Chapitre 37 : une super soirée
La soirée se déroula à merveille. Je savais bien que quand je lui proposais quelque chose, c'était toujours mieux que ce que j'avais prévu et ce fut le cas. Certes, je savais à quoi m'attendre puisque j'avais proposé un script de notre rencontre, mais ce fut encore mieux que mes attentes.
Lorsque j'eu fini d'installer mes enfants dans leur lit, je descendis et il entre quelques minutes après. Évidemment, il avait pris la peine de faire ressortir toute sa beauté juste parce qu'il aimait se faire admirer et ça fonctionnait. Si j'avais un jour douté si je préférais ses cheveux attachés ou détachés, je me rappelai pourquoi j'affirmais toujours que je préférais les cheveux attachés : le mélange de ses cheveux attachés et de ses boucles d'oreilles était la parfaite combinaison pour faire ressortir son côté féminin. Comme toujours, je ne dis rien. Je n'avais rien à dire! Il savait déjà mon opinion par rapport à sa beauté : toujours parfait, mais encore plus à ce moment.
Nous nous installâmes au salon et nous discutâmes en attendant qu'il soit l'heure de coucher mon grand. Dans ses bras, il y avait toujours ce sentient de sécurité qui ressortait.
Ce fut finalement l'heure du dodo, alors je montai voir mon garçon. Il refusa encore de dormir et j'acceptai encore une fois de lui laisser son émission. Il était en grande transition niveau sommeil (il ne prenait plus de biberon, il était fatigué, il était probablement malade) et, honnêtement, je ne savais plus quoi faire pour éviter les crises d'une heure et je n'avais franchement pas envie de gérer la chose à ce moment!
J'expliquai encore une fois la chose à Maxe et nous montâmes à l'étage. De manière prévisible, il me prit dans ses bras, m'entourant à la fois de sa chaleur, de sa force et de son odeur. Les choses évoluèrent comme prévu. Je ne pouvais dire ce qui était de l'ordre de ce que j'avais écrit ou de l'ordre de ses propres choix parce que je me rappelais plus ou moins de ce que j'avais dit, mais tout arrivait à point.
À un moment, il déplaça ma main pour que je le touche, chose que j'attendais toujours. Honnêtement, à chaque fois, j'avais l'impression de ne jamais savoir quoi faire, mais quand il me faisait faire quelque chose ou quand il me le demandait, c'était toujours plaisant. Il prit son pénis dans sa main, puis m'ordonna de le regarder, ce que je fis. Il savait très bien que j'adorais le voir ainsi et il en profitait tout autant que moi.
Les choses évoluèrent vers ce moment, LE moment. D'habitude j'aurais écrit « les choses évoluèrent comme à l'habitude et il entra en moi », mais cette fois, comme je l'avais écrit ce fut différent. Nous connaissions tous deux la règle : celui qui cèderait et accepterait la pénétration serait le perdant. Et aucun de nous n'envisageait perdre! Il s'en suivit alors de longues minutes ou il ne faisait que se frotter contre moi, complètement nu, et si près d'enfin entrer en moi. Évidemment il faisait exprès de laisser les plus beaux sons sortir de sa bouche juste pour me gosser davantage et ça fonctionnait beaucoup trop.
Malgré cela, je n'avais aucun doute de ne pas perdre! Je pouvais très bien vivre sans pénétration… ou je croyais. Plus il faisait durer la douce torture, plus je me retrouvais à attendre impatiemment qu'il soit en moi. Je faillis céder, mais je repris mes esprits et j'attendis un peu : encore 5 minutes, patience! Je ne peux pas croire qu'il ne cèdera pas en premier. Et comme de fait, je le sentis enfin entrer en moi.
Avait-ce été l'attente qui rendit la chose si parfaite? Je ne pus dire, mais sa simple entrée en moi provoqua un plaisir bien plus grand que prévu : un mélange à la fois d'un plaisir sexuel et émotionnel.
Il se mit à bouger en moi avec une perfection d'un autre niveau. Il se mit à genoux, puis me toucha, comme il savait que j'aimais. Comme attendu, il me fit alors changer de position. Il s'installa sur moi pendant que j'étais sur le ventre. C'était en effet moins fluide que lorsque nous étions dans nos positions habituelles, mais c'était plaisant. Encore une fois, de l'avoir sur moi faisait ressortir tout le côté « en sécurité ». Dans le manque de fluide, il y avait certainement un petit problème de positionnement qui fut ressortir son pénis quelques fois. En toute honnêteté, cette position faisait juste ressortir un fait que je savais déjà depuis longtemps : je n'étais pas une personne qui aimait particulièrement la pénétration vaginale, clairement mon go-to aurait plus été la pénétration anale. Mais, évidemment ça venait avec des problèmes du genre « arg, comme je ne l'ai pas fait souvent, c'est long et ça fait parfois encore mal », ce qui n'était pas un problème en soi. Le vrai problème était ce que j'appelais les « foutues fuites urinaires » et je n'étais vraiment pas convaincue que la pénétration anale n'empirait pas la chose. Alors, tant que je ne saurais pas, ça serait à faire avec parcimonie. D'autant plus que, toute personne qui vit avec des fuites urinaires le sait très bien, si ça empire, i possibilités : soit les fuites sont plus fréquentes et/ou plus abondantes (oh mon dieu, catastrophe que ça serait!) ou alors ça évolue vers d'autres types de fuites (anales) (oh mon dieu, aussi la catastrophe). Alors, j'étais bien décidé à m'assurer que ça ne s'empire pas! Au moins, ça semblait être en train de s'améliorer, mais c'était tellement lent!
