Noël était passé, avec lui les espoirs des garçons de retrouver Hermione avant la fin de l'année. Sous les conseils judicieux d'Androméda, Aaron ne sortait plus beaucoup : c'était trop dangereux. Bien sûr son équipe avait besoin de lui mais force et d'avouer que Derek s'en sortait très bien pour un superviseur de remplacement. Spencer passait souvent, de même que tout ses amis, ils prêtaient une oreille attentive, leur aide inestimable gardait Aaron sain d'esprit. Il ne l'avouerait sans doute jamais aux garçons mais… Il vivait mal cette situation.

Ils avaient été attaqué en public, devant l'école de Jack, cela se reproduirait très certainement si jamais ils remettaient un pied dehors.

À des milliers de kilomètres de là, Hermione embrassait pour la dernière fois ses deux photos porte-bonheur. Debout face à son équipe, à l'Ordre du Phénix et à des centaines de soldats entraînés, elle gardait la tête haute. Certains membre de l'ordre des poulets rôtit flamboyant la huait secrètement, d'autre l'admirait pour sa force et sa détermination. Dans les visages familiers elle aperçut Neville et son sourire encourageant, Malfoy et son regard déterminé, et tant d'autre ! Une armée se profilait : son armée.

— Camarade, ce soir sera notre dernière bataille. La guerre a déjà trop duré, tant de vie ont péris des deux côtés, des amis, des membres de nos familles, des enfants, nous devons y mettre un terme. Ce soir j'implore les Dieux, je souhaite que chacun d'entre vous ressorte en vie de cette épreuve et peut-être nous retrouverons nous demain pour célébrer la victoire. Nos amis d'au-delà des mers sont venus nous prêter main forte, chaque pays s'est mobilisé. Je vous assure que nous n'oublierons jamais votre bravoure. À vos armes soldats ! Que vos vies soient sauves. Usez de toute la colère qui sommeille en vous, de toute la tristesse, souvenez vous de la joie et puisez en elle pour amener Voldemort à sa perte ! Pour la liberté !

Son cri se perdit dans la foule. Ils hurlaient de rage, de colère, de peur, de joie, de tristesse. Ils ressemblaient plus à une meute de loup enragés et bizarrement organisés qu'à des soldats mais l'amour qu'ils se portaient, l'empathie qu'ils ressentaient leur donnait un pouvoir que Voldemort ne soupçonnait pas. Hermione se retourna alors vers le manoir Lestrange, brandit sa baguette et sur les protections lança :

— Bombarda… MAXIMA !

Aaron se réveilla en sursaut, le cri terrifiant d'un enfant résonnait partout dans la maison. Sans réfléchir davantage, il attrapa son arme et accourut jusqu'à la chambre des garçons, Jack secouait Harry dans tous les sens, impuissant face à ses cris et à sa douleur.

— Papa ! Il ne se réveille pas, pleurait le petit garçon.

Abandonnant son arme, l'homme s'accroupit près du lit, Harry fronçait les sourcils, sa lèvre saignait à force qu'il ne l'abime de ses dents, ses hurlements perçaient l'air si bien que Winky apparut à la porte sous sa forme elfique. Elle emmena Jack au rez-de-chaussée pour un chocolat chaud, le rassurant sur la suite des évènements.

— Non… Non… Hermione ! On doit faire quelque chose Ron ! criait-il dans son cauchemar.

— Harry ! Harry réveille-toi tu fais un cauchemar. Harry ! l'appela une troisième fois Aaron.

Enfin le petit garçon émergea, secoué par l'adulte, de grosse larme coulaient de ses beaux yeux verts.

— Voilà, tout va bien Harry. Nous sommes en 2004, tu as six ans et tu habites à Quantico en Amérique, rappela Aaron à l'enfant.

Surpris, Aaron accusa le corps de l'enfant sautant sur lui en de violent sanglot. Il ne cessait de répéter : « tout est de ma faute », « je n'aurais pas dû l'emmener avec moi », « si seulement j'étais plus malin ».

— Ça suffit, tu n'y es absolument pour rien bonhomme. Tu veux me raconter ce vilain cauchemar ?

