Hello hello ! Juste un simple petit mot pour savoir si des gens me lisent, qu'on me laisse une petite review, j'aimerai savoir si cette histoire mérite une suite ou si je parles dans le vide, je sais que la fandom est très calme, mais un petit mot d'encouragement m'aiderai beaucoup !
Merci à Naisalavanille pour les gentilles reviews qui motivent :) Sur ce, bonne lecture à ceux qui me lisent.
– Bonsoir à vous également mon roi. Ironisa la jeune femme.
– Que faisais-tu avec Faelor ? Tonna le roi, les poings toujours serrés.
– Je dis-cu-tais ! Quel est le problème encore ? S'énerva Giselle. Je n'ai pas le droit de discuter non plus ? Vous comptez me garder enfermée ici jusqu'à ce que j'en crève ?
Il fronça les sourcils et s'avança vers la jeune femme.
– Je souhaiterais que tu n'importune plus mon garde lors de son travail, si toi tu ne fais rien, lui doit protéger le royaume. S'énerva le souverain.
– Je lui ai parlé maximum un quart d'heure, en quoi l'ai-je importuné ? Je lui donnais des conseils je ne faisais rien de mal !
– Toi ? Donner des conseils ? Ria le roi d'un rire sinistre. Tu n'es qu'une elleth sans cervelle tu n'as de conseil à donner à personne.
"Il me rabaisse là ou je rêve ?"
– C'est quoi votre problème ? Elle se leva et se rapprocha de lui.
– Je te prie de changer de ton lorsque tu t'adresses au roi ! Et mon problème est le suivant: je t'interdis formellement de batifoler avec l'un de mes gardes. Tonna-t-il.
– Quand allez-vous grandir ? Vous savez qu'un homme et une femme peuvent être bons amis sans qu'il n'y ait plus ? Si vous vous tapez toutes les ellith que vous voyez parce que vous ne savez pas vous contenir ça vous regarde. Ça ne veut pas dire que tout le monde est comme vous ! S'exclama la jeune femme d'une traite.
Il la plaqua contre le mur, une main posée à côté de son visage.
– Comment oses-tu porter un jugement sur ma personne ? Aboya Thranduil.
Le cœur de la jeune femme s'accélèra. Elle ne savait pas si c'était la peur ou la colère qui en était la cause.
– Et vous ? Je ne sais pas pour qui vous me prenez mais on dirait qu'à chaque fois que j'ose adresser la parole à un ellon vous pensez directement à… ce genre de choses ! S'offusqua la jeune femme. Pour votre gouverne, j'ai conseillé à votre garde de se lancer pour faire la cour a l'une de vos ellith ! Et avant que vous ne posiez la question, non ce n'est pas moi ! Et puis de toute façon je ne vois pas pourquoi ça vous importerait. La jeune femme baissa la tête, une tristesse soudaine l'envahissant.
Le roi lui attrapa le menton de son pouce et indexe et lui releva la tête.
– Cela m'importe car tu es ma servante. Lui souffla-t-il.
Son regard de glace se fondit dans celui de la jeune femme. Ses yeux étaient aussi verts que sa forêt. Le regard de la jeune femme était teinté d'une tristesse qu'il ne lui connaissait pas. Il posa ses lèvres sur les siennes.
Les yeux de la jeune femme s'agrandirent de surprise et elle ne fit rien durant quelques secondes avant de clore ses paupières et de mouvoir ses lèvres avec celles du roi. Ils s'embrassèrent durant une bonne minute avant que Thranduil ne mette fin au baiser.
Les joues de Giselle étaient en feu, tout comme le reste de son corps. Elle espérait que cela ne se verrait pas trop.
Thranduil, quant à lui, avait les yeux noircis par le désir. Il ne s'était pas éloigné de la jeune femme. Il venait de réaliser ce qu'il venait de faire. Que lui avait-il pris ? Était-ce le fait d'avoir pensé qu'un autre ellon faisait la cour à son elleth ? Ou encore voulait-il s'assurer que l'elleth n'avait d'yeux que pour lui ? Tant de questions se bousculèrent dans son esprit. Il éloigna finalement son visage de celui de Giselle et resta debout sans rien dire, laissant la jeune femme complètement confuse.
