlard. Et une chose, clairement tentant de fuir la mort, la voulait. Il fallait donc être prudent.

Il chercha Coen qui se trouvait presque toujours dans la bibliothèque si ce n'était dans la salle de cours avec la sorcière. L'elfe monta les marchés jusqu'au grands escaliers et fixa l'invention du mage de créer pareil système de défense.

- Nàmo ! Hey, tu viens ? Les Gryffondor proposent une bataille dans la grande salle de jeu.

- Cherche Coen, Anna.

- D'accord. Je crois qu'on l'a vu vers les serres. Il marmonnait sur une chose incompréhensible.

Il devait sûrement y être pour une potion ou une huile de sorceleur.

- Merci.

Nàmo continua de monter les marches pour rejoindre l'un des passages qui menait aux serres plus rapidement. Il avait trouvé cela depuis un moment. il trouva bien Coën récupérant des plantes particulières pour faire une potion. Et vue ce qu'il avait récupéré, c'était pour faire du miel blanc ainsi qu'une potion d'hirondelle.

- /… tu t'es fait attaquer ? /

- / Oh, Nàmo. Non. Mais je deviens de plus en plus suspicieux. Le directeur m'a parlé d'une créature dans les bois qui tue les licornes. Un contrat reste un contrat./

- / étrange. /

Le sorceleur tourna la tête vers le plus jeune, haussant un sourcil.

- /un souci ? /

Nàmo redressa la tête vers le plus ancien avant d'expliquer qu'il était allé dans la forêt et avait trouvé l'une des victimes de la chose. Le monstre buvait le sang des licornes et il avait compris que c'était pour prolonger sa vie, un peu et surtout, ça maudissait le coupable. Et qu'il était allé voir le directeur qui ne semblait pas si « inquiet » que cela.

- / tu vas être prudent, d'acc ? /

- / je suis un sorceleur, Nàmo. Par contre, j'ai trouvé une légère piste sur des « conjonctures de sphères », ici. Mais ce n'est pas assez pour trouver une solution. Les mages, ici, n'ont jamais été confronté à des monstres d'autres mondes. Enfin, plutôt, les créatures magiques sont là depuis un moment, ici. Mais, il y a des choses qui sont apparues pendant des années de façon inexpliqué. Ils ont mis cela sur des « créations » de mages noirs pour beaucoup. Mais ils ont un très bon livre sur les créatures. Un certain dragonneau qui pourrait réapprendre aux sorceleurs leur méthode d'étude, très certainement. /

Nàmo regarda les livres en question. Et il y avait des morceaux de parchemins qui avaient été mis par l'ancien. Coën n'était pas l'un des plus scolaires de l'école mais il savait assez bien chercher lorsqu'il se retrouvait face à un problème.

Il s'assit à coté alors que le sorceleur commençait la préparation de ses huiles et potions dans les serres. Nàmo profita pour lire le livre, tirant un petit carnet sur lequel il notait le vocabulaire à présent. Il demandait ensuite à la mère de Blaise lorsqu'il avait une question.

Au bout d'un moment, il fut surpris de sentir la main sur sa tête, frottant ses cheveux. Il tourna la tête vers Coën, surpris.

- Tu peux pleurer, tu sais. Je sais que tu attendais avec impatience de fêter ton anniversaire avec ton oncle ainsi que Yule avec ta famille.

Et le jeune elfe profita que personne ne puisse les voir dans les serres pour laisser la tristesse qu'il enfermait en lui couler à flot.

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Le matin de Yule avait tiré du lit Nàmo de mauvais poil. C'était un peu étrange d'être là. il y avait peu d'élèves présents et il n'y avait pas cours. Enfin, pas cours. Ce n'était pas le cas pour lui et Coën. Maria Zabini en profita pour allonger les heures de cours juste pour eux.

Le mal de crane ne semblait pas être une option.

Cependant, en allant dans la salle principale, il fut surpris de voir les élèves présents l'appeler. Il cligna des yeux. C'était étrange de les voir déjà là alors qu'il fallait presque les tirer du lit pour qu'ils aillent en cours. Il comprit alors en voyant l'immense sapin décoré avec plusieurs objets autours empaqueté. Il regarda cela, sentant encore plus la torsion.

- Nàmo ! Pars pas. Tu en as aussi.

Il redressa la tête alors que les différents Poufsouffles se mit à rire à son expression. Il approcha et vit bien plusieurs paquets qui se trouvaient sous l'arbre. Hugin croassa, portant une sorte de nœud vert autour du cou.

