Bonjour à tous !

Je vous mets rapidement un nouveau chapitre. J'espère qu'il vous plaira.

J'aimerai savoir quel est votre personnage préféré dans mon histoire. Pouvez vous me le dire ?

Draco ? Harry ? Abraxas ? Vladimir ? Natacha ? Vincent (ce héros^^)? Albus ?

Je voudrais faire des statistiques sur vos réponses alors j'en ai besoin le plus possible ! S'il vous plaît motivez vous !

OoOoOoOoOoO

Suite au cours sur les vampires, l'annonce de l'arrivée des deux autres écoles fut faite et les quatrièmes années n'eurent plus trop le temps de s'interroger sur ce cours.

Harry tient bon.
Il ne parla pas à Draco et s'arrangeait même pour éviter de le regarder. Le soir dans leur dortoir les deux garçons n'échangeaient plus sur leur journée respective. Harry avait essayé d'aller voir les autres Serpentards, mais ces derniers n'étaient clairement pas à l'aise en présence de Draco, qui le suivait. Du coup, il avait fini par progressivement arrêter.

Harry tient bon, mais Draco également.
De loin parfois, mais toujours il le suivait, calquant son emploi du temps, ses séances de révisions ou de lecture en fonction de celles d'Harry. C'était usant pour les nerfs du petit brun.
Le pire c'est que Draco ne semblait pas affecté par la situation. A l'observer, on aurait vraiment dit qu'il patientait sûr de lui et de son choix d'être devenu en quelques semaines la bête noire d'Harry.

C'était à n'y rien comprendre.

Quelques jours après l'arrivée de Drumstang et de Beaubaton eu lieu la présentation de la coupe du tournoi. Harry la trouva belle mais ne s'y intéressa pas plus que cela ; il n'avait pas dix-sept ans et donc ne voyait pas l'utilité de la regarder comme si sa vie en dépendait.

Au dîner d'halloween, Harry pensait passer une soirée plus tranquille. Draco le suivait certes, mais il n'était pas complètement collé à lui. Il se contentait d'être dans la même pièce. Alors comme la grande salle était grande et qu'il y aurait le nom des champions de dévoilé, Harry espérait avoir un peu d'air, durant un peu plus longtemps que juste le temps du repas.

Effectivement, Draco ne le suit pas pas à pas et au départ le brun passa une bonne soirée. Il pouvait parler avec ses autres camarades, était plus détendu et rigola même plusieurs fois ; l'impression d'être suivi se dissipant peu à peu.

Seulement au moment où son nom apparu en tant que quatrième champion, il se passa plusieurs choses.
Déjà, lui avait énormément de mal à saisir que c'était bien lui qui venait d'être appelé. N'ayant pas mis son nom dans la coupe, son cerveau avait du mal à faire le lien.
Ensuite, les autres élèves ne comprenaient pas non plus comment c'était faisable. Tout le château, absolument tout le château, savait que Draco veillait sur lui depuis la rentrée, et que ce n'était certainement pas dans les habitudes du blond de mettre Harry en danger. Il gardait jalousement Harry loin de tout ce qui pouvait lui causer des difficultés, ce n'était pas pour l'envoyer se faire tuer.
Enfin, Draco qui s'était fait discret toute la soirée se leva à l'instant même où le directeur appela Harry Potter pour se diriger d'un pas énervé vers l'estrade des professeurs.

Il était outré ! Outré que ces humains ridicules n'aient pas pris plus de précautions que cela (encore), et il était par ailleurs certain que Harry ne s'était pas approché de la coupe ; il l'aurait vu.

C'est réellement d'une voix d'outre tombe qu'il s'adressa au directeur de l'école et précisa ce que tout le monde savait déjà : ce n'était pas possible qu'Harry l'ait mis ; quelqu'un, adulte, l'avait donc forcément fait à sa place. Il demanda à ce qu'Harry n'y participe pas ; il n'avait que quatorze ans après tout.
C'était dangereux.

