Bonjour,

Que dire à part, j'ai honte ... D'avoir attendu tout ce temps pour poster, désolée pour tous ceux qui suivent cette histoire.

En tout cas, je voulais remercier toutes les personnes qui me soutiennent sur mes histoires et sur cette histoire qui est différente des autres et unique dans son genre (unique par rapport à mes autres fictions bien sûre).

Voilà, merci les filles (je sais qu'il n'y a pas de garçon), parce que grâce à tous vos commentaires, je survis sur ce site, enfin j'essaye, c'est difficile, mais j'essaye et c'est grâce à vous si je trouve toujours la force de finir un chapitre même si des années s'écoulent. Un immense merci à vous.

J'espère que la tournure de cette histoire vous plaira, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.

Pour être honnête je suis curieuse de connaître votre avis sur ce chapitre. Je sais qu'il y a des personnes qui ne sont pas à l'aise avec le genre de relation que j'ai crée entre Bonnie et Damon dans cette histoire et je le comprends tout à fait, mais j'ai choisi un cap et je m'y tiens,c'est un challenge, un vrai challenge pour moi, alors j'espère que vous me suivrez dans ce challenge lol ( la fille à fond à 3H06 du mat, je carbure au thé depuis ce matin, je suis excitée de poster et impatiente de dormir, alors je vais m'arrêter là )

Je vous présente mes excuses en avance pour les fautes d'orthographes et les éventuelles oublis ou erreurs de prénom, ça m'arrive lorsque je suis KO et que la relecture est difficile surtout à 2h42 du mat. Désolée à ce sujet.

Comme d'habitude, des musiques pour vous, voici la liste :

Lizzo : Truth Hurts

Beyonce (Fifty Shade of Freed version) : Sweet Dream

Meredith Brook : I'm Bitch

NF : Paralyzed

James Bay : Wild Love

Marvin Gaye : Ain't no moutain High Enough

Sleeping At Last : Neptune

Typhoon : Prothestic Love

Ha jin ( Sky Castle soundtrack) : We all lie

Bonne lecture


Régina Brook était une femme petite, brune aux yeux noirs et des cheveux raides qu'elle attachait toujours en queue de cheval à cause de leur longueur. Elle était connue pour être d'un calme légendaire, pour avoir du sang-froid peu importe les situations, mais là tous ce que à quoi elle pensait être avait disparu face au corps de son mari par terre dans leur cuisine avec du sang tout autour de son corps.

Elle baissa son regard en direction de sa main pour voir qu'elle tenait un couteau dans sa main droite. Elle lâcha sous le choc le couteau par terre avant de se baisser subitement pour toucher son mari.

« Thomas » Régina cria sous le choc car elle ne se souvenait de rien à cet instant, de rien du tout.


Lizzo : Truth Hurts

Pourquoi les hommes sont bien jusqu'à ce qu'ils doivent l'être
Woo!

Je viens de faire une analyse ADN, il révèle que je suis vraiment une salope (1)
Même quand je pleure beaucoup
Ouais, j'ai des problèmes de garçon, c'est l'humaine en moi
Puis je les résolve, c'est la déesse en moi
Tu aurais pu avoir une mauvaise fille, sans engagement
Qui t'aide dans ta carrière, un tout petit peu
Tu es supposé me soutenir mais tu me tires vers le bas
Et c'est le bruit que je fais quand je ne rappelle pas

Tous les étudiants étaient assis perplexe face à Bonnie à cet instant, une Bonnie qui portait un sweat noir sur lequel il y avait écrit B***H en blanc . Elle portait un jean noir avec des stan smith noir.

Bonnie était debout sur l'estrade dos au bureau et face aux étudiants à l'intérieur de l'amphithéâtre qui en cette soirée était blindé, visiblement le professeur Harrington qui tenait en général ce cours était populaire.

« Alors vous savez comment fonctionne la psychologie ? J'imagine que oui, vu que vous avez choisi cette option « Bonnie disait aux étudiants qui se regardaient troublés. Une étudiante blonde aux yeux bleus leva la main totalement troublé comme ses camarades par la présence de Bonnie.

« Désolée de vous poser cette question, mais qui êtes-vous ? Je veux dire, on a déjà un professeur en psychologie alors je ne vois pas pourquoi on a besoin d'une intervention de votre part « L'étudiante disait à Bonnie qui esquissa une sourire.

« C'est vrai, je ne me suis pas présentée, quelle impolitesse de ma part « Bonnie disait. Elle se retourna pour regarder le professeur Harrington à côté d'elle. Ce dernier esquissa un sourire à une Bonnie reconnaissant que cette dernière soit venue, mais visiblement il n'y avait que lui. Le professeur Harrington était blond avec des yeux verts. Il portait des lunettes rondes. Il était habillé d'un pull marron claires en laine avec un jean noir et des mocassins noirs.

« Je m'appelle Bonnie Bennett, j'ai étudié la psychologie comme vous sauf que j'ai travaillé en tant que Profiler puis ensuite j'ai rejoint le FBI et maintenant je travaille pour la police de San Fransisco « Bonnie disait.

Les étudiants semblèrent à cet instant plus présent qu'au début car Bonnie avait omis de faire les présentations. Elle n'était pas très pédagogue et elle n'avait pas l'habitude de se présenter face à des étudiants, mais elle avait vu l'occasion de sensibiliser les étudiants suite à l'affaire de Malia Frost alors elle avait accepté.

« J'ai travaillé il y a des semaines, sur une affaire de suicide à l'université de Stanford j'imagine que vous connaissez tous cette université, ceux qui ont été recalé de là-bas sont sûrement ici « Bonnie disait ce qui fît rire tous les étudiants.

« Comme quoi université prestigieuse ou pas, vous êtes victimes des mêmes fléaux à votre âge « Bonnie continua

« Compétition » Bonnie commença à dire en montrant son pouce

« Qui va avoir la meilleure note ? Qui va coucher avec le meilleur parti de l'université « Bonnie disait

« Ou se taper son professeur « Bonnie disait attirant un silence de la part de tout le monde, un silence de malaise

« Oh arrêtez pas de ça avec moi, vous connaissez tous cette fille qui attend que tout le monde parte pour parler au professeur en privé « Dès que Bonnie dit ça, ils rigolèrent tous, tout en se regardant comme si ils avaient déjà ciblé quelqu'un. Bonnie comprît de quelle fille il s'agissait lorsqu'elle vît les regards en sa direction. Elle changea de suite de sujet

Pourquoi les hommes sont biens jusqu'à ce qu'ils doivent l'être
Ne m'envoie pas de message, dis-le moi en face
Ma meilleure amie m'assoit sur une chaise
Shampoing, barre toi de mes cheveux
Nouvelles photos avec l'éclairage explosif
Nouveau mec dans le Minnesota Viking
La vérité blesse, j'avais besoin de quelque chose de plus excitant

« Suicide « Bonnie continua faisant perdre le sourire de tout le monde.

« J'ai été blessé, j'ai souffert, mais personne n'a entendu au contraire ils accentuent cette souffrance en moi et le seul moyen d'être libéré de cette souffrance est de me tuer « Bonnie continua étonnant les étudiants. Le professeur Harington s'assît sur le bureau tout en regardant Bonnie étonné. Il croisa les bras et écouta comme tous ses étudiants.

« Je suis vieille, enfin je me considère assez vieille maintenant « Bonnie disait en se touchant le torse.

« Je peux prendre du recul sur les choses enfin j'essaye de prendre du recul sur l'amour, la vie, la mort, les complexes« Bonnie continua. Elle s'avança

« Mais vous vous êtes jeunes, même si vous travaillez, vous étudiez, vous parlez avec votre langage d'étudiant « Bonnie continua avant de se retourner en direction du professeur

« ça vous ai déjà arrivé d'être dans les transports et d'entendre un groupe d'étudiant parlait « Bonnie disait au professeur qui hocha la tête. Bonnie esquissa un sourire

« Ils sont au bord du gouffre « Bonnie continua. Elle tourna sa tête pour regarder les étudiants

« J'ai trop de chose à penser, mon mémoire, ma soutenance, en plus je dois travailler à mcdo, je vais jamais m'en sortir « Bonnie continua étonnant tous les étudiants qui se voyaient à cet instant. Bonnie rigola

« Et c'est totalement humain, à chaque étape de notre vie, tout nous paraît insurmontable, mais surtout quand on est jeune, quand on arrive à l'âge du lycée et de la faculté « Bonnie disait.

« Votre copain ou copine vous quittent, c'est le drame, vous avez une mauvaise note c'est le drame, vous n'avez pas d'argent c'est le drame, vous n'êtes pas invité à une des soirées faite par l'étudiant le plus riche et le plus con de la faculté, c'est le drame, vous n'avez jamais eu de copain ou de copine, ou vous êtes vierge c'est un drame international « Bonnie continua

« Non ce n'est pas un drame, c'est normal, c'est la vie « Bonnie disait

« Et vous n'entendez jamais assez ces choses parce que tous ceux qui importent à vos parents c'est que vous soyez meilleur qu'eux, tous ce qui importe à vos professeur est que vous ayez des bonnes notes, tous ce qui importe à vos amis c'est que vous soyez un fêtard, fidèle, vous devez être tellement de chose à la fois, vous devez être bon, mais pas trop, belle, mais pas trop, timide, mais pas trop, sociable, mais pas trop, c'est trop et un jour » Bonnie montra son cerveau

« Une fissure se créait « Bonnie continua.

« Et certains vivent avec, comme on vit tous avec parce que cela va continuer après les études, au boulot, et dans votre foyer, on attendra toujours de vous ce que vous n'êtes pas « Bonnie termina étonnant les étudiants. Maria posa ses mains sur sa table concentrée par ce que Bonnie disait. Maria était une étudiante latino avec des cheveux très ondulés. Elle portait des lunettes rondes qui prenaient une grande partie de son visage. Elle admirait Bonnie de ses yeux marrons claires.

« Pour d'autres personnes, le suicide est le meilleur qui les attends, dramatique n'est-ce pas « Bonnie disait et à cet instant, elle pouvait voir qu'elle avait capté l'attention des étudiants.

Il y eu un long silence que Bonnie brisa.

T'as essayé de me briser le cœur ?
Oh, ça me brise le cœur
Que tu croyais que tu l'avais
Non, tu ne l'as pas d'emblée
Hey, je suis contente que tu sois de retour avec ta salope
Je veux dire, qui voudrais cacher ça ?
je ne serai jamais, au grand jamais, ta maîtresse
Je mets la chanson dans le single
Je ne me soucis pas de l'anneau à mon doigt
Donc tu peux dire à tes amis, "j'ai tiré un coup", quand tu les vois
C'est rien, il est déjà dans mes messages privés

« Ensuite, vous êtes confronté, en plus de la compétition et du suicide à un fléau qui touche toutes les universités » Bonnie continua en montrant le point deux avec son doigt.

« Le Viol « Bonnie continua.

« J'ai mérité ce qui m'est arrivé, je me suis montrée trop gentille, trop tactile, j'ai bu, j'étais habillée trop court, je l'ai voulu, ce n'était pas un viol, je l'ai voulu c'est de ma faute « Bonnie disait. Elle s'avança

« Alors ça les femmes « Bonnie disait

« C'est des conneries, personne ne mérite d'être violé, être gentille, tactile, vouloir se faire belle ça n'a jamais été une autorisation à un viol « Bonnie continua surprenant tous les étudiants notamment les étudiantes. Maria fixait Bonnie captivé par elle.

« Et c'est marrant parce que les policiers ou les doyens qui essayent de taire ce genre de fléau vont toujours persuader la victime de se taire en disant est-ce que vous avez dit explicitement non, que vous ne vouliez pas coucher avec « Bonnie disait. Elle rigola

« Lorsque vous avez une main sur votre bouche qui vous empêche de parler, je trouve ça assez compliqué de dire non « Bonnie disait. Ils esquissèrent un sourire mal à l'aise par le sujet.

« Et quand bien même, est-ce qu'elle a dit oui ? Pourquoi on ne pose jamais cette question ? Est-ce que vous avez dit oui «

« Vous dites non je n'ai pas dit oui et vous savez ce qui va être dit, mais vous n'avez jamais dit non alors qu'est-ce que vous devriez dire « Bonnie continua. Un étudiant leva la main

« Vous êtes flic et ça ne vous dérange d'admettre qu'il y a un problème au niveau des universités, de la police à ce sujet « Un étudiant disait. Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Ha non du tout parce qu'il y a un réel problème à ce niveau-là et qu'on ne sensibilise pas assez les jeunes à ce sujet, on ne dit pas assez aux femmes « Bonnie s'arrêta pour regarder les étudiantes

« Que la société a créé un pass droit pour les hommes sur le corps des femmes « Bonnie continua

« Alors si vous avez vécu une situation de ce genre ou vous connaissez quelqu'un qui a vécu quelque chose de similaire et qu'un homme a osé lui dire, mais tu n'as jamais dit non, tu as bu, tu le voulais, tu m'as aguiché, alors sachez-le, personne, je dis bien personne ne mérite qu'on possède son corps et son âme parce que c'est plus qu'un corps qui a été violé, c'est une âme « Bonnie disait. Elle s'éloigna ensuite pour montrer des livres qu'elle avait acheté

« D'ailleurs, je vous propose de lire ce livre appelé une âme violée « Bonnie continua. Elle montra le livre

« Soyez libre de le prendre, de le jeter, ou de laisser, c'est gratuit et lorsque c'est gratuit dans ma culture, on prend « Bonnie disait. Ils rigolèrent. Bonnie s'éloigna ensuite

« Je vais aussi vous parlez d'un autre fléau qui concerne tout le monde cette fois, le bizutage « Bonnie disait. Ils crièrent tous fière d'eux ce que Bonnie pouvait voir.

« C'est une culture des facultés et même de certaines entreprise et fonctionnaire et j'essaye de concevoir pourquoi c'est marrants, mais j'ai bien peur d'être à un niveau d'intelligence extrême pour comprendre « Bonnie disait. Les étudiantes rigolèrent à l'exception des hommes. Un étudiant soupira

Pourquoi les hommes sont biens jusqu'à ce qu'ils doivent l'être
Ne m'envoie pas de message, dis-le moi en face
Ma meilleure amie m'assoit sur une chaise
Shampoing, barre toi de mes cheveux
Nouvelles photos avec l'éclairage explosif
Nouveau mec dans le Minnesota Viking
La vérité blesse, j'avais besoin de quelque chose de plus excitant

« Oh c'est bon, on n'a plus le droit de faire quoi ce soit c'est ça, de se défouler, on passe notre vie d'étudiant à bosser et ensuite on va continuer à bosser alors laissez-nous au moins ça « Il disait troublant Bonnie par cette phrase.

« Laissez-nous au moins ça ? » Bonnie répéta. Elle montra ses doigts

« J'ai parlé de compétition, de suicide et de viol lequel veux-tu que je te laisse parce que j'ai l'impression que c'était la troisième option » Bonnie disait installant un silence. L'étudiant rigola

« Le viol on nous fait toujours un speech à ce sujet, mais nous n'avons jamais entendu ce genre d'histoire, même entre étudiant « L'étudiant disait

« ça n'existe plus, c'est comme le racisme c'est des conneries, on est en 2019 « L'étudiant continua à une Bonnie qui rigola. Maria écarquilla les yeux choquée tout comme les étudiants afro américain et latino qui n'arrivaient pas à croire qu'il y avait encore des gens aussi bête que lui. Ils se regardèrent avant de s'étonner en entendant Bonnie qui semblait penser la même chose qu'eux.

« Tu dois être l'étudiant riche, beau, mais super con toi « Bonnie disait. Le professeur Harrington s'étonna. Ok visiblement, le tact ce n'était pas son truc.

« Alors là Mesdames, vous avez à faire un mâle alpha qui ne réfléchis que par quelque chose qui n'est pas son cerveau « Bonnie continua. Elle s'avança

« Tu me parles de viol et de racisme en une même phrase alors que je suis une femme et une afro américaine alors quel est le but ? M'instruire peut-être parce que tu sais mieux que moi ce que c'est d'être une femme et une afro américaine « Bonnie continua. Elle s'arrêta à côté de l'étudiant puis s'assît sur une marche à côté de lui.

« Explique moi alors pourquoi selon toi le viol n'existe pas alors que les statistiques montre qu'une étudiante sur six se fait violer et 10% ferme leur gueule, explique moi pourquoi un noir a 2,5 pourcent plus de chance d'être tué par un flic qu'un blanc, pourquoi les prisons sont remplis de latino et de noirs qui ont commis exactement le même crime que leur pote blanc, mais ce dernier est libre « Bonnie demanda. L'étudiant regarda Bonnie n'appréciant pas sa manière de le prendre de haut.

« Comme j'ai dit, entre nous, entre gars, on parle, et ça saurait, tout ce sait sur les campus « Bonnie hocha la tête

« ça se tient « Elle disait.

« Et l'homme blanc est riche et l'homme latino ou noir est pauvre alors peut-être que c'est pour ça « L'homme disait ne voyant pas toutes les personnes de couleur qui le regardaient agacé.

« Tu es vraiment trop con c'est fou « Maria disait choquée. Bonnie fixait l'étudiant un long moment.

« Alors soit honnête avec moi » Bonnie demanda subitement.

« Tu n'as jamais entendu un de tes camarades dire, hey cette meuf, c'est une chaudasse, tu devrais te la faire, elle adore ça surtout lorsqu'elle est bourrée « Bonnie demanda installant un silence.

« Tu n'as jamais vu un de tes camarades partir avec une fille bourrée qui marchait à peine «

« Tu n'as jamais vu une fille sortir d'une chambre désorientée et ensuite le mec se justifie ensuite en disant, laisse-là, elle va encore oublier qu'elle m'a chauffé « Bonnie continua. Elle fixait l'étudiant qui restait paralysé à cet instant.

« Tu n'as jamais entendu ça ? » Bonnie demanda. L'étudiant fixait Bonnie silencieusement.

« Le truc c'est que « L'étudiant se montra mal à l'aise en un instant.

« Je l'entends tous les jours, mais ça ne veut rien dire « Il disait mal à l'aise. Bonnie se releva ensuite pour se mettre en plein milieu des marches.

« Alors dite moi honnêtement qui a déjà entendu une de ces phrases, une fois dans sa vie d'étudiante ou hors vie d'étudiante « Bonnie demanda. Les étudiants se regardèrent tous mal à l'aise avant que Maria lève la main la première. Bonnie regarda en direction de Maria lorsqu'elle vît d'autres mains se levait. Monsieur Harrington ouvra les yeux en grand étonné lorsqu'il vît pas mal de main se lever. Bonnie compta les mains.

« 25% de la salle » Bonnie disait. Elle haussa les épaules

« Alors à vous de me dire, ce chiffre vous parait-il énorme « Bonnie continua aux étudiants qui ne dirent rien mal à l'aise. Bonnie regarda ensuite l'étudiant qui venait de remettre en cause le viol et le racisme par sa connerie.

« Au sujet de la situation des hommes de couleur, je ne vais pas débattre avec toi sur la situation parce que ce n'est pas le sujet et c'est un sujet beaucoup délicat pour qu'un blanc se permette de l'aborder « Bonnie disait prenant un air condescendant avec l'étudiant qui s'étonna. Elle le fixa un moment

« Mais si cela t'intéresse ou si cela intéresse quelqu'un, vous devriez essayer de lire le livre dans la peau d'un noir de Rosalie Wilson » Bonnie disait. Maria écrivît de suite le nom du livre. Bonnie descendît ensuite les escaliers pour rejoindre l'estrade. Elle se retourna

« Pour revenir au cours, peu importe votre insécurité, peu importe si elle est liée à votre couleur de peau, à votre sexe, à vos complexes, au regard des autres, à toutes ces merdes qui nous arrivent dans la vie « Bonnie disait se doutant que c'était sûrement ce que certains étudiants comme Malia aurait souhaité entendre.

« Parlez, parler à quelqu'un et si cette personne est une conne alors parlez à quelqu'un d'autre parce que plus vous en parlerez, plus vous vous libérerez « Bonnie continua. Elle montra ensuite sa carte

« Je laisse mes coordonnées, je ne vous garantis pas de l'aide, mais je vous garantis une oreille et je peux vous dirigez vers du soutien parce qu'en réalité, vous n'êtes pas seule, vous pouvez penser être seule, mais taper sur Google votre mal être et bingo, vous êtes des milliers et dans un Etat des centaines « Bonnie disait en claquant des doigts.

« Notre monde est fou surtout avec les réseaux sociaux, alors servez-vous de votre de téléphone non pas pour snapper, mais pour trouver des compagnons parce que la solitude n'a jamais rendu heureux quelqu'un, je peux vous le prouver à titre personnel « Bonnie continua à une Maria qui pouvait voir à cet instant que son professeur semblait lui aussi captivé par Bonnie.

« Mes cartes sont dans les bouquins « Bonnie disait.

« En tout cas merci beaucoup de m'avoir écouté et je vous souhaite une excellente soirée « Bonnie continua.

Je vais te redonner tes coups dans une minute
Je ne joue pas avec les étiquettes, salope
On déconne pas avec les mensonges, y'a pas d'au revoir
On continue de pousser
Je vais te redonner tes coups dans une minute
Je ne joue pas avec les étiquettes, salope
On déconne pas avec les mensonges, y'a pas d'au revoir
On continue de pousser

« Oh désolée aussi, je dis beaucoup de gros mot « Bonnie termina. Elle allait se retourner, mais les étudiants applaudirent tous. Bonnie les remercia d'un léger geste de la main avant de se diriger vers le professeur Harrington. Ce dernier esquissa un sourire.

« Alors là vous m'avez bluffé » Il disait à une Bonnie qui rangea ses affaires dans son sac à dos. Bonnie allait parler, mais elle entendît son téléphone sonnait.

« Désolée « Elle s'excusa pour répondre au téléphone.

« Salut « Bonnie disait. Jeremy esquissa un sourire posté devant l'hôpital.

« Je te dérange « Il demanda. Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Du tout, je viens de finir mon bénévolat « Elle disait. Jeremy hocha la tête

« J'ai 1h de pause alors je me disais que tu pouvais m'accompagner manger des nouilles dans un lieu aussi romantique qu'un hôpital « Jeremy continua ce qui fît sourire Bonnie.

« J'adore les hôpitaux, c'est parfait alors j'arrive je suis là d'ici 20 min » Elle disait en regardant sa montre. Jeremy hocha la tête

« Ok alors je t'attends alors « Il déclara avant de raccrocher. Il regarda son téléphone tout en souriant ne voyant pas Vicky derrière qui le fixait.

Bonnie décrocha. Elle s'approcha de ses affaires.

« Vous m'appelez quand vous voulez pour une intervention c'était sympa « Bonnie disait au professeur Harrington qui hocha la tête tout en préparant ses affaires. Il avança à côté de Bonnie. Les deux sortirent ensemble de l'amphithéâtre pour rejoindre la sortie de la faculté.

« Vous avez déjà pensé à faire des cours « Le professeur demanda subitement. Bonnie rigola

« Moi, jamais, je déteste les étudiants, je déteste la jeunesse tout court « Bonnie disait ce qui fît rire le professeur Harrington

« Mais pourtant vous semblez la comprendre cette jeunesse que vous haïssez « Il continua. Bonnie esquissa un sourire.

« En fait, comment avez-vous eu mes coordonnées ? » Bonnie demanda. Le professeur Harrington fît mine d'être étonné

« Vous avez dit que vous aviez vu mon intervention sur la vidéo de Stanford, mais vous ne pouviez pas savoir que j'avais fait de la psychologie alors j'en ai déduit que quelqu'un vous a parlé de moi, après les noms tournent vite dans le monde de la psychologie « Bonnie disait.

« J'ai demandé à plusieurs de mes confrères, mais ils ne vous connaissaient pas « Bonnie continua. Le professeur Harrington rigola mal à l'aise ce que Bonnie pouvait voir. II se gratta l'arrière de la tête sous les yeux de Bonnie qui avait préféré attendre avant de lui poser la question.

« Je suis un très bon ami de Damon Salvatore « Le professeur avoua surprenant Bonnie. Bonnie s'arrêta attirant l'arrêt du professeur Harrington.

« On a mangé ensemble il y a des semaines de ça et je lui ai parlé du fait que j'aimerais une intervention pour parler du suicide et d'autres choses, de sujet qui touche mes étudiants dans le cadre de la psychologie et il m'a parlé de vous « Le professeur avoua. Il rigola ensuite sous les yeux d'une Bonnie qui était étonnée que Damon Salvatore ait parlé d'elle. Pourquoi avoir fait ça ? Avec le passé qu'ils avaient. Ok, peut-être qu'effectivement suite à l'affaire Malia Frost, il avait pensé à elle pour une intervention, mais quelle chose étrange de conseiller la femme avec qui il avait trompé sa femme non ?

Elle était en pleine réflexion lorsque le professeur Harrington parla la réveillant de ses pensées.

« Bon il m'a préparé à votre venu « Le professeur continua. Bonnie reprît sa marche tout en souriant encore troublé par Damon Salvatore. Etrangement, Damon Salvatore était un homme troublant y compris pour elle.

« Comment ça «

« Ben il m'a tout de suite prévenu que vous n'étiez pas là pour faire de la pédagogie, il vous a comparé à une publicité choquante pour prévenir des accidents de la route « Il continua ce qui fît rire Bonnie. Elle rigola ne pouvant s'empêcher de rire.

« Damon Salvatore a de l'humour je l'ignorais « Bonnie disait ce qui étonna le professeur Harrington

« Damon ? » Il disait étonné.

« Vous ne le connaissez pas si bien alors « Il continua. Bonnie tourna sa tête pour regarder le professeur Harrington

« Mais vous oui « Bonnie disait. Le professeur Harrington hocha la tête

« Oui, on a été à la faculté ensemble « Le professeur disait. Il rigola

« C'était le gars populaire de la faculté « Il disait. Bonnie hocha la tête

« Pourquoi ça ne m'étonne pas « Bonnie disait. Les deux s'arrêtèrent près de la voiture de Bonnie.

« En tout cas, merci de m'avoir ramené à ma voiture « Bonnie continua encore étonné par le fait que Damon Salvatore avait cité son nom. Bonnie ouvra sa portière sous les yeux du professeur.

Pourquoi les hommes sont biens jusqu'à ce qu'ils doivent l'être
Ne m'envoie pas de message, dis-le moi en face
Ma meilleure amie m'assoit sur une chaise
Shampoing, barre toi de mes cheveux
Nouvelles photos avec l'éclairage explosif
Nouveau mec dans le Minnesota Viking
La vérité blesse, j'avais besoin de quelque chose de plus excitant

« Dite, ça vous dit de boire un café ensemble demain matin enfin de déjeuner « Le professeur disait. Bonnie tourna sa tête pour regarder le professeur. Elle hocha la tête.

« Une invitation à déjeuner, je ne dis jamais non » Bonnie disait étonnant le professeur Harrington qui ne s'attendait pas à ce qu'elle accepte. Il hocha la tête

« Ok, je connais un café pas trop loin d'ici, je vous envoie l'adresse « Il disait. Bonnie hocha la tête

« Par contre, je ne me lève pas avant 8h si c'est possible, je ne suis pas du matin « Bonnie disait ce qui fît sourire le professeur Harrington.

« Pas de souci on se dit 8h 8h30 « Il disait.

« A demain » Il continua avant de s'en aller sous les yeux de Bonnie. Bonnie le regarda un moment avant de soupirer. Elle monta dans sa voiture pour prendre la route.

« A force de faire semblant, tu t'épuises ma petite Bennett « Bonnie se disait à elle-même habituée à jouer plusieurs rôle en même temps. Elle fît une marche arrière pour rejoindre Jeremy à l'hôpital tout en écoutant la musique de Lizzo : Truth Hurts.


Beyonce : Sweet Dream (Fifties shade of grey version)

Chaque nuit je me dépêche de m'endormir
Avec l'espoir de te voir
Quand je ferme les yeux
Je deviens folle
Perdu dans un conte
Prend ma main et sois mon guide

« Alors Madame Reynes a un amant « Damon disait assis sur sa chaise à son bureau en compagnie de Rose qui était en face de lui en train de manger des nouilles avec des baguettes tout comme Damon qui parlait de boulot en mangeant.

« Dont elle est folle amoureuse« Rose disait attirant l'attention de Damon qui releva la tête de ses nouilles pour regarder son enquêtrice et amie. Rose regarda Damon tout en souriant

« On peut facilement annuler le contrat de mariage fait entre les époux Reynes, Monsieur Reynes n'aura pas à payer de pension alimentaire et Madame Reynes n'aura rien «

« Mais Monsieur Reynes est le premier à avoir rompu leur contrat de mariage qui stipulait aucun adultère « Rose esquissa un sourire

« Tout dépend de ce que tu entends par adultère « Rose disait en admirant Damon qui restait à la fixer comprenant ce qu'elle voulait dire.

« Madame Reynes et son amant se fréquentent depuis bien longtemps, certes ils n'ont pas couché ensemble, mais le désir était là et Monsieur Reynes lui avait demandé de ne pas le voir et elle a continué en sachant pertinemment ce qu'elle ressentait « Rose n'eut pas le temps de finir car Damon parla

« Le désir n'est pas de l'adultère « Damon se mît à dire sérieusement pensant étrangement à Elena et lui ou plutôt à lui qui avait essayé d'embrasser Bonnie Bennett alors qu'il était marié. Il avait ressenti du désir il n'allait pas le nier.

« Il l'est une fois qu'on passe à l'acte et il est encore pire lorsqu'on se rend compte que le désir n'était pas éphémère « Rose disait attirant les grands yeux de Damon. Ce dernier restait à fixer Rose mal à l'aise à cette idée, à l'idée qu'il était possible de stopper un désir.

« Je n'ai jamais vu un désir auquel on ne succombe pas « Damon avoua en regardant ses nouilles ne voyant pas Rose qui restait à le fixer se perdant dans la beauté de Damon. Ce dernier releva la tête dès qu'il entendît le silence de Rose qui se ressaisit en voyant le regard bleu intense de Damon en sa direction.

« C'est possible, ça s'appelle un fantasme « Rose disait essayant d'ignorer la intensité des yeux de Damon sur elle. Ce dernier fixait Rose pensant étrangement à Bonnie Bennett. Il revoyait le visage de Bonnie déstabilisé par Maryssa Palmer.

« Je ne veux pas laminer Madame Reynes sous prétexte qu'elle a trompé son mari « Damon disait sérieusement en regardant le vide. Rose ouvra les yeux étonné se doutant que Damon pensait à autre chose. Il y eut un long silence qu'elle décida de briser afin de comprendre le comportement de Damon ces derniers temps.

« Comme tu as laminé Amanda « Rose demanda surprenant Damon. Ce dernier admira Rose repensant aux mots de Bonnie la dernière fois qu'ils s'étaient vus.

« Des pensées qui font que si j'étais à la place de Monsieur Richardson, je ne vous aurais pas loupé «

Rose soupira

« Tu ne pourras pas constamment te cacher derrière ces histoires de divorce à la con Damon « Rose avoua attirant l'attention de Damon

« Depuis l'affaire Turman, tu n'as plus pris une affaire en pénal « Rose disait ayant bien remarqué comme tout le cabinet que Damon se cachait derrière des histoires simples de divorce ou de succession, c'est-à-dire tous ce qu'il détestait. Il avait toujours fait en sorte de faire du pénal et là il se cachait dans ce bureau à faire du droit civil.

« Ce n'est pas pour toi le droit civil et tu le sais, tu es malheureux, ça se voit que tu t'ennuis et je m'inquiète « Rose continua décidé à dire ce qu'elle pensait.

« je comprends ce qui est arrivé à Amanda est malheureux, « Elle n'eut pas le temps de finir car Damon la coupa

« Je ne t'ai pas demandé de venir pour qu'on parle d'Amanda « Damon se mît à dire froidement refusant de s'ouvrir à Rose comme il refusait de s'ouvrir à n'importe qui. C'était la chose la plus dure à supporter avec Damon, c'était qu'il ne s'ouvrait jamais à personne.

« Et je ne devrais pas te faire travailler si tard, tu peux rentrer chez toi » Damon continua installant un silence. Rose hocha la tête

« Ok, je vais y allé « Rose disait en se levant de sa chaise. Elle prît son plat puis se dirigea vers la porte de bureau, mais elle s'arrêta subitement. Elle se retourna pour regarder Damon

« Je comprends si tu ne veux pas me parler de ce qui te tracasse en ce moment, que ce soit Amanda ou quelque chose d'autres, mais si ce n'est pas moi parle en à quelqu'un « Rose disait surprenant Damon

« L'ancien Damon Salvatore me manque « Rose continua ne voyant pas Valérie qui s'était arrêté derrière elle.

« Bonne soirée à vous deux « Valérie disait réveillant Rose qui se retourna pour regarder Valerie. Damon regarda les deux femmes

« Bonne soirée à vous « Il disait. Rose détourna son regard pour regarder Damon avant de refermer la porte pour s'en aller avec Valérie. Les deux marchèrent le long du couloir s'éloignant du bureau de Damon.

« ça te détruira Rose un jour « Valérie disait une fois dans l'ascenseur pour descendre. Rose fronça les sourcils pour regarder Valérie

« De quoi tu parles ? » Rose disait à une Valérie qui haussa les épaules

« Tu sais très bien ce dont je parle «

« Je sais où est ma place Valérie, ne t'inquiète pas pour moi «

« Je suis inquiet pour toi c'est tout « Valerie disait avant de monter dans l'ascenseur suivît de Rose. Les deux tournèrent leur corps pour regarder le cabinet une dernière fois.

« Tu me diras, au rythme auquel il bosse, je suis plutôt sûre qu'entre Elena et lui ce n'est pas la grande forme « Valerie disait à une Rose qui roula des yeux

« Valérie arrête « Rose disait en regardant sa collègue qui hocha la tête tout en levant les mains

« Ok je dis rien, mais je sais que tu penses la même chose que moi » Valérie disait attirant un sourire de la part de Rose. Les deux sourirent un moment ne voyant pas Damon qui était encore en train d'étudier son dossier.

Damon arrêta de bosser sur son dossier au bout d'un moment pour poser son dos contre son dossier. Il pencha son corps en arrière pour regarder le plafond ne pouvant s'empêcher de repenser au fait qu'il avait essayé d'embrasser de nouveau Bonnie. Il prît son téléphone pour regarder le message qu'il avait reçu de la part de Bonnie, il y avait des semaines de ça.

« Je suis désolée pour la dernière fois « Bonnie avait écrit.

« Ça vous dit de boire un verre « Bonnie avait continué par message. Damon regardait le message qu'il avait reçu et auquel il n'avait jamais répondu.

Les nuages et les Etoiles couvrent ton ciel
Et j'aimerai qu'il pleuve
Tu es la berceuse parfaite
Quel genre de rêve est ceci

« Qu'est ce qui t'arrive ? » Damon disait après avoir lâché un long soupir. Il fixait le plafond totalement désemparé par lui lorsqu'il entendît son téléphone sonnait. Il regarda le numéro avant de répondre.

« Hey Salut James, que me vaut un appel de ta part aussi tard « Damon disait à son ami qui était près de sa voiture.

« Rien, juste pour te dire que Bonnie Bennett est venue à mon cours ce soir « James disait. Damon fixait le plafond ne pouvant que sourire face aux coïncidences lui qui venait de penser à elle.

« Ha bon, tu l'as contacté «

« Oui, après qu'on est discuté et elle a mis du temps à me répondre, mais elle a accepté et elle m'a bluffé, je ne m'attendais pas ça, tu m'as caché assez de chose lorsque tu me l'as décrite « James disait. Damon esquissa un sourire confus

« Comment ça ? »

« Ok ce n'est pas une beauté, mais elle a dû charme et beaucoup d'humour et j'aime bien son côté dominant « Il continua. Damon posa sa main sur son front tout en posant son coude sur son bureau se doutant de ce que son ami voulait dire.

« Alors je l'ai invité à boire un café demain et elle a dit oui, donc je pense que j'ai une touche « Il continua à Damon qui rigola subitement. Il rigola un moment

« Tu lui as parlé de moi ? » Damon demanda. James hocha la tête

« Oui, elle voulait savoir comment je la connaissais donc j'ai dit ton nom «

« Et elle a accepté de boire un café avec toi ? » Damon demanda. James hocha la tête

« Oui, pourquoi aurait-elle dû dire non ? » James demanda. Damon ne dît rien se sentant con à cet instant de poser cette question, qu'il soit ami avec James ou pas, cela ne changerait rien pour elle. Elle faisait ce qu'elle voulait.

« Je ne suis pas sûre qu'elle te corresponde, mais tente ta chance « Damon disait. James rigola

« Qu'est-ce que j'ai à perdre ? En tout cas merci parce que professionnellement parlant c'était une bonne rencontre aussi « Son ami avoua.

« Ravi d'avoir pu t'aider « Damon répliqua.

« Bon je te laisse à plus « James disait avant de raccrocher laissant Damon. Damon posa son téléphone sur son bureau puis rigola se sentant à cet instant trop con d'avoir parlé de Bonnie à James.

Que tu sois un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveillé
Doux rêve ou merveilleux cauchemar
Que quelqu'un me pince, ton amour est trop bon pour être vrai
Cette culpabilité et ce plaisir n'ira nulle part
Aussi longtemps que tu es là
Je serais sur un doux nuage parce que
Tu es peux être un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveillé


Ambre Vaughn était une lycéenne comme les autres. Elle avait les cheveux longs, marron dorés et des yeux bleus.

Cependant, elle avait une passion, elle adorait les livres. Elle adorait lire toute sorte de livre parce que selon elle la vie était toujours plus agréable dans un livre. Récemment, les livres l'avaient beaucoup aidé à supporter le divorce de ses parents. Elle avait dû mal à vivre avec cette nouvelle, alors elle avait trouvé l'échappatoire à travers la lecture.

C'était une fille avant tout alors la romance elle adorait ça. Elle avait lu tous les livres romantiques possibles, elle lisait même des fictions écrites sur le net peu importe l'origine, elle lisait à partir du moment qu'il y avait de la romance, mais récemment elle s'était mis à lire des thrillers. Elle ne s'y connaissait pas en Thriller, mais sa mère lui avait révélé que sa grand-mère écrivait des thrillers et qu'elle était connue dans le domaine, alors elle s'était mise à lire tous les livres de la grand-mère de sa mère. Résultat, elle avait adoré, tellement adoré qu'elle avait mis de côté la romance. Elle n'allait pas mentir, son petit copain qui était aussi très littéraire l'avait influencé dans sa lecture.

Elle avait rencontré dans un club de lecture au lycée il y avait des mois de ça et depuis ils étaient inséparables. Il était son premier petit-ami et elle ne s'attendait pas à ce qu'il s'intéresse à elle. Il était grand, brun aux yeux noir et la plupart des filles du lycée lui courraient après, mais il s'était intéressé à elle. Sa mère lui avait toujours dit de ne jamais se donner entièrement à un homme alors elle prenait ses distances de lui. Ils n'étaient jamais allé plus loin que des baisers et elle avait encore dû mal à comprendre la raison pour laquelle il avait choisi elle parmi ses copines, parmi la plupart des filles du lycée.

Elle participait alors à des séances littéraires avec son copain et des camarades de classe. Ils avaient eu le choix entre plusieurs options, langues, sport, mais Ambre avait choisi le club de littérature et c'était là qu'elle avait rencontré Aiden Hawk.

Le professeur regarda tous ses élèves qui étaient assis en rond en train de l'écouter attentivement surtout parce qu'il parlait de livre qu'ils avaient tous adorés. Ils n'avaient pas l'impression d'être à un cours, mais de discuter tous ensembles.

« Alors qu'en avez-vous pensé de cette saga écrit par Shelby « Le professeur demanda. Une des camarades d'Ambre parla.

« J'ai adoré la psychologie des personnages et de l'héroïne, une héroïne très torturé et j'adore sa manière de dépeindre des personnages, de chacun des personnages c''est incroyable la capacité qu'elle a de nous faire adorer un meurtrier «

« Pourtant certains meurtres sont horribles, mais il y a de l'action, de la romance, on passe par tous les sentiments « Elle continua

Je te compte dans mes prières
Je te garde dans ma tête
Tu es ma drogue
J'aimerais tant que tu sois la quand je me réveille
Et que tu m'entoure de tes bras
Et que tu me dises de rester là avec toi

Les nuages et les Etoiles couvrent ton ciel
Et j'aimerai qu'il pleuve
Tu es la berceuse parfaite
Quel genre de rêve est ceci

« Vous savez que beaucoup de série et de films ont été inspirés par les romans de Shelby » Le professeur disait aux étudiants. Aiden fronça les sourcils confus assis à côté d'Ambre.

« Mais c'est étrange, mais on sent que son dernier livre n'était pas sensée se finir comme ça, comme s'il était incomplet « Aiden avoua.

« Tu as remarqué aussi « Une camarade disait à Aiden qui hocha la tête.

« Oui « Le professeur rigola

« En réalité, Shelby a écrit d'autres livres, mais à sa mort elle les a légué à sa famille qui n'a jamais voulu paraître la suite des aventures « Le libraire disait sous les yeux d'Ambre qui n'était pas au courant de ça.

« Pourquoi la famille refuse d'elle de paraître les livres « Ambre demanda. Le libraire haussa les épaules

« On n'en a aucune idée, un conflit juridique oppose la famille et la maison d'édition de Shelby encore maintenant « Il disait. Il regarda ensuite sa montre pour regarder l'heure

« Je n'ai pas vu l'heure passer, il commence à se faire tard « Le professeur disait en se relevant.

« On reprendra au prochain cours « Il continua. Ambre et ses camarades se levèrent. Elle tourna sa tête pour regarder Aiden qui rangeait ses affaires. Elle allait parler, mais une fille arriva pour parler à Aiden. Ambre regardait les deux discutaient du livre. La fille s'en alla ensuite laissant Aiden qui se retourna vers Ambre.

« Désolé, tu voulais me dire quelque chose « Aiden disait étonnant Ambre qu'il ait remarqué qu'elle voulait lui parler. Elle l'admira un moment confuse avant de se ressaisir.

« Ça te dit qu'on mange ensemble enfin avec ma famille demain soir « Ambre disait étonnant son petit-ami qui esquissa un sourire.

