Aloha !
Merci à BethxAngel pour l'ajout de l'histoire dans ses suivis, et à LénaFMA et Luciole pour leur commentaire.
On est lundi, du coup le chapitre suivant est enfin là.
Bonne lecture à tous.
Sei et Chacha.
Chapitre 17 : La descendance.
Riza ne savait pas comment réagir. Que répondre à une telle déclaration ? "Moi aussi je vous aime" ? Le problème, c'était que Riza n'aimait pas Roy... Peut-être qu'elle avait une attirance pour lui, mais ce n'était pas de l'amour. C'était une réaction de son corps parce qu'avec lui elle se sentait en sécurité et qu'elle savait qu'elle pouvait être elle-même, alors son corps cherchait sa présence pour continuer de ressentir ces émotions.
Ce n'était pas de l'amour !
Elle en était certaine. Et elle était également certaine que Roy ne l'aimait pas non plus. Elle ignorait les raisons que le poussaient à s'accrocher à elle, mais ce n'était pas de l'amour. Ils ne se connaissaient que depuis trois jours et les premières heures ensembles n'avaient pas été très glorieuses... Comment auraient-ils pu tomber amoureux aussi vite ? Il faudrait des années pour qu'un tel sentiment prennent de l'ampleur. En tout cas, c'était comme ça qu'elle voyait les choses.
Pour Riza, le coup de foudre amoureux n'existait pas. Par contre, le coup de foudre du désir...
Oui, c'était cela. Riza était certaine que c'était l'impulsion d'un désir inassouvi qui les forçait à se jeter l'un sur l'autre. Roy était bel homme, elle ne pouvait le nier... Elle n'aurait pu avoir d'époux plus parfait et elle avait encore du mal à réaliser qu'elle était mariée à cet homme, même si c'était juste un "arrangement". Mais pourquoi ne pourrait-elle pas profiter de cet arrangement pour faire tout ce que couple marier faisait ?
Elle préférait largement perdre sa virginité avec quelqu'un comme Roy qu'avec un vieil homme ignoble et répugnant qui la traiterait comme un vulgaire bout de viande... Parce qu'il était clair qu'elle n'aurait jamais un second mari tel que Roy Mustang, elle n'aurait droit qu'à des hommes ayant au moins le double de son âge, avec le ventre gras, la peau ridée et dont elle était certaine que la vision de leur corps nu ne lui apporterait aucun désir.
Alors que le corps d'adonis de son époux actuel pourrait lui donner envie d'assouvir beaucoup de péchés...
Voilà pourquoi son corps réagissait à la présence de son époux ! Dans l'espoir de connaître caresse et douceur dans ses bras. Roy était le genre d'homme qui donnait plus qu'il ne recevait, elle en était certaine. Une nuit dans son lit et elle serait certainement conquise pour l'éternité.
Oui, Riza pensait tout cela tandis que son regard se perdait dans celui de Roy. Tout à coup elle se sentit à nue et la gêne de la voir l'observer avec autant de profondeur la déstabilisa.
Elle ne devait pas s'offrir à Roy... Ce n'était pas bien !
Tout en secouant la tête, Riza porta son regard sur la fleur que Roy venait de lui offrir.
Son esprit était incapable de constituer une phrase... Elle était en conflit avec elle-même. Une part d'elle n'avait qu'une seule envie, s'enfuir loin de cette rue et de rentrer au manoir pour s'enfermer dans sa chambre et laisser Roy découvrir chaque partie de son corps avec pour seul témoin, ces affreux animaux empaillés décorant le mur.
Oui, elle voulait sauter de joie et hurler au monde à quel point elle était fière que Roy Mustang avait autant envie d'elle qu'elle de lui. Même si elle n'y croyait pas, savoir qu'il l'aimait apportait en elle un réconfort et la sensation de ne plus se sentir seule, d'être importante pour quelqu'un. Une sensation qu'elle ne ressentait plus depuis la mort de ses parents.
