Bonsoir tout le monde !
Je publie tôt cette semaine. Il y a trois raisons à cela :
_ d'une, je m'en veux d'avoir publié en retard pour le chapitre précédent ( je culpabilise très facilement ) ;
_ de deux, après avoir publié le chapitre 6, j'avais l'inspiration, donc j'ai bien écrit d'un coup ;
_ de trois, ce chapitre est plus court que les autres, pour des raisons scénaristiques U.U .
Enfin, ça vous fait deux chapitres dans la semaine, mine de rien.
Alors, merci à : PumpkinSpice ; Sid-X8 ; Lassary ; Xx-fan-bleach et la p'tite MM's. Et bien évidemment à mes bêtas reactrices : Eve et Zod'a ! J'vous aime U.U
PumpkinSpice : muahahaha, tu verras bien. Mais pas dans ce chapitre X) Pour Komamura, c'est un traumatisme personnel. J'ai horreur des chiens.
Sid-X8 : hummm, apparemment ce n'est pas clair pour tout le monde, mais Hana s'est pris une belle raclée ! Elle a perdu. Sinon, vous verrez bien pour Hiraoku-senpai U.U Voilà la suite que tu attendais tant ! =D
Lassary : "C'est vrai que ça ressemble à Dernière Chance, mais tout en en restant suffisamment éloigné pour que ta fic garde son charme propre et tout son intérêt. ^^ " Ahhhh, ça fait plaisir d'avoir une réponse à sa question. Alors, ne t'inquiète pas, je ne suis pas vexée. Juste sous la torture depuis mardi soir. Tu n'aimes pas/plus ? Qu'est-ce qui te laisse perplexe précisément ? Sinon, pour la relation Gin/Hana...même eux ne savent pas vraiment ce qu'ils pensent en fait. Bon, Gin, c'est Gin, qui sait ce qu'il pense réellement ? Hana, elle le connait à peine, elle l'a vu deux fois et ces deux fois sont sources de crises de nerfs, c'est sûr...MAIS ! Il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine, tous deux sont d'origine passionnelle. Enfin, ça fait plaisir un avis qui donne un aspect négatif =) ( si si, c'est vrai ! )
Xx-fan-bleach : héhé =) Merci de m'encourager comme ça à chaque fois.
La p'tite MM's : Kandi a vraiment du succès ^^ La page blanche me terrifie, je l'avoue. Mais pour l'instant, ça ne m'est jamais arrivé sur cette fic' !
Sur ce, bonne lecture !
Assise sur son lit, les jambes repliés contre elle, ses bras autour, la tête sur les genoux, et le regard dans le vague. Elle était ainsi depuis des heures.
Des jours ?
Si l'on se rapprochait un peu, on pouvait voir dans ses yeux un combat se mener. Non, plusieurs combats.
Haine contre Espoir. Désespoir contre Envie. Fatigue contre Persévérance. Abandon contre Soif de Vengeance. Le désir de vaincre.
Le soir tombait, et elle n'avait toujours pas bougé. Quelqu'un toqua à sa porte. Elle ne réagit pas, dans son monde.
C'était l'Amitié.
La clé tourna dans la serrure, et une jeune femme entra. Elle souriait, ses yeux pétillaient, et ses cheveux rose bonbon volaient en tous sens. Son regard s'assombrit en voyant son amie sur le lit.
- Tu n'as pas bougé depuis ce matin, constata-t-elle.
L'autre ne réagit pas, mais elle reprit tout de même son sourire, et se dirigea vers le coin qui servait de cuisine. Elle mit un plat au micro-ondes, prépara la table, et les servit toutes les deux.
- J'ai demandé à une servante de nous faire des takoyakis comme tu les aimes.
Silence.
- Hana !
L'amie de la susnommée s'approcha et posa sa main sur son épaule. Soudain, Hana sursauta.
- Oh, t'es là...fit-elle.
