Les musique qui m'ont inspiré:

November Ultra - Jardin d'hiver - Open arms

Charlotte Cardin - Ocean _ Double shift

Guillaume Grand - Toi et moi

RuthAnna - The vow

Muted - Belonging

--

Hier soir été une sacré soirée. Un peu trop même... Et comme on c'est couché tard avec Viktor, je suis complètement épuisé quand le réveille entrepris de me sortir des bras de morphe. Mais comme on dit, quand c'est l'heure c'est l'heure. J'éteins mon réveille et sors difficilement mes jambes du lit. Viktor lui dort encore, tu m'étonne qu'il dorme... Et actuellement, je suis aussi mort que lui. J'essaye d'être le plus discret possible et traîne mon corps d'un pas lourd jusqu'à la salle de bain pour me laver le visage. L'eau froide me fait immédiatement du bien, je la sens glisser sur mes paupières, puis le long de mes joues et retomber gracieusement dans leviers par petite goutte. Je bois quelque gorgé de cette eau puis me retourne pour aller me préparer mais je tombe nez à nez avec un Viktor tout endormie, les yeux mis clos et un petit sourire sur les lèvres, appuie contre l'encadrement de la porte.

- Bonjour Adré, tu te lève tôt dit moi.

- Hello Corbeau, tu sais ce qu'on dit, les habitudes on la vie dur !

- Oui, je comprend. Comme je suis réveillé, tu m'autoriserais à t'accompagner pour le petit déjeuner ?

- Évidemment que tu peux. Quand tu veux tu m'accompagne Corbeau. Mais allons-nous préparer avant. Terminai-je en m'avançant vers mon armoire, laissant la salle de bain à Viktor.

Je choisi des vêtements que je sors de mon placard, j'en profite parce qu'il n'y a que les week-end que l'on peut porter des habits dit ''civil''. J'enlève mon pyjama, enfin mon bas, puisque c'est la seul partie du pyjama que je porte. La gêne entre Viktor et moi a totalement disparût, je m'en rend compte lorsque Viktor sort de la salle de bain alors que je suis encore en caleçon et que ça ne me dérange pas le moins du monde. Je lui fait confiance et sa témoigne de la forte amitié que je ressent pour lui, au-delà de tout autre sentiments. Je fini de m'habiller et j'attends cinq minutes que Viktor fasse de même avant de sortir de la chambre en sa compagnie. Le trajet jusqu'à la cuisine se fît silencieux et seul le son de nos pas lent résonnaient à travers les grands couloirs du bateau. Une fois notre petit déjeuner récupéré au-près des elfes de maison toujours aussi adorable, nous avons décidé de sortir nous asseoir au bord du lac de Poudlard pour observer le soleil se lever. Le lac de Poudlard

bordel ! Une première mâtiné aussi douce que notre arrivé ! J'ai encore du mal à réaliser que nous y sommes ! Je suis tellement content d'être ici ! Nous avons marché un peu dans le matin frais de l'écosse et nous avons fini par nous arrêter dans un petit coin tranquille à l'entré de la forêt, juste au bord de l'eau. J'avoue que cette année va être étrange sans Abraxi à mes côtés le matin, mais il m'a assuré quelque jours plus tôt que puisqu'il avait un nouveau colocataire, il prendrait de nouvelles habitude et que ça ne le dérangerais pas si je continuai le rituel avec Viktor (suivi d'un clin d'œil évidemment).

Je m'étais perdu dans le flot de mes pensées avant que la voix de Viktor ne me ramène la réalité.

- Je pense que j'irai mettre mon nom dans la coupe en milieu d'après-midi, on pourrait passer la journée ensemble, j'ai envie de rester un peu au calme avant... Tu sais, l'annonce des champions. Dit-il avec douceur, Viktor est quelqu'un de plus anxieux en général, il a tendance à s'inquiéter même pour un rien, alors je peux le comprendre.

- Bien sur, et tu pourras apprendre à connaître mes amis un peu mieux par la même occasion. Répondis-je enthousiasmé par la journée qui se profilait.