« Tu veux me présenter à tes parents « Il disait. Ambre hocha la tête

« Oui enfin mon père ne sera pas là, mais mon frère, ma mère et mes grands-parents vu que ces derniers temps on dort chez eux « Ambre avoua. Aiden s'étonna

« C'est la tradition chez les Bennett, en période de deuil on doit tous passer deux mois ensemble « Ambre continua se doutant que cela allait paraître bizarre pour Aiden. Ses grands-parents avaient tradition bien à eux, en période de deuil, tout le monde devait se rassembler alors ses frères et sœurs dormaient chez ses grands-parents et il fallait aussi porter du noir pendant cette période.

« C'est sympa comme tradition, enfin à part pour le deuil « Aiden disait en souriant lorsqu'il réalisa que cela ne se disait pas. Ambre rigola

« Je te rassure, c'est la période où la mère de mon grand-père est décédé « Ambre continua en montrant le livre à Aiden qui hocha la tête car seul lui était au courant de lien qu'Ambre avait avec l'écrivaine Shelby.

« Vous avez d'autres traditions aussi intéressante « Aiden demanda en s'avançant en compagnie d'Ambre avec son sac à dos. Ambre esquissa un sourire

Que tu sois un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveiller
Doux rêve ou merveilleux cauchemar
Que quelqu'un me pince, ton amour est trop bon pour être vrai
Cette culpabilité et ce plaisir n'ira nulle part
Aussi longtemps que tu es là
Je serais sur un doux nuage parce que
Tu es peux être un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveillé

« Tu vas te moquer de moi » Ambre disait à un Aiden qui rigola

« Jamais, je m'intéresse, ma famille n'est pas aussi cool que semble être la tienne « Aiden disait. Ambre roula des yeux

« C'est qu'en apparence tu sais « Ambre disait sous les yeux d'Aiden.

« Mon grand-père organise un barbecue alors tu pourrais venir « Ambre continua. Aiden s'arrêta. Il se retourna pour se mettre en face d'Ambre. Il hocha la tête

« Avec plaisir « Il disait. Ambre esquissa un sourire face à Aiden qui s'avança pour l'embrasser surprenant cette dernière, mais très vite elle retrouva la raison et lui rendit son baiser.


L'étudiant métisse aux cheveux rasés et les yeux marrons descendait les escaliers de la maison de son grand-père pour boire de l'eau assoiffé. Sacha allait se diriger vers la cuisine, mais il s'arrêta net lorsqu'il vît son grand-père assis sur le canapé avec ses lunettes en train de regarder un album photo. Sacha admirait un long moment son grand-père avant de se décider à faire part de sa présence.

« Grand-père, tu ne dors pas ? » Sacha demanda attirant l'attention de Rudy Bennett qui tourna sa tête pour regarder son petit-fils.

« Ha Sacha qu'est-ce que tu fais là » Rudy demanda après avoir enlevé ses lunettes. Sacha s'avança pour s'asseoir à côté de son grand-père

« J'avais soif et toi ? Pourquoi tu ne dors pas ? » Il demanda à un Rudy qui tourna son regard pour regarder l'album photo.

« Je me plongeais dans des souvenirs d'enfance « Rudy avoua à un Sacha qui détourna son regard pour regarder l'album photo que son grand-père regardait.

« Je peux » Sacha demanda en pointant l'album du doigt attirant un sourire de la part de Rudy

« Bien sûre «

Sacha prît l'album pour voir la photo d'un petit garçon et d'une femme brune aux cheveux bouclés très clair.

« C'est toi ? « Sacha demanda.

Rudy hocha la tête

« Tu étais trop mignon » Sacha continua en pointant son grand-père du doigt. Il pointa ensuite la femme derrière son père

« Et c'est ta mère Sheila c'est ça «

« Elle est magnifique « Sacha avoua à un Rudy qui esquissa un sourire

« Elle était« Rudy confirma à un Sacha qui admirait Sheila un moment

« Maman m'en parle souvent tu sais « Sacha avoua surprenant Rudy que Lucy parle de sa grand-mère. Sacha détourna son regard pour regarder son grand-père.

« Ha bon ? » Rudy demanda. Sacha hocha la tête

« Oui, elle en parle très souvent et cette période la rend toujours triste »

« Je peux voir qu'elle a été importante dans votre vie « Sacha disait à un Rudy qui ne dît rien un moment paralysé par les mots de son petit-fils.

J'ai tatoué ton nom sur mon cœur
Pour qu'il y reste
Même pas la mort ne nous séparera
Quel genre de rêve est tu

Que tu sois un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveillé
Doux rêve ou merveilleux cauchemar
Que quelqu'un me pince, ton amour est trop bon pour être vrai
Cette culpabilité et ce plaisir n'ira nulle part
Aussi longtemps que tu es là
Je serais sur un doux nuage parce que
Tu es peux être un doux rêve ou un merveilleux cauchemar
Je m'en fous je ne veux pas me réveillé

« C'est dure Sacha tu sais « Rudy avoua

Sacha savait que son grand-père se sentait triste ces derniers temps à cause de l'anniversaire de la mort de sa mère.

« J'ai une famille, des enfants, des petits-enfants, des amis « Rudy avoua installant un silence entre son petit-fils et lui

« Et pourtant elle me manque « Rudy avoua en regardant la photo de sa mère. Il fixa un moment la photo de sa mère

« C'était une force de la nature, elle n'avait peur de rien tu sais « Rudy disait à un Sacha qui avait déjà entendu ça de la bouche de sa mère.

« Elle m'a élevé seule, sans argent et pourtant je n'ai manqué de rien « Rudy avoua à un Sacha qui admirait son grand-père un moment. Sacha tourna ensuite son regard pour regarder les photos. Il s'arrêta en voyant une photo de sa mère et Bonnie en compagnie de Sheila. Sacha esquissa un sourire

« C'est horrible à quel point je ressemble à Maman » Sacha disait attirant un sourire de Rudy qui s'était rapproché de Sacha pour regarder la photo. Rudy rigola

« Horrible, je préfère que tu lui ressemble, que tu ressembles à ton père sans vouloir t'offenser, ma fille est plus belle « Rudy disait attirant un rire de Sacha qui perdît petit à petit son rire en regardant le sourire de Bonnie.

« Tante Bonnie ressemble beaucoup à ta mère « Sacha disait à un Rudy qui avait souvent eu le droit à cette remarque. Bonnie était le portrait craché de sa grand-mère.

Rudy ne dît rien face à la ressemblance lorsqu'il ouvra les yeux en grand en entendant Sacha parlait

« Elle semble heureuse, je l'ai jamais vu autant sourire « Sacha avoua en posant son doigt sur le visage de Bonnie. Sacha restait à admirer sa tante sous les yeux de Rudy qui ne dît rien.

« Tu crois que tante Bonnie nous apprécie « Sacha demanda subitement attirant les grands yeux de Rudy qui tourna son regard pour regarder Sacha qui fixait la photo de sa tante.

« On est assez grand pour obtenir une réponse « Sacha disait face au malaise de son grand-père qui secoua la tête de gauche à droite

« Bien sûre que oui pourquoi tu dis ça ? » Rudy disait

« ça fait 1 semaine qu'on dort ici avec Maman et pas une seule fois elle est rentrée, à croire qu'elle nous fuit « Sacha disait à un Rudy qui fixait son fils pouvant voir Lucy qui était derrière en train de les écouter.

« Puis elle n'est jamais venue à nos anniversaires, à noël on la voyait jamais, elle se contentait d'une carte et Maman et Papa divorcent et elle ne s'est pas préoccupé de savoir comment on allait « Sacha avoua à un Rudy qui ne savait pas quoi dire face à ça. Il aimait sa fille, mais l'attitude de cette dernière ne pouvait être justifiée même par lui. Rudy détourna son regard pour regarder Lucy avant de regarder Sacha.

« Je l'ai toujours trouvé cool quand j'étais petit parce que le peu de fois où elle venait elle nous ramenait des cadeaux et elle était marrante « Sacha avoua mettant mal à l'aise Rudy

« Mais on est grand maintenant et je vois bien que Tante Bonnie et Maman ne s'entendent pas, que Grand-mère et elle non plus et que seul toi semble avoir gardé de bonne relation avec elle « Sacha disait avant d'hausser les épaules

« Et je ne sais pas pourquoi ? qu'est ce qui s'est passé entre vous ? » Sacha demanda à un Rudy qui restait à fixer son petit-fils un moment mal à l'aise. Il ne dît rien un moment avant d'hausser les épaules

« Honnêtement Sacha j'en ai aucune idée « Rudy avoua surprenant Lucy et Sacha qui pouvaient voir dans les yeux de Rudy qu'il était un peu dépassé par sa fille.

« Elle a eu une vie plutôt banal tu sais avec ta mère, Abby et moi avons fait dû mieux qu'on a pu, je ne dis pas que c'était parfait, mais c'était bien, mais après la mort de ma mère, quelque chose s'est brisé en elle, quelque chose est parti et elle en a profité pour partir et s'éloigner de nous « Rudy disait sous les yeux de Lucy qui pouvait voir de la peine sur le visage de son père.

« Elle s'est montré purement égoïste Papa » Lucy disait attirant l'attention de Sacha qui tourna sa tête pour regarder sa mère.

« Elle a souffert après la mort de grand-mère et elle est partie alors qu'on souffrait tous » Lucy disait

« Parce qu'elle ne pense qu'à sa souffrance à elle et non celle des autres, c'est pourquoi tu ne la vois pas ici Sacha parce qu'à chaque fois qu'on se rapproche du jour où grand-mère est morte, elle disparait de la circulation et c'est exactement ce qu'elle est en train de faire « Lucy disait en pointant la porte du doigt.

« Et pendant combien de temps Papa, va tu accepter ça, qu'elle te traite de cette façon, qu'elle traite tes petits-enfants, y compris Maman de cette façon « Lucy disait sous les yeux de son fils qui comprît qu'il avait encore abordé un sujet sensible en parlant de Bonnie. Rudy haussa les épaules

« Que suis-je sensé faire Lucy ? » Rudy demanda

« Dit moi ce que je suis sensé faire et je te suivrai » Rudy disait à une Lucy qui entendît sa mère descendre les escaliers en peignoir. Abby restait à écouter

« Suis-je sensé ne plus essayer comme tu voudrais que je fasse « Rudy disait

« Mais si je n'essaye plus qui essaiera Lucy, toi ou ta mère « Rudy continua sous les yeux de Sacha. Lucy haussa les épaules

« Pourquoi cela devrait toujours être à nous d'essayer ? Et non pas à elle « Lucy demanda attirant les grands yeux de son père.

« Combien de fois j'ai essayé Papa ? essayé de renouer des liens avec elle, mais elle n'en avait rien à faire parce que seul son boulot comptait, seul sa vie à New York ou je ne sais où comptait « Lucy disait installant un silence.

« Bonnie ne va pas bien Papa depuis Grand-mère et son boulot n'a rien arrangé à son état au contraire. Je ne sais pas ce qui s'est passé, ce qui se passe dans sa tête, mais elle ne va pas bien et je me suis fait à l'idée qu'on ne peut rien faire pour elle et tu devrais te faire à l'idée avant qu'elle t'attriste encore plus comme elle est en train de faire « Lucy disait avant de s'en aller passant à côté d'Abby. Abby restait à fixer le vide laissé par sa fille avant de descendre les escaliers pour rejoindre Sacha et Rudy qui fixaient à leur tour le vide laissé par Lucy.


Jeremy Gilbert était un homme très professionnel et gentil dû moins c'était ce que Bonnie avait constaté à force de le côtoyer depuis quelques temps. Il avait toujours été gentleman envers elle et envers son entourage. C'était le genre d'homme sur lequel il était facile de compter voire de dépendre. Il était agréable à regarder et c'était agréable de passer du temps avec lui, mais en même temps assez déprimant et fatiguant car face à autant de perfection, Bonnie essayait d'être ce qu'elle n'était pas, une femme gentille et agréable. Ils étaient tous les deux assis sur un banc devant l'hôpital profitant de la pause de Jeremy avec des nouilles qu'ils mangeaient sur le banc.

« C'est gentil de ta part de faire le tour des universités » Jeremy avoua après avoir pris une bouchée de ses raviolis.

« Oui il s'avère que James m'a contacté grâce à Damon « Bonnie avoua. Elle avait prétendu ne pas savoir que Jeremy était le frère d'Elena Salvatore. En parlant avec lui, ils s'étaient tous les deux rendus compte, enfin c'étaient ce que pensait Jeremy, qu'ils connaissaient tous deux des personnes en commun.

« ha bon « Jeremy disait. Bonnie avait pu percevoir du mépris de la part de Jeremy face à Damon, mais elle n'avait pas insisté sur le mépris qu'elle avait pu voir et c'était étonnant de voir un être aussi gentil que Jeremy méprisait un être comme Damon Salvatore.

« Pourquoi ai-je l'impression que tu n'apprécies pas ton beau-frère ? » Bonnie se permît de demander curieuse de savoir. Jeremy tourna sa tête pour regarder Bonnie.

« Parce que du peu que j'ai vu de lui, il semble gentil « Bonnie continua décidé à jouer sur son côté naïve.

« Ma sœur souffre et Damon Salvatore est juste ce qu'il a toujours été, un homme à femme et tant qu'Elena lui pardonnera ses écarts, Damon et moi ne pourront qu'être des connaissances « Jeremy disait étonnant intérieurement Bonnie à cet instant qui comprît à cet instant qu'elle n'était pas la première avec qui Damon couchait dans le dos de sa femme. Enfin d'après Jeremy.

Jeremy et elle, se fixèrent un moment et Bonnie allait répliquer, mais ils virent subitement Vicky arrivait.

« Jeremy, on a une arrivé là « Vicky cria.

Jeremy posa son repas puis se leva sans discuter comme le professionnel qu'il était. Pourquoi dire ça, se disait Bonnie qui à cet instant n'appréciait pas trop ce que Jeremy venait de dire parce qu'elle était douée pour analyser les personnes, et sans vouloir se vanter, elle avait pu voir qu'elle avait été la première personne avec qui Damon couchait alors qu'il était marié. Mais si son intuition était bonne, pourquoi Jeremy dirait ça.

Bonnie tourna sa tête pour regarder Jeremy et Vicky. Elle vît ensuite un camion de pompier arrivait. Les portes s'ouvrèrent pour montrer un homme blessé en compagnie de sa femme qui avait du sang sur elle.

« Faut que vous le sauviez « Régina disait ensanglantée surprenant Jeremy.

« Eloignez-vous Madame, on va faire de notre mieux « Jeremy disait. Bonnie se releva lorsqu'elle vît la chemise de la femme ensanglantée. Un des pompiers qui était afro-américain avec le crâne rasé et une boucle d'oreille à son oreille gauche parla.

« Madame, rentrez à l'intérieur, ma collègue va vous accompagner, la police va arriver « Il disait à la femme qui hocha la tête totalement perdu. Elle entra dans l'hôpital laissant le pompier.

Bonnie se releva pour se diriger vers le pompier.

« Qu'est ce qui s'est passé ? » Bonnie demanda au pompier. Ce dernier mît ses mains sur sa taille.

« Je crois qu'elle a poignardé son époux, 8 coups de couteau, je ne sais pas ce qui lui a fait, mais elle lui en voulait « Le pompier disait. Il s'en alla ensuite puis entra dans l'hôpital sous les yeux de Bonnie qui fixait l'hôpital confuse.

Bonnie entra à son tour à l'hôpital. Elle s'arrêta lorsqu'elle vît Régina assise sur une chaise totalement chamboulée.

« Madame « Bonnie disait. Régina leva la tête pour regarder Bonnie.

« Police de San Fransisco » Bonnie disait en montrant sa plaque. Elle s'accroupît pour se mettre à la même hauteur que Régina. Cette dernière regardait ses mains

« Je ne me souviens de rien, mais je l'ai poignardé, je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment, je me souviens de rien « Régina disait sous le choc à une Bonnie qui pouvait voir les larmes coulaient des yeux bruns de Régina. Bonnie regardait Régina lorsqu'elle entendît son nom.

« Bonnie « Bonnie tourna sa tête pas étonné lorsqu'elle vît Franck accompagné de Francis.

« Qu'est-ce que vous faite là ? » Franck demanda froidement à une Bonnie qui n'avait pas arrangé sa relation avec Franck, Francis et Joé depuis leur rapport sur l'affaire de Malia. Francis s'avança ignorant Bonnie

« Madame Brook, vous avez le droit de garder le silence » Il força Madame Brook à se lever. Elle se leva sans discuter et se laissa faire lorsque Francis lui mît les menottes.

« Si vous renoncez à ce droit, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant une cour de justice. Vous avez le droit à un avocat et d'avoir un avocat présent lors de l'interrogatoire. Si vous n'en avez pas les moyens, un avocat vous sera fourni gratuitement. Durant chaque interrogatoire, vous pourrez décider à n'importe quel moment d'exercer ces droits, de ne répondre à aucune question ou de ne faire aucune déposition » Francis disait.

Il emmena Madame Brook avec lui laissant Bonnie seule à l'hôpital.


Elena regardait son téléphone assise sur son canapé tout en buvant un verre de vin.

Elle buvait son verre ne s'imaginant pas Damon qui était assis sur le canapé de son ancien appartement. Voilà, où ils en étaient, Elena et lui. Damon avait quitté leur domicile pour revivre dans son ancien appartement, celui dans lequel il habitait avant de se remettre en couple avec Elena dans le passé.

Damon regardait aussi son téléphone hésitant à appeler Elena.

Ils ne se parlaient plus, aucun d'entre eux n'arrivait à faire le premier pas pour réduire cette distance dans leur couple, une distance que Damon avait mis et avait accentué inconsciemment depuis qu'il avait couché avec Bonnie.

Il appuya sur le bouton appeler, pour appeler Elena, mais il raccrocha de suite réalisant qu'il ne savait pas quoi lui dire. Elena appela aussi, mais elle raccrocha aussi. Elle reposa son téléphone.

Elle prît de suite son téléphone, lorsqu'elle entendît son téléphone sonnait.

« Allo » Elena disait s'attendant à ce que ça soit Damon, mais elle retrouva très vite la réalité lorsqu'elle entendît le sourire à travers le téléphone.

« Tu es si contente d'entendre la voix de ta mère adorée « La femme disait à travers la ligne surprenant Elena. Elena se releva de son canapé ne voyant pas Katherine qui était dans l'immeuble d'en face en train d'écouter.

« Isobel, pourquoi tu m'appelles sur cette ligne ? » Elena disait à une Isobel qui roula des yeux

« Parce que tu ne réponds pas à l'autre ligne « Isobel disait troublant Katherine qui nota dans son calepin.

« J'arrive demain, on doit régler un problème rapidement « Isobel se contenta de dire avant de raccrocher. Elena soupira. Elle regarda son téléphone avant d'ouvrir les yeux en grand lorsqu'elle vît que Damon l'avait appelé.

Elle grimaça avant de le rappeler de suite, mais Damon était sous la douche.


Le lendemain

La petite fille descendait les escaliers de la cave confuse. Elle avait eu soif, mais elle avait entendu des bruits étrange dans la cave alors elle descendait les escaliers de la cave, mais elle se paralysa lorsqu'elle fît une flaque de sang par terre. Elle regardait le sang confus.

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien « Sheila Bennett disait à la petite fille qu'était Bonnie.

« Ça vous dit de travailler pour moi en tant que profiler « Hugh Portman disait

« Qu'est ce qui te prends de l'embaucher Hugh, cette femme est instable psychologiquement, sa place n'est pas parmi nous «

« Tu sais pertinemment que ce n'est pas le profilage le problème, tu es excellente dans ce domaine, mais tant que tu ne régleras pas ton passé tu ne trouveras ta place nulle part alors croire qu'en quittant le profilage tu résoudras tes problèmes Bonnie, croire qu'auprès du FBI, tes problèmes disparaitront, c'est naïf et stupide de ta part « Hugh Portman disait

« Je suis Katherine Pierce bienvenu au FBI »

« Katherine, tu es ma seule amie au cas où tu ne le saurais pas «

« Je le sais, je te connais Bonnie Bennett, je suis peut-être moins intelligente que toi, mais je suis assez maligne pour savoir que quelque chose t'es arrivé et ce quelque chose que tu caches au fond est en train de te bouffer sans que tu le réalise alors un conseil, parle en à quelqu'un même si ce n'est pas moi « Katherine Pierce disait.

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous « Sheila Bennett disait sur son lit d'hôpital à Bonnie.

« J'ai cédé, ce n'est plus qu'une question de temps avant que tu cèdes, tu as déjà cédé après ce que tu m'as fait «

« C'est le moment Bonnie « Sully cria

« C'est le moment pour toi de me choisir, alors choisi moi peu importe ce que tu traverses, peu importe les pensées dépressives et triste que tu as, peu importe ton passé, je m'en fous, j'accepte tout, je te prends en totalité, toi rien que toi tu n'as juste qu'à me choisir, alors choisis moi «

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien « Sheila Bennett disait à la petite fille qu'était Bonnie.

« Ça vous dit de travailler pour moi en tant que profiler « Hugh Portman disait

« Qu'est ce qui te prends de l'embaucher Hugh, cette femme est instable psychologiquement, sa place n'est pas parmi nous «

« Tu sais pertinemment que ce n'est pas le profilage le problème, tu es excellente dans ce domaine, mais tant que tu ne régleras pas ton passé tu ne trouveras ta place nulle part alors croire qu'en quittant le profilage tu résoudras tes problèmes Bonnie, croire qu'auprès du FBI, tes problèmes disparaitront, c'est naïf et stupide de ta part « Hugh Portman disait

« Je suis Katherine Pierce bienvenu au FBI »

« Katherine, tu es ma seule amie au cas où tu ne le saurais pas «

« Je le sais, je te connais Bonnie Bennett, je suis peut-être moins intelligente que toi, mais je suis assez maligne pour savoir que quelque chose t'es arrivé et ce quelque chose que tu caches au fond est en train de te bouffer sans que tu le réalise alors un conseil, parle en à quelqu'un même si ce n'est pas moi « Katherine Pierce disait.

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous « Sheila Bennett disait sur son lit d'hôpital à Bonnie.

« J'ai cédé, ce n'est plus qu'une question de temps avant que tu cèdes, tu as déjà cédé après ce que tu m'as fait «

« C'est le moment Bonnie « Sully cria

« C'est le moment pour toi de me choisir, alors choisi moi peu importe ce que tu traverses, peu importe les pensées dépressives et triste que tu as, peu importe ton passé, je m'en fous, j'accepte tout, je te prends en totalité, toi rien que toi tu n'as juste qu'à me choisir, alors choisis moi «

Meredith Brooks : Bitch

Je déteste le monde aujourd'hui
Tu es tellement bien pour moi
Je sais mais je ne peux pas changer
J'ai essayé de te le dire mais tu me regardes comme si
Un ange se cachait en moi innocente et douce
Hier j'ai pleuré
Tu dois être soulagé de voir mon côté fragile
Je peux comprendre comment tu devrais être si confus
Je ne t'envie pas
Je suis un peu de tout ça

Tout s'entrechoquent en moi

« Non Grand-père « Bonnie se réveilla brusquement lorsque Bilbo sauta sur elle. Elle regarda le chat qui la fixait de ses yeux hautains.

« Putain Bilbo, plus jamais ça « Elle disait encore en sueur comme à chaque fois que ce genre de rêve ou plutôt souvenir revenait. Elle poussa Bilbo d'elle attirant un ronronnement de ce dernier.

« Je ne suis pas d'humeur là tu m'as fait peur « Bonnie disait. Elle tourna sa tête pour regarder le chat qui la fixait agacé. Bonnie le fixa un moment avant de prendre Bilbo afin de le poser contre elle et de le caresser.

« Désolée encore un mauvais souvenir « Bonnie disait à son chat. Elle fixait en face d'elle habillé d'un débardeur blanc et d'un jogging. Elle était dans ses pensées lorsqu'elle entendît du bruit en bas.

« Grand-père non arrête « Le petit garçon qu'était Chad disait en courant autour du canapé suivît de sa sœur Chloé.

« Je vais vous manger « Rudy cria à ses deux petits-enfants qui n'étaient pas encore habillés pour l'école.

« Allez arrêter là et venez manger » Abby disait sous le rire de Sacha et Ambre, mais les deux perdirent leur sourire lorsqu'ils virent leur mère en face à table en train de lire une lettre, une lettre qui semblait lui déplaire. Lucy releva la tête de sa lettre.

« C'est une blague là « Lucy disait en regardant son père qui venait d'entrer dans la cuisine avec ses deux plus petits-enfants. Lucy tourna sa tête pour regarder sa mère ensuite. Rudy soupira

« Tu lui as montré ? » Rudy disait à Abby qui bu son café

« Elle a le droit d'être au courant « Abby continua. Ambre regarda Sacha qui ne comprenait pas ce qui se passait. Chad et Chloé s'assirent sur leur siège pour manger leur petit déjeuner.

« Quoi ? Tu n'allais pas m'en parler « Lucy disait. Rudy soupira

« je voulais éviter que tu pars en conflit avec ta sœur encore une fois « Rudy disait. Dès qu'il termina sa phrase, ils entendirent Chad et Chloé criaient.

« Salut tata » Les deux dirent en même temps. Ils regardèrent tous Bonnie qui portait Bilbo dans ses bras. Elle s'était déjà préparée pour le boulot. Elle portait un pull à col roulé noir et un jean noir et des baskets noirs. Elle respectait la tradition à la con du noir pour ne pas offenser son père.

Cette dernière s'avança pour poser un bisou sur la tête de Chad et Chloé

« Salut les morveux « Elle disait.

« Oh je peux le porter « Chloé disait. Bonnie hocha la tête

« Bien sûre « Bonnie disait. Elle donna le chat à Chloé qui le releva pour lui faire des câlins.

« Attention Chloé » Lucy disait ce qui fît sourire Bonnie qui fît la bise à Ambre et Sacha.

« Il est vacciné je te rassure « Bonnie disait ne pouvant que sourire. Bonnie fît la bise à sa mère, une bise cordiale avant de faire la bise à son père. Elle se servît du café.

« ça fait plaisir de te voir tata, on ne te voit pas beaucoup « Sacha disait en se retournant pour regarder sa tante.

« Je travaille beaucoup « Bonnie disait seulement. Elle se retourna pour regarder Sacha qui la fixait. Bonnie esquissa un sourire lorsqu'elle vît que Sacha ne la croyait pas.

« Tu pourrais faire semblant de me croire « Bonnie disait en souriant. Sacha ne dît rien, il se retourna

« Sinon c'est quand que vous retournez chez vous ? « Bonnie disait. Ambre et Sacha rigolèrent car eux savaient très bien qu'il y avait des choses qu'il ne fallait pas prendre au sérieux avec Bonnie et quand bien même si c'était la vérité, eux aussi était pressé de rentrer chez eux. Cette tradition les agaçait autant que Bonnie, mais leur mère les obligeait surtout depuis que leur père n'était pas là pour rompre cette tradition comme il le faisait assez souvent à cette période.

Ils n'étaient pas dupe tout comme Bonnie, Lucy se rapprochait de sa famille parce qu'entre Galen et elle, cela allait mal.

« Bonnie « Abby cria à cette dernière qui haussa les épaules

« Je pose juste la question, les trucs en famille ce n'est pas mon truc «

« Surtout lorsque c'est la période de la mort de Grand-mère « Lucy continua installant un silence que Bonnie adorait briser surtout lorsqu'il s'agissait de briser des hypocrites.

« Dit celle qui est devenu très famille depuis sa séparation « Bonnie disait tout en fixant Lucy. Les deux sœurs se regardèrent ne cachant pas leur différence et leur conflit. Bonnie et Lucy ne s'entendaient pas et il était difficile de concevoir qu'elles s'entendent un jour au plus grand désarroi de Rudy Bennett.

« Rappelle-moi pourquoi tu vis ici déjà ? » Lucy se mît à dire

Je suis une chienne, je suis un amoureux
Je suis une enfant, je suis une mère
Je suis une délinquante, je suis une sainte
Je ne me sens pas honteuse
Je suis ton enfer, je suis ton rêve
Je ne suis rien entre les deux
Tu sais que tu n'en voudrais pas autrement

« Parce que j'ai dû mal avec la théorie que ta coéquipière est décédée donc tu te rapproches de ta famille « Lucy continua installant un silence que Sacha décida de briser

« C'est bon là arrêtez, vous êtes lourdes » Sacha disait. Il se retourna vers Bonnie pour lui faire d'un signe de ne pas rebondir. Il regarda ensuite sa mère et allait parler, mais sa mère parla.

« En parlant de Grand-mère, tu comptes un jour répondre de tes actes ou devons-nous constamment payer les pots cassés « Lucy disait en tendant une lettre à Bonnie. Bonnie soupira tout en regardant Lucy.

« Tu arrives à vivre sans moi parce que dès le matin tu me fatigues « Bonnie disait seulement ce qui fît sourire Sacha. Bonnie prît la lettre.

« La maison d'Edition de Grand-mère nous réclament les livres que tu as hérité et si tu ne les donnes pas, ils demandent un dédommagement et vu le montant tu te doutes qu'on ne les as pas « Lucy disait. Bonnie regardait la lettre.

« Pourquoi se réveille t-il d'un coup ? »

« Ils ont changé de directeur, l'ancien était ami avec grand-mère donc il passait à côté, mais le nouveau veut cet argent « Lucy disait sous les yeux d'Ambre et Sacha.

« Alors c'est vrai Grand-mère était quelqu'un de connu » Sacha demanda. Ambre hocha la tête

« Tu vois, je t'avais dit quoi » Ambre disait toute contente

« Donc en fait on est riche « Sacha disait. Bonnie rigola

« Ce n'est pas aussi simple que ça « Bonnie disait.

« Ta mère et mes parents ont hérité de l'argent des livres qu'elle a vendu, donc disons qu'ils ont une bonne pension chaque mois, moi j'ai hérité de ses futurs parutions, des livres qu'elle a écrit avant sa mort « Bonnie continua.

« Mais Grand-mère n'avait pas le droit de te léguer les droits « Lucy disait

« Grand-mère ne m'a pas légué les droits, elle m'a légué ses manuscrits alors j'ai tous les droits dessus » Bonnie disait en montant le ton surprenant Ambre, Sacha, Chad et Chloé qui n'avaient jamais entendu Bonnie montait le ton. Bonnie se calma lorsqu'elle réalisa qu'elle s'était emportée.

« Je vais régler ça, si je dois prendre un avocat alors j'en prendrai, mais c'est mon histoire, c'est ma vie « Bonnie disait seulement. Elle posa sa tasse rempli à côté de Sacha puis contourna la table pour s'en aller.

« On est tous concerné, c'est de grand-mère dont il s'agit, grand-mère aurait voulu que tu publies ses livres alors je ne vois pas pourquoi tu refuses de le faire, tes neveux et nièces, nous on mérite de connaître ces derniers écrits « Lucy disait à une Bonnie qui se retourna se retenant de dire ce qu'elle avait au fond d'elle parce que c'était trop dure.

« Si tu méritais réellement de connaître ses écrits elle te les aurait légué, toi la littéraire de la famille » Bonnie disait en souriant. Elle touchait un point sensible de Lucy parce que Lucy avait fait des cours de littérature et avait un diplôme en littérature, mais sa grand-mère ne lui avait pas légué la suite de ses livres.

« Bonnie arrête ça « Rudy disait de suite décidé à intervenir. Sacha et Ambre se regardèrent tandis que Chad et Chloé se regardaient mal à l'aise. Bonnie regarda son père qui parla

« On vit une période difficile tous, ok, alors arrêtons de nous disputer à ce sujet et essayons comme la tradition le veut de passer ce moment en famille « Rudy disait.

« Tu n'as pas l'excuse d'être loin Bonnie « Rudy continua.

« Alors ce soir tu viendras au barbecue, Ambre amène son petit-ami « Rudy disait d'un ton ferme et définitif. Bonnie fixa son père avant de sourire ne pouvant que sourire parce qu'à cet instant, elle avait l'impression d'être une gamine de 16 ans et elle se refusait qu'on la rabaisse à cet âge.

« Ne me force pas à te mentir Papa, pour que tu me foutes la paix « Bonnie continua. Elle se retourna ensuite puis mît ses chaussures avant de s'en aller sous les yeux choqués de tout le monde. Chad, Chloé, Sacha, et Ambre tournèrent leur tête en direction de Rudy qui fixait le vide laissé par Bonnie étonné.

« Pourquoi tu en attends toujours d'elle « Lucy disait à son père, mais ce dernier s'en alla sans rien dire laissant sa famille dans la cuisine. Sacha tourna sa tête pour regarder son grand-père.

« Grand-père « Sacha criait. Ils ne dirent tous rien. Lucy regarda sa mère, sa mère qui soupira elle aussi dépassée par l'attitude de Bonnie. En réalité, que Bonnie soit à New York ou ici, cela ne changeait rien, elle ne ferait pas d'effort pour la famille. Elle n'en avait jamais fait et elle n'en ferait jamais. Abby et Lucy avaient laissé tombé l'idée que Bonnie change, mais pour Rudy c'était plus compliqué.

Donc prend moi comme je suis
Ca peut vouloir dire que tu devras être un homme plus fort
Soit certain que quand je commencerai à te rendre nerveux
Et j'irai aux extrêmes
Demain va changer
Et aujourd'hui ne voudra plus rien dire

« Bonnie « Rudy hurla une fois à l'extérieur pour intercepter Bonnie avant qu'elle parte. Bonnie se retourna pour regarder son père.

« Est-ce qu'il y a quelque chose que tu ne me dis pas « Rudy se mît à dire à Bonnie qui le fixait

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien « Sheila Bennett disait à la petite fille qu'était Bonnie.

« J'ai cédé, ce n'est plus qu'une question de temps avant que tu cèdes, tu as déjà cédé après ce que tu m'as fait «

« Parce que j'essaye de te comprendre depuis, depuis « Il chercha ses mots

« Depuis sa mort et j'ai l'impression qu'il y a quelque chose, que tu nous en veux de quelque chose et je ne sais pas ce que c'est « Rudy disait à une Bonnie qui à cet instant avait envie de lui dire ce qui la rongeait depuis des années, ce qui faisait qu'elle ne pouvait pas être auprès d'eux, toute ces merdes qui l'empêchaient de dormir le soir. Elle voulait lui dire, elle aurait voulu lui dire, mais est-ce qu'il survivrait en sachant la vérité.

« Pourquoi tu continues à espérer que tout redevienne comme avant « Bonnie demanda

« Fais comme Maman et Lucy et abandonne, abandonne moi « Bonnie continua

« Parce que tu ne me connais pas, personne ne me connait réellement » Bonnie disait avant de monter dans sa voiture sous les yeux perdu de son père. Ce dernier fixait la voiture de Bonnie confus.


« Alors comment allez-vous depuis la dernière fois ? » Meredith Fell demanda en s'asseyant sur son fauteuil invitant Damon et Elena à s'asseoir sur le canapé en face d'elle. Elena esquissa un sourire

« On va bien « Elena répondit ne disant pas toute la vérité ce que Damon savait parce qu'il savait qu'Elena n'aimait pas admettre qu'ils n'allaient pas si bien, malheureusement lui en avait marre de jouer les hypocrites.

« Toujours séparé « Damon disait surprenant Elena qui tourna sa tête pour regarder Damon qui fixait en face de lui. Ce dernier regarda le docteur Fell

« Si on allait bien on ne serait pas là non « Damon continua surprenant Elena par sa franchise. Le Docteur Fell regarda Elena. Elle pouvait voir que Madame Salvatore n'était pas à l'aise avec cette réalité sortie de la bouche de Damon.

« Madame Salvatore vous n'êtes pas d'accord avec ce que votre mari dit « Le docteur demanda. Elena détourna son regard de Damon pour regarder la femme en face d'elle

« Non, enfin si c'est juste que je n'ai pas l'habitude que mon mari soit aussi franc « Elena avoua en regardant Damon qui regardait le docteur sans rien dire.

« Il n'a pas toujours été aussi franc « Docteur Fell demanda à Elena avant de regarder Damon. Elena esquissa un sourire

« Si au lycée « Elena avoua surprenant Damon qui détourna son regard pour regarder Elena. Cette dernière admirait le Docteur Fell pensant à ses années lycée avec Damon.

« Il était horriblement franc ce qui lui valait beaucoup de problème, il était fonceur et ne se prenait jamais la tête. Il vivait sa vie sans se prendre la tête, il disait même qu'il voulait travailler dans un bar comme ça il aurait de l'alcool gratuit à volonté et aucune responsabilité à part boire et faire boire les autres « Elena avoua avant de regarder Damon qui rigola ne se souvenant même plus de ça.

« J'avais oublié « Damon avoua attirant un sourire de la part d'Elena. Ils se regardèrent un moment repensant à leur passé, à tous leur passé et aux sentiments qui allaient avec.

« C'est ce qui m'a fait tombé amoureuse de lui » Elena continua faisant perdre le sourire de Damon. Ce dernier restait à la fixer étonné lorsqu'il entendît le Docteur Fell parlait.

« Et qu'est ce qui s'est passé ? » Le docteur Fell demanda en regardant Damon qui détourna son regard en direction du Docteur Fell. Damon restait à le fixer avant d'hausser les épaules.

« La vie « Damon disait au docteur qui secoua la tête de gauche à droite

« Ce n'est jamais aussi simple et beaucoup trop simple de réduire ça à la vie « Le Docteur disait. Damon restait à fixer le médecin un moment avant d'oser parler.

« Mon meilleur ami est mort « Damon disait ignorant le regard d'Elena qui fixait le vide repensant à ce passé.

« Un adolescent formidable qui n'a jamais mérité de mourir et j'ai arrêté mes conneries comme mon père me l'a conseillé « Damon continua

« Et je me suis ressaisi, j'ai étudié les études de droit comme mon père et Elena voulaient « Damon n'eut pas le temps de continuer car Elena parla

Juste au moment où tu croyais m'avoir calculer
Les temps changent déjà
Je pense que c'est bien ce que tu fais
Et n'essaye pas de me sauver

Je suis une chienne, je suis une allumeuse
Je suis une déesse agenouillée
Quand tu es blessé, quand tu souffres
Je suis ton ange caché
J'ai été engourdie, je revis
Je ne peux pas dire que je ne suis pas vivante
Tu sais que je n'en voudrais pas autrement

« Je n'ai jamais voulu que tu suives cette voix « Damon rigola avant de regarder Elena

« Mais tu voulais que je sois quelqu'un pour justifier le fait que tu m'avais choisi moi et non Stefan « Elena secoua la tête

« Peu importe ce que tu aurais fait, je t'aurais choisi « Elena disait attirant un sourire de Damon qui ne croyait pas du tout à ça. Elena fronça les sourcils en voyant le sourire de Damon.

« Tu crois que je suis avec toi pour ton statut « Elena disait choqué par les propos de Damon qui était tout faux. Damon secoua la tête de gauche à droite

« Non bien sûr que non, c'est juste que je voulais être quelqu'un que tu méritais d'avoir parce que de toi à moi j'étais paumé lorsque je t'ai rencontré et tu ne méritais pas ce Damon Salvatore là« Damon disait surprenant Elena.

« Et tu as été formidable tu l'es toujours « Elena disait réveillant Damon de ses pensées. Si seulement elle savait, elle savait la vérité, la vérité qu'il n'était en rien de formidable, qu'il avait merdé et le pire était qu'il ne sentait pas coupable de l'avoir fait, mais de vouloir le refaire.

Ce dernier regarda Elena un long moment sans rien dire lorsqu'il entendît le téléphone d'Elena sonnait. Elena regarda son téléphone pour voir un message.

« Je dois y allé, on en reparle « Elena disait avant de poser un bisou sur la joue de Damon.

« Je suis désolée « Elena continua en regardant à la fois Damon et le Docteur Fell. Damon restait à fixer en face de lui sous les yeux du Docteur Fell qui l'admirait. Les deux entendirent Elena partir les laissant seul. Damon esquissa un sourire avant de regarder le docteur Fell

« Je vais y allé » Damon disait et allait se lever ne voyant pas l'intérêt de rester alors qu'Elena était partie.

« Vous pouvez rester on n'a pas fini la séance puis à l'heure à laquelle vous me payer je vous conseille de ne pas gaspiller votre temps avec moi » Elle déclara empêchant Damon de se relever. Ce dernier restait à l'admirer sans rien dire avant de parler

« Je ne vois pas l'intérêt de rester alors que ma femme est partie «

« Aimez-vous votre femme Monsieur Salvatore « Meredith demanda troublant Damon qui répondit de suite parce qu'il n'avait aucun doute là-dessus.

« Bien sûre » Damon disait de suite légèrement troublé par la question de la femme. Cette dernière hocha la tête

« Et êtes-vous heureux ? » Elle demanda à un Damon qui restait paralysé avant de se décider à répondre

« Oui bien sûre « Il disait en face de la psy qui restait à le fixer pas convaincu

« Vous avez hésité » Elle déclara attirant un sourire de la part de Damon

« Qu'est-ce qui vous fait penser que je ne suis pas heureux, j'ai tous ce qu'un homme rêve, une famille, une carrière, des amis « Damon disait à Meredith qui haussa les épaules

« Je suppose que je me suis trompée « Meredith disait attirant les grands yeux de Damon qui avait eu l'impression de voir Bonnie à travers Meredith. Elle avait eu cette expression linguistique et du visage qui disait que lui Damon Salvatore était dans le déni.

« Ne supposez pas et dite ce que vous avez à dire « Damon se mît à dire surprenant Meredith qu'il semble agacé.

« Vous semblez ne pas vouloir faire d'effort « Meredith avoua. Damon s'étonna

« Vous avez quitté votre foyer pour rejoindre votre ancien appartement, vous avez arrêté le pénal pour faire du civil, vous semblez être plus franc qu'auparavant selon votre femme » Meredith continua

« Comme si, vous cherchiez à retrouver le Damon Salvatore que vous étiez, comme si celui que vous êtes ne vous correspondait plus « Elle continua.