Albus pris peur. Les yeux de l'adolescent n'étaient plus gris, mais bien rouges. Harry dans son dos, Draco se le permit. Et Albus avait la désagréable impression que les canines poussaient...
Il murmura d'une voix légèrement plus aiguë que la normale que malheureusement la coupe de feu avait déjà sorti le nom d'Harry, qu'en se levant celui-ci s'était fait connaître et que c'était comme si il avait accepté.
Pour la coupe, la magie d'Harry avait dit oui, donc il était obligé de participer au tournoi sous peine de devenir cracmol...

Le silence était terrible et l'ensemble des humains présents sentit qu'un rien pouvait faire voler la concentration du blond. Il se retenait de tout massacrer, c'était visible.

Le pire, c'est qu'Harry c'était levé de son banc parce que Draco venait de se mêler de ce qui ne le concernait pas. Harry n'en revenait pas du culot de son camarade qui se permettait de prendre position ainsi jusqu'à crier sur les professeurs.

À la suite du murmure chuchoté de Dumbledore, le blond s'était retourné pour constater qu'effectivement Harry s'était levé.
Et même plus , qu'il s'approchait, furieux.

- Je peux savoir ce qui te prends ? Venir hurler sur les professeurs, en sortant ta magie dans toute la grande salle, pour une histoire qui ne te concerne en rien ? De quoi tu te mêles, à la fin Draco ? Tu es devenu imbuvable depuis la rentrée !

- Tu me parles maintenant ? Demanda narquoisement Draco.

Harry sous le choc ouvrit la bouche pour la refermer aussitôt. Et, ne sachant que faire il s'enfuit en dehors de la grande salle. Après tout, c'était vrai : il n'avait pas mis son nom dans la coupe de feu et Draco pouvait effectivement le prouver. Si il avait envie d'aller pleurer, il supposait qu'il en avait le droit et que personne, pas même les professeurs ne trouveraient à y redire.

Draco se retourna vers le professeur Dumbledore, pour bien lui redemander si il était sûr et certain qu'Harry était bien engagé magiquement. À la réponse affirmative de celui-ci, Draco fulmina :
-Et ?

C'était un '' et'' qui promettait mille morts si la réponse qui suivait n'était pas satisfaisante. Harry était sortit, Draco savait que tous les humains présents étaient terrassés par son aura d'héritier et qu'ils se tairaient.

- Et,... Il va de soit, Monsieur Malfoy que nous prendrons toutes les dispositions nécessaires afin d'assurer la sécurité du tournoi.

Il leva un sourcil.

- Et,... Que nous allons mener l'enquête afin de savoir quel adulte a bien pu mettre le nom de Monsieur Potter dans la coupe, afin de connaître ses motivations.

Une canine s'allongea.

- Et,... Que... Que nous allons aménager les épreuves de Monsieur Potter qui après tout est encore bien jeune. Il ne sera pas nécessaire qu'il fasse exactement le même tournoi que les autres champions.

Deux canines pointaient désormais et Albus tout président du magenmagot soit-il savait que si l'adolescent en face de lui le voulait mort ; il mourrait en une demie seconde.

Il avait du mal à trouver ce qu'il devait dire pour sauver sa vie et il n'avait plus d'idées...

Un ange passa.

Ce fut Minerva qui le sauva :
- Au vu du passé de Monsieur Potter, peut être devons nous considérer Albus, que les partisans de Vous Savez Qui cherchent à se venger, après tout on le force à participer à un tournoi mortel, nous devrions demander aux aurors si Monsieur Potter peut bénéficier d'une garde rapprochée ?

Draco considéra le sujet clos, les humains feraient leur part du travail, mais lui n'avait aucunement confiance en eux. Il allouerai Vladimir et Natacha à la garde d'Harry : à plein temps.
Il fallait juste qu'il prévienne le roi, pour lui demander l'autorisation de le faire, car cette protection ne serait pas anodine.

Le blond se détourna de la tablée des enseignants et se dirigea à grands pas en direction de la sortie pour rattraper Harry.