- Ça me paraît être un bon plan oui. Conclu-t-il en tournant la tête vers le lac, et comme hier, une atmosphère calme et agréable nous enveloppa sous les rayons du soleil levant et, l'envie de parler s'effaça petit à petit pour ne laisser place cas un doux chant silencieux de nos âmes apaisé.

Le temps a passé et nous avons fini par retourner sur le bateau rejoindre ce qui, à cette heure ci, commence à déjeuner. Dans la grande salle, Abraxi était assis avec Millie, comme convenu Viktor resta avec nous et nous sommes parti nous asseoir à leur côtés.

- Hello les gars. Nous salua Millie étant la première à nous voir arriver.

- Salut Millie, Abraxi, vous avez bien dormi ? Leur demandai-je.

- Par-fait-ment bien pour moi ! S'exclama Abraxi aussi enthousiaste que moi pour sa première journée à Poudlard !

Millie hocha simplement de la tête en guise de réponse.

- Vous étiez où les garçons ? Nous questionna Millie avant de poursuivre. Le directeur est furax et personne ne sait pourquoi !

Viktor et moi nous regardons le sourire aux lèvres en repensent à la soirée d'hier qui dois probablement être la raison de la colère du directeur.

- Ah bon ? C'est étrange dit moi. Fît faussement étonné Viktor.

- Oh oui, très très étrange... Continuai-je sur la même lancé que lui.

- Attendez attendez... Vous deux vous savez quelque chose, avouez-le ! S'écria Abraxi complètement sûr de lui.

- Quoi ! Nous ? Non, absolument rien hein... Et toi Viktor, tu sais quelque chose ?

- Non, moi non plus je ne sais rien du tout. Me répond-t-il le plus innocemment possible.

- Oui, absolument rien du tout ! Terminai-je un sourire plaqué sur le visage.

Viktor et moi sommes à deux doigts d'exploser de rire sachant pertinemment que notre crédibilité doit être proche du zéro absolut si ce n'est pas moins, mais on ne dira rien, parole d'Adré !

- Mais vous-

Abraxi n'eut pas le temps de terminer sa phrase que le directeur Karkaroff entra en trombe dans la grande salle en interrompant toutes discussion.

- Silence petites effrontés que vous êtes ! Cria-t-il en marchand jusqu'au fond de la pièce. Cette nuit, deux petits nuisible impertinent on crue bon de se faufiler dans la cuisine t-elle les minables rats geignard qu'ils sont et de voler de la nourritures.

Viktor pouffa discrètement de rire et je lui mis un léger coup de coude sur les côtes avant de lui faire les gros yeux le sourire jusqu'aux oreilles. Ceux par quoi il répondit par un haussement d'épaules.

- Bien que nous ignorons qui sont ces deux misérables voleur du dimanche , ce comportement est inadmissible et sera puni ! Une punitions à la hauteur de ce crime sera appliqué à quiconque tentera de le reproduire. Jusqu'à nouvelle ordre et pour des raison de sécurité, les cuisine ainsi que la grande salle seront fermé à clé pour les nuits avenir.

- Adré, tu pense qu'on serait assez discret pour voler de la nourriture en plein journée ? Me murmura à l'oreille Viktor penché sur mon épaule.

Je me retins de rire de toutes mes forces à sa remarque alors que le directeur Karkaroff repartait aussi vite et en colère qu'il était arrivé tout en baragouinant différentes insultes à l'intentions des élèves.

- C'était donc ça, c'était vous pas vrai ! Avouez vos crimes et vos pêché bande de vil délinquant que vous êtes ! S'exclama Abraxi mais toujours à voix basse.

- Preuve à l'appuie de ce que tu avance ? Lui répondis-je d'un ton joueur sous le regard amusé de Millie. Bon assez bavardé, on doit rejoindre Amélie et Chloé pour visite de tout le château... Ou presque tout ! Affirmai-je afin de faire cesser les trop nombreuses questions d'Abraxi, une démarche qui fût bien sûr vaine.

Après ça Abraxi à tenté à mainte reprise de nous faire avouer notre méfait alors que nous étions en chemin pour retrouver nos amies dans la grande salle de Poudlard. Quant à Millie, elle est retourné avec ses amies.

