Disclaimer : Rien d'Harry Potter ne m'appartient, si c'était le cas je serai une femme, je serai plus âgé et bien plus riche. Cette fanfiction est une œuvre originale de White Squirrel du nom de 'The Accidental Animagus' (/9863146/). Merci à lui de me permettre de traduire ses textes!
Les reviews sont très appréciées mais ne sont bien sûr pas obligatoires.
T/N: Et voilà enfin la fanfic mystère que je vous disais que j'allais traduire! Et je n'exagérais pas en vous disant qu'elle serait très longue. Voici un petit sommaire pour vous donner une idée avant de commencer votre lecture:
Avant Poudlard: Chapitres 1 à 12
Première Année: Chapitres 13 à 41
Deuxième Année: Chapitres 42 à 61
Troisième Année: Chapitres 62 à 81
Quatrième Année: Chapitres 82 à 112
Quelques histoires bonus dans Le Monde de l'Animagus Accidentel
Cinquième à Septième Année dans la suite Les Guerres de l'Animagus
D'une main boursouflée, un Vernon Dursley au visage violacé maintenait son neveu cloué au mur tout en le frappant au visage de l'autre. "Je ne tolèrerai pas tes bizarreries dans ma maison, mon garçon!" gronda-t-il, suivant ces mots d'un nouveau coup.
Les problèmes d'Harry Potter avaient commencé depuis aussi loin qu'il pouvait s'en souvenir, mais sa cinquième année de vie semblait prendre une tournure pire encore que les quatre précédentes. Il avait déjà était assez difficile de devoir dormir dans le placard, de porter les vieilles affaires bien trop large de son cousin et de devoir faire autant de corvées qu'il pouvait en faire. D'une façon ou d'une autre, l'école primaire avait juste rendu les choses encore pires. Sa tante et son oncle n'avait pas voulu l'y envoyer, mais ils savaient qu'ils ne pouvaient pas se permettre de le garder à la maison, alors ils avaient grommelé que cela lui faisait perdre du temps où il aurait dû "gagner sa croûte" et l'y avait envoyé avec Dudley. Cela n'avait pas pris deux jours à son cousin et ses amis pour inventer leur nouveau jeu préféré, "la chasse au Harry", auquel ils s'adonnaient dès que les professeurs avaient le dos tourné. Et cela avait pris moins de quatre jours avant que, alors qu'il se faisait crier dessus par un professeur pour avoir jeté son jus par terre (ce qui était en fait l'œuvre de Dudley), Harry ne soit choqué de voir les cheveux du professeur virer à un bleu néon.
Ce soir-là fut la première fois où Oncle Vernon l'avait frappé lui-même plutôt que de laisser Dudley s'en charger. Le jeune Harry ne comprenait pas du tout de ce qu'il se passait et n'avait qu'une vague idée de la raison pour laquelle il avait des ennuis. Mais il ne pouvait pas se méprendre sur les gesticulations de son Oncle toute cette nuit-là à propos de sa bizarrerie et de son vœu de "rosser ces idioties hors de lui".
Harry en avait encore eu des marques la semaine suivante lorsqu'une nouvelle chose étrange et inexplicable se produit. Cela ne le gênait généralement pas d'être enfermé dans son placard. Au moins cela gardait ses proches loin de lui. Mais quelque chose avait changé en lui après cette première correction. L'envie irrépressible de répondre, réprimée par des années de conditionnement, commença à s'immiscer en lui à nouveau. Puis, après avoir été passé à tabac une fois de plus par la bande de Dudley à l'école et avoir eu sa grande gueule de cousin taper du talon sur les escaliers au-dessus de sa tête une fois de trop, cette envie se cristallisa en un seul désir débordant: s'échapper.
"Tu resteras dans ton placard quand on te dit de le faire, mon garçon!" continuèrent les vociférations d'Oncle Vernon. "Tu n'as aucun droit de sortir à moins que nous t'y autorisions. Tout comme tes bons à rien de parents, toujours à attirer les problèmes. Inutiles, tous autant que vous l'êtes!" Il ponctua chaque phrase soit d'une claque au visage soit d'un coup de poing au torse.
