V2 corrigé du chapitre 17.

Petit avertissement : je sais pas si vous l'avez remarqué mais depuis le début la position des nom et prénom des personnages varient selon leur origine (ou l'origine du nom). Ainsi, les personnages avec un nom de types européens ont d'abord leur prénom et ensuite leur nom : Hariel Gremory, Sirzechs Lucifer les noms en japonais par contre sont inversé et le nom de famille est en premier : Himejima Akeno, Toujou Koneko, Kiba Yuuto…comme il va y avoir beaucoup de personnage différents et que j'avais remarqué que je n'avais pas prévenu de ça ben je le dis maintenant…


Vocabulaire :

- Senpai : se dit d'une personne qui est son aînée, qui a plus d'ancienneté. C'est surtout utilisé dans le milieu scolaire par les élèves pour appeler les élèves des classes supérieurs mais on peut l'utiliser aussi en entreprise pour appeler les employés ayant plus d'ancienneté. Il peut être utilisé seul ou accolé à un nom ou prénom.

- Onee-sama : comme je l'ai dj dit, cela veut dire grande sœur mais ça sert aussi à une personne assez jeune pour désigner une jeune fille plus âgée, surtout si on la respecte énormément.

- Otaku : mot rentré dans le vocabulaire courent et qui désigne une personne qui passe une grande partie de son temps à une activité d'intérieur comme les mangas, les animés, les BD, les jeux vidéos,… créant ainsi un isolement.

- Buchou : c'est comme ça qu'on appelle une présidente de club. La Suite de Rias l'appelle pratiquement tout le temps comme ça depuis qu'ils sont un club.

- Daijobu : demander si ça va. Peut aussi être dit en réponse pour dire si ça va bien.

- Lolicon : contraction de Lolita Complex, c'est-à-dire l'attirance pour les très jeunes ou les petites filles. Dans les mangas, les japonais semblent toujours aimer les files jeunes voir très jeune (en vrai je sais pas…mais bon, ils les lisent et ils les écrivent ces manga non ?). Le mot Lolita vient d'un personnage principal du roman éponyme de Nabokov qui raconte l'histoire d'un homme attiré par les très jeunes filles et qui tombe amoureux d'une fille de 13 ans : Lolita. C'est devenu un nom pour désigner les toutes jeunes filles qu'on a sexualisé ou sur lequel des hommes fantasment. La contrepartie masculine est le Shotacon, Shota complex, l'amour des très jeunes garçons (que ce soit par des hommes ou des femmes mûres)

- Betsuni : rien, je n'ai rien dit


Check Mate DxD

Chapitre 17 : le Pion de Rias Gremory / Rias Gremory no Pawn

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Oubliant toute bienséance et toutes les manières qui lui avaient été inculqués, Hariel volait à toute vitesse à travers les couloirs de l'imposante demeure des Gremory. Il zigzaguait entre les membres du personnel et faillit renverser une servante au détour d'un couloir. La pauvre Démone poussa un petit cri et tomba en arrière, les draps qu'elle portait s'éparpillant autour d'elle. Sans même prendre le temps de s'arrêter, Hariel lui cria un « Gomen nasai » en jetant un sort pour que les draps soient nouveaux pliés.

Enfin, il se posa devant la porte du bureau de son grand-père et replia ses ailes. Reprenant un rythme de respiration plus normale, il rajusta sa lavallière puis passa ses mains sur le corsage de sa robe avant de descendre jusqu'à sa jupe pour en faire disparaître des grains de poussière imaginaires. Satisfait, il ouvrit la porte et entra sans s'annoncer.

Il y avait déjà foule dans le bureau. En plus de son grand-père, sa grand-mère était aussi présente. Il y avait aussi son oncle Sirzechs, Greyfia et Millicas. Hariel était bon dernier.

« Est-ce vrai Ojii-sama ? Rias-onee-sama a trouvé l'un de ses Pion ? »

Hariel était en train de mettre la touche finale à un article qu'il écrivait pour le magazine de la Société Américaine de Mathématiques, une version abrégée de ses travaux de mémoire sur le processus de résolution de la Conjecture de Poincaré, quand Heathcliff l'avait interrompu. Sur le coup cela avait énervé Hariel. Il n'aimait pas être dérangé quand il travaillait, surtout sur un problème comme celui-ci. La Conjecture de Poincaré était l'un des problèmes les plus épineux de ce siècle. Basé sur une hypothèse énoncée par le mathématicien français Henri Poincaré en 1904, elle n'avait pas encore trouvé de réponse. Hariel avait décidé de faire de ce problème son sujet de mémoire en résumant les différentes avancées faites au cours de ce siècle. Son ambition était de présenté une solution viable à ce problème en guise de thèse mais il se rendait compte au fur et à mesure de ses recherches que sa résolution prendrait peut être plus de temps qu'il pensait même avec son intelligence. Du temps, il en avait, ce n'était pas un problème, l'avantage d'être un jeune génie immortel, mais il ne voulait pas non plus passer des années et des années sur un problème pour valider son doctorat en mathématique. Il envisageait déjà de chAnger de sujet de thèse tout en continuant ce mémoire qui lui portait sur les nerfs en lui rappelant son orgueil.