Ça n'a pas été facile de trouver notre chemin vers la grande salle entre les couloirs qui vont dans tout les sens et les admirateurs de Viktor... Mais après quelque chemin frayé et quelque indication de direction donné, nous l'avons enfin atteint ! Nos deux amies Amélie et Chloé nous attendaient tranquillement assis à la table des serdaigle. Nous n'avons pas perdu plus de temps et les avons rejoint.

- Eh bah les gars, vous en avez mis du temps ! S'exclama Amélie.

- Fait pas comme si tu n'étais pas arrivé cinq minutes avant eux toi. Répondit Chloé un regard blasé vers Amélie.

- Mais poucave pas comme ça déjà ! S'affligea la concerné, ce qui provoqua des rires de la part d'Abraxi et moi, laissant Viktor dans une totale incompréhension.

- Poucave ? Demanda celui-ci perplexe.

- Absolument Viki, du verbe Poucaver ! Expliqua Abraxi. C'est du vocabulaire moldu, ça veut dire quelqu'un qui révèle les secrets ou qui dénonce, qui balance quoi.

- Nous avons grandi au milieu de moldu tu sais. Continuai-je alors que nous nous asseyons. Nous sommes même amis avec certains.

- Oh je vois, personnellement je n'ai jamais rencontré de moldu de ma vie. Nous avoua Viktor.

- Pardon ? Paaaaaardon ? S'indigna Amélie avec sa légendaire bitch face. Qui t'a envoyé même ?

- Pas un seul de ta vie ? Répéta Chloé totalement éberlué.

Viktor fît non de la tête avant de reprendre la parole.

- J'ai grandi et toujours vécu dans un milieu magique pour ma part en plus du faite que mes parents vivent assez loin de toutes civilisations , qu'elle soit magique ou moldu. Révéla-t-il.

- Vous savez les filles, il n'est pas rare ni étonnant de rencontrer des personnes qui comme Viktor n'ont jamais rencontrer voir même juste vu un moldu de leur vie à Durmstrang. Informai-je Amélie et Chloé alors qu'Abraxi hochait la tête en signe d'accord.

- Je trouve ça assez surprenant à vrai dire, les moldus sont quand même un peuple avec lequel on cohabite et qui sont en rien inférieure à nous. Déclara Chloé. Mais bon, il faut de tout pour faire un monde n'est-ce pas. Dit-elle sans réellement attendre de réponse. Et si on n'y aller ? Il y a tant de chose que j'aimerai vous montrer ! Conclut-elle sous les regards d'approbation de tous.

Nous nous sommes donc tous levé pour nous diriger vers la sortie lorsqu'une jeune fille fonça tout droit sur Viktor faisant tomber la multitude de livre qu'elle tenait dans ses bras. Viktor se précipita pour l'aider à les ramasser. Une fois tout les livres de nouveau dans ses bras, elle s'excusa et partie rapidement vers la table des griffondor. Viktor l'a suivit du regard, une lueur mi amusé mi intrigué. Qu'elle étrange échange... Il me laisse un arrière goût amer. Malgré tout, nous avons aussi repris notre route en voyant Abraxi nous faire de grand signe quelque mètre plus loin.

Chloé commença par nous faire visiter les endroit basique de cette immense château comme les nombreuses salles de classe, car oui durant l'année nous avons le droit de participer à des cours et je dois avouer que je suis grandement intéressais par le cours de Défense Contre les Forces du Mal (D.C.F.M). Elle nous a aussi montré l'emplacement des toilettes, très utiles, et les différentes cour que le château possède. Puis elle nous emmena tout droit vers la tour de serdaigle pour visiter sa salle commune. Et pour être honnête, il y a beaucoup BEAUCOUP trop de marche, pour que se soit humainement possible de faire ça tout les jours. Mais la salle est magnifique, toute faite de bois, de pierre et de bleu, ronde comme à Durmstrang mais contrairement à là-bas, en son centre, une belle cheminée y trônait fièrement, une cheminée allumée... Mais nous ne nous sommes pas attardé ici très longtemps et avons continué notre visite. Entre les escaliers complètement fou, ce qui bouge de partout, les passage secrets en veux tu en voilà et une forêt dite ''interdite'' je ne pense pas pouvoir tout retenir, mais c'est déjà bien plus facile de s'y retrouver ! Après tout ça, elle nous guida impatiente jusque... Un mur ? Je crois qu'elle a vrillé de la culasse... Elle ferma les yeux tout en nous disant de nous la fermer et sous nos yeux ébahi, une porte se révéla petit à petit. C'est pas possible mais combien de secret cache se château ? Je devrais vérifier à Durmstrang si aucun secret ni est caché...