Mais tout ce côté enthousiasme, rempli de désir et d'envie, se confrontait à un tout autre côté... Celui de la raison qu'on lui avait toujours appris à connaître pour se protéger, autrement dit : la peur.
La main de Roy se saisit délicatement de son menton pour l'obliger à retrouver un contact visuel.
Riza ouvrit la bouche, mais avant qu'elle ne puisse parler, Roy la devança.
- S'il vous plait... L'implora-t-il. Ne le niez pas... S'il vous plait, soufflait-il de désespoir, l'implorant du regard. Je lis dans vos yeux la confusion et la peur, mais je peux également lire et sentir dans la réaction de votre corps à mon contact, que vous brûlez de désir pour moi."
Roy avait raison... Riza ne pouvait le nier... Son corps s'embrasait malgré elle au moindre contact de Roy sur elle. Son souffle était saccadé et elle se sentait essoufflée par les sensations qui étaient en train de faire irruption en elle. Elle n'en pouvait plus... Elle voulait juste succomber au plaisir et que Roy vienne éteindre le feu qui la consumait entièrement.
Elle était brûlante.
Brûlante d'un désir pour lui.
- Je..."
Sa voix se perdit dans le fond de sa gorge. Peur et désir se mêler dans son regard et Roy sentait qu'elle avait besoin d'être rassurée.
- Je vous promet de faire disparaître à jamais cette peur en vous qui vous pousse à être sans cesse sur la défensive." Sourit-il avec douceur et sincérité.
Et Riza savait qu'il le pensait vraiment et qu'il ferait tout pour.
- Acceptez simplement cette fleur et faites de moi l'homme le plus heureux de la Terre par ce simple geste." Renchérit-il en s'emparant de sa main qui tenait la fleur, la mettant en valeur ente eux.
Son regard reflétait une telle intensité d'amour et d'espoir que Riza n'eut d'autre choix que d'accepter ce présent. Elle porta la fleur à son visage et en inspira son odeur. Une odeur qui sentait la sécurité et la prospérité aux côtés de Roy. Un avenir qui faisait envie et dans lequel elle avait envie de sauter à pied joins.
- Que des promesses... Souffla-t-elle, humant toujours la fleur. Je n'en demande pas tant..." Murmura-t-elle pour elle-même.
- Pourtant, vous en méritez bien plus." Avoua Roy heureux de voir qu'elle ne le repoussait pas.
Il avait pourtant cru que cette conversation prendrait cette direction pendant un moment... Il se sentait si heureux.
Heureux de ne pas être repoussé par Riza.
Il savait que le chemin serait long pour la conquérir, parce que Riza ne se contenterait pas que de promesses, elle aurait besoin de preuve. Alors il lui apporterait les preuves dont elle aurait besoin. Il avait envie de donner le meilleur de lui-même. C'était la première fois qu'il ressentait quelque chose d'aussi fort pour quelqu'un en dehors de sa mère.
L'émotion lui donnait envie de sauter de joie et de courir partout, tel un enfant, criant son bonheur de pouvoir tenter de parcourir un bout de chemin avec Riza, dansant sa joie au ciel.
Il se sentait fou.
Fou d'amour !
N'était-ce pas plutôt son surplus d'alcool qui achevait de le terminer ? Après tout, il n'avait rien mangé et si l'adrénaline lui permettait de tenir le coup, il avait un taux d'alcool dans le sang important... Il ferait mieux de rentrer se coucher... S'il s'endormait avec Riza dans les bras, il était certain de passer la meilleure nuit de toute sa vie.
Il souriait comme un imbécile heureux.
Riza l'observait légèrement intriguée. Il fallait dire que son sourire était assez flippant. Il n'avait rien de pervers, mais tout de même... Il la regardait comme si elle était la plus belle de tout l'univers... C'était assez déstabilisant.
