Commentaire d'auteur :

Bonjour à tous ! :) J'espère tout d'abord que vous allez bien !

Je reviens encore une fois dans ce fandom avec une énième Tomarry (je ne peux pas m'en empêcher, c'est mon ship préféré que voulez-vous!). cette histoire ne sera pas très longue je pense, certainement une dizaine de chapitres tout au plus !

Je n'ai pas grand-chose à dire pour l'instant donc on se retrouve en bas, bonne lecture ! :D

PS : Je viens de finir ce premier chapitre donc je n'ai pas eu le temps de le corriger (je suis encore sur mon lieu de travail à cet instant précis et je le poste depuis l'ordi du boulot ahahaha) donc ne faites pas attention s'il y a des fautes, je corrigerai plus tard !


CHAPITRE UN

Pour Voldemort, la journée avait commencée semblable à toutes les autres.

Récemment rentré d'un voyage où il avait passé quelques mois à étudier certaines branches de magie noire au Brésil, il avait décidé de prendre possession du manoir de Serpentard. Il en avait hérité à l'âge de ses dix-sept ans, mais n'avait jamais eu l'occasion de le visiter auparavant, encore moins d'y habiter. L'endroit avait certainement été magnifique des décennies plus tôt, si on en croyait la hauteur impressionnante du plafond, les tissus aux couleurs riches à présent mangés aux mites, et les meubles couverts de dorures. A présent, l'endroit ne payait pas de mine, et sa splendeur était passé depuis longtemps - cependant, cela ne dérangeait pas le mage noir. Il avait vécu si longtemps à l'orphelinat que de la poussière et un peu de papier peint déchiré ne l'inquiétait plus. Dans quelques jours, les elfes de maison auraient tout nettoyé et remis au goût du jour.

Installé dans l'un des nombreux bureaux dont disposait le manoir, il venait de déposer les livres ramenés durant son voyage sur le secrétaire en bois lorsqu'un vent violent, venu de nulle part, se glissa dans la pièce, arracha les papiers et les notes et produisit… un garçon.

Tombé du ciel, il venait d'atterrir avec un "oof" sonore, soulevant un épais nuage de poussière au passage.

Il n'en fallut pas plus pour que Voldemort se redresse, la main crispée sur sa baguette, plus que méfiant. A peine arrivé au manoir Serpentard, il avait aussitôt jeté des sorts de protection, empêchant quiconque ne possédant pas son sang d'entrer. L'inconnu qui se trouvait là était une aberration - Voldemort n'avait pas de famille.

Il le savait mieux que tout le monde - après tout, il avait fait en sorte d'éliminer chacun d'entre eux jusqu'au dernier.

Que ce soit un portoloin, l'apparition… rien n'aurait pu laisser ce garçon entrer à l'intérieur du manoir, et cette certitude était suffisante pour qu'il jette un sort d'un geste de la main, laissant des serpents s'enrouler autour de l'inconnu comme des cordes pour l'immobiliser.

- Qu'est-ce que- fit une voix, indubitablement masculine, avant de paniquer : Lâchez-moi !

A la plus grande stupéfaction de Voldemort, les serpents lâchèrent prise. Éberlué, il fixa la touffe de cheveux noirs en bataille de l'inconnu qui lui tournait toujours le dos et venait tant bien que mal de s'asseoir à même le sol. Il pouvait sentir sa magie d'ici, le pouvoir démesuré qui semblait rouler sous la peau pâle. Mais ce n'était pas le seul détail notable.

Le garçon venait de parler Fourchelang.

Se retournant, le nouveau venu dévoila un regard d'un vert émeraude, saisissant, caché derrière des lunettes usées et un rictus particulièrement vicieux. Cependant, à la vue de Voldemort, son expression changea, et il écarquilla les yeux.

- Mais-

- Qui es-tu ? le coupa le mage noir d'un ton sec.

Un ricanement échappa à l'inconnu, comme si c'était la question la plus stupide qu'il ait jamais entendu. Il passa une main dans ses cheveux et souffla :

- Ton ennemi juré-

- Je veux ton nom, l'interrompit Voldemort, déjà non loin d'être à bout de patience.

