Nouvelle histoire, que j'espère ne pas abandonner ou mettre en hiatus indéterminée.

Cette histoire est un SI dans le monde réel, notre monde. Pour ne pas spoiler ce que j'ai prévu, je vais juste dire que j'ai de plutôt grande ambition, et qui va mélanger une petite inspiration d'une de mes histoires préférées sur le site, mais plus de 90% de l'idée viens de mois.

Cette histoire ce passe en France, dans mon pays d'origine, mais cela ne sera pas vraiment dérangeant. Bien évidemment, rien de ce qui est dit là est ma vie. Tout est inventé.

Je vais ajouter les personnes petit a petit, lorsque nous les rencontrerons , donc ne vous inquiéter pas si vous ne voyais que OC dans la liste des personnes.

j'espère que cette histoire vous plaira, et dites moi tout ce qui ne va pas, dans la grammaire comme dans le reste, pour que je puisse améliorer l'histoire dans son ensemble.

Sur ce, je vais vous laisser avec l'histoire.

Warning : I don't own pokemon, gamefreak and Nintendo do. But it would be a pleasure if i was the owner.


Lundi, le début de la semaine, une journée à la fois redoutée et espérée, symbolise le commencement de la routine pour beaucoup. C'est le jour où la ville s'éveille au doux tintement des réveils matinaux, les rues se remplissent peu à peu de travailleurs qui s'apprêtent à affronter une nouvelle semaine de défis professionnels. Pour eux, c'est un plaisir teinté d'anticipation, une opportunité de gagner leur subsistance et de réaliser leurs ambitions.

En revanche, pour les enfants et adolescents comme moi, le lundi est synonyme d'un réveil brutal, d'une douce évasion du week-end qui se termine. Je m'appelle Arthur, et je suis élève au lycée. Je suis actuellement en deuxième année, et chaque semaine qui débute compte déjà pour mon baccalauréat, ce diplôme tant convoité qui ouvrira les portes de mon avenir. Les heures passées en cours semblent s'étirer à l'infini, entre les matières à étudier, les devoirs à rendre, et les défis sociaux qui accompagnent la jeunesse. C'est un lundi qui incarne à la fois le fardeau des responsabilités académiques et la promesse d'un avenir meilleur.

On pourrait dire que je devrais être épuisé... et c'est effectivement le cas. La charge de travail qui pèse sur mes épaules est si accablante que je ne parviens plus à trouver un moment pour moi-même.

J'habite à Paris avec mes deux parents et ma petite sœur. Cependant, il fut un temps où notre situation familiale était bien moins harmonieuse. Les conflits entre mes parents étaient monnaie courante, mais peut-être par un heureux hasard, il semble que les années aient apaisé leurs désaccords, et désormais, la sérénité règne dans notre foyer.

J'entends mon réveil sonner à 7h du matin. Je me réveille en sursaut, comme tout les jour, et je me lève pour éteindre mon réveil. Ma chambre à tout ce qu'il faut pour un lycéen lambda, un bureau, des manuels scolaires, un meuble pour les vêtements et un lit.

À 7 heures du matin, le son strident de mon réveil me tire brusquement de mon sommeil, comme chaque jour. Je me lève précipitamment pour faire taire cette mélodie dérangeante. Ma chambre est typique d'un lycéen ordinaire, équipée d'un bureau où s'entassent les manuels scolaires, un meuble pour les vêtements, et un lit qui m'offre chaque nuit son refuge.

Après une dizaine de minutes, j'atteins mon lycée juste avant que la sonnerie retentisse, annonçant le début des cours de la journée. Ma première destination est la salle de mathématiques. La matinée s'écoule relativement rapidement, et avant que je m'en rende compte, il est midi, marquant la fin des cours de la matinée.

Après avoir survécu à cette matinée, je me dirige vers la cantine scolaire avec un sentiment de soulagement. C'est l'occasion tant attendue pour retrouver mes amis et enfin profiter de moments de discussion et de détente.

Vous savez ce que redoute le plus un lycéen lors de la rentrée des classes ? C'est de ne pas se retrouver avec ses amis, de se retrouver dans une classe où personne n'est familier. Heureusement, la dernière partie ne me concerne pas. Cependant, il se trouve que je n'ai aucun de mes amis dans ma classe, ce qui signifie que le seul moment où je peux les retrouver est durant la pause déjeuner.

Je pénètre dans la cantine scolaire, mon plateau en main, et je me dirige rapidement vers la table où se trouvent tous mes amis.

