Les jumeaux Potter regardaient les deux créatures discutées entre eux tout en ayant une discussion mentale.
" Tu y vas en premier "dit Magnolia.
" Et pourquoi donc ? " demanda Harry.
" Honneur aux aînés " fut sa seule réponse.
" Si tu crois que cette excuse suffira tu t... "
- Si vous voulez bien me suivre, Mr. Potter, dit le Gobelin.
Ce dernier regarda sa sœur de travers.
" Tu l'as manipulé, n'est-ce pas ? " lui dit-il.
C'était plus une constatation qu'une question.
" Je ne vois pas du tout de quoi tu parles. " lui répliqua t-elle en lui adressant son sourire le plus angélique.
Il souffla avant de se tourner ver les deux Gobelins devant lui.
- Je me présente, je me nomme Griphook et je serai en charge du rituel, dit l'autre Gobelin.
Il acquiesça, en signe de salutations et demanda:
- Est-ce que ça sera douloureux ? demanda t-il.
- Oui, dit tout de suite le Gobelin. Vous possédez, vous et votre sœur un nombre important de bloc magique sur vous, en plus des sorts de compulsions et de glamours posés sur vous. Et je ne vous parle pas du fait que vous êtes des Horcruxes.
Il ne fit que hocher la tête. Il comprenait bien, voir trop, qu'enlever le bout d'âme qui le reliait à Voldemort ne serait pas facile, d'autant plus qu'il avait fallut qu'il meure temporairement pour pouvoir s'en débarrasser.
J'espère qu'en aurait au moins la délicatesse de me plonger dans un sommeil magique pour ne pas que je souffre.
- Et si nous commencions ? demanda t-il après être sorti de ses pensées.
Le Gobelin acquiesça et il n'eut qu'à tendre le bras vers une porte sans autre mot pour qu'il comprenne. Il se dirigea vers cette dernière et entra dans la pièce qu'il avait vu quelques instants plus tôt à travers la vitre de la salle d'observation. Il n'eut même pas besoin qu'on lui dise d'aller sur l'autel pour s'y installer sur le dos, les bras le long du corps.
Le Gobelin se pencha au-dessus de lui pour qu'il puisse le voir.
- Nous allons vous rendormir pour que vous ne ressentiez pas la douleur.
Il ne fit que hocher la tête. Le Gobelin disparu au moment où une douce somnolence le prit. Il fallut encore attendre quelques secondes avant qu'il ne tombe dans les bras de Morphée.
Il commençait lentement à émerger. Il entendu un bourdonnement soutenu, comme celui des abeilles.
- Ah ! s'exclama une voix masculine assez grave. Enfin, il commence à se réveiller !
Il entendit distinctement un bruit de claque avant que la voix ne s'en plaigne a une certaine « Ophie ».
- Laisse lui le temps de complètement reprendre pied, Elros, dit une voix beaucoup plus féminine, tranchante. N'oublie pas ce que les Gobelins nous ont dit sur les résultats du test d'héritage. Et les cris que poussait Juni lorsque nous sommes arrivés.
L'autre marmonna quelque chose trop bas pour qu'il n'entende rien, mais assez haut pour qu'il puisse entendre « autoritaire » et « rabat-joie ». Il entendit ensuite une exclamation de douleur.
- Aïeeeeeeeeeu !
Tu vas voir ce qu'elle te dit la « rabat-joie », dit la femme d'une voix menaçante.
Il choisit ce moment pour ouvrir les yeux. Il constata avec stupeur qu'il était en mesure de voir parfaitement bien, même sans ses lunettes. Sa deuxième constatation fut qu'il était dans une infirmerie – le plafond blanc au-dessus de sa tête et de l'odeur de désinfectant ne mentait pas. Il se redressa en position assise, le plus lentement possible – il sentait que si il se redressait trop vite, il allait tourner de l'œil – pour voir que deux personnes se tenaient de chaque côté du lit et que deux autres personnes se tenait de chaque côté du lit d'en face.
