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Chapitre 7 : La Vouivre.
Le lendemain, j'ai réfléchi et j'ai une proposition pour la petite blonde sympathique.
Elle habite dans une tour de garde, un peu comme un phare mais pour garder l'horizon sur la terre. Je frappe à la porte et elle m'ouvre dans une robe de nuit fine qui couvre à peine le début de ses cuisses.
"Une photo moldue, ça ira ? "
"Ce serait mieux que rien. On me verra dessus ? Ce serait plus crédible sur l'époque. "
"Honnêtement je ne sais pas. Je demanderai. Je ne connais ni la Vouivre, ni le Bleu des Hébrides. Je ne sais pas si on pourra les approcher.
Mais je peux t'offrir un autre reportage exclusif avec photo sur un sujet passionnant et aussi inédit. Et tu pourras faire autant de photos que tu le veux. "
"Marché conclu. Allons voir les Arragousets. "
"Tu sors en robe de nuit ? "
"Tu préfères que je l'enlève ? "
"Non, mais si on te voit ou si tu as froid. "
"Il n'y a personnes en dehors de mon père qui travaille déjà dans l'imprimerie. Il y a au moins deux km de bois autour de la propriété. Tu sais, je t'embête un peu, mais ma famille vient du nord, nous avons l'habitude de nous balader nu. Il n'y a rien de mal à ça. Tout le monde à un derrière et c'est plus agréable l'été sans vêtements. Tu es un beau mâle et j'arrive à un âge où je devrais faire mes premières expériences, avant qu'on me les impose. Autant choisir un garçon de mon âge pour découvrir ensemble. Les voisins les plus proche sont les Weasley et ils sont à presque 3km d'ici. Il y a maintenant une clôture qui ferme le chemin qui menait par ici.
Chut maintenant, nous arrivons près de leur repaire. "
Luna s'assied en position de lotus, dos appuyé à un arbre. Je m'assieds à côté, dos contre un autre arbre. J'essaie de ne pas regarder du côté de la chemise de nuit retroussée par la position de ma voisine. Nous attendons quelques minutes en silence.
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Le soleil pointe à l'horizon lointain. Le ciel s'éclairci et repousse la nuit. Luna frotte ma main et pointe la base d'un arbre devant nous. Je ne vois rien. Puis ça bouge et je vois un Gnome d'une dizaine de cm sortir prudemment. D'autre de ses congénères le suivent et observent le soleil apparaissant. On dirait des humains miniatures.
Luna se lève et approche doucement du groupe. L'un d'eux se retourne et lance une salutation que je ne comprends pas. Elle pose sa main à terre trois d'entre eux s'accrochent à son bras. Elle se relève et tends le bras vers une des premières branches du noyer. Les trois gnomes montent sur l'arbre et lancent quelques noix que ceux par terre ramassent et rentrent dans leur terrier. Après un moment, les Arragousets reviennent sur la main de Luna et elle les repose par terre. Ils s'inclinent vers elle, puis vers moi, lancent quelques mots à Luna et rentrent sous terres.
"Tu viens déjeuner ou tu préfères un bain dans le loch à côté ? "
"Ce n'est pas dangereux de se baigner après avoir mangé ? "
"Non, si c'est immédiatement après. Quand il a fait très chaud la nuit, je vais prendre un bain pour me rafraichir. Sinon, souvent je mange un morceau avant. "
"Comme je prends des potions pour mes organes, je mange plus et plus souvent. J'aime autant manger puis me tremper un peu. "
"Affan, le vieil Arragouset, m'a dit avant de rentrer que tu ne savais pas nager, mais que tu apprécierais d'apprendre. "
"Ils savent beaucoup de chose sur moi, on dirait. "
"Il t'appelle "Protecteur" je ne sais pas pourquoi. C'est un titre respectueux. Que veux-tu manger ? "
"Je ne suis pas difficile. Je mangerai ce qu'il y aura. "
"Je mange du pain avec des fruits sec et quelques noix. Je bois de l'eau avec la moitié de jus de prunes dirigeable. "
"Eh bien, je fais comme toi. Je n'ai jamais bu de jus de prunes dirigeable. "
Nous mangeons en bavardant. Le repas fini, Luna rince les deux verres et les poses à côté de l'évier sur un égouttoir. Elle me prend la main et nous sortons en direction du loch. Le soleil est déjà plus haut que les arbres.
