Bonjour à tous et à toutes !
Cela fait 15 jours que je n'ai pas posté et je voulais absolument vous le faire parvenir ce soir. J'espère malgré sa petitesse que le chapitre vous plaira. Merci à miss flo de me l'avoir corrigé ;)
Merci à vous de me lire ! A
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Il s'était détourné, rageur.
Son anniversaire ne changeait rien…
Il lui avait fallu plusieurs minutes pour se calmer à Draco, puis, en portant Harry il était rentré au château.
Le reste de la nuit avait été paisible.
Il avait ressortit ses ailes nouvellement acquises pour les admirer dans le miroir de la salle de bain, pendant qu'Harry dormait. Cela lui avait changé les idées. Il était fier de lui, de ce qu'il représentait, de sa puissance totale.
Auparavant, il savait qu'il avait un grand potentiel, mais ce n'était que cela ; qu'une hypothèse. Il y avait de l'incertitude. Maintenant que son anniversaire était passé, c'était une véridique certitude. C'était tangible. Il était puissant. Sa magie bruissait, étincelante.
Et Draco, bien qu'Harry soit toujours endormi, passa ce problème, au moins durant le reste de la nuit, au second plan. Il sourit à son reflet, positivement ravi de l'adulte qu'il était devenu.
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Au matin, alors que les deux garçons s'apprêtaient à quitter leur dortoir Harry rougit et se stoppa.
- Attend Draco, murmura t'il, est ce qu'on…. Ne pourrait pas rester ici aujourd'hui ?
La main sur la poignée de la porte le grand blond s'arrêta lui aussi, interrogateur.
- Comment cela, Harry ?
C'était plus compliqué de ne pas le noyer sous les phéromones, parce qu'Harry avait des envies qui n'était pas les mêmes que les siennes. Des envies dont il lui faudrait tenir compte.
- Rester ici, dans le dortoir.
L'humain était gêné, cela se ressentait. Machinalement, sa main fourrageait dans ses cheveux.
Draco lâcha la poignée.
- Pourquoi donc ?
Il ne comprenait pas où voulait en venir Harry.
- Parce que… L'adolescent rougit. Parce qu'ici, si j'ai envie d'être dans tes bras, je peux, murmura t'il.
Draco se détourna de la porte, et se plaça face à lui, haussant l'un de ses sourcils.
Harry n'osa pas le regarder dans les yeux, sans lever la tête, regardant quelque part devant lui, au niveau des pectoraux du blond (30 ou 40 cm de moins ça fait ça non ?) il répondit en chuchotant :
- Je n'aime pas le regard des autres… J'ai… J'ai l'impression qu'ils me jugent. Qu'ils m'observent. Dans la grande salle on doit se retenir, à la bibliothèque aussi, et je ne te parle même pas des salles de classe. Ici… si on reste ici, je sais que je pourrai profiter de tes bras et de ta présence sans arrière pensée.
Le regard désormais sur ses chaussures Harry attendit le verdict. Il voulait vraiment sécher les cours et bénéficier d'un temps à deux avec Draco.
Antérieurement, le roi fit la grimace. Oui, il était très content de la proposition d'Harry. Il n'y aurait eu que lui, il aurait approuvé immédiatement. Sauf, qu'il devait tenir compte du contexte…
Il s'accroupit face à l'humain, se mettant ainsi à sa hauteur pour ne pas l'effaroucher. Harry prenait (enfin) des initiatives et non il n'était pas de mauvaise fois- aucune- ce n'était pas de sa faute si Harry n'arrivait plus à penser par lui-même -avant- et il allait le rembarrer. Il ne voulait pas couper dans l'œuf toutes les autres tentatives futures.
- Je ne pense pas non.