- Comment ça, mon nom ? Tu sais déjà qui je suis-

A ces mots, le visage du garçon prit une teinte cadavérique et il ouvrit et referma plusieurs fois la bouche comme un poisson hors de l'eau.

- Tu n'es pas- commença-t-il avant d'ajouter : En quelle année sommes-nous ?

Un mauvais pressentiment traversa l'héritier de Serpentard lorsqu'il répondit :

- 1958. Et cela ne répond pas à ma question.

- Harry, lui avoua finalement le plus jeune avant de grimacer. 1958 ?!

Ainsi tout s'expliquait - ce gamin venu de nulle part arrivait tout droit du futur. C'était la seule explication possible. Quant au fait qu'il puisse passer à travers les sorts de protection du manoir… ils possédaient tous les deux le même sang.

Voldemort comprenait désormais - ce gamin était son fils. C'était évident, immuable. Il le voyait dans le corps d'Harry, sa peau pâle et ses cheveux sombres si similaires aux siens, son impressionnante puissance magique et son âme, qui semblait appeler la sienne sans que cela ne fasse le moindre sens. Et plus que tout, le Fourchelang, qu'il avait parlé sans même y penser, comme un automatisme - quelle autre preuve le mage noir avait-il besoin pour comprendre qu'il s'agissait de sa progéniture, alors que toute la branche des Gaunt avait été éliminée par ses soins ? Aucune.

Cela l'intriguait dans tous les cas - pourquoi avait-il décidé, dans un futur plus ou moins lointain, qu'avoir un fils était une bonne idée ? Pour la magie ? L'assurance d'avoir un autre corps, semblable au sien, facile à posséder et accessible si jamais les horcruxes n'étaient pas suffisants ? Il n'avait pas de réponse, pas de manière de deviner ce qui avait traversé l'esprit de son doppelgänger.

Mais il était certain d'une chose, une seule.

- Tu es à moi, souffla-t-il, incapable de cacher le rictus satisfait qui traversa son visage en cet instant.

- Qu- quoi ?! balbutia Harry. Tu n'es qu'un-

- Évidemment, continua le mage noir, ignorant la colère qu'il pouvait voir dans les yeux de sa progéniture. Tu es mon fils, venu de notre futur. Tout ce qui fait de toi ce que tu es, ta magie, ton corps, ton âme, m'appartiennent entièrement.

- Je- hein ?!

Harry semblait si surpris par ces paroles qu'il resta un long moment la bouche ouverte, l'air absolument horrifié.

Et puis, le sentiment quelconque qui venait de le traverser sembla disparaître car il se redressa brusquement, carra les épaules et toisa Voldemort d'un regard plein de défi. Il semblait aussi fier et dangereux que son père, qui ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de fierté.

- Oui, je suis ton fils. Et tu dois m'aider à retourner à mon époque. Des gens comptent sur moi là-bas. Une prophétie a été écrite à notre sujet, je dois te tuer.

- Me tuer ? répéta Voldemort, honnêtement surpris. Pourquoi ?

- Tu as… tué ma mère, répliqua le brun d'un ton glacial, le menton relevé.

Ah, ainsi voilà la raison pour laquelle son fils semblait le détester, lui jetant des regards mauvais depuis son arrivée ici. Ce n'était pas si surprenant - il n'aurait jamais laissé personne d'autre que lui élever son fils, et avait certainement tué la mère à la naissance de l'enfant. Il pouvait seulement féliciter son double du futur d'avoir bien choisi - la magie qui s'échappait du corps de son fils était puissante, sans compter ses yeux verts comme il n'en avait encore jamais vus.

Quoiqu'il en soit, la colère d'Harry n'était pas si grave - Voldemort était certain qu'avec un peu de persuasion, il pourrait faire oublier ce détail à son héritier.