La porte du placard d'Harry s'était semble-t-il déverrouillée d'elle-même et s'était ouverte à la volée avec un bruit retentissant. Oncle Vernon s'était précipité et l'avait refermé d'un coup sec avant qu'Harry ait pu réagir, mais cela se produisit encore deux fois de plus devant lui, après quoi il avait été traîné de force dans le salon. Alors que la rossée commençait, Harry se résolut de ne pas pleurer, mais c'était un combat qu'il était en train de perdre, et comme on pouvait s'y attendre, cela n'enrageait qu'encore plus son oncle. A ce stade, il n'était même plus en mesure de voir Tante Pétunia et Dudley qui se tenaient plus loin et le regardaient d'un air réprobateur.
"N'ose même pas pleurer, mon garçon, ou alors je te donnerai quelque chose pour laquelle pleurer!"
Avec ce dernier coup de poing, les sanglots d'Harry montèrent d'une octave. Et puis, les lumières commencèrent à vaciller, et les portes et les fenêtres commencèrent à claquer.
"Vernon!" s'écria Tante Pétunia avec un soupçon de peur.
"Arrête ça! Arrête ça immédiatement, espèce de petit tordu!"
Harry donna des coups de pieds pour essayer de lui échapper, mais son oncle le tenait d'une poigne bien trop forte. Sans que personne ne soit présent, les lumières commencèrent à s'allumer et s'éteindre dans toutes les pièces à la fois. Le sol commença à vibrer.
"Papa!" cria Dudley.
"Arrête ça sur-le-champ!"
BANG!
Alors que les cris d'Harry montaient jusqu'à atteindre un feulement inhumain, chacune des ampoules de la maison explosa, chaque porte s'ouvrit avec fracas, et les trois Dursley furent tous projetés de l'autre côté de la pièce et atterrirent les uns sur les autres. Lorsqu'ils revinrent à eux, Harry Potter était introuvable.
Vernon courut jusqu'à la porte, rugissant, "Reviens là, mon garçon! Mon garçon?! J'ai dit reviens là!" Mais il n'y avait pas la moindre trace de son neveu. "Il ne peut pas être parti bien loin," dit-il, baissant finalement sa voix. Il vit les voisins le fixer, à présent, attirés aux fenêtres par le faible tremblement de terre qui avait frappé Privet Drive. Grommelant, il abandonna et referma la porte.
Il ne remarqua pas un petit chat noir assis dans les buissons près de la porte – un chat aux pattes blanches, aux yeux verts perçants, et à l'étrange marque blanche en zigzag sur sa tête. Lorsqu'il ferma la porte, le chat s'enfuit le long de la rue sans un regard en arrière.
"Vernon, que s'est-il passé?" demanda Pétunia dans le salon à moitié détruit.
"Le petit tordu s'est enfuit, et j'ai envie de dire autant le laisser. Ils le trouveront bien assez tôt. Je réparerai les lumières demain."
Les Dursley fermèrent à clé et prirent un dîner inconfortable à la lueur d'une bougie. Ils espéraient sincèrement que les problèmes étaient terminés pour le moment, mais ils seraient visités par l'étrangeté encore deux fois de plus ce soir-là.
Lors de la première visite, deux Oubliators du Ministère de la Magie apparurent à la porte et assommèrent les Dursley avant même qu'ils ne puissent un seul mot. Il n'y avait aucun signe d'un quelconque sorcier en vadrouille dans le voisinage, et la Trace montrait qu'il n'y avait aucun sorcier mineur dans les environs, alors le Ministère en conclut que la décharge magique au 4 Privet Drive avait été causé par un fauteur de troubles. Les Oubliators réparèrent les installations d'éclairage endommagées, remirent en place les fournitures qui avaient été mises sans dessus dessous, réintégrèrent les éclats de bois qui s'étaient détachés des portes, et retirèrent tous souvenirs de l'incident de la mémoire des Dursley.