- Voici la salle sur demande ! S'exclama-t-elle.

- La salle qui demande ? S'étonna Abraxi. Qui demande quoi ? Questionna-t-il alors que nous entrions dedans.

- La salle sur demande bebou, pas ''qui demande''. Lui répondit Chloé. Et ce qui est incroyable avec cette salle c-

- A parce que le faite qu'elle puisse apparaître et disparaître ne suffit pas ? La coupa Amélie d'un ton ironique.

- Eh bien figure toi, ma marmotte des champs, qu'en plus de pouvoir faire ça, la salle contient toujours ce dont tu à besoin. Expliqua Chloé.

- Genre t'a besoin de dormir et un lit t'attend ici ? S'étonna de nouveau Abraxi.

- Oui, c'est dans cette idée là. Répondit Chloé.

- Qu'elle magie incroyable ! S'extasia Viktor en regardant de partout autour de lui.

On dirait un grand enfant, c'est mignon. Pensai-je un sourire béa sur le visage en le regardant.

- Personnellement je pense que je vais sûrement me scolariser ici l'année prochaine. Cette école à une petit ambiance et tout et tout, j'ai du entendre une quinzaine de ragot en l'espace de cinq minute ! Déclara Amélie. Et puis on sera ensemble toi et moi ! Ajouta-t-elle en se tournant vers Chloé.

- Oh oui ! Ça serait tellement génial ! S'exclama Chloé tout excité par l'idée que sa meilleur amis puisse être dans la même école qu'elle et s'imaginant probablement déjà les années avenir avec elle.

Nous avons passé une bonne partie de la mâtiné à discuter bien installé sur les canapés de la salle commune de serdaigle, et après le repas nous sommes sortie prendre l'air et avons fini par rester au bord du lac pour toujours plus de discussion. Et enfin l'heure est venu pour Viktor d'aller déposer son nom dans la coupe de feu. Après avoir salué nos amis, nous avons pris la direction de la grande salle. Le chemin se fît silencieux, parfois nous croisions des élèves de Poudlard ou de Beaubâton qui voulaient s'approcher, sûrement dans l'idée de demander un autographe à Viktor mais l'air déterminé qu'il arborait les en dissuada. Ça ou peut-être les menaces discret avec ma baguette. Qui sait après tout ! Contrairement à la première fois, ils nous fut beaucoup plus facile de retrouver le chemin jusqu'à la grande salle et en une dizaine de minutes, nous y étions. Devants les portes closes, Viktor inspira un bon coup et dans un élan de courage les ouvrit en grand et entra. Un silence à damné les morts s'installa dans la pièce alors que nous avancions vers la coupe. Et alors que Viktor franchis la limite d'âge posé par Dumbledore, je remarqua la fille qui a bousculé Viktor tout à l'heure, assis sur un banc un livre à la mains. Et je ne suis visiblement pas le seul puisque je vois Viktor lui lancer un regard profond en même temps qu'il dépose son nom. Instantanément mon ventre se contracte et mon cœur se serre... Se regard... Je ne sais pas pourquoi exactement, mais cette fille, je ne vais pas l'aimer. Je ressens le besoin intense de quitté cette salle, de sortir d'ici, de ne plus la voir. Je pense que je dois juste être fatigué...

- Adré ? Est-ce que ça va ? Me coupa de mes pensées Viktor.

- Oui oui ! Ça va ! Désolé, je me suis juste perdu dans mes pensées. Allons y si tu en n'a terminé. Répondis-je en cachant le mieux possible le trouble qui m'habitait.