C'est dans cet état d'esprit que l'avait trouvé Heathcliff ce qui lui avait valu d'être plutôt mal reçu. Cependant quand il lui avait expliqué la raison de son interruption, Hariel avait tout abandonné pour se précipiter vers le bureau de son grand-père non sans s'être auparavant excusé de son attitude auprès de son majordome.

« Pas « un » pion Hariel-kun » répondit Sirzechs à la place de son père. « « Son » pion. »

« Masaka… » murmura Hariel.

Tous les Démons qui recevaient des Pièces Démoniaques recevaient un jeu complet de quinze pièces : une reine, deux cavaliers, deux fous, deux tours et huit pions. Un Démon pouvait choisir de ne pas toutes les utiliser mais il était possible aussi d'utiliser plusieurs Pièces du même type pour un seul Démon. Le Pion avait beau être considéré comme une pièce de base, il n'en était pas moins un puissant atout.

Dans un jeu, les Cavaliers avaient la vitesse et l'endurance, les Tours, la force et la résistance, les Fou, la puissance magique et les Reine cumulaient les trois en plus ou moins grande quantité. Le Pion, lui, avait la capacité d'être Promu en territoire ennemi ou par accords de son roi lors d'un duel, c'est-à-dire qu'il pouvait, pour le temps d'un combat, avoir les caractéristiques de l'une des autres pièces à l'exception du roi. Cela en faisait un allié très puissant et qui pouvait chAnger l'issu du combat par exemple si plusieurs Pions s'infiltrent dans le camp ennemi et deviennent des Reines.

Mais ce ne serait pas le cas de Rias car si ce Pion était son Pion Unique alors cela voulait dire qu'elle avait utilisé l'intégralité de ses huit pièces Démoniaques pour le ressusciter. Cela voulait dire aussi que cet être était si puissant qu'il avait fallu tant de pièce pour supporter son pouvoir lorsque son corps était revenu à la vie.

Hariel se mit à trembler d'excitation e pensant à un être aussi puissant.

« Comment a-t-elle pu rencontrer quelqu'un comme cela à Kuoh ? Qu'est ce que c'est ? Un magicien ? Un elfe ? Une divinité ? Un Yokai ? »

« C'est un lycéen » dit Sirzechs avec un petit sourire.

« Un…un lycéen ? Est-ce qu'il vient d'une famille de prêtre ? Ou de chevalier ? »

« Non, il vient d'une famille tout ce qu'il y a de plus normale. En fait, lui-même est un garçon normal à une exception près… »

« Sacred Gear ? »

« Exact »

C'était la seule chose qui lui venait à l'esprit. Seule la possession d'un Sacred Gear avait pu rendre ce lycéen suffisamment puissant pour nécessiter l'utilisation de huit Pions pour sa résurrection.

« Lequel ? » demanda Hariel après un instant.

« Rias ne le dit pas, je pense qu'elle ne le sait pas encore exactement. Mais c'est la raison pour laquelle il a été tué. » dit Zeoticus.

« Tué ? »

« Assassiné devrais-je dire. Un Ange Déchu s'est fait passer pour une humaine afin de le tuer. »

Contrairement aux Démons et aux Anges, les Anges Déchus n'avaient aucun moyen de ressusciter d'autres êtres pour en faire l'un des leurs. Les Démons avaient les Pièces Démoniaques tandis que les Anges possédaient un système similaire à base de cartes à jouer. Malheureusement il n'y avait pas eu chez les Anges déchu de membre suffisamment intelligent pour créer un système similaire. D'après ce que savait Hariel, le plus éminent de leurs scientifiques, Azazel, en aurait probablement été capable mais il ne s'intéressait qu'à ses études sur les Sacred Gears.

C'est leur impossibilité à renforcer leur rang qui poussait les Anges Déchus à tuer les porteurs de Sacred Gears. Comme cela, ni les Anges ni les Démons ne pourraient les utiliser pour ré forcer leurs rangs. De plus, avec le rituel approprié il leur était possible de voler le Sacred Gear à la mort du porteur.

« En tout cas » dit Venelana « Elle n'a pas perdu de temps, cela fait à peine deux semaine que les cours ont commencés… »

Hariel soupira.

« J'ai envie de le rencontrer… » soupira-t-il.

C'est alors que idée naquit dans son esprit, une idée qui fit jaillir un grand sourire inquiétant sur le visage du jeune garçon.

« Arara… » dit Venelana avec un petit sourire « On dirait que notre Hariel à une idée. »

« Il va encore demander l'impossible à Jii-sama » dit à son tour Millicas.

Même Greyfia sourit. Zeoticus, lui, soupira et attendit la bombe.