Il le trouva en train de pleurer dans son lit, recroquevillé en chien de fusil. Harry n'avait eu la paix qu'à peine dix minutes, et il lui en voulait encore. En le voyant entrer dans le dortoir, il se redressa furibond, les yeux plein de larmes, sortit du lit attrapa son manteau et voulut resortir de la pièce.
Draco se plaça juste devant la porte et le toisa, lui en interdisant l'accès. Voyant cela, Harry s'arrêta à deux mètres de lui, rageusement.
-Laisse-moi passer !

- Non, nous devons parler.

- Draco, ou tu me laisses passer et tu restes ici ou je te jetes un sort.

Souriant légèrement, le blond lui sortit un "vas-y". Un "vas-y", un peu craneur, un peu sûr de lui, un qui voulait dire de toute façon tu n'oseras jamais, et même si tu l'osais je vais gagner.

Harry sous le coup de toutes les émotions de la soirée et de la rancœur accumulée depuis plus d'un mois leva sa baguette.
Il bouillait, littéralement.
Il pensa bien deux secondes au pari idiot que Draco se faisait à lui même, mais désormais, il n'en avait cure. Il avait besoin d'évacuer et c'est ce qui lui fit hurler un impedimenta.

Draco hésita à ne pas bouger pour lui montrer que cela ne lui ferait pas grand chose, mais finalement il se déplaça tout de même sur le côté. La vitesse qu'il employa était lente pour lui, mais suffisamment rapide pour éviter facilement le sort.

Harry réenchaina aussitôt avec un stupefix et Draco se décala de nouveau sur le côté. Petit à petit, sort après sort, leur dortoir fut complètement défiguré. Petit à petit, sort après sort, Draco tournait autour d'Harry. Il voulait le fatiguer et plus le brun hurlait, crachant sa colère contre Draco, et la situation plus le blond devait se retenir d'aller l'arrêter.
Il en avait envie et il était quasiment certain qu'une simple main sur son bras suffirait à le calmer. Mais, c'était bien trop tôt et il ne devait pas céder à sa pulsion.

Il voulait qu'Harry vienne à lui, pas le contraire. Il voulait mener la danse, à sa façon.

Le simulacre de combat dura longtemps. Leurs lits étaient défoncés, des taches noires barboullaient les murs et les rideaux étaient en lambeaux lorsqu'Harry tomba à genoux.
Il tremblait.
Il pleurait.
Il était fatigué.

D'il ne savait pas trop quoi, d'un peu de tout à la fois. De frustration, d'exaspération, de peur d'avoir était choisit par la coupe aussi, d'abattement,...

Draco s'arrêta de marcher et il resta là debout à le regarder.

Au bout d'un long moment, il fit quelques pas, allant chercher un mouchoir pour le tendre à Harry.

Sans rien dire.
En silence.

Celui-ci ne sut pas quoi faire, c'était une main tendue, une main qui avait été son amie avant tout ce foutoir, mais c'était aussi une main qui disait : j'ai gagné et de loin !

Flageolant encore un peu, il se releva, fit mine de ne pas la voir et partit s'enfermer dans les toilettes.
Il ne se reconnaissait pas : jamais, il n'avait hurlé à ce point là sur quelqu'un perdant tout contrôle.
Et le pire, c'est que cela n'avait servit à rien.

Durant le temps qu'Harry était supposément aux toilettes, Draco rangea. Il remit d'équerre les armoires, les tapis, leurs tables de chevet et son fauteuil qui lui permettait de voir par la fenêtre.

Non pas qu'il s'y installait encore, finalement cela faisait quelques mois qu'il ne s'était plus assis dessus, mais il y tenait à son fauteuil. C'était un souvenir de ses premières nuits avec Harry, avant qu'il ne dorme avec lui, de leurs magies se disant bonjour et il passa plus de temps à le remettre d'aplomb que les autres meubles de la pièce.

Lorsqu'Harry ressortit, il lui dit :
- Nous devons toujours parler.

L'autre adolescent le fusilla du regard et lui tourna le dos.

- Harry, nous devons parler de ce qu'il s'est passé ce soir. Regarde moi.

Sentant la colère revenir, le brun tourna la tête, les sourcils froncés ; il n'était vraiment pas d'attaque pour un second round.

- Je voulais juste t'aider en allant voir les professeurs.

