Kuina était étonnamment naïve. En apprenant à la connaître, on remarquait qu'il suffisait d'un rien pour qu'elle croit ce qu'on lui disait.

(Et par un rien, un simple hochement de tête et un « Si, je te jure ! » suffisaient amplement.)

Sabo l'avait très vite appris et en jouait. Il n'y avait rien de plus amusant que le visage de Kuina après coup : les sourcils froncés, les joues légèrement rougies de honte et gonflées.

Elle était adorable, mais Sabo se sentait toujours un peu coupable.

A chaque fois, il se promettait que c'était la dernière.

… Mais il n'avait jamais tenu cette promesse.