« Ojii-sama » dit Hariel dont le sourire s'était fait innocent. « J'ai quelque chose à te demander »

Zeoticus frémit. Il allait refuser mais devant le sourire désarmant de son petit fils, il abdiqua. Quoique Hariel désirait, il finissait toujours par l'obtenir.

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Hyoudou Issei était un jeune lycéen japonais de 16 ans, dans la fleur de l'âge et de sa libido. Moyen en cours, moyen en sport, il excellait dans une seule chose : désirer passionnément les femmes.

Mais depuis peu, Hyoudou Issei était aussi autre chose. Il était un Démon.

Tout avait commencé avec Yuuma-chan. Yuuma-chan avait été le début de tout. Yuuma-chan était une jolie jeune fille qui avait proposé à Issei de sortir avec elle. Elle était mignonne, timide et semblait éperdument amoureuse. Cela suffisait à ce jeune homme empli de l'énergie de sa jeunesse. Pendant leur premier rendez-vous il s'était comporté comme un gentleman, c'était un puceau après tout. Cela n'avait pas empêché Yuuma-chan de l'assassiner.

Car Yuuma-chan n'était pas humaine, c'était un Ange Déchu. Alors que le crépuscule approchait, elle avait repris sa véritable forme, celle d'une femme adulte aux longues ailes noires avant de le transpercer avec une lance de lumière. La lumière n'était pas mortelle pour les humains au contraire des Démons. Mais se faire transpercer le bide l'était. C'est comme ça qu'il était mort.

Juste avant de mourir ses yeux étaient tombés sur un prospectus qu'une fille aux vêtements bizarre lui avait donné. Ça ressemblait à un logo promotionnel de RPG, une sorte de cercle magique avec une rose au centre…ou peut être était-ce un G…

Toujours est-il qu'il s'était mis à penser à Gremory-senpai. Une fille de 3ème année et la fille la plus populaire de l'école. Il l'avait vu la veille alors qu'il se cachait avec ses amis près du vieux bâtiment et avait été subjugué par ses longs cheveux rouges sang et ses yeux mi bleu mi verts. Comme par miracle, le papier s'était mis à briller et Gremory-senpai était là. Elle lui avait demandé s'il voulait vivre et il avait répondu oui.

C'est alors qu'il s'était retrouvé dans son mit comme tout les matins. A l'école, Motohama et Matsuda, ses deux meilleurs amis et associés dans le crime de matage de filles en petites tenues, ne se souvenait plus de Yuuma-chan alors qu'ils étaient présent quand elle lui avait demandé de sortir avec lui. Même son numéro avait disparu de son portable.

Croyant à un rêve, il avait repris une vie normale à ceci près que d'étranges choses se passaient en lui. Il se sentait différent, plus comme avant. Il avait eu la confirmation le soir même quand, dans la chambre de l'un de ses amis, il avait vu comme en plein jour dans la chambre alors qu'elle était éteinte pour mieux profiter de l'anime érotique qu'ils regardaient. Pensant à un problème il avait voulu rentrer chez lui et s'était rendu compte que tout lui paraissait clair autour de lui alors que la nuit était très sombre.

Tout à ses réflexions, il n'avait pas remarqué que ses pas l'avaient ramené dans le parc où il était mort la première fois. Quand il s'en rendit compte, il fut attaqué par un autre Ange Déchu, un homme cette fois, vêtu d'un trench et d'un fédora très typé détective de films noirs. L'Ange Déchu l'avait transpercé de sa lance et pour la première fois, Issei avait sentit la brûlure de la lumière lui déchirer les entrailles.

C'était une douleur atroce, comme si son corps brûlait de l'intérieur, comme si un feu avait prit naissance dans ses tripes et faisait bouillir son sang.

Alors qu'il voyait une nouvelle fois la mort arriver, il avait eut le temps de voir Gremory-senpai apparaître dans un cercle de lumière rouge avant de sombrer dans les ténèbres.

Tout cela pour se réveiller le lendemain en croyant avoir encore fait un rêve étrange jusqu'à ce que, en découvrant qu'il était nu et en soulevant les draps pour chercher ses sous-vêtement, il avait trouvé Gremory-senpai, encore endormi et surtout totalement nue.

Sa réaction avait été immédiate (c'était un puceau après tout) et il était tombé du lit. C'est à ce moment-là que Gremory-senpai s'était réveillée et s'était assise sur le lit, dans sa glorieuse nudité, sa poitrine ronde et généreuse rebondissant à chacun de ses mouvements.

C'est alors qu'elle lui avait annoncé de but en blanc qu'elle était un Démon et qu'il était son serviteur. Il n'avait pas eu le temps d'assimiler cette nouvelle qu'il avait entendu les bruits de pas de sa mère dans l'escalier qui montait pour le réveiller.