Bon d'accord, il aurait pu être moins brutal dans son énoncé… Mais un « je crains fort Harry chéri qu'il ne me soit pas possible d'accéder à ta requête » veut dire la même chose pour un résultat équivalent…
Le sourire d' Harry qu'il avait eu en voyant s'accroupir le vampire devant lui, s'évanouit aussitôt.
- Non ? Pourquoi non ? Ce n'est pas un caprice de ma part, Draco tu sais j'ai vraiment..
Le roi lui posa un doigt sur la bouche arrêtant le flot de paroles.
- Laisse moi le temps de t'expliquer tu veux ?
Contre le mur, dans l'impossibilité de faire une autre action de toute façon, Harry hocha la tête montrant son accord.
- Si on ne va pas en cours toi et moi aujourd'hui, tu vas certainement me redemander une autre fois. Peut être pas demain mais très probablement après demain. Puis de fil en aiguille, parce que si j'ai cédé une fois, je recederai certainement un autre jour, ni toi ni moi n'iront en classe en juin, Je me trompe ?
Harry n'avait certes pas pensé aussi loin. Mais il devait bien s'avouer que ce scénario était largement envisageable.
- Non, fit Harry, Draco ne se trompait pas.
Draco sourit.
- Je ne t'apprendrai rien Harry en te disant que les élèves qui « sèchent » les cours peuvent potentiellement passer ensuite en conseil de discipline… Et… Naturellement se faire renvoyer.
L'humain écarquilla les yeux. Il n'avait pas pensé aussi loin… Lui voulait juste un moment à deux sans être épié.
- Il va de soit, continua le vampire, qu'en tant que roi, je ne peux pas me déplacer sans une garde rapprochée, je t'assure que les autres rois vampires en profiteraient pour me mettre à terre et récupérer un bout de mon royaume. Je ne pourrai donc pas t'accompagner si par malheur, tu devais retourner chez ton oncle et ta tante….
Non, Harry n'avait pas pensé aussi loin…
- Mais, tu écris bien mes devoirs, c'est devenu évident pour tout le monde que je ne suis (suivre) plus rien en cours… Pourquoi on ne pourrait pas, de temps en temps…
Draco le coupa.
- Il y a un monde, Harry, entre aller en cours, ne pas écouter certes mais ne pas déranger le cours et rester silencieux. Il y a un monde Harry aussi entre rendre une copie que tu n'as pas écrite, mais dont l'écriture ressemble tellement à la tienne que les professeurs ne peuvent pas prouver que le rouleau de parchemin n'est pas de ton fait ET sécher les cours plusieurs fois, donc ne pas être au courant de ce qu'ils te demandent, donc ne pas non plus rendre les devoirs….
Harry ouvrit bien la bouche pour protester mais Draco ne lui en laissa pas le temps.
- Je ne pourrai pas amener chez ton oncle et ta tante 200 des miens. C'est dans un quartier moldu et en temps que créature magique les vampires sont tenus à la loi du secret comme les sorciers. Ce serait juste une situation intenable Harry.
- Mais…mais…
il allait pleurer.
Il voulait juste pouvoir faire un câlin quand il le désirait…. Ce n'était tout de même pas extraordinaire, si ?
Draco pencha la tête sur le côté, et toucha les côtés d'Harry, rapprochant leur deux corps.
- Je pense que le véritable soucis Harry c'est ton éducation.
Attend laisse moi finir !
Pourquoi tu ne pourrais pas me faire un câlin devant les autres élèves ? Si tu en as besoin et que cela nous fait plaisir à tous les deux je ne vois pas où est le problème.
Il s'assit par terre en tailleur et prit l'humain sur ses genoux.
-Je ne sais pas si tu es véritablement prêt à entendre ce que je vais te dire, mais cela me semble important à énoncer…
Ta vie future, Harry tu la vois où ?
- Avec toi.
La réponse avait fusé comme une évidence.
