Je ne possède aucun des personnages des différents fandom.

A l'occasion d'un défi du Discord "Les défis galactiques", voilà 100 drabbles sur 100 duo différentes en mode drama !

Ce texte a été écrit pour l'anniversaire de Christian Kane

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)


100 FACONS D'ECRIRE DU DRAMA

69. Napoléon Solo & Victoria Vinciguerra (The Man from U.N.C.L.E)

Intérieurement, Napoléon se maudit pour son imprudence. Comment il avait pu se faire avoir aussi facilement, lui qui était toujours sur le qui-vive depuis qu'il devait travailler pour la CIA ? D'accord, il avait jusque là parfaitement réussi à manipuler Victoria Vinciguerra, payant même de sa personne en passant une nuit avec elle pour endormir sa vigilance, mais là, à son ton il avait comprit qu'elle l'avait piégé…

De toute manière elle connaissait son vrai nom, c'était bien qu'elle l'avait percé à jour, et puis il y avait le malaise qu'il commençait à ressentir. Napoléon grimaça.

- Vous m'avez empoisonné ?

Victoria Vinciguerra émit un rire qui sonna comme un rire diabolique.

- On se méfie moins quand on se sert soi-même un verre ?

- Comment vous pouviez savoir ce que je prendrai ?

- J'ai empoisonné toutes les bouteilles !

Napoléon hocha la tête alors que le vertige devenait de plus en plus violent. A deux doigts de s'écrouler, il se rapprocha du canapé et s'allongea dessus tout en frémissant en comprenant que c'était Gaby qui les avait vendu… Gaby était sensée être de leur côté… Ses pensées s'envolèrent aussi en direction d'Illya. Il espérait vraiment que le russe ait plus de chances que lui. Son estomac lui faisait mal. Sa tête martelait. Son souffle était court… Napoléon se sentait vraiment de plus en plus mal et quand il croisa le regard amusé, diabolique et vicieux de Victoria se pencher au-dessus de lui, il tenta de ne rien laisser paraître, mais il comprenait parfaitement qu'il ne pourrait pas s'en sortir cette fois.

- Qu'est-ce que vous faites ? Demanda la criminelle en faisant glisser sa main sur son torse.

- Si je dois perdre connaissance, je préfère autant m'allonger, la dernière fois je suis mal tombé et je me suis assommé.

- Je vois… Mais vous savez Napoléon, vous allonger ne va pas vous empêcher de souffrir, ajouta la femme en lui caressant la joue du bout des doigts.

Napoléon déglutit. Il se sentait de plus en plus mal, mais il parvint à connecter une dernière fois son regard au regard sadique de la blonde.

- Il n'y a que ma mère qui m'appelle Napoléon, souffla-t-il en se demandant si elle aurait la chance d'avoir un corps à mettre en terre.

Le sourire sadique de la femme penchée sur lui se fit plus grand.

- C'est touchant… Dommage qu'elle ne sache jamais ce qui vous ai arrivé et à quel point vous avez pu souffrir avant de rendre votre dernier soupir… Je suis sûre que ça l'aurait grandement diverti ! Ajouta-t-elle en ricanant.

Napoléon frissonna. Elle était réellement folle et il aurait aimé lui répliquer, mais il avait tellement mal et il était si difficile de garder les yeux ouverts. Il bougea un peu les lèvres sans parvenir à émettre un son, eut le temps de penser que cette fois, il allait mourir, puis le noir le happa brutalement, le laissant totalement à sa merci.