Bien évidemment, malgré le fait qu'il lui ait demandé de ne pas rentrer, elle l'avait fait quand même et avait trouvé son fils couché sur une jeune fille, tout deux dans le plus simple appareil. En fait ce qui s'était passé c'est que, dans l'urgence, Issei avait voulu couvrir le corps de Gremory-senpai avec sa couverture et était pratiquement tombé sur elle. Mme Hyoudou s'était figé sur le pas de la porte jusqu'à ce que la jeune fille nue dans le lit de son fils dise un simple « bonjour » sans paraître gêné le moins du monde. La mère d'Issei avait répondu à la salutation avant de ressortir sans un état second en refermant la porte.

Cela n'empêchait pas Issei et sa compagne de l'entendre se précipiter vers son mari en annonçant que leur fils était nu avec une fille (occidentale en plus) toute aussi nue.

Issei, qui n'avait toujours pas retrouvé son caleçon, s'était effondré au sol en se demandant comment il allait expliquer la situation à sa mère jusqu'à ce qu'il se rende compte que lui-même n'en avait aucune idée. Dans un état de panique extrême il tenta de se rappeler ce qui s'était passé la veille. Il refusait de ne pas se rappeler le moment où il avait perdu sa virginité.

Cela ne semblait pas avoir affecté la jeune fille qui semblait aussi se ficher qu'Issei voit son corps nu et en particulier sa poitrine ronde décoré de tétons d'un rose tendre. Le jeune adolescent avait remercié le ciel quand elle lui dit qu'il pouvait regarder tant qu'il voulait. C'est à ce moment là, alors qu'elle se rhabillait, quelle s'était enquit de son abdomen.

Un peu lent, il n'avait pas comprit que ce qui s'était passé la veille et l'avant ville était réel. Elle lui dit que pour le guérir elle avait du se coller à lui toute nue mais elle le rassura sur le fait qu'elle était toujours vierge…et lui aussi. Issei ne savait pas s'il devait se sentir soulagé ou non.

Étrangement, ses parents avaient été anormalement peu intrusifs et relativement compréhensifs quand ils étaient tout les deux descendu pour le petit déjeuner. En revanche, leur arrivée ensemble au lycée avait fait sensation. Les garçons jalousaient tous Issei et auraient bien voulu être à sa place quand aux filles, elles, s'étaient plainte qu'une telle mésalliance pouvait salir leur chère Rias-onee-sama.

Rias avait laissé son nouveau serviteur à l'entrée du lycée en lui faisant savoir quelle l'enverrai chercher. Cela l'avait laissé aux prises avec la vindicte de ses meilleurs amis mais aujourd'hui il avait un avantage sur eux. Lui, il avait vu des seins pour de vrai.

Le messager de Rias-senpai s'était avéré être Kiba Yuuto, le prince de Kuoh. Issei, comme tous les autres garçons « normaux » détestait ce prince charmant qui avait toute les filles à ses pieds. Il y avait cependant de quoi. Kiba était beau, gentil, intelligent…bref, l'homme parfait que les filles détestaient traîner avec Issei le pervers parce qu'il risquait d'être « pollué ».

Kiba l'avait amené dans le vieux bâtiment réservé au Club de Recherche Occulte, dans une pièce richement décorée avec deux canapés autour d'une table basse au centre et au fond un grand bureau de bois sculpté décoré de dorures. Les murs étaient recouverts de papier peint et de tableau et des chandeliers éclairaient la pièce. Mais ce qui avait attiré l'œil de l'adolescent c'était la jeune fille assise sur l'un des canapés en train de manger de la gelée de haricot rouge sucrée.

Un corps frêle, un visage poupin, et une allure qui faisait fondre garçons comme fille, Toujou Koneko était vraiment la mascotte du lycée…selon Issei.

Voyant une douche dans un coin du bureau (oui, il y avait une douche dans le local du club) et reconnaissant la forme exquise et parfaite de Rias-senpai, il s'était mis à s'exciter tout seul jusqu'à ce que Koneko-chan lui dis d'un ton froid qu'il était un être dégoûtant.

C'est à ce moment là qu'Issei avait vu une jeune fille de l'âge de Rias-senpai, avec de longs cheveux noir coiffés en queue de cheval elle s'était avancée et s'était présenté comme Himejima Akeno, la vice-présidente du club. Mais Issei savait déjà qui elle était, comme tout les hommes il connaissait la numéro 2 des idoles du lycée, la parfaite incarnation de la Yamato Nadeshiko, la femme parfaite aux regards des standards japonais.

Avec trois beautés pareilles (en comptant Rias-senpai), c'était le meilleur club du monde entier à ses yeux. Il s'en sentait devenir étroit dans son pantalon.

C'est juste après que Rias, était sortie de la douche lui avait expliqué les choses sur les Démons, les Anges Déchus et les Anges ainsi que les guerres entre eux. C'est aussi à ce moment là qu'elle avait prononcé un nom qu'il croyait avoir rêvé : Amano Yuuma. La Yuuma-chan qui l'avait tuée. Par une photo, Rias lui avait prouvé qu'elle existait. Elle lui avait dit qu'elle était un Ange Déchu et que si personne ne se souvenait d'elle c'est qu'elle avait hypnotisé les témoins de la même façon que Rias avait fait le matin même sur les parents d'Issei.