- Donc pas ici. Si tout va bien,- tu sais si tu n'as pas eu un accident de voiture d'ici là où une tornade qui t'a emporté-après ton anniversaire lorsque nous nous serons liés, tu ne reviendras pas ici. On restera chez moi et tes camarades de Poudlard tu ne les reverras plus (parce que je les auraient tués et qu'ils seront morts mais ce n'est pas le sujet ici).
- S'il te plaît Draco, explique moi un truc.
Harry fronçait les sourcils contrarié.
- Oui ?
- Pourquoi tu rajoutes toujours « si tout va bien » pour parler de notre futur. Dans les histoires, les héros liés par un lien magique et indestructible aussi fort que celui que l'on construit toi et moi, font des promesses d'amour éternelle,- non pas que je veux une promesse d'amour éternelle se récria Harry en se rendant compte de ce qu'il avait dit. Mais... J'ai l'impression que tu me caches encore un secret… Et j'aurai voulu être au courant… Tu comprends… ? Si ça me concerne….
Draco souffla.
- Crois moi quand je te dis que tu ne veux pas savoir ça….
- Mais ça veut dire que tu me caches bien un truc. Alors ?
- Oui Harry… Il faut encore une case à cocher autre que celle de ton anniversaire pour que nous soyons liés mais je ne te dirais pas ce dont il s'agit.. Je suis certain que tu n'es pas prêt à en avoir connaissance, pour le moment…
- Mais…
- Mais rien. Je gères, Natacha et Vladimir gèrent. Et toi tu attends de voir si on t'en parle. Si ça se trouve on va réussir à ne pas t'en parler et tu ne te rendras compte de rien. Je ne vais pas t'inquiéter inutilement, si ?
- Non…. Non, murmura Harry. Mais si ça me concerne….
Draco ferma les yeux… Il ne pouvait pas avouer à Harry de but en blanc : tu as un morceau du meurtrier de tes parents en toi et la seule technique qu'on ai trouvé pour te le retirer, c'est de te saigner comme un goret. Impossible.
- Tu as confiance en moi ?
- Oui bien sur. La réponse avait encore une fois fusée comme une évidence.
- Tu as confiance en Natacha et Vladimir ?
- Oui tout autant, assura Harry.
- Alors tu ne t'inquiète plus. Tu sais que nous cherchons à remplir la dernière case. Notamment celle qui va t'empêcher de t'évanouir parfois, et donc ton rôle et de nous soutenir et de nous laisser gérer. Je ne plaisante pas Harry. Le devoir d'un calice -et dans ton cas d'un futur calice et de ne pas intervenir, de s'effacer devant les affaires courantes du clan mais d'épauler magiquement.
Le silence perdura un peu après cette sortie. Harry essayait, sans y parvenir- il lui manquait trop d'éléments, de comprendre tous les tenants et aboutissants.
- Donc je te disais, reprit le grand blond au bout d'un temps raisonnablement long, que le soucis principal que tu rencontrais c'était les convenances sociales….
L'adolescent sorcier redressa la tête. Les convenances sociales ?
- Ta famille à dû te faire rentrer tout un tas de règles auxquelles tu ne penses même plus pour te « tenir en société ». Du genre c'est les enfants qui font des câlins devant les autres et certainement pas les adultes. On ne donne la becquée à quelqu'un que si celui-ci est très jeune ou trop vieux ou alors pour un jeu sexuel.
Harry glapit sur le dernier mot.
- Je ne ferai certainement rien de sexuel avec toi Draco, tu m'entends !? Je n'en ai absolument pas l'envie !
Le roi allait vertement répliquer qu'il l'avait déjà vu nu, des milliers de fois, qu'ils jouaient à cela tous les deux quasiment tous les jours! Puis il se rappela dans une fulgurante seconde que c'était certainement l'horcruxe qui parlait….
Dans un soupir résigné, désabusé, il ne renchérit donc pas et se contenta de bouger sa main dans le dos d'Harry.