« Votre femme a changé dans un sens et vous essayez de changer dans l'autre sens alors c'est compliqué de se retrouver et ça arrive souvent à des couples qui se connaissent depuis aussi longtemps que vous c'est normal »

« On peut travailler ensemble pour essayer de sauver votre couple, mais j'ai l'impression que vous n'avez pas envie de sauver votre couple »

Damon la fixa un moment ne montrant rien, mais au fond de lui, il savait qu'elle avait raison. Il ne faisait aucun effort parce qu'il pensait qu'il ne méritait pas Elena. Il regardait Meredith un moment sans rien dire et à cet instant, elle comprît qu'elle avait touché un point sensible et que Damon semblait lui caché quelque chose.

« Que voulez-vous Monsieur Salvatore « Elle demanda.

« Quelque chose que je ne devrais pas vouloir « Damon avoua refusant d'en dire plus, parce que le problème était Bonnie Bennett et au fond de lui il le savait.

« Et seul moi peut régler ce problème « Damon termina


« Elle ne se souvient de rien, de rien du tout « James disait tout en prenant les cafés à l'intérieur du café. Il avança en compagnie de Bonnie à une table. Les deux s'assirent face à face.

« Non, après c'était hier, elle était en état de choc alors peut-être qu'elle aura plus de souvenir » Bonnie disait. Elle bu son café sous les yeux du professeur.

« Qu'elle se souvienne ou pas, si les preuves l'accablent, elle sera jugée « Le professeur disait. Bonnie hocha la tête

« Mais ce qui m'intéresse est le pourquoi ?, un peu comme Colombo, sauf que lui ne savait pas comment, nous on sait comment, mais pas pourquoi « Bonnie disait sous les yeux du professeur qui hocha la tête

« C'est intéressant « Il disait. Il bu son café sous les yeux de Bonnie qui parla

« Sinon assez parler de moi alors vous » Bonnie n'eut pas le temps de parler car le professeur la coupa

« Vous n'avez pas parlé de vous « Il disait en souriant.

« Vous parlez de tout, mais jamais de vous « Il continua. Bonnie fît mine de réfléchir

« Merde, vous l'avez remarqué « Bonnie disait décidé de prendre à la rigolade. Elle haussa les épaules

« Je ne compte pas parler de moi, mais si vous ne comptez pas parler de vous alors qu'est-ce qu'on fait ? » Bonnie disait surprenant Monsieur Harrington qui se retrouva mal à l'aise à cet instant par l'aisance de Bonnie. Il se retrouva déstabilisé et allait reprendre le dessus sur cette conversation, mais il fût interrompu à cet instant.

« James « Bonnie et James entendirent à cet instant. Ils tournèrent tous les deux leur tête pour voir Elena Salvatore debout habillée d'un pantalon large ample et d'un chemisier blanc avec un collier à perle. Elena regarda les deux étonné du haut de ses talons.

« Agent Bennett « Elena continua troublé. James se releva

« Hey Elena ca va ? » James disait. Il fît la bise à Elena qui avait un café à la main. Elena lui fît la bise avant de regarder les deux

« Vous vous connaissez ? « Elena disait étonné à une Bonnie qui là se dit qu'elle allait forcément récolter ce qu'elle semait, mais bon Jeremy savait qu'il n'était pas le seul et elle se doutait que le sens de la psychologie de James se doutait qu'elle n'était pas fiable alors elle ne risquait pas grand-chose, au pire quoi, d'être rejetée, elle pourrait vivre avec.

« Oui, depuis hier, Bonnie a fait du bénévolat pour moi à un de mes cours de psychologie « James disait. Elena hocha la tête

« Ok, c'est étonnant « Elena disait faisant mine de réfléchir. Elle fronça les sourcils avant de parler.

« Je pensais que vous voyez mon frère » Elena continua

« Jeremy m'a parlé de vous « Elena disait installant un silence.

Bonnie ne pouvait qu'applaudir intérieurement face à Elena. Elle savait quand Jeremy l'avait dit à Elena, mais Damon Salvatore n'avait pas l'air d'être au courant parce qu'elle n'avait eu affaire à aucune réaction de sa part ce qui signifiait que Damon et Elena ne communiquaient pas vraiment. Katherine avait raison, cela battait de l'aile entre les deux. Bonnie pensait à tout ça tout en regardant Elena.

« Mais j'ai dû me tromper, bon je vous laisse « Elena continua

« ça m'a fait plaisir de te voir James » Elena termina avant de s'en aller sous les yeux de Bonnie et James. James rigola

« Ouaw c'est le grand amour entre vous « James disait à une Bonnie qui hocha la tête

« Un parmi tant d'autre « Bonnie disait.

« D'ailleurs je suis toujours étonnée de voir que je ne suis pas appréciée alors que je n'ai dû lui adresser la parole que deux fois, ha peut-être parce que j'ai coffré une ancienne amie à elle « Bonnie disait

« Ou que vous sortiez avec son frère « James continua. Bonnie baissa son regard pour regarder James.

« Et je ne crois pas que cela vous dérange parce que vous m'avez invité juste après m'avoir entendu parler avec lui, bon peut-être que vous ne saviez pas que c'était Jeremy, mais vous vous doutiez qu'il y avait un homme derrière » Bonnie continua surprenant James car effectivement il se doutait qu'elle voyait quelqu'un.

« Encore un point pour vous « James disait. Bonnie bu son café tout en souriant

« Mais Elena est très protectrice avec Jeremy et Jeremy est très protecteur avec Elena alors elle ne risque pas de vous apprécier en sachant que vous voyez son frère et un autre homme « James disait ce qui fît sourire Bonnie

« Je ne savais pas qu'on se voyait « Bonnie disait. James rigola sous les yeux de Bonnie qui hocha la tête

« Oui Jeremy m'a fait comprendre qu'Elena et lui étaient très proche à tel point qu'il m'a fait comprendre qu'il n'appréciait pas Damon Salvatore même après toute ces années « Bonnie prît son portable pour faire semblant de regarder un message.

« Il m'a sorti des choses dure à croire sur son beau-frère « Bonnie disait. Elle rangea ensuite son téléphone dans sa poche attirant la curiosité de James.

« Quel genre ? » James demanda de suite se doutant que Jeremy avait encore sorti des conneries sur Damon.

« Ouaw, vous avez sorti les crocs « Bonnie disait à un James qui hocha la tête

« Damon est mon ami alors oui je sors les crocs quand j'apprends qu'on parle sur lui » James continua. Bonnie hocha la tête

« Et là je réalise que je vous en ai trop dit « Bonnie continua. James rigola

« Et vous allez devoir m'en dire plus ? » Il disait

« Bien sûre, pour que vous le dite à votre pote et qu'après ça retombe sur moi, je suis peut-être une femme volage, mais Jeremy me plaît alors on va éviter les ennuis « Bonnie disait. James regardait Bonnie un moment mettant mal à l'aise cette dernière. Elle soupira

« Ok »

« Faite ce que vous voulez c'est entre eux, il m'a fait comprendre que Damon était volage, mais qui ne l'est pas de nos jours « Bonnie disait. James regardait Bonnie confus

« Damon Salvatore « James disait.

« Damon n'est pas volage, s'il y a bien un homme fidèle c'est lui, il aime Elena de tout son cœur donc je ne comprends pas pourquoi Jeremy dit ce genre de chose « James disait. Bonnie avait envie de sourire à cet instant parce qu'il semblerait que James ne connaissait pas si bien que ça Damon.

Elle entendît son biper sonnait à cet instant.

« Ecouter je dois y aller, monsieur Brook s'est réveillé « Bonnie disait. Elle se leva ensuite avec son café puis s'en alla laissant le professeur Harrington seul. Ce dernier regardait le vide laissé par Bonnie confus par ce qu'elle venait de dire. Bonnie traversa le trottoir puis monta dans sa voiture.

« Faite que ton instinct soit bon » Bonnie disait. Elle prît la route pour rejoindre l'hôpital. Elle entendît subitement son portable sonnait. Elle répondit en haut-parleur.

« Allo » Bonnie disait.

« Alors comment va ma seule amie aujourd'hui » Katherine disait une fois qu'elle entra dans l'appartement de Damon et Elena. Elle regardait la chambre de ces derniers et les vêtements d'Elena.

« Ça avance avec Jeremy ? » Katherine disait à une Bonnie qui grimaça installant un silence qui troubla Katherine. Katherine prît une robe dans l'armoire d'Elena. Elle la posa sur son corps et s'admira dans le miroir légèrement écoueurée parce que ce n'était pas du tout son style à elle.

« Quoi ? Qu'est-ce que tu as fait ? » Katherine disait n'aimant pas le silence de Bonnie.

« J'ai fait avec les pièces qu'on m'a donné et je mise sur mon bon sens « Bonnie disait.

« C'est-à-dire ? » Katherine demanda. Bonnie fixait en face d'elle sans rien dire ne rassurant pas Katherine.

« Qu'est-ce que tu as fait Bonnie « Katherine demanda. Bonnie soupira

« Ce que je sais faire de mieux, manipuler « Bonnie se contenta de dire avant de raccrocher troublant à cet instant Katherine qui n'aimait pas trop ce qu'elle venait d'entendre.


Le principal avantage de la colocation que Marcel avait retenu en emménageant avec Klaus, c'était le prix. A deux, il pouvait se permettre de pouvoir payer le loyer et de vivre dans un appartement convenable.

Le leur, était plus que convenable, ils avaient opté pour un appartement situé dans une ancienne usine, tout le bâtiment comportait différent appartement aménagé avec des murs de briques et de grandes fenêtres avec des embrassures en bois donnant vu sur d'autres immeubles en brique.

Ils avaient un grand salon dans lequel ils avaient des canapés blancs et surtout un billard. Oui, ils avaient installé un billard pour leur soirée billard.

A côté du salon, il y avait le côté salle à manger qui était constitué simplement d'une grande table en verre sur laquelle ils mangeaient accompagné de la cuisine séparé par un bar en bois avec des armoires en bois pour s'assembler avec le parquet au sol en bois.

Marcel avait pensé à tout ça lorsqu'il avait emménagé avec Klaus, mais il n'avait pas pensé à la personne qui venait de le réveiller en sursaut à 8 heures du matin. Il ouvra les yeux grands avant de se lever de sa chambre pour avoir accès au couloir de l'étage. Il vît Klaus qui visiblement aussi était profondément en train de dormir. Les deux avancèrent au milieu pour toquer à la chambre de la troisième personne.

« Hope ca va ? » Klaus demanda en toquant à la chambre de sa fille. Cette dernière restait assise sur la cuvette des toilettes ses yeux bleus grands ouverts. Elle secoua la tête de gauche à droite avant de se mettre à crier encore une fois invitant Klaus à entrer. Ce dernier entra dans sa chambre pour voir son lit et ses affaires avant de se diriger vers la salle de bain de sa fille.

« Qu'est ce qui ne vas pas « Klaus allait rentrer sous le regard curieux de Marcel, mais Hope courra subitement pour fermer la porte à clé

« Ne rentre pas « Hope cria troublant son père.

« Tu vas me dire ce qui ne va pas « Il cria pas vraiment patient ce qu'Hope savait. Elle resta à ne rien dire un moment attirant l'énervement de son père

« Hope « Ce dernier cria lui faisant comprendre par son ton qu'elle avait intérêt à ouvrir sa bouche. Marcel et Klaus restèrent derrière la porte un long moment avant qu'Hope parle sous le choque

« J'ai du sang » Elle déclara attirant la curiosité de Klaus

« Tu t'es fait mal quelque part « Il demanda, mais Hope secoua la tête de gauche à droite. Elle ouvra timidement la porte laissant découvrir ses cheveux châtains et son visage rond. Elle regarda son père dans les yeux avant de parler.

« Je crois que j'ai mes règles » Dès qu'Hope termina sa phrase, Klaus et Marcel reculèrent de la porte instinctivement

« Ho « Ils dirent en même temps gardant une légère distance d' Hope qui roula des yeux avant de claquer la porte connaissant son père.

« Je veux Maman « Elle hurla à un Klaus qui restait les yeux grands ouverts. Il regarda Marcel qui s'éloigna de lui avant de lever les mains

« Ce n'est pas ma fille moi je ne gère pas ce genre de scène de crime « Il disait en rigolant avant de s'éloigner face un Klaus qui restait paralysé. Il resta à sa place

« Tu as besoin de quelque chose ? » Klaus disait tout bas subitement ne voyant pas sa fille qui s'était rassise.

« Oh la honte « Elle disait en mettant ses deux mains sur son visage pour cacher la honte, une honte qui s'accentuait à cause de son père qui n'avait rien pour elle.

« Je veux Maman « Elle hurla à son père qui roula des yeux

« Ta mère est en train de roucouler avec mon frère je te rappelle « Klaus disait montrant de l'énervement à cette réalisation. Sa fille restait à secouer la tête dans tous les sens.

« Je veux que tu t'en ailles « Elle cria. Klaus resta à regarder la porte

« Tu veux voir un médecin ? » Il demanda ne sachant pas trop quoi faire. Hope gémit d'agacement les mains crispées face à l'attitude de son père qui aurait pu au moins savoir quoi faire.

« Papa, je n'ai pas la galle, j'ai mes règles, je ne sais pas, les filles aux collèges ont des serviettes hygiénique « Hope disait faisant comprendre à son père que c'était ce dont elle avait besoin. Klaus se mît à rire

« Tu rigoles, je vais pas aller te chercher des serviettes devant tout le monde « Il disait en rigolant attirant le soupir de sa fille.

« J'ai une meilleure solution, je vais appeler Sophie ok, et vous pourrez gérer ce genre de trucs de filles hein, surtout reste là, prend une douche, je ne sais pas, ne bouge pas « Il disait avant de s'en aller. Il se dirigea vers sa chambre pour prendre son téléphone ne pouvant voir le rire moqueur de Marcel en bas dans la cuisine qui savait que Klaus devait être dépassé. Klaus descendît des escaliers au bout d'un moment.

« Sophie arrive « Klaus disait rassuré qu'elle se soit décidé à venir. Marcel se mît à rire

« Ta fille devient une femme « Dès qu'il termina sa phrase, Klaus le pointa du doigt

« Je t'interdis » Il disait faisant sourire Marcel. Ce dernier bu son café tout en chantonnant que la fille de Klaus devenait une femme.

« Marcel ferme ta gueule si tu ne veux pas que je t'en mette une « Klaus disait. Marcel allait répliquer, mais ils entendirent l'interphone sonnait.

« Elle était près d'ici « Klaus continua avant de se diriger vers la porte pour voir Sophie avec un sac en plastique.

« Tiens « Sophie disait de suite en jetant le sac. Elle allait sq'en aller, mais Klaus parla

« Hey elle a besoin que tu l'aide, moi je m'y connais pas « Klaus disait à une Sophie qui roula des yeux avant d'avancer.

« Si jamais ta fille m'emmerde je la tue je te préviens « Sophie disait ne supportant pas Hope ce que Marcel et Klaus savaient.

« Où est la scène de crime ? » Sophie demanda tout en saluant Marcel de la tête.

« En haut« Klaus disait prenant soin de ne pas revenir en haut. Sophie monta les escaliers à toute vitesse sous les yeux de Klaus et Marcel.

« Hope « Sophie cria en entrant dans la chambre d'Hope.

« Oh non il a dû t'appeler toi « Hope hurla à travers la porte de la salle de bain ne surprenant pas Sophie, Marcel et Klaus qui pouvaient l'entendre d'en bas.

« Parmi toutes les femmes qu'il fréquente, il t'a choisi toi « Elle continua

« Hope la ferme « Klaus hurla constamment agacé par le caractère de sa fille, malheureusement ils avaient le même.

« C'est toi la ferme « Elle hurla attirant le rire de Marcel. Elle ouvra brusquement la porte pour regarder Sophie. Cette dernière lui tendît le sac. hope le prît avant de claquer la porte devant Sophie.

« Et merci c'est pour les chiens « Sophie disait

« Tout à fait « Hope disait. Sophie esquissa un sourire

« Salope « Elle murmura en faisant un doigt d'honneur à la porte. Elle allait s'en aller, mais Hope parla

« Comment on met ça « Elle demanda. Sophie esquissa un sourire

« Les languettes sur le côté, tu enlèves la légère feuille et tu les rabats sur les deux côtés de ta culotte » Elle disait à une Hope qui hocha la tête

« Merci « Elle murmura, mais Sophie entendît. Elle esquissa un sourire

« Est-ce que tu peux laver mon drap et mon pyjama, le connaissant Papa ne va pas le faire « Elle demanda gênée.

« Pas de souci » Sophie disait. Dès qu'elle répondit, Hope ouvra la porte pour lui passer son pyjama. Sophie le prît avant de récupérer le drap sur lequel il y avait du sang. Sophie descendît ensuite les escaliers sous les yeux de ses collègues.

« Les gars, il faut laver les vêtements sales d'Hope « Sophie disait en s'approchant de Klaus qui recula de suite

« Là-bas « Klaus disait attirant un sourire de Sophie. Elle se dirigea vers la machine avant de se laver les mains dans la cuisine.

« Ca a été ? » Marcel demanda.

« Oué, mais il faudra qu'elle aille chez le gynécologue « Sophie disait avant d'entendre son biper.

« Je dois y allé « Elle disait avant de s'en aller sous les yeux de Marcel et Klaus.

« On se voit au poste « Sophie disait ensuite. Elle claqua la porte sous les yeux confus de Marcel et Klaus.

« Vous vous êtes disputé ? » Marcel demanda en admirant Klaus qui secoua la tête de gauche à droite

« Non « Klaus disait en regardant le vide laissé par Sophie.

« Mais elle est clairement en colère contre toi « Marcel continua

« Oui merci Marcel, je ne l'avais pas remarqué « Klaus disait en se retournant vers Marcel qui leva les mains faisant comprendre qu'il ne dirait plus rien, mais Klaus n'avait pas besoin qu'il en dise plus parce qu'il savait.

« Elle se calmera « Klaus continua avant de se refroidir subitement en entendant sa fille descendre les escaliers. Il se retournera pour regarder Hope qui s'était habillé lorsqu'il entendît son téléphone sonnait. Klaus répondit de suite sous les yeux de Marcel. Il raccrocha ensuite pour regarder Marcel

« On a une affaire « Klaus disait


Ils arrivèrent 20 minutes plus tard à la plage. Marcel et Klaus marchaient tous les deux sur le sable pour rejoindre Caroline accompagnée de son nouveau et ancien acolyte Vincent.

« Ecoute Hayley c'est ta fille alors trouve lui un gynéco, et fait le truc qu'une mère est sensée faire « Klaus disait au téléphone à Hayley qui hallucina. Elle lui hurla dessus avant de raccrocher sous les yeux de Marcel.

« Ha j'ai envie de la tuer « Klaus disait.

Klaus enleva ses lunettes de soleil pour regarder ses collègues. Marcel et lui se regardèrent avant de rejoindre leur collègue.

« Toujours aussi sensible Nick » Un homme de couleur disait.

« Vincent « Klaus disait étonné en admirant l'homme afro-américain qui était à côté de Caroline. Ce dernier portait des lunettes rectangulaires. Il avait toujours travaillé avec Caroline en étant stagiaire, mais il avait décidé de passer un concours pour être embauché officiellement.

« C'est bon tu es officiellement l'un des nôtres, félicitation pour tes examens « Klaus disait. Vincent rigola

« Merci c'est officiel vous m'aurez dans les parages 24H sur 24H, ma pauvre patronne ne pouvait pas vivre sans moi » Vincent disait en regardant Caroline qui examinait le corps sans le calculer. Marcel et Klaus rigolèrent

« Effectivement on voit ça « Marcel disait. Caroline releva la tête pour le regarder et les deux sourirent.

« Alors qu'est-ce qu'on a ? » Marcel continua. Caroline retrouva vue sur le corps de la victime, le corps d'une femme qui était toute nue. Elle ne portait aucun vêtement, rien.

« Son corps a échoué ici « Caroline disait

« Je dirais qu'elle a 30 ans, elle est morte entre 22H et 00h00, mais je pense pouvoir vous en dire plus après examen « Caroline continua.

« Il n'y a aucun moyen de l'identifier « Klaus demanda en s'accroupissant pour regarder la victime.

« Non, aucun papier, rien » Caroline disait. Vincent soupira

« Pour l'instant, ça sera notre Jane Doe » Vincent disait.


A l'hopital

« Désolée du retard « Sophie disait en arrivant à l'hôpital. Bonnie était dans le couloir en train de l'attendre.

« J'ai eu un imprévu avec la fille de Klaus « Sophie disait. Bonnie hocha la tête ne cherchant pas à en savoir plus.

« Il vient de se réveiller donc tu n'as rien raté je te rassure « Bonnie disait à Sophie qui hocha la tête tout en regardant à travers la vitre l'époux qui était en compagnie d'une femme qui ressemblait étrangement à Régina Brook.

« C'est Robine, la sœur jumelle de Régina "

« Elle lui ressemble vachement « Sophie disait. Elle tourna sa tête pour regarder Bonnie

« Régina Brook refuse d'avoir un avocat, elle plaide coupable donc on lui en a commis un d'office tout de même, mais elle refuse «

« Pourquoi pense tu qu'elle l'a poignardé « Sophie continua en regardant l'époux.

« A nous de le découvrir « Bonnie disait.

Elle entra ensuite la première dans la chambre.

« Bonjour, désolée de vous déranger « Bonnie disait suivît de Sophie. Les deux se mirent côte à côte

« Bonnie Bennett et Sophie Devereaux, nous enquêtons sur votre agression « Bonnie disait à Thomas qui regardait les deux silencieusement.

« Je n'ai rien à dire « Il disait à côté de la sœur jumelle de Régina qui semblait désemparée par la situation.

« Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé « Il continua, mais Sophie et Bonnie pouvaient voir à cet instant qu'il mentait, sûrement pour protéger son épouse.

« Votre épouse a tout avoué Monsieur Brook » Bonnie disait attirant les grands yeux de Robine et Thomas.

« Pardon ? » Robine disait. Sophie hocha la tête

« Elle a tout avoué, dans 24h elle sera déférée alors soit vous coopérez pour qu'on essaye de comprendre ce qui s'est passé, soit vous ne coopérez pas et alors là, votre situation ne changera pas « Sophie disait. Robine admirait Sophie et Bonnie choquée.

« Il doit y avoir une erreur, ma sœur est incapable de faire ce genre de chose, je la connais, c'est ma moitié, elle est incapable de faire ça, dit leur Thomas « Robine disait en regardant le mari de sa sœur, mais ce dernier regardait le vide mal à l'aise.

« Je ne sais pas ce qui s'est passé « Il disait sous les yeux de Robine qui le fixait confus.

« Et elle a pris ce couteau et elle m'a poignardé « Il disait sous le choc se souvenant de la scène. Il se repassait la scène depuis qu'il était réveillé en espérant trouver des réponses à ses questions, mais à chaque fois que la scène repassait, il était encore plus perdu et désemparé parce que la réponse lui paraissait surnaturelle à cet instant.

« Vous allez me prendre pour un fou, mais on aurait dit qu'elle était possédée « Il avoua. Il retrouva vu sur Bonnie et Sophie

« Ce n'était pas ma femme « Il disait comme une évidence, c'était la seule réponse possible à cet instant. Les deux ne dirent rien tout comme Robine qui se rassit à sa place sous le choc. Bonnie s'avança.

« Avez-elle des problèmes en ce moment ? Avez-vous observé un changement de comportement « Bonnie demanda. Thomas ne dît rien à cause de la douleur. Il gémît de douleur avant de retrouver sa voix.

« Elle était distante ces derniers temps «

« ça a été une période compliqué parce que j'étais souvent en déplacement et elle aussi, elle a un boulot prenant dans lequel elle voulait à tout prix une promotion, surtout dans une société qui est composé avant tout d'homme «

« Mais ces derniers temps, elle était distante avec moi et aussi son boulot, elle s'est renfermée sur elle « Il avoua sous les yeux de Bonnie qui admirait la sœur jumelle de Régina qui semblait du même avis à cet instant.

« Depuis combien de temps ? »

« Quand avez-vous remarqué ces changements de comportement « Bonnie demanda. Thomas gémît encore une fois de douleur avant de retrouver ses esprits

« 6 mois un peu après, de retour de notre voyage à Bali « Il avoua. Sophie hocha la tête

« Entre vous deux, il n'y a rien de particulier à préciser ? » Sophie demanda. Thomas la regarda confus par la question.

« Comment ça ? »

« La vie de couple c'est compliqué à certain moment ? Vous aviez peut-être des diff » Sophie n'eut pas le temps de finir car Thomas la coupa refusant d'entendre ce genre de chose. Entre sa femme et lui, tout allait bien. Il y avait des hauts et des bas comme tout le monde, mais ils allaient bien.

« On allait bien, bon on est comme tous les couples, il y a des engueulades de temps en temps, mais on allait bien, on revenait de vacance c'était parfait« Il disait. Il gémît de douleur

« Ok peut-être qu'on devrait te laisser Thomas, faut que tu te reposes « Robine disait en se levant.

« Vous avez terminé ? » Robine demanda aux deux policières.

« Oui on va vous laisser vous reposer « Sophie disait. Bonnie et elle, avaient bien remarqué que Robine souhaitait mettre fin à l'interrogatoire au plus vite.

Robine s'éloigna de Monsieur Brook pour guider Sophie et Bonnie à l'extérieur dans le couloir. Robine se retourna pour regarder les deux policières.

« C'est complétement dingue » Robine disait une fois face à Bonnie et Sophie qui pouvaient voir que Robine était dépassée par le comportement de sa sœur.

« Ma sœur est incapable de faire ça «

« Comment c'est possible ? » Elle demanda aux deux.

« Avez- vous vu une attitude étrange ou savez-vous si elle était stressée » Sophie demanda. Robine croisa les bras avant de souffler.

« Elle était stressée à cause de sa concurrente à une promotion Emeline Grant » Robine avoua.

« J'étais assez occupée donc je n'ai pas pu prendre du temps pour elle, pour être honnête je n'étais pas proche de ma soeur c'est dernier temps, j'ai eu beaucoup de boulot et des choses à gérer« Robine disait mal à l'aise d'avouer qu'elle avait un peu laissé sa soeur.

«Quels genres de chose ?« Bonnie demanda déstabilisant Robine.

«Pardon ?«

«Vous avez dit que vous aviez des choses à gérer « Bonnie disait. Robine trouva la question de Bonnie indiscrète, mais elle parla

« J'ai vécu une rupture difficile et quand ça m'arrive je suis dû genre à me morfondre et c'est ce que j'ai fait « Elle avoua.

« Depuis combien de temps ? Était-elle comme ça « Bonnie demanda. Robine soupira cherchant dans ses souvenirs.

« Je ne sais pas, je dirais … « Robine s'arrêta subitement troublant Bonnie et Sophie

« Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? » Sophie demanda réveillant Robine de ses pensées, une Robine qui hocha la tête

« Non rien « Robine disait sous les yeux perplexes de Bonnie qui avait pu voir qu'à cet instant, Robine avait fait le lien entre deux choses.

« J'étais en train de me dire qu'il fallait que j'appelle mes parents, je ne les ai pas appelé « Robine disait aux deux policières qui savaient à cet instant que Robine mentait. Bonnie admira un moment Robine pour voir qu'elle avait changé de position pour se mettre sur la défensive.

« Vous faite quoi dans la vie ? » Bonnie demanda. Robine regarda Bonnie

« Je suis professeur en faculté « Robine disait. Bonnie hocha la tête

« Alors vous avez pris des voies totalement opposé, Régina est dans une entreprise et vous dans le domaine public « Bonnie disait.

« Oui ça a toujours été comme ça » Robine disait tout en souriant. Bonnie hocha la tête

« Alors laquelle a le caractère dominant ? Tout le monde dit que chez les jumeaux, il y a un dominant et un dominé « Bonnie disait. Robine secoua la tête de gauche à droite

« C'est des mensonges ça, ça dépend des jours, parfois c'est moi, parfois c'est elle « Robine disait. Robine allait parler, mais Thomas l'appela. Elle tourna sa tête pour regarder Thomas.

« Désolée, est-ce que je peux disposer ? » Robine disait.

« Attendez, que diriez-vous de la relation de votre sœur avec son époux « Sophie demanda. Robine admirait les deux avant de parler sans hésitation

« Ma sœur est heureuse avec son mari, les deux sont très heureux, quelque chose a dû se passer, c'est impossible qu'elle ait fait ça « Robine disait avant de s'en aller pour rejoindre Thomas. Elle traversa la porte puis s'approcha de l'époux pour l'aider

« Ils semblent proche « Sophie disait. Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Elle semble se sentir coupable « Bonnie disait à une Sophie qui rigola

« Tu m'étonnes, sa sœur jumelle l'a poignardé, il y a de quoi se sentir coupable « Sophie disait.

« Peut-être « Bonnie disait seulement.

« Et pas que d'un seul coup de couteau « Bonnie continua.

« 8, Pour moi c'est très personnel et violent « Sophie disait.

« Elle lui en voulait de quelque chose, je suis persuadée qu'au vu du nombre de coup de couteau, son mari a fait quelque chose et il ne veut pas l'admettre « Sophie continua.

Les deux regardaient Robine et Thomas lorsqu'ils entendirent Jeremy derrière.

« Son état est stable, encore un coup de couteau et je pense qu'elle l'aurait tué « Jeremy disait. Bonnie Et Sophie se retournèrent de suite. Sophie esquissa un sourire

« Hey Jeremy Gilbert, ça fait un bail, toujours le grand amour avec Vicky » Sophie disait surprenant Jeremy qui dévia son regard en direction de Bonnie, une Bonnie qui pouvait voir le malaise de Jeremy et à cet instant Bonnie comprît qu'Elena n'avait pas discuté avec Jeremy.

En même temps que pouvait-elle lui dire, à part qu'elle avait vu boire un café avec un autre homme. Il n'y avait rien de mal à ça non.

« Non c'est fini « Jeremy disait. Sophie écarquilla les yeux en grand

« Ho désolée, Elena ne m'avait pas dit « Sophie avoua, mais elle fronça les sourcils lorsqu'elle vît le malaise de Jeremy.

« Quoi ? » Sophie disait. Bonnie tourna sa tête pour regarder Sophie

« Tu te souviens du médecin dont je t'ai parlé « Bonnie disait à Sophie. Sophie esquissa un sourire

« Yeah, celui avec qu »

« Tu l'as en face de toi » Bonnie disait surprenant Sophie. Sophie écarquilla les yeux en grand avant de tourner sa tête pour regarder Jeremy. Elle rigola

« Quoi ? vous deux ? « Sophie disait. Sophie pointa Bonnie du doigt

« Toi « Sophie disait, mais Bonnie la poussa

« Bon on va y aller avant qu'elle ne fasse des gaffes que tu ne sois pas prêt à entendre « Bonnie disait sous le rire de Jeremy qui vît les deux coéquipières s'en allaient. Bonnie et Sophie avancèrent afin de rejoindre la sortie.

« Toi si tu pouvais éviter de me griller « Bonnie disait à une Sophie qui rigolait.

« Mais qu'est-ce que tu fous avec lui ? Sans déconner « Sophie demanda. Les deux sortirent de l'hôpital.

« Que dois-je comprendre ? » Bonnie demanda. Sophie se dirigea vers sa voiture. Elle ouvra la portière côté conducteur puis regarda Bonnie qui avait ouvert sa portière.

« Tu vas le manger tout cru, il n'est pas prêt avec toi « Sophie disait. Bonnie rigola avant de monter dans la voiture sous le rire de Sophie.

« Je sens que ça ne va pas plaire à Elena et Damon « Sophie disait.

« En même temps tu me diras Elena n'a jamais aimé les petites amies de Jeremy, plus protecteur qu'elle tu meurs « Sophie continua sous les yeux de Bonnie qui ne préféra pas dire qu'Elena était au courant, mais Bonnie constatait qu'à travers les yeux de tout le monde, Jeremy et Elena étaient très proche.

« Ça se saurait si je vivais pour que les gens m'aiment «

« Sérieux, pourquoi lui ? Moi aussi je suis capable de faire du profilage et je pense que tu devrais te taper des hommes comme « Sophie conduisait sous les yeux de Bonnie.

« viril, avec un caractère comme Tyler par exemple « Sophie disait. Bonnie regarda Sophie perplexe

« Je pense que le profilage n'est pas donné à tout le monde « Bonnie disait. Sophie ouvra les yeux et la bouche en grand

« Alors quoi ? Tu n'es pas d'accord « Sophie demanda. Bonnie regardait Sophie

« Je déteste les hommes viril tu es au courant » Bonnie continua

« Pourquoi ? parce que tu n'aimes pas être dominé « Sophie disait sous les yeux halluciné de Bonnie

« On n'aime pas tous les Nicklaus Michaelson « Bonnie disait. Sophie roula des yeux

« Tu m'agaces « Sophie disait. Bonnie rigola

« Tu es celle qui m'agace parce que tu associes caractère fort, domination et virilité « Bonnie disait à une Sophie qui rigola

« Parce que cela va ensemble, si tu regardes Stefan, Klaus, Marcel, Tyler, ils ont tous un caractère fort et ils sont tous virils et de toi à moi, ils aiment avoir une position de dominant « Sophie disait à une Bonnie qui hocha la tête

« ça s'appelle être des hommes Sophie « Bonnie disait. Sophie rigola

« Alors toi qui a un caractère fort tu es attiré par les hommes comme Jeremy « Sophie disait

« Oui « Bonnie disait comme une évidence.

« Et ça me fait rire de voir des femmes comme toi qui courent après des hommes viriles comme vous aimez bien le dire et ensuite qui s'étonne qu'il soit un enfoiré « Bonnie disait.

« C'est vrai « Sophie avoua

« Faut arrêter d'entrer cette idée aux jeunes filles qu'un homme doit être viril, c'est avec ce genre d'idée que les hommes pensent avoir un pass droit sur le corps des femmes, c'est avec ce genre d'idée qu'on devient rétrograde « Bonnie continua

« Parce qu'on demande une égalité homme et femme et pourtant on refuse un homme qui soit sensible, à force ils ne savent plus où se mettre «

« Je rêve où tu défends les droits des hommes «

« Je suis désolée, mais en tant que femme je ne vais avoir de pitié pour eux « Sophie continua. Bonnie hocha la tête

« Je défends personne et je ne suis pour personne, mais les incohérences entre notre volonté et le fantasme véhiculé dans cette société me fait rire « Bonnie disait. Sophie hocha la tête tout en souriant

« Ok peut-être, mais est-ce que j'ai le droit de te demander s'il est doué « Sophie disait en parlant de sexe avec Bonnie. Bonnie fixait Sophie sans rien dire.

« Est-ce que tu penses que je vais répondre à ce genre de question indiscrète « Bonnie disait. Sophie rigola

« Non, mais tu me fascines Bonnie Bennett « Sophie avoua surprenant Bonnie.

« Tu ne parles jamais de toi, de tes relations, de ta famille, toujours du superficiel « Sophie disait n'étonnant pas Bonnie. Cette dernière fixait Sophie

« Tu n'es pas mieux que moi »

« Tout ce que je sais, je le devine, ce n'est pas toi qui m'a parlé « Bonnie continua. Sophie hocha la tête

« Oui, mais moi j'ai des amis à qui parler « Sophie disait en regardant la route ne regardant pas Bonnie qui fixait à travers la vitre.

« Mais toi à qui parles-tu ? » Sophie demanda.

« De tes faiblesses, de tes chagrins, de ce qui te ronge « Sophie continua. Bonnie tourna sa tête pour regarder Sophie étonné.

« Tu sais quoi je connaissais une fille qui gardait tout en elle, elle était sujette à des crises de panique « Sophie avoua sous les yeux de Bonnie qui était déjà sujette à ce genre de crise surtout en cette période.

« Peut-être que tu n'es pas si nul en profilage « Bonnie disait seulement ce qui fît sourire Sophie qui savait que Bonnie n'allait pas répondre à cette question. Bonnie tourna sa tête ensuite en direction de la vitre, mais elle fronça les sourcils subitement

« Arrête-toi « Bonnie disait surprenant Sophie. Bonnie tourna sa tête

« Arrête-toi Sophie « Bonnie cria

« Ok ok « Sophie s'arrêta sur le côté de la rue. Dès qu'elle s'arrêta, Bonnie sortît de la voiture pour rejoindre un arrêt de bus sur lequel il y avait une publicité. Bonnie regarda la publicité ne voyant pas Sophie qui était derrière, une Sophie qui rigola en voyant la publicité pour la sortie d'un livre.

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien «

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous « Sheila Bennett disait sur son lit d'hôpital à Bonnie.

« J'ai cédé, ce n'est plus qu'une question de temps avant que tu cèdes, tu as déjà cédé après ce que tu m'as fait «

« Quoi tu es fan de Shelby aussi, Caroline adore tous ses livres « Sophie disait. Bonnie fixait la publicité sous le choc lorsqu'elle vît un Monsieur mettre les affiches.

« Hey vous « Bonnie hurla. Le Monsieur se retourna pour voir Bonnie

« Qui vous a dit de mettre ses affiches « Bonnie continua.

« C'est mon boulot pourquoi ? » Il demanda.

« Passez les moi » Bonnie disait. Le monsieur allait riposter, mais Bonnie montra sa plaque

« Passez les moi maintenant « Bonnie cria. Le monsieur donna les affiches publicitaires à Bonnie sous les yeux perplexe de Sophie.

« Qu'est ce qui t'arrive « Sophie demanda en suivant Bonnie du regard, une Bonnie qui fît entrer les affiches publicitaires dans la voiture. Bonnie ne répondit rien, elle se contenta de monter dans la voiture sous les yeux désemparés de Sophie.


« Bonjour Patron « La standardiste Sarah disait lorsqu'elle vît Damon entrait avec son attaché-case.

« Bonjour Sarah» Damon disait. Il traversa le couloir pour se diriger vers son bureau, mais il s'arrêta lorsqu'il vît que le bureau d'Elena était vide. Damon recula pour s'approcher de la standardiste.

« Où est Elena ? » Damon demanda. La standardiste haussa les épaules

« Elle a annulé ses rendez-vous aujourd'hui, vous n'étiez pas au courant « La standardiste demanda. Damon la fixa ne voyant pas Valérie, Rose et Mary-Louise qui le regardaient sur le côté.

« J'ai encore oublié » Damon disait essayant de se rattraper, mais la standardiste, Rose, Valérie et Mary-Louise pouvaient voir à cet instant qu'Elena avait décidé encore une fois de s'absenter sans le dire à Damon. Ce dernier ne dît rien, il se contenta de s'en aller pour rejoindre son bureau. Il prît son portable puis appela Elena une fois qu'il se retrouva seul à son bureau.

Il essaya de joindre Elena, mais cette dernière était à l'aéroport. Elena regardait le numéro de Damon avant de se décider à raccrocher. Elle releva ensuite la tête pour voir une femme brune avec des lunettes de soleil et un grand impair noir. Elle portait des talons. Elle était en compagnie de deux gardes du corps comme à son habitude. Isobel retira ses lunettes face à Elena puis parla en Bulgare.

« Zdraveĭ, dŭshterya mi » Isobel disait à une Elena qui lui répondit en Anglais.

« En anglais Isobel et arrête de m'appeler ta fille « Elena disait froidement. Elena fît la bise à Isobel qui roula des yeux.

« Toujours aussi charmante et ennuyante enfin quand tu le veux « Isobel disait seulement.

« Damon n'est pas là ? » Isobel demanda. Elena secoua la tête de gauche à droite

« Je préfère éviter que vous vous croisiez afin d'éviter qu'il se pose des questions « Elena continua.

« La voiture nous attends, parlons en lieu sûre « Elena disait seulement gardant ses distances d'Isobel qui avait l'habitude de la froideur d'Elena surtout car elle savait que si Isobel était là c'était que quelque chose de désagréable c'était déroulé ou allait se dérouler.

« Vous savez où est Elena vous ? » Valéry demanda à ses collègues. Elles lui répondirent non de la tête et les trois s'éloignèrent ensuite les unes des autres pour reprendre le boulot. Elles s'en allèrent ne voyant pas Lucy qui entra dans le cabinet au téléphone avec sa mère.

« Lucy, Bonnie t'a dit de ne pas t'en mêler alors s'il te plaît, pour ton père évitons les histoires surtout pendant cette période « Abby disait au téléphone assise dans la cuisine.

« J'ai le droit d'avoir l'avis d'un avocat « Lucy disait.

« Maître Vasquez est très doué, il s'occupe de mon divorce et je suis sûre qu'il pourra m'aider « Lucy continua

« Puisque vous ne voulez rien faire, je m'en occupe parce qu'ils finiront par nous réclamer de l'argent si on va au procès « Lucy disait. Sa mère allait parler, mais Lucy raccrocha agaçant sa mère qui pour une fois ne voulait se mettre Bonnie à dos.

D'habitude, Abby était la première à s'en prendre à Bonnie, mais pendant cette période de deuil, elle ne voulait pas créer de conflit avant tout pour son mari.

Une fois que Lucy raccrocha, cette dernière se dirigea vers la standardiste.

« Bonjour, j'ai rendez-vous avec Maître Vasquez, je suis Madame Vaughn « Lucy disait.

« Oui tout à fait, je le préviens que vous êtes arrivé, installez-vous, voulez-vous un café en attendant « La standardiste demanda à Lucy qui avait l'habitude de l'accueil de ce cabinet.

« Non, merci c'est gentil de proposer « Lucy disait avant de rejoindre les fauteuils pour attendre son avocat.


Sophie était assise dans la salle d'attente de l'entreprise de Régina Brook assise. Elle regardait Bonnie, une Bonnie qui était à l'heure actuelle au téléphone en train de tourner en rond comme une furie.

« Passez-moi simplement Madame Huffman, c'est simple à comprendre où vous voulez que je vous le dise dans une autre langue, dite moi quelle langue préférez-vous « Bonnie disait sous les yeux de Sophie et de tous les autres clients qui attendaient. Bonnie se ressaisit subitement réalisant qu'elle s'emportait contre la mauvaise personne

« Désolée, je m'en prends à vous alors que vous n'êtes pour rien » Bonnie avoua

« Je sais très bien que Madame Huffman bloque mes appels et j'imagine qu'elle vous a demandé de ne pas me répondre, mais c'est à vous de jouer ma secrétaire maintenant « Bonnie disait.