– Vous allez me dire que c'est une erreur, c'est ça ? Osa la jeune femme, pleine d'appréhension.
Il mit un certain temps à répondre, semblant réfléchir.
– Certes, c'en était une. Confirma-t-il au plus grand désespoir de Giselle.
Essayant de se contenir, la jeune femme se dirigea vers la sortie des appartements du souverain.
– Je dois aller voir Edwen pour une leçon. Souffla-t-elle en retenant tant bien que mal ses larmes.
Elle ferma la porte un peu trop brusquement mais elle s'en fichait. Les larmes commençaient à couler, elle courrait dans le couloir à la recherche d'une sortie vers les jardins.
Elle s'assit sur un banc, essuyant les larmes qui coulaient sans qu'elle ne puisse les contrôler. Elle fut soudain interrompue par une main qui lui caressa doucement le dos. Elle leva les yeux vers son interlocuteur.
– Edwen ? Je suis désolée je ne suis pas d'humeur, je ne me sens pas bien.
– C'est le roi ? Devina Edwen en s'asseyant aux côtés de la jeune femme.
– Co-comment ? Non… simplement mon chez moi me manque, mais ça va aller. Menti-t-elle.
L'elleth blonde secoua doucement la tête.
– Tu n'es ni la première ni la dernière à succomber aux charmes de notre souverain, souffla doucement Edwen.
– Je me fous de ce sale con. S'énerva Giselle.
– Parles moins fort Giselle, ce que tu dis peut avoir des conséquences. La calma Edwen. J'ai vu ton regard tout à l'heure, j'ai vu cette lueur dans tes yeux. Je te comprends Giselle, le roi est très charmant, même lorsqu'il ne fait rien pour aller dans ce sens. Mais tu dois te trouver un autre ellon, celui-là est déjà lié, et il le sera toujours.
– Ça va je sais ! Cria Giselle à la jeune elleth, de nouvelles larmes perlant aux coins des yeux.
– Je dis ça pour ton bien, tu le sais. Je ne veux pas que tu souffres, tu devrais t'en éloigner, lui suggéra Edwen.
– Et que crois-tu que j'essaie de faire ? Je fais tout pour le sortir de mes pensées, mais il ne veut pas partir. Il m'interdit de parler aux ellyn qui sont libres, comment veux-tu que je m'en trouve un autre si lui s'y oppose ? Lui demanda sincèrement la jeune femme.
Edwen fronça les sourcils.
– Il t'interdit de parler aux ellyn ? Giselle, je.. je n'ai encore jamais vu le roi se comporter de la sorte, tu es sûr d'avoir compris ce qu'il t'as dit ?
– Non non je suis qu'une conne qui ne comprends rien. S'énerva Giselle. Non seulement il m'a dit ça, mais en plus il m'a embrassé. Fit-elle, s'essuyant les larmes qui continuaient de couler.
– Comment !? Giselle tu dois t'éloigner du roi immédiatement, je dis ça pour ton bien ! Je ne veux pas que tu aies le cœur brisé ! Même si tu devais vivre une relation avec le roi, cela serait voué à l'échec. Sa femme l'attend, vous n'avez aucun avenir ensemble ! Insista Edwen.
– Merci, merci beaucoup de m'achever alors que je suis déjà au plus bas. Répondit Giselle d'un ton sec. De toute façon il m'a jeté apres son foutu baiser alors ne t'inquiètes pas il retrouvera sa petite femme chérie, aussi fidèle qu'il l'a été jusque là. Affirma Giselle en se mouchant bruyamment.
Edwen ne répondit rien, ne sachant quoi répondre à la jeune femme. Giselle la regarda curieusement.