"Encore une matinée de survécue," dit Mathéo, mon ami de longue date. Nous avons partagé notre amitié depuis l'enfance, et nous avons la chance d'avoir toujours été dans la même école.

"Et moi, j'ai un devoir de plus à rendre la semaine prochaine. Je l'ajoute donc à mes deux autres devoirs pour la semaine prochaine," dis-je avec un ton d'agacement, bien que je sache ironiquement que j'ai le moins de choses à faire pour la semaine prochaine.

Élodie, que je connais depuis l'année dernière, me fixe du regard. "Ce n'est pas toi qui es en terminale et qui doit passer son bac dans même pas 8 mois. J'ai bien plus de choses à faire que vous !" nous dit-elle, puis elle scrute chacun d'entre nous. "Alors arrêtez de tous vous plaindre, car vous n'êtes pas prêts pour l'année prochaine !" Elle prononce ces mots avec un soupçon d'énervement, bien que ce soit sans réelle animosité, et même avec une pointe d'ironie.

Vous pourriez vous demander : "Comment peux-tu la connaître alors qu'elle a un an de plus que toi ?" Et je vous répondrais simplement que nous avons collaboré ensemble dans le cadre d'un projet scolaire, lors d'un événement organisé au sein de notre lycée.

Nous formions un petit groupe de trois amis, et notre entente était excellente. Lorsque l'un d'entre nous avait besoin d'aide, nous étions toujours prêts à lui apporter notre soutien avec plaisir.

Nous partagions tous les trois une passion commune : notre amour pour la franchise Pokémon. C'était un véritable lien entre nous, car nos goûts étaient incroyablement similaires.

Nos discussions tournaient souvent autour de cette franchise, que ce soit pour évoquer les dernières nouveautés, les problèmes rencontrés, ou encore les aspects fantastiques de la licence. Nous organisions régulièrement des débats où chacun pouvait exprimer son point de vue. Cependant, cela ne représentait qu'une petite partie de nos activités. En fin de semaine, nous avions l'habitude de nous réunir pour jouer ensemble et discuter, renforçant ainsi notre amitié.

Mais une grande part de nos discussions portait sur l'imaginaire, à rêver de ce que ce serait de vivre dans le monde de Pokémon, de devenir un Pokémon nous-mêmes. Nous avions une préférence pour l'idée d'incarner un Pokémon légendaire, peu importe lequel. C'était une source inépuisable de rêveries et de conversations animées entre nous.

Entre Mathéo et moi, nous passions de nombreuses heures à jouer à Pokémon Donjon Mystère, et ces moments étaient véritablement exceptionnels. Cependant, cela fait maintenant plusieurs années qu'aucun nouveau jeu Pokémon Donjon Mystère n'a vu le jour, ce qui suscite un certain sentiment de nostalgie.

Il est vrai que nos réunions se faisaient de plus en plus rares, en grande partie en raison du manque de temps. Cependant, l'arrivée d'Élodie a ravivé la passion que Mathéo et moi partagions pour Pokémon, et cela fait maintenant un an que nous nous efforçons de nous rassembler autant que possible autour de cette franchise. Elle a apporté un nouvel élan à notre groupe d'amis.

"Alors," commençai-je, "êtes-vous disponibles ce week-end ? J'ai découvert un tout nouveau fangame Pokémon Donjon Mystère, et ce serait génial si on pouvait y jouer ensemble. J'en suis vraiment enthousiaste et impatient !"

"Ça ne sera pas un fangame qui n'a juste pas de fin, et qui n'a que un chapitre pour le moment ? "demanda Élodie

"Non, ne t'inquiète pas, c'est un fangame qui était en développement depuis quelques années, et tous les chapitres sont sortis en même temps. Pas de souci à avoir !" rassurais-je

"Ah, c'est génial !" s'exclama Mathéo. "J'ai hâte d'être ce week-end, ça fait un moment qu'on n'a pas joué à des fangames. Ça fait quoi ? Deux-trois mois ?" demanda Arthur.

""En fait, ça fait plutôt 4 mois..." commença Élodie. "Ils ne sont pas très fréquents, et le problème, c'est que les chapitres mettent du temps à sortir, ce que je comprends," poursuivit-elle. "J'espère que celui-ci sera incroyable !"

"D'après les avis, même s'il est récent, le fangame est incroyable. Il propose une histoire profonde, de nouveaux décors de donjon, et l'ajout de tous les Pokémon jusqu'à la 9e génération, c'est-à-dire tous les Pokémon qui existent !" ajoutai-je avec envie et impatience. Il est vrai que des fangames comme celui-ci sont rares.