« Je ne sais pas comment elle s'est procurée cet exemplaire, mais si elle veut s'amuser à publier ce livre alors je vais m'amuser à fuiter les autres sur internet, dite lui ça de ma part « Bonnie continua sous les yeux de Sophie. Bonnie raccrocha tout en regardant le vide. Elle fixait le vide un moment

« Connais-tu un bon avocat en droit de la propriété intellectuel ? » Bonnie disait subitement. Elle se retourna pour regarder Sophie, une Sophie qui esquissa un sourire

« Tu le connais aussi ? » Sophie disait

« Peu importe ton problème, Damon te le réglera assez vite enfin si tu es dans ton droit « Sophie continua à une Bonnie qui fixait le vide agacé.

Elle s'assît à côté de Sophie légèrement agacé ce que Sophie pouvait voir, mais Bonnie n'allait rien dire comme à son habitude et Sophie n'allait pas s'embêter à chercher des réponses auquel elle était sûre que Bonnie ne répondrait pas.

Elle était dans ses pensées lorsqu'elle vît une femme grande avec des talons aiguilles, brune en queue de cheval et un chemisier décolleté rouge avec une jupe crayon. Elle portait des gros anneaux comme boucle d'oreille et beaucoup de bague.

« Bonjour Mesdames, Emeline Grant vous êtes venue me voir « Emeline disait. Bonnie et Sophie se levèrent pour serrer la main d'Emeline

« Suivez-moi » Emeline disait ensuite avant de monter les escaliers invitant Bonnie et Sophie à la suivre. Bonnie et Sophie se regardèrent ne pouvant que constater l'air condescendant de cette Emeline. Elles se retrouvèrent très vite dans le bureau d'Emeline, debout face à cette dernière qui s'était assis à son siège.

« Je vous écoute pourquoi la police de San Fransisco cherche à me contacter « Emeline disait en croisant les mains.

« On aimerait discuter de votre relation avec Régina Brook « Sophie disait. Emeline fronça les sourcils

« Pourquoi ça ? » Emeline demanda.

« Parce qu'une enquête a été ouverte à son sujet, pour agression « Sophie disait.

« Régina agressée ? Ça s'est passé quand ? Elle va bien « Emeline demanda. Il était facile de voir la sincérité d'Emeline à cet instant. Elle paraissait froide, mais il suffisait d'un changement de ton pour qu'elle paraisse plus humaine.

« Disons que c'est son mari qui a été agressé « Sophie disait à une Emeline qui se montra surpris.

« Régina Brook a agressée son époux et nous aimerions comprendre ce qui s'est passé, on nous a signalé qu'elle a fait l'objet de beaucoup de stresse récemment notamment par votre faute « Sophie continua. Emeline fronça les sourcils totalement perdu

« Attendez, quoi Régina a agressé son époux, c'est impossible « Emeline disait sous le choc. Bonnie hocha la tête

« Pourquoi cela vous surprend il ? » Bonnie demanda. Emeline se ressaisit à cet instant.

« Parce que Régina tient beaucoup à son mari, s'il y a bien une chose que je lui reconnais c'est ça « Emeline continua.

« Beaucoup d'hommes ont essayé avec elle, mais Régina était une femme fidèle avant tout, que ce soit en amour, en amitié et au boulot vous savez « Emeline avoua

« Elle savait reconnaître lorsqu'elle était inférieur « Emeline continua. Bonnie esquissa un sourire face à l'utilisation de ce mot.

« Etait-elle stressée récemment « Bonnie demanda. Emeline hocha la tête

« Récemment, elle était à côté de la plaque »

« Elle était très distante, et renfermée « Emeline avoua utilisant les mêmes termes que la sœur de Régina.

« Il lui arrivait de ne pas venir au boulot ce qui vu notre position était assez étonnant de sa part et très mal vu« Emeline avoua.

« Et elle était aussi très agressive envers nos confrères hommes, on a l'habitude en tant que femme d'entendre des propos sexistes surtout chez les cadres, mais cela mettait en colère Régina, elle avait beaucoup de réparti, ce qui n'a pas été bien vu du côté de la direction. Ils lui ont donné congés pendant quelques semaines « Emeline avoua.

« Cela a commencé il y a combien de temps son changement d'attitude ? » Bonnie demanda. Emeline baissa son regard en direction du calendrier qu'elle avait sur son boulot.

« 6 mois un peu près « Elle avoua.

« De son retour de vacance « Emeline continua.

« Mais vous devriez interrogez notre ancien informaticien Simon Stuart « Emeline se mît à dire. Sophie écrivît son nom sur son calepin.

« Régina était assez proche de lui » Emeline avoua

« Proche c'est-à-dire « Sophie demanda. Emeline secoua la tête de gauche à droite

« Non pas proche dans ce genre-là, Simon est quelqu'un de très renfermé, Régina l'a aidé à intégrer la société, elle était comme un mentor pour lui, il lui a été très reconnaissant «

« Vous avez dit ancien informaticien « Bonnie demanda. Emeline hocha la tête

« Oui, il a quitté la boîte « Emeline avoua

« Il y a six mois » Emeline continua. Elle esquissa un sourire étonné

« En même temps que le changement d'attitude de Régina quand j'y pense « Emeline avoua étonné en regardant son calendrier.

« Vous savez pourquoi il a quitté la boîte ? » Bonnie demanda étonné par les coïncidences.

« Il aurait trouvé un emploi ailleurs et mieux payé, étonnamment Régina ne s'est pas battu pour qu'il reste « Emeline se contenta dire.

« Vous savez où nous pouvons le trouver « Sophie demanda. Emeline hocha la tête

« Oui, je vous donne l'adresse « Emeline disait. Elle écrivît sur un papier puis donna l'adresse à Sophie.

« Il travaillerait dans une PME, en informatique « Elle continua.

« Merci, et où pouvons-nous trouver le bureau de Régina ? » Bonnie demanda. Emeline tourna sa tête sur le côté pour montrer le bureau d'à côté.

« Merci » Bonnie répliqua. Elle se dirigea ensuite vers le bureau de Régina accompagnée de Sophie.

« J'appelle Norah pour qu'elle retrace les relevés de compte et le téléphone de Régina sur les 6 mois parce qu'il y a clairement quelque chose de louche qui s'est passé « Sophie disait en prenant son téléphone pour appeler Norah tandis que Bonnie avait pris place sur le siège vide de Régina.

« Dit Nora, tu peux remonter à 6 mois et me retracer tous ce que tu trouves sur le téléphone de Régina « Sophie disait à une Nora qui fît un bulle avec son chewing-gum.

« Ok, j'étends mes recherches, mais vous devriez passer j'ai des nouvelles pour vous « Nora disait. Elle allait raccrocher, mais Sophie parla

« Et trouve nous des informations sur un certain Simon Stuart « Sophie disait.

« Ok je fais ça «

« On est là dans 20 minute « Sophie disait. Bonnie regardait le calendrier que Régina avait sur son bureau. Visiblement, Emeline et elle avaient des points communs.

« Son calendrier semblait chargé professionnellement parlant jusqu'à i mois « Bonnie disait. Elle regarda le mois correspondant au changement de comportement de Régina. Bonnie prît en photo le calendrier de Régina.

« Norah a du nouveau pour nous « Sophie disait. Bonnie releva la tête pour regarder Sophie. Elle se releva

« Ok « Bonnie disait.


Bonnie et Sophie arrivèrent 20 minutes plus tard au commissariat. Elles sortirent tous les deux de la voiture pour monter les escaliers du commissariat. Sophie allait avancer, mais elle s'arrêta net lorsqu'elle vît Hope à l'accueil assise sur un siège. Sophie recula invitant Bonnie à s'arrêter.

« Hope « Sophie disait. Elle s'avança laissant Bonnie derrière.

« Qu'est-ce que tu fais là ? Nick sait que tu es là « Sophie disait. Hope se releva tout en secouant la tête de gauche à droite.

« Non, il n'est pas encore arrivé » Hope disait. Elle regarda Sophie mal à l'aise, une Sophie qui baissa son regard en direction de la taille d'Hope pour voir qu'elle avait entouré sa taille d'un gilet.

« Tu t'es tâché c'est ça « Sophie demanda. Hope hocha la tête

« Ça coule beaucoup » Hope avoua mal à l'aise.

« Ma mère veut que Papa gère la situation, mais ça me soule, il ne comprend jamais rien « Hope disait. Sophie hocha la tête

« Ok vient « Sophie disait. Elle posa son bras autour des épaules d'Hope puis l'emmena avec elle.

« Hope, je te présente ma collègue Bonnie Bennett « Sophie disait

« Et Bonnie je te présente la fille de Klaus « Sophie continua. Hope fixa Bonnie étonné

« Mon père ne peut pas vous voir « Hope avoua ce qui fît rire Bonnie.

« Je fais souvent cet effet aux gens « Bonnie se contenta de répondre ce qui fît sourire Hope.

« Mais mon père est macho sur les bords c'est ce que ma mère dit toujours, qu'il est temps qu'il grandisse » Hope avoua. Bonnie fît un clin d'œil à Hope.

« Ta mère semble être une femme très sage « Bonnie avoua. Hope rigola et les trois montèrent dans l'ascenseur.

« On va faire un tour aux vestiaires « Sophie déclara.

« Je te laisse rejoindre Norah « Sophie continua. Bonnie hocha la tête.

Lorsque les portes s'ouvrèrent, Sophie et Hope s'en allèrent pour rejoindre les vestiaires des femmes. Les portes se refermèrent pour s'ouvrir à l'étage de Norah.

Dès que les portes s'ouvrèrent Bonnie vît Norah parlait en vidéo conférence avec un homme de couleur qui portait des lunettes.

Bonnie restait à l'arrière à regarder les deux jouaient à ce qui ressemblait un jeu vidéo.

« Ouaw, mais tu es trop fort Billy, comment tu as trouvé ça ? « Norah demanda.

« Je ne cesserai jamais de t'épater hein « Billy disait. Bonnie prît du recul puis courra avant de sauter derrière Norah pour lui faire peur.

« Non, mais ça va pas, on est au boulot ici « Bonnie hurla attirant un sursaut de Norah et Billy. Les deux ouvrèrent les yeux en grand sous le rire de Bonnie.

« Je vous ai fait peur, on aurait dit chef Gordon hein » Bonnie disait sous les yeux de Billy

« J'ai cru que j'allais avoir une crise cardiaque « Billy disait à travers le grand écran. Les deux se regardèrent avant que Norah fasse les présentations.

« Bonnie, je te présente Billy Broker et Billy je te présente Bonnie Bennett « Norah disait à une Bonnie qui écarquilla les yeux en grand. Elle pointa Billy du doigt

« Ho, vous travaillez pour « Bonnie n'eut pas le temps de finir qu'elle entendît la voix de Damon Salvatore

« Billy, j'ai besoin de ton aide « Damon disait en s'approchant du bureau de Billy, mais ce dernier baissa son écran d'ordinateur sous les yeux confus de Bonnie et Norah qui voyaient uniquement du noir, mais elles pouvaient entendre la conversation.

« Arrête de te cacher, je t'ai déjà dit que du moment que le travail est fait, tu peux faire ce que tu veux y compris jouer à tes jeux vidéos « Damon disait. Norah soupira

« Mais vous êtes trop cool vous, vous ne voulez pas m'embaucher dans votre cabinet « Norah disait troublant Damon qui entendait du son, mais pas d'image. Billy esquissa un sourire tout en regardant Damon

« Tu es avec Norah encore « Damon disait

« J'espère que vous n'échangez pas des informations confidentielles « Damon continua. Il releva l'écran du pc portable de Billy s'attendant à voir Norah, mais il se paralysa lorsqu'il vît Bonnie. Les deux se regardèrent avant que Bonnie le salut.

« Hey l'avocat canon aux yeux bleus comment ça va ? Ça fait un bail « Bonnie disait surprenant Billy qui rigola. Ce dernier regarda Norah tout en souriant, une Norah qui haussa les épaules.

« Je vais finir par croire que notre destin est lié « Bonnie continua troublé par certaine coïncidence. Damon regarda Bonnie un moment.

« Pour ça faudrait croire au destin « Damon disait.

« Vous parlez pour vous ou pour moi « Bonnie disait. Damon regardait Bonnie un moment

« J'ai vu votre femme ce matin au café de Burbery, elle a été d'un charme absolue, vous les Salvatore vous savez être charmant quand vous voulez « Bonnie continua

« Le charme ce n'est pas votre atout non plus « Damon répondit. Bonnie rigola tout comme Billy et Norah. Il ne devait pas être au courant pour Jeremy alors, il n'avait pas vu sa femme depuis ce matin se disait Bonnie à cet instant.

« Ouch, Damon Salvatore aurait-il de l'humour « Bonnie continua. Damon esquissa un sourire

« Je crois qu'il est temps de mettre fin à cette conversation avant qu'on nous accuse de comploter, faite attention Billy et Norah pour les prochaines fois, je suis cool, mais Elena et les autres le sont moins pareils pour toi Norah, l'Agent Bennett est cool, mais elle n'est pas une référence en terme de légalité « Damon disait avant de s'en aller sous les yeux de Bonnie, Norah et Billy.

« Je crois qu'il y a une évolution dans notre relation » Bonnie disait troublant Norah.

« Ha bon ? » Norah demanda en rigolant pas convaincu. Bonnie rigola

« Ça fait deux fois qu'il nous met dans le même lot lui et moi, je ne sais pas si c'est flatteur ou dégradant « Bonnie disait ce qui fît rire Norah et Billy. Ce dernier fixa Bonnie confus.

« Ben dis-donc vous êtes gonflé vous de parler à mon patron comme ça « Billy disait

« Ha bon « Bonnie disait. Billy hocha la tête

« Personne ne lui parle comme ça « il avoua.

« Enfin bref, faut que j'y aille, on se refait une partie après « Il continua. Il raccrocha laissant Norah avec Bonnie. Dès que Billy raccrocha, Norah tourna son siège pour regarder Bonnie.

« J'ai trouvé quelque chose d'intéressant «

« Régina s'est coupée du monde réel, chose étrange, elle a beaucoup appelé sa sœur ces derniers mois, ces 6 derniers mois, c'était limite du harcèlement « Norah disait

« Mais sa sœur ne lui répondait pas souvent et lorsque cela se passait, j'ai affaire à des appels de 10 minute pas plus «

« Pareil sur ses relevés de compte Régina semble avoir passé assez de temps près de chez sa sœur « Norah disait à une Bonnie qui fronça les sourcils

« Sa sœur nous a dit qu'elle était occupée, mais elle nous a jamais dit ça «

« Tu m'étonnes, on aurait dit que Robine Brook évitait sa soeur, c'est bizzare « Norah avoua à une Bonnie qui regardait les relevés se perdant dans ses pensées.

« Cela a commencé il y a six mois » Norah avoua.

« Par ailleurs, j'ai un numéro qui a essayé de joindre à plusieurs reprises Régina pendant ses 6 derniers mois « Norah continua en montrant le numéro de téléphone.

« Ce numéro appartient à Simon Stuart « Norah continua troublant Bonnie. Bonnie fronça les sourcils

« Alors Régina essayait de joindre sa sœur sans succès et Simon Stuart essayait de joindre Régina sans succès « Bonnie continua.

« C'est quoi le délire « Bonnie répondit seulement. Norah hocha la tête

« Et ce n'est pas le plus étrange « Norah continua.

« Simon Stuart s'est donné la mort il y a une semaine « Norah avoua en montrant les informations qu'elle avait trouvé sur Simon Stuart. Bonnie tourna son corps pour regarder l'acte de décès et le rapport du médecin légiste.

« C'est quoi ce délire « Bonnie disait confuse face à cette coïncidence qui n'était pas une coïncidence. Cela ne pouvait pas être une coïncidence.

« Donc si je récapitule, il y a six mois, tout le monde observe un changement d'attitude chez Régina, son ami Simon Stuart démissionne, il la harcèle au téléphone, mais elle ne lui réponds pas et il y a une semaine, il se donne la mort puis Régina tente de tuer son époux de 8 coups de couteau « Bonnie récapitula à Norah.

« Je pense que quelque chose de louche s'est passé « Norah disait dans le vide. Elle tourna son corps pour regarder Bonnie, mais Norah s'arrêta lorsqu'elle vît Bonnie regardait l'écran tout en pensant. Elle était dans ses pensées ce qui intrigua Norah qui se demandait ce qui se passait dans la tête de Bonnie.

Norah allait demander à Bonnie ce qui lui passait par la tête, mais elle entendît une alerte sur son ordinateur. Bonnie et elle tournèrent la tête en direction des écrans. Norah s'avança

« Vous n'avez pas les accès requis, dossier confidentiel « Il y avait écrit. Bonnie s'avança pour voir le message explicite.

« Ha là je ne sais pas sur quelle affaire tu bosses, mais tu viens d'alerter la CIA « Bonnie disait à Norah qui regardait le message d'erreur.

« C'est Marcel et Nick qui vont être content « Norah disait à une Bonnie qui baissa son regard en direction du dossier Norah. Elle vît les photos d'une femme dénudés au bord d'une plage.

« C'est leur victime « Bonnie disait

« Oui une Jane Doe, Caroline examine le corps à cet instant, elle doit être avec Nick et Marcel, je vais les prévenir « Norah disait. Bonnie regardait le corps de la femme, mais elle s'étonna lorsqu'elle vît un tatouage sur la nuque de la femme se souvenant d'une des conversations qu'elle avait eu avec Katherine.

« Tu m'as parlé de tatouage sur l'homme qui a tué Sully et Nadia, à quoi ressemblait le tatouage sur son poignet« Bonnie disait au téléphone assise dans sa chambre sur son lit. Katherine fixait le vide se plongeant dans ses souvenirs qu'elle avait dû mal à revivre, mais elle se forçait.

« C'est le symbole de la Maison de Saxe, un des rois de bulgare, le tatouage représente deux lions face à face « Katherine disait.

Elle fixait le tatouage repensant aux mots de Katherine, mais Sophie arriva à cet instant.

« Alors qu'est-ce qu'on a ? » Sophie demanda. Bonnie se réveilla de ses pensées puis se retourna pour regarder Sophie.

« Simon Stuart s'est suicidé, je pense qu'on devrait interroger les personnes qui ont enquêté suite à son suicide « Bonnie disait. Sophie hocha la tête

« Mais je reviens, j'aimerais bien me faire un café de Caroline, c'est le seul acceptable du service « Bonnie disait. Elle baissa son regard pour regarder Norah qui préparait ses affaires afin de rejoindre la morgue.

« Norah, je viens avec toi, je reviens Sophie « Bonnie disait.

« Ok je t'attends alors » Sophie répliqua.


Bonnie et Norah descendirent ensemble à la morgue. Elles sortirent de l'ascenseur pour voir Vincent et Caroline qui étaient encore en train de découper le corps.

« Glauque » Norah disait à côté de Bonnie.

« Oh mon petit Vincent je suis trop contente de te revoir « Norah disait ensuite à un Vincent qui retira ses gangs avant de sautiller tout comme Norah.

« Moi aussi « Vincent disait sous les yeux de Caroline et Bonnie.

« Vraiment, j'assiste à ce genre de scène gênante « Bonnie disait. Vincent releva la tête pour regarder Bonnie.

« Tu dois être Bonnie Bennett « Vincent disait en tendant sa main à Bonnie. Bonnie lui serra sa main

« Dit comme ça, on dirait que je suis connue à la Harry Potter « Bonnie disait ce qui fît sourire Vincent.

« Alors es-tu un de mes alliés Griffondor ou un Serpentard « Bonnie demanda. Vincent rigola puis regarda Caroline qui lui lança un regard je t'avais prévenu.

« Pire que ça, je suis plus seigneur des anneaux « Vincent disait. Bonnie esquissa un sourire

« J'ai lu aussi le Seigneur des Anneaux, alors j'accepte « Bonnie disait.

« Alors qu'est-ce que tu fais là Bonnie ? Tu n'as pas un meurtre à résoudre « Caroline demanda. Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Je viens me faire un café chez toi parce que tu es la seule à avoir du bon café, et j'espère résoudre mon affaire ce soir « Bonnie continua. Elle se dirigea vers la cafetière de Caroline.

« Mais tu as le coupable alors c'est réglé » Caroline disait. Bonnie secoua la tête

« Non tant que je ne saurais pas pourquoi ? Rien n'est réglé « Bonnie continua étonnant Vincent et Caroline.


A l'étage d'au-dessus, Klaus et Marcel entrèrent dans le bureau attirant l'attention de Stefan et Tyler.

« Nick, ta fille est là « Tyler disait. Klaus détourna son regard pour voir Hope jouait à la console sur le bureau de son père.

« Pourquoi tu n'es pas à l'école ? » Klaus demanda. Hope fixait la console.

« J'ai fini plus tôt aujourd'hui » Elle disait seulement à un Klaus qui s'approcha d'elle.

« Arrête de me prendre pour un con « Klaus disait. Hope tourna sa tête pour regarder Klaus

« Je peux rester ici, je n'ai pas envie d'aller à l'école aujourd'hui, j'ai mal au ventre « Hope disait à un Klaus qui à cet instant ne se voyait pas dire non à sa fille. Il hocha la tête

« Ok, mais tu restes sage « Klaus disait

« Et tu ne parles pas au étranger » Klaus continua attirant un roulement de yeux de la part de Stefan et Tyler.

« C'est bon on la surveille « Stefan disait.

« Vous avez intérêt, on doit voir Caroline « Klaus continua. Il s'en alla ensuite en compagnie de Marcel pour rejoindre Caroline et Vincent à l'intérieur de la morgue, mais Klaus s'arrêta net lorsqu'il vît Bonnie près de la cafetière à Caroline.

« Tu fous quoi ici ? » Klaus disait froidement surprenant Vincent. Norah et Caroline tournèrent leur tête pour regarder Bonnie et Klaus qui cohabitaient difficilement.

« J'ai réalisé que j'avais un grand béguin pour toi donc je te suis partout « Bonnie disait tout en regardant son café se faire. Klaus roula des yeux, mais Marcel rigola tout comme Vincent.

« C'est le grand amour entre vous « Vincent disait. Bonnie hocha la tête tout en pointant Klaus.

« Lui c'est un Serpentard alors attention Vincent « Bonnie continua. Vincent rigola légèrement confus par soupira

« Tu me fatigues Bennett, je n'arrive même plus à être énervé par toi » Klaus continua. Il s'avança en direction du corps. Marcel fit un clin d'œil à Bonnie qui lui rendît son clin d'œil.

« Vous êtes arrivé au bon moment, on a un problème « Norah disait sous les yeux de Bonnie qui regardait la scène tout en se faisant discrète.

« En recherchant avec les empreintes de la victime, la CIA a été alerté, alors je pense que votre affaire n'est plus de notre ressort « Norah disait. Marcel et Klaus soupirèrent en même temps

« Fais chier » Les deux dirent en même temps.

« Sérieux, moi qui vous avez trouvé des infos intéressantes« Vincent disait.

« Depuis quand la CIA nous empêche d'enquêtee, donne l'info on a le temps avant qu'ils débarquent « Marcel disait.

« Balance les infos « Marcel continua.

« Jane Doe est morte de strangulation « Vincent disait sous les yeux de Caroline qui laissait Vincent gérer vu qu'il avait tout fait. Elle retira ses gangs.

« Elle n'a pas de casier judiciaire pour l'identifier «

« Elle a tatouage Bulgare de la maison de la maison de Saxe, un des rois Bulgare et au vu de sa morphologie, je vous confirme ses origines bulgares « Vincent continua.

« Alors on a rien pour l'identifier enfin son identité appartient à la CIA visiblement « Klaus disait. Vincent rigola

« Rien d'apparent « Vincent disait. Il montra ensuite un flacon

« Mais nous avons examiné son estomac « Vincent disait comme une évidence.

« Elle a mangé du Homard « Vincent disait tout en souriant s'attendant à des applaudissement à cet instant, mais Caroline rigola car c'était beaucoup trop tôt pour obtenir des applaudissement ce que Klaus fît remarquer.

« Ouaw, du Homard, difficile d'en trouver à San Fransisco » Klaus disait en regardant Marcel qui rigola. Vincent rigola

« Mais pas n'importe quel Homard, vous savez qu'il existe deux espèces d'Homard, le homard américain, qu'on trouve la plupart du temps chez nous, il a des traces orangées et le homard européen qui est vachement réglementé, les européens ne rigolent pas avec la nourriture. Il a des reflets bleus, et il est très rare d'en trouver au Etats-Unis »

« Dit moi qu'elle a mangé du Homard Européen « Marcel disait. Vincent esquissa un sourire

« Oui, et il n'y a qu'un seul restaurant qui en fait « Vincent disait. Il montra sa tablette à Marcel et Klaus.

« C'est un restaurant de blindé ça, « Marcel et Klaus dirent en même temps.

« En tout cas, la personne avec qui elle a mangé ce repas, est la dernière à l'avoir vu « Caroline disait comme une évidence.

« C'est le dernier repas qu'elle a mangé, en plus du fait que Nora a calculé l'itinéraire du restaurant a là où on a retrouvé le corps « Caroline continua sous les yeux de Bonnie qui buvait son café discrètement.

« Selon l'état du corps, ce dernier est resté uniquement 2 heures en mer avant d'échouer, la marée était basse alors elle a calculé un peu près l'itinéraire et cela correspond «

« Au lieu du restaurant « Marcel continua. Caroline hocha la tête tout en regardant Marcel, un Marcel qui esquissa un sourire

« C'est cool de bosser avec Norah et vous, on a rien à faire à part vous écouter et se déplacer « Marcel disait ce qui fît sourire Caroline. Klaus rigola, mais il perdît son rire lorsqu'il entendît Bonnie parlait.

« Je vous parie que la CIA est déjà sur place « Bonnie disait comme une évidence. Klaus et Marcel tournèrent de suite la tête pour regarder Bonnie

« Alors vous devriez vous dépêcher « Bonnie termina et dès qu'elle termina sa phrase, elle vît Marcel et Klaus s'en aller pour rejoindre ce fameux restaurant avant la CIA.


« Alors dit moi Isobel pourquoi es-tu là ? » Elena disait en regardant Isobel. Les deux étaient assises au restaurant l'une en face de l'autre. Isobel fixait Elena.

« Je veux que tu reviennes en Bulgarie quelques temps » Isobel avoua

« Irina arrive à la fin, son état empire et Petar veut récupérer sa fortune « Isobel continua. Elle prît sa tasse pour boire son café sous les yeux d'Elena qui admirait à cet instant le tatouage d'Isobel, un tatouage représentant la, maison des saxes, de la dynastie des tsars.

« Je croyais que cette histoire était réglée « Elena disait confuse car aux dernières nouvelles Irina avait prévu d'évincer Petar de sa fortune.

« Sauf que Petar a marqué des points pendant que toi tu en perds à cause de la distance « Isobel continua.

« Ecoute, je connais la mère de John, elle est facilement aveuglée par les gestes « Isobel avoua

« Ce qui me mène au second point, Petar a repéré une taupe et il s'est débarrassé d'elle comme il sait si bien le faire sur la demande d'Irina « Isobel continua sous les yeux d'Elena qui n'aimait pas ce qu'elle entendait, mais elle savait très bien que dorénavant Isobel et elle étaient liés à jamais.

« La femme était une infiltré, elle travaillait pour la CIA « Isobel continua. Elle bu son café puis posa la tasse sous les yeux grands ouverts d'Elena.

« La CIA qu'est-ce qu'elle a découvert ? « Elena demanda. Isobel haussa les épaules

« Aucune idée, à priori elle ne connaissait rien du réseau, elle ramenait les femmes de Bulgarie pour les faire venir ici, mais méfie-toi Elena, tu devrais prendre quelques distances, j'ai dit à certains de tes clients de faire profil bas pour le moment afin d'éviter qu'on remonte à toi ou encore pire à ton cabinet « Isobel continua tout en souriant ce qui fît halluciné Elena.

« Tu rigoles là ? « Elena disait

« J'en ai rien à faire Isobel, j'ai autre chose à faire que plaire à Irina, si ma grand-mère ne veut pas m'accepter alors qu'elle ne m'accepte, mais je n'irais pas en Bulgarie » Elena disait à une Isobel qui se contenta de rire.

« Fais attention à ce que tu dis Elena » Isobel disait.

« Aurais-tu oublié qui a payé tes études de droit et qui t'a donné l'argent qu'il te manquait pour le cabinet « Isobel continua.

« Ce n'était pas avec le peu d'argent que tu avais que tu aurais pu devenir ce que tu es maintenant, ne l'oublie pas parce que ce qui t'a été donné, peut t'être facilement retiré ne l'oublie pas « Isobel continua sous les yeux d'Elena qui fixait Isobel sans rien dire.

« Ce n'est l'affaire que de quelques semaines, le temps de régler certaines choses et que tu te rapproches d'Irina, je te rassure ta grand-mère mourra d'ici quelques semaines « Isobel continua attirant l'écœurement d'Elena.

« Arrête de parler comme ça, ça me rappelle que tu es une mère sans cœur « Elena disait. Isobel haussa les épaules

« N'est-ce pas ce que je suis » Isobel disait froidement à une Elena qui savait de quoi Isobel parlait, mais elle ne rebondit pas là-dessus.


Lucy était toujours assise à la salle d'accueil du bureau de son avocat. Cela faisait des minutes qu'elle attendait légèrement agacé. Elle regarda du côté de son bureau et constata que sa porte était toujours fermée. Elle se releva alors puis se dirigea vers la standardiste.

« Excusez-moi j'attends Maître Vasquez depuis 30 minute « Lucy disait à la standardiste qui fît une grimace

« Je suis vraiment désolée, Maître Vasquez est indisponible pour le moment, il a une réunion qui s'avère plus longue que prévu « La standardiste disait à une Lucy qui rigola

« Et si je n'étais pas venue vous voir, vous ne me l'auriez pas dit « Lucy disait. La standardiste allait parler, mais Damon arriva à cet instant à côté de Lucy pour les interrompre.

« Sarah, je te remercie de bien vouloir envoyer ce dossier à l'agence Ford, c'est très important » Damon disait en donnant le dossier à la standardiste qui prît le dossier tout en parlant Lucy

« Il vient juste de me prévenir, je suis vraiment désolée « La standardiste disait en prenant le dossier de Damon. Damon regarda Lucy puis baissa son regard pour voir qu'elle avait plein de document dans son sac.

« Vous aviez rendez-vous ? » Damon demanda. Il contourna le bureau pour récupérer des pochettes avec des étiquettes. Lucy hocha la tête

« J'avais rendez-vous il y a 45 minute avec Maître Vasquez, mais visiblement il a mieux à faire qu'honorer son rendez-vous « Lucy disait troublant Damon. Damon regarda en direction du bureau de son employé.

« Vous êtes ? » Il demanda ensuite à Lucy.

« Lucy Vaughn « Lucy disait. Damon hocha la tête

« Je vais essayer d'arranger ça « Damon disait. Il s'en alla en direction du bureau de Maître Vasquez sous les yeux rassuré et étonné de Lucy. Cette dernière montra Damon du doigt à la standardiste qui parla

« C'est le patron donc vous avez de la chance lorsqu'il dit qu'il peut arranger ça, c'est qu'il va le faire « La standardiste disait rassurant Lucy qui regardait en direction du bureau de son avocat.

Damon toqua au bureau de Maître Vasquez avant de rentrer. Il s'arrêta lorsqu'il vît Maître Vasquez au téléphone avec un client. Damon regarda Maître Vasquez qui lui fît un signe afin de lui dire plus tard et Damon allait s'en aller, mais il s'arrêta lorsqu'il vît une silhouette sous le bureau de son employé. Damon releva la tête en direction de son employé qui faisait mine d'être au téléphone.

« Kimberley » Damon disait subitement et dès qu'il parla, il entendît cette dernière parlait

« Oui patron « Kimberley disait attirant une grimace de la part de Maître Vasquez. Damon regarda sous le bureau pour voir Kimberley sortir du bureau de l'avocat. Elle remît sa jupe et se recoiffa sous les yeux d'un Damon qui admirait les deux.

« Damon ce n'est pas ce qu » Maître Vasquez allait parler, mais Damon le coupa

« On en reparlera plus tard, ta cliente Madame Vaughn t'attends depuis 45 minute« Damon se contenta de dire.

« Pas besoin de la prendre en charge, je vais demander à Cécile de la prendre, elle a une disponibilité « Damon continua. Il referma ensuite la porte de son employé puis se dirigea vers Lucy qui allait parler, mais Damon la coupa.

« Maître Vasquez gère un conflit assez délicat » Damon disait

« Je peux vous rediriger vers une collègue, très douée, elle a une disponibilité « Damon continua qui semblait légèrement contrarié.

« Maître Vasquez gère mon divorce donc je vous avouerai que je suis plus à l'aise avec lui » Lucy avoua. Damon hocha la tête

« Je comprends tout à fait, vous pouvez reprendre rendez-vous avec lui, mais je crois qu'il est assez débordé » Damon disait. Il tourna ensuite sa tête pour regarder Sarah.

« Oui en effet, la prochaine disponibilité est dans 3 mois « Sarah disait, mais elle sourît

« Ha non, vous avez de la chance Madame Bennett, vous pouvez avoir rendez-vous dans 2 jours « Sarah continua sous les yeux confus de Damon.

« Madame Bennett ? » Damon releva étonné car elle ne lui avait pas donné ce nom. Lucy hocha la tête

« Oui, Vaughn c'est mon épouse et j'ai tendance à le donner, j'ai encore dû mal à m'habituer à dire mon nom de jeune fille « Lucy avoua mal à l'aise. Damon hocha la tête

« Je comprends »

« C'est une question étrange, mais vous avez un lien de famille avec l'agent Bonnie Bennett » Damon demanda subitement se sentant stupide de poser cette question alors que ce nom était répandue. Lucy soupira

« Si je dis que c'est ma sœur est ce que vous allez me renvoyez chez moi parce que c'est souvent ce qui arrive lorsque je le dis « Lucy disait à un Damon qui s'étonna. Quelle coïncidence ? Il ne croyait étrangement pas aux coïncidences, mais il allait commencer par y croire avec Bonnie Bennett. Depuis sa première rencontre, il n'avait fait que la croiser.

« Vous êtes sa sœur « Il répéta étonné et à cet instant Sarah et Lucy pouvaient voir la confusion sur le visage de Damon.

« Rassurez moi ma sœur s'est bien comporté avec vous « Lucy demanda. Damon se réveilla de ses pensées.

« Alors vous voulez reprendre rendez-vous avec Maître Vasquez et revenir dans deux jours « Damon demanda perturbé ce que Lucy remarqua. Lucy regarda ses dossiers puis secoua la tête de gauche à droite

« Ok pour votre collègue »

« Je vais la prévenir « Damon disait. Il traversa le couloir pour rejoindre le bureau de Cécile qui était seule en train de bosser. Il fixait Cécile hésitant avant de se décider à toquer à sa porte. La femme blonde aux yeux bleus releva de suite la tête. Damon ouvra la porte pour pencher son corps.

« Cécile « Damon disait, mais avant même que Damon parle, Cécile parla

« Dit moi c'est normal que je n'arrive pas à joindre Elena depuis ce matin « Cécile demanda

« Je comprends qu'en tant que patron, vous êtes overbooké, mais elle pourrait prévenir, ce n'est pas la première fois et ça commence à me peser « Cécile continua

« Je t'invite à voir ça avec elle « Damon répondit de suite. Cécile soupira et Damon allait parler, mais Cécile le coupa comme elle aimait faire.

« Tu ne veux pas reprendre le pénal comme ça je bosse avec toi » Elle disait. Elle se leva pour s'approcher de Damon avec ses talons aiguilles.

« J'adore ta femme, mais elle est trop solo ça m'agace, Rebecca me manque et tu me manques aussi « Cécile disait une fois face à Damon.

« Comme je viens de te dire je ne suis pas le bureau des plaintes, écoute si tu as des cas urgents à voir, passe à mon bureau tout à l'heure on les verra ensemble « Damon disait ce qui fît sourire Cécile. Cette dernière esquissa un sourire contente.

« Maintenant est ce que je peux en placer une « Il demanda. Cécile hocha la tête

« Oui que puis-je faire pour toi « Cécile demanda. Damon la fixa un moment. Il devait lui demander si elle pouvait prendre Lucy Bennett, mais il la fixait silencieusement troublant Cécile.

« Damon « Cécile déclara tout en mettant une main sur ses yeux. Damon se réveilla de ses pensées subitement.

« Oui quoi ? » Il demanda.

« J'attends que tu me parles « Cécile avoua. Damon se ressaisit

« Oui, écoute, finalement c'est bon « Damon se mît à dire troublant Cécile.

« vraiment ? « Cécile demanda. Damon hocha la tête

« je vais m'en charger « Il se contenta de répondre. Il referma la porte puis rebroussa chemin. Il revînt à l'accueil

« Je suis désolé, ma collègue n'est pas disponible, elle a eu un imprévu de dernière minute » Damon déclara à une Lucy qui trouvait que cela faisait beaucoup d'imprévu, mais Damon n'avait pas pu résister à essayer d'en apprendre plus.

« Je vais m'occuper de vous » Damon continua étonnant Lucy.

« Je ne vais pas vous manger, je vous rassure, je ne vous force à rien « Damon disait. Lucy rigola réalisant qu'elle était déstabilisée à l'idée de changer d'avocat.

« Ok « Elle répéta beaucoup plus à l'aise face à la prestance de Damon. Damon la guida en direction de son bureau. Il la fît entrer.

« Je vous fais patienter juste quelque seconde je dois parler à ma standardiste « Damon disait. Il s'en alla sous les yeux de Lucy.

« Sarah « Damon disait attirant l'attention de la standardiste. Cette dernière releva les yeux pour le regarder mal à l'aise.

« La prochaine fois prévient moi dans ce genre de situation, il n'a pas à te mettre en porte à faux pour ça, je suis ton patron, pas lui « Damon disait à la standardiste qui était mal à l'aise à l'idée de balancer ses collègues.

Damon entra à son bureau auprès de Lucy qui était debout en train de regarder les tableaux sur le mur de Damon.

« Vos tableaux sont magnifiques c'est de l'art Bulgare non « Lucy disait étonnant Damon. Damon hocha la tête, il resta debout près de sa chaise

« Oui, c'est la touche personnelle de ma femme, elle est Bulgare « Damon avoua.

« Vous vous y connaissez ? » Damon demanda. Lucy hocha la tête

« Je m'intéresse beaucoup « Lucy avoua. Elle se retourna pour regarder Damon qui pouvait voir à cet instant la ressemblance entre Bonnie et Lucy.

« J'ai le droit à un traitement de faveur parce que je suis la sœur de Bonnie « Lucy demanda. Damon s'étonna, il rigola tout en s'asseyant sur son fauteuil invitant Lucy à faire de même.

« Pourquoi pensez ça ? » Damon demanda. Lucy haussa les épaules

« Parce que ce n'est pas la première fois que je viens ici, que ce n'est pas la première fois que Maître Vasquez me fait patienter et qu'on s'est croisé à plusieurs reprises « Lucy avoua étonnant Damon qui ne se souvenait pas l'avoir croisé. Lucy regardait Damon et elle pouvait voir que ce dernier ne se souvenait pas.

« Vous êtes un fan de mon mari, Galen Vaughn « Dès qu'elle dit ça Damon ouvra les yeux en grand.

« Oui, on s'est croisé à une soirée caritative il y a deux ans non ? » Damon demanda surprenant Lucy qu'il se souvienne. Lucy hocha la tête

« J'imagine que sans mon mari je ne suis personne « Lucy disait à un Damon qui secoua la tête de gauche à droite

« Je suis désolé je ne me souvenais plus et c'est vrai j'ai longtemps été fan de votre mari enfin non mon meilleur ami était fan des exploits de votre mari au lycée, lorsqu'il a commencé la formule un, c'était « Damon regardait le vide repensant à cette époque. Il se réveilla de ses pensées pour regarder Lucy.

« Votre meilleur ami n'est plus fan de mon époux ? « Lucy demanda étonnant Damon par sa question.

« Vous avez dit était ? » Elle continua, mais elle comprît qu'elle n'aurait pas dû poser la question lorsqu'elle vît le visage déconcerté de Damon.

« Il est mort « Damon disait seulement surprenant Lucy.

« Je suis désolée « Lucy disait. Damon et elle se regardèrent avant que Lucy parle.

« A quelle point vous êtes proche de Bonnie ? » Lucy demanda étonnant Damon qui ne s'attendait pas à cette question.

« Si vous êtes fan de mon mari j'imagine que vous n'êtes pas très proche « Lucy continua. Damon fronça les sourcils

« Pourquoi ça ? « Lucy l'admirait un moment

« Parce que Bonnie ne peut pas voir Galen en peinture, mon mari et elle, se détestent « Lucy secoua la tête de gauche à droite

« Enfin non, Bonnie ne déteste personne, elle se montre juste ignorante et blessante « Lucy continua à un Damon qui comprît que les relations avec Bonnie devait être compliquée.

« Et je n'ai pas envie qu'il y ait un conflit d'intérêt parce que ma présence la concerne « Lucy avoua. Damon hocha la tête

« Ok je comprends « Damon disait. Comment résumer sa relation avec elle ? C'était assez simple, il avait couché avec elle, et il se montrait assez concerné par elle pour prendre Lucy en rendez-vous parce que la curiosité est un vilain défaut, mais il n'allait pas dire tout cela.

« Je ne suis pas proche d'elle, on a travaillé sur une affaire ensemble c'est tout «

« ce qui se passe à ce bureau reste à ce bureau « Damon disait à une Lucy qui fixait Damon dans les yeux afin de voir s'il disait la vérité. Etrange se disait Damon, Lucy ne semblait vraiment pas vouloir que Bonnie soit au courant de leur échange.

« Alors vous me promettez que rien ne sortira d'ici « Lucy demanda. Damon hocha la tête.

« Je vous le promets « Damon disait. Lucy hésita à parler avant de se lancer.

« Alors voilà, je suis en plein instance de divorce, mais ce n'est pas pour ça que je suis là c'est pour une affaire de famille « Lucy disait. Elle sortît une lettre pour la montrer à Damon qui lu la lettre qui était destiné au père de Lucy.

« Mon père a reçu une lettre, ma grand-mère était l'écrivain Shelby, vous ne connaissez sûrem » Lucy n'eut pas le temps de finir que Damon parla.