– Quoi ? Demanda-t-elle en plissant les yeux.
– Et bien… Je te le dis parce que je ne veux pas que tu sois la seule à ne pas être au courant. Le roi a déjà eut une brève aventure avec une elleth quelques siècles après la mort de sa femme.
– Tu plaisantes là ? Et il me fait un cinéma pour un baiser ? Non mais je rêves quel sal-
– Ce n'était qu'une seule nuit Giselle, l'interrompit l'elleth, ça ne veut rien dire ni pour le roi, ni pour Maedel, l'elleth en question. Il a commis cet écart avec elle car il savait qu'elle ne s'attendait à rien de plus. Lui dit Edwen, essayant de la rassurer.
Giselle ne répondit rien, le regard dans le vide.
– Giselle… cela fait des siècles et des siècles que le roi est seul, il s'en veut beaucoup de cet écart car il aime sa femme. Il l'aimera toujours et il ne te fera jamais passer avant elle. Tu ne mérites que du bonheur Giselle, je ne veux pas que tu t'engages dans une relation sans avenir. Lui expliqua l'elleth, le regard plein de bonté.
Elle semblait si sincère. Elle ne voulait pas que Giselle souffre, elle l'aimait beaucoup et c'était réciproque.
– Merci beaucoup Edwen de ta gentillesse, mais je sais pas comment me sortir de là, il faut que tu me conseilles parce que là… je ne sais absolument pas quoi faire. Fit la jeune femme en reniflant, les larmes s'étant arrêtées de couler.
– Je te conseille d'aller dormir, de ne faire comme si de rien n'était avec le roi, le mieux est d'oublier ce qu'il s'est passé et demain nous irons nous mêler aux autres. Il te faut rencontrer un ellon qui pourra te rendre heureuse et qui est libre comme l'air. Edwen posa une main sur l'épaule de l'elleth Brune. Qu'en dis-tu ?
– Est-ce que j'ai vraiment le choix ? Fit tristement Giselle en se levant. Merci Edwen. Je vais me coucher, je suis épuisée. J'ai même pas faim. À demain. Fit froidement la jeune femme.
Edwen n'en prit pas ombrage, elle savait Giselle épuisée et effondrée. Le roi s'amusait avec elle et elle n'appréciait pas ce constat. Il l'interdisait de voir d'autres ellyn mais ne voulait pas avoir une relation avec la jeune femme. Giselle ne pouvait être que perdue. Edwen se dit qu'elle mettrait tout en œuvre pour aider l'elleth à vite oublier le roi. Il le fallait, elle n'avait pas le choix. Elle ne pourrait que souffrir avec le souverain, il n'y avait pas de fin heureuse possible, à moins d'un miracle.
Thranduil était dans sa chambre, à faire les cent pas et à ruminer la scène qui venait de se produire. Pourquoi avait-il fait ça ? Il ne saurait dire. Il avait déjà commis un écart avec une elleth qu'il regrette encore aujourd'hui. Il avait été stupide et faible. Cette elleth ne représentait rien à ses yeux, faire ce qu'il a fait ne lui avait absolument rien apporté, seulement des regrets.
Mais avec Giselle tout était différent. Elle s'intéressait vraiment à lui et lui à elle. Elle avait de la conversation et lui faisait ressentir des choses qu'il n'avait plus ressenti depuis..
Un bruit de porte se fît entendre. Giselle était rentrée. Il n'osa sortir de sa chambre. Il savait qu'il l'avait chamboulé. Il ne savait pas lui-même quelle genre de relation il souhaitait entretenir avec la jeune femme.
Il tendit l'oreille et l'entendit partir dans la salle d'eau. Elle revint quelques minutes plus tard se dirigeant directement dans son lit. Elle n'avait pas mangé le repas qu'il avait laissé à son égard et partie directement se coucher.