— Ce n'était pas un cauchemar papa, pleura Harry.

À cet instant le sang d'Aaron se réchauffa considérablement, c'était la première fois qu'Harry l'appelait ainsi, d'un autre côté la situation n'était clairement pas propice à la fierté. Le petit voyait ses souvenirs dans ses cauchemars.

— J'ai fais une bêtise et Mione elle a beaucoup, beaucoup crié, sanglota-t-il. Bellatrix l'a torturée pendant des heures. Je ne pouvais rien faire. Je ne mérite pas maman. Si j'étais mort Maman ne serait pas à nouveau en guerre !

— Harry je t'interdis de dire une chose pareille ! Ta mère serait extrêmement malheureuse si tu n'existais pas, te rends tu compte de ce que tu dis ? Hermione est une adulte, elle savait dans quoi elle s'embarquait quant elle est devenue ton amie, puis ta mère. Elle t'aime plus que tout au monde et jamais, je ne dis bien jamais elle ne regrettera de s'être battue pour toi tu m'entends ? Tu es son fils malgré tout ce que les sorciers de Grande Bretagne veulent bien dire. Tu es Harry James Granger, tu es son fils. Et même si tu n'existais pas, crois-tu vraiment que ta mère resterait les bras croisés lorsque des innocents meurent ?

Aaron serrait contre lui le petit corps du sorcier, son pyjama était bon pour le lave-linge mais il s'en soucierait plus tard. L'important était de calmer ce garçon qu'il aimait comme le sien. Harry était un gamin génial, un frère idéal pour Jack, il avait une intelligence hors norme dû à l'éducation de sa mère et Aaron refusait d'entendre ses souhaits funèbres. Jamais ces mots ne devraient sortir de la bouche d'un enfant, surtout pas le sien.

— Non, hoqueta Harry.

— Tu as raison, elle serait allée botter les fesses de Jedusor même si vous n'aviez pas été ami jadis.

— Tu ne lui en veux pas d'être partie ? demanda-t-il timidement.

— Un peu mais je comprends maintenant ce que vous ressentez quand je pars pour de longues missions.

— Maman elle est toujours inquiète quand tu pars.

— Ah oui ?

— Quand je lui ai demandé elle m'a dit… oh je ne sais pas le dire. Tient regarde.

Et avant même qu'Aaron ne puisse esquisser un geste, le petit Harry lui projeta une image mentale dans son esprit. C'était vraiment inattendu et la situation plus qu'étrange, il ignorait que le garçon était capable d'une telle chose. Il aperçut alors sa belle brune préparant le dîner en compagnie de Winky, Luna jouer avec Jack, une armada de bestiole étrange (les Veemodils) traînant un peu partout dans le salon.

« — Bien sûr que je m'inquiète pour lui Harry, pourquoi penses-tu que cela ne me touche pas ?

Tu montres pas, accusa l'enfant.

C'est vrai je ne le montre pas, j'ai l'habitude d'être inquiète, Ronald et ton vieux toi m'ont donné assez de stress jusqu'à la fin de ma vie. Je comprends qu'Aaron ait besoin de se sentir utile, d'arrêter les méchants, c'était ça qui nous berçait au début Senior, Ronald et moi.

Tu n'as plus besoin d'aider les gens maintenant ?

Non. J'ai assez donné à mon peuple, je veux juste m'occuper de toi mon fils et de Jack, et de Teddy quand il vient à la maison. J'aspire à une vie tranquille, comme mes parents auraient souhaité pour moi.

Alors pourquoi tu t'entraînes tout les matins ?