Ils jetèrent un sortilège de réchauffement sur la nourriture juste avant de Rennervate (1) la famille, afin que pas même le plus petit détail ne soit oublié. Ils partirent sans même jeter un coup d'œil au placard sous l'escalier, et les Dursley se réveillèrent en pensant que rien d'inhabituel ne s'était produit.
(1) 'Rennervate' est le nom anglais du sort pour réanimer, 'revigor' dans la version française. Cependant, dans mes traductions précédentes j'ai utilisé le terme anglais, c'est celui qui me vient naturellement donc je continuerai à l'utiliser.
L'autre visiteur de cette soirée portait une robe violette et un longue barbe blanche. Albus Dumbledore était plus inquiet qu'il ne l'avait jamais été depuis des années lorsqu'il frappa à la porte du Numéro 4. Même depuis l'extérieur, un rapide sortilège de détection lui permit de déterminer qu'Harry Potter n'était pas dans la maison.
Une grande femme longiligne avec un visage équin ouvrit la porte et reçut le choc de sa vie. "Vous!" s'écria-t-elle. "Que faites-vous ici?"
"Un plaisir de vous voir également, Pétunia," dit simplement Dumbledore.
"Qui est-ce Pétunia?" appela Vernon.
"C'est ce tordu qui nous a laissé le garçon."
"Quoi?" Vernon chargea vers la porte. "Vous! Vous pouvez récupérer le garçon. Nous n'avons jamais voulu de lui de toute façon."
Les sourcils de Dumbledore se haussèrent à cela. Les Dursley semblaient encore plus inamicaux qu'il ne s'y était attendu, et le gros homme semblait prêt à se lancer dans d'interminables gesticulations. Il le coupa rapidement en disant, "Où est le garçon?"
"Il est juste…" Vernon s'interrompit. Le garçon était supposé être dans son placard, mais non seulement ne pouvait-il pas se permettre de dire ça, pour une étrange raison il ne lui semblait pas que cela soit vrai. Il essaya de passer en revue ce qui s'était produit ce soir-là. Cela lui revenait d'une façon brouillée mais il parvint à se souvenir d'un unique fait: "Le garçon s'est enfuit cet après-midi. Il est juste parti en courant dans la rue, je n'ai pas réussi à le suivre. Et j'ai envie de dire, bon débarras. Que quelqu'un d'autre s'occupe de lui pour changer."
"Et vous l'avez juste laissé partir tout seul?"
"Oui. Il ne fait rien d'autre que de nous attirer des problèmes depuis le début…"
Dumbledore ignora ses vociférations. Compte tenu de leur comportement, quelque chose était définitivement anormale. Il jeta un coup d'œil dans l'esprit des deux Dursley adultes, mais il n'eût pas à chercher bien loin pour trouver des réponses, quoiqu'il aurait souhaité que ce ne fut pas le cas: les signes caractéristiques d'une oubliation, et ce qu'il semblait être un travail fait à la va-vite qui plus est. Quelque chose de terrible s'était produit ici et avait été maquillé médiocrement.
"… et je ne tolèrerai plus un instant de plus ses bizarreries!"
"Assez!" tonna Dumbledore avant de stupéfier les trois d'entre eux. Jetant un nouveau sortilège de manipulation des souvenirs pour couvrir l'ancien, il leur ordonna: "Vous êtes très inquiets parce que votre neveu a fugué. Vous allez contacter les autorités immédiatement. Vous demanderez à Arabella Figg de faire attention à si elle l'aperçoit, et vous l'informerez sans tarder lorsqu'il aura été retrouvé. Vous ne vous souviendrez pas de ma visite de ce soir." Lorsqu'il eût terminé, il leur lança un Rennervate différé qui lui donna juste assez de temps pour ressortir hors de la propriété et de transplaner jusqu'au grilles de Poudlard.
Minerva McGonagall entra dans le bureau du Directeur et trouva ce dernier penché au-dessus de ses nombreux appareils avec un froncement de sourcil, marmonnant des incantations, avec un air dans ses yeux qui était plus sombre que ce qu'elle avait pu voir de sa part depuis des années. "Albus, qu'y a-t-il?" demanda-t-elle. "Vous disiez que c'était urgent."