- Donc ce sont des règles assimilées par l'ensemble d'une communauté. Elles permettent de la faire vivre, de donner un cadre aux personnes composant cette communauté. Mais Harry, je te ferai remarquer, qu'a plus ou moins long terme tu ne reviendras pas vivre chez les sorciers.
Avoir peur d'être jugé sur tes actions par rapport aux convenances sociales est peut être un peu ridicule…
Non ?
L'humain clignait des yeux, respirant légèrement plus fort….
C'était…
Il ne lui demandait tout de même pas….
Alors bien sûr, continua le roi faussement indifférent, tu peux continuer à te raccrocher à ce que ta famille t'a durement appris. Mais, tu peux aussi, commencer à acquérir des nouveaux automatismes qui sont adéquats, appropriés et conformes à ce que l'on attend d'un calice. Lorsque tu viendras vivre avec moi… Tu ne seras pas dépaysé ainsi.
C'était facile. Réalisa Harry.
Facile de dire cela ici et maintenant. Dans leur dortoir. En présence de personne d'autre. Mais dans la grande salle. ?
Dire aux autres je vous emmerde ? Je fais bien ce que je veux comme je le veux ? Parce que je le peux, parce que j'en ai besoin, parce qu'il m'a choisit moi et que je l'ai choisit lui ?
En toute connaissance de cause.
En sachant que tous comprendraient.
Il préférait vivre avec un clan de vampires….
Il voulait être fidèle à Draco. Il aurait l'impression d'être une traînée.
Il était dévoué au roi, son roi. Les autres ne comprendraient pas, verraient cela comme un asservissement humiliant.
Il faut du courage pour faire partie de la maison Gryffondors. Et Harry n'avait pas était placé dans cette maison. Pourtant. Son ambition, sa réussite sociale à lui, était tellement ancrée dans sa magie qu'il allait prendre, bientôt, avec ardeur, une voie passionnée.
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S'asseoir à côté ? Easy
Les genoux qui se touchaient ? Easy
Faire les devoirs ensemble ? Easy
Aller à la bibliothèque et derrière une rangée accepter un câlin ? Easy aussi.
S'allonger sur un canapé de la salle commune et poser sa tête sur les jambes de Draco ? Easy
Dans la grande salle monter sur les genoux du vampire, fermer les yeux et profiter du câlin ? Easy.
Se laisser plaquer contre un mur dans les couloirs ? Easy.
Laisser Draco lécher sa clavicule devant Ombrage ? Easy
S'agripper à son cou et se laisser porter comme un koala devant Macgonagal ? Easy.
Facile. Facile. Facile.
Se laisser retirer le tee shirt dans la salle commune des Serpentards ?
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Au bout de deux jours, Draco organisa une réunion avec Talen, Vladimir et Natacha.
Il en était certain désormais la magie d'Harry avait évolué.
Au moment où Talen avait fermé la porte, le soir de son anniversaire, lorsqu'il les avait seul tous les deux, draco avait relevé le phénomène mais ne s'était pas inquiété.
Désormais, c'était une autre histoire : dès qu'Harry croisait un vampire dans les couloirs ou dans les salles de cours sa magie s'enroulait autour du vampire. Même invisible, la magie de l'humain savait que les siens était la, et elle lui faisait - clairement - des infidélités : le roi devenait jaloux.
Il devenait intenable. C'est Natacha qui avait suggéré cette réunion. La deuxième née n'en pouvait plus de gérer les humeurs du roi.
- Draco, je crois que vous vous méprenez sur ce qu'il se passe, commença-t-elle.
Son créateur lui répondit de forte mauvaise foi :
- Je ne sais pas pourquoi tu as organisé cela, parce que tout va bien.
Elle enchaîna :
- Je pense qu'avoir obtenu votre pleine puissance à réorganisé la magie de votre potentiel calice.
Draco allait la couper, mais Vladimir lui posa une main sur le bras, lui demandant silencieusement de la laisser terminer.