- Qui lui mit ça ?

- Il jouait avec, s'amusa Susan. Alors, j'ai cru comprendre qu'il voulait se faire beau pour la fête.

- Hugin trop fier parfois.

L'oiseau bomba de la poitrine, fier de sa nouvelle toilette. Nàmo nota plusieurs paquets. Il trouva de la part de plusieurs de ses camarades des bonbons mais aussi des livres. Il regarda étrangement un t-shirt avec une photo de ce qui était un groupe de barde un peu étrange.

- Bizarre sisters ?

- C'est le meilleur groupe de musique sorciers. On te fera écouter.

Il passa au suivant et l'ouvrit. Étrangement, ça le faisait sourire de joie. Ça atténuait sa tristesse. Ses camarades de classes et de maison étaient vraiment les meilleurs.

Il arriva à un dernier paquet qui était léger et mou. C'était certainement à nouveau un vêtement. Il déchira le papier et se retrouva face à un tissu léger qui lui rappelait l'une des robes de Toruviel. La robe en question était en réalité à la mère de l'elfe et avait été tissé avec l'art des elfes. Et ici aussi, le tissu était vaporeux, léger, et d'une teinte argentée. Il y avait comme un reflet luisant en fonction de comment il bougeait le tissu. C'était presque fascinant. Et entre les doigts, c'était comme toucher le voile éthéré de sa mère. C'était comme de l'eau cristalline d'un ruisseau que l'on avait tissé pour en faire une étole.

- Wouah… c'est beau.

Il regarda Hannah Abbot et hocha la tête avant de se dresser et de l'essayer. Cependant, ses camarades s'exclamèrent de surprise. C'est là qu'il vit que le tissu l'avait complètement rendu invisible. Il ne restait que sa tête de visible.

- Une cape d'invisibilité ! C'est hyper rare.

Il sentit comme une capuche et tira celle-ci par-dessus son visage. Il pouvait voir au travers mais il était clair que personne ne le voyait. Il retira celle-ci, la gardant sous le bras. Susan se pencha vers la petite note de papier qui était tombé du paquet.

- « Ton père m'a laissé ceci avant de mourir. Il est temps que tu en hérites. Fais en bon usage. Très joyeux Noël ». Tu as une chose de ton père entre les mains.

- Oh. Vrai ?

- Si on en croit la note en fait.

Nàmo regarda l'objet, ayant comme une chaleur dans sa poitrine. Un cadeau qui avait appartenu à son père. Ça le fit sourire jusqu'aux oreilles. Mais, pourquoi lui rendre comme un « cadeau » alors qu'il était arrivé depuis des semaines. Il regarda l'objet à nouveau et murmura juste un sort de révélation. Il y avait bien un sort pour le pister dessus. Il se souvint des apprentissages du Maitre Laufey et brisa l'enchantement discrètement. Puis, Nàmo rangea dans son sac l'objet pour trouver alors un dernier paquet grossièrement fait.

- Ça, c'est Hagrid.

- Garde forêt ? Nounours naïf.

Son commentaire fit rire les élèves alors que Nàmo ouvrit le paquet rectangulaire. C'étaient des photos qui avaient été mises dans un livre. Il y avait un message dessus par Hagrid.

- « J'ai appris que tu ne connaissais pas tes parents. J'ai envoyé des lettres à tous leur ancien camarade en vie pour le constitué. C'est pour te remercier pour les licornes ». Ne me dit pas que tu as vu des licornes.

- … Chevaux avec corne ? Oui. Être puissant.

Et il regarda alors les images qui bougeaient devant ses yeux. Il voyait bien sa mère, vivante, riant. Puis, l'homme avec elle. Oui, c'était un humain mais il s'en fichait. Sa mère lui avait dit dans les rares moments où elle était assez puissante pour parler, qu'il les avait défendus de sa vie. Et Iorveth avait dit que ce serait peut-être l'un des seuls dh'oines qu'il respecterait. Que les autres restaient des monstres sans cervelle et sans bon sens.

Il se souvenait de l'affirmation car il l'avait dit non loin de Élisa Roche. Et celle-ci avait demandé comment elle devrait prendre cela. Iorveth avait réussi à se sortir d'une rencontre avec une poêle par la pirouette qu'elle ne pouvait plus se prétendre humaine pour avoir épousé Isengrim.


Iorveth échapperait peut être à la mort avec son commentaire. Peut être.