« Sheila Bennett alias Shelby la romancière « Il disait à une Lucy qui esquissa un sourire en voyant l'étonnement de Damon.

« Attendez Bonnie est la petite fille de Sheila Bennett « Damon disait étonnant Lucy qui remarqua à cet instant que la seule chose qu'il avait étonné était que Bonnie soit sa petite fille. Lucy hocha la tête

« Oui » Damon esquissa un sourire

« Ma femme et moi on adore ses livres « Damon disait.

« Moi aussi j'adore ses livres « Lucy avoua.

« Après sa mort, ma grand-mère a confié ses manuscrits non parus à Bonnie « Lucy disait. Elle montra le testament à Damon. Ce dernier lu le testament sous les yeux de Lucy.

« Elle nous a légué à mes parents et moi, le fruit de la vente de ses anciens livres, ce qui est un patrimoine assez important, mais à Bonnie, elle lui a confié ses livres non parus, des livres qui vous comprenez bien ont pris de la valeur suite à la mort de ma grand-mère « Lucy disait à un Damon qui hocha la tête

« C'est une richesse les livres non parus au vu de la popularité des bouquins « Damon disait. Lucy hocha la tête

« Oui « Lucy disait.

« Le problème est que ma mère avait signé un contrat à durée indéterminée avec sa maison d'Edition et le contrat stipule bien que tous les livres écrits par Sheila Bennett, Shelby appartiennent à la maison d'Edition « Lucy continua. Elle donna le contrat qu'avait sa grand-mère avec la maison d'Edition. Damon releva la tête pour regarder Lucy.

« C'est plutôt claire « Damon avoua. Lucy hocha la tête

« Sauf que Bonnie refuse de donner les livres à la maison d'Edition, elle refuse de publier les livres et du coup ils réclament de l'argent à mon père en guise de dédommagement, mais mon père n'a pas cette argent « Lucy avoua. Damon hocha la tête

« Je comprends bien, mais que voulez faire, cette histoire semble concernée la maison d'Edition et votre sœur « Damon disait à une Lucy qui fixait Damon un moment.

« Je veux remettre en cause le testament de ma grand-mère et me porter civil avec la maison d'Edition » Lucy disait surprenant Damon.

« La maison d'Edition accepte de laisser mon père tranquille si nous allons au tribunal contre ma sœur « Lucy continua. Damon fixait Lucy légèrement confus

« Vous voulez vraiment en arriver jusque-là ? » Damon demanda. Lucy s'étonna en voyant le regard désapprobateur de Damon.

« Bonnie ne nous laisse pas le choix » Lucy disait.

« Parce qu'elle refuse constamment de communiquer avec nous, qu'elle ne se soucie pas du sort de mes parents, et de la volonté de ma grand-mère, ce n'est qu'une gamine qui souffre de la perte d'un être chère, mais là si elle continue comme ça mon père va tout perdre « Lucy continua. Damon regardait Lucy sans rien dire.

« Et ce qu'a écrit ma grand-mère avant de mourir est tous ce qui nous reste d'elle « Lucy avoua

« Bonnie n'a pas le droit de nous empêcher de faire notre deuil » Damon regardait Lucy.

« Le contrat de ma grand-mère est très claire regardez-le « Lucy disait à un Damon qui examinait le contrat depuis tout ce temps. Il releva la tête du contrat.

« Peut-être que vous devriez en parler avec elle ? » Damon avoua. Lucy rigola

« Vous ne la connaissez vraiment pas « Lucy disait comme une évidence.

« Non, je ne la connais pas vraiment, mais « Damon hésita

« Je connais la famille et c'est compliqué de se mettre à dos un membre de sa famille « Damon continua.

« Que voulez-vous réellement ? La parution des livres, ou que la maison d'Edition arrête ce harcèlement envers votre père » Damon demanda. Lucy regardait Damon confuse

« L'un ne va pas sans l'autre, le seul moyen pour que la maison d'Edition arrête est que Bonnie se décide à donner les livres « Lucy disait. Damon secoua la tête de gauche à droite tout en lisant le contrat de la grand-mère de Bonnie.

« Le contrat de la maison d'Edition est assez claire effectivement, mais il est très bancale juridiquement parlant » Damon avoua. Lucy s'étonna à cet instant ne s'attendant pas à ce que Damon dise ça.

« Désolée de dire ça, mais votre grand-mère s'est fait avoir avec ce contrat, après vu l'époque, cela n'est pas étonnant, beaucoup d'écrivain se sont fait avoir « Damon continua. Lucy fixait Damon étonné

« Vraiment, alors Bonnie n'est pas obligé de donner les manuscrits qu'a écrit ma grand-mère « Lucy demanda à un Damon qui lisait le contrat encore une fois.

« Oui et vous devriez même réclamer plus pour les livres vendus, là ce que vous touchez tous les mois pour les livres vendus, vous pouvez maintenant toucher le double « Damon avoua à une Lucy qui ne s'attendait pas du tout à ça.


« Bonjour Agent Bennett, Agent Devereaux, je suis l'agent Felicity Smart « La femme disait en serrant la main de Bonnie et Sophie une fois qu'elles étaient entrés dans le bureau de l'agent en charge de l'affaire sur le décès de Simon Stuart. L'Agent Smart était une femme petite avec une queue de cheval habillé en garçon manqué, elle portait un sweat noir et un jean noir avec des baskets. Bonnie avait l'impression de se voir à cet instant.

« Alors vous êtes là au sujet de la mort de Simon Stuart ? « L'agent Smart demanda. Sophie et Bonnie s'assirent sur les deux sièges face à l'Agent Smart qui s'était assis à sa place.

« C'est sympa ici, vous avez un bureau à vous tout seul « Bonnie disait en regardant le bureau de l'agent. Dire qu'eux était obligé de cohabiter avec les hommes se disait Bonnie.

« Oui, on enquête sur Régina Brook, cette dernière a tenté de tuer son époux, mais nous n'avons aucun mobile » Sophie avoua

« Mais en enquêtant on a réalisé que Simon Stuart avait essayé de joindre à plusieurs reprises Régina Brook » Sophie continua à l'agent Smart qui ouvra les yeux en grand étonné.

« Régina Brook, oui je l'ai interrogé au sujet du suicide de Simon Stuart « Elle avoua. Elle tendît un dossier au dessus de son bureau à Bonnie et Sophie.

« Simon Stuart était obsédée par elle « Elle avoua surprenant Bonnie qui prît le dossier dans ses mains. Elle ouvra le dossier sous les yeux de Sophie.

«Vraiment « Bonnie disait tout en regardant le dossier.

« On a retrouvé des photos d'elle partout dans son appartement, c'était glauque, vraiment glauque » Elle avoua. Bonnie admira les photos, des photos qui étaient prise dans la rue, à son boulot y compris chez elle.

« Effectivement » Bonnie disait.

« Il a pris une trop grande quantité de somnifère « L'agent continua à Sophie qui lisait le rapport d'autopsie.

« Pour être honnête, je n'ai pas cru à la thèse du suicide, lorsque j'ai vu cette obsession qu'il avait sur cette femme, j'ai pensé que Simon Stuart lui avait fait du mal et qu'elle avait un lien avec son suicide, regardez par vous-même » Elle continua à une Bonnie qui hocha la tête

« C'est vrai, qu'un fantasme finit toujours par se produire avec ce genre d'obsession malsaine » Bonnie disait.

« Oui, alors j'ai interrogé Régina Brook et elle m'a assuré qu'elle n'était pas au courant de son obsession, qu'il ne lui avait rien fait » Elle avoua. Bonnie admira les photos

« Vous pensez qu'elle mentait ? » Bonnie demanda. L'agent soupira

« Non, mais en même temps je sentais qu'il y avait quelque chose qu'elle ne me disait pas « Elle avoua.

« Elle m'a dit qu'il y a six mois, il lui avait fait part de ses sentiments et qu'elle avait décliné gentiment, mais au bout d'un moment il a été tellement insistant qu'elle s'est montrée sévère. Elle a remarqué qu'il n'avait pas apprécié, mais à part ça rien d'anormal à noter « L'agent disait en regardant à la fois Bonnie et Sophie. Bonnie prît les photos, confuse.

« C'était quand qu'elle a refusé ses sentiments « Bonnie demanda.

« Avant qu'elle parte en vacance avec son époux " L'agent disait. Sophie regarda l'Agent Smart

« Vous pensez que Régina a un lien avec la mort de Simon Stuart « Sophie demanda. L'Agent Smart soupira

« Non, il a laissé une lettre et on a retrouvé les caméras de surveillance d'un magasin dans lequel il s'est procuré les somnifères « Elle continua. Sophie prît la lettre de suicide qui était dans le dossier.

« Je suis sincèrement désolé, je ne voulais pas vous faire du mal, tous ce que j'ai fait c'était par amour « Sophie disait confuse.

« Avec ces mots, j'en ai déduis qu'il s'en était pris à Madame Brook, mais non « Agent Smart avoua tout en regardant Bonnie. Bonnie regardait les photos que Simon Stuart avait pris.

« On a un rapport sur le profil psychologique de Simon Stuart, obsessionnel, renfermé, intimidé, et le rapport indique qu'il ne représente pas un risque, c'est une blague « Bonnie demanda en regardant l'Agent Smart.

« Ecoutez, d'après les recherches qu'on a fait sur lui, il ne présentait aucun signe obsessionnel avvant Régina Brook et cette dernière n'a pas été victime d'agression alors, il semblerait que Simon Stuart était inoffensif, le genre de personnage voyeur, mais qui ne passe pas à l'action « Elle répliqua à une Bonnie qui la fixait gardant le silence. Elle se concentra de nouveau sur les photos.

Bonnie posa les photos sur le bureau.

« Je peux « Bonnie disait en déplaçant les affaires de l'Agent Smart. Cette dernière hocha la tête

« Oui allez-y « Elle répondit. Bonnie éloigna les affaires du bureau pour poser les photos sur la table.

« Qu'est-ce qu'il y a ? » L'agent Smart demanda. Elle se releva pour se poser à côté de Sophie et Bonnie. Bonnie changea la position des photos.

« Ces photos ont été prise quand ? » Bonnie demanda en montrant une photo de Régina Brook en pyjama chez elle avec le chat de cette dernière. L'agent Smart montra les photos

« Elles ont été prises quand Régina Brook était en vacance, sa sœur gardait son chat « L'agent avoua. Sophie fronça les sourcils

« Donc là c'est les photos de Robine «

« Oui, nous l'avons interrogé elle aussi, mais elle ne connaissait pas Simon Stuart, elle n'avait aucun lien avec lui « Elle continua. Bonnie regarda les photos

« Mais Simon Stuart l'a prise en photo, est-ce qu'il savait que c'était Robine et non Régina, ou est-ce qu'il s'en foutait « Bonnie se mît à dire.

« et qu'il a fait un transfert sur elle « Bonnie avoua surprenant Sophie et Félicity Smart.

« Juste avant de partir à Bali, elle le rejette sèchement, vous imaginez votre fantasme qui dure depuis des mois voire des années vous rejette et ensuite part en vacance avec son époux "

" ce fantasme et cette obsession peut très vite chavier en de la colère et de la haine » Bonnie continua. L'agent Smart s'étonna

« Vous pensez qu'il s'en ai pris à la sœur de Régina « Cette dernière demanda. Bonnie haussa les épaules

« Mon instinct me dit qu'il y a six mois il s'est passé quelque chose qui est en lien avec l'agression de Thomas Brook, et étrangement on apprend que Régina faisait l'objet d'une obsession et qu'elle est partie en vacance avec son époux et que sa sœur est restée chez elle pour garder son chat «

« Cette même sœur qui sans le savoir a été prise en photo par ce Simon Stuart, qui s'est par ailleurs suicidé par la suite «

« Alors, peu importe ce que je pense, je crois qu'il est temps d'interroger Régina Brook « Bonnie disait à une Sophie qui était du même avis que Bonnie. Cette histoire était louche.

« Mais quel est le rapport avec le fait que Régina Brook a poignardé son époux « Féliciy demanda, mais Sophie et Bonnie ne répondirent rien car elles n'avaient pas la réponse à cet instant.


« Alors vous pensez qu'un accord à l'amiable est possible « Lucy demanda étonné. Cela faisait plus d'une heure qu'elle était avec Damon à son bureau.

« Je pense que vous pouvez même prétendre à plus « Damon avoua. Lucy secoua la tête de gauche à droite

« L'argent n'est pas ce qui nous intéresse, tous ce que je veux c'est que mon père n'ait aucun problème « Lucy continua. Damon hocha la tête

« Je comprends, je peux appeler la maison d'Edition afin de prendre rendez-vous avec leur avocat « Damon continua surprenant Lucy par son efficacité et sa réactivité. Lucy fixait Damon un moment hésitante ce que Damon remarqua.

« Après vous n'êtes pas obligé de m'engager, je ne vous forc »

« Non ce n'est pas ça, c'est juste que Bonnie n'est pas au courant et « Lucy ne termina pas sa phrase mal à l'aise

« Je pense que vu que la situation est en sa faveur, elle ne vous en voudra pas d'intervenir « Damon continua. Lucy rigola subitement face à la naïveté de Damon.

« Vous ne la connaissez pas « Lucy disait. Damon haussa les épaules

« C'est vrai, mais pour le peu que j'ai vu, elle est «

« Juste, gentille, agréable, empathique, rigolote, horrible, quel côté d'elle avez-vous vu » Lucy demanda.

« Parce que depuis que je suis adolescente, tout le monde me parle de ma sœur en des termes différents, aguicheuse, réservée, gentille, méchante, désagréable, agréable, rigolote, tellement de terme pour la définir «

« Quel côté d'elle vous a-t-elle laissé découvrir ? » Lucy demanda surprenant Damon.

« Je ne sais pas quel genre de relation entretenez-vous avec elle, amicale ou professionnel, mais méfiez-vous d'elle « Lucy continua

« Parce que ma sœur est une manipulatrice, elle donne aux gens ce qu'ils veulent entendre, ce qu'ils veulent qu'elle soit, manipuler les gens c'est ce qu'elle sait faire de mieux, quitte à être malheureuse « Lucy disait. Lucy regardait Damon dans les yeux, un Damon qui ne dît rien.

« Votre relation est compliquée avec elle non » Damon continua. Lucy ne dît rien réalisant qu'elle s'emportait à chaque fois lorsqu'il s'agissait de Bonnie parce que Bonnie n'avait pas rendu les choses faciles pour elle et sa famille. Tout était compliquée lorsqu'elle était concernée et leur père avait beau le nier, il souffrait de ça. Il souffrait du fait que Bonnie trouve toujours un moyen d'éviter cette période, il souffrait qu'elle semble souffrir de quelque chose et malheureusement elle ne laissait personne s'approcher d'elle pour essayer de comprendre, y compris sa propre famille, surtout sa propre famille. Bonnie était plus dû genre à s'ouvrir à un inconnu qu'à sa propre famille, quelle ironie non ?

Lucy se ressaisit lorsqu'elle réalisa qu'elle s'était perdue dans ses souvenirs.

« Arès la mort de ma grand-mère, elle n'avait que 16 ans, elle est partie avec un sac à dos et elle a tout quitté « Lucy avoua étonnant son interlocuteur.

« sa famille, son petit-ami Sully, tout et elle a rarement donné de nouvelles «

« Mais en réalité ça m'allait «

« Parce que je sais que c'est quelqu'un sur qui tu ne peux pas compter, les morts passeront toujours avant toi, et les gens ne sont que des pions facile à manipuler pour elle, rien n'est réel, la petite sœur que j'avais est morte à 16 ans « Lucy continua.

« Est-ce dure ? Peut-être, mais c'est comme ça « Elle termina refusant d'en dire plus. Ils se regardèrent laissant le silence envahir la pièce avant que Damon se ressaisise afin de briser le malaise qui s'était installé.

« Ok, je vous laisse voir avec elle si vous préférez avant de faire quoi ce soit « Damon se contenta de répondre mal à l'aise car il se rendait compte qu'il s'immisçait dans une vie qui ne le concernait pas. Il avait forcé les coïncidences en prenant Lucy en rendez-vous, mais ce que cette dernière lui disait sur Bonnie, lui faisait regretter d'avoir joué à ce jeu.


Affaire Jane Doe

Klaus et Marcel sortaient tous les deux de la voiture pour rejoindre le restaurant, ce fameux restaurant que leur victime Bulgare avait fréquenté avant de mourir, mais ils s'arrêtèrent de suite lorsqu'ils virent des policiers déjà sur place. Ils avancèrent

« Qu'est-ce que vous faite là ? Police de San Fransisco » Klaus disait en montrant sa plaque, mais il comprît très vite lorsqu'il vît une femme brune aux yeux verts sortir du restaurant avec une tenue de la CIA. Elle s'avança tout en retirant ses lunettes de soleil.

« Je devrais vous retourner la question que faite vous là « Elle disait.

« Fais chier c'est toi qui ont envoyé « Klaus disait à la femme qui haussa les épaules tout en mettant ses lunettes sur sa tête.

« J'ai un malin plaisir à te torturer Nick tu sais bien « Elle disait. Elle tourna sa tête pour regarder Marcel.

« Marcel, toujours un plaisir de te voir « Elle disait en s'avançant pour faire la bise à Marcel. Ce dernier lui fît la bise tout en murmurant à son oreille.

« Ne me l'énerve pas trop après c'est moi qui subit les conséquences « Marcel murmura. La femme rigola puis recula

« Tu as bien du courage pour le supporter, moi j'ai cessé très vite « Elle continua.

« Et alors comment va ma fille ? J'ai appris qu'elle n'était pas à l'école aujourd'hui alors « Elle disait en regardant le père de sa fille.

« Hayley commence même pas « Klaus disait à son ex-femme. Hayley esquissa un sourire avant de lever les mains

« Ok c'est ta semaine, tu gères, sinon désolée les gars, mais c'est du ressort de la C.I.A » Hayley disait. Marcel regarda derrière pour voir que les agents d'Hayley emmenaient des cartons.

« Tu ne peux pas nous refiler des infos « Marcel demanda. Hayley secoua la tête de gauche à droite

« Pas sur ce coup-là, les gars on a trop gros à jouer » Hayley disait. Elle se retourna

« On se retrouve aux postes, je dois récupérer les infos que vous avez eu « Hayley disait puis s'en alla sous les yeux de Klaus et Marcel.

« On a eu aucune info tu es au courant, tu nous as coupé l'herbe sous le pied « Klaus cria à Hayley qui lui fît un doigt d'honneur comme salutation. Marcel tourna sa tête pour regarder Klaus

« Tu ne pouvais pas garder une bonne relation avec elle « Marcel disait à un Klaus qui soupira

« La seule chose bonne qui subsiste entre nous, c'est Hope «


« Désolée pour le retard, je suis là » Bonnie disait. Elle posa un café devant Régina

« C'est pour vous « Bonnie disait. Elle prît ensuite place à côté de Sophie. Elle donna le café à Sophie avant de prendre place.

« Vous avez commencé ? » Bonnie demanda. Sophie secoua la tête de gauche à droite

« On t'attendait » Sophie disait

« Mais on peut commencer « Sophie déclara. Sophie posa ses deux mains

« Vous avez poignardé votre époux à plusieurs reprises « Sophie disait à Régina qui fixait la table encore désemparé par ce qui s'était passé.

« 8 fois « Sophie continua. Elle montra les photos à Régina, mais Régina dévia son regard

« On m'a dit que Thomas va bien c'est vrai, vous avez pu le voir « Régina demanda, mais Sophie parla

« Vous aurez des nouvelles de lui lorsque vous aurez répondu à nos questions « Sophie disait froidement. Régina releva la tête pour regarder Sophie

« J'ai déjà répondu à vos questions, je ne sais pas pourquoi je l'ai poignardé, j'aime mon mari, et il m'aime aussi et tout était parfait jusqu'à « Régina s'arrêta subitement.

« Jusqu'à quand ? Jusqu'à que vous le poignardez ou bien avant « Sophie demanda. Régina referma de suite la bouche. Bonnie restait assise à côté de Sophie les jambes croisées.

« Qu'est ce « Régina n'eut pas le temps de parler car Sophie la coupa

« Qu'est ce qui s'est passé ? il y a six mois, à votre retour de vacance « Sophie demanda subitement et à cet instant le corps de Régina se raidit.

« J'ai poignardé mon mari, je vais être jugé alors qu'est-ce que vous voulez ? » Régina demanda.

« Je veux que vous me racontiez ce qui s'est passé à cette période «

« Tout le monde est d'accord pour dire que vous vous êtes renfermée sur vous-même, que vous étiez distante et agressive parfois » Sophie continua, mais Régina commença à agiter ses mains. Elle passa sa main sur sa nuque.

« Je veux un avocat «

« Ok « Sophie se leva ensuite puis sortît de la salle d'interrogatoire pour prévenir ses coéquipiers qu'il fallait un avocat. Régina regarda en direction de Bonnie, une Bonnie qui parla.

« Qu'est ce qui s'est passé entre votre sœur et vous ? « Bonnie demanda subitement. Sophie revint s'asseoir à cet instant.

« Vous avez essayé de la joindre à plusieurs reprises, mais elle ne vous a jamais répondu, à vrai dire il semblerait que vous vous parliez très peu au téléphone, des conversations de 5 minute en revanche vous passiez beaucoup de temps chez elle « Régina haussa les épaules

« On passe tout le temps du temps ensemble, Robine c'est « Régina s'arrêta car elle avait dû mal à parler.

« Ma vie, c'est toute ma vie c'est comme ça peu importe si j'ai un mari, si elle a un copain, on est lié « Régina continua sous les yeux de Bonnie qui pouvait voir la sincérité dans les yeux de Régina à cet instant. Bonnie hocha la tête

« C'est ce qui se dit des jumeaux « Bonnie disait.

« C'est mignon » Bonnie continua. Elle hocha la tête. Sophie montra la photo du cadavre de Simon Stuart qu'elle posa sur la table. Régina fixait la photo paralysée

« Vous le connaissez ? » Sophie demanda. Régina hocha la tête sans dire un mot.

« Vous avez été interrogé par la police suite à son suicide, Simon Stuart semblait avoir une obsess » Sophie n'eut pas le temps de terminer car Régina parla.

« Je ne savais pas, je ne savais pas « Régina disait

« Je ne savais pas qu'il avait pris toute ses photos « Régina avoua. Sophie montra ensuite une seconde photo, la photo de Robine chez elle.

« Y compris une photo de votre sœur lorsque vous êtes parti en vacance « Sophie continua et dès que Régina vît la photo, cette dernière fixa la photo silencieusement. Elle caressa son front avec sa main avant de repasser ses mains sur sa nuque. Elle bu son café avant de reprendre sa respiration, mais c'était compliqué.

« Vous allez bien ? » Sophie demanda, mais Régina se releva pour mettre ses mains derrière la tête

« Je n'arrive pas à respirer, je n'arrive pas à respirer « Elle disait. Elle s'accroupît par terre les mains derrières sa tête.

« Je vais appeler une ambulance « Sophie disait. Elle s'en alla ensuite laissant Bonnie qui s'approcha de suite de Régina pour l'aider.

« Je ne peux pas parler, je ne peux pas respirer, je ne peux rien faire « Bonnie s'accroupît puis posa ses mains sur les joues de Régina pour la forcer à la regarder.

« Vous pouvez respirer, il vous suffit de prendre une profonde inspiration et ensuite de souffler « Bonnie disait en regardant Régina dans les yeux, une Régina qui essayait en vain. Régina regarda Bonnie dans les yeux.

« Respirez « Bonnie continua à une Régina qui subissait une crise de panique.

« Je ne savais pas « Régina se mît à dire en pleurant sous les yeux de Bonnie.

« Tout est de ma faute » Régina continua. Bonnie prît Régina qui s'allongea par terre pour poser sa tête sur les genoux de Bonnie.

« Tout est de ma faute, ça aurait dû être moi « Régina continua sous les yeux de Bonnie qui releva la tête lorsqu'elle vît la porte s'ouvrir. Sophie fronça les sourcils confuse lorsqu'elle vît Régina pleurait par terre. Les ambulanciers entrèrent ensuite dans la pièce pour emmener Régina avec eux laissant Bonnie et Sophie dans la salle d'interrogatoire.

« Qu'est ce qui vient de se passer ? » Sophie demanda. Bonnie allait parler, mais elle entendît son téléphone sonnait. Elle vît le numéro de son père, elle ignora alors pour parler à Sophie.

« Faut convoquer Robine Brook « Bonnie disait.

Elle allait continuer, mais elle vît un message de son père. Bonnie fixait le message ce qui ne rassura pas Sophie qui pouvait voir à cet instant sur le visage de Bonnie quelque chose qui ressemblait à de la colère.

Bonnie releva la tête pour regarder Sophie.

« Je dois aller quelque part » Bonnie disait

« Convoque Robine Brook » Bonnie se releva tout en regardant son téléphone.

« Ensuite, appelle Monsieur Brook et demande lui exactement ce qui s'est passé avant que sa femme le poignarde « Bonnie continua

« Et attends-moi » Bonnie disait avant de s'en aller. Elle courra troublant Sophie qui sortît de la salle d'interrogatoire.

« Tu vas où ? » Sophie hurla.

« Je vais buter ma sœur « Bonnie cria dans tout le commissariat. Elle descendît puis traversa l'accueil en furie ignorant Hayley qui entra dans le commissariat afin de récupérer les dossiers sur la victime de Klaus et Marcel. Hayley tourna de suite son corps lorsqu'elle vît Bonnie passait. Elle s'étonna puis traversa l'accueil et monta dans l'ascenseur pour rejoindre le bureau du chef Gordon. Elle traversa le couloir une fois à l'étage puis entra dans le bureau.

« Maman » Hope cria étonnant Hayley qui vît à cet instant sa fille courir en sa direction. Hayley enlaça sa fille qui avait entouré ses bras autour de la taille de sa mère, sous les yeux de Stefan et Tyler qui étaient étonné de voir Hayley ici.

« Chéri, qu'est-ce que tu fais là ? » Hayley disait.

« Papa m'a autorisé à être ici » Hope disait. Elle s'éloigna pour regarder sa mère qui allait parler, mais Klaus et Marcel arrivèrent.

« Ta mère vient pour me piquer mon enquête « Klaus disait froidement en posant ses affaires sur le siège.

« Alors c'est vrai Bonnie Bennett a rejoint votre brigade ? « Hayley demanda étonnant les garçons.

« Tu la connais ? » Klaus demanda. Hayley rigola

« Qui ne la connait pas, c'est la protégé de Hugh Portman « Hayley disait, mais elle perdît son rire lorsqu'elle vît le regard confus des garçons.

« Hugh Portman, ancien agent secret, directeur d'une des plus grandes cellules criminologique au monde, ce mec est une légende « Hayley disait aux garçons qui ne connaissaient pas tous ces bureaucrates, eux avaient tous été des hommes de terrain, Tyler avait été soldat, Marcel avait longtemps été dans la brigade des mœurs tout comme Klaus et Stefan avait eu plusieurs parcours différents.

« Papa ne supporte pas cette femme « Hayley fixait Klaus, un Klaus qui s'étonna en voyant le sérieux sur le visage de son ex-femme.

« Fais attention Nick » Hayley disait surprenant tout le monde à cet instant.

« Bonnie Bennett est très bien protégée et je suis plutôt étonnée qu'elle ait choisi de travailler pour vous alors que le FBI avait l'intention de la promouvoir et qu'elle bénéficiait des recommandations de Hugh Portman « Hayley avoua surprenant à cet instant les garçons. Klaus allait en demander plus, mais chef Gordon sortît de son bureau à cet instant.

« Agent Labonnair » Le chef Gordon disait.

A cet instant, ils comprirent que chef Gordon était intervenu pour ne pas qu'Hayley en dise trop sur les relations de Bonnie, et cette dernière le comprît aussi en voyant le regard du chef Gordon.

« J'ai les dossiers pour vous « Ce dernier disait après avoir installé un malaise entre tout le monde.


La petite fille descendait les escaliers de la cave confuse. Elle avait eu soif, mais elle avait entendu des bruits étrange dans la cave alors elle descendait les escaliers de la cave, mais elle se paralysa lorsqu'elle fît une flaque de sang par terre. Elle regardait le sang confus.

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien « Sheila Bennett disait à la petite fille qu'était Bonnie.

« Ça vous dit de travailler pour moi en tant que profiler « Hugh Portman disait

« Qu'est ce qui te prends de l'embaucher Hugh, cette femme est instable psychologiquement, sa place n'est pas parmi nous «

« Tu sais pertinemment que ce n'est pas le profilage le problème, tu es excellente dans ce domaine, mais tant que tu ne régleras pas ton passé tu ne trouveras ta place nulle part alors croire qu'en quittant le profilage tu résoudras tes problèmes Bonnie, croire qu'auprès du FBI, tes problèmes disparaitront, c'est naïf et stupide de ta part « Hugh Portman disait

« Je suis Katherine Pierce bienvenu au FBI »

« Katherine, tu es ma seule amie au cas où tu ne le saurais pas «

« Je le sais, je te connais Bonnie Bennett, je suis peut-être moins intelligente que toi, mais je suis assez maligne pour savoir que quelque chose t'es arrivé et ce quelque chose que tu caches au fond est en train de te bouffer sans que tu le réalise alors un conseil, parle en à quelqu'un même si ce n'est pas moi « Katherine Pierce disait.

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous « Sheila Bennett disait sur son lit d'hôpital à Bonnie.

« J'ai cédé, ce n'est plus qu'une question de temps avant que tu cèdes, tu as déjà cédé après ce que tu m'as fait «

« C'est le moment Bonnie « Sully cria

« C'est le moment pour toi de me choisir, alors choisi moi peu importe ce que tu traverses, peu importe les pensées dépressives et triste que tu as, peu importe ton passé, je m'en fous, j'accepte tout, je te prends en totalité, toi rien que toi tu n'as juste qu'à me choisir, alors choisis moi «

Bonnie sortît de l'ascenseur en furie sous les yeux de la standardiste qui allait parler, mais Bonnie la coupa.

« Je cherche Maître Vasquez, je crois que ma sœur Lucy Bennett est avec lui « Bonnie disait à la standardiste qui hésita à parler face à la froideur de Bonnie.

« Où est-il « Bonnie demanda. Sarah hésita à parler, mais lorsqu'elle vît Maître Vasquez sortir de son bureau, elle parla pour ne pas que Bonnie s'en prenne à lui.

« Votre sœur est avec Maître Salvatore « Sarah disait surprenant Bonnie. Elle se mît à rire

« Pourquoi ça ? « Bonnie demanda se demandant si c'était une coincidence.

« Maître Vasquez était occupé alors « Bonnie n'attendît pas la suite qu'elle recula puis se retourna pour se diriger vers le bureau de Maître Salvatore. Ce bureau elle le connaissait.

« Mais ils sont en r » Bonnie ignora la standardiste pour se diriger vers le bureau de Damon.

Elle entra dans le bureau de Damon pas étonné lorsqu'elle vît Lucy et Damon. Lucy se retourna tout en se levant.

« Bonnie qu'es » Lucy n'eut pas le temps de parler car Bonnie la prît par le bras.

« Toi et moi on va discuter « Bonnie disait à une Lucy qui retira son bras de suite se doutant que sa mère ou son père avait sûrement dit à Bonnie.

« Il n'y a rien à dire « Lucy disait sous les yeux de Damon qui se releva pour regarder les deux sœurs.

« Je pense qu'on devrait discuter « Damon disait en regardant Bonnie espérant attirer son attention, mais Bonnie ne le fixait pas. Elle regarda Lucy.

« Tu veux quoi ? Tu veux récupérer les livres de Sheila c'est ça pourquoi ? Parce que Galen va te ruiner et tu as besoin d'argent « Bonnie disait blessant Lucy qui savait pertinemment l'image que Bonnie avait d'elle. L'image d'une femme entretenue, qui avait toujours dépendu des hommes pour vivre contrairement à elle qui ne dépendait de personne.

« Tu sais si tu as besoin d'argent Lucy, fait comme tout le monde trouve toi un job » Lucy rigola

« Tu crois que c'est à propos de moi, c'est à propos de Papa, il reçoit des lettres de menace tous les jours, il le menace de le ruiner Bonnie depuis des années et toi tu en as rien à faire « Lucy disait à une Bonnie qui rigola

« Quoi ? Maintenant tu te soucie de ton pauvre Papa « Bonnie disait refusant d'entendre les reproches de Lucy sur sa relation avec son père alors que Lucy aussi avait abandonné son père dès qu'elle avait trouvé refuge auprès de Galen.

« Et toi tu en as rien à faire de lui « Lucy disait à une Bonnie qui préféra ne pas rebondir parce qu'elle refusait de se justifier sur les choix qu'elle avait fait et les relations qu'elle avait détruite, que ce soit avec ses parents, sa sœur, Sully, avec tous ceux qui essayaient d'en apprendre plus, qui essayaient de trouver quelqu'un qu'elle n'était pas.

« Même pas un coup de fil, rien tu n'es jamais venu alors qu'il avait besoin de toi, tu sais combien c'est dure chaque année pour lui cette période et toi tu en as rien faire, tu préfères passer tes soirées avec n'importe qui qu'avec ta famille » Lucy continua décidé à ignorer l'agacement de Bonnie, un agacement que Damon pouvait voir à cet instant. Ce dernier allait parler, mais Lucy continua le coupant.

« Je sais que tu es encore perturbé par la mort de Grand-mère, je sais que ça a été très dure pour toi, mais ça a été dure pour tout le monde, moi la première « Lucy disait à une Bonnie qui regardait Lucy avant de sourire refusant d'entendre ces conneries encore et encore surtout face à Damon Salvatore.

Dure pour elle ? elle avait envie de rire à cet instant, elle avait envie de lui cracher à la gueule en quoi ce qu'elle pensait être dure n'était rien comparé à ce qu'elle, elle ressentait tous les jours.

Elle avait envie, comme elle avait eu envie de le dire à son père, à Sully, à tous ces gens qui comptait et qui ont compté pour elle, mais non, elle n'avait jamais cédé à cette envie quitte à pourrir de l'intérieur. La pourriture, elle pouvait vivre avec et si elle devait être insensible et antipathique pour empêcher la parution des livres, alors elle le serait.

« Ne me force pas Lucy à te faire chanter pour que tu arrêtes cette idée stupide qui t'a traversé l'esprit « Bonnie disait étonnant Lucy qui à cet instant pouvait voir que Bonnie ne rigolait pas, que son avertissement de ce matin était d'actualité.

Lucy fixait Bonnie confuse et allait lui demander pourquoi elle réagissait comme ça à la simple parution de livre, alors que leur grand-mère était décédée depuis des années.

« Parce que si tu touches à mes affaires alors je toucherai les tiennes et je dirais à tes enfants adorés que si Galen divorce c'est parce que tu n'as pas pu t'empêcher d'aller voir ailleurs « Bonnie disait, mais dès qu'elle termina Lucy gifla Bonnie sous les yeux grands ouverts de Damon. Comment savait-elle ? se demandait Lucy, mais avant tout comment pouvait-elle sortir ça aussi facilement.

« Ecoutez, ça ne ser »Damon n'eut pas le temps de parler car Bonnie tourna sa tête pour regarder Lucy.

« J'appelle Sacha tout de suite c'est ce que tu veux » Bonnie continua. Elle prît son téléphone pour composer le numéro de Sacha sous les yeux grands ouverts de Lucy et Damon. Elle n'allait pas faire ça se disait Damon à cet instant. Non, elle ne pouvait pas faire ça à sa sœur.

Elle mît hautparleur pour entendre son neveu parler.

« Oauw, tante Bonnie depuis quand tu m'appelles qu'est ce qui se passe ? » Sacha disait. Bonnie haussa les épaules tout en souriant jouant la comédie face à Damon qui à cet instant comprît ce que voulait dire Lucy, sur Bonnie et ses manipulations. Elle fonctionnait comme ça, elle ne savait faire que ça.

« Rien de particulier, je voulais prendre des nouvelles tu vas bien ? « Bonnie disait en souriant. Elle regarda Lucy qui la fixait choquée tout comme Damon qui n'appréciait pas ce qu'il voyait.

« Oui ca va, mais sans vouloir t'offenser, qu'est ce que tu veux ? » Sacha continua ce qui fît sourire Bonnie.

« Bon tu m'as eu, je suis avec ta mère pour être honnête, et son portable n'a plus de batterie alors elle voulait te parler hein Lucy « Bonnie disait en regardant Lucy, une Lucy qui secoua la tête de gauche à droite

« Chéri je te rappelle « Lucy disait seulement. Elle prît le téléphone de Bonnie puis raccrocha sous les yeux de Bonnie. Lucy regarda Bonnie choquée

« Que tu en ais rien à faire de moi j'ai l'habitude, mais de tes neveux comment tu peux être aussi insensible « Lucy disait à une Bonnie qui fixait Lucy ne montrant aucune expression.

« Si j'en ai rien à foutre de toi, ce n'est pas d'eux dont je vais me soucier Lucy « Bonnie disait à une Lucy qui la gifla encore une fois. Lucy prît ensuite ses affaires

« Tiens récupère tout, je ne me mêle plus de tes affaires, si tu veux faire souffrir Papa c'est ton problème » Lucy disait. Elle passa à côté de Bonnie

« Maître, désolé de vous avoir fait perdre votre temps « Lucy disait avant de s'en aller laissant Damon et Bonnie seuls. Bonnie regarda en face d'elle sous les yeux de Damon qui la regardait désemparé. Bonnie toucha sa joue pour essayer d'attenuer les rougeurs apparus. Elle en avait de la force se disait Bonnie à cet instant qui refusait de s'en vouloir pour ce qu'elle venait de faire. Elle fixait le vide

« Qu'est ce qui ne va pas chez vous ? » Damon demanda. Bonnie ignora Damon pour récupérer les affaires qui avaient appartenus à sa grand-mère. Elle récupéra tous les dossiers et les notes que Lucy avait prise.

« La prochaine fois mêlait vous de ce qui vous regarde « Bonnie disait en prenant les affaires . Damon fixa Bonnie pour voir qu'elle semblait se contenir.

« Vous avez été méchante et antipathique « Damon disait à une Bonnie qui rigola. Elle releva la tête pour regarder Damon dans les yeux.

« Si j'avais été méchante et antipathique, je vous aurais dit que je couche avec votre beau-frère « Bonnie disait en souriant paralysant Damon à cet instant.

«Ça c'est méchant et antipathique non « Bonnie disait avant de s'en aller et de claquer la porte sous les yeux grands ouverts de Damon. Ce dernier regardait le vide totalement confus avant de lâcher un rire d'agacement et d'énervement.


« Désolée on attend ma collègue « Sophie disait en regardant Robine Brook qui était assise en salle d'interrogatoire face à Sophie.

« Pas de souci »

Sophie regardait en direction de sa montre. Elle attendait Bonnie, une Bonnie qui était dans les toilettes des femmes accroupît essayant de faire le vide dans sa tête.

Elle avait ses mains sur sa tête à essayer de retrouver sa respiration, une respiration qui se coupait au fur et à mesure qu'elle repensait au passé.

« Grand-mère qu'est-ce que tu fais ? «

« Bonnie retourne te coucher, c'est rien «

Elle savait là, elle savait à cet instant qu'elle faisait une de ces crises de panique à la con, ce genre de crise qu'elle n'arrêtait pas de faire lorsque cette période arrivait.

Bonnie restait accroupît à récupérer sa respiration lorsqu'elle entendît la porte s'ouvrir. Cami O'connell s'arrêta confuse lorsqu'elle vît Bonnie accroupît les mains sur sa tête.

« Agent Bennett ca va « Dès que Cami parla, Bonnie se ressaisit comme si quelqu'un l'avait réveillé de sa paralysie. Elle releva la tête pour regarder Cami.

« Vous allez bien « Cami demanda. Bonnie hocha la tête décidé à mentir surtout à Cami O'connel qui était beaucoup trop curieuse pour elle. C'était son rôle en tant que psy, mais pour Bonnie, Cami O'connell prenait beaucoup trop son rôle au sérieux.

« J'ai une horrible migraine qui ne veut pas s'en aller « Bonnie disait. Elle se releva ensuite tout en reprenant sa respiration sous les yeux de Cami.

« Mais ça va mieux « Elle continua. Elle regarda Cami avant de se diriger vers la porte. Elle allait partir, mais Cami parla

« La porte de mon bureau est toujours ouverte au cas où, si vous avez besoin de parler « Cami disait, mais Bonnie sortît des toilettes sans répondre à Cami.

Elle passa prendre deux bouteilles d'eau. Bonnie entra enfin en salle d'interrogatoire.

« Désolée, j'avais quelque chose à régler avec ma soeur « Bonnie disait. Elle posa une bouteille d'eau devant Robine qui prît de suite la bouteille d'eau.

« Merci beaucoup « Robine disait avant de boire sous les yeux de Bonnie

« Il fait chaud ici, ou peut-être est-ce parce que ma soeur m'a agacé « Bonnie disait en s'asseyant sur la chaise à côté de Sophie.

« Je vous envie d'avoir une soeur jumelle « Bonnie continua. Elle posa la bouteille d'eau sur la table sous les yeux de Robine.

« C'est marrant, on nous dit souvent ça « Robine avoua car Bonnie n'était pas la première à dire cette phrase, une phrase que Robine avait toujours trouvé étrange, parce que sa relation avec sa soeur n'avait rien d'exceptionnel, elles étaient très proches, et elle avait l'idée étrange que toutes les soeurs l'étaient et pouvaient l'être, il n'y avait pas besoin d'être jumelle pour partager un lien très fort avec sa soeur non ?. Robine se ressaisit ensuite

« Votre soeur a été emmenée à l'hopital " Sophie disait subitement surprenant Robine

"Pardon ? Elle va bien ? pourquoi vous ne me l'avez pas dit avant " Robine demanda.

"Calmez-vous,elle va bien, elle a fait une crise de panique " Bonnie se mît à dire essayant de rassurer Robine qui n'était pas du tout rassuré.

« Vous savez ce que c'est ? « Bonnie demanda troublant Robine

" C'est lorsque votre respiration se coupe, lorsque les battements de votre coeur s'accelèrent et que le sang irrigue mal votre coeur, on le subit lors d'un stress, ou d'un sentiment trop intense qu'il est difficile à gérer "Bonnie avoua.