Car oui, il n'avait nullement l'intention d'aider Harry à rentrer chez lui. Comment le pouvait-il ?! Voilà que lui, Tom Jedusor, sang-mêlé persécuté par ses camarades sang-purs à Serpentard, bien des années plus tôt, s'était hissé une fois de plus au-dessus d'eux ! Il avait un héritier, lui aussi. Il se voyait déjà à l'une des satanées fêtes d'Abraxas Malfoy, paradant avec Harry à son bras, habillé d'émeraude, et voir ses Mangemorts se retourner sur leur passage, et admirer.

Il était hors de question qu'Harry retourne à son époque.

- Est-ce donc pour cette seule raison que tu me hais, cher fils ?

Un large grimace traversa le visage du sorcier et il se redressa d'un bond, lui jetant un regard furieux, haussant aussitôt le ton.

- Dois-je te parler de mes amis, que tu as tués ? Des moldus où tu m'as envoyé, et qui m'ont laissé mourir de faim, enfermé dans un placard ?! Ou alors-

- Des moldus ?! répéta Voldemort avec horreur, se redressant à son tour.

Son double était-il donc devenu fou ? Pour quelle horrible raison avait-il envoyé son propre fils vivre avec ces monstres ?!

- Tu me détestes. Tu as tout fait pour me pourrir la vie. Tu pensais vraiment qu'en m'envoyant chez des moldus qui détestent la magie, tu parviendrais à me rendre comme toi ? Aussi froid et détestable, dans l'espoir que je veuille les rayer de la carte ?

Le mage noir resta silencieux, incapable de savoir quoi répondre face à une telle tirade. Il ne parvenait même pas à être en colère face à son fils, et le fait qu'il ne semblait pas détester les moldus - il était si choqué des agissements de son double qu'il ne pouvait pas en vouloir à Harry.

- Quel âge as-tu ? demanda-t-il plutôt.

- Dix-sept ans, avoua Harry d'un ton sec.

- Tu as l'air d'en faire treize, renifla le mage noir, haussant un sourcil perplexe dans sa direction.

- N'ai-je donc pas dit, quelques minutes plus tôt, que j'avais été affamé étant enfant ?! répliqua Harry.

- C'était une erreur. Je ne permettrais pas qu'une telle chose se produise ici.

Le plus jeune passa une main tremblante dans ses cheveux, le corps secoué d'un rire nerveux.

- Ne dis pas de telles choses. Ne fais pas semblant d'avoir de la compassion pour moi, ou de m'apprécier. Je ne le supporterais pas.

- Je ne ressens aucune compassion, répliqua le Serpentard d'un ton sec. Je reconnais seulement les erreurs de mon double, et je compte bien les corriger.

Le mage noir se leva dans un tourbillons de robe noire et quitta le bureau, jetant un regard en direction de son fils.

- Viens avec moi.

- Où ça ?

Voldemort roula des yeux - roula des yeux ! - et répliqua :

- Manger. Tu n'as que la peau sur les os.


Harry avait définitivement l'impression de s'être cogné la tête dans un meuble et d'être en train de faire un cauchemar. Quelques minutes auparavant, il se trouvait dans le coffre fort de Lestrange, à la recherche de la coupe de Poufsouffle… et la seconde suivante, après avoir touché un énième objet qui traînait pour le pousser hors du chemin dans ce coffre gigantesque, voilà qu'il se retrouvait face à Voldemort, plus jeune, persuadé qu'il était son fils !

A vrai dire, le Gryffondor pouvait comprendre la méprise sans mal - Dumbledore lui-même avait souvent insisté sur leur ressemblance, tant physique que magique. Mais tout de même !

Harry n'avait pas osé contredire son ennemi - pas alors que ce dernier semblait se refuser à le tuer, l'air ravi d'avoir un héritier. Mais tout cela n'était rien face au plus gros… problème que vivait le survivant actuellement.

- Je ne m'attendais pas à te voir ressembler à… ça, avoua-t-il après un moment de silence.

Non, Harry ne s'était définitivement pas attendu à se retrouver dans le passé, face à un Voldemort bien humain et surtout honteusement beau. C'était déstabilisant - les pommettes hautes, le rictus tiré sur des dents parfaites, des cheveux parfaitement coiffés en arrière et un regard carmin saisissant avaient été suffisants pour faire comprendre à Harry qu'il était dans de beaux draps.