Un esprit sain dans un corps sain Harry, la magie ne peut s'épanouir correctement si tu t'empâtes sur ton canapé toute la journée. Maintenant lave-toi les mains, nous allons manger, sourit la jeune femme. Jack ! Luna ! À table ! »

Le souvenir se coupa à cet instant, en fait Harry dormait dans ses bras lorsqu'Aaron émergea. Ce soir lorsque Jack revient dormir, il s'installa près de son frère, son père se tenait toujours assit par terre tenant la main du jeune garçon et s'assurant de son sommeil. Son travail avait toujours été une part importante de sa vie, trop importante et il le savait mais rien ne l'empêchait d'être un consultant pour le FBI, de laisser tomber certaine affaire et de suivre son équipe pour d'autre. Strauss ne demandait qu'à le voir moins et Derek était prêt pour la relève. Il en parlerait à Hermione lorsqu'elle reviendrait, c'était une décision qu'il devait penser longuement avant d'arrêter un choix. Avait-il vraiment envie de travailler moins ? Non bien sûr que non, il adorait son travail. Pourtant ses vacances forcée lui offrirent une nouvelle perspective, Aaron adorait passer du temps avec les garçons, aider Harry avec les lois sorcières qu'ils apprenaient ensemble tout les matins, apprendre à Jack la lecture et l'écriture en s'amusant. En fait, la vie de famille lui manquerait sans doute bien plus une fois de retour dans le jet. Chassez les méchants il pourrait le faire de temps en temps, ce n'était vraiment plus le plus important après les derniers mois…

Un cracha de sang éclaboussa le visage d'un homme masqué, deux bras tendus enserraient le cou d'une jeune femme bien connue.

— Tu vas mourir salope !

— Je ne crois pas…

Calant ses yeux dans ceux du manges-morts, Hermione laissa la magie couler dans ses veines se répercuter dans l'homme. Tout autour était feu et sang, cris et agonies. Les sorciers et sorcières se battaient avec ardeur, les manges-morts tombaient les uns après les autres mais au-delà de tout, Hermione était la seule à ne pas utiliser de sortilège légaux, ou du moins si ancien que personne ne se souvenait même de leur existence.

— Sombria Memoria, murmura-t-elle de son dernier souffle.

Immédiatement, l'homme la lâcha et elle reprit goulument de l'air dans ses poumons. Il se jetait par terre, suppliant son père de le laisser en paix, puis Voldemort de cesser sa torture, l'homme assistait à tous les mauvais souvenirs de sa vie, les plus douloureux. Il les revivait à une puissance décuplée si bien que toutes ses cicatrices soignés se rouvrirent d'un seul coup et le tuèrent en moins de temps qu'il n'en fallait pour dire Quidditch.

Debout sur ses jambes, Hermione aperçut Voldemort en prise avec trois sorcières, elles se battaient bravement mais la magie de « lumière » contre les « ténèbres » n'étaient pas bien puissante. Ça y est, le moment était venu.

— Bonjour Tom, salua-t-elle une fois devant l'homme de quatre vingt ans aux yeux les plus noirs qu'elle n'ait jamais vus.

— Granger, est-ce la notre ultime combat ? La sang-de-bourbe contre le puissant mage-noire ? Cesse de faire l'enfant, tu perdras comme mourut ton ami Potter.

— C'est ce que nous verrons…

— AVADA KEDAVRA ! hurlèrent les deux ennemis d'une même voix.

Les manges-morts tombaient, les aurors et l'Ordre des poulets volants alias l'Ordre du Phénix, gagnaient du terrain. Hermione ne sût combien de temps elle lutta seule contre Voldemort, ses alliées étaient tombés mais chaque mot que le vieil homme prononçait renouvelé sa colère et sa puissance d'un cran. Elle pouvait être blessée, mutilée, endolorissée, elle se battrait jusqu'au bout. Ses membres tremblaient mais jamais sa main de baguette ne frémit.

— Tu te meurs sang-de-bourbe et j'emporterai ta dépouille à ton Potter pour lui prouver que jamais l'amour ne triomphe. Il vivra dans le désespoir ces derniers instants, promit Voldemort.

— Ne touche pas à mon fils !

Soudain Hermione perdit le contrôle, Jör enroulée autour de son poignet lui prêta sa force et ensemble leur magie éclata dans tout le manoir Lestrange.

Au loin lorsque Pomfresh et les médicomages arrivèrent sur place pour aider les blessés, tout ce qu'ils virent furent une explosion aveuglante suivit d'un puissant souffle de magie.