"Tu ne prends pas de maillot de bain ? "
"Pour quoi faire. Il me gênerait et serait trempé après 10 secondes. J'ai toujours nagé nue. Mon père et ma mère aussi. "
"Je pensais métamorphoser mon boxer en slip de bain. "
"Pas besoin. Je regarderai de l'autre côté si cela te rassure le temps d'entrer dans l'eau. " répond-elle en jetant sa robe de nuit sur une branche puis en sautant dans l'eau.
Je ne vais pas caler devant une fille. Chez les Lovegood comportons nous en Lovegood. J'accroche mes vêtements sur une branche et je me lance à l'eau.
"Wāh, l'eau est froide. "
"C'est juste le temps d'entrer. Après elle est bonne. Allez viens. "
Nous jouons à nous éclabousser. Puis Luna s'approche.
"Alors, on fait cette leçon de natation. Regarde comment je remue les bras et les pieds. "
Je regarde plutôt ses jeunes seins en formation qui décollent de la poitrine et puis ses fesses qui apparaissent à la surface. Mais complaisante elle fait plusieurs passages autour de moi en exagérant ses mouvements au ralenti. Je sens un frémissement en moi malgré l'eau fraiche. Malgré mes affirmations, le sexe opposé m'intéresse. J'ai plus peur de ne pas savoir m'y pendre et d'avoir l'air ridicule.
"Je vais te tenir le ventre. Tu remueras tes jambes et tes bras. Je te soutiens tant que tu ne t'éloignes pas du bord, sinon je n'aurai plus pieds. "
Je me lance avec confiance. Je sens sa main sur mon ventre qui pèse. Heureusement qu'elle est là, mes mouvements ne sont pas vraiment aux points. Après quelques longueurs puis demi-tours, je nage sans sentir sa main. Elle nage au large du bord, à ma hauteur. Nous allongeons les trajets. Quand je n'en peux plus de ces nouveaux mouvements, nous restons un moment debout dans l'eau puis sortons nous sécher au soleil. J'hésite à enfiler mon short et mon t-shirt. Luna remonte nue jusqu'à la tour en bavardant avec moi. J'en fait autant, mes vêtements à la main. Elle monte quelques escaliers, alors que je l'observe, puis s'arrête et se retourne.
"Ne soit pas gêné de regarder mes fesses, c'est de ton âge et j'ai aussi reluqué les tiennes. Je suis aussi mal à l'aise à l'idée de mal faire que toi. Nous apprenons tous les deux cette nouvelle matière.
Que dois-je mettre comme vêtement pour aller voir la Vouivre ? une robe, un short ou un pantalon ? Comme je veux, ou plutôt vert, brun, couleurs nature ? "
"Je sais qu'elles vivent près d'un loch. Mais je n'y suis jamais allé. C'est assez nouveau pour moi aussi. Met un pantalon. Et si le terrain s'y prête et que tu le veux, je te le métamorphoserai en jupe. Pour la couleur, je pense que vert feuille c'est bien. "
"Tu as l'air d'être bon en métamorphose. Normalement je ne pense pas que les Serdaigles de troisième ou quatrième sache déjà métamorphoser des vêtements. J'avais entendu que pour le garçon qui a survécu tu étais assez moyen. "
"J'étais, mais j'ai décidé de ne plus écouter Ron et d'étudier plus sérieusement. J'ai déjà vu le programme de runes de la troisième, mais je n'ai pas encore trouvé le programme de la quatrième. "
"Je ne sais pas si c'est Serpentard ou plutôt Serdaigle de camoufler son intelligence, mais c'est certainement une bonne tactique, si tu ne te restreins pas. Pour les runes, je sais que c'est le même livre jusqu'au buse. "
"Alors je connais le livre jusqu'au buse. "
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Je sors un pantalon brun. J'hésite, puis je le place dans mon sac à dos. J'ai vu que ses yeux admiraient le panorama, mais il s'est bien contenu et n'a pas eu de geste déplacé. Tant pis pour moi. Je vais le récompenser. Je vais mettre une mini-jupe, puisqu'il apprécie mes jambes.