Albus leva les yeux. "Oh, Minerva, j'ai bien peur que quelque chose de terrible ne vienne de se produire," dit-il. "J'ai des raisons de croire que Harry Potter a été enlevé."
"Quoi?" Minerva vacilla sous le choc mais parvint à s'asseoir. "Enlevé? Comment?"
"Cet après-midi, il a complètement disparu de mes traqueurs. Ils m'indiquent qu'il est encore en vie, mais je ne suis plus capable de le localier."
"Vous ne parvenez pas à le trouver? Mais à quoi une telle chose pourrait-elle être due?"
"Bloquer mes sortilèges de pistage nécessiterait que le garçon soit caché derrière de très puissantes protections par lesquelles je ne suis pas reconnu, possiblement un Sortilège de Fidelitas. Je viens juste de revenir de chez ses proches. Ils ont affirmé qu'il s'était enfuit, mais j'ai pu voir des signes évidents d'oubliation dans leurs esprits."
Minerva comprit les implications. "Quelqu'un, d'une manière ou d'une autre, a franchi vos protections, l'a kidnappé, l'a caché derrière ses propres protections et a oublietté ses proches. Et puisqu'elles ne vous reconnaissent pas…"
Albus acquiesça sombrement. "Nous ne pouvons qu'assumer que leurs intentions sont néfastes."
Elle se releva d'un bond. "Nous devons le retrouver, Albus!"
"Oui, en effet," approuva-t-il, "mais cela doit être fait discrètement. Nous ne pouvons pas risquer la panique du public ni de dévoiler notre main."
"Mais le garçon…"
"Est toujours en vie pour le moment, ce qui suggère que leur intention n'est pas de le tuer. Je n'ai aussi vu aucune indication que les protections de sang aient été percées, donc qui que ce soit qui l'ait emmené ne voulait pas lui faire de mal. Nous devrions commencer par enquêter sur les endroits et individus qui auraient accès à des protections aussi puissantes, mais nous ne pouvons pas nous permettre de laisser savoir aux ennemis de ce garçon qu'il a disparu. Cela serait un désastre encore plus grand."
Minerva se laissa lentement retomber sur son siège. "Je suppose que vous avez raison, Albus. Je commencerai à chercher durant les quelques moments de temps libre que j'ai."
"Merci, Minerva. Je ferai de même."
Harry Potter, au même moment, errait dans les rues de Little Whinging, très confus. Il était heureux d'avoir pu échapper à ses proches, mais il n'avait aucune idée de comment il avait fait cela. Depuis les poils jusqu'à la queue, il pouvait dire qu'il s'était transformé en une sorte d'animal. Ce ne fut que lorsqu'il parvint à se voir dans le reflet distordu d'un enjoliveur de voiture qu'il réalisa que cet animal était un chat. Il ne savait pas comment il avait pu se transformer en chat, ni comment annuler cette transformation, mais il pouvait deviner que cela avait quelque chose à voir avec sa "bizarrerie" dont son oncle lui avait tant rabattu les oreilles, et il décida qu'il devrait s'éloigner un peu plus avant d'essayer.
Venant s'jouter à sa confusion étaient les étranges sensations qui accompagnaient le fait d'être un chat. Il pouvait voir incroyablement bien dans la lumière du crépuscule. Ses moustaches le chatouillaient à la moindre brise. Il était environné de couinent aigus et de piaillements qu'il n'avait jamais remarqué auparavant. Mais le côté le plus désorientant était les odeurs. Il était bombardé par des douzaines d'odeurs inconnues, certaines d'entre elles submergeant complètement son esprit humain, mais chacune avait un aspect qui lui était propre. Il ne parvenait à en reconnaître que quelques unes – les plus dominantes étant celles de l'herbe, de la terre et des feuilles d'automne – mais il y en avait beaucoup d'autres, des pistes vraisemblablement laissées par des animaux, des gens, des voitures de passage, toutes subtilement différentes de façons qu'il n'aurait pas su expliquer.