Elle lui avait dit qu'elle l'avait fait parce que sa tâche avait été accomplie : voir si Issei avait en lui quelque chose de dAngereux et le tuer si ça avait été le cas.

Repenser à cette nuit avait fait se souvenir que Yuuma-chan lui avait dit d'en vouloir à Dieu pour avoir mit…quelque chose en lui, il n'arrivait pas bien à se souvenir.

Le mot était : « Sacred Gear », mécanisme divin. L'Ange Déchu l'avait tuée parce qu'elle avait senti en lui cet objet sacré dont le pouvoir pouvait se montrer puissant.

Rias avait voulu lui montrer en dévoilant son pouvoir et lui avait demandé de se concentrer sur une image forte mais de là où il était, il pouvait voir la petite culotté noire de sa Senpai si bien que la seule émergence qu'il sentit était dans son caleçon.

Abandonnant il avait demandé pourquoi il était encore vivant. Elle lui avait alors montré un papier. Il le reconnaissait, c'était le même que la fille aux vêtements étrange lui avait donné juste avant son rendez-vous avec Yuuma-chan.

Rias dit que ce cercle magique l'avait invoqué et qu'elle avait alors ressuscité Issei en Démon pour qu'il devienne son serviteur. C'est à ce moment là qu'il avait vu les ailes de Rias pour la première fois, deux ailes d'un noir plus profond que la nuit et aiguisés comme des griffes. Comme répondant à un appel, Issei avait lui aussi sentit quelque chose dans son dos et s'était retourné pour voir ses propres ailes, toute aussi noire et aiguisée.

Mais Rias-senpai ne semblait pas aimer perdre du temps et l'avait mit au travail. Elle lui avait donné des feuilles de papier comme celle qui l'avait invoqué et qu'il devait aller distribuer. Issei s'était montré bien plus enthousiaste quand elle lui avait dit qu'en ayant des contrats il deviendrait plus puissant et aurait un jour ses propres serviteurs.

Il s'était dépêché de monter sur sa bicyclette en pensant à toutes ses servantes qui peuplerait un jour son harem personnel. S'il ne pouvait plus être humain, alors il serait un incube et le roi du Harem !

Ayant fini de tout distribuer, il était retourne au club où Rias-senpai l'avait envoyé répondre à un contrat à la place de Koneko-chan qui en avait déjà un autre. C'est ça qu'il s'était retrouvé dans la chambre d'un otaku qui voulait habiller la jeune Démone d'un uniforme de collégienne à parler de leur manga préféré, Drago Soball pour savoir lequel de leur personnage favori était le plus fort. Il avait tenté d'y aller par un cercle magique mais celui-ci n'avait pas fonctionné et il avait dû une fois de plus emprunter sa bicyclette et frapper à la porte. La honte totale. En plus il avait tellement parlé manga qu'il n'avait fait signer aucun contrat à l'otaku.

C'est sur le chemin du retour qu'il avait été attaqué pour la troisième fois. Le ciel avait pris une teinte violette comme les deux autres fois et il avait reconnu la sensation qui parcourait son corps. C'était celle qu'il avait ressenti quand Yuuma-chan avait révélé sa vraie nature.

La femme était vêtue d'un tailleur sexy sombre avec un large décolleté et de longs cheveux violets. Disant qu'elle était là pour le détruite, elle avait fait sortir ses ailes noires. Elle ne comprenait pas comment Issei pouvait être en vie jusqu'à ce que, alors qu'Issei esquivant une lance de lumière qu'elle lui avait envoyé, elle avait vu la marque rouge au creux de sa main, la marque du clan Gremory que Rias lui avait apposé avant qu'il ne parte.

Toujours décidée à le tuer, elle avait invoqué une seconde lance de lumière qu'elle s'apprêtait à envoyer.

Mais Issei ne voulait pas mourir. Il avait besoin de pouvoir, il voulait le pouvoir. Se rappelant ce qu'avait dit Rias-senpai sur l'image forte et la concentration et se rappelant sa passion pour le manga Dragon Soball et son personnage préféré, il se mit à se concentré et en appellation au pouvoir caché au fond de lui. Levant le bras gauche au ciel, il avait vu apparaître une grosse gemme ronde et verte sur le dos de sa main. La puissance avait fait émerger ses ailes et un vent de pouvoir avait repoussé l'Ange Déchue.

Alors que le pouvoir continuait à affluer, une structure rouge s'était formée à partir de la pierre. Comme si donnait un coup de poing, il avait balancé son bras, projetant le pouvoir qui avait percuté son ennemie, lui arrachant ses vêtements.

Quand Issei avait à nouveau regardé son bras, celui si était recouvert du brassard de métal étincelant rouge avec ce qui ressemblait à des cornes toute aussi métallique d'une couleur jaune ocre au niveau de son poignet.