Ceux qui était à ses côtés étaient une femme qui avait dans la trentaine, très belle dans une robe vermeil, aux longs cheveux caramel retenu en chignon et aux époustouflants yeux doré pailletés d'orange dont les pupilles étaient entourés d'argent souligné par du khôl d'une magnifique teinte rouge sang. Quant à l'homme, il avait les traits de son visage, qui était encadré de cheveux noirs corbeau aux reflets irisés coupé en dégradé, étaient légèrement efféminés et les quelques cicatrices qui le lui striaient, ici et là, lui donnait un certain charme que sa tenue trois pièces, si on omettait que la veste était remplacé par une robe de sorcier lui donnait un charme dangereux, que même sa fine silhouette n'arrivait pas à effacer; ses yeux étaient d'ailleurs comparables à de l'argent liquide.
La femme lui sourit.
- Comment vas-tu Harry ? demanda t-elle.
- Bien, même si je suis légèrement déboussolé avec quelques vertiges, répondit-il immédiatement.
Cela l'étonna. Lui qui était si méfiant d'habitude, sentait que, si la femme devant lui posait une autre question, il y répondrait tout de suite et en tout honnêteté.
- C'est normal, après ce genre de rituel, dit l'homme. Surtout quand on sait que vous aviez toi et ta sœur.
La dernière phrase avait été dite d'une voix posé. Un peut trop même.
- Et sinon, ajouta Harry. À qui ai-je l'honneur ?
- Ah, oui, où son mes bonne manière, dit l'homme. Je me présente, je suis Elros Donatello, elle ( il désigna la femme ) Ophira Crowley et les deux autres, Imogen Muzashima et Livana Konstantinov.
- On nous a appelé ? demanda une asiatique en kimono fleuri noir et blanc.
Elle ressemblait beaucoup à Lia quand il l'avait vu pour la première fois sauf que la femme semblait plus âgé, ses cheveux était retenue en un chignon légèrement lâche dans lequel était piqué des baguettes desquelles pendaient des perles et des fleurs et avait les yeux violets. Harry se fit la réflexion qu'elle était très belle.
- Exactement, Gen, dit Elros en se tournant vers elle. Comment va Juni d'ailleurs ? demanda t-il.
- Elle est entrain de se changer, répondit une autre femme que.
Cette dernière ressemblait à s'y méprendre à une version plus féminine d'Elros sauf qu'elle avait les cheveux blonds platine, de grands yeux argenté et des lèvres d'un magnifique rouge sang. Elle portait une robe en cuir rouge qui mettait non seulement rehaussait le teint pâle de sa peau mais mettait en valeur son corps aux courbes vertigineuses. Elle était un appel eu viol – si il avait été hétéro.
- Livana Konstantinov, se présenta t-elle.
Il hocha la tête dans sa direction avant de se tourner vers l'autre femme tout en disant:
- Et vous devait être Imogen Muzashima.
La concernée ne fit qu'acquiescer.
- C'est exact , répondit-elle.
- Vous n'étiez pas entrain de discuter avec Lia quand j'étaie encore endormi ? demanda t-il.
- Si mais elle est parti se changer dès que tu t'es réveillé, lui répondit Imogen.
- Tu devrais d'ailleurs faire de même, lui dit Livana en croisant les bras. Nous avons prit la liberté de vous achetez des habits pendant que vous étiez dans' les bras de Morphée.
Il acquiesça en se rendant compte qu'il ne portait qu'une blouse blanche que l'on donnait aux patients. Il se leva et remarqua une chose: il avait prit quelques centimètres.
Les vestiaires sont de ce côté, première porte sur ta gauche, ajouta Elros.
Ophira lui donna un paquet. Tout en prenant le paquet, il hocha la tête en signe de remerciement avant de partir dans la direction indiquer. Il espérait trouver un miroir pour pouvoir voir à quoi il ressemblait à cette instant.
Alors qu'il avait quitté, les quatre adultes se regardèrent entre eux.
- Vous ne trouvez pas..., commença Elros.
- ... qu'il est un peut trop mature pour son âge ? Oui, je sais El, et c'est ce qui m'inquiète, dit Ophira en poussant un soupir à fondre l'âme. Comment un enfant peut-il être comme ça ?
- Avez-vous vu ses cicatrices ? demanda Livana après un moment de silence.
- Quelles cicatrices ? demanda Elros.
Imogen soupira d'exaspération.
- Il y a des moments, Elros, où je me dis que tu aurais besoin de faire soigner ta vu, soupira Ophira.
- Mais je ne suis pas miro ! s'exclama t-il.