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Luna redescend avec un sac à dos. Une jupe en daim qui s'arrête au début de ses jambes. Et un haut en tissus fin avec deux ficelles pour le tenir sur ses épaules. Elle est magnifique.
"Tu es magnifique. J'aime ta tenue. Tu vas finir par me faire craquer. "
"Tu oublies que j'ai une longueur d'avance. Je sais déjà que tu craques. Je ne suis pas contre. Comment y allons-nous ? "
"Tu me promets le secret ? "
"Harry Potter. Je ne te trahirai jamais. Si tu me dis que je ne peux pas révéler quelques choses, je ne le révèlerai pas. Je sais que tu es le dernier des Potter et que ça te préoccupe. Je suis la dernière des Lovegood, en dehors de mon père. Il est probable que le nom Lovegood s'arrête avec moi. "
"Ce serait dommage avec un nom de famille prometteur comme cela. "
Aie ! Ma langue a été plus rapide que mon cerveau. Je sens mes joues rougir rien qu'à la chaleur que j'y ressens. Luna a un sourire qui prouve que je ne l'ai pas contrariée.
Je lui prends la main, je fixe son regard et je pope avec elle. On arrive instantanément dans la forêt à côté du loch.
"Voilà où vivent la Vouivre et son enfant. Nous devons maintenant la trouver et la convaincre. "
"Tu sais parler à une Vouivre. "
"Apparemment, d'après celui qui m'en a parlé, son langage approche le Fourchelangue. Elle devrait me comprendre assez facilement. "
Nous commençons à faire le tour du loch. Le ciel est bleu et le soleil luit. La marche à l'ombre de grands arbres est agréable.
"La forêt est belle. Il y a des espèces que je ne connais pas et d'autres que je sais très rare. Puis-je les photographier ? "
"Photos sans mouvements et proches. Pour ne pas identifier l'endroit, le climat. Sinon autant tout raser et bétonner. "
"Je comprends. Tu peux rester près de moi quand je les développe et celle que tu ne veux pas, je les efface. "
"Marché conclu. "
"Tu veux que je me mette nue ? J'aime me promener nue dans la nature. "
"Pas cette fois. Je ne sais pas du tout s'il y a des insectes dangereux, des plantes venimeuses, ou quel animal magique, ou non, nous pouvons rencontrer. Si cela se trouve, nous pouvons tomber sur un ours ou un puma dans cinquante mètres. J'aime ta jupe, mais c'est pour cela que j'avais dit un pantalon. "
"J'ai un pantalon dans mon sac à dos. J'ai aussi une veste à longue manche et une tente avec des provisions. Quand je pars à l'aventure, j'ai toujours de quoi voir venir. "
"Nous sommes à un Transplanage de ta maison. "
"Je ne savais pas comment on venait ici. Et moi, je ne sais pas Transplanner. "
Nous croisons un troupeau de sangliers, un cerf avec une troupe de biches et de faons. Luna pense même avoir aperçu un gros chat sauvage. Elle se précipite d'un coin à l'autre pour prendre des photos de plante ou d'insecte. Un peu avant midi, Luna aperçoit quelques Sombrals. Quand le soleil est au Zénith, j'appelle Dobby. Celui-ci apparaît avec un panier de provision. Luna et moi nous installons et prenons notre repas. Dobby a prévu très large. Il y a un assortiment de tout. Nous mangeons puis Dobby arrive et ramasse la vaisselle et les restes.
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Nous reprenons ce que l'on peut appeler une promenade. En traversant une plaine herbeuse, nous apercevons ce que je prends pour des buffles. Luna me dit que ce sont des Aurochs, des bovins sauvages disparu depuis plusieurs siècles. Son appareil mitraille à nouveau, alors qu'elle me parle.