- Oui, allons y.

Il a l'air soucieux mais je ne dis rien et reste silencieux alors que nous sortions de la grand salle mais devant les portes encore ouvertes de la salle, Viktor m'attrapa le bras pour que je me tourne face à lui.

- Tu es sur que ça va Adré ? Tu a l'air... Mmmh ailleurs. Me demanda-t-il inquiet.

- Oui Corbeau, je t'assure que ça va, peut-être un peu fatigué à cause de nos bêtises d'hier soir. Répondis-je le sourire aux lèvres en repensant à notre soirée. Il n'y a aucune raison que je m'en fasse n'est-ce pas ? Cette fille ne ma rien fait ''Pas encore''. Mais rien de plus Viktor. Terminai-je la voix sereine pour le rassurer.

- Je te crois, mais si il y avait quoi que se soit, tu sais que tu pourra toujours venir m'en parler Adré ?

- Oui Viktor, je le sais. Affirmai-je calmement toujours un sourire rassurant sur le visage.

Durant toute la duré de notre échange, il garda sa main sur mon bras et même lorsque tout se fît silencieux autour de nous et que seul nos yeux, nos regards accroché l'un à l'autre se parlaient. Puis Viktor fût comme réveillé et retira sa main en s'excusa en se retournant.

- Nous ferions mieux de retourner au bateau maintenant. Dit-il en commençant à avancer.

Intérieurement je souriais face à son comportement car je sais pertinemment quand agissant comme ça il espère pouvoir cacher les rougeur sur son visage. Je le suivi donc en silence et me plaça à côté de lui. Dehors la journée prenait lentement fin et le soleil descendait petit à petit derrière les montagne faisant scintiller le lac noir de mille feu. Nos main de temps en temps se frôlaient et à cette instant je suis seulement bien.

Bientôt les champions seront annoncé et en attendant, Viktor et moi rentrons au bateau d'un pas doux, pour nous changer et porter l'uniforme officiel de Durmstrang. L'air se rafraîchi et le ciel se colore d'or et de rose lorsque nous atteignons notre lieu de résidence pour l'année. On emprunte machinalement les même couloirs pour arriver à notre chambre que Viktor déverrouille pour que nous puissions entrer.

- Tu veux aller te doucher Corbeau ? Parce que si c'est le cas j'irai après toi.

- Oui, je vais y aller merci. Dit-il en se dirigeant vers son armoire pour y sortir son uniforme et des sous-vêtements propre.

Uniforme qui, je le précise, le rend absolument et irrésistiblement sexy ! Oui, je le matte assez souvent mais qui puis-je, j'adore chiner !

Je profite que Viktor soit à la douche pour sortir des affaires propres ainsi que mon uniforme que je dispose sur mon lit avant de mis allonger dessus à mon tour pour réfléchir un peur. Les yeux rivés sur le plafond, je me perd dans mes pensées. Un mauvais pressentiment s'empare de moi au fur et à mesure que la soirée avance et cette insupportable impression que quelque chose va se produire et qu'inévitablement cela aura un rapport avec moi ne me quitte pas. Mais essayons malgré tout de quand même pensé à des choses plus positifs se soire. Je sens que Viktor et de plus en plus en confiance avec moi, comme si hier soir on avait franchis un cap ! Et je suis si heureux qu'il s'entende bien avec mes amis ! Non, enfaite je suis heureux qu'il soit à mes côté, parce que chaque jours, je tombe un peu plus amoureux de lui et chaque nuit, des éclaires se faufile sous mes paupières et glisse l'impression d'une pluie de papillons. Et plus un seul jour ne passe sans que quelque part, la foudre ne tombe entre bras. Je ferme les yeux, une sensations d'apaisement m'enveloppe tout entier et je me laisse couler sous l'eau de mes idées, papillons électrique dans mes pensées.

- Adré... Adré...

Mon prénoms résonnait dans ma tête comme un lointain échos et je me senti légèrement secoué. J'ouvris lentement les yeux pour voir le visage de Viktor apparaître au-dessus de moi, me murmurant calmement des choses de sa voix grave.