- J'ai l'impression que sa magie se lie à la nôtre au même titre que la vôtre, Draco.
Le blond haussa un sourcil, se tournant vers son capitaine des gardes.
- Lorsque je vous ai quitté il y a deux jours, effectivement la magie du petit sorcier a dit bonjour à la mienne. Elle ne m'a plus quitté depuis, mon roi.
Draco fulminait ! Il était terriblement jaloux, il trouvait honteux qu'Harry aille voir ailleurs, pense à d'autres que lui.
- Mais je ne la ressens pas comme une gêne, plus comme un accompagnement. C'est tout à fait la sensation que j'éprouve envers vous.
Il allait lui déchiqueter la gorge, lorsque les derniers mots firent sens.
Tout à coup, c'était plus clair.
Un calice est lié au roi, un vrai calice est lié au clan du roi…
Draco ne savait pas comment c'était possible, car devait-il encore le préciser ; il n'était pas lié à Harry ! Mais c'était effectivement la réponse la plus logique, la plus sensée : la magie d'Harry convaincue d'être dans son bon droit se mélangeait déjà à celle de ses vampires.
Il supposait que cela était dû au temps considérable qu'ils avaient déjà passés côte à côte.
Il ne voyait pas d'autres explications.
….
Draco sourit, apaisé. Ce qui lui semblait, il n'y pas trente secondes, une difficulté incommensurable se révélait en réalité un pas en avant qu'Harry faisait vers lui et les siens. Il était heureux.
- En as-tu parlé aux autres, Talen ?
- Oui, mon seigneur, et ils sont formels. Ils pensent également que c'est la magie du futur calice qui se manifeste, qui nous escorte.
Le roi ferma les yeux et lança une puissante prière à la magie ; il fallait à tout prix le débarrasser de cet horcruxe de merde ! Harry serait parfait, incroyable alors, l'un des plus fort calice qu'il lui est donné de voir.
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- Non ! Putain Draco retire ta patte de là je t'ai dit non !
- Ma patte ? La voix était menaçante.
(tu sais ce qu'elle te dit ma patte ?)
- Bordel ! Draco ! Je t'ai dit Non ! Ta patte ou ta foutue main, tu la retire de là !
Il était allongé sur le canapé. Draco était au dessus et pour une fois, sa respiration avait réussi à dérailler. Preuve si il en était qu'il ne voulait vraiment pas !
Il n'était pas un morceau de viande !
Il ne voulait pas se déshabiller devant les autres !
C'était du sexe et il ne voulait rien faire de sexuel avec Draco.
La main du roi restait suspendue à deux centimètres du tee shirt.
C'était une question de confiance pas vrai ?
Pourrait il le faire basculer avec ses Hormones ? Draco n'y croyait plus. Si il insistait, il allait couper tous les fils de la « marionnette Harry ».
Le grand blond se redressa, abdiquant.
Cela faisait une semaine que son anniversaire était passé et Harry s'offrait. Il se donnait comme jamais il ne s'était soumis.
Sans jugement.
Sans arrière pensée.
Pour les parodies de morsures ou les câlins.
Mais l'horcruxe devenait venimeux désormais.
Si Draco tentait quoi que ce soit d'autre…
'' Tu me dégoutes !''
'' C'est abject !''
Il devenait dingue !
Vladimir lui avait fait remarquer que c'était un mal pour un bien…jamais sinon, avec un Harry consentant, il n'aurait réussi à se retenir….
Draco supposait que c'était véridique…
Mais il devenait dingue quand même.
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Alors dites moi ce que vous en pensez ?
Les prochains chapitres seront sensiblement différents. On rentrera dans la dernière ligne droite. Je vais (enfin) arrêter de suivre la chronologie des livres pour rentrer dans '' mon histoire''. Bon tjr à partir de l' univers de jkr, mais enfin, ça changera quoi.