- Hana ! Le Tournoi est terminé, il faut te reprendre maintenant.
- Hmmm...
Sa première défaite. Ça avait été sa première véritable défaite. Elle avait perdu au premier tour – et était dans l'impossibilité de continuer le Tournoi -, et en avait encore les traces. Sa mâchoire avait cédé sous le choc, et elle n'avait pas pu manger pendant une semaine et demi, un énorme bleu virant au jaune ornait son flanc gauche. Mais ce n'était pas le plus grave. L'énorme blessure, la plus longue à guérir, était dans sa tête.
- Hana ?
- Hmmm ?
- Hana, regarde-moi !
Elle obtempéra.
- Quoi Kandi ? Qu'y a-t-il encore ?
Kandi soupira.
- Laisse-moi tranquille... dit la jeune fille en reprenant sa pose initiale.
- D'accord, tu as perdu. D'accord, c'était ta première défaite dans un combat réel. D'accord, ça a blessé ton orgueil, surtout au premier tour, surtout devant tous ces élèves...
- Tu essayes vraiment de me rassurer ?
- Moi non plus je ne comprends pas comment ça se fait que tu sois tombée sur ce type au premier tour, mais bon sang Hana, ça va faire trois semaines ! Demain, on reprend les cours, alors bouge-toi !
- Non.
- Non ?
- Non ! J'ai pas envie de bouger.
Ce n'est pas comme si j'allais arriver à devenir shinigami...
- Et pourtant, tu vas le faire, Jyukai Hana.
- Hein ?
- Si tu crois que je vais te laisser comme ça...
- Kandi, non !
POV Hana
Cette tarée m'a traînée jusqu'à l'Académie. Le dernier endroit où je voulais mettre les pieds. La veille de la rentrée en plus.
- Complètement barge...marmonnai-je, mais elle fit mine de ne pas m'entendre.
Je n'avais plus le choix, donc je me laissais faire. Pourquoi ne me laissait-elle pas déprimer en paix ? Je ne voulais en aucun cas me disputer avec elle. Elle avait été tellement gentille, elle passait tous les soirs, sans jamais me parler du Tournoi, alors qu'elle passait ses journées à regarder les combats. Je ne savais même pas contre qui elle avait combattu, gagné et perdu.
Elle m'emmena jusqu'à la salle d'entraînement. Je ne fus pas vraiment surprise. Elle attrapa deux bokken et, rageuse, m'en envoya un à la figure.
- Bats-toi, pauvre merde, j'ai besoin de me défouler. Et toi aussi.
Je la regardai les yeux ronds.
- Kandi ?
- Si tu ne t'amènes pas, c'est moi qui viens !
Elle s'élança vers moi. J'étais tellement stupéfaite que je ne bougeai pas. Son bokken s'arrêta à un millimètre de mon nez et je me retins de déglutir.
- Pourquoi tu ne réagis pas ? hurla-t-elle. Tu veux devenir shinigamie ou quoi ?
Je baissais la tête, honteuse. En fait, je me demandais si j'y parviendrai un jour.
- Yale, yale...y a du mouvement ici.
Nous nous figeâmes toutes les deux, pour nous retourner d'un même mouvement.
- Bonne idée, Ewaichi-san, mais tu ne fais pas comme il faut. Laisse-moi prendre ta place, veux-tu...fit la voix traînante d'Ichimaru.
Ichimaru Gin. Ici. Non !
C'était absolument impossible, je ne comprenais pas.
Je n'avais pas du tout senti l'ombre d'une trace de son reiatsu. Pourtant, il était à présent étendu dans toute la pièce, comme pour s'approprier le territoire.
Il attrapa nos deux bokken d'un geste et les envoya valser avant d'attraper un sabre et de me le lancer. Je tremblais.
- Ewaichi-san ?
- O..Oui Capitaine ?
- Sors d'ici, ce qu'il va se passer ici entre Hana-chan et moi est...privé.