- Hey Adré, il faut te réveiller, bientôt on devra aller manger et je voulais que tu ai assez de temps pour te préparer. Me dit-il avec autant de douceur que la façon dont ses mains sont disposé des deux côtés de mon visage. Cette homme est la douceur incarné.

Je me redresse tout aussi lentement que la manière dont j'ai ouvert mes yeux et je le remercie de m'avoir réveiller à temps pour que je puisse me doucher. C'est ce genre de petite attentions qui me font un peu plus tomber pour lui. Je prend mes affaires déposé sur mon lit un peu plus tôt et vais dans la salle de bain pour prendre une rapide douche avant d'enfiler mon uniforme puis de sortir de la salle de bain.

- Je pense qu'on peut y aller maintenant. Dit-je à l'intention de Viktor qui était assis sur mon lit.

Pourquoi sur mon lit déjà ? Pas que ça me dérange, bien au contraire ! En tout cas, il se leva et nous sortîmes de la chambre en fermant à clés derrière nous. Et oui, si même Viktor et moi pouvons voler (bien qu'il ne s'agisse la que de gâteau). Dieu seul sait qui d'autre peut le faire ! Nous étions en direction du château quand sur le chemin je sentie le stresse qu'éprouvait Viktor en se moment. Une idée me traversa l'esprit alors, je vérifia que personnes n'était dans les alentour et discrètement, je glissa ma main dans celle de Viktor, un geste qui se voulait rassurant et réconfortant mais aussi quelque chose que je voulais faire depuis un moment maintenant. Il me jeta un regard mais je fît comme si de rien et continua à marcher. Je sentie ses épaules se relâcher et sa respirations se débloquer. Un petit sourire s'étira sur mon visage et nous continuons simplement à avancer en direction du château, mains dans la mains.

Là devant les portes, je lâcha sa main et me tourna vers lui pour lui faire face.

- Quoi qu'il arrive, je reste à côté de toi d'accord ? Lui dit-je sincèrement.

Il hocha de la tête pour réponse et souffla un léger merci puis nous pénétrâmes dans la grand salle ou tout se déroulera. Nous avons directement rejoins Abraxi à la table des serpantard, bien que plutôt dans la journée, nous avions décidé que Chloé, Amélie, Abraxi et moi nous asseyerions ensembles à la table des serdaigle et parfois Neville qui malgré son statue griffondore manger parfois à la table des serdaigle avec Chloé et vice versa pour elle. Se soir je veux m'assoir avec Viktor sans devoir le priver de la compagnie de ses amis. Ce qu'Abraxi a anticipé, il me connait que trop bien. Je fit quand même coucou de loin aux filles assissent à l'opposé de nous avant de moi même prendre place à côté de Viktor.

L'ambiance était à la fête et à l'excitation se soir, et les discussions fusaient de partout. Viktor profita de voir ses amis pour la première fois de la journée pour parler avec eux et Abraxi. Moi je préfère rester silencieux mais je suis surtout soucieux, la même impression

que tout à l'heure s'empara de nouveau de moi. Chose qu'Abraxi a aussi remarqué, mais d'un geste de la tête, je lui fît comprendre que je ne voulais pas en parler et, comme toujours, il respecta mon choix. Le dîner fût long pour moi malgré les quelques tentative de Viktor pour me détendre, rien n'était efficace. Mais enfin le dîner pris fin et le directeur Dumbledore pris la parole. Dès cette instant, je senti sous la table, la main de Viktor attraper la mienne et je serra sa main en retour. Albus adouci les feu qui éclairaient la salle et s'approcha de la coupe de feu.

- Bien, l'heur de révéler l'identité de nos trois champions est arrivé. La coupe ne devrait pas tarder à prendre sa décision et lorsque les élus seront appelé, je leur demanderai de venir jusqu'ici et de se rendre dans la pièce voisine. Déclara-t-il en pointant du doigt une porte situé derrière la table des professeur. Ou les premières instructions leur seront donné.

A la seconde ou son discourt se termina, le feu de la coupe s'affola et devint rouge puis des étincelles jailli un morceau de parchemin noirci par les flammes. Ils glissa dans les air, flottant délicatement, Albus tendit la main et attrapa le morceau voletant. Instantanément, la pression sur ma main se resserra un peu plus.