Aaron aidait Harry à descendre du tabouret avant d'y soulever Jack pour qu'il se lave les mains, les deux garçons s'installèrent à la table de la cuisine avec Dudley, Luna et Spencer. Le dernier avait dormit ici, dans la chambre de la petite blonde et si Aaron ne faisait aucun commentaire (ce n'était clairement pas son rôle), il était très heureux de voir la jeune femme avec un sourire vivant sur le visage.

— Quand est-ce qu'elle rentre Maman Miony papa ? demanda Jack en buvant son chocolat chaud.

Il posait la question tout les matins, et tout les matins Aaron apportait la même réponse : il l'ignorait. Heureusement pour lui, Dudley s'occupa de répondre.

— Hey gamin, t'inquiète pas Miss Granger est la personne la plus forte qu'il m'ait été donné de rencontrer et Merlin sait que j'ai grandi avec Harry Potter.

— Dudley ? appela Luna après l'avoir reniflé.

— Oui Lovegood ?

— Tu pues va prendre une douche.

— Super merci.

Cette courte et très brève conversation eu le don de faire rire la tablée. Même Aaron sourit à travers sa tasse de café. Spencer semblait toujours aussi étonné de l'honnêteté presque immoral de Luna, mais après trois mois de vies avec elle, Aaron en avait prit l'habitude. Ce à quoi il ne s'habituerait jamais serait sans doute ses étreintes du matin et ses conseils matinaux tout aussi envahissants qu'inopportun. Ce matin, d'après la jeune fille, Aaron sentait la résignation, la tristesse et la joie, un peu comme tout les matins la joie en moins. Il ignorait pourquoi mais il avait un bon sentiment en se réveillant, était-ce le fait d'avoir dormit par terre à côté des garçons ? Peut-être, mais son dos lui en voudrait pour quelques jours.

Toute la maison était étrangement matinale, l'école avait reprit depuis quelques semaines, la nouvelle année avait commencé mais Jack ne mettait plus un pied dehors à l'instar de son père. Il en valait de leurs sécurités. Winky enseignait donc au petit garçon et Aaron l'y aidait avec grand plaisir, ce à quoi il n'était clairement pas habitué était que Luna se suspende la tête en bas sur les étagères pendant qu'ils travaillaient et que Spencer, pas choqué pour le moins du monde essayait d'apprendre les multiplications à Jack avec entrain.

— Tu connais l'alphabet toi Harry ? demanda le jeune garçon.

— Bien sûr ! H. He. Li. Be. B. C. N. O. F. Ne…

— Ce n'est pas l'alphabet ça jeune Harry, sermonna Winky.

— C'est le tableau de Mendeleïv, balbutia Spencer.

— Bah oui vous parlez de quel alphabet vous ? Les runes ? Fehu, Uruz, Thurisaz, Ansuz…

— Latin Harry, l'alphabet latin… s'amusa Aaron.

— Fallait le dire ! A. B. C. D. E. F…

— GHIJKLMNOPPPPPP, chanta très fort et très faux Luna suspendu à l'étagère.

Rapidement la question innocente se transforma en chant de casserole de la part des enfants, Luna comprise, Aaron grimaça au son.

Soudain les alarmes magiques de la maison se mirent en branle bas de combat, Winky disparus dans un plop retentissant alors que la blonde retomba sur ses deux pieds baguettes en main.

— Je crois qu'on a de la compagnie, grimaça-t-elle. Restez derrière moi les garçons.

— Que se passe-t-il ? demanda Spencer.

— Maman ! appela Harry. Maman !

Aaron attrapa l'enfant avant qu'il ne dévale les escaliers, sortit son arme de son étui et ouvrit la porte d'entrée.

— Laisse moi passer devant Aaron, je suis plus à mène de nous défendre…

Luna n'avait plus rien de la petite excentrique, elle était passée en mode guerrière et rien ne la détacherait de son rôle de protectrice.

— Hermione a fait une promesse et je compte bien l'aider à la tenir, répondit-il.

— Winky n'a rien remarqué d'anormal, déclara la petite elfe sous sa forme normal déclenchant le cri incrédule du Docteur face à la petite créature aux yeux globuleux.

La menace se situait donc dans le quartier, Aaron sortit dans le jardin puis sur la route et sa mâchoire tomba sur le sol.