Elle toussota et détourna le regard, ne supportant plus son sourire si lumineux. Une odeur d'alcool se sentait toujours dans son haleine... Était-il bourré ? Une part d'elle préférait se dire qu'elle se faisait des idées... Car si Roy était bourré !? Cela pourrait discréditer tout ce qu'il venait de lui dire et elle n'avait pas envie de se dire qu'il ne pensait pas ses paroles... Autant l'amour n'était pas important... Mais elle avait besoin d'espoir et Roy semblait être prêt à lui en offrir.
En pleine suggestion, ses yeux se posèrent sur le bouquet que Roy avait toujours en main.
- Roy... Je ne voudrais pas gâcher votre joie, mais pour qui est ce bouquet ?" Demanda-t-elle alors.
À cette question, Roy fronça les sourcils et perdit son sourire. Son regard se posa alors sur le bouquet qu'il tenait en main. Son expression laissait suggérer qu'il n'avait aucune idée de pour qui était ce bouquet. Il l'avait pourtant bien acheté pour une raison ? Alors pourquoi n'arrivait-il plus à ce souvenir de quel était cette raison ?
Qu'avait-il fait ce matin pour que cela le fasse acheter des fleurs ?
En réfléchissant, il se souvint avoir vu Elfy et même de lui avoir parlé, mais jamais il n'offrirait des fleurs à cette sorcière rousse.
Il avait également parlé avec Maes, mais le jour où il offrirait des fleurs à Maes n'était pas arrivé !
Alors pour qui étaient-elles destinées ?
- Est-ce que vous êtes saoule ?" Finit par demander Riza devant l'expression ahuri de son époux.
Elle avait peur qu'il réponde oui, mais elle devait s'en assurer. Se faisait-elle de fausses idées ?
Après il y avait des hommes qui se montraient des plus sincères sous l'emprise de l'alcool... Mais en général, lorsqu'ils se réveillaient le lendemain, ils avaient tout oublié...
Roy faisait-il parti de cette catégorie d'hommes ? Elle ne voulait pas que demain il n'ait plus aucun souvenir de cette déclaration et de sa promesse.
- Saoule... ?" Répéta Roy, comme si cette idée était saugrenue.
- Vous avez tout l'air d'un homme ivre !" Expliqua Riza.
Un petit sourire mystérieux apparut sur les lèvres de Roy et la blonde se sentit rougir.
- C'est parce que je suis ivre d'amour pour vous", souffla-t-il de la manière la plus romantique qui soit.
Le cœur de Riza rata son énième battement en moins d'une heure. Il voulait sa mort avec ses déclarations qu'il sortait sans prévenir ou quoi ?
Elle sursauta lorsque Roy, sans prévenir, mi un genou à terre et lui tendit le bouquet qu'il avait dans les mains.
Il se disait qu'à défaut de se souvenir du pourquoi il les avait achetés, autant qu'elles servent à quelque chose.
- Riza, voulez-vous m'épouser ?" S'exclama-t-il alors, le plus sérieusement du monde.
Riza n'avait plus aucun doute. Roy était bourré... Et pas qu'un peu pour qu'il ait oublié le détail qui les avait unis !
- Nous sommes déjà mariés !" Lui rappela-t-elle, sévère.
Mais Roy ne fut pas satisfait de l'information et secoua la tête.
- Non, ce qui nous unis, n'est pas un mariage."
- Nous sommes pourtant passés devant monsieur le curé !" Poursuivit Riza, se souvenant du désastre de leur mariage.
- Tout ce que nous avons vécus n'était qu'une comédie orchestrée par ma famille ! Protesta Roy en se relevant et en s'approchant de Riza. Je ne veux pas que notre véritable mariage soit orchestré par eux ! Je veux qu'il soit à notre image et qu'il se fasse sous le signe de l'amour. Je veux pouvoir vous voir remonter l'allée dans une somptueuse robe blanche à votre image et que mon souffle se coupe à votre simple vue, réalisant alors à quel point je suis l'homme le plus chanceux de la Terre de pouvoir épouser une femme aussi belle que vous."