Kandi et moi nous regardâmes, incertaines. D'un seul coup, j'étais très bien réveillée. Il avait de toute évidence l'intention de se battre avec moi.
De toute façon, nous n'avions pas le choix. Elle sortit, et je sentis mes entrailles se nouer.
Ichimaru aborda alors son fameux sourire.
- Pas la peine de t'en faire autant, je ne vais pas t'abîmer...un si joli minois...
J'écarquillai les yeux. Espèce de... Il le faisait exprès, il reprenait la même expression que ce foutu Rurori !
- Tch..tch...maîtrise mieux ton reiatsu, j'ai l'impression que tes émotions sont marquées sur ton front.
Je pris une grande inspiration.
- Pourquoi vous faites ça ?
Son sourire s'élargit encore plus.
- Pourquoi vous êtes là, avec moi ? Comment saviez-vous que je serai ici ?
- J'étais curieux de voir ce que devenait ma petite fleur au caractère si fougueux...de toute évidence, il n'a pas plus évolué que ta force.
Il s'approcha avant que je n'ai pu lui hurler ma rage à la figure.
- Cela te gêne d'être seul avec moi, ma petite Hana ?
Je reculai et manquai de trébucher, ce qui accentua encore plus son sourire, si c'était possible.
- N'aie pas peur comme ça, murmura-t-il.
Son ton était doux, rassurant. Je faillais le croire. Faillis.
- Pourquoi m'avez-vous fait battre contre ce cinquième année ?
- J'ai fait ça, moi ? ricana-t-il. J'ai pensé que tu pouvais battre ce petit imbécile. Je me suis trompé.
Je fulminai.
- C'était évident qu'il est plus fort que moi ! Vous êtes lamentable, vous vous amusez toujours à m'humilier...
- Tu croyais que je t'avais oubliée ?
Je lui lançai un regard étonné. Sur le coup, ces trois années écoulées avaient disparu de mon esprit. Comme si j'étais redevenue cette débutante de première année, susceptible et réagissant au quart de tour.
Mais non, contrairement à ce qu'il avait affirmé, j'avais changé. J'étais devenue plus forte. Pas assez forte pour battre Rurori, mais je lui avais quand même tenu tête et avait réussi à le surprendre.
Je redressai la tête, décidée à ne pas me laisser faire et allai parler lorsqu'il prit la parole :
- Bien, je préfère ça...passons aux choses sérieuses.
Il s'éloigna et attrapa la poignée de son wakizashi.
- En garde !
Le temps que l'information monte au cerveau, il était déjà sur moi. Je parai, mais mes bras tremblaient. Ce simple coup me permit de me rendre compte de l'immensité de sa puissance, loin, très loin au-dessus de ce que je pouvais imaginer. Pourtant, je sentais qu'il se retenait pour ne pas m'écraser.
Il continua de m'attaquer, et je répondis du mieux que je pouvais, sans jamais prendre le dessus, mais sans qu'il ne me fasse tomber pour autant.
- Voyons voir...tu n'es pas douée pour l'art du combat à l'épée.
J'eus une grimace boudeuse, presque malgré moi.
- Fais pas cette tête, petite fleur. Tu en as étonné plus d'un avec ton kido.
Soudain, il rangea son wakizashi. Un shunpo l'amena juste devant moi. Il m'enleva le sabre d'entraînement de la main, en la frôlant. Je reculai sans pouvoir m'empêcher de frissonner.
Mais je n'étais pas sûre de l'origine de ce frisson.
- Allez, défends-toi.
Il tendit la main, et me lança un Byakurai fulgurant, que je réussis à parer avec une barrière maladroite. Il passait du coq à l'âne, sans prévenir, totalement imprévisible.
L'échange commença. Nous nous envoyions des sorts de kido plus ou moins à tour de rôle, le niveau montait mais je n'étais pas fatiguée, grâce à ma bonne réserve de reiatsu. J'étais beaucoup plus à l'aise avec le kido qu'avec mon sabre, et je me détendis malgré l'intensité de notre combat. Je savais très bien que le Capitaine pouvait me mettre à terre en un instant, mais il avait apparemment décidé de me laisser lui montrer de quoi j'étais capable.