Il se pinça l'arête du nez tout en s'asseyant sur son lit. Que devait-il faire d'elle ? La renvoyer dans son ancienne chambre ? Non, il ne pouvait pas la chasser de cette façon, il avait toujours besoin de garder un œil sur elle. Lui dire d'oublier ce qu'il s'était passé et de passer à autre chose ? Non, elle irait voir un autre ellon pour se venger, il le savait et ne pourrait le supporter. Faire comme si de rien n'était ? Cette solution semblait être la plus sage, en attendant de savoir ce qu'il allait faire d'elle. Il éteignit ses bougies et s'endormit.
Lorsque Giselle se réveilla le lendemain, son ventre criait famine. Elle n'avait pas mangé depuis hier après-midi. Ce qu'il s'était passé avec le roi lui ayant coupé l'appétit, elle le regrettait désormais. Elle se leva prestement, passa par la salle d'eau comme à son habitude et mangea tout ce qu'il y avait à disposition. Elle était seule, le roi était déjà partie vaquer à ses occupations. Tant mieux. Elle pourrait faire ce qu'elle voulait de sa journée et pourrait rentrer tard le soir, sans devoir affronter ses yeux de glace.
Elle rejoignit Edwen à la bibliothèque, cette dernière lui apprit que ce soir, les elfes ne faisant pas partie de la bourgeoisie, donnaient une petite fête dans l'une des salles un peu plus bas. Giselle était ravie de l'entendre, elle allait pouvoir passer une soirée tranquille sans avoir un chaperon sur le dos, son chaperon elle-même la poussant à s'amuser un peu. Elle remercia Edwen et passa sa journée avec l'elleth blonde.
L'après-midi touchait à sa fin, la soirée arrivant à une vitesse folle, Giselle ne savait pas quoi porter. Edwen lui avait prêté l'une de ses robes. Elle lui allait comme un gant si ce n'était que la poitrine baillait un peu trop, Giselle ayant une poitrine plus menue que son homologue blonde. Edwen resserra la robe qui contenait des lacets dans le dos. Elle lui allait à ravir, pourpre sur l'ensemble excepté le corset recouvert de dentelle noire descendant légèrement plus bas, la robe était serrée au corset et volante à partir de la taille. Les manches étaient courtes, dévoilant ses épaules et recouvertes également de dentelle noir.
– Merci Edwen elle est magnifique, tu la veux pas pour toi ? Ça me gêne… Fit timidement Giselle.
– Ne t'en fais pas pour moi, le rouge te vas bien mieux qu'à moi. Mon allié sera le bleu ce soir. Lui répondit l'elleth blonde en lui faisant un clin d'œil.
Giselle ne pouvait qu'acquiescer. Le bleu s'accordait parfaitement avec sa couleur de cheveux. Sur le chemin, Giselle osa se lancer sur un sujet délicat.
– Edwen, que penses-tu de Faelor ?
– Oh eumm… c'est un bon garde, nous avons de la chance de l'avoir pour protéger le royaume. Fut tout ce que put répondre la jeune femme.
Giselle vit les joues de l'elleth rosir légèrement.
– Ça me rassure… je pense que ce serait un bon moyen pour moi d'oublier le roi… répondit Giselle d'un air innocent, attendant la réaction d'Edwen.
– Ne vas pas si vite Giselle… réagit vivement la jeune femme, tu sais il y a pleins d'ellyn que tu n'as pas encore rencontré et-
– Je le savais ! Répondit Giselle enthousiaste. Il te plaît ! Pourquoi tu ne m'en as pas parlé ?
– Je… quoi ? Qu'est ce qui te fais dire qu'il me plaît ? Je ne pense pas avoir fait quoique ce soit dans ce sens.. essaya de se remémorer la jeune femme.
– Moi je t'ai parlé de ce qu'il c'était passé avec le roi, fit tristement Giselle la tête basse. Tu pourrais partager des choses avec moi aussi… insista-t-elle.
– Bien. Mais n'en parle à personne !
– Promis !! S'exclama Giselle, son air triste déjà envolé.