- Le champion de Durmstrang est Viktor Krum ! Annonça le directeur d'une voix puissante et claire.

Tout le monde applaudi bruyamment et les Durmstrangien tapaient des poings sur la table en rythme, notre façon à nous d'applaudir. Viktor respira un bon coup, me souri, lâcha ma main, se leva et se dirigea vers la salle préalablement indiqué. Malgré l'ovation qui résonnait dans toute la pièce, on pouvait tous entendre le directeur Karkaroff féliciter Viktor de sa forte voix. Puis il disparût derrière la table des professeur. Très vite le calme revint et chacun reporta son attention sur la coupe de feu qui frémi de nouveau, cette même lueur rouge projeté contre les murs et le seconde bout de parchemin siffla entre les flammes, virevoltant. Encore une fois le directeur attrapa le bout de parchemin volatil et de la même voix annonça.

- Le champion de Beaubâton est enfaite une championne, Fleur Delacour !

La jeune femme se leva sous la multitude d'applaudissement et marcha avec grâce le long des tables de poufsouffle et serdaigle, ses long cheveux blond argenté flottant derrière elle et à son tour disparût derrière la table des professeur. Certaine élèves de Beaubâton fondirent en larmes... Seigneur, c'est Amélie qui doit avoir honte de son école. Et ça ne rate pas puisque je la vois lancer un side eyes avec sa tristement célèbre bitch face à une élèves en larme juste à côté d'elle.

Et pour la troisième et dernière fois, dans un silence absolut, les flemmes rougeoyante éjecter un morceau de parchemin qui laissa derrière lui des petit braise qui s'éteignirent encore dans les air. Le directeur attrapa le bout de parchemin final.

- Le champion de Poudlard n'est d'autre que Cédric Diggory ! Annonça-t-il pour la dernière fois.

La table des poufsouffle offrirent à leur champion, une ovation digne des plus grand, criant et tapant des pieds, applaudissant sans cesser alors même que leur champion avait déjà disparût, rejoignant les deux autres élus du tournois. Les applaudissements ne se sont arrêté que bien après la disparition de Cédric. Le directeur Dumbledore, après avoir attendu que sa se calme, repris la parole.

- Magnifique ! Maintenant que nos trois champion ont été révélé par la coupe, j'espère pouvoir compter sur chacun des élèves présent ici pour apporter leur soutien à nos champions ! S'exclama-t-il joyeusement. Car ces épreuves...

Mais le directeur s'arrêta soudainement et tout le monde se tourna vers l'objet de son attention, la coupe de feu qui, contre tout attente, s'affola de nouveau mais cette fois ci, les flammes se colorèrent de blanc, un blanc presque aveuglant qui se mit à tourbillonnait, de plus en plus fort. Et d'entre les flammes, une petite boule de feu blanc se détacha et flotta dans les air, se dirigeant vers la table des serpentard, elle glissa le long de celle-ci, slaloment entre les assiette et couvert puis, elle s'arrêta juste devant moi. Je fût irrémédiablement attiré par ce feu que je toucha du bout des doigts. La petite boule de feu fonça tout droit sur ma poitrine et entra en moi dans un éclat de lumière blanche qui illumina toute la pièce. Un silence de mort tomba sur la salle et tous les regards étaient tournés vers moi. Le directeur Dumbledore s'avança de quelque pas et pris enfin la parole alors que les flammes redevenaient lentement bleues.

- Approchez jeune homme. Me dit-il en tendant sa main vers moi.

Je remarqua pour la première fois que j'étais debout et plus assis. Je lançai un regard de détresse à Abraxi qui ne comprenait pas plus que moi. J'entrepris donc de marcher d'un pas mal assuré jusque Dumbledore.

- Qu'elle est ton prénom ? Demanda-t-il calmement en ressentant mon stress.

- A-Adrénadiel, Monsieur Dumbledore. Bégayai-je.

- Eh bien Adrénadiel, il semblerait que la coupe t'ai spécialement choisi pour être un champion de se tournoi.