Harry devait paraître un chat assez étrange, à se promener de long en large des cours, à s'arrêter tous les quelques pas, à regarder partout autour de lui et parfois faire des tours sur lui-même pour essayer d'observer tout du monde qui l'entourait. Il perdit rapidement son sens de l'orientation à faire ça, et il ne parcourut que quelques pâtés de maisons avant d'être complètement perdu.
Bien qu'il ne se soucia guère de pouvoir retrouver la maison de son oncle et sa tante, il réalisait présentement qu'il avait assez faim, et soif, sans parler de ses raideurs dues à la correction qu'il avait reçue, et il ne savait pas comment gérer aucun de ces problèmes en tant que chat.
L'eau n'était pas très difficile à trouver. Il n'avait pas l'habitude de boire de l'eau autrement que dans un verre ou du tuyau d'arrosage, mais suffisamment de personnes à Little Whinging avaient des étangs, des piscines ou des fontaines, et il n'était pas particulièrement difficile. Il s'approcha du premier étang qu'il trouva et il fut surpris d'apprendre que l'une des odeurs qu'il pouvait à présent sentir était celle de l'eau. Il était relativement sûr que l'eau n'avait pas d'odeur pour un humain. Avec un peu d'entraînement, il parvint à laper l'eau comme il avait vu des chats le faire sur des images.
La nourriture fut plus difficile à trouver. Harry savait que les chats étaient supposés manger des souris, mais il ne savait pas comment attraper une souris et il n'était pas sûr d'être capable d'en manger une s'il y parvenait. Il avait aussi entendu parler de personnes qui nourrissaient les chats errants qui apparaissaient près de chez eux. Il décida d'essayer de gratter à la porte arrière de la maison avant l'étang, seulement pour se retrouver face à une femme qui se comportait d'une façon si similaire à sa Tante Pétunia que s'en était troublant et qui le chassa à l'aide d'un balai. S'enfuyant de frayeur, il décida d'essayer de trouver une autre source de nourriture.
Il aperçut quelques autres chats et essaya de les suivre, espérant qu'ils savaient où trouver de la nourriture, mais ils crachèrent dans sa direction lorsqu'il s'approcha trop près. Mais il leur fallait bien manger à eux aussi, il devait donc y avoir de la nourriture quelques parts dans les alentours. Au bout d'un moment, il décida que, puisque son nez de chat pouvait sentir de l'eau, peut-être pouvait-il le suivre jusqu'à de la nourriture. Il renifla l'air et sentit le fumet de tout un tas d'odeurs, dont certaines, bien qu'il n'ait pas su pourquoi, paraissaient vraiment alléchantes. De façon hésitante, il suivit l'une de pistes qui le mena à une poubelle ouverte. Après avoir fait peur à un écureuil qui s'y trouvait, il l'inspecta. L'odeur de pourriture était accablante, mais il était capable de dire que cela venait de la partie du dessous. Il trouva quelques restes d'un repas sur le dessus, même un peu de viande. Ils étaient sales, mais pas pourris. Il attrapa un gros morceau de poulet à moitié mangé entre ses dents et le tira suffisamment loin pour pouvoir supporter l'odeur. Après quatre années de restes, ce n'était pas bien pire que ce dont il avait l'habitude. Le tenant entre ses pattes, il plongea ses dents dans le poulet et fut surpris de la facilité avec laquelle il déchirait la viande.
Un peu plus tard, Harry trouva un endroit chaud où se rouler en boule (bien qu'il ne le sache pas, de l'autre côté du mur se trouvait une chaudière bien mal isolée) et s'endormit. Le début avait été difficile, mais il commençait à penser qu'il apprécierait être un chat plus que d'être un humain piégé dans la maison des Dursley.
T/N: Voilà pour le premier chapitre d'introduction! Le chapitre suivant mettra surement du temps à arriver, la date où je dois rendre mon devoir final approche.