"C'est assez impressionnant d'ailleurs, le pouvoir du cerveau sur notre corps, tous ceux qui pensent que la phrase un esprit sain dans un corps sain est une connerie, devrait s'interroger parce qu'il a été prouvé que l'origine de certaine maladie était le stress et toute cette pression présente là " Bonnie continua en montrant son cerveau. Robine regarda Bonnie perdu puis Sophie

"Vous m'avez fait venir pour un cours sur le cerveau " Robine demanda essayant de ne pas se montrer blessante, mais Bonnie pouvait voir de l'agacement sur son visage. Sophie intervînt à cet instant.

"Non on vous a fait venir parce que nous savons pourquoi votre soeur a poignardé son mari " Sophie disait. Sophie montra des photos de Régina, des photos prise par Simon Stuart. Régina regardait les photos.

" Vous savez sûrement ce que c'est, vous avez été interrogé sur l'enquête du suicide de Simon Stuart " Sophie continua à une Robine qui hocha la tête.

« Oui, il avait une obsession à son sujet "Robine disait en relevant la tête des photos. Sophie fixa Robine avant de parler.

" Nous pensons qu'il a fait dû mal à votre soeur " Sophie disait.

" Qu'il aurait violé plus précisement " Bonnie continua à une Robine qui ne montra aucune expression. Robine secoua la tête de gauche à droite

"Non, elle me l'aurait dit " Robine se mît à dire

"Régina est forte, elle sait se défendre, c'est pas possible " Robine se mît à dire en regardant à la fois Sophie et Bonnie.

" Savoir se défendre ne veut rien dire " Bonnie se mît à dire. Robine tourna sa tête pour regarder Bonnie.

" On se dit toujours que dans ce genre de situation, on se défenderai, mais ce ne sont que des paroles, forte ou pas, cela peut arriver à n'importe qui " Bonnie continua en regardant Robine qui secoua la tête de gauche à droite

"Pas à Régina" Robine se mît à dire étonnant Bonnie et Sophie qui pouvaient voir que Robine avait une grande estime de sa soeur.

" Régina est forte, carieriste et elle a toujours su ce qu'elle voulait faire, elle travaille dans un monde dominé par des hommes et elle a survécu, elle a résisté parce que c'est son caractère " Robine continua

" Elle n'aurait pas laissé un homme l'a touché " Robine continua troublant Sophie

"Il ne l'a pas touché, il l'a violé " Sophie continua. Robine releva la tête pour croiser le regard de Sophie, une Sophie qui pouvait voir de la colère sur le visage de Robine.

"On a interrogé Thomas de nouveau " Bonnie avoua. Robine dévia son regard pour regarder Bonnie.

" Juste avant qu'elle le poignarde, il avait été un peu insistant avec elle, parce que cela faisait un moment qu'il n'avait plus de relation sexuelle " Bonnie se mît à dire.

"Il s'est installée derrière elle pour lui poser des baisers sur la nuque et elle était très distante " Bonnie continua. Elle fît mine de lire son calepin.

"Elle a dit non, mais vous savez les hommes sont très insistants, il aurait dit quelque chose dû genre "Bonnie fît semblant de lire ses notes sous les yeux de Sophie qui avait compris l'enjeu de l'enquête.

" allez arrête, je sais que tu le veux "Bonnie continua ignorant à cet instant le regard géné de Robine.

"Et là 8 coups de couteau " Sophie disait à côté de Bonnie qui hocha la tête. Elle releva la tête pour regarder Robine à cet instant.

" Le problème c'est que Régina ne veut pas l'admettre, je pense qu'elle est dans le déni et si nous ne trouvons pas des circonstances attenuantes alors ça sera une peine de prison pour elle, elle pourrait s'en sortir si elle avouait que Simon Stuart l'avait violé " Robine secoua la tête de gauche à droite

"Je vous répète qu'il ne l'a pas violé, Régina me l'aurait dit ok, je l'aurais vu "Robine continua se mettant sur la défensive.

"Vous êtes sûre ?" Sophie demanda. Robine hocha la tête

"Oui"

" Alors votre soeur sera déféré devant le juge et aucune clémence ne lui sera accordée" Sophie continua surprenant Robine.

"Quoi ? Je ne sais pas ce qui est arrivé à Régina, mais elle n'aurait jamais fait de mal à Thomas sans aucune raison " Robine continua

" Alors pour quelle raison l'aurait-elle fait ?" Bonnie demanda. Robine haussa les épaules

"Je ne sais pas " Robine se mit à dire sous les yeux de Bonnie qui ne pouvait qu'être surprise par la persistance de Robine. Robine prît brusquement sa bouteille d'eau pour la boire sous les yeux des policières qui constatèrent encore un malaise.

Bonnie regarda son calepin avant de retrouver son attention sur Robine.

" Vous êtes le profil parfait d'un viol selon vous "Bonnie demanda surprenant Robine qui arrêta de boire. Elle posa la bouteille pour ensuite regarder Bonnie choquée par ses propos

"Pardon ?" Robine demanda.

"Vous avez dit Régina n'aurait jamais laissé quelqu'un l'a touché " Bonnie se mît à dire

"Comme si contrairement à elle, ce genre de situation pourrait vous arriver " Bonnie continua en fixant Robine dans les yeux. Les deux se fixèrent sous le regard de Sophie.

" Vous savez ce que je pense Robine " Bonnie se mit à dire.

" Non, et je ne veux pas savoir, je dois y allé, vous n'avez aucune raison de me garder "Robine se mît à dire. Elle se leva ensuite et allait se diriger vers la porte, mais Bonnie parla

"Je pense que vous vous êtes fait violée par Simon Stuart pendant que votre soeur était en vacance avec son époux " Bonnie continua. Robine s'arrêta brusquement les yeux grands ouverts. Elle se retourna et allait parler, mais Bonnie parla.

"Je pense qu'il avait une obsession sur votre soeur, que cette dernière l'a rejeté brutalement et qu'elle est partie en vacance et malheureusement vous étiez là " Bonnie continua. Robine ne dît rien parce qu'à cet instant son organisme n'arrivait pas à secréter de la salive pour répondre quoi ce soit.

"C'est n'importe quoi, vous me dite qu'il a violé ma soeur et maintenant moi, qu'est ce que vous cherchez à faire "Robine demanda. Elle rigola

"C'est n'importe quoi " Elle disait. Bonnie hocha la tête

NF : Paralyzed

Quand suis-je devenu si insensible ?
Quand me suis-je perdu ?
Tous les mots qui sortent de ma bouche
Ont l'air de sortir de celle d'une autre

"Vous savez pourquoi je vous parlais du cerveau " Bonnie se mît à dire à une Robine qui restait debout à fixer Bonnie.

" Parce que lorsque quelque chose est dure à accepter ou à concevoir, on a tendance à déplacer notre frustration sur quelqu'un d'autre ou quelque chose d'autre, c'est ce que Simon Stuart a fait avec vous, c'est ce que vous avez fait avec votre soeur et c'est ce que votre soeur a fait en poignardant son époux " Bonnie continua. Elle se leva ensuite pour contourner la table afin de se mettre devant Robine.

"Simon Stuart avait une obsession sur votre soeur " Bonnie disait

"Elle était la première femme à l'avoir traité comme un humain, elle était gentille et pas hautaine comme ces autres femmes, comme Emeline Grant qui le prenait de haut " Bonnie continua

"Non Régina était différente, elle le voyait différement, tellement différement qu'elle m'a fait entré dans son entreprise "

" Elle n'a pas fait tout ça pour moi, sans arrière pensée, elle doit forcément ressentir quelque chose pour moi sinon pourquoi serait-elle gentille avec moi "

"Alors Simon décide de s'ouvrir à elle, peut-être n'a pas t-il su gérer ses paroles ou ses émotions, mais Régina l'a rejeté sechement " Bonnie continua espérant attirer l'attention de Robine, mais Robine fixait le sol sans regarder Bonnie. Elle refusait de rencontrer le regard de Bonnie et Sophie à cet instant.

" Finalement, Régina est comme toutes les autres, c'est une salope comme les autres " Bonnie continua.

" Et là, toute son obsession, ses fantasmes partis en fumée, son soi disant amour est devenu de la haine, s'il ne pouvait pas l'avoir gentimment, alors il utiliserait la force " Bonnie continua

"Mais Régina est parti en vacance " Bonnie rigola ensuite

" Elle me rejette comme une merde et en plus elle part en vacance en amoureux vous imaginez la frustration d'un homme faible d'esprit comme lui "Bonnie continua espérant attirer l'attention de Robine, mais non, elle ne réagissait pas.

"Alors sa haine implose en lui au point de l'empêcher de respirer, il doit remédier à ça, il doit survivre " Robine se retourna subitement pour se mettre dos à Bonnie et Sophie qui ne pouvaient pas voir les larmes de Robine coulait à cet instant, des larmes qu'elle ne contrôlait pas. Elle essayait constamment d'être dans le contrôle depuis ce soir-là, mais elle ne contrôlait rien. Elle était juste paralysée par la peur.

"Et c'est là que vous tombez sous l'objectif de son appareil photo " Bonnie continua tout en admirant le dos de Robine ne pouvant s'imaginer ce qu'elle devait ressentir à cet instant face à cette vérité qui sortait de la bouche de Bonnie.

"Régina n'est pas là pour l'aider à respirer, alors il va déplacer sa frustration sur sa soeur qui a accepté de garder son chat, une soeur qui lui ressemble physiquement, la copie parfaite " Bonnie continua ne détachant pas ses yeux de Robine qui se refusait de bouger, de regarder qui ce soit, de parler, comme si peu importe ce qu'elle risquait de faire, elle se briserait.

" Il vous viole parce que Régina était en vacance à Bali et que vous avez accepté de garder son putain de chat " Bonnie disait se mettant à la place des sentiments de Robine.

" Cela aurait dû être elle n'est ce pas " Bonnie continua et à cet instant, les filles entendirent Robine reniflait, une Robine qui se remémorait toutes les choses horribles qu'elle avait pu dire à sa soeur.

" Vous ne dormez plus, vous ne respirez plus, vous ne vivez plus, vous vous refermez aux autres et les images qui vous hantent, les odeurs, les sons, le monde devient opressant depuis qu'il vous a violé " Bonnie disait.

"La seule personne là pour vous est votre soeur à qui vous avez dit la vérité, auprès de qui vous avez pleuré " Bonnie continua.

Je suis paralysé, où sont mes sentiments ?
Je ne ressens plus rien, je sais que je devrais
Je suis paralysé, où est le vrai moi ?
Je suis perdu et ça me tue de l'intérieur, je suis paralysé
Quand suis-je devenu si froid ?
Quand suis-je devenu honteux ? (oh)
Où sont passées les personnes que je connais ?
Elles ont dû s'éclipser, elles ont dû s'éclipser, avec ma foi

" La seule personne à qui vous pouvez vous en prendre surtout après avoir appris la mort de Simon Stuart " Bonnie disait.

"Une soeur qui se sentait déjà coupable de ce qui vous est arrivé, elle devait se sentir mal, elle devait penser que cela aurait dû être elle et non vous " Robine hocha la tête pour la première fois.

"Je lui en jamais voulu, mais " Robine s'arrêta réalisant qu'elle allait s'ouvrir à Bonnie.

"Vous n'avez pas pu vous empêcher de lui dire qu'elle aurait dû être là ce soir là, qu'elle aurait dû se faire violer ce soir-là, que tout était de sa faute, que cela aurait dû être elle et non vous " Bonnie continua à la place de Robine qui hocha la tête honteuse, parce que c'était ce qu'elle avait dit à sa soeur le soir cette dernière avait poignardé Thomas. Robine se retourna pour regarder Sophie et Bonnie. Elle hocha la tête honteuse.

" Je lui ai dis des choses horribles "Robine continua.

"votre soeur se sentait horriblement coupable lorsqu'elle a su la vérité, mais vous n'avez rien arrangé au sentiment de culpabilité qu'elle ressentait, vous avez nourri une culpabilité qu'elle ressentait déjà " Bonnie disait à une Robine qui hocha la tête parce que c'était vrai, c'était ce qu'elle avait fait.

Elle avait rendu coupable sa soeur, une soeur qui n'avait pas supporté cette culpabilité, à tel point qu'elle avait fait un transfert lorsque son mari avait été trop insistant. Elle avait pensé à Simon Stuart et à ce que ce dernier avait dû faire à sa soeur.

" Et lorsque son mari se montra trop insistant avec elle, elle a fait un transfert vous concernant " Bonnie disait tout en regardant Robine dans les yeux.

"Hantée par ce que Simon Stuart avait dû vous faire, lorsque Thomas a été trop insistant, elle le poignarde. Son cerveau n'a pas su gérer ce qui vous était arrivé et la culpabilité qu'elle ressentait " Bonnie continua

Robine hocha la tête

" Tout est de ma faute " Robine se mît à dire.

"J'étais tellement terrifiée que je n'ai pas su parler" Robine avoua. Bonnie secoua la tête de gauche à droite

"Rien n'est de votre faute, vous avez été victime d'un homme qui ne vous a pas laissé le choix " Bonnie disait à une Robine qui n'arrivait pas à écouter les mots de Bonnie. Elle entendait bien, mais Bonnie pouvait voir qu'elle se sentait coupable à cet instant.

" Si cela n'avait pas été vous dans cet appartement, cela aurait été votre soeur ou une autre" Bonnie continua à une Robine qui rigola

Je suis paralysé
J'ai peur de vivre, mais j'ai peur de mourir
Et si la vie n'est que peine, alors j'ai enterré la mienne
Il y a déjà bien longtemps, mais elle est toujours là
Et prend le dessus — où suis-je ?
J'aimerais ressentir quelque chose, je suis engourdi à l'intérieur
Mais je ne ressens rien, je me demande pourquoi
Je suis dans cette course qu'est la vie et le temps passe
Écoute, je me mets à l'aise et je contemple
Les mains dans mes poches
Les vagues viennent s'écraser sur moi, mais je les regarde simplement
Je les regarde simplement
Je suis submergé mais j'ai l'impression d'être encore en surface
Je suis au fond et je ne comprends pas quel est le problème
Je suis dans une boîte, mais je suis celui qui m'y a enfermé
Suffoquant, je manque d'oxygène

"Mais ce fût moi "Robine déclara.

" Et c'est horrible parce que j'aime ma soeur de tout mon coeur, c'est ma moitié, mais une part de moi n'arrête pas de se demander pourquoi moi, et pourquoi pas elle ?" Robine déclara seulement installant un silence dans la salle d'interrogatoire sous les yeux d'Hayley qui était derrière la vitre teintée.

Elle en avait profité pour regarder l'interrogatoire de Bonnie. Hayley était seule à les regarder lorsqu'elle vît Klaus entrait dans la pièce. Elle rigola

"N'essaye pas, je ne te donnerai pas d'info sur la Jane Doe "Hayley disait. Klaus s'approcha

"Juste une que je sache ce que Marcel et moi on râte "Klaus disait une fois qu'il s'arrêta près d'Hayley. Hayley se retourna pour faire face à Klaus.

" Je ne te dirais rien " Elle disait. Klaus esquissa un sourire tout en admirant Hayley de ses yeux bleus.

"Tu sais très bien que oui "Klaus continua en posant sa main sur la joue d'Hayley qui fixait Klaus ne pouvant qu'être agacé parce que Klaus pouvait être très persuasif. Les deux se regardèrent avant qu'Hayley parle.

"C'était une agent de la C.I.A, elle avait infiltré un réseau qui nous interesse c'est tout ce que tu sauras " Hayley disait avant de s'en aller laissant Klaus seul.

"Ce fût moi " Robine répéta à Bonnie et Sophie qui eurent de la peine à cet instant car elle pouvait voir une vie brisée en face d'elles et elles ne pouvaient rien faire, à part regarder Robine dans les yeux et lui confirmer, que le hasard, la malchance, Dieu, ou peu importe toute ces conneries, avaient fait que c'était elle ce soir-là et non sa soeur.

"Ce fût vous " Bonnie confirma ne pouvant malheureusement que dire ça.

Je suis paralysé (Je suis tellement paralysé)
Où sont mes sentiments ? (Ouais, je suis tellement paralysé)
Je ne sens plus rien (Je n'ai aucun sentiment)
Je sais que je devrais (Oh, comment se fait-il que je ne bouge pas ? Pourquoi je ne bouge pas ? Oh ouais)
Je suis paralysé
Où est le vrai moi ? (Où est le vrai moi ? Où est le vrai moi ?)
Je suis perdu et ça me tue - de l'intérieur, je suis paralysé (Je suis paralysé, je suis paralysé)
Je suis paralysé (Je suis paralysé)


20 minutes plus tard,

Bonnie et Sophie sortirent de la salle d'interrogatoire en même temps pour regarder Robine qui entrait dans l'ascenseur après avoir fait sa déposition. Robine se retourna une fois dans l'ascenseur pour regarder Bonnie et Sophie. Les trois se regardèrent sans rien dire avant que les portes se referment sur Robine. Sophie soupira

"Tu crois qu'elles s'en remettront un jour, que leur relation s'en remettra à Régina et elle "Sophie demanda. Bonnie haussa les épaules tout en regardant Sophie.

" J'espère " Bonnie avoua. Sophie posa sa main sur l'épaule de Bonnie surprenant cette dernière.

"Tu as fait du bon boulot, Régina a des circonstances atténuantes maintenant "Sophie disait.

"Puis peut-être que le fait que maintenant Robine a parlé, elle se sentira mieux, on se sent toujours mieux après avoir parlé à quelqu'un non " Sophie continua à une Bonnie qui avait l'impression que Sophie essayait de lui faire passer un message.

"Je rêve où tu essayes de faire de la psychologie sur moi" Bonnie demanda. Sophie hocha la tête

"Tu es mon enquête à moi Bonnie Bennett, je saurais un jour qui tu es " Sophie continua avant de s'en aller sous les yeux de Bonnie. Bonnie se retourna pour regarder le dos de Sophie. Elle marcha ensuite afin de rejoindre son bureau.

Dès que Sophie et elle arrivèrent au bureau, Bonnie s'arrêta étonnée lorsqu'elle vît Hayley Labonnair parlait avec Hope qui lui racontait sa journée.

« Hayley Labonnair c'est une blague « Bonnie disait étonné. Hayley se releva de sa chaise pour s'approcher de Bonnie

« J'ai pensé la même chose lorsque je t'ai vu sortir du commissariat, alors comme ça tu bosses avec mon ex-mari « Hayley disait. Bonnie fronça les sourcils confuse

« Ton ex-mari » Bonnie demanda. Hayley montra Klaus du doigt, un Klaus qui leva la main. Bonnie écarquilla les yeux en grand avant de regarder Hayley.

« Qu'est ce qui t'est arrivé ? Erreur de jeunesse « Bonnie disait ce qui fît rire tout le monde y compris Hayley.

« Comment vous vous connaissez ? » Sophie demanda. Hayley regarda Bonnie

« On a eu besoin d'un profiler sur une enquête et on nous a assigné Bonnie pendant quelques temps « Hayley disait à une Bonnie qui hocha la tête

« Oui, je n'avais pas de poste attitré avant d'arriver au FBI, dès qu'on avait besoin de moi, je venais » Bonnie avoua

« J'ai rencontré beaucoup de gens comme ça « Bonnie disait à une Hayley qui rigola

« Disons que tu t'es fait ton petit réseau, tu sais que le FBI te regrette amèrement » Hayley avoua

« J'ai appris pour Katherine, je suis désolée » Hayley continua surprenant à cet instant Bonnie qui avait oublié qu'Hayley connaissait bien Katherine, mais Hayley ne semblait pas avoir rencontré Elena pour qu'elle ne dise rien. Après San Fransisco était une grande ville et Hayley vivait à New-York alors elle n'avait pas forcement eu affaire à Elena, elle n'avait pas pu constater la ressemblance des deux.

« Merci » Bonnie disait seulement sous les yeux de tout le monde qui pouvait voir que Bonnie ne voulait pas s'étendre sur le sujet.

« Katherine était une force de la nature, je l'admirais trop, dès qu'elle avait quelque chose à dire, elle le disait « Hayley avoua

« Un peu comme Bonnie « Sophie disait, mais Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Non, Katherine était spéciale" Bonnie déclara surprenant ses collègues à cet instant qui n'avait jamais vu Bonnie parlait de quelqu'un en ces termes.

"elle n'avait pas besoin de mot ou de blabla pour se faire respecter, tout était dans l'attitude « Bonnie continua se perdant dans ses souvenirs. Hayley regardait Bonnie lorsqu'elle entendît son biper.

« Je dois y allé »

« Avec notre enquête, surtout ne nous dit pas merci » Klaus continua. Bonnie comprît à cet instant qu'Hayley récupérait l'affaire sur l'inconnu de la morgue, là Jane Doe de Vincent. Hayley ne rebondît pas. Elle regarda Hope

« Chéri, prends soin de Papa, je te récupère dans deux semaines « Hayley disait à une Hope qui hocha la tête habitué à voir rarement ses parents.

« ça m'a fait plaisir de te voir « Hayley continua à Bonnie. Elle passa à côté de Bonnie

« Merci Nick, merci Marcel » Elle continua sous le sourire de tout le monde.

Bonnie s'approcha ensuite de sa place sous les yeux de tout le monde. Elle s'assît à sa place, mais elle fronça les sourclis lorsqu'elle sentît tous les regards sur elle. Elle releva la tête pour regarder ses collègues

"Quoi ?" Bonnie demanda.

"Comment tu connais Hugh Portman ? " Klaus demanda le premier après avoir fait des recherches sur cet homme et effectivement cet homme était quelqu'un d'important, beaucoup trop important qu'il était difficile de croire que Bonnie avait ce genre de relation dans ses contacts.

" J'ai travaillé avec" Bonnie répondit seulement. Elle baissa son regard et allait dévérouiller son ordinateur, mais elle s'arrêta lorsqu'elle vît le dossier qu'elle avait arraché à Lucy et Damon au sujet des livres de sa grand-mère.

"Et attends, vous savez que Bonnie est la petite fille de Shelby l'écrivain ?" Sophie disait à ses collègues qui ouvrèrent les yeux en grand avant de regarder Bonnie. Stefan allait parler, mais il s'arrêta lorsqu'il vît que Bonnie était concentrée à lire le dossier de Damon, tellement concentrée qu'elle ignorait ses collègues.

"Bonnie " Sophie disait réveillant Bonnie de ses pensées. Bonnie leva la tête

"Quoi ?" Bonnie demanda. Sophie allait parler, mais Bonnie la coupa pour regarder Stefan.

"Stefan" Bonnie se mît à dire. Stefan hocha la tête

"Ton frère "Elle se mît à dire

" ton frère est vraiment doué en tant qu'avocat ? je veux dire Sophie n'arrête pas de me le dire, mais je crois qu'elle est aveuglée par autre chose que ses capacités " Bonnie disait ce qui fît rire tout le monde y compris Sophie. Stefan fronça les sourcils

"Pourquoi tu as besoin d'un avocat ?"

"Réponds juste à ma question ?" Bonnie répondit de suite.

" Il est excellent " Stefan disait à une Bonnie qui se releva de suite. Elle prît son dossier avec elle.

" Il a intérêt à l'être pour le prix qu'il coûte " Bonnie continua faisant comprendre à ses collègues qu'elle avait besoin d'un avocat. Bonnie prît son téléphone ensuite puis s'en alla sous les yeux de tout le monde. Bonnie appela Lucy, mais Lucy lui raccrocha au nez à en croire la messagerie vocale sur laquelle elle tomba directement.

"Ok Lucy, j'accepte l'avocat, mais ça sera Damon Salvatore " Bonnie disait. Elle s'arrêta devant l'ascenseur ensuite puis soupira.

"ça vaut ce que ça vaut, mais désolée " Bonnie déclara seulement avant de monter dans l'ascenseur pour rejoindre le cabinet de Damon. Quelle conne se disait Bonnie qui à cet instant réalisa, que Lucy avait trouvé l'avocat qui allait l'empêcher de paraître les livres de sa grand-mère.


Damon était assis à son bureau en train de bosser, mais il s'arrêta brusquement ne pouvant s'empêcher de penser à ce qui s'était passé tout à l'heure avec Bonnie Bennett.

Il passait facilement de l'agacement, à la confusion au rire, parce que Bonnie Bennett était... non il allait éviter de dire à voix haute ce genre de vulgarité. Il était dans ses pensées lorsqu'il entendît son portable sonnait. Damon répondit de suite.

« Oui « Damon disait

« Je te dérange « James disait assis à son bureau. Damon secoua la tête de gauche à droite

« Du tout je viens de finir un rendez-vous « Damon disait. James tendît ses jambes pour poser ses pieds sur son bureau.

« Tu savais que Bonnie voyait ton beau-frère, on a croisé Elena ce matin et il semblerait que ta femme voulait foirer mon rencard « James disait étonnant Damon que James parle de Bonnie. Encore elle se disait-elle. Damon hocha la tête

« Oui, enfin je viens de l'apprendre « Damon disait. Il esquissa un sourire

« Tu es déçu « Damon demanda. James secoua la tête de gauche à droite

« Je savais qu'elle voyait quelqu'un, donc ça ne change rien à l'exception qu'il s'avère que c'est ton beau-frère alors je vais éviter, trop de connaissance en commun » James disait à un Damon qui devait reconnaître que cela commençait à faire beaucoup de connaissance en commun entre Bonnie et lui. Jeremy et James, était-ce une coincidence ? James fixait en face de lui un moment hésitant à parler

« C'est tout c'est pour ça que tu m'appelles « Damon demanda. James ne dît rien un moment troublant Damon qui avait l'impression que son ami voulait lui parler, mais qu'il n'osait pas le faire et c'était exactement le cas.

Damon allait parler, mais James le coupa décidé à dire ce qu'il voulait dire.

« Méfie-toi de Bonnie Bennett hein » James révéla subitement surprenant Damon qui ne s'attendait pas à ce que son ami dise ça.

« Quoi ? Pourquoi tu me dis ça alors que tu voulais sortir avec elle « Damon disait troublé d'autant plus troublé lorsqu'il fît face au silence de James.

« Elle est charmante, très douée, marrante, et captivante je le nie pas, mais je suis doué en psychologie aussi » James continua. Il soupira repensant à la discussion de ce matin avec Bonnie, repensant à l'attitude de cette dernière qui n'était pas passé inapercue contrairement à ce qu'elle pouvait croire.

« C'est une manipulatrice Damon « James disait à un Damon qui avait l'impression d'entendre Lucy. Il fixait en face de lui agacé d'entendre ça. Pourquoi était-il agacé hein ?

« Pourquoi tu dis ça «

« Parce que je pense qu'elle voulait que je te fasse passer un message et que je vais tomber dans son piège tout bêtement parce que je pense avoir compris le message qu'elle voulait que tu ais « James continua. Damon rigola à cet instant

" Ouaw ça m'a l'air très compliqué "Damon disait décidé à essayer d'oublier cet agacement qu'il ressentait face à Bonnie, à la relation de cette dernière avec Jeremy, et au fait que Lucy et James qu'elle était une manipulatrice.

"C'est vrai dit comme ça " James avoua. Il rigola à son tour avant de retrouver son sérieux face à la voix de Damon.

"Qu'est ce qu'elle voulait que tu me dises ?" Damon demanda forçant James à parler.

« Jeremy lui a fait comprendre que tu étais quelqu'un de volage qui faisait souffrir sa sœur en gros « James disait décidé à dire ce qu'il n'osait pas dire.

« Jeremy et son côté protecteur, je commence à avoir l'habitude qu'il médise à mon sujet tu sais bien » Damon disait le prenant à la légère.

" Jeremy et Elena son très proche alors ça ne m'étonne pas "Il continua préférant ne pas prendre au sérieux ce genre d'avertissement.

« Le truc Damon c'est que Jeremy ne peut pas sortir ce genre de chose tout seul, sans que quelqu'un l'évoque « James continua

« Peut-être que tu devrais lui parler, après tout Jeremy et toi vous ne parlez qu'en présence d'Elena, peut-être que tu devrais avoir un face à face avec lui et communiquer, parc « Damon coupa de suite James n'appréciant pas le fait que ce dernier semblait tourner autour du pot.

« Dit moi le fond de ta pensée James »

« Je pense qu'Elena rentre des idées dans la tête de Jeremy à ton sujet, ce n'est pas la première fois que je le constate et je suis persuadé que Bonnie l'a compris à force de fréquenter Jeremy et que c'est pour ça qu'elle m'a manipulé pour que je te le dise « Damon rigola ne surprenant pas James qui savait que Damon ne le croirait pas surtout si le sujet concerné était Elena.

« De quoi tu parles c'est insens » Damon n'eut pas le temps de finir car James le coupa

« Prends le comme tu veux, soit tu ne fais rien, sois tu agis, je te dis juste que Jeremy a une image erronée de toi et que forcément quelqu'un lui parle et ce quelqu'un ne peut être qu'Elena, après peut-être que je me trompe »

"Oui tu te trompes "Damon déclara de suite

" Elena n'aurait aucune raison de faire ça, c'est ma femme " Damon continua face à un James qui comprît que Damon n'allait pas le croire. Il le savait, mais il voulait être honnête avec son ami.

Damon se sentît mal lorsqu'il constata le silence de James.

"Désolé James " Damon disait subitement réalisant qu'il s'en prenait à lui alors que James n'avait rien fait à part être honnête avec lui.

"Merci pour ton honnêteté " Damon continua refusant de se disputer avec son ami à cause d'une idée de Bonnie Bennett.

Il connaissait Elena et Elena n'avait aucun intérêt à faire ça. En plus du fait que Jeremy avait une relation particulière avec Elena, très protecteur, trop protecteur alors peut-être se faisait-il des fausses idées sur lui.

Il y eut un long silence avant que James parle.

« Le plus effrayant, tu sais ce que c'est « James continua sous l'oreille attentive de Damon.

« C'est que Bonnie Bennett vient de me rencontrer et qu'en si peu de temps elle a pensé à me manipuler alors au risque de me répéter méfie-toi d'elle « James disait avant de raccrocher laissant Damon seul.

Damon fixait le vide confus silencieusement. Il posa son portable tout en fixant le vide lorsque Rose entra dans le bureau.

« Damon ça va ? » Rose demanda. Damon tourna sa tête légèrement destabilisé ce que Rose remarqua.

« Oui ca va « Damon disait seulement à un Rose qui était de plus en plus agacé intérieurement car elle pouvait voir que Damon était ailleurs ces derniers temps, mais elle ne savait pas pourquoi.

« Tu ne rentres pas « Rose demanda lorsqu'elle vît qu'il était tard et que Damon était toujours là. Damon secoua la tête de gauche à droite

«J'ai encore des choses à finir « Damon disait sans regarder Rose. Cette dernière hocha la tête décidé à ne pas insister avec Damon parce que le connaissant elle n'obtiendrait rien.

« A demain alors « Elle disait. Damon leva la tête

« A demain Rose « Damon disait. Cette dernière allait partir, mais Damon parla

« Rose « Damon disait subitement. Rose fît un pas en arrière pour le regarder.

« Merci pour tout » Damon disait seulement étonnant Rose. Elle s'étonna d'autant plus lorsqu'elle vît Damon reprendre ce qu'il faisait sans rien dire.

Rose esquissa un sourire avant de s'en aller afin de laisser Damon. Elle prît l'ascenseur pour rejoindre l'entrée. Une fois à au rez-de chaussé, elle avança vers la sortie tout en souriant lorsqu'elle percuta sans faire exprès quelqu'un. Rose se retourna pour voir Bonnie qui se retourna à son tour.

« Désolée je ne vous avais pas vu « Bonnie disait à Rose qui était tellement ailleurs qu'elle n'avait pas fait attention.

« C'est rien, moi aussi j'aurais dû faire plus attention » Rose disait sous les yeux de Bonnie qui la reconnu grâce aux recherches qu'elle avait fait sur Damon.

« Vous aviez l'air bien contente « Bonnie disait. Rose la regarda avant de regarder en direction de l'immeuble.

« Vous venez faire quoi ici, tous les locaux sont fermés » Rose demanda subitement. Bonnie allait répondre, mais Rose entendît son téléphone sonnait. Elle prît son téléphone puis s'en alla laissant Bonnie seule qui s'étonna. Ok, la politesse ce n'était pas le truc de la femme se disait Bonnie à cet instant.

Elle admirait Rose avant de se retourner pour rejoindre le bureau de Damon Salvatore. Elle monta dans l'ascenseur pour rejoindre les locaux qui semblaient encore accessible vu que personne n'avait fermé. Une fois à l'étage, elle traversa le couloir, mais elle s'arrêta lorsqu'elle vît Damon en train de travailler. Bonnie allait toquer à sa porte, mais elle s'arrêta lorsqu'elle vît Damon Salvatore relevait la tête pour la regarder comme s'il avait senti que quelqu'un était là.

James Bay : Wild Love

Je ne sais pas quoi te dire maintenant
Me tenant juste devant toi
Je ne sais pas comment m'effacer
Je ne sais pas comment rester cool
Baisser un petit peu ma garde
Nous ne sommes pas obligés de bien y réfléchir
On doit lâcher prise

Bonnie et lui se regardèrent à travers la porte et à cet instant en voyant les yeux bleus de Damon, elle savait qu'elle allait devoir ramer pour l'avoir comme avocat. Si un regard pouvait tuer, ça serait celui de Damon Salvatore, mais comme la femme culotée qu'elle était, elle ignora le regard de Damon et ouvra la porte pour entrer.

"Moi qui voulait vous surprendre, vous avez l'ouï fine " Bonnie disait.

"J'espèrais que vous soyez quelqu'un d'autre "Damon répliqua froidement.

"Ouch" Elle répondit faisant mine d'être blessée.

Damon rigola subitement ne pouvant que rire face au culot de Bonnie.

« Vous avez du culot vous « Damon disait. Il lâcha son stylo pour regarder Bonnie de ses yeux bleus qui arrivaient à mettre mal à l'aise n'importe qui.

« Un sacré culot « Il continua. Bonnie s'avança puis posa le dossier qu'avait fait Damon sur le bureau de ce dernier.

« J'ai lu le dossier et il s'avère que votre analyse soit assez gagnante pour moi concernant le dossier de ma grand-père» Bonnie disait en regardant Damon dans les yeux, un Damon qui attendait la suite, enfin il espérait qu'il ait une suite parce que vu l'attitude de Bonnie plus tôt, il espérait qu'elle s'excuse parce qu'il n'était pas dû genre à passer ce genre de chose.

« Je n'étais pas dans mon état normal, alors je veux bien que vous m'aidiez sur cette affaire « Bonnie disait sous les yeux de Damon qui avait l'impression d'avoir à faire à une gamine qui refusait de s'excuser.

Il la fixait avant de soupirer réalisant qu'il n'avait rien à exiger d'elle.

« Ne perdez pas votre temps, j'ai donné le nom d'un confrère à votre sœur voyez avec elle pour qu'un avocat s'occupe de votre affaire « Damon disait froidement. Il montra du doigt la sortie

« Fermer la porte derrière vous, j'ai du boulot » Damon disait. Il reprît ensuite ce qu'il faisait comme si de rien était sous les yeux de Bonnie. Il était en colère ? se disait Bonnie à cet instant.

Oui, il était en colère et cela la surprenait pour être honnête.

« Pourquoi êtes-vous en colère ? Vous devriez être flatté, parce que même auprès de ma sœur je n'ai pas mis autant de forme « Damon releva sa tête tout en souriant

"Vous trouvez qu'il y a de la forme là ?" Damon demanda à une Bonnie qui devait avouer qu'elle avait peut-être surestimé son attitude et sous-estimé Damon Salvatore.

"Puis vu que tout fonctionne par intérêt j'imagine que vous avez vu que je pouvais vous sortir d'affaire alors vous vous êtes dit, peut-être que j'ai été dure avec lui après tout j'ai besoin de lui pour mon affaire « Damon continua.

« En quoi ai-je été dure avec vous ? » Bonnie déclara brusquement.

« J'ai été une garce avec Lucy, mais en quoi l'ai-je été auprès de vous « Bonnie demanda installant un silence.

Damon la fixait mal à l'aise parce que c'était vrai, elle n'avait pas été dure avec lui. Elle lui avait juste balancé le fait qu'elle voyait Jeremy et lui-même le reconnaissait, il n'avait pas le droit de se montrer énervé au sujet de Jeremy, c'était déplacé et pourtant intérieurement il était énervé à ce sujet.

« Vous avez raison « Damon se mît à dire réalisant qu'il était en colère auprès d'elle pour des choses auquelles il n'avait pas le droit.

Je veux te donner de l'amour sauvage
Le genre d'amour qui ne ralentit jamais
Je veux t'emmener plus haut
Laisser nos cœurs être le seul son
Je veux aller là où les lumières brillent doucement et tu es toute à moi
Je veux te donner de l'amour sauvage

« Vous n'avez pas été dure, vous avez raison c'est de ma faute, ce n'est pas vous le problème, c'est moi j'ai été trop faible « Damon continua surprenant Bonnie à cet instant qui pour être honnête était destabilisée par l'attitude de Damon.

« J'ai voulu voir autre chose alors qu'en réalité vous êtes juste une manipulatrice perverse c'est ça le terme psychologique qui vous correspond c'est ça « Damon disait avant de rire

« Vous couchez avec moi puis ensuite mon beau-frère et bientôt un de mes amis « Damon disait agaçant Bonnie

« Je n'ai aucun compte à rendre « Elle osa dire et là lui qui avait décidé de se calmer, réalisa qu'il n'arriva pas.

« Non bien sûre » Damon disait. Il montra son téléphone

« Et votre message pour qu'on aille boire un verre c'était quoi « Damon demanda.

« J'imagine que vous voyiez déjà Jeremy, saviez-vous que c'était mon beau-frère à cet instant, où l'avez-vous su dès le début, peut-être que oui vous l'avez su dès le début et que votre but c'est quoi ? détruire mon mariage, mettre le grimpin sur un homme blindé c'est ça « Damon demanda ce qui fît halluciné Bonnie.

Elle rigola mal à l'aise parce que pour être honnête, oui elle s'était rapprochée de Jeremy pour Katherine, mais une part d'elle était mal à l'aise vis à vis de Damon Salvatore et aurait préféré se rapprocher de Damon que de Jeremy, alors elle lui avait envoyé un message, mais il n'avait pas répondu.

Damon et elle se fixèrent avant que Bonnie se décide à répliquer quitte à mettre mal à l'aise Damon face à des sentiments qu'il ne comprenait pas.

« Et vous quel était le but de parler de moi à votre ami ? » Bonnie demanda refusant de répondre à Damon. C'était son astuce ça, répondre par d'autres questions. Damon fronça les sourcils perdu par la question de Bonnie, une question qu'il ne comprenait pas, mais Bonnie continua.

« Quel était le but de parler de la femme avec qui vous avez trompé votre femme à votre ami » Bonnie continua. Oui c'était vrai, elle avait été surprise lorsque James lui avait dit que Damon avait parlé d'elle, mais elle avait compris, elle avait compris qu'il était comme elle, manipulateur sur les bords, mais qu'il n'en avait pas conscience.

« N'était-ce pas pour garder un œil sur moi, créer des coïncidences » Bonnie continua. Elle n'était pas dûpe, elle savait que c'était un moyen de garder un oeil sur elle.

" De même, n'avez vous pas créer une coincidence avec ma soeur, et surtout éviter de me sortir la connerie que c'était le hasard le fait que ma soeur était à votre bureau" Bonnie continua surprenant Damon qui avait conscience qu'il avait forcé les choses avec Lucy. Il avait en quelque sorte manipuler les circonstances pour avoir Lucy en rendez-vous afin d'en apprendre plus sur Bonnie.

Ils se regardèrent tous les deux créant un malaise, un malaise face à des sentiments inconscients.

Bonnie brisa le silence n'aimant pas le silence entre eux parce que souvent le silence en disait plus long que des discours.

« Je ne savais pas que Jeremy était votre beau-frère, c'est le médecin qui m'a soigné le dos" Bonnie continua. Oui, elle mentait, mais c'était une menteuse et valait mieux qu'il s'éloigne d'elle avant de le constater par lui-même plus tard.

"désolée de vous décevoir, mais je n'ai pas un dossier sur vous pour m'approcher de votre entourage et je ne suis aucunement intéressé par des hommes blindés comme vous aimez si bien le dire « Bonnie disait

« Ensuite, oui j'ai su assez rapidement que Jeremy et vous aviez un lien et je vous ai envoyé un message « Bonnie disait

« C'était un oui ou non, si vous répondiez, je ne continuais pas avec lui, si vous ne répondiez pas, j'emmerde la moral et je le fais et c'est ce que j'ai fait «

« Concernant votre meilleur ami vous êtes celui qui l'a mis sur mon chemin et je n'ai jamais promis fidélité à qui ce soit, demandez à Jeremy » Bonnie continua.

J'ai essayé de t'appeler pour me rapprocher de toi
Depuis la piste de l'aéroport de Tokyo
Quittons l'atmosphère, disparaissons
Il y a toujours quelque chose à perde

Mais je veux te donner de l'amour sauvage

Le genre d'amour qui ne ralentit jamais
Je veux t'emmener plus haut
Laisser nos coeurs être le seul son
Je veux aller là où les lumières brillent doucement et tu es toute à moi
Je veux te donner de l'amour sauvage
Je veux te donner de l'amour sauvage

"Ok, et quel était le but de dire à James ce que Jeremy vous avez dit ? me mettre à dos Jeremy ou ma femme qu'elle était le but de manipuler James pour qu'il me parle « Damon continua à une Bonnie qui comprît que James avait parlé à Damon.

James était assez malin pour comprendre, mais Bonnie avait décidé de jouer la carte du mensonge comme elle n'arrêtait pas de le faire parce qu'il était évident que Damon Salvatore ne la croirait pas.

Elle avait remarqué que des choses étranges se déroulaient entre Elena et Jeremy, que Jeremy avait une image fausse de Damon et elle n'avait pas compris pourquoi, mais petit à petit elle s'était dit qu'il n'y avait qu'Elena qui avait pu parler, mais la croirait-il ? jamais, c'était sa femme et il aimait sa femme, alors elle joua la carte du mensonge.

« Qu'est-ce que votre femme à avoir dans l'histoire ? » Bonnie demanda troublé.