Je profitais du combat pour le détailler des pieds à la tête. Son corps se mouvait avec agilité et une certaine grâce. Il ne portait pas son haori de capitaine, dévoilant une minceur presque inquiétante. Ses yeux fermés ainsi qu'un sourire en coin lui donnaient des airs de renard, ses cheveux argentés quelque peu en bataille encadraient son visage. Il n'était pas spécialement beau, et l'expression figée de son visage donnait surtout envie de fuir. Pourtant, il dégageait... un incroyable charisme. Quelque chose qui faisait qu'on n'arrivait pas à le détacher des yeux. Son air mystérieux, peut-être.
- Raikohô ! s'exclama-t-il soudain, me tirant de ma contemplation.
- Sôren Sôkatsui !répliquai-je sans hésiter.
Sous la surprise, ses yeux s'ouvrirent. Je stoppai net. Tellement clairs qu'il était difficile d'en déterminer la couleur. Y en avait-il vraiment une en fait ?
Nous avions les mêmes yeux. Plus, le même regard, à cet instant.
La première boule de feu réduisit à néant l'éclair du taichô, tandis que la deuxième lui fonçait dessus à toute allure. D'un geste, il attrapa son zampakuto, et trancha le sort en deux, provoquant deux explosions à ses côtés. Une seconde plus tard, il était à côté de moi, parfaitement indemne et sabre rangé.
-Tu m'as surpris, annonça-t-il.
-...
- Mais être bonne en kido ne suffit pas, tu sais. Dans un combat réel, c'est un atout, un joker, une possibilité de désarçonner ton adversaire, comme tu viens de le faire. Mais un vrai combat, c'est un échange de coups.
Sans comprendre comment, je me retrouvai soudain dos plié, les mains derrière le dos et les épaules en feu. Je gémis de douleur. Je ne l'avais même pas vu bouger.
- Défends-toi ! m'ordonna-t-il.
Je levai mon pied pour le frapper au genou, mais il ricana en guise de réponse. Je me penchai donc encore plus en avant, l'entraînant dans ma chute. Il me lâcha, et j'effectuai un roulé-boulé pour m'éloigner de lui.
Mes épaules me faisaient atrocement souffrir, il n'y était pas allé de main morte. Je n'eus pas le temps de me remettre. Le temps de me redresser, son pied sur mon flanc m'envoyait m'écraser contre le mur de la classe.
Il m'avait frappée là où cet enfoiré de Rurori m'avait déjà blessée. Ça fait quoi un bleu par dessus un autre bleu ?
J'essayais de me relever, mais ne réussis qu'à m'écrouler par terre, crachant du sang. Après tous les sorts, mon reiatsu était faible, j'étais fatiguée et ma vue commençait à se brouiller. Je ne tenais pas du tout le coup.
- Tu n'es pas très solide.
Je levai la tête pour apercevoir Ichimaru, me dominant de toute sa hauteur.
- Allez, relève-toi. Je ne suis pas venu pour ça. Tu es bien plus intéressante, petite fleur. Je ne veux pas m'être trompé.
Ses paroles se bousculaient dans ma tête. Je réalisai que je ne savais toujours pas ce qu'il faisait ici. Depuis quand un Capitaine venait entraîner personnellement une élève ? Depuis quand un Capitaine venait-il à l'Académie, une veille de rentrée où il n'y avait quasiment personne ?
Quelle conne. Quelle que soit la raison, ce n'était pas normal. Et ce n'était qu'à cet instant que je m'en rendais compte.
Je dus prendre appui sur le mur pour me relever, et le regardai dans les yeux, les miens emplis de haine. C'était à cause de lui si je m'étais retrouvée face à Rurori. C'était à cause de lui que j'étais en si mauvais état après ma cuisante défaite. C'était à cause de lui que je me sentais si mal, juste après le moment où je prenais confiance en moi.