Bref, dans cette position, mon corps ne faisait que crier qu'il voulait autre chose qui n'allait clairement pas se produire cette soirée-là. Je profitai tout de même du moment parce que j'étais juste toujours bien quand il était en moi.
Après quelques fois où son pénis sortit de moi, j'en profitai pour simplement me remettre sur le dos. Ça avait été bien plaisant de l'avoir au-dessus de moi et d'avoir en plus sa main qui me touchait, mais c'était le temps de retourner à nos habitudes. Cette position resterait gravée en moi et j'en ressortirai les souvenirs la prochaine fois que je me masturberais puisque c'était toujours dans une position similaire à celle-là.
Une fois de retour dans notre position habituelle, il se pencha pour se coller à moi, mais je lui fis signe de rester à genoux, ce qu'il fit. Il bougea et me toucha et tout était parfait. Je me demandai brièvement pour quelle raison inconnue je n'avais toujours pas eu d'orgasme, mais la pensée vint et partit aussitôt : ce n'était pas vraiment important. C'était étrange, mais le plaisir sexuel de cette position était pratiquement mieux qu'un orgasme. Étrange à dire. N'est-ce pas que l'orgasme devrait être le comble du plaisir sexuel? Peut-être que mon corps n'acceptait pas la chose justement en sachant très bien que ça serait beaucoup plus intense que tout ce que j'avais pu vivre. Un jour, lorsque ça arriverait avec lui, j'aurais peut-être des réponses à mes questions. Mais, en attendant, cela m'importait peu. J'étais tout simplement bien en sa présence et, dans cette position, tous désirs sexuels étaient assouvis.
Comme toute la soirée, tout vint au bon moment. Il s'installa, collée à moi, dans cette position dans laquelle j'aimais le voir venir et il me dit de le regarder, ce que je fis avec plaisir. Il y avait quelque chose de particulièrement palpitant à le voir venir. Ce n'était pas simplement sa beauté, mais l'ensemble de la chose qui était majestueux.
Si un jour j'eus croire que ma fille pleurait toujours à des moments parfois inopportuns, mais utiles, cette fois j'étais complètement en désaccord. Alors qu'il était encore en moi, elle se mit à pleurer avec insistance. Il du donc malheureusement sortir et j'allai lui donner un biberon.
Je reviens enfin dans la chambre et nous nous enlaçâmes. Nous discutâmes brièvement de ce qui s'était passé et je profitai de sa chaleur autour de moi.
Ce fut finalement l'heure de dormir, alors on se prépara et on s'installa. Dans la noirceur, je ne pouvais pas le voir, mais sentir sa présence me suffisait.
Je me levai plusieurs fois la nuit pour aller aux toilettes (encore les effets d'un plancher pelvien trop faible!) et à chaque fois j'observais sa beauté cachée dans la noirceur. Le soleil finit par se lever et il dormait encore. De mon côté, j'allai installer mes enfants devant leur petite émission quand ils se réveillèrent. Je me recoucher alors, incapable de dormir, comme à tous les matins. Cependant, cette fois, je pouvais me divertir en l'observant dormir. Il y avait quelque chose dans l'idée de regarder quelqu'un dormir qui me plaisait, comme si aucun stress ou aucun doute ne pouvaient survenir dans cette vulnérabilité.
Dans ce moment de calme, une question me traversa l'esprit : était-il le genre de personne à apprécier le sexe matinal, voire même se faire réveiller par/pour cela? C'était plutôt une question qu'une envie parce que j'aurais eu 0 motivation à ce qu'il se passe quelque chose de sexuel à ce moment, mais dans le fond, ne valait-il pas mieux le savoir d'avance pour que, si l'envie venait, je sache déjà sa réponse? Dans tous les cas, ce n'était pas comme si je pouvais lui demander pendant qu'il dormait. Et, quand il se réveilla, j'oubliai cette réflexion. Il avait toujours cet effet de me faire tout oublier. Je profitai simplement de son corps collé à moi.
Éventuellement, nous descendîmes et la journée commença.