« Le but était de savoir à travers James si c'était vrai, si l'image que vous donniez du mari fidèle qui n'a jamais trompé sa femme était vrai, si j'étais la seule avec qui vous avez trompé votre femme« Bonnie disait. Elle rigola ensuite.

« Mais vous n'êtes pas obligé de me croire parce que je suis une manipulatrice perverse c'est vrai, je ne vais pas le nier, je donne aux gens ce qu'ils veulent, Jeremy veut une fille gentille, alors je serai gentille, James veut une femme entreprenante alors je serais une femme entreprenante, ma famille veut que je sois la même fille qu'avant mes 16 ans, et je travaille là-dessus, alors dite moi ce que vous voulez et je vous le donnerai voilà qui je suis « Bonnie disait en fixant Damon.

« Parce que personne ne veut de la vrai Bonnie Bennett, personne « Bonnie disait surprenant Damon.

« Alors arrêtez de désirer quelqu'un qui ne vas que vous décevoir « Bonnie continua avant de s'en aller laissant Damon Salvatore seul à son bureau.

Ce dernier fixait le vide laissé par Bonnie agacé.

« Fais chier «

(De l'amour, de l'amour, de l'amour)
(De l'amour, de l'amour, de l'amour)
Je veux te donner de l'amour sauvage
(De l'amour, de l'amour, de l'amour)
Je veux te donner de l'amour sauvage
(De l'amour, de l'amour, de l'amour)

Soyons téméraires, résistants

Courrons jusqu'à perdre haleine
Soyons plein d'espoir, ne soyons pas brisés
Soyons pris dans le moment présent

Il fixait le vide et allait se lever pour la rattraper, mais son portable sonna. Damon prît son portable et il canalysa son entrain à cet instant en voyant le numéro d'Elena. Il avait oublié Elena ? Il ne faisait que ça en ce moment, l'oublier. Il resta assis sur sa chaise hésitant à répondre, mais il répondît.

« Tu es passé où ? » Damon demanda seulement surprenant Elena qui pouvait entendre de la colère dans la voix de Damon

"Ca va ?" Elena disait. Damon ouvra les yeux étonné à la réalisation qu'il était encore énervé par la conversation avec Bonnie. Il se ressaisit

"Oui, tu es où ? Cécile t'a cherché, je t'ai cherché " Damon disait décidé à se calmer.

« J'avais des rendez-vous à l'extérieur, désolée de ne pas t'avoir rappelé plus tôt « Elena disait.

« Je me suis inquiété « Il avoua. Elena hocha la tête hésitante à parler, mais elle se lança

« Je dois partir en Bulgarie en urgence « Elena se mît à dire.

« Isobel a des problèmes de santé, je n'en sais pas plus, mais je dois être avec elle « Elena continua.

Damon fixait en face de lui légèrement perplexe à chaque fois que l'ami d'Elena était concernée. Il n'appréciait pas Isobel, mais Elena et elle étaient très proche depuis qu'elles s'étaient rencontrés en Bulgarie lorsqu'Elena a fait une partie de ses études là bas pour se rapprocher de la famille de ses parents décédés.

« Tu pars quand ? » Il demanda seulement.

« Ce soir, j'ai pris un vol d'urgence, là j'attends mon vol » Elena continua.

« Pour combien de temps ? » Il demanda.

« Je ne sais pas encore, pour le moment j'ai pris un allé simple et je verrais en fonction de l'état de santé d'Isobel « Elena disait. Damon hocha la tête

« Ok je comprends « Damon disait

« Appelle-moi quand tu atterris ok « Damon continua. Elena hocha la tête

« Oui, je suis désolée, je te promets qu'à mon retour, je me consacrerai à nous « Elena avoua. Damon hocha la tête

« Ok »

« Je t'aime « Elena disait. Damon allait répondre, mais il entendît à cet instant le bruit d'une alerte médical. Il allait parler, mais Elena raccrocha. Damon fronça les sourcils confus. Il regarda son téléphone repensant à ce qu'Elena venait de lui dire. Elle parlait d'aéroport et pourtant elle semblait être à l'hôpital. Damon fixait son téléphone confus.

" Qu'est ce" Il ne termina pas sa phrase qu'il se releva puis prît ses affaires pour rejoindre l'hopital se doutant de quel hopital il s'agissait.


Sacha était en voiture en compagnie des petits-enfants des amies de son père, Carl, Richard et Marvin et des amis de sa grand-mère, Cheryl, Linley et Barbara.

Leur grand-père les avait forcé à aller chercher le gâteau pour le barbecue que Rudy organisait encore. Rudy Bennett aimait beaucoup les barbecues, mais le problème c'était que Sacha ne connaissaient pas vraiment les personnes avec qui il était.

Rosa et Marina étaient sœurs, et André et Peter étaient frères. Ils se connaissaient entre eux, mais Sacha ne les connaissait pas et Ambre l'avait laissé tombé pour aller chercher son petit-ami, alors Sacha conduisait sans rien dire. Son grand-père avait fait exprès de les envoyer tous les 5 car ils avaient un peu près le même âge.

Marina était métisse aux yeux marrons. Elle avait des cheveux très court contrairement à sa sœur qui avait des cheveux longs et des yeux qui tournaient plus vers le noir que le marron. Peter et André étaient deux afro américains. Peter portait des nattes collés et André lui avait le crâne rasé. Ils parlaient tous les quatre dans la voiture.

« Je crois que la dernière fois qu'on s'est vu c'était l'année dernière « Marina disait à Sacha.

« Oui, je crois aussi « Sacha disait.

« Vous connaissez bien mon grand-père Rudy » Sacha demanda. Ils sourirent tous

« Bien sûre, il s'est beaucoup occupé de nous gamin, nos grand-père passent beaucoup te temps ensemble alors » Peter avoua surprenant Sacha.

« C'est vrai, depuis que je suis chez mon grand-père, Marvin, Carl et Richard squattent beaucoup » Sacha disait ce qui fît rire les autres.

« C'est dommage que tu ne viennes pas plus souvent voir ton grand-père, on aurait pu se faire des sorties « Rosa continua étonnant Sacha qui regrettait de ne pas avoir passé plus de temps avec son grand-père plus tôt.

Cela faisait peu de temps qu'il vivait chez Rudy et c'était éphèmère le temps que la tradiction du deuil passe et au début il en avait marre, mais plus il passait du temps avec ses grands-parents, plus il devait avouer que c'était beaucoup plus sympa et mouvementé que dans la grande maison de ses parents.

« D'ailleurs pourquoi vous n'êtes pas proche sans indiscrétion « Peter demanda curieusement.

« On s'est toujours demandé pourquoi Rudy parlait rarement de ses petits-enfants « Il continua. Sacha regardait la route tout en haussant les épaules

« Pour être honnête, mon père et lui ne s'entendent pas trop alors je pense que ma mère a préféré choisir le camp de mon père et elle doit le regretter maintenant « Sacha avoua réalisant de plus en plus qu'il semblait avoir raté pas mal de chose avec sa famille.

« ça craint, je te rassure nos parents ont divorcé aussi » Marina avoua. Sacha s'étonna avant de sourire sans rien dire.


Marvin Gaye : Ain't no moutain High Enough

"Ain't no moutain High Enough " Carl, Richard, Marvin, Linley, Cheryl, Barbara et Abby chantaient en même temps en entendant la musique de Marvin Gaye : Ain't no moutain High Enough. Ils étaient tous dans le jardin de Rudy qui avait la place d'accueillir tous les invités.

Rudy buvait sa bière tout en envoyant un message ignorant ses amis, Carl, Richard et Marvin. Carl fronça les sourcils tout en regardant Rudy de ses yeux bleus.

« Ho toi quelque chose te tracasse depuis qu'on est arrivé « Carl disait.

Ils étaient près du buffet tous ensemble tandis que les femmes étaient à table en train de finir de mariner la viande. Elles devaient parler, enfin comme direz les hommes, elles devaient se dire des ragots entre elles. Effectivement, Linley, Barbara, Cheryl, Lucy et Abby étaient à table en compagnie de Chad et Chloé, les deux petits. Elles parlaient d'un des sujets de conversation qui les fascinaient le plus, à savoir Bonnie.

« Elle va venir c'est la tradition « Barbara disait comme une évidence. Abby rigola

« Toi tu es la seule à encore avoir de l'espoir » Abby disait. Rudy fixait Carl, Richard et Marvin tout en buvant sa bière.

« Il y a quelque chose qu'elle ne me dit pas « Rudy disait à ses amis en parlant de Bonnie.

« Bonnie est partie tôt de la maison donc c'est sûre que tu ne peux pas tout savoir sur elle « Marvin se mît à dire. Rudy fixait son ami silencieusement lorsqu'il entendît les invités arrivaient.

« Hey la famille, comment ça va « Un homme grand afro-américain disait en portant un bébé sur son ventre grâce à un porte-bébé. Rudy rigola en voyant le fils de Marvin, qui était en compagnie de ses soeurs, frères, de sa femme, et de leurs enfants plus jeunes. Ils avaient affaire à une ribambelle. Ils étaient suivi de la famille de Carl et Richard qui étaient aussi bien garnis, avec les enfants, et petits enfant.

« ho mon fils est plus grand que moi c'est déprimant « Marvin disait en regardant son fils, Roger qui faisait la bise aux femmes. Roger s'avança ensuite en direction des hommes pour les saluer.

« Salut, devinez ce que j'ai ramené, où sont mes fils ? » Roger demanda en parlant de Peter et André.

« Rudy les a casé avec son petit-fils pour aller chercher le gâteau « Marvin disait. Roger regarda Rudy avant de sourire.

« Le petit fils un peu bobo, tu es sûre que ca va aller « Roger disait en rigolant ce qui fît rire tout le monde à l'exception de Rudy.

« N'oublie pas que tu es chez moi toi » Rudy se contenta de dire. Roger rigola tout en tenant son bébé lorsqu'il vît Sacha, André, Peter, Marina et Rosa entraient avec le gâteau. Rudy se retourna

« Ha on n'attendait plus que vous «

« Dite moi qu'il est au chocolat « Rudy demanda. Sacha rigola tout en hochant la tête.

« Tu me prends pour qui, bien sûre qu'il est au chocolat » Sacha disait. Il se dirigea vers le buffet à côté de Rudy, Carl, Richard et Marvin. Il posa le gâteau sur le buffet.

"Hey c'est pas la musique de Sister Acte 2 " Rosa se mît à dire surprenant tout le monde. Richard tapota la tête de sa petite fille tandis que Carl, Rudy et Marvin, Roger avaient ouvert les yeux en grand mettant mal à l'aise Rosa et les jeunes.

"Mon dieu, rassure moi tu sais que c'est Marvin Gaye avant d'oser dire que c'est Sister Act " Roger se mît à dire. Rosa regarda le père de ses amis mal à l'aise.

" Et vous vous savez qui c'est Kendrick Lamar " Peter demanda subitement aux vieux qui ne connaissaient pas.

"Alors laissez nous tranquille hein " Peter continua décidé à défendre Rosa. Richard hocha la tête

"C'est pas grave, ce soir il y aura du Marvin Gaye, Sexual Healing "Il commença à chanter tout en dansant sous les yeux souriant de tout le monde.

"Ma femme et moi on adorai"

"Hoooo grand-père calme toi" Rosa et Marina crièrent. Elle regardèrent Barbara, leur grand-mère colombienne.

"Grand-mère, calme les ardeurs de grand-père "Marina hurla choquée. Ils rigolèrent tous.

« Ca va grand-père « Sacha disait à un Rudy qui hocha la tête

« Et toi, tu n'as pas ramené ta petite amie « Rudy disait étonné à un Sacha qui rigola.

« Je n'ai pas de copine, je prône le célibat « Sacha avoua sous les yeux des hommes qui rigolèrent.

« Ho tu es ce genre-là ? » Marvin disait tout en faisant un clin d'œil à Sacha qui ne comprenait pas ce que voulait dire Marvin. Peter et André roulèrent des yeux se doutant que leur grand-père allait encore faire une phrase déplacé.

« Quel genre ? » Il demanda.

« Tu sais, un coup d'un soir « Richard disait. Rosa et Marina soupirèrent. mais Rudy lui tapota la nuque subitement

« Hey ho c'est à mon petit-fils que tu parles « Rudy cria sous les yeux de Sacha qui rigola préférant ne faire aucun commentaire.

Rudy rigola tout en mettant son bras autour des épaules de Sacha sous les yeux de Lucy au loin qui pouvait voir que Sacha se rapprochait de plus en plus de Rudy. Etrangement, Ambre aussi et pour être honnête c'était bizarre de voir son père être assez présent pour Sacha et Ambre alors qu'il ne l'avait pas été lorsque Bonnie et elle étaient plus jeunes.

Ils rigolèrent tous lorsqu'ils entendirent la voix d'Ambre.

« Grand-père, on est là » Ambre cria. Elle ouvra le portail attirant l'attention de tout le monde. Ils tournèrent tous la tête pour voir Ambre en compagnie de son petit-ami. Ce dernier salua tout le monde de sa main.

« Bonsoir « Aiden disait. Roger rigola

« Hey encore un gringo, Carl, Elsa et Rachel doivent se sentir moins seul « Roger disait en regardant les personnes en question. Rudy regarda le petit-ami d'Ambre silencieusement. Aiden s'avança pour faire la bise aux femmes d'abord qui étaient à côté en train de parler, avant de serrer la main à tous les hommes.

« Enchanté, Rudy « Rudy disait en serrant la main d'Aiden.

« Enchanté, Aiden » Ce dernier disait à Rudy qui pouvait voir qu'Aiden semblait intimidé. Rudy tapota l'épaule d'Aiden.

« Relaxe « Rudy disait sous le sourire de Sacha et des autres.

« On ne va pas te manger « Rudy continua ne pouvant que faire rire ses invités. Roger s'avança

« Quoique, ça doit être assez perturbant d'être en présence d'autant afro-américain non « Roger continua gênant ses fils à cet instant et sa femme.

« Roger la ferme « Sa femme cria au loin. Rudy rigola tout en regardant Ambre, une Ambre qui semblait anxieuse à l'idée de présenter son petit-ami à Rudy.

« N'hésite pas à t'asseoir « Rudy disait à Aiden

« Je peux aider ? » Aiden demanda. Rudy hocha la tête

« Oui pourquoi pas, tu peux aller avec Sacha, Peter, André chercher le reste de la viande « Rudy disait.

« Allez viens « Sacha continua. Ils s'en allèrent laissant les hommes ainsi qu'Ambre, Rosa et Marina.

« Il est canon ton copain « Rosa disait à une Ambre qui se sentît gênée à cet instant.

« Pourquoi tu es si tendu ? » Rudy demanda subitement sous les yeux de tout le monde. Ambre regarda son grand-père mal à l'aise ce qui fît sourire Rudy.

« Je ne sais pas, ton avis compte j'imagine « Ambre avoua attirant un sourire de tous les hommes

« Ho c'est trop mignon » Carl disait. Ambre rougît sous les yeux de sa mère qui regardait au loin ne pouvant entendre.

« Moi, je ne suis qu'un vieux crouton, je ne suis pas ton père alors détent toi, il a l'air cool, un peu pâle, mais cool « Rudy disait en rigolant. Ambre rigola avant de s'approcher de son grand-père pour l'enlacer surprenant Rudy. Rudy regarda Ambre avant de poser ses mains sur son dos.

« Merci « Ambre disait en s'éloignant de son grand-père. Rudy la regardait étonné.

« Je vais aider Maman » Elle continua avant de s'en aller sous les yeux de Rudy.

« Qu'est ce qui leur arrive à tes petits-enfants, c'est moi où ils sont contents d'être ici » Marvin disait subitement à un Rudy qui regardait Ambre confus.

« Il était temps que Lucy se débarrasse de ce con de Galen « Richard avoua à voix haute, mais dès qu'il parla, Rudy parla

« Chut, chut « Rudy disait à ses potes qui rigolèrent tous parce qu'ils savaient parfaitement ce que Rudy pensait de Galen, mais ce dernier avait promit qu'il arrêterait de dénigrer le mari de Lucy. Chose pas facile du tout pour lui.


Bonnie entrait à son bureau s'attendant à voir ses collègues, mais elle s'étonna lorsqu'elle vît son bureau vide. Elle baissa son regard en direction de l'écran pour voir un post-it de Sophie qui lui disait qu'ils étaient partis boire un verre. Elle regardait le post it avant de s'asseoir à son bureau étonnant le chef Gordon qui sortît de son bureau à cet instant.

« Vous ne rentrez pas ? » Leur chef demanda. Bonnie releva la tête pour regarder le chef avant de regarder l'heure réalisant qu'il était tard. Déjà ? qu'allait elle faire elle qui ne voulait pas rentrer chez elle.

« J'ai encore des choses à finir « Elle avoua ne surprenant pas son chef qui avait constaté comme tous ses collègues que Bonnie faisait tout pour ne pas rentrer chez elle.

« Ne dormez pas ici » Son chef se contenta de dire avant de s'en aller sous les yeux de Bonnie qui fixait son ordinateur légèrement agacé par sa discussion avec Damon Salvatore et le plus troublant c'était qu'elle ne savait pas pourquoi ce dernier arrivait à l'agacé autant. Pourquoi avait-elle l'impression de devoir lui rendre des comptes.

Elle se réveilla de ses pensées lorsqu'elle vît un message de son père. Elle rangea son téléphone dans sa poche refusant de faire face à son père.

Elle déverrouilla ensuite son écran d'ordinateur pour rechercher le dossier au nom de la Jane Doe, la victime sur laquelle Klaus et Marcel avaient enquêté, mais elle ne trouva plus rien sur la base de donnée. La C.I.A avait déjà tout transféré se disait Bonnie qui avec l'enquête de Madame Brook et l'histoire avec sa grand-mère avait laissé tombé l'affaire de la Jane Doe, une affaire qui semblait avoir un lien avec Katherine.

Bonnie essaya d'avoir accès autrement au dossier, mais elle tomba sur un message d'erreur. Elle n'avait pas les habilitations, malheureusement elle n'était qu'un petit d'Agent de rien du tout.

Bonnie retenta tout de même, mais rien. Elle prît alors son téléphone pour rechercher dans son répértoire la seule personne qui pouvait avoir des informations pour elle, mais lorsqu'elle tomba sur le nom de Hugh Portman, elle hésita.

Elle hésita parce qu'en réalité, elle avait voulu l'appeler depuis longtemps, non pas par intérêt, mais parce que lorsque cette période arrivait, il avait l'habitude d'être là pour elle. Disons qu'elle avait eu l'habitude de dépendre de lui et elle n'avait pas envie de retourner dans cette dépendance. Elle devait apprendre à s'en sortir seule, mais là, il était le seul à pouvoir l'aider.

Elle se décida à l'appeler ne s'attendant pas à l'avoir au téléphone parce qu'il était dû genre à être occupé, mais elle s'étonna lorsqu'elle entendit sa voix.

« Ma pupille adorée et l'un de mes plus grands regrets m'appelle, que puis-je faire pour toi ? » Il disait assis à son bureau ne pouvant que faire sourire Bonnie. Hugh tourna son siège pour regarder la ville du haut de son bureau.

Elle hésita à parler avant de se lancer.

« Un dossier géré par la C.I.A « Bonnie disait seulement ne surprenant pas le directeur qui ne s'attendait pas à des politesses de sa part. Il regardait à travers le reflet, ses yeux verts qui viraient avec la vieilesse au bleu et ses cheveux qui autrefois était d'un brun étincelant, mais maintenant il virait plus au gris avec les quelques cheveux qui était apparus.

« Hayley Labonnair est dessus « Bonnie continua. Hugh hocha la tête.

« Je sais « Il répliqua subitement surprenant Bonnie et cette dernière comprît à cet instant qu'il savait de quoi elle parlait avant même qu'elle ne parle alors qu'il ne faisait pas partie de la C.I.A. C'était du Hugh, il savait toujours tout, mais comment se faisait-il qu'il était au courant pour ce dossier se disait Bonnie.

« Et je ne partagerais pas ses informations avec toi « Il avoua. Bonnie regardait le vide confuse.

« Pourquoi ça ? Parce qu'elles sont confidentiels, allez arrête Hugh ce n'est pas la première fois que tu partages des informations avec moi « Bonnie continua au directeur.

"Je sais, je ne suis pas toujours le protocole tu es la première à le savoir "Hugh se mît à dire à une Bonnie qui eut un flashback à cet instant de Hugh et de sa première rencontre avec lui alors qu'elle n'avait que 16 ans.

Elle ne dît rien laissant le silence s'installait ce qui n'étonna pas Hugh qui parla.

« Pourquoi es-tu à San Fransisco Bonnie « Il demanda seulement. Bonnie fixait en face d'elle silencieusement

« Pour ta famille, de toi à moi on sait très bien que tu as toujours tout fait pour éviter ta famille depuis que je t'ai rencontré à tes 16 ans » Il continua n'en disant pas plus.

" Tu n'es pas avec eux en parlant de ça, il est l'heure d'être auprès de sa famille à cette heure-là non " Hugh continua essayant de brusquer Bonnie ce qu'elle savait parce qu'il aimait brusquer les gens, c'était son truc.

"Et toi tu n'es pas avec la tienne, il ne faudrait pas que tu divorce encore une fois à ton âge " Bonnie répliqua ce qui fît sourire Hugh

"Toujours la petite phrase piquante, c'est assez simple avec toi, on te pique, tu piques " Il disait. Ils ne dirent rien tous les deux avant que Hugh parle sérieusement.

« Plus sérieusement, comment ça va ? » Il demanda ensuite intrigué de savoir comment Bonnie allait surtout en cette période. Bonnie rigola

« ça va parfaitement bien, je m'entends très bien avec mes parents, et avec ma grande sœur c'est l'amour absolu » Bonnie continua. C'était ironique, il le savait.

« Comment tu vas Bonnie ? » Il répéta parce qu'il en avait rien à faire de la famille à Bonnie. C'était de Bonnie dont il se souciait.

« C'est bientôt la mort de Sheila « Il continua.

Voilà pourquoi Bonnie ne voulait pas l'appeler, parce que tous ce qu'elle avait appris venait de lui, tous ce qu'elle savait de la psychologie c'était grâce à lui. Il la connaissait mieux qu'elle ne se connaissait elle-même et elle ne supportait pas de faire face à ce qu'elle était, à qui elle était, à son passé.

« Je ne t'ai pas appelé pour parler d'elle « Voilà, elle s'était renfermée.

« Oui, je sais, mais malheureusement pour toi je me soucie de toi peu importe où tu es « Il disait comme une évidence. Bonnie fixait en face d'elle sans rien dire ne surprenant pas Hugh.

"Je te connais mieux que tu ne te connais, d'ailleurs je me suis toujours dit que si tu virais du côté obscur de la force, je serais le seul à pouvoir t'arrêter " Hugh disait, mais il ne trouva pas de public en la personne de Bonnie qui n'était pas d'humeur à faire de l'humour.

"Le dossier de la C.I.A Hugh, c'est pour ça que je t'appelle " Bonnie disait. Il rigola

"Non tu m'appelles parce que tu ne sais pas vers qui te tourner lorsque tu vas mal c'est différent "Il continua lisant en elle comme dans un livre ouvert.

« Un jour faudra que tu arrête de m'appeller et que tu leur en parles parce que ça va te bouffer de l'intérieur Bonnie si tu continues comme ça « Bonnie rigola avant de répondre

« Pense-tu qu'il serait prêt à supporter tous ce que je sais, tous ce que j'ai toujours su, mais que «

« Tu n'étais qu'une gamine « Il coupa court.

« Tu le sais mieux que quiconque que certains tueurs en séri »

« Arrête « Bonnie disait refusant que Hugh utilise ce terme pour sa grand-mère. Hugh s'arrêta lorsqu'il fît face au silence de Bonnie.

« Après tous ce que j'ai fait pour protéger mon père je t'interdis de le dire à voix haute « Bonnie continua

« Et pourtant ce n'est pas à la fille de protéger son père des monstres cachés sous son lit « Hugh disait

« Qui te protège toi « Il demanda.

« Qui gère tes crises de panique lorsque les souvenirs refont surface, qui te protège de cette autodestruction dont tu es victime, qui te protège de ce manque de confiance en toi qui fait que tu n'accordes ta confiance à personne « Hugh demanda à une Bonnie qui fixait en face d'elle un moment réalisant que Hugh avait réussi à détourner la conversation. Il avait réussi à la faire parler, il avait réussi à l'exploiter, mais même s'il avait réussi à détourner la conversation, elle n'était pas dupe.

« C'est au sujet de Katherine n'est-ce pas « Bonnie se mît à dire subitement étonnant Hugh.

« Tu savais pourquoi je t'appelais avant même que je te parle et te connaissant tu me surveilles depuis que je suis ici, les infos que tu as c'est au sujet de Katherine c'est ça « Bonnie se mît à dire ne pouvant que surprendre son interlocuteur qui avait tendance à oublier que Bonnie n'était pas naïve. Elle pouvait être faible d'esprit, mais elle n'était pas naïve, jamais.

« Que sais-tu Hugh ? » Bonnie demanda. Ce dernier garda le silence.

« L'enquête sur le meurtre de Katherine a été ré-ouverte, le FBI et la CIA travaillent ensemble, tu en saurais plus si tu n'avais pas quitté le FBI » Hugh disait

« Si tu veux en savoir plus, reviens vivre à New York sinon contente toi de prétendre être quelqu'un que tu n'es pas auprès de ta famille « Il déclara avant de raccrocher surprenant Bonnie. Cette dernière regardait en face d'elle les yeux grands ouverts se demandant ce qu'il savait. Elle était dans ses pensées lorsqu'elle entendît Vincent derrière elle.

"Tu es encore là ?" Vincent disait. Bonnie se retourna pour regarder le médecin légiste.

"Je vais rejoindre les autres au bar, on va fêter mon retour, tu veux venir " Vincent demanda. Bonnie esquissa un sourire

"Les autres ne t'ont visiblement pas encore dit que je ne fais pas ça, boire des verres entre collègue "Bonnie répondit étonnant Vincent car il ne savait pas à cet instant si c'était de l'humour ou la vérité.

"Mais merci "Bonnie disait. Visiblement c'était la vérité se disait Vincent qui était étonné par la franchise de Bonnie. Cela méritait d'être claire.

"J'ai autre chose à faire "Bonnie continua décidé à prendre l'air. Elle prît ses affaires puis s'en alla sous les yeux d'un Vincent perdu. Une fois à l'extérieur du commisariat, Bonnie s'arrêta car elle réalisa qu'elle ne savait pas où aller. Elle vît un bus à cet instant. Elle courra pour le prendre se disant qu'une ballade en bus l'occuperait, même si elle avait une voiture, parce que tous ce qu'elle voulait à cet instant était perdre du temps pour éviter de rentrer chez elle.

Qu'est ce que la solitude à New York lui manquait dans ces moments-là parce qu'à New York, elle ne dépendait de personne, pas de famille, personne.


Damon sortait de sa voiture une fois devant l'hôpital. Il entra dans l'hôpital curieux car si Elena était dans un hôpital, elle ne pouvait être qu'en compagnie de Jeremy. Il traversa l'accueil pour parler à la standardiste et infirmière.

« Bonsoir « Damon disait attirant l'attention de l'infirmière à l'accueil.

« Bonsoir, en quoi puis-je vous aider ? » Elle demanda.

« Je voudrais parler à Jeremy Gilbert « Damon disait. Vicky arriva à cet instant à l'accueil

« Désolée Damon, Jeremy est en pleine opération, elle risque de durer un moment « Vicky disait surprenant Damon car cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu Vicky. En réalité, depuis que Jeremy et elle n'étaient plus ensemble, chose qu'il avait trouvé dommage parce qu'ils allaient très bien ensemble et que Vicky semblait profondément amoureuse de Jeremy.

« Hey Vicky ca va ? » Damon demanda. Vicky hocha la tête

« Oui ca va et toi ? Toujours aussi beau « Vicky disait ce qui fît sourire Damon. Oui, Vicky devait avouer qu'elle avait toujours trouvé Damon charmant ce que Jeremy détestait qu'elle dise surtout en sa présence.

« Il est en opération depuis longtemps ? » Damon demanda.

« Il était avec Elena, elle est partie il y a 10 minute avec une valise, alors il en a pour un moment » Vicky disait surprenant Damon, mais il ne montra rien. Pourquoi Elena était-elle là se disait Damon et pourquoi ne lui avait-elle pas dit ? pourquoi lui avait-elle dit qu'elle était à l'aéroport se demandait à cet instant Damon qui espérait qu'Elena aille bien parce qu'en général ce n'était pas bon lorsque les gens étaient à l'hopital. En plus du fait qu'il ne l'avait pas vu de toute la journée.

« Oui, dit moi Vicky, on peut se parler en privé » Damon demanda. Vicky s'étonna. Elle hocha la tête

« Oui pas de souci, à l'extérieur ça te va « Vicky demanda. Damon hocha la tête puis s'éloigna du standard invitant Vicky à le suivre. Ils se retrouvèrent sur le parking un peu plus loin pour discuter.

« De quoi veux tu me parler « Vicky demanda une fois à l'extérieur. Damon regarda Vicky hésitant avant de parler.

« Je sais que ton métier t'interdis de parler de tes patients, mais sais-tu si Elena va bien ? » Damon demanda. Damon montra l'hôpital du doigt

« Elle m'a dit qu'elle était à l'aéroport et j'ai entendu l'alarme de votre hôpital « Damon continua.

« Elle n'avait pas l'air d'être là pour une visite médical « Vicky avoua.

« Elle n'est pas patiente chez nous à priori, Jeremy et elle devaient sûrement discuter c'est tout « Vicky continua. Damon fronça les sourcils confus

« Tu me dirais si jamais Elena était malade ou » Damon demanda se montrant inquiet pour elle. Vicky posa sa main sur le bras de Damon

« Hey Elena n'est pas malade je t'assure, je te dis la vérité « Vicky continua. Damon regardait Vicky confus

« Alors pourquoi m'a-t-elle menti ? » Damon demanda. Vicky fixait Damon silencieusement, un Damon qui avait l'impression que le silence de Vicky voulait s'exprimer.

« Quoi ? » Damon demanda. Vicky secoua la tête de gauche à droite

« Rien « Elle disait seulement.

« Vicky, tu voulais me dire quelque chose là « Damon disait. Vicky regardait Damon un moment

« Rien Damon, je dois y allé « Vicky répéta refusant de se mêler de ce qui ne la regarde pas. Elle allait partir, mais Damon lui prît le bras

« Vicky allez » Damon disait. Vicky fixa Damon silencieusement. Elle laissa le silence perdurait avant de soupirer pour briser ce dernier.

" Je ne suis pas sûre qu'Elena soit souvent honnête avec toi " Vicky avoua se sentant mal d'avoir dit ça à voix haute surtout en voyant la tête de Damon qui semblait ne pas apprécié ce que Vicky voulait dire.

"Qu'est ce que ça veut dire ?" Damon demanda refroidissant Vicky par le bleu de ses yeux, des yeux qui pouvaient déstabilisés n'importe qui à cet instant.

« Tu sais pourquoi Jeremy et moi on est plus ensemble « Vicky demanda subitement décidé à aborder le sujet d'ELena avec délicatesse surtout avec Damon parce qu'il aimait beaucoup trop pour croire quoi ce soit qui entacherait la réputation d'Elena. Damon la regardait se souvenant de ce qu'Elena lui avait dit.

« Tu as mis terme à votre relation pour te concentrer sur le boulot «

« C'est ce qu'Elena t'a dit j'imagine « Vicky disait.

« Ce n'est pas pour ça ? » Damon demanda. Vicky regardait Damon avant de secouer la tête

« Non, j'ai rompu avec lui parce que Jeremy est amoureux d'Elena « Vicky disait. Damon écarquilla les yeux en grand avant de se mettre à rire.

« De quoi tu parles Vicky ? c'est sa sœur c'est ridi »

« Ils ne sont pas frères et sœurs « Vicky révéla subitement paralysant Damon et à cet instant lorsqu'elle vît le choc sur le visage de Damon, elle comprît qu'il ne savait pas, elle qui pensait que Damon savait.

« Tu ne le savais pas ? tu ne le savais vraiment pas « Vicky se mît à dire les yeux grands ouverts à la réalisation que Damon n'était vraiment pas au courant.

« Elena a été adopté, ils n'ont aucun lien de sang » Vicky continua à un Damon qui fît un pas en arrière. Il secoua la tête de gauche à droite tout en rigolant

« C'est n'importe quoi, peut-être qu'il y a une explication «

« Ecoute Damon, j'ai toujours trouvé bizarre tous les services que Jeremy rendait à Elena, et je me suis toujours dit que c'était parce qu'ils étaient proches, mais leur relation était étrange surtout de mon point vue « Vicky disait. Elle se toucha le torse

« Ma jalousie obsessive comme tu le sais « Vicky disait se doutant que Damon était au courant. Oui, Vicky était très jalouse et elle se doutait que Damon le savait.

« m'a forcé à faire un test ADN entre les deux et lorsque j'ai confronté Jeremy, il m'a avoué que depuis le lycée ils ont su qu'Elena avait adopté et ensuite il en a parlé à Elena et elle m'a sacrément menacé tu sais « Vicky continua. Elle pointa Damon du doigt

« J'imagine que tu le sais, les avocats vous êtes doué pour menacer les autres « Elle disait à un Damon qui la fixait les yeux grands ouverts parce qu'il n'en savait rien. Non, il ne savait rien de tout ça. Il avait l'impression de débarquer, de ne plus rien savoir.

« Attends ce n'est pas possible je le saurais, elle me l'aurait dit « Damon disait ne pouvant laisser Vicky continuait. Vicky soupira. Elle passa une main dans ses cheveux puis parla.

« Elle s'est servie de choses personnelles que Jeremy lui avait dit sur moi pour me faire chanter et à partir de ce moment, j'ai décidé de mettre un terme, c'est fini, je ne veux plus rien à voir avec les Gilbert « Vicky continua. Elle regarda Damon se doutant que ce dernier n'allait pas la croire, elle avait l'habitude qu'on le croit pas.

« Tu n'es pas obligé de me croire et de toute façon je m'en fous » Damon regardait le vide confus se sentant stupide parce qu'il avait toujours trouvé étrange la relation de Jeremy et Elena surtout du point de vu de Jeremy. Il avait vu, à certain moment, des regards, des gestes, mais il se disait qu'ils étaient proche à cause de leur passé tragique.

Vicky fixa Damon étonné parce qu'elle avait l'impression qui la croyait là.

« Tu me crois ? » Vicky demanda. Damon se réveilla de ses pensées pour regarder Vicky.

« C'est dure à croire « Damon disait décevant Vicky qui avait l'habitude que Damon ne voit et ne croit personne d'autres qu'Elena.

« Je suis désolé, je crois que j'ai besoin de « Damon ne termina pas sa phrase car il sentît sa respiration se couper. Vicky s'approcha pour poser sa main sur son bras

« Oui je comprends, désolée, j'imagine que c'est dure à apprendre « Vicky disait. Elle se sentait mal à cet instant lorsqu'elle vît que Damon en avait la respiration coupée face à la nouvelle. Damon s'éloigna de Vicky pour poser sa main sur le mur. Il pencha sa tête pour regarder le sol

« Désolé « Damon disait sans regarder Vicky surprenant cette dernière qui n'avait jamais vu Damon comme ça. Damon avait cette carapace qu'il était dure de briser.

En sortant avec Jeremy, elle avait pu le constater. Il était toujours distant dans sa manière de s'adresser aux autres, mais en même temps jamais froid.

Il y avait quelque chose chez lui de rassurant et froid à la fois alors le voir comme ça c'était ... bizzare pour Vicky. Damon desserra sa cravate qui commençait à lui serrer. Quelle idée de porter ce genre de chose à la con se disait-il.

« En ce moment c'est compliqué « Damon avoua n'en disant pas plus à Vicky. C'était le désordre dans sa tête en ce moment et cela devenait épuisant et Elena ne lui faisait pas de cadeau.

« Ca va avec Elena ? « Vicky demanda. Damon tourna sa tête pour regarder Vicky qui se sentît mal de poser la question lorsqu'elle vît les yeux bleus de Damon la transperçait.

« C'était juste une question, je sais qu'on n'est pas proche, tu n'es pas obligé de me répondre « Vicky disait réalisant qu'il arrivait facilement à mettre mal à l'aise les gens. Un point commun qu'Elena et lui partageaient. Il fixa Vicky pensant à ce que James lui avait dit.

« Je peux te poser encore une question « Damon demanda subitement. Il tourna son corps pour se mettre face à elle.

Vicky hocha la tête.

« Bien sûre «

« Jeremy a dit à Bonnie Bennett que j'étais volage, je sais que la question peu paraître étrange et puérile « Damon disait

« Mais je sais qu'il ne m'a jamais apprécié et ce que tu m'as dit justifierait ça « Damon disait ne pouvant s'empêcher d'émettre des réserves ce que Vicky trouva mignon. C'était sa manière de se protéger. Il devait en savoir plus par lui-même avant de croire ce que Vicky lui disait, parce que cela était trop gros si Elena, sa propre femme ne lui avait pas dit que Jeremy n'était pas son frère. Pourquoi elle l'aurait caché ce genre d'information se disait Damon.

« Il n'a pas pu sortir tout ça tout seul « Damon disait à une Vicky qui comprît ce que voulait savoir Damon. Vicky ne dît rien, mais Damon comprît qu'elle savait quelque chose, mais qu'elle ne voulait pas lui dire.

« Peu importe ce que tu me dis, peu importe si je te crois ou pas, je ne dirais rien « Damon disait. Vicky fixait Damon un moment avant de parler décidé à ne pas mâcher ses mots parce qu'elle n'appréciait pas Elena et elle n'allait plus faire semblant avec Damon.

« Ta femme sait très bien manipuler les autres pour obtenir ce qu'elle veut « Vicky répliqua de suite à un Damon qui pouvait voir du mépris dans les yeux de Vicky.

« Elle avait besoin de service et pour ça, elle lui a raconté ce genre d'ânerie, j'ai beau essayé de raisonner Jeremy, mais lorsqu'Elena est concernée, tout le monde disparaît » Vicky disait.

« De quel service avait-elle besoin ? » Damon demanda. Non, la question le concernait lui, parce que pourquoi Elena aurait menti à son sujet envers Jeremy.

« De quel service aurait-elle eu besoin qui me concerne moi « Damon continua à une Vicky qui secoua la tête de gauche à droite ne pouvant dire cette vérité à Damon. Ce n'était pas à elle de dire ça, elle s'était déjà trop mêlée de ce qui ne la regardait pas.

« Voit ça avec Jeremy et Elena, je n'aurais déjà pas dû te dire au sujet de leur lien de parenté » Vicky disait. Elle s'en alla ensuite, mais avant de franchir les portes

« S'il te plaît ne dit rien à ta femme « Vicky continua troublant Damon à cet instant qui pouvait voir de la crainte dans les yeux de Vicky. Damon regardait le vide laissé par Vicky totalement confus.

Il reposa sa main contre le mur essayant de comprendre ce qui était en train de se passer. Il rigola ensuite se sentant stupide parce que Vicky semblait savoir plus de chose que lui alors qu'Elena avait eu l'habitude de dire que Vicky n'était pas une femme fiable, mais en réalité elle ne voulait simplement pas que Vicky parle n'est-ce pas ?

Il ne savait plus qui croire, il ne savait plus quoi croire.

Il posa une main sur son cou pour reprendre son souffle. Il inspira et expira ensuite afin de retrouver sa respiration, de reprendre ses esprits. Il était dans ses pensées lorsque son téléphone vibra. Damon regarda son téléphone pour voir que Stefan lui avait envoyé un message pour boire un verre ensemble. Damon accepta de suite car là, il avait bien besoin d'un verre.

Sleeping At Last : Neptune

Noir complet, bleu pâle
C'était un vitrail
Variation de la vérité
Et je me sentais bredouille

Tu m'as laissé naviguer
Avec du bois bon marché
Donc, j'ai rafistolé
Chaque fuite que je pouvais
Jusqu'à ce que le blâme devienne trop lourd

Il se retourna puis se dirigea vers sa voiture. Il ouvra la portière et allait entrer dans sa voiture, mais il s'arrêta net lorsqu'il vît Bonnie assise de dos sur le banc d'un arrêt de bus, la tête posé contre l'abri de bus. Elle écoutait de la musique dans un casque, les yeux fermés. Elle devait sûrement attendre Jeremy se disait-il en voyant la bière dans sa main.

Oui, elle avait pris l'air en espérant voir Jeremy histoire d'avoir de la compagnie, mais ce dernier était en opération alors elle s'était retrouvée à attendre à l'arrêt de bus.

C'était pathétique d'être là à chercher de la compagnie, mais elle ne pouvait pas supporter sa famille, avant elle avait l'excuse d'être loin pour ne pas avoir à regarder son père dans les yeux, mais maintenant elle n'avait plus aucune excuse.

Elle fermait les yeux tout en écoutant de la musique afin d'éviter de penser à sa grand-mère, mais ses pensées prenaient trop de place. Elle bu sa bière sous les yeux de Damon qui s'avança pour s'arrêter à côté d'elle. Ce dernier la fixait, un regard que Bonnie sentît. Elle ouvra les yeux puis tourna sa tête pour voir Damon Salvatore. Elle retira son casque ne pouvant qu'être étonnée par sa présence.

« Coïncidence ou manipulation » Bonnie demanda

« Qu'en pensez-vous, peut-être que je vous ai suivi « Elle continua à Damon qui la fixait habitué par les pics de Bonnie Bennett.

Bonnie fixait Damon confus car elle pouvait voir que quelque chose semblait le tracasser, mais pour le peu qu'elle savait de lui, elle se doutait qu'il n'était pas dû genre à s'étendre sur lui.

« Coïncidence « Damon répliqua tout en fixant Bonnie mal à l'aise face à leur conversation de tout à l'heure. Il était en colère contre elle alors qu'il n'avait aucun droit d'être agacé, en colère, jaloux.

Oui, c'est vrai, elle faisait ce qu'elle voulait. C'était comme ça qu'il avait décidé de réagir, il devait lâcher prise et arrêter d'être troublé par la femme en face de lui.