Il ne pouvait s'empêcher de marmonner, particulièrement agacé. Les mages noirs étaient-ils donc tous aussi séduisants ?! Harry commençait presque à comprendre Dumbledore et son attrait plus que malsain pour Grindelwald.

Ce n'était pas juste, voilà tout !

Ayant clairement remarqué son trouble, Voldemort lui adressa un sourire et carnassier et demanda :

- Pourquoi ? A quoi mon double peut-il bien ressembler ?

- A un monstre, répliqua aussitôt Harry, lui arrachant son sourire. Tu as une face de serpent et plus de nez. Totalement ridicule. Il faut croire que la magie noire t'as grillé le cerveau, et le corps qui va avec.

Le mage noir grimaça, sa main agitée d'un tic nerveux. Il était presque tenté de jeter un Crucio en direction de son héritier - mais il s'y refusait. Son double du futur semblait avoir déjà bien trop fait souffrir son fils, et il ne marcherait pas dans ses traces. A la place, il ignora soigneusement l'information plus qu'intéressante donnée par Harry et préféra pousser un plat dans sa direction.

D'un geste de la baguette, il empila de la nourriture dans l'assiette du plus jeune, remarquant rapidement l'expression déconfite qu'affichait ce dernier.

- Je ne pourrais jamais manger autant-

- Tu dois manger, répliqua Voldemort. Je refuse de voir mon héritier se laisser mourir de faim.

Le jeune homme soupira à fendre l'âme avant d'attraper une fourchette, plantant cette dernière dans ses légumes d'un geste rageur. Il commença à mâcher avant d'hausser les sourcils, clairement surpris du goût délicieux de la nourriture. Cela n'avait pourtant rien d'étrange - Voldemort se refusait à manger autre chose que le meilleur qu'il pouvait s'offrir. Il n'avait pas oublié le gruau informe de l'orphelinat, et ne l'oublierait jamais, malgré les viandes les plus fines et les poissons les plus rares qu'il pouvait s'offrir dans n'importe quel restaurant.

- Sais-tu comment tu es arrivé jusqu'ici ?

Harry releva les yeux de son assiette. il pinça les lèvres, hésita un instant avant de finir par avouer :

- Je cherchais quelque chose dans le coffre de quelqu'un, à Gringotts… et j'ai touché un objet inconnu qui m'a emmené ici. C'est tout.

- Dans ce cas, il te faudra du temps avant de trouver le moyen de retourner à ton époque… et tu auras besoin d'une nouvelle identité en attendant.

Voldemort ne fit aucune remarque sur le fait qu'il comptait bien empêcher Harry de repartir - son fils allait se battre bec et ongles pour ça, et mieux valait tenter de le convaincre plutôt que d'engager une guerre ouverte. Il n'était pas non plus idiot au point de l'enfermer.

- Nous irons à Gringotts ouvrir un compte à ton nom, décida le mage noir. Que penses-tu d'Hadrian Serpentard ?

Harry manqua de s'étouffer avec sa bouchée, toussotant et attrapant un verre d'eau avec une main tremblante. Finalement, il se tourna vers Voldemort et s'écria :

- Hadrian ? Hadrian ?! C'est ridicule ! Je n'ai pas besoin de changer de prénom-

- Harry n'est pas un prénom de sang-pur, répliqua Voldemort, de plus en plus agacé par son fils et ses répliques boudeuses.

- Tom n'est pas non plus un nom de sang-pur, répliqua le plus jeune d'un ton vicieux.

Le mage noir serra des dents si fort qu'elles crissèrent. Il s'obligea à respirer calmement, ignorant ses doigts qui voulaient agripper sa baguette et jeter un sort en direction du gamin obstiné qui osait lui faire face.

- C'est déjà décidé, fit-il d'un ton sans appel.

- Mais Hadrian… et vraiment, Serpentard ?