Waouh... Il allait falloir qu'il arrête les déclarations d'amour parce que le pauvre petit cœur de Riza allait véritablement y succomber... Elle était à deux doigts de se jeter à son cou et de lui crier "OUI" de toutes ses forces avant de l'embrasser à pleine bouche pour sceller dignement cette demande.
D'ailleurs, elle voyait que Roy était à deux doigts de l'embrasser. Elle n'attendait que ça.
Pourtant...
Lorsqu'un bébé se mit à pleurer au loin, ce fut comme un déclic en Roy. Il écarquilla les yeux et s'éloigna de Riza. Cette dernière se demanda un instant ce qu'il se passait. Surtout quand le visage de son époux se décomposa. Il prit une expression grave tout en lâchant un juron entre ses dents.
- Que se passe-t-il ?" S'enquit Riza, légèrement inquiète.
Il n'avait pas l'air de regretter ses paroles et Riza n'avait eu aucune expression signifiant un quelconque refus ou repoussement... Alors pourquoi le charme s'était-il brisé ?
- Je sais pour qui sont ses fleurs ! S'exclama Roy en s'emparant de son poignet et de filer. Venez, ajouta-t-il en même temps que son acte. Nous devons nous dépêcher."
Bien que surprise, Riza obtempéra. Peut-être que cette soudaine interruption avait été prémédité pour l'empêcher de faire une bêtise. Maintenant que leur bulle était brisée, elle réalisait à quel point il aurait été stupide d'embrasser Roy et d'accepter de l'épouser !
oOo
June finit par retourner au château du Duc. Lorsqu'elle sortit de la calèche, elle tomba sur le médecin de famille en grande conversation avec son père.
- Ne vous inquiétez pas, disait-il à l'attention du Duc. Elle n'a rien de grave. Par contre il lui faut énormément de repos et interdiction de stresser."
Le père de June buvait les paroles du médecin. Il était tellement concentré sur lui qu'il ne vit même pas sa fille. Elle en profita pour épier cette conversation saugrenue.
- Rassurez-vous, elle va mettre au monde un magnifique héritier pour votre famille." Annonça le médecin, tout sourire.
Un héritier !? Mais de quoi parlait ce médecin !? En quoi le bâtard de Clary était un héritier !? Et puis quoi encore !? Pour faire ça, June préférait encore que ce soit Roy qui devienne Duc !
Elle entendit son père remercier chaleureusement le médecin pour ses paroles réconfortante puis ce dernier prit congé. June en profita pour s'approcher de son père et lui dire sa façon de penser.
- Waouh ! Vous tenez vraiment à votre pouliche pour faire venir le Docteur Yoki au château !" S'exclama-t-elle sans cacher son dégoût.
Pourquoi reconnaîtrait-il l'enfant de cette idiote quand il avait refusé de reconnaître Roy à l'époque ?
Étonné par les paroles de sa fille, le Duc se retourna en fronçant les sourcils. Froncement qui s'accentua quand il découvrit à quel point elle était misérablement couverte de boue et de vase. Pour autant, il n'osa rien répliquer de peur d'activer la colère de sa Princesse.
- Mais de quoi parlez-vous donc ma fille ? Demanda-t-il tout de même. Le Docteur Yoki était là pour Elfy ! Renchérit-il de manière plus enjoué. Je vais enfin avoir un petit-fils !" S'écria-t-il comme le plus heureux des hommes.
Hein !?
June beugua carrément devant la révélation de son père. C'était quoi que cette énormité !?
- Elfy !? Enceinte !?"
Elfy et enceinte n'allaient absolument pas ensemble. Ces deux mots étaient incompatibles. Il n'y avait pas meilleurs mots pour les décrire ensemble.
- Vous en êtes sûr ?" Ne peut-elle s'empêcher de demander à son père, n'y croyant pas une seule seconde.