Mais qu'est-ce qu'il me veut, bordel ?
Il bondit en arrière, et prit une position de défense.
- Allez, attaque ! Ou alors tu n'es vraiment qu'une jolie petite fleur sans défense ?
Je me jetai sur lui avec un hurlement de rage. Le frapper. Lui faire aussi mal que ce que j'avais mal. C'était tout ce que je voulais. Je ne cherchais plus à comprendre, juste à agir et réagir.
J'allais le frapper au visage mais il stoppa mon poing, et le tordit soudain, m'arrachant un cri de douleur. Le tranchant de sa main s'abattit ensuite sur mes côtes, son pied suivit sur mon sternum, me coupant la respiration. Enfin, il me colla une claque si puissante que je crus que mon cou allait se détacher du reste de mon corps déjà meurtri.
J'étais de nouveau à terre et cette fois, vraiment en très, très mauvais état. Je devais bien avoir une ou deux côtes cassées, je tremblais et suffoquais au lieu de respirer, voyais flou et n'arrivais plus à penser.
Un voile noir se posa devant mes yeux.
XxXxXxX
J'ouvris un oeil. La première chose dont je me rendis compte, c'est que je n'avais plus mal. La deuxième, c'est que je n'étais plus dans la salle d'entraînement de l'Académie. Je me mis en position assise, me rendant compte que j'étais allongée, et observai le décor.
Partout, tout autour de moi, il y avait des centaines de bulles.
Plus ou moins grosses, transparentes, elles se balançaient au rythme d'un vent que je ne sentais pas.
- C'est ça, le Paradis ? demandai-je stupidement à voix haute.
Un ricanement me répondit et je sursautai. Je me retournais dans tous les sens, en cherchant l'origine. Pourtant, il n'y avait que ces bulles, et le ciel d'un bleu pur sans nuages.
Soudain, je me rendis compte que j'étais assise sur l'une d'elles, et mon cœur s'emballa. C'était physiquement impossible, j'étais bien trop lourde pour qu'elle puisse supporter mon poids. Comme pour faire écho à mes pensées, je passai au travers d'elle.
Je tombais.
J'écarquillai les yeux de stupeur et d'effroi, je traversais toutes ces bulles, et il n'y avait rien d'autre qu'elles. Atteindrai-je un jour le fond ou étais-je condamnée à tomber pour l'éternité ? Arriverais-je jusqu'aux Enfers ?
- Du calme.
Une main ferme m'attrapa soudain par le bras, arrêtant ma chute. Je levai la tête. Au-dessus de moi se trouvait ma sauveuse.
C'était une jeune fille, pas plus grande qu'une gamine de dix ans. Elle me regardait d'un air mi-amusé, mi-bienveillant, un léger sourire sur les lèvres. Elle portait un yukata d'été, et était toute aussi translucide que les bulles.
Mais ça, c'était la partie droite de son corps.
Le reste était d'un rouge sombre, tel du sang séché. Son œil était fermé, comme si elle dormait, et des chaînes l'entouraient. Elle par contre n'était pas transparente.
La jeune fille sembla remarquer mon étonnement, et jeta un bref coup d'œil à son autre moitié.
- Ne fais pas attention à elle, on n'en a pas besoin pour l'instant.
Puis, elle me hissa à sa hauteur, cherchant sûrement à me poser sur la même bulle qu'elle. Mais je tombai une fois de plus, et elle grimaça.
- C'pas vrai !
- C...Comment tu fais ? demandai-je.
-C'est toi qui me demande ça ? Eh bien ma pauvre, si t'arrive même pas à tenir debout dans ton monde intérieur, on est pas dans la merde.
TO BE CONTINUED.
Je vous avais dit que les choses sérieuses commençaient...
Alors, vous trouvez ça comment ?