– Nous avons commencé à nous voir, je pense qu'il va bientôt me demander l'autorisation de me faire la cour. Avant que tu ne demandes, anticipa l'elleth, oui je compte accepter.
– C'est génial ! Tu me diras tout j'espère.
– Cela nous verrons Giselle, fit timidement Edwen. Je ne veux pas me précipiter. Et tu n'en sauras pas plus, je t'en ai déjà bien trop dit, ajouta-t-elle gentiment. Allez viens, allons nous amuser et oublier tout ce stress. Un sourire angélique apparaissait sur le visage de la jeune femme.
– Tu as raison. Fit Giselle d'un air enjoué.
La soirée se passa tranquillement, ils avaient pu subtiliser quelques bouteilles de vin au nez d'un garde. Giselle s'était assez bien entendu avec les quelques personnes présentes, l'alcool aidant beaucoup. Elle qui n'aimait pas boire d'ordinaire, avait décidé de noyer son chagrin et oublier son stress de cette façon.
Elle dansa avec un elf dont elle avait oublié le nom, sur une musique enjouée. Il lui enseignait des pas de danse que la jeune femme s'amusa à reproduire. Cela faisait déjà vingt minutes que l'ellon et elle s'amusaient sur les multiples musiques qui étaient jouées.
La soirée touchant à sa fin, Edwen proposa à Giselle de la raccompagner, la jeune femme refusa, sous prétexte qu'elle était assez grande pour rentrer seule et qu'elle n'était pas "si bourrée que ça". Avait-elle dit, pointant du doigt l'elleth blonde qui haussa un sourcil.
– Alors c'est le beau brun qui m'a fait danser qui me raccompagne. Fit Giselle, tournant son visage vers l'elf en question, un magnifique sourire plaqué sur son visage.
– Ce que ma dame exige, ma dame aura. Avait-il répondu, amusé et quelque peu charmé par l'elleth.
Sur le chemin du retour vers les appartements du souverain, Giselle se remémora la soirée qui venait de se dérouler, elle n'avait pas pensé à Thranduil une seule fois. "Je suis peut-être guéri ! C'était juste passager je suis en manque c'est tout". Elle fut ravie de ce constat et dirigea son regard vers le beau brun qui l'accompagnait.
Giselle décida soudainement de s'arrêter au détour d'un des nombreux couloirs et de se rapprocher de l'elf. Ne sachant pas quoi faire, l'elf ne fit aucun mouvement, il n'avait pas l'habitude qu'une elleth entame la partie la première. Il n'eut pas le temps de mener ses pensées plus loin que la jeune femme l'embrassa à pleine bouche. Trouvant la sensation agréable, il approfondit le baiser. Giselle mit fin au baiser après plusieurs secondes.
– Merci beaucoup pour la soirée. Le remercia-t-elle, son index glissant sur les lèvres de l'elf. Bonne nuit.
L'ellon resta quelques secondes sans bouger avant de voir se dessiner naturellement un sourire sur ses lèvres, il se les caressa furtivement et repartit en sens inverse lorsque la jeune femme passa la porte qui menait aux appartements du roi. Il eut à peine le temps de se retourner qu'il faillit percuter un ellon. Un ellon aux cheveux d'un blond argent. Il fit une courbette s'excusant auprès du roi.
Thranduil s'approcha dangereusement de l'ellon et lui souffla à l'oreille.
– Tu oublieras jusqu'à cette soirée, ne t'approche plus jamais de cette elleth, ne pose même pas un seul regard sur elle, me suis-je bien fait comprendre ?
L'elf serra les dents mais ne put qu'acquiescer.
– Oui monseigneur, il en sera fait selon vos désirs.
Il partit promptement sans demander son reste.
Le roi était satisfait de l'effet qu'il avait eut sur cet ellon. Il ne lui restait plus qu'un problème: Giselle. Il allait devoir mettre les choses au clair avec elle s'il voulait que tout se passe pour le mieux entre eux.