Elfy détestait les enfants ! Elle était sûre qu'avec le nombre de ces amants, elle avait dû faire interrompre quelques grossesses pour éviter de donner un bâtard à son mari avec lequel elle ne partageait presque jamais sa couche, pour ne pas dire jamais. Alors qu'elle annonçait officiellement une grossesse !? C'était grotesque ! June n'en croyait pas un seul mot !
- Oui, affirma pourtant son père, contredisant sa pensée. Le Docteur Yoki vient de me le confirmer."
Ce n'était pas possible... Il devait se tramer quelque chose ! C'était obligé !
- En fait, pourquoi parliez-vous de Clary ma fille ?" Renchérit-il, curieux.
- Pour rien !" Se hâta de répondre June, semblant de rien.
Heureusement, son père n'insista pas. Il était bien trop heureux d'apprendre qu'il allait ENFIN devenir grand-père pour se préoccuper de quoique ce soit.
- Décidément cette journée est merveilleuse, s'émerveilla-t-il. Il ne me reste plus qu'à vous marier ma fille, et ce sera la meilleure journée de toute mon existence." Affirma-t-il tandis que June écarquillait les yeux, horrifiée.
Elle se marier !? Il en était hors de question. Elle était une femme libre et comptait bien le rester. Et puis surtout, elle ne sera jamais la femme d'un homme ! Jamais !
- En parlant, de candidat, j'ai une liste..."
Mais le Duc n'eut point le temps d'énumérer cette fameuse liste. Sa "Princesse" avait déjà disparu. La jeune demoiselle était rapide.
oOo
Dans un des quartiers les plus malfamé de Central, le second fils du Duc Mustang observait une dizaine orpheline. Il avait un morceau de tissu devant sa bouche et son nez pour se protéger de l'odeur que dégageait ces enfants des rues.
- Trop vieux ! Trop moche ! Trop... Blond ! Trop petit !" Commente-t-il en passant devant tous les enfants qui étaient alignés devant lui.
Près de lui, Kimblee levait les yeux au ciel. Agacé par la lenteur du fils du Duc, il alluma une cigarette.
- Arrêtes de te donne en spectacle ! S'énerva-t-il contre lui. Prends-en un qu'on en finisse au plus vite !" Aboya-t-il.
Le fils du Duc se crispa légèrement d'angoisse. Il savait qu'il ne fallait pas énerver Kimblee. Ce type était un psychopathe. Il serait prêt à tuer le roi s'il le fallait ! Alors le fils d'un Duc, ce n'était rien du tout à ses yeux.
- Ce n'est pas facile ! Se défendit-il. Il doit être parfait, sinon Roy sentira le piège."
Kimblee ricana. Il n'avait aucune confiance dans le plan de ce crétin. Il ne faisait qu'échouer qu'importe ce qu'il entreprenait. Alors qu'est-ce qui disait que ce plan-là fonctionnerait !?
- Je me fous de ton bâtard de frère ! Scanda-t-il. Il n'y a qu'Elizabeth Hawkeye qui m'intéresse." Lui rappela le brun aux cheveux noués en catogan tout en recrachant sa fumée sur le fils du Duc.
Ce dernier en toussa, puis reprit sa recherche de l'enfant idéal. Il s'arrêta sur la neuvième. Pourquoi ? Parce qu'il avait le profil parfait d'un Mustang avec ses cheveux noir de jais et ses yeux sombres.
Il était tellement ressemblant au Mustang... Peut-être l'était-il réellement !? Il pouvait être le bâtard de n'importe lequel de ses frères ! Peut-être même de son père !
Non... Impossible ! Si son père avait eu un bâtard, ils l'auraient su, il ne pouvait rien cacher ! Quant à ses frères, ils avaient la décence de ne pas jouir dans leur maîtresse pour éviter tout problème lié à la naissance d'un bâtard justement.
Ce n'était qu'une coïncidence.
Mais tout de même ! Cet enfant ressemblait fortement à un Mustang... s'en était déroutant.
- Celui-là !" S'exclama le fils du Duc en désignant le sosie parfait d'un mini Mustang du doigt.
To be continued...
À très vite.