Le soleil chauffe énormément, et Luna suggère de reprendre les leçons de natations, afin de se rafraichir. En vingt secondes Luna est nue et saute dans l'eau, ses vêtements sur une branche basse. Je me déshabille et suspend mes vêtements aussi. Je vais pour la rejoindre quand une espèce de serpent ailé d'une dizaine de mètres plonge dans l'eau à cent mètres de Luna. Celle-ci, au lieu de se sauver admire la Vouivre qui s'approche le nez au raz de l'eau. Je sors ma baguette me préparant à l'utiliser pour défendre la jeune fille. Je pense au sortilège d'amplification de voix et je crie en Fourchelangue.
§Stop. La jeune sorcière n'est pas un repas. §
La Vouivre lève la tête et hésite un instant. Une Vouivre nettement plus grande arrive et plonge devant le plus petit, créant une vague qui renverse Luna. Elle sort enfin de l'eau en crachant. Les deux serpents discutent avec un fort accent. Le plus gros s'approche de la berge. Ma magie bouillonne prête à sortir. Luna sort son appareil photo et mitraille la Vouivre et son fils en retrait.
§ Bonjour, haut-parleur. Il y a longtemps que je n'ai plus rencontré de sorcier. Mon fils ne comprend pas encore que nous vous soyons redevable de la magie des protections. Nous souhaitons rester en paix. Nous écouterons vos souhaits et respecterons votre territoire, haut-parleur. §
§Vous pouvez m'appeler Harry. Ma compagne, Luna, désire simplement quelques images avec vous. Elle vous a poursuivi de l'autre côté des protections mais ne pouvait pas vous suivre à l'intérieur. §
§Mon nom est Callistar. Mon fils n'a pas encore eu l'usage d'un nom vu qu'il n'a rencontré aucun congénère. Je le nommerai Moonstar en l'honneur de votre amie qui aime les animaux. Ce doit être quand j'ai rencontré mon mâle. Il vient de loin pour moi, mais il doit retourner pour se cacher après m'avoir fécondé. Il ne peut pas pénétrer les gardes. Prendre mon image ne me fera pas de mal ? §
§Non, c'est juste une manière de garder un souvenir. Si ton mâle revient, appelle-moi. Je viendrai et je l'autoriserai à entrer. §
"Luna, habille-toi avec ton pantalon et ta veste. Je vais te prendre en photo avec Callistar la Vouivre. Elle vient de nommer son fils Moonstar en ton honneur. "
La jeune fille salue l'animal en se courbant, puis enfile son pantalon et sa veste à même la peau. Elle avance vers la bête qui est plus grande en épaisseur que Luna en hauteur. Elle fait un salut en pliant son torse et sourit de toutes ses dents à l'appareil.
Je prends plusieurs photos avec l'appareil argentique et une avec l'appareil magique de Luna.
§Je vous remercie et que la chasse soit bonne pour vous. §
§Le lac est poissonneux, nous mangeons à notre faim. Que votre domaine soit prospère. §
Le grand serpent se retourne et plonge sous l'eau.
"Nous n'avons pas pris de bain. Tu ne veux pas ta leçon de natation ? "demande Luna.
"Luna, je vois que tu aimes les gros animaux, mais ceux-ci ne sont pas du tout apprivoisé, ils t'auraient mangé. Je préfère revenir au loch chez toi. Si tu veux voir le reste, nous pouvons revenir quand tu veux. "
"Je comprends. Et si nous allions nous rafraichir chez moi et que nous revenions demain matin pour les bleus des Hébrides. "
"On y va. " Je prends sa main et je pope chez elle. Nous nageons une heure avant de ressortir pour développer les photos.
Toutes les photos sont réussies. Celle de Luna sont différentes. Elle connaît visiblement l'art de prendre une photo. Je lui explique que je veux prendre les photos argentiques et les retoucher sur ordinateur pour changer le fond. Pour qu'on ne puisse pas reconnaître le lieu. Elle m'explique alors qu'elle peut le faire elle-même sur les photos magiques. Nous mettons un paysage enneigé sur l'arrière du lac.
"Je situerai les photos dans le sud de la Mongolie. Il y a des paysages qui ressemblent à ça. "
Elle montre les photos à son père qui bondit en les voyant.