— Maman ! Maman ! cria Harry.

Hermione courrait, le son de ses pas irrégulier martelait le béton alors qu'elle ignorait la pluie et le vent sur son visage.

— Harry !

— Maman !

La sorcière courut les quelques mètres qui la sépara de son fils et tomba à la renverse lorsqu'il lui sauta dans les bras. De grosses larmes ruisselaient le long de ses joues.

— Oh mon bébé, c'est finit. Tout est finit. Tom est mort pour de vrai, il ne te fera plus jamais de mal.

— Maman !

Cette fois, ce cri ne venait pas d'Harry mais de Jack. Il se détacha de la poigne de Dudley et couru avec eux sur le sol.

— Mes petits anges, rit Hermione.

— Mione tu es revenue ! pleurait Luna de soulagement.

Ils formaient tous une drôle de petite scène au milieu de la rue, empilés les uns sur les autres dans un gigantesque câlin.

Un pas après l'autre, ayant peur de rêver, Aaron s'approcha. Hermione leva les yeux vers lui et prit sa main tendu pour se redresser avec une légère grimace.

— Merde Granger t'a vu ta jambe ?! la questionna Dudley trop fort.

— Laquelle ? plaisanta-t-elle.

— Waaah Papa t'a vu ? Maman Miony elle a une jambe robot comme les super-héros.

En effet, le métal remplaçait la chaire là où les dégâts furent trop important, il était vrai qu'Hermione aurait pu attendre sa potion poussos gentiment et rester à l'infirmerie mais elle devait rentrée chez elle : sa famille l'attendait.

— Oui je l'ai piqué à l'infirmière avant de m'enfuir, confia-t-elle mutine aux deux petits garçons.

— Tu as désobéis à Pompom ? s'insurgea le petit Harry. Quand elle va te retrouver ça va faire beaucoup bobo.

— J'en doute paaaaaaas !

Avant qu'elle ne puisse dire Quidditch, Aaron la renversa et l'embrassa avec une passion qui lui manquait. Luna riait complètement hystérique, Dudley cachait les yeux d'Harry tandis que Spencer s'occupaient de ceux de Jack et ce fut à bout de souffle que le couple se sépara.

— Bon sang tu m'as manqué, souffla Hermione avant d'attaquer à nouveau ses lèvres.

Un plop sonore retentit alors, affolant Winky à l'intérieur de la maison et une vieille femme aux cheveux blancs apparut, les poings sur les hanches et la mine vraiment en colère.

— HERMIONE JEAN GRANGER ! COMMENT OSEZ-VOUS VOUS FAUFILER HORS DE MON INFIRMERIE ! beugla-t-elle.

— Sauf qui peut ! intervient Luna, sautant sur le dos de Spencer à l'improviste pour fuir (ils manquèrent tout les deux de s'étaler sur le sol, le pauvre garçon ne s'y attendant clairement pas).

— Le premier à l'intérieur à un chocolat chaud, tu viens Jör ? demanda Harry à la femelle serpent ondulant joyeusement contre la jambe de son heureux propriétaire.

— Bien sûr, as-tu un petit morceau à manger pour moi ?

— WINKY ! Jör a faim ! Vient Jack fuyons avant que Pompom nous menace avec ses potions dégueu.

Et malgré tout ce qu'ils vécurent en l'espace de quelques mois, passant de la colère à la joie, de la joie à l'amour, de l'amour au désespoir et du désespoir à la vie, la famille Patchwork d'Hermione Granger voyait un magnifique futur à l'horizon et ce n'était pas Poppy Pomfresh et ses potions qui contrarieraient leur plan.

THE END

Bonjour, bonsoir, bon week-end ! Voici le dernier chapitre de ce mini-crossover (mini... mini... on part sur du 70 pages de world quand même), j'espère qu'elle vous aura plû.

C'est le moment où jamais pour me laisser un petit commentaire sympathique :) ou pas d'ailleurs, toute critique est bonne à prendre.

Prenez soin de vous, et à bientôt pour une nouvelle fanfiction ! Bisous.

Ericaly.