- Tu as réagit plus vite que moi, ne me laissant pas le choix, tu considères que je suis incapable d'aller le leur dire de moi même ? Qu'ils n'auraient pas compris ? J'ai une langue Draco et je sais parler ! Ce n'est pas parce que tu es sang pur, que ton père à un siège au magenmagot et que tu es richissime que tu peux te permettre d'intervenir dans ma vie !
Tu as interféré, en ma faveur, certes, mais sans me consulter avant, comme si j'étais encore un gamin et toi mon père...
Tu n'es pas mon père, Draco. Tâches de ne pas l'oublier.

-... Non, mais je suis...ton ami Harry, et je m'en voudrais si il t'arrivait quoi que ce soit.

- Pourquoi ? Ce ne serait pas de ta faute.

- Disons que cela me ferait de la peine, si tu préfères. Les autres m'écoutent plus, parce que je suis un sang-pur comme tu le dis si bien, autant que tu profites du fait que j'ai en ma possession les moyens de faire pencher la balance.

Tout en parlant, Harry s'était éloigné de Draco pour s'asseoir sur son lit.

- Encore une fois, je ne t'ai pas demandé cela, et on ne se parlait plus toi et moi, aux dernières nouvelles parce que depuis la rentrée tu es devenu un connard. De quel droit tu t'es dit que tu allais m'aider ?

- Toi, tu ne me parlais plus, moi je n'ai jamais dit que j'étais fâché contre toi, au contraire même. Les amis s'est fait pour s'entre-aider Harry. Je t'assure que je n'ai pas pensé à te demander parce que je croyais que tu serais content de recevoir de l'aide.
N'es-tu pas content ?
Grâce à moi, tout le château sait que tu es innocent, c'est déjà un grand pas, non ?
Et puis, Dumbledore a accepté que tu ne fasses pas exactement les même tâches que les trois autres, du fait de ton jeune âge. Tu risque moins de mourir ou de devenir invalide,comme ça.

- Tu as fait quoi ? Non laisse tomber, je ne veux pas savoir, finalement. Tu n'as strictement rien compris, Draco : je te fais la tête ! Et oui, c'est gentil d'avoir voulu aider, mais tu me soûles tellement en ce moment que ton aide j'ai envie de te la faire bouffer !

Comme la colère revenait, Harry se détourna et n'ajouta rien, pour essayer de se calmer.
Draco attendit quelques secondes avant de rajouter ;
-Tu sais, j'ai demandé aux professeurs que tu aies une protection supplémentaire. On ne sait pas pourquoi ton nom a été déposé dans la coupe. Et tant qu'on ne saura pas, tu seras potentiellement en danger. Le professeur Dumbledore a dit qu'il contacterait les aurors.

- Pardon ? Mais tu n'as rien compris, putain de merde !

Harry envoya valdinguer tous les livres et parchemins de son bureau par terre.

Il vociféra en direction de Draco :
-J'essaie tant bien que mal de me calmer en souvenir de notre amitié foutue et toi tu ne fais qu'en rajouter ! Tu es con, Draco ! Tu comprends ça ? Un gros connard débile égocentrique qui ne veut pas piger que les blagues les plus courtes sont les meilleures !
Ça s'appelle du harcèlement moral, ça tu le sais pas vrai ? Dégage, dégage, mais PUTAIN, DÉGAGE !

Le blond alla tranquillement se mettre dans son lit, mais ne fit pas mine du tout d'avoir compris.

- Qu'est ce que tu ne comprends pas dans DEGAGE ? C'est un mot trop long pour ton cerveau attrophié ?
Trois syllabes c'est impossible pour toi ?
Je ne veux plus voir ta gueule pour au moins les trois prochaines années !

Draco pris un livre sur sa table de chevet, l'ouvrir à la page qu'il avait marqué, puis se mit à lire.

Harry souleva le bureau du sol et le fit tomber. Il hurlait à plein poumons des tonnes d'insanités. Il avait cru être fatigué mais non. Son colocataire de chambre l'énervait au plus haut point et il se sentait pris au piège.