- Serpentard, répéta Voldemort, haussant un sourcil dans sa direction. Je suis son héritier, tout comme toi - il est normal que tu portes son nom.

- J'ai pourtant été placé à Gryffondor pendant mes années d'étude à Poudlard, répliqua Harry avec un rictus.

Il espérait certainement agacer le mage noir avec une telle information, mais Voldemort ne parvenait pas à être surpris, ni même lui en vouloir - la manière dont Harry lui tenait tête, son obstination et sa fierté mal placée si semblable à celle de son père étaient parfaits pour Gryffondor, mais si cela lui coûtait de l'admettre.

- Cela ne m'affecte pas, car je suis certain que le choixpeau t'as proposé Serpentard en premier.

Harry pinça les lèvres, seule preuve que Voldemort avait raison. Malgré tous ses traits de Gryffondor, le choixpeau lui avait d'abord proposé Serpentard - et pendant longtemps, il s'était demandé si refuser avait été le bon choix.

- Tu vas devoir apprendre les coutumes et les usages des sang-purs, continua le mage noir, plissant le nez en voyant arriver attraper une aile de poulet avec les mains. Je ne voudrais pas que mes servants pensent que j'ai un fils qui n'est pas familier de notre monde.

Harry roula des yeux, les yeux fixés sur la nourriture.

- Je vais devoir apprendre à faire le beau devant des mangemorts ? Et puis quoi, encore ? maugréa-t-il.

- Si tu n'apprends pas, ils ne feront qu'une bouchée de toi. Seul les plus forts survivent.

Le Gryffondor soupira une énième fois et reporta son attention sur son assiette. Elle était encore à moitié pleine, mais son estomac ne pouvait pas en supporter davantage. D'un geste, il repoussa le plat et reporta son attention sur Voldemort.

Toute cette situation lui semblait totalement irréaliste - il se retrouvait ici, en 1958 à cause d'un simple objet. C'était un coup du sort, et il venait d'abandonner tout le monde aux prises d'un Voldemort fou furieux à son époque. Il ne pouvait s'empêcher de penser à Ron et Hermione, et espérait de tout coeur qu'ils aient réussi à trouver la coupe de Poufsouffle avant de sortir indemne de la banque.

- Aurais-je le droit à une baguette ?

Dans la confusion, il avait bêtement lâché la sienne - en plus de se sentir démuni, pris au piège, elle lui manquait terriblement, et il sentait sa magie s'agiter dans tous les sens sans son contrôle.

- Quelle question ! fit Voldemort, le fixant comme s'il était idiot. Nous irons chez Ollivander dès demain.

Harry ne pouvait s'empêcher d'être gêné - voir son ennemi juré agir - presque - comme un père aimant était tellement improbable qu'il avait envie de rire, et de rire encore jusqu'à disparaître six pieds sous terre. Il imaginait sans mal la réaction de Ron, qui aurait sûrement hésité entre se moquer ouvertement de lui ou paniquer.

A présent qu'il était coincé en 1958, il ne savait pas quoi faire. Le fait que Voldemort le prenne pour son fils était aussi risible que dangereux, et il ne voulait pas imaginer ce qu'il se produirait si le mage noir parvenait à découvrir la vérité.


Commentaire d'auteur :

Et voilà ! J'espère tout d'abord que vous avez aimé ce premier chapitre ! Je vais commencer à écrire le deuxième chapitre dès ce soir donc l'attente ne sera pas trop longue ! :D

L'idée de cette histoire m'est venue en voyant une idée similaire dans un autre fandom et je trouvais cela très drôle de l'appliquer ici ! Je pense la faire sur un ton plus léger que mes autres Tomarry (je sais on ne dirait pas mais si si je vous assure !) donc j'espère que ça va vous plaire !

Pour ceux qui lisent Mausoléum et Aux Anges leurs Immortels ne vous inquiétez pas, je travaille aussi dessus ! :P (et ceux qui ne les ont pas lus eh bien allez y, ça vous fera plus de fanfics sur ce ship héhéhéhé)

Des bisous, et à bientôt pour le chapitre 2 !