Il tourna sa tête en direction de l'hôpital

« Vous attendez Jeremy ? » Damon demanda ensuite préférant changer de sujet. Bonnie fixait Damon un moment, un Damon qui sentît son regard sur lui. Il dévia son regard vers elle et cette dernière se ressaisit

« Au début, maintenant je cherche simplement à éviter de rentrer chez moi « Bonnie avoua. Damon ne dît rien. Ils se contentèrent de se regarder et Bonnie rigola

« Vous n'allez pas me demander pourquoi « Bonnie répliqua.

« Allez-vous me répondre si je demande » Damon disait à une Bonnie qui appréciait Damon Salvatore parce qu'il avait constamment les mots justes. Elle rigola puis bu sa bière avant de parler

Point par point je me déchire
Si le fait d'être brisé est une forme d'art,
Je dois être un symbole du prodige
Fil par fil je me découds
Si le fait d'être brisé est une forme d'art
Certainement que ce doit être mon chef-d'œuvre.

Je ne suis honnête que lorsqu'il pleut
Si je paramètre bien, le tonnerre gronde
Quand j'ouvre la bouche
Je veux te le dire mais je ne sais pas comment

« Vous êtes venu voir Jeremy aussi ? » Elle demanda à un Damon qui la fixait repensant à ce que Lucy et James lui avaient dit et à cet instant il comprît que ce que James avait dit était vrai.

Bonnie savait qu'Elena baratinait Jeremy enfin elle se doutait, elle supposait et comme à chaque fois elle se servait de ses suppositions pour manipuler les gens afin que ces derniers cherchent la vérité par eux même.

C'était ce qu'elle venait de faire et comme un con il avait cru lorsqu'elle prétendait ne pas comprendre tout à l'heure. Il rigola subitement sous les yeux de Bonnie qui ne comprît pas pourquoi il rigolait.

« Vous m'avez menti lors de notre échange n'est-ce pas « Damon se mît à dire. Bonnie haussa les épaules faisant mine de ne pas comprendre

« Je mens tellement qu'il faut m'en dire plus pour que je me rappelle de quel mensonge « Bonnie disait décidé à utiliser l'humour.

« Vous n'avez pas parlé à James pour savoir si j'étais volage parce que vous en avez rien faire que je le sois ou pas, vous lui avez parlé parce que vous supposiez que ma femme mentait à Jeremy à mon sujet et vous vouliez que je sois ici à me renseigner à ce sujet « Damon se mît à dire à une Bonnie qui le fixait avant de sourire.

« Manipulatrice perverse vous avez oublié « Bonnie disait seulement n'aimant étrangement pas le regard pesant de Damon sur elle.

Dire qu'il avait cru lors de leur échange, dire qu'il avait vraiment pensé que Bonnie n'avait pas utilisé James dans le but de discréditer Elena. Elle lui avait menti dans les yeux et il avait baissé sa garde se disait-il parce que lui qui était généralement méfiant, venait de se faire avoir.

Il fixait Bonnie un moment se sentant con d'avoir baissé sa garde, parce que c'était de ça qu'il s'agissait. Il avait baissé sa garde depuis qu'il avait couché avec elle, non pas parce qu'il avait couché avec elle, mais parce qu'il n'arrêtait pas de penser à elle ces derniers temps au point qu'il en venait à créer des coincidences.

Bonnie n'avait pas tort lorsqu'elle disait qu'il avait parlé d'elle à James parce qu'il voulait créer des coincidences. En réalité, il l'avait réalisé lorsqu'elle lui avait balancé ça en pleine face, parce que, tout avait été fait inconsciemment, mais elle semblait ëtre douée pour connaître l'inconscience des gens.

Oui, elle était douée.

« Si je vous l'avais dit vous auriez dit cette femme cherche juste à mettre le grappin sur vous parce que pourquoi vous croiriez une femme avec qui vous avez couché au lieu de votre femme « Bonnie continua se trouvant à se justifier d'être ce qu'elle était. Pourquoi se sentait-elle obligé de se justifier. Peut-être parce qu'elle avait l'impression qu'à cet instant, Damon Salvatore la voyait comme la manipulatrice perverse que décrivait Lucy et James.

« Et je suis sûre que vous ne me croyez toujours pas, que votre confiance envers votre femme est toujours intact « Bonnie continua sous les yeux de Damon qui commençait à en avoir marre de toutes ces prises de tête surtout avec Bonnie. Elle avait pris trop de place et il fallait qu'il y remédie. Oui, c'était la morale de toute cette journée, c'était que Bonnie Bennett avait pris trop de place et qu'il fallait qu'il y remédie.

Il rigola sous les yeux de Bonnie qui n'aimait étrangement pas le rire de Damon. Ce dernier retrouva vue sur Bonnie, une Bonnie qui ne pouvait qu'être paralysée par la lueur dans les yeux de Damon. Une réalisation venait de le frapper, une réalisation qui ne lui plaisait pas.

Je ne suis honnête que lorsqu'il pleut
Un livre ouvert avec une page déchirée,
Et je suis à court d'encre
Je veux t'aimer mais je ne sais pas comment

Je ne sais pas comment
Non je ne sais pas comment
Je ne sais pas comment
Je veux t'aimer mais je ne sais pas comment

Je veux t'aimer...

« Vous avez dit que vous nous aviez donné ce que nous voulions, à Jeremy, James et moi « Damon se mît à dire décidé à mettre fin à tout ça.

« Que voulais-je selon vous ? que m'avez-vous donné « Damon demanda. Bonnie le fixait étonné par sa question parce que la réponse était évidente pour elle à cet instant et parce qu'elle ne savait pas à quoi s'attendre de Damon à cet instant.

« Oubliez votre mariage « Bonnie disait comme une évidence à un Damon qui hocha la tête.

« Oui sûrement les deux premiers soirs « Il disait en regardant le vide. Il releva la tête pour regarder Bonnie se souvenant de la fois où il avait essayé de l'embrasser.

« Mais lorsque j'ai voulu vous embrasser, c'était autre chose « Il avoua troublant Bonnie

"Vous qui êtes si douée, dite moi ce que mon inconscient voulait de vous ce soir-là " Damon demanda. Bonnie ne dît rien mal à l'aise par Damon.

"On n'est pas obligé de se p"

« C'était de l'humanité que je voulais de votre part « Damon se mît à dire paralysant Bonnie. Bonnie ouvra les yeux en grand tout en le regardant.

« C'est ce que je voulais que vous me donniez, de l'humanité « Damon continua paralysant Bonnie.

« Votre manière de vous impliquer pour les victimes c'est ce que j'ai aimé chez vous « Damon rigola ensuite rassuré que ce baiser n'ai pas eu lieu parce qu'il n'était pas sûre que Bonnie soit capable de lui donner ce qu'il voulait.

Non en réalité, elle en était incapable.

Personne n'était capable, que ce soit Bonnie ou Elena, c'était à lui de faire le deuil de l'ancienne Elena et d'arrêter de désirer quelqu'un comme Bonnie Bennett. Oui, il était maître de son destin, maître de ses relations.

« Mais ce n'était que de la manipulation « Damon continua sous les yeux de Bonnie qui le fixait mal à l'aise parce qu'elle n'aimait pas ce qu'il disait.

« J'ai compris, que c'était ce que je voulais et non ce que vous étiez »

« Vous vous raccrochez à ces victimes, à cette morale que vous avez simplement pour cacher votre manque d'humanité » Damon disait paralysant Bonnie par ses mots, des mots qui lui faisait penser à sa grand-mère.

Je ne suis honnête que lorsqu'il pleut
Si je paramètre bien, le tonnerre gronde
.Quand j'ouvre la bouche
Je veux te le dire mais je ne sais pas comment

Je ne suis honnête que lorsqu'il pleut
Un livre ouvert avec une page déchirée,
.Et je suis à court d'encre
Je veux t'aimer mais je ne sais pas comment

Je ne sais pas comment, pas comment, pas comment
Je veux t'aimer mais je ne sais pas comment

Je veux t'aimer...

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous, de ce manque d'humanité « Sheila Bennett disait sur son lit d'hôpital à Bonnie.

Etait-ce une coincidence ou peut-être la vérité ? Peut-être que Damon était en train de lui jeter une vérité en pleine face, une vérité qui faisait qu'elle était sur ce putain de banc à éviter son père parce qu'elle était inhumaine. Etait-elle inhumaine ? Bonnie se demandait à cet instant réalisant que Damon avait réussi à sortir en une phrase tous ses démons passés.

« Alors continuez à donner aux gens ce qu'ils veulent parce que vous avez raison, personne ne veut de la vrai Bonnie Bennett « Damon termina avant de s'en aller décidé à mettre un terme à ce bazar dans sa tête, peu importe s'il était blessant.

Il abandonna Bonnie qui sentît sa respiration se couper. Elle regardait le vide les yeux grands ouverts avant de sourire ne pouvant que sourire pour masquer la blessure qu'elle venait de se prendre. Elle regardait le vide paralysée par la douleur.

« Ouch « Bonnie disait subitement. Elle se retourna pour regarder Damon se dirigeait vers sa voiture. Elle allait se lever pour lui parler, mais étrangement ses pieds ne bougèrent pas. Elle se retourna pour regarder en face d'elle n'arrivant pas à se sortir les mots de Damon et de sa grand-mère à cet instant.

« J'ai aimé mon fils après tous ce qui m'est arrivé, je vous ai aimé après tous ce qui m'est arrivé « Sheila disait allongée sur son lit d'hôpital, affaiblie par les médicaments.

« Je t'ai élevé Bonnie comme ma propre fille et je sais que tu es comme moi » Sheila continua à une Bonnie qui était assise sur le fauteuil.

« Non grand-mère « L'adolescente qu'était Bonnie disait.

« Comment tu as pu faire ça ? » Bonnie continua larme aux yeux.

L'amour était étrange non, parce qu'à cet instant, elle était en colère contre sa grand-mère, mais en même temps elle lui serrait fort la main parce que sa grand-mère avait été adorable avec elle.

Sheila avait été une mère, une amie, une grand-mère formidable pour tout le monde et pour elle. Comment était-il possible d'aimer quelqu'un qui avait fait autant de mal autour d'elle ? Comment pouvait-elle pleurer à cet instant non pas pour toutes les personnes qu'elle avait fait souffrir, mais parce qu'elle s'apprêtait à perdre un être chère. Elle pencha son corps en avant pour poser son front sur le ventre de sa grand-mère.

« Comment tu as pu faire ça « Bonnie répéta n'arrivant pas à arrêter ses larmes. Sheila posa sa main sur le dos de Bonnie afin de lui faire une caresse. Elle caressa quelques secondes le dos de Bonnie.

« Comment tu as pu me protéger tout ce temps « Sheila continua à une Bonnie qui avait toujours su, la gamine qu'elle était avait vu, mais elle n'avait rien dit.

« Je n'étais qu'une gamine « Bonnie disait en se relevant pour regarder sa grand-mère qui avait horriblement les mêmes yeux que son père.

« Mais maintenant tu es grande « Sheila répliqua paralysant Bonnie qui n'avait jamais rien dit. C'était vrai, elle avait 16 ans, elle était assez grande pour dire cette vérité, une vérité qui allait briser son père, sa soeur et toutes les personnes qui ont aimés Sheila. Sheila fixait Bonnie avant de poser sa main sur la joue de Bonnie.

« Vous étiez mon humanité « Elle révela essayant de retirer une larme des yeux de Bonnie, mais les larmes de Bonnie coulaient à flot comme si l'une entraînait les autres.

« Parce que c'est comme ça pour les gens comme nous, on se raccroche au peu d'humanité qu'il nous reste pour cacher notre manque d'humanité et c'est exactement ce que tu fais Bonnie «

« Je suis humaine, je ne suis pas comme toi « Bonnie disait à une Sheila qui retira sa main de la joue de Bonnie. Elle rigola, mais son rire fût coupé par sa toux.

« Alors peut-être devrais-je dire à ton père que tu m'as empoisonné «

« En prenant soin de ta pauvre grand-mère « Sheila avoua paralysant Bonnie.

« Tu penses être plus humaine que moi Bonnie, arrête de te mentir à toi-même, toi et moi sommes pareils, on se raccroche à notre humanité de peur de sombrer dans cette folie qui grandit en nous, de ce manque d'humanité «

« Mais je suis fière de toi parce que tu es capable de tuer quelqu'un que tu aimes n'est ce pas un manque d'humanité « Sheila demanda ne pouvant que rire face à l'hypocrisie de Bonnie.

« Comment pense-tu que ton père va réagir lorsqu'il saura ce que tu as fait, lorsqu'il saura ce que tu m'as fait « Dès qu'elle dit ça, le visage de Bonnie passa de la tristesse à de la détermination. Elle ressera son emprise sur la main de sa grand-mère, une grand-mère qui savait que le plus grand point faible de Bonnie était son père.

« Il ne le saura jamais « Bonnie disait

« Il ne le saura jamais, moi en vie, il ne saura jamais ce que tu as fait, toutes ces personnes que tu as tué et il ne saura pas que sa fille a tué sa mère et si je dois vivre avec alors je vivrais avec parce que nous avons un point commun toi et moi « Bonnie disait n'arrivant pas à contrôler ses larmes.

« C'est qu'il est la seule chose bien qu'on a toi et moi « Bonnie continua essayant de se montrer ferme, mais les larmes gâchaient tout.

« Seule moi saura et je vivrais avec « Bonnie continua.

« Ces vérités là te briseront ma fille, crois-moi je sais ce que sait d'être quelqu'un qu'on n'est pas, alors garde toutes ces choses horribles en toi et apprends à vivre avec «

Les larmes de Bonnie coulèrent sans qu'elle les contrôle à cet instant.

« Madame vous montez ? » Le chauffeur de bus demanda une fois devant l'arrêt de Bonnie. Bonnie releva la tête perdu par les souvenirs.

« Vous allez bien ? » Il demanda. Bonnie hocha la tête tout en essuyant ses larmes avec ses manches.

« Oui « Elle disait. Elle se leva ensuite puis monta dans le bus car elle avait besoin de partir là, la présence de Damon était encore trop presente et ses mots trop pesant. Elle traversa l'allée du bus pour s'asseoir sur un siège.

Typhoon : Prosthetic Love

My folks they left the TV on
I was falling in love years before I ever met someone
Like a prayer you don't expect an answer
Though you ask for one

And sure my love would come along
Like some little bird and only I would recognize its' home
Like the actors I see on the television
With the stage lights on

What I found was a gamble
You threw yourself in with me
Made a cross and you lit a candle

Elle posa ses deux mains sur son visage ne voyant pas Damon qui s'était arrêté près de sa voiture pour la regarder.

Il avait été dure parce qu'à cet instant il voulait mettre un terme à toutes ses complications dans sa tête, dans son coeur, dans sa vie, peu importe ce qu'il y avait entre eux, mais il s'étonna lorsqu'il vît Bonnie essuyait ses larmes avec ses manches. Le bus s'en alla sous les yeux de Damon qui s'en voulu d'avoir été antipathique et insensible.

Bonnie regarda ses manches, confuse ne comprenant pas pourquoi ses larmes coulaient toute seule et pourquoi ses manches n'arrivaient pas à les arrêter. Elle fixa ses deux mains avant de tapoter son cœur pour ralentir les battements de son cœur, pour éteindre ses souvenirs qui trouvaient le moyen de se manifester par ses larmes.

Elle essayait de se retenir en frappant sa poitrine, mais elle n'arrivait pas.

« Madame vous allez bien « Un passager à côté disait. Bonnie mît sa main et hocha la tête

« Oui « Elle disait. Elle entendît subitement son téléphone sonnait. Elle prît son téléphone, mais elle s'arrêta à la vue du numéro de son père. Encore lui se disait Bonnie qui trouvait que ce n'était pas le moment pour son père d'intervenir.

Elle raccrocha à son père qui avait bien compris que Bonnie avait raccroché alors il laissa un message vocal, un message vocal que Bonnie écouta de suite.

« Tous ce que je te demande c'est d'être là pendant une période difficile, mais tu n'es pas là « Rudy disait à une Bonnie qui écoutait le message sans rien dire n'arrivant plus à respirer. Comment pouvait-elle être avec lui après ce qu'elle savait, ce qu'elle avait fait. Il pourrait comprendre se disait Bonnie, mais non, il ne savait rien, seul elle savait, seul elle devait vivre avec, mais c'était beaucoup trop dure de regarder son père dans les yeux.

C'est bon se disait Bonnie, elle reconnaissait les signes de ses putains de crise de panique.

« Si seulement tu pouvais me dire ce que je ne sais pas, pourquoi souffre tu autant alors je pourrais t'aider « Rudy continua sans rien dire comme s'il attendait que Bonnie réponde alors qu'il était sur le répondeur. Elle aurait tellement voulu lui dire, elle aurait voulu, mais elle ne pouvait pas. C'était pour le protéger tout ça, c'était avant tout pour lui.

« Qu'est ce qui est si dure à être là lorsqu'on te le demande « Il continua. Il soupira

« Pas besoin de rentrer Bonnie, fait ce que tu sais faire de mieux et ne rentre pas à la maison, fuis » Rudy continua avant de raccrocher laissant Bonnie seule avec ses souvenirs.

Bonnie rangeait ses affaires dos à Katherine qui arriva au bureau.

« Hey Bonnie j'ai quelqu'un à te présenter « Katherine disait attirant l'attention de Bonnie. Bonnie se retourna, mais elle se paralysa tout comme l'homme au côté de Katherine.

« Mon fiancé, Sully « Katherine disait à une Bonnie qui se retrouva souffle coupé comme Sully. Les deux se regardèrent avant que Bonnie fasse ce qu'elle savait faire de mieux, faire semblant de ne pas le connaître.

« Hey enchanté, je suis Bonnie Bennett « Elle disait en tendant sa main à Sully qui la fixait surpris avant de se ressaisir parce que Bonnie avait raison, ils n'étaient plus les adolescents qui s'étaient autrefois connus, alors il serra la main de Bonnie, comme si de rien était, mais plus le temps passait, plus il était compliqué de faire semblant.

« C'est le moment Bonnie « Sully cria

But we were only strangers calling in a dark room
Rejecting stars or cozy lives on the wall
In the dark I thought I saw you
Or was it nothing at all

Every one I ever knew
I'm giving it all to you
I'm asking everything in return
And I have nothing left to lose
I'll get it back through you
And take your offer

« C'est le moment pour toi de me choisir, alors choisi moi peu importe ce que tu traverses, peu importe les pensées dépressives et triste que tu as, peu importe ton passé, je m'en fous, j'accepte tout, je te prends en totalité, toi rien que toi tu n'as juste qu'à me choisir, alors choisis moi « Sully continua face à Bonnie en plein milieu de la route. Elle aurait dû lui dire, elle aurait dû s'ouvrir à lui, mais si elle n'était pas capable de le faire avec sa propre famille, elle ne pouvait pas lui accorder ça. Comment pouvait-elle être heureuse après ce qu'elle avait fait et ce qu'elle avait autorisé à faire ?

« Je suis désolée, je ne peux pas «

« Tu ne me connais pas Sully, je ne suis plus l'adolescente que tu as autrefois connu « Bonnie continua avant de s'en aller laissant Sully seul.

Bonnie rangea son téléphone dans sa poche tout en essayant de retrouver sa respiration. Sheila avait raison, elle ne vivrait jamais normalement, elle avait fais un choix, elle devrait être capable de s'y tenir sans lâcher des putains de larmes, mais là elle n'arrivait pas.

« Madame vous allez bien « Le chauffeur de bus disait subitement à travers la vitre lorsqu'il vît Bonnie respirait difficilement. Bonnie se releva puis avança dans le bus

« Je dois descendre, je me sens pas bien « Bonnie disait au chauffeur qui ouvra subitement les portes

« Vous voulez de l'a »

« C'est bon « Bonnie répliqua de suite.

Elle descendît les marches pour se retrouver sur le trottoir.

Elle avança sur le trottoir essayant de reprendre sa respiration, mais c'était assez dur. Elle s'arrêta pour ensuite s'asseoir au bord du trottoir afin de reprendre sa respiration.

Elle entendît son téléphone sonnait, mais elle ignora l'appel concentré à récupérer sa respiration. Putain, elle avait l'impression que son cœur allait exploser.

Avait-il était trop dure se disait Damon en conduisant sa voiture.

Oui, il avait été parce que comme le Damon qu'il avait été autrefois, il blessait les gens dès qu'il devait se protéger et c'était exactement ce qu'il avait fait. Il avait réagi comme l'adolescent stupide et inconscient qu'il avait autrefois été, mais maintenant c'était un homme mature et responsable hein ? dû moins c'était ce qu'il pensait jusqu'à qu'il se retrouve à plusieurs reprise face à Bonnie.

Elle aimait blesser, elle aimait jouer, il connaissait beaucoup trop ce genre de personnage déstructeur parce qu'il avait été et parce qu'il connaissait ce genre de personnage, il savait qu'il avait utilisé des termes beaucoup trop dure.

Il n'y avait pas qu'elle qui savait blesser là où ça faisait mal ? mais est-ce qu'elle était dû genre à regretter lorsqu'elle blessait quelqu'un, parce que lui regrettait à cet instant. Oui, il était dans sa voiture à regretter ses mots.

Il était concentré à réfléchir sur la route, lorsqu'il vît le bus que Bonnie avait prit devant lui et à cet instant, il ne put que rire face aux coincidences, ou peut-être que s'en était pas une non. Peut-être était-ce de la manipulation se disait-il à lui même.

« Coïncidence ou manipulation » Damon se disait à lui-même parce qu'il ne savait même plus si c'était des simples coïncidences ou si comme le disait Bonnie, il en créait. Il regarda le bus de Bonnie avant de passer sur la file de gauche pour conduire à côté du bus. Il baissa sa tête pour voir si Bonnie allait bien car il s'en souciait. Oui, il s'en souciait, c'était ça le problème.

Damon se paralysa lorsqu'il vît cette dernière tapotait son cœur. Il arrêta sa voiture en plein milieu de la route étonné.

Le bus avança dépassant Damon qui s'était arrêté. Il bloqua la route et se réveilla de ses pensées lorsqu'il entendît des klaxons derrière lui.

Damon reprît la route pour suivre le bus, mais le bus s'arrêta et Bonnie sortît du bus pour s'asseoir sur le trottoir surprenant Damon. Damon tourna alors à gauche pour reprendre la route dans le sens opposé afin de se garer en double file.

This time I wake I'm still alive
Now in my expiration date imagine my surprise
Some backwards take on the book of Job
His life was a wager and mine's a joke
Give him what he wants, he will never know
He's tired of trying to let himself go

With everyone I ever knew
I've gotten used to use
I've grown attached to you being here
With everyone I ever knew
I've learned to count on you
As not on my fingers

Une fois garé, il sortît de sa voiture habillé de sa chemise blanche à costard et de son pantalon. Il regarda en face de lui Bonnie qui avait fermé les yeux pour essayer d'utiliser ce qu'elle avait pris auprès de Hugh, mais putain c'était inutile même après toutes ces années. Elle essayait de retrouver un souffle qu'elle n'avait plus depuis qu'elle avait 16 ans. Elle avait envie d'arracher son col roulé noir, mais elle n'arrivait pas, alors elle le dessera espérant que ce dernier là libère un peu, mais sans succès.

Elle fixait le vide lorsqu'elle entendît la voix de Damon Salvatore.

« Agent Bennett « Damon cria de l'autre côté de la route. Pas lui se disait Bonnie à cet instant qui refusait qu'il la voit comme ça.

Bonnie releva la tête pour regarder Damon. Les deux se fixèrent et dans un autre moment elle lui aurait bien dit d'aller se faire voir, mais là rien. Elle allait parler, mais aucun son ne sortît de sa voix. Damon examina la route afin de passer. Dès qu'il trouva l'occassion, il traversa la route en courrant pour rejoindre Bonnie.

« Vous allez bien « Il demanda, mais Bonnie secoua la tête de gauche à droite

« Je n'arrive pas à respirer « Bonnie disait en posant sa main sur son cœur. Elle essayait de reprendre sa respiration, mais elle n'arrivait pas. Damon s'accroupît alors pour poser sa main sur la nuque de Bonnie afin de la forcer à le regarder.

« Vous faite une crise de panique « Damon disait à une Bonnie qui le regardait à cet instant essayant de parler, mais elle n'arrivait pas. Elle le fixa

« ça n'a rien à voir avec vous « Elle disait refusant que Damon pense qu'elle se mettait dans cet état à cause de lui, même s'il avait joué un rôle. Elle ne contrôla pas ses larmes face à Damon.

« Je m'en doute « Damon disait. Bonnie tapota son cœur.

« Je n'arrive pas à respirer » Bonnie disait.

Elle allait pencher son corps pour s'allonger, mais Damon la força à se relever. Il la porta la forçant à mettre ses jambes autour de sa taille.

Bonnie enlaça Damon surprenant ce dernier. Elle ressera son étreinte autour de lui car là elle avait besoin de quelqu'un pour l'aider. Elle s'en foutait à cet instant si c'était une coïncidence ou pas, parce qu'il était là, c'était le plus important.

« Arrêtez de vous contrôler et respirer juste « Damon disait à une Bonnie qui fixait en face d'elle la route.

Il pouvait sentir à cet instant le cœur de Bonnie battre contre le sien, un cœur qui battait beaucoup trop vite l'empêchant de respirer. Damon posa sa main sur le dos de Bonnie qui avait l'impression de retrouver sa respiration à cette simple caresse.

Bonnie rigola tout en sentant ses larmes coulaient.

« Qui voudrait de cette Bonnie Bennett là hein « Bonnie disait surprenant Damon qui regardait leur reflet dans la vitre du magasin en face de lui ne pouvant que voir le dos de Bonnie.

Ils ne bougèrent pas et restèrent dans cette position ignorant les passants qui les regardaient curieusement se demandant ce qui se passait entre eux et pour être honnête aucun des deux n'étaient capable de répondre à cette question.

With everyone I ever knew
I've gotten used to use
I've grown attached to you being here
With everyone I ever knew
I've learned to count on you
As not on my fingers


« Monsieur Bennett c'était trop bon « Aiden disait à table. Rudy hocha la tête

« Merci, mais c'est le boulot de tout ce beau monde » Rudy disait en montrant la table. Aiden regarda le monde étonné car il n'avait jamais vu une table avec autant de monde.

« Je n'ai jamais vu autant de monde à une table « Il avoua. Rudy esquissa un sourire tout en mangeant.

« Ma mère m'a appris le sens de la réception, c'était la première à inviter du monde, il n'y avait pas un week-end sans qu'on reçoive »

Ambre montra Aiden du doigt

« Tu sais qu'Aiden est fan de grand-mère « Ambre disait sous les yeux de tout le monde. Marvin s'étonna

« Ha bon tu connais ses vieux livres « Marvin disait étonné. Il hocha la tête

« Oui, j'adore tous ses livres « Aiden avoua. Abby rigola

« Si tu espères avoir des informations auprès de mon mari c'est raté, il n'a jamais lu les livres de sa mère « Abby avoua surprenant tout le monde.

« Ha bon « Ambre, Sacha et Aiden dirent en même temps. Rudy hocha la tête

« Oui je sais c'est bizarre, mais je fais la distinction entre ma mère et Shelby et je déteste la lecture pour être honnête « Rudy disait. Lucy hocha la tête

« Bonnie aussi n'a jamais lu ses livres « Lucy continua en regardant son père. Ce dernier fixait Lucy un moment. Il hocha la tête

« Oui c'est vrai » Rudy disait. Il regarda ensuite son portable pour voir si Bonnie lui avait répondu, mais rien. En même temps, vu qu'il avait un peu incendié par message il se doutait qu'elle n'allait pas répondre.

« Sheila était aussi très bonne en liseuse de carte « Abby continua. Aiden hocha la tête

« Oui j'ai vu ça, elle en parle souvent dans ses livres « Il avoua ce qui fît sourire tout le monde car Aiden semblait bien connaître les livres de Sheila. Abby regarda Lucy

« Un don que ma fille a aussi » Abby continua. Lucy secoua la tête de gauche à droite

« Ouaw, ça remonte à longtemps, je ne sais plus tirer les cartes « Lucy disait.

« Moi aussi je tire les cartes, vous voulez qu'on teste après le repas « Barbara demanda en regardant Lucy. Lucy regardait Barbara avant d'hocher la tête

« Oui pourquoi pas « Lucy disait

« Qui veut être notre cobaye « Barbara demanda. Rudy pointa Aiden du doigt

« Pourquoi pas notre invité ? « Rudy disait surprenant Aiden. Il hésita un moment ce qui fît sourire tout le monde avant de se décider à tenter.

« Ok, je veux bien » Aiden disait.

« Et tu pourras nous chanter une chanson grand-père après « Chad demanda assis juste à côté de Rudy. Rudy tourna sa tête pour regarder Chad qui lui fît un grand sourire.

« Un Disney « Chad demanda. Ils rigolèrent tous

« Ha pourquoi grand-père tu n'es pas comme Rudy, on a jamais eu le droit à un chant de Disney nous « André disait en regardant Marvin. Marvin regarda ses petits-enfants

« Ce n'est pas assez que je vous alimente un compte en banque alors que je n'ai pas d'argent « Marvin disait. Ils rigolèrent tous à cet instant ne pouvant que rire.

« Tu me rends mon argent si je te chante un Disney parce que j'ai aucun problème avec ça » Marvin continua. André secoua la tête de gauche à droite

« Non c'est bon, j'ai passé l'âge de Disney « André continua. Sacha rigola puis la conversation reprît sous les yeux d'Aiden qui devait avouer que la famille d'Ambre était sympa.


Ils terminèrent le repas en l'absence de Bonnie. Au bout de trois heures de repas, ils se décidèrent enfin à tirer les cartes et pendant qu'Abby débarrassait la table avec Cheryl, Linley et d'autres invités, Barbara préparait les cartes pour Aiden.

« Ok à nous, commençons les cartes « Barbara se mît à dire assise à côté de Lucy.

Aiden était face à Barbara et Lucy installé à côté d'Ambre et des autres adolescents qui étaient curieux de savoir ce que les cartes de tarot allaient indiquer. Ambre était assise près de son petit-ami tandis que son frère et les autres étaient debout à côté.

« Je suis curieuse de savoir, tu n'as pas intérêt à avoir une autre copine parce que ma grand-mère le saura « Rosa disait en parlant de Barbara. Aiden rigola, mais à cet instant Sacha pouvait voir qu'il était mal à l'aise et pas que Sacha. Peter et André se regardèrent confus avant de regarder Sacha qui avait constaté la même chose qu'eux. Les trois partagèrent un regard complice.

« C'est de la connerie ça, laissez ce gringo tranquille « Richard cria au loin. Barbara lui répondit en espagnol

« Ta gueule et bois « Elle disait à ce dernier qui était au buffet près de l'alcool. Aiden rigola mal à l'aise ne voyant pas Rudy qui s'installa derrière lui tout en buvant sa bière.

« Moi je suis curieux aussi, ma mère m'a beaucoup appris, je peux vous aider si vous êtes rouillé « Rudy disait. Barbara soupira

« On n'a pas besoin de toi « Barbara disait. Rudy roula des yeux et resta derrière Aiden pour regarder Barbara qui posa les cartes de tarot sur la table.

« Tu dois en montrer 3 « Barbara disait à Aiden qui hocha la tête. Il montra les trois cartes qu'il souhaitait retourner. Barbara hocha la tête avant de retourner une de des cartes.

« Intéressant « Barbara disait

« Nous avons la carte de l'équilibre, elle indique que tu diriges ta vie comme tu l'entends « Barbara disait à Aiden qui la regardait sans rien montrer.

« Tu as un contrôle sur toi et aussi sur les autres voir un côté manipulateur, intéressant » Barbara disait. Elle fît un clin d'œil à Aiden.

« Coquin » Elle disait ce qui fît sourire Aiden. Elle retourna ensuite une carte

« La justice « Barbara disait.

« Elle est représentée par une femme et cette dernière tranchera cette équilibre que tu penses avoir « Barbara continua. Rosa rigola

« C'est peut-être Ambre « Rosa disait à une Barbara qui regardait la carte.

« J'en doute « Barbara avoua. Rudy rigola

« La justice est souvent représentée par une femme forte qui est une figure d'autorité « Rudy disait. Barbara hocha la tête

« Et là, je dirais un policier « Barbara avoua lorsqu'elle étudia la carte. Barbara rigola

« Heureusement que tu n'as pas rencontré Bonnie «

« Qui ça « Il demanda

« Mon autre fille est flic, qui sait c'est peut-être d'elle dont parle la carte « Rudy disait en souriant, mais il perdît son sourire lorsqu'il vît la carte que Barbara retourna. Barbara se refroidît tout comme Rudy et Lucy. Barbara regarda Aiden à cet instant, et ce dernier pouvait voir de la crainte dans ses yeux.

« L'amant « Barbara disait décidé à mentir

« Tu aimes quelque chose plus que l'amour et cette passion te tuera « Barbara disait.

« C'est glauque votre truc « Marina se mît à dire. Barbara rigola

« C'est un jeu stupide « Barbara disait en retirant les cartes de la table troublant tout le monde qui pouvait voir qu'elle était mal à l'aise.

« On devrait arrêter « Barbara continua. Elle rangea les cartes sous les yeux d'Aiden qui fixait Barbara.

« Je pensais que c'était la carte du mal « Aiden se mît à dire. Barbara s'arrêta pour regarder Aiden qui la regardait froidement sous les yeux d'une Lucy qui n'appréciait pas à cet instant le regard d'Aiden.

« Mais j'ai dû me tromper « Aiden disait refroidissant à cet instant Barbara et Lucy. Il se releva ensuite

« C'était super sympa comme séance, mais je dois y allé, il se fait tard « Aiden se mît à dire. Il regarda Rudy, un Rudy qui lui tapota le bras

« C'est quand tu veux que tu reviens « Rudy disait.

« Merci beaucoup «

« Je t'accompagne « Ambre continua. Aiden se retourna pour regarder tout le monde

« Merci beaucoup, au revoir « Il disait. Tous les invités le saluèrent de loin. Aiden s'en alla ensuite en compagnie d'Ambre laissant les autres derrières. Ils le regardèrent partir avant que Marina parle car elle savait que sa grand-mère avait menti.

« Pourquoi tu as menti ? » Marina demanda à sa grand-mère. Rudy tourna sa tête pour regarder Barbara

« Parce que la carte ne suppose rien de bon « Rudy disait sous les yeux de tout le monde. Barbara hocha la tête

« Je sais que ce ne sont que des cartes, mais Ambre devrait se méfier » Barbara avoua sous les yeux de tout le monde. Sacha tourna sa tête pour regarder le vide laissé par Aiden.

« De ce que ma mère m'a appris, les cartes ne mentent jamais « Rudy avoua perplexe, comme tous les autres.


Ha jin : We all Lie (skycastle)

We all lie.
Tell you the truths
Sometimes we laugh and easily lie.
Alright. it's a.. it's faker

Shout it out.
What you want for the world
Money, Honor, Beauty
Everything you want
Play with a mask to hide the truth
People cheat each other. right ?Is this really true ? Is this really true ?
Is this really true ?
Is this really true ? Is this really true ?
Is this really true ?

Louisiane

« Je vous préviens c'est vraiment moche à voir « Un policier disait à l'Agent Portman qui avait mis ses gangs tout en marchant dans la forêt sous la pluie. Il releva la tête pour regarder la pluie qui tombait sur son visage.

« Si vous avez fait venir mon équipe et moi en urgence, je me doute que ce n'est pas beau à voir « Hugh disait accompagné de ses collègues.

"Vous êtes sûre que vous ne voulez pas un parapluie " Un policier disait. Hugh admirait le ciel tout en souriant

"Ca va allé, j'aime la pluie "Il se contenta de répondre.

Il alluma sa lampe torche puis suivît les policiers de la région qui connaissait la fôret comme leur poche, même dans le noir, ils pouvaient se repérer.

« Attention, ça glisse « L'agent disait avec sa lampe torche. Ils avancèrent au fond de la forêt pour rejoindre le lac.

Hugh avança, mais il s'arrêta net lorsqu'il vît le corps d'un homme tout nu allongé sur le dos, un homme qui avait été torturé.

L'Agent Hugh s'accroupît pour examiner le corps sous les yeux écoueurés des policiers face à la décomposition du corps, mais lui ne ressentait plus aucun dégout face à ce genre de chose.

Il leva sa lampe torche en direction du visage de l'homme pour regarder le visage de la victime. Il examinait le visage , mais il arrêta sa lampe sur la bouche de la victime, une bouche qui semblait contenir quelque chose.

Hugh ouvra la bouche de la victime et effectivement ils virent quelque chose qui ressemblait à une carte.

Hugh prît ce qu'il y avait dans la bouche avec force.

Il attira sa main vers lui et se montra stoïque lorsqu'il vît une carte de tarot. Il regarda la carte qui représentait un personnage dans le ciel qui soufflait dans une trompette et des personnes en dessous qui imploraient, les mains croisés comme une prière.

« La carte du Jugement « Hugh disait en fixant la carte n'aimant pas le sentiment de déjà vu qu'il avait. Oui c'était du déjà-vu. Hugh admira la carte avant de tourner cette dernière pour voir une note.

« Que la partie commence «

L'Agent Hugh regardait la note ignorant à cet instant, Rudy Bennett qui était sur son pallier confus face à la carte de tarot qu'il avait retrouvé devant sa porte.

« Barbara tu as laissé une carte « Rudy disait à Barbara qui se retourna pour regarder Rudy.

« Non, je les ai compté « Barbara disait troublant Rudy.

« Tu es sûre, c'est la carte de Jugement « Rudy disait. Barbara montra la carte du jugement à Rudy qui s'étonna. Alors à qui était la carte se demandait Rudy. Rudy retourna ensuite la carte, mais il fronça les sourcils lorsqu'il vît une note.

« Que la partie commence «

We all lie.
Tell you the truths
Sometimes we laugh and easily lie.
Alright. it's a.. it's faker

Shout it out.
What you want for the world
Money, Honor, Beauty
Everything you want
Play with a mask to hide the truth
People cheat each other. right ?


Il avait décidé d'y remedier, il avait décidé d'y mettre un terme, peu importe ce que c'était, il avat été décidé, mais toutes les décisions qui l'avaient prises avaient disparues ce soir, parce que lui qui ne voulait plus avoir affaire à Bonnie Bennett, se retrouvait allongé face à elle, dans son lit.

Il ne s'était rien passé entre eux. Bonnie s'était endormie dans sa voiture, il l'avait porté, posé dans son lit et il était resté allongé près d'elle à la regarder dormir.

Il ne s'était rien passé, il avait juste aidé ... à respirer.

Pourtant, il savait que ce moment représentait quelque chose de plus profond que les autres, parce qu'il n'arrivait pas à regarder ailleurs à cet instant et que le reste ne semblait pas avoir d'importance, lui qui accordait de l'importance à beaucoup de chose, là plus rien n'avait d'importance y compris Elena.

Etait-ce horrible ? Oui, mais il ne s'en souciait pas parce que sinon Bonnie ne serait pas là, il ne serait pas là, ils ne seraient tous les deux pas là.

Il fixait le visage de Bonnie lorsqu'il entendît un téléphone vibrait. Damon releva la tête en direction de la table de chevet derrière Bonnie pour regarder son téléphone.

Il s'avança discrètement prenant soin de ne pas brusquer Bonnie qui dormait le corps recroquevillés comme un fœtus face à lui.

Il prît son portable pensant que c'était son vibreur, mais il ne vît rien. Il regarda alors en direction du portable de Bonnie qui était juste à côté du sien.

Il hésita avant de prendre le téléphone de Bonnie pour voir la photo d'un homme brun aux yeux verts, avec le nom de Hugh Portman dessus.

Hugh tomba sur le répondeur de Bonnie, une fois près de sa voiture sous la pluie pendant que les autres cherchaient des indices.

« Bonnie c'est encore moi « Hugh se mît à dire.

« J'ai bien peur que ce que je redoutais est arrivé, au sujet de ta grand-mère, rappelle-moi c'est important « Hugh continua.

Damon reposa le téléphone de Bonnie. Il allait retrouver sa position, mais il se paralysa lorsqu'il remarqua son alliance sur son doigt. Cette alliance aussi, il avait oublié.

Il fixait son aliance réalisant qu'elle n'avait plus d'importance parce que le mal était fait. Le mal était fait, à la minute où il avait oublié cette bague dans la chambre de Bonnie lorsqu'ils se sont rencontrés la première fois.

A cette réalisation, Damon tendît son autre bras pour retirer sa bague de fiançailles de son doigt. Il posa discrètement la bague sur la table de chevet entre le téléphone de Bonnie et lui.

Oui, le mal était déjà fait alors valait mieux qu'il arrête de subir son inconscient en créant des coincidences et qu'il ait conscience de ce qu'il voulait, et maintenant ce qu'il voulait, c'était être là face à elle.

Damon se remît discrètement dans sa position et s'allongea de nouveau face à Bonnie. Il fixa cette dernière un long moment puis posa délicatement sa main sur la joue de Bonnie, mais dès qu'il posa sa main sur la joue de Bonnie, cette dernière ouvra les yeux pour le regarder. Ils s'admirèrent tous les deux réalisant qu'il n'y aurait plus jamais de coïncidence entre eux, uniquement des choix.

" Qui a dit que je ne voulais pas de cette Bonnie Bennett là " Damon demanda surprenant Bonnie à cet instant. Elle se retrouva souffle coupée elle qui était sensée retrouver sa respiration. Elle qui avait toujours le dernier mot, n'avait rien à dire à cet instant parce que Damon Salvatore avait le pouvoir de la déstabiliser.

Damon s'avança pour poser un baiser sur le front de Bonnie. Bonnie ne dît rien destabilisée, elle se contenta de poser sa main sur la taille de Damon et se rapprocha de lui pour s'endormir dans ses bras, décidé à arrêter de jouer avec les coincidences à son tour.

Run away with me
It'll be the way you want it.
Is this really true ?
Is this really true ?
Run away with me
It'll be the way you want it
Is this really true ?
Is this really true ?

We all lie.
Tell you the truthsShout it out.
What you want for the world
Money, Honor, Beauty
Everything you want
Play with a mask to hide the truth
People cheat each other. right ?People cheat each other. right ?