Il avait besoin d'air.
Il avait besoin qu'il s'occupe de ses affaires à lui et non plus des siennes !
Il avait besoin de tout démolir, de tout réduire en miettes !

Draco n'essaya même pas de l'arrêter, c'était la deuxième crise de la soirée et s'attaquer à Draco ne fonctionnant pas, le brun s'attaquait au mobilier : Aux feuilles, aux parchemins, aux vêtements, aux rideaux, à tous les objets qui se trouvaient à sa portée.

Il brandissait les affaires de Draco comme des trophées voulant le faire réagir par tous les moyens mais celui-ci ne daignait même pas lever la tête.
Il lui mit le fouillit dans ses affaires, il déchira ses vêtements, il tacha d'encre ses devoirs. Rien ne faisait plier le blond qui continuait de lire. Il ne levait même pas les yeux de son livre.

Au bout d'un quart d'heure, il y eu une pause momentanée, parce que Harry ne voyait plus trop quoi détruire. Tout était en miettes !

Draco lui dit posément :
- Tu peux continuer de t'acharner, Harry, ça ne changera pas le fait que je tiens à toi et que j'ai décidé de te protéger.
C'est toi qui doit t'habituer, pas moi qui doit changer.

Puis, il retourna à son livre.

Le pire, le pire songea Harry, c'est qu'il lisait vraiment. On voyait ses yeux bouger, il tournait les pages à intervalles réguliers. Il n'en avait vraiment rien à foutre que l'ensemble de ses possessions soient à jeter.

Il voulut ouvrir la porte mais celle-ci ne s'ouvrait pas.

-Ouvre cette pétasse de porte Draco !

- Non.

- Non ? Pourquoi non ? Tu comptes me m'intenir enfermé maintenant en plus ? OUVRES CETTE PUTAIN DE PORTE DRACO !

- Parce que tu es énervé, que tu vas chercher à me fuir toute la soirée et que je n'ai pas envie de passer ma nuit dehors à te courir après. Donc, on va rester là tous les deux, cela sera plus commode.

Harry alla taper, cogner de toutes ses forces contre la porte qui était fermée magiquement et il eut bientôt les mains en sang.

Au final, il prit sa baguette et il essaya tous les sorts d'ouverture qu'il connaissait. Mais rien de ce qu'il pu dire ne fonctionna.
La porte resta close.

Longtemps après,... Plusieurs heures après,... Draco se décida à sortir de son lit et à porter Harry dans le sien.
Le brun avait fini, épuisé, en larmes, les doigts ensanglantés, tremblant de tout son corps par s'adosser, épuisé contre le mur. Il s'était recroquevillé, rapprochant ses jambes contre sa tête refermant ses bras dessus comme pour se protéger.

Il avait fini par s'endormir.

Au moment où Draco bougea, Natacha sortit des ombres.
- N'allez-vous pas trop loin, Draco ? Il va avoir du mal à passer au dessus de cette soirée, non ?

- Non, Natacha, il doit juste comprendre et assimiler que c'est moi qui décide. Plus vite, il le comprendra, plus vite il sera près à me faire confiance.
Tu sais, il n'a toujours pas peur de moi. Alors qu'un humain enfermant un autre humain peut se retrouver en prison pour cela.
Lui veut juste que je lui dise oui, que je cède.
Comme un enfant, il apprend. Ça finira par lui passer.

Est-ce que tu as une idée de où était sa magie pendant qu'il me criait dessus ? Non, ne réponds pas, c'est évident que tu ne peux pas savoir, c'était une question rhétorique.

Elle était tout autour de moi, avec moi. Je la sens, Natacha, sa magie depuis deux ans qui virevolte tous le temps près de moi.
Crois-moi quand je te dis que je sais ce que je fais.

Sa magie me veux, son corps m'a déjà donné les nuits. Il ne me manque plus grand chose pour le faire plier entièrement. Après, il restera à conquérir son esprit. Mais, je ne suis pas inquiet. Il sera à moi, il l'est en partie déjà.

OoOoOoOoOoO

Alors ? N'oubliez pas s'il vous plaît mon sondage. J'en ai besoin pour savoir quel personnage développer par la suite.