L'Ange Déchu avait dit qu'elle devait faire un rapport et s'était enfuie.

Au moins j'ai pu voir ses seins, pensa Issei, tout à ses souvenirs. Ils n'étaient pas aussi beaux que ceux de Rias-senpai mais très impressionnant quand même.

Mais après, Rias-senpai l'avait disputé parce que maintenant les Anges Déchus savaient qu'il avait été ressuscité en tant que Démon. Elle avait eu beau dire qu'elle ne lui en voudrait pas trop parce que c'était une rencontré fortuite, Issei avait bien senti qu'elle était contrariée. Elle lui avait demandé de ne pas chercher le combat et il avait accepté avant de partir.

Issei soupira en se rappelant de cela. Il espérait qu'elle ne serait pas en colère contre lui. Soudain, un mouvement dans son dos le fit se retourner. Il n'y avait rien. Il lui sembla voir quelque chose du coin de l'œil mais quand il se tourna dans cette direction, il ne vit rien non plus. Il se retourna pour repartir mais sursauta et tomba en arrière en voyant quelqu'un juste devant lui.

Assis sur le sol, il se mit à cligner des yeux face à la personne qui l'avait surpris. Elle était jeune, très jeune, peut-être dix ou onze ans. Pourtant, elle portait l'uniforme des lycéens de l'Académie Kuoh. Mais le plus étonnant c'est qu'elle ressemblait traits pour traits à Rias-senpai en plus jeune et avec des yeux verts.

« K…Kawai… » ne put s'empêcher de dire Issei à voix haute.

« Merci beaucoup » dit la petite fille avec un sourire.

« Ah…désolé…je voulais dire… » balbutia Issei.

« Daijobu, Issei-onii-chan »

« O…O…O…Onii-chan ? »

La petite fille hocha la tête. Issei se releva.

« Au fait, comment connais-tu mon nom ? »

« Rias-onee-sama me l'a dit. »

« Oh…tu es la petite sœur de Rias-senpai ? »

La petite fille cligna des yeux un instant puis eut un petit sourire diabolique qui fut si rapidement remplacé par un grand sourire innocent qu'Issei se demanda s'il ne l'avait pas rêvé.

La petite fille secoua la tête.

« Nnn. Rias-onee-sama est ma tante, la petite sœur de ma maman…mais elle est trop jeune pour l'appeler Oba-san »

« Ça c'est sûr » répondit Issei.

Donc comme ça, Rias-senpai avait une grande sœur. Issei se demandait si elle était aussi belle et avait une aussi grosse poitrine que Rias-senpai et si elle avait les mêmes yeux bleu-vert ou alors elle les avait vert comme la petite fille. Vert ! Définitivement vert décida-t-il en imaginant un Rias adulte avec des yeux émeraudes…

« Je m'appelle Hariel » dit la petite fille en interrompant les rêveries érotiques. « Hariel Potter-Gremory. Je suis enchanté de faire ta connaissance. »

Hariel assortit sa présentation d'une petite révérence en pinçant les côté de sa jupe, en croissant les jambes et en penchant légèrement le buste.

« Hyoudou Issei. Ravi de te rencontrer aussi Hariel-chan » dit il en s'inclinant à son tour.

« Dis, je peux t'accompagner au lycée ? »

« Et bien…oui, pourquoi pas »

« Merci beaucoup Onii-chan ! » s'exclama Hariel en se jetant au coup d'Issei et en lui faisant un bisou.

L'adolescent rougit et se mit à sourire en bavant.

Hariel-chan est trop mignonne ! Et elle se serre contre moi avec sa poitrine naissante…non, non, non ! Je ne dois pas penser à ça ! Sors-toi ça de la tête ! Sors-toi ça de la tête ! Sors-toi ça de la tête ! Pervers de Lolicon !

« Onii-chan ? » demanda Hariel avec un regard interrogatif.

« C'est rien ! C'est rien ! » s'exclama Issei avec un ton paniqué en reposant Hariel au sol. « Allons-y ! Allons-y ! »

Le voyant se déplacer rapidement comme un robot un peu coincé, Hariel laissa échapper un petit rire.

« Tu es bizarre, Onii-chan »

C'est à ce moment qu'ils entendirent un petit cri. Se retournant, Issei faillit saigner du nez. Une jeune fille s'était cassé la figure. À quatre pattes, sa longue jupe était remontée, dévoilant sa culotte toute blanche.

La jeune fille se retourna et s'assit sur le sol. Elle portait des vêtements étranges : une longue robe avec une croix et un voile sur la tête décoré aussi d'une croix.

Hypnotisé par la blancheur de la culotte, Issei n'avait pas bougé.

« Tu ne vas pas l'aider ? » demanda Hariel.

« Si ! Si bien sûr ! »

Mais à quoi je pense moi, se dit Issei. S'il avait été plus concentré, il aurait remarqué que la voix d'Hariel s'était faite plus grave et plus sérieuse.