- Le comble pour un archer, dit Livana en riant légèrement.
- Mais pas très observateur, ajouta Imogen.
Elros fit la chose la plus mature dans ce genre de situation où on s'attaquait à son amour-propre, il bouda comme un gamin.
- Je suis observateur, bougonna t-il.
Il faisait une moue boudeuse qui aurait amené plus d'un au viol rien qu'en le voyant. Cette dernière devait au moins faire un kilomètre.
- Quand ça t'arrange, dit Ophira en le tirant pas les oreilles à la manière qu'on fait avec les enfants récalcitrants. En attendant je me demande ce qu'à bien put faire ce salaud a fait mes enfants pour qu'ils en aient autant.
- Je ne pense pas qu'il serait sage de le savoir maintenant, dit Imogen en mettant ses mains dans ses manches, comme ses compatriotes.
- Et pourquoi donc ? demanda Elros en se frottant l'oreille, juste après qu'Ophira le libéra.
- Réfléchit, banane, dit Livana en levant les yeux au ciel. Que se passera t-il, à ton avis si la grande Ophira Gehenna MacAlastair-Crowley, la plus grande jeteuse de malédictions en tout genre après les Black apprend ce qu'a dû vivre les enfants sans une certaine distance de sécurité, tu crois vraiment qu'on sera en mesure de l'arrêter ?
Elros frissonna rien qu'à la suggestion. Ils avaient déjà eut affaire à une des terribles colère de la jeune femme pendant la guerre opposant Voldemort et l'Ordre du phénix, et il ne valait mieux pas se trouver dans les parages.
- Sans façon, merci bien, dit-il en cachant difficilement une grimace rien qu'au souvenirs de ce jour-là. Je plains sincèrement les Mangemorts qui se trouvaient dans le coin.
- Pourquoi ? demanda une voix fluette et légèrement cristalline.
Ils se tournèrent tous vers la source de la voix et fut agréablement surpris de découvrir Juniper, bras croisés, les regardant avec curiosité, changée. Elle avait troqué la blouse d'hôpital contre une tenue qui la mettait plus en valeur.
Après le rituel, ses cheveux qu'elle avait du mal à dompter ( rien que pour faire une queue-de-cheval, c'était la galère ) et qui était noir de jai, cascadaient librement sur ses épaules en ondulations noir corbeau aux reflets rouge sang et étaient arrangés de tel sorte qu'ils laissent dégager son front haut, son visage avait perdu sa forme ronde et était en forme de cœur que la forme en V de ses cheveux accentuaient et avait prit un teint mi-laiteux, mi-hâlé, ce qui lui donnait un certain charme. Mais ce qui était le plus fascinant, s'était ses yeux. Loin du vert émeraude d'Harry ou même vert tout court, ils étaient un mélange entre l'or et le vert et on avait l'impression qu'il fluctuait constamment; ils étaient, comme certain le dise, de couleur hazel. Elle portait une chemise blanche/ rose aux manches évasés avec quelques cordelettes noirs à pom-pom au niveau des épaules, une jupe noir qui serrait son buste avec des dessins asiatiques argenté sur les bordures ainsi qu'une ceinture en cuir de dragon noir avec les même motifs.
- Alors ? demanda t-elle en tournant sur elle-même.
- Tu es splendide, dit Livana. Je t'avais bien dis que ça lui irait, Elros.
Ce dernier lui tira, puérilement, la langue.
- Très mature, El, commenta Ophira en levant les yeux au ciel.
Les autres rigolèrent, sauf Juniper qui ne fit que sourire.
Si l'ambiance entre eux est généralement comme ça entre eux, pensa t-elle. Je suis sûr qu'Harry se laissera aller.
Elle s'approcha d'eux. Ils ne remarquèrent pas tout de suite qu'elle s'approchait jusqu'à ce qu'elle s'assied sur le lit qu'avait occupé son frère.
- Comment te sens-tu ? demanda Ophira presque immédiatement.
- Très bien, répondit-elle en se disant qu'elle aurait droit à un interrogatoire en bon et du forme.
Grouilles-toi, 'Ry ! pensa t-elle en sentant son malaise croître quand elle sentit la curiosité des adultes sur elle.
Autant dire tout de suite que j'ai la flemme de faire plus long.
Vos avis dans les commentaires, merci.
Ciao !