Pendant notre échange animé, un jeune homme, en dernière année de lycée, s'approcha subitement. Pris dans notre conversation, nous ne l'avions pas remarqué avant qu'il ne prenne la parole, signe de notre immersion totale dans le sujet qui nous captivait.

"Ah, regardez qui est là, les amateurs de technologie ! Vous parlez encore de cette pathétique licence Pokémon ? Évoluez un peu, c'est pour les gamins." s'exclama Noam, le provocateur notoire de l'école, connu pour ses remarques acerbes. Il s'agit du pire élève, le "populaire" qui critique tout et tout le monde, sans être exempt de défauts lui-même.

Suivi de sa clique, ses fidèles comme on les surnommait, il nous scrutait du regard. Cette scène nous était familière, sa présence constante à l'affût d'une opportunité pour nous confronter.

Presque personne, à l'exception de sa clique, ne l'appréciait. Il perturbait l'harmonie générale, mais agir contre lui signifiait s'exposer à des problèmes avec la direction. Dans cet environnement où la violence est prohibée, nous étions souvent coincés face à ses agissements.

"Peux-tu s'il te plaît nous laisser tranquilles ? Personne ici ne semble apprécier ta présence," déclara Mathéo, calmement, sans arborer de menace dans ses paroles.

""Chacun a le droit de poursuivre ses passions, tout comme toi tu as les tiennes," ajouta Élodie, soulignant la légitimité de chacun à suivre ses intérêts.

"Alors, permets-nous simplement de discuter en toute tranquillité, nous cherchons juste à discuter en paix," concluais-je,

Noam esquissa un sourire narquois. "Vous pensez vraiment vous débarrasser de moi aussi facilement ? Je fais ce que je veux, personne ne peut rien y changer, comme tu le sais bien, ici, c'est un environnement sans violence." Il laissa échapper un soupir théâtral et s'approcha lentement de nous. "Je ne me lasserai jamais, vous êtes mes cibles favorites..." Puis, il s'éloigna et se dirigea vers une table libre, laissant planer un sentiment d'incertitude.

Quelques secondes après le départ de Noam, Matéo prit la parole. "Il ne nous laissera jamais tranquilles, et nous le savons bien," affirma-t-il. "Mais personne ne peut rien y faire, surtout que..." Il laissa sa phrase en suspens, laissant planer un sentiment d'impuissance face à la situation.

"Que Noam est le fils du directeur, c'est un fait que nous connaissons tous," continua Élodie, soulignant le lien de parenté qui complique davantage notre situation.

Nous restâmes là, silencieux, en train de manger. Chaque fois qu'il apparaissait, cela se concluait toujours de la même manière, avec nous terminant notre repas dans un silence pesant.

Puis, la sonnerie retentit, marquant le début des cours de l'après-midi. Nous nous levâmes, et je me dirigeai vers ma première classe de l'après-midi, qui était celle d'anglais.

J'étais étonnamment le meilleur dans cette matière. Tous les autres avaient des notes dans la moyenne, tandis que moi, j'obtenais presque toujours des 20. Mon professeur m'appréciait donc beaucoup.

Le cours d'anglais s'écoula rapidement, comme à son habitude, et c'était maintenant le moment de passer au cours d'histoire-géographie. Bien que le cours fût assez captivant, le temps semblait s'étirer légèrement plus lentement. Ensuite, les troisième et quatrième heures étaient consacrées respectivement à l'enseignement scientifique (physique-chimie) et à l'enseignement scientifique (sciences de la vie et de la terre).

Cependant, l'événement le plus captivant se produisit pendant ma quatrième heure.


"Veuillez ouvrir vos manuels à la page 123 et réaliser les trois premières questions. Si vous avez besoin d'assistance, n'hésitez pas à me le faire savoir, je viendrai vous aider," ordonna ma professeure d'enseignement scientifique (SVT) avec bienveillance.

C'était une professeure appréciée, pourrait-on dire. Elle était du genre à organiser des activités ludiques, offrant ainsi un moyen efficace et agréable de nous faire assimiler les cours facilement.

Cependant, ce n'est pas le point central. Alors que je m'appliquais à répondre à la deuxième question, une sensation d'étourdissement s'empara soudain de moi. Ma vision devint floue, mais curieusement, ce n'était pas le plus important. L'élément crucial résidait dans le fait que j'entendais des voix dans mon esprit. Des voix ! Cela ne perdura que quelques instants, mais suffisamment pour susciter des frissons et me pousser à demander à ma professeure l'autorisation d'aller aux toilettes.