De son côté, Hariel, qui s'amusait décidément beaucoup à jouer les petites filles, avait tout de suite reconnu les vêtements que portait l'inconnue. C'était une bonne sœur, une religieuse. Il se méfiait un peu (normal, pour un Démon) mais il ne sentait aucune mauvaise intention venant d'elle. En fait, elle avait l'air tellement innocente qu'elle pourrait prier pour eux, même en sachant qu'ils étaient des Démons.

Issei aida la jeune fille à se relever. À ce moment là, un coup de vent fit tomber son voile, révélant une chevelure d'un blond doré et des yeux d'un très beau vert jade, d'un charme plus discret que le vert émeraude hypnotique des yeux d'Hariel.

La jeune religieuse regarda leurs mains encore uni et, rougissant, Issei la retira. Il récupéra la voile qui s'envolait et le lui ramena.

C'est l'incarnation de la fille rêvée, version beauté blonde, pensa-t-il très excité et ayant complètement oublié Hariel. Vite, il faut que je trouve un moyen de lancer la conversation.

« Merci beaucoup » dit la jeune fille en remettant son voile.

« Ce n'est rien, vraiment. » répondit Issei en se grattant la tête

Vite, un sujet, un sujet,…

« Le temps est bon aujourd'hui… »

Mais c'est idiot ça ! Je suis une grand-mère gâteuse ou quoi ?

Ayant pitié de lui, Hariel se rapprocha et tira sur la jupe de la religieuse.

« Bonjour Onee-san » dit-il avec un grand sourire.

« Ah ! Kawai » dit-elle en le voyant.

Elle tendit la main et lui caressa les cheveux.

« Tu as un problème, Onee-san ? » demanda Hariel avec son regard le plus innocent.

« En fait, je crois que je me suis perdu… »

« Pas de problème, Onii-chan va te guider »

« Ah…ah bon ? » s'exclama Issei.

« Bien sûr, après tout je viens aussi d'arriver et je ne connais pas la ville »

Donc après avoir ramassé les affaires de la religieuse qui s'étaient éparpillés au sol quand sa valise s'était ouverte à cause de la chute, les trois partirent.

« Tu es en voyage ? » demanda Issei en montrant la valise.

« Non, j'ai été transféré à l'église de la ville. »

« Alors tu es une nonne ? Ça explique ta tenue » dit Issei alors qu'Hariel se retenait de rire.

Décidément, sa tante s'était trouvé un Pion bien intéressant.

« En tout cas je suis contente d'être tombé sur des gens comme vous. Ça doit être la volonté de Dieu. »

« Euh…sûrement… » répondit Issei.

J'en doute, pensa Hariel.

À ce moment là, Hariel vit les yeux du nouveau Démon se poser sur la croix en argent que la jeune religieuse portait autour du cou avant de détourner les yeux quand celle-ci se tourna vers lui.

Il a senti le malaise que provoque le symbole de la croix chez les Démons, pensa Hariel. C'est soit ça, soit il est gêné d'avoir été surpris en pleine séance de matage. Je n'arrive jamais à savoir avec lui…

« Quelque chose ne va pas ? » demanda la religieuse

« Non non, ça va… » répondit-il, mal à l'aise.

Soudain, ils entendirent des pleurs. Dans le parc à côté, un enfant était assis sur le sol et pleurait alors que son genou saignait. La nonne se précipita à ses côté et Issei et Hariel la suivirent.

« Si tu es un garçon, tu ne devrais pas pleurer une égratignure » dit-elle avec un doux sourire et en lui caressant la tête.

Puis elle plaça ses deux mains au dessus de la blessure. Les anneaux qu'elle portait aux doigts et qui étaient décorés de cristaux stylisés en forme de feuilles se mirent à briller d'une lueur verte qui fit se résorber la blessure du petit garçon sous les yeux stupéfaits d'Issei et ceux scrutateur d'Hariel.

Soudain, Issei sentit comme une pulsation dans sa main gauche.

« Tu l'as senti ? » demanda Hariel.

« S…senti quoi ? »

Mais Hariel ne répondit pas.

« Voilà, plus de bobo » dit la religieuse.

Se retournant, elle vit le visage étonné d'Issei.

« Désolé, je l'ai aidé sans y penser »

Tellement innocente, faillit renifler Hariel

« Cela à du vous surprendre » dit la religieuse alors qu'ils étaient répartis.

Elle voyait bien qu'Issei était pensif et Hariel aussi. Le jeune Démon savait (ou espérait) qu'il pensait au fait que sa main gauche, celle où se trouvait son Sacred Gear, avait réagi au pouvoir de cette fille.

« Non, non ! Je trouve juste que te pouvoirs sont étonnant ! »

« C'est vrai Onee-san ! Tu es trop forte ! » rajouta Hariel en continuant à jouer son rôle de petite fille.

