Robotnik ne comprenait pas ce qu'il faisait dans cette animalerie entouré de ces bestioles aussi repoussantes que répugnantes. Apparemment, les animaux de compagnie aidaient à réduire le stress et il suffisait de passer sa main dans leur fourrure pour faire disparaître toute la tension accumulée dans ses épaules.
Quelles foutaises ! À part une allergie, il n'y avait pas eu de changement ! Et puis, à quoi bon adopter un animal lorsqu'il avait déjà Stone ? C'était tout comme, non ? D'ailleurs, le docteur comptait bien sur les doigts de fée de son agent pour l'aider à détendre ses muscles endoloris.
De toute façon, un animal de compagnie n'aurait jamais pu égaler Stone à ses yeux. Au moins, lui, il savait se rendre serviable, comparé à ces boules de poils. Et même si le docteur ne l'admettra jamais à voix haute, il trouvait son engouement pour lui adorable, bien que tout de même déconcertant.