Alors que j'étais à mi-chemin, cela reprit. À nouveau étourdi, je m'arrêtai pour retrouver mes esprits. Pensant que ça allait mieux, je repris ma marche, mais les voix reprirent de plus belle, beaucoup plus distinctes cette fois-ci. J'entendais des expressions comme : "Attends, je crois que je me suis trompé" ou encore "J'abandonne, je ne comprends juste pas". C'était une expérience déconcertante qui ajoutait une dimension étrange à ma journée.

Puis, aussi subitement que c'était apparu, tout disparut. Un retour à la normalité qui laissa une étrange empreinte dans ma journée.

Je rassemblai mes esprits, une bouffée d'incertitude traversant mes pensées. Ravalant ma salive, je me dirigeai vers les toilettes, cherchant un refuge momentané pour comprendre ce qui venait de se produire.

Je me réfugiai dans l'une des cabines des toilettes, submergé par une avalanche de questions. Qu'est-ce qui venait de se passer ? Je tentais de réfléchir paisiblement, mais la situation devenait de plus en plus étrange. Cela a commencé ainsi, puis cela a recommencé, et maintenant j'entends... Non. Non. Non. Non. Non. Ce n'est pas possible... Une série de dénégations secouait mes pensées, la réalité devenant de plus en plus difficile à accepter.

Je me lève, comme si la réalité se dérobait sous mes pieds. Cependant, je m'assois immédiatement, toujours accablé par un vertige persistant. Un équilibre fragile entre incrédulité et désorientation.

Non, c'est impossible... pourquoi ? Pourquoi subitement, est-ce que j'aurais la capacité d'entendre... les pensées des autres ? Un questionnement teinté d'incompréhension et d'une dose croissante d'inquiétude m'envahissait.

Je porte ma main à mon front, cherchant à dissiper le trouble qui règne dans mes pensées. Un geste instinctif de réflexion, alors que je tente de démêler l'écheveau de mystères qui vient de s'insinuer dans ma vie.

Il faut que je réfléchisse. Pourquoi ? Je veux dire, qu'est-ce que j'ai fait ? Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Aucun humain ne pourrait entendre les pensées des autres... si ? C'est une notion presque fantastique, réservée aux scénarios de films ou de livres. Un humain ne peut pas, à moins que le gouvernement nous cache des choses, mais c'est improbable. Cependant, une étrange réalité s'insinue dans mes pensées. Qu'est-ce qui m'arrive alors ? Un labyrinthe de perplexités s'entrelace, évoquant des inquiétudes inédites.

Je suis interrompu par le grincement de la porte des toilettes. Une présence pénètre dans la pièce. J'essaie de discerner le bruit des pas, percevant que la personne se dirige vers la cabine voisine. J'ai l'impression qu'elle ignore totalement ma présence.

"Mais qu'est-ce qui m'arrive !" s'exclame cette personne avec un mélange de confusion et d'inquiétude. "Pourquoi est-ce que j'ai soudainement des vertiges !?" La voix résonne dans la pièce, chargée d'un écho de perplexité qui se mêle étrangement à mes propres questionnements intérieurs.

Attends, c'est contagieux ? Est-ce une sorte de nouvelle maladie qui me rend fou ? m'interrogeai-je, exprimant une préoccupation grandissante

"Et expliquez-moi pourquoi est-ce que j'arrive à sentir que quelqu'un fume à l'autre bout du bâtiment !" s'exclame-t-elle, la surprise teintée d'une pointe d'incompréhension. Son ton trahit à la fois l'étonnement et l'intrigue face à cette nouvelle réalité sensorielle qui ébranle ses certitudes.

... plus aucun doute, il se passe quelque chose, mais quoi ?


Et voila ! C'est la fin du premier chapitre ! Alors, qu'est ce que vous en avez pensé ?

Matéo : Personnellement, je retiens qu'il se passe quelque chose avec mon meilleur ami.

Arthur : Je me demande bien ce qui m'arrive... Vous savez pas ce que ça fait d'entendre les pensée des autre !

Élodie : Si c'est extra , il y a pas moyen d'avoir la même choses que toi ?

Hummmm, des avis plutôt similaires entre eux trois... par part Élodie... qui pense qu'a elle même.

See you soon !