« Ce sont de merveilleux pouvoirs divins qui m'ont été accordé par Dieu »

J'en doute, pensa une nouvelle fois Hariel.

« Oui…tellement merveilleux… » rajouta la religieuse.

Elle avait encore un petit sourire mais ses yeux étaient tristes. On avait l'impression qu'elle était très loin de la réalité.

« Ah ! C'est ici ! » s'exclama-t-elle en retrouvant la jovialité qu'elle avait montré depuis le début.

Mais Hariel sentait que ce n'était qu'une apparence.

« Tu as dit que tu devais aller à l'Église de ville et c'était la seule. »

« Tu me sauve la vie ! »

C'est alors qu'Issei posa ses yeux pour la première fois depuis longtemps, pour la première fois depuis qu'il était un Démon, les yeux sur une église.

Elle n'avait rien de particulier. Un bâtiment rectangulaire de pierres blanchis à la chaux au toit pointu avec un clocher et de grands vitraux en ogives. Elle était en bordure de la ville et d'ici on pouvait la voir émerger des arbres qui recouvraient la montagne.

Mais pour Issei, c'était autre chose. Il eu l'impression de recevoir un coup au cœur. Comme si le monde chavirait autour de lui, son cœur le serrait et sa vision se troublait.

« Mais…je n'ai jamais vu personne là-haut… » dit-il alors que le malaise s'estompait.

De son côté, Hariel reprenait sa respiration. Il avait déjà vu des églises, en fait, il s'était entraîné à résister au malaise que les symboles religieux provoquaient chez lui mais il lui arrivait encore d'être prit par surprise par un lieu saint.

« Je veux te remercier » dit la jeune nonne sans répondre à la question implicite d'Issei. « Tu veux m'accompagner jusque-là bas ? »

« Non ! Je…je… » balbutiait Issei.

Ses mains tremblaient encore.

« Onii-chan ! Tu vas être en retard en cours ! » s'exclama Hariel en se portant au secours du serviteur de sa tante.

« Ah ! Oui ! Il faut que j'y aille là ! »

« Dommage… » soupira la sœur en baissant les yeux.

Mais cela ne dura pas longtemps et elle leur souri à nouveau.

« Je m'appelle Asia Argento » s'exclama-t-elle. « Mais vous pouvez m'appeler Asia »

« Je suis Hyoudou Issei. Issei suffira »

« Et moi je suis Hariel, Asia-onee-chan ! »

« Hariel-chan, kawai » dit Asia en lui caressant les cheveux. « Je suis heureuse d'avoir pu rencontrer aussi vite des personnes aussi gentilles et attentionnés que vous pour mon premier jour au Japon. »

« Non c'est trop… » dit Issei, gêné.

« Si jamais vous avez le temps, vous pouvez venir me rendre visite à l'église. Promettez-le moi d'accord »

« Euh…très bien » dit Issei.

Hariel, lui, préféra continuer de sourire et ne dit rien.

« A la prochaine alors » dit Issei.

« Au revoir Onee-chan ! »

« Oui, j'espère que nous nous reverrons. » dit Asia en leur faisant un signe de la main.

« C'est une promesse bien imprudente que tu as faite » dit Hariel alors qu'ils étaient déjà loin.

« Qu'est ce que tu veux dire Hariel-chan ? »

« Betsuni » soupira-t-il.

Ils arrivèrent finalement devant les portes de l'académie.

« Au fait, Hariel-chan, tu porte l'uniforme des lycéennes… » demanda Issei.

« Il me va bien, n'est ce pas ? » dit Hariel avec une pose sexy et un clin d'œil.

« Si… » répondit Issei avec un visage rouge et un grand sourire.

« N'est-ce pas ? »

« Oh ! » s'exclama Issei comme il entendait la cloche sonner. « Il faut que j'y aille ! A une autre fois Hariel-chan ! »

« À une prochaine fois ! » dit Hariel en faisant de grands signes de main.

Et plus tôt que tu ne le crois…

A suivre…


Et voilà un nouveau chapitre qui marque l'apparition d'Issei, le héros du manga Highschool DxD ! C'est un peu difficile de tout rendre correctement à l'écrit car c'est très visuel mais je ferai de mon mieux.

En attendant, qu'est ce que vous en avez pensé ? Le personnage d'Issei est très pervers donc il risque d'y avoir pas mal de truc pervers dans les chapitres à venir, j'espère que ça vous dérAnge pas ?

En tout cas moi j'ai bien aimé écrire ce chapitre…même si les ¾ des dialogues sont pompés de l'anime 😂.

J'espère ne pas vous avoir déçu et pour ceux qui regardent ou veulent regarder l'anime je les préviens. La fic mettra surtout en scène les événement des deux premières saisons et de la moitié de la 3ème puisqu'après, Hariel va rentrer à Poudlard.

Bisous tout le monde et à dans deux semaines !

PS : REVIEWWWWWWWWWS (s'il vous plaît 😊)