"Il y a des plantes qui sont disparue sur tes photos. La Vouivre est tellement rare que l'on en a plus vu en Angleterre depuis 200 ans. On en a vu une en Islande il y a 15 ans. Et tu photographie une mère avec son jeune. Nous devrions faire une expédition pour voir si nous ne pouvons pas en voir plus. "
"Non, papa. Tu restes avec moi, ces vacances. Tu mettras en page mon article avec les photos des deux Vouivres. Tu ajoutes une ou deux plantes rares. Je prépare l'article pour le numéro suivant. Tu partiras en expéditions quand je serai à l'école. Et tu iras chercher autre chose que ma Vouivre. "
"Oui, future dictatrice. "
"On se voit demain. "dis-je à Luna.
"Bien futur petit ami. " répond-elle.
"Pourquoi futur ? "dis-je en me penchant pour lui donner un baiser rapide sur les lèvres.
Un sourire illumine son visage. "A demain"
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Quand je rentre, au manoir, un message de Gringot. "Rituel fixé à lundi soir". Nous sommes vendredi.
J'appelle Dobby.
"Demain opération commando. J'aurai besoins de toi pour entrer à Poudlard, avec Luna puis pour soulever le Basilic et enrouler la corde-Portauloin. Luna va prendre des photos pour son journal. Pourrais-tu lancer un sort pour aérer la chambre ce soir. "
"Dobby sera prêt. Il va aérer la chambre ce soir. Demain, Harry peut Poper Luna, directement devant la statue de Serpentard. "
Je passe ma soirée à exercer ma magie et mes sorts.
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Le lendemain je me présente chez Luna après le lever du soleil. Elle rentre pour déjeuner en tenue d'Eve. Je l'embrasse un peu mieux que le baiser rapide d'hier. Mais son père était là. Et aujourd'hui, elle se tient nue dans mes bras.
Nous déjeunons à l'aise puis direction le loch. Nous nageons pendant deux heures. Nous séchons une demi-heure, puis je m'habille. Luna va enfiler un pantalon et des chaussures imperméables. Elle prépare des films en quantité.
Nous Popons juste devant la statue de Serpentard. Le basilic est comme le jour où je l'ai tué. Aucune odeur ne stagne dans la pièce. Luna est comme folle. Elle prend des photos de tous les points de vue. Elle prend la bouche avec les dents et mon bras pour mesure à côté. Après avoir utilisé trois films complets, elle prend la statue, les portes d'entrée, le tunnel effondré et les différents tuyaux qui sillonnes les murs du château. Nous Popons dans la salle de bain et prenons des photos du tunnel ouvert ou fermé.
J'enroule la corde autour du Basilic et nous l'activons. Le grand serpent est disparu en silence. Luna prend une dernière photo de la salle vide. Nous nous embrassons et puis je la Pope chez elle. Elle prend un enregistreur, plus une plume automatique et je commence le récit résumé de l'année, en évitant les noms. Je termine deux heures plus tard par la mort du Basilic. Et le renvoi dans ma maison sans soins, ni pour moi, ni pour la jeune possédée, dont je tais le nom.
J'informe Luna que lundi, je ne serai pas disponible. Elle est déjà perdue dans son article. Je pope non loin d'une bibliothèque du Surrey.
Je salue la vieille dame qui trône à l'entrée et me rends dans la section anatomie. Je trouve plusieurs livres décrivant le corps humain, en j'en place deux qui ont de bonne explication sur les yeux. Dans la section médicale, j'en trouve un sur les différentes malformations de la vue et leurs corrections. Après avoir lu un passage sur le cristallin, je recherche dans la section photographie un document traitant des lentilles, optiques et des images dans la photo.
Je rentre à mon coffre et m'installe pour lire mes emprunts. Quand Dobby rentre dormir, j'ai déjà compris que mes yeux sont trop longs et que l'image se forme devant la rétine. Maintenant que je comprends ce que je dois corriger, je pense qu'il ne me sera pas trop difficile de rectifier cela pour ne plus avoir besoin de lunettes.
Je m'endors satisfait de mon étude.
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