Et me revoici avec le second chapitre. J'ai rédigé des chapitres à l'avance. Pour éviter une longue attente.
Bonne lecture.
Chapitre 2 : Métropolis
Le puissant milliardaire de Metropolis Lex Luthor lisait avec aigreur l'article dans le journal qui racontait l'exploit de Superman sauvant l'avion Air Force One.
- Le Président, très reconnaissant, remercie du fond du cœur l'Enfant Chéri de Métropolis, Superman !
Avec colère, il froissa le journal et le jeta sur sa petite table de son salon.
- L'Enfant Chéri, tu parles ! s'exclama-t-il avec fureur.
Très énervé, il contacta son garde du corps féminin, Mercy Graves.
- Mercy ! Avancez la voiture, je descends !
- Tout de suite, Lex, lui répondit Mercy.
Mais avant qu'elle n'ait pu faire quoi que ce soit, elle fut violement assommée par un gant de boxe mécanique.
Luthor atteignit sa limousine dont la portière était ouverte par son garde du corps féminin. Il s'installa et ordonna sèchement.
- Au bureau ! En vitesse !
- À votre service, Monsieur L ! lui répondit son garde d'une voix qui ne concordait pas à celle de Mercy.
Et elle claqua la portière d'un coup sec, à la grande surprise du milliardaire chauve.
- Monsieur L ? Mercy ?
Quand son garde prit le volant, il constata qu'il n'avait pas Mercy Graves dans sa limousine. Mais Harley Quinn.
- Ah, je suis désolée, elle a eu un petit accident, dit-elle joyeusement en démarrant la voiture.
Luthor tenta de sortir de sa voiture, mais la portière était déjà verrouillée. Et Harley fit démarrer la limousine et conduisit comme une folle dans les rues de Metropolis.
Énervé d'être ainsi prisonnier dans sa propre voiture, Lex Luthor tapa contre la vitre qui le séparait de l'avant de sa limousine.
- Ça suffit, petite peste ! vociféra-t-il les yeux pleins de fureur. Je ne sais pas à quel jeu vous jouez, mais je vous promets que ça va vous coûter cher ! Je vous tuerai, vous entendez ?
Mais Harley continua de conduire en ignorant les menaces du milliardaire chauve. Puis, elle freina abruptement la limousine projetant Luthor contre la vitre. La limousine stoppa net.
Puis la portière s'ouvrit, et un nouveau passager rejoignit Luthor à l'arrière de la voiture. Ce dernier reconnut l'individu avec mépris.
- Joker !
Le Fou de Gotham prit place à côté de Lex Luthor sur la banquette arrière de la limousine.
- Lexy, vieux frère ! annonça Joker avec son sinistre rictus aux lèvres. J'ai un marché génial à te proposer !
Harley reprit la route et continua à conduire comme une folle. Tandis qu'à l'arrière, Lex Luthor garda son regard de mépris sans dire un mot, les bras croisés, et le Joker admira le cuir de la banquette.
- Oh quelle somptueux cuir de Corinthe !
- Que voulez-vous ? exigea Luthor d'une voix calme mais remplie de fureur.
Le Joker se mit à passer ses bras sur les épaules du milliardaire chauve, comme si ils étaient des amis de longue date.
- Je suis convaincu que nous sommes semblables toi et moi, expliqua-t-il avec extase. Oh, il y a quelques différences, bien sûr ! Comme les cheveux ! (Il tapota le crâne chauve de Lex en ricanant.) Mais en dehors de ça, nous sommes tous deux des entrepreneurs ! Des visionnaires ! Nous sentons une opportunité, nous la saisissons, n'ai-je pas raison ?
Luthor le dévisagea avec aigreur, mais ne prononça toujours aucune parole. Voulant aller droit au but, le Joker s'exprima une fois de plus avec fureur :
- Bien. Mais ces dernières semaines, j'ai eu toute une série de mésaventures. Mésaventures qui portaient une cape. À cause de ce misérable justicier masqué aux oreilles pointues de Batman, toutes mes opérations dans Gotham City ont été réduites à néant !
Puis il reprit son sourire mauvais quand Luthor posa à nouveau les yeux sur lui.
- Mais vous aussi à Métropolis, vous possédez un guignol en costume. Et ça m'a donné envie de te faire une proposition.
- Je vous écoute, répondit Luthor en fronçant un sourcil perplexe.
- Paie-moi un milliard de dollars et j'élimine Superman ! déclara Joker avec assurance comme s'il venait de tuer l'Homme d'Acier.
Luthor se mit à rire devant l'arrogance du criminel fou de Gotham. Il se demanda si ce dernier était fou ou simplement stupide. Avec amusement, il rétorqua :
- Qu'est-ce qui vous croire que vous parviendrez à tuer Superman, alors que vous n'arrivez pas à vous débarrasser d'un vulgaire mortel déguisé en chauve-souris ?
Se sentant insulté, Joker perdit son extase et devint menaçant en attrapant Luthor par le col de sa veste noire.
- Il n'y a rien de vulgaire dans ce simple mortel !
Puis il relâcha sa prise en reprenant son horrible rictus.
- De plus, un certain Deathstroke m'a renseigné sur Superman ! Si je ne peux pas tuer Batman, je peux tuer votre guignol volant ! Je sais quel est son talent d'Achille !
Il sortit alors une boîte et quand il l'ouvrit, une lumière verdâtre remplit toute l'arrière de la voiture. Et Luthor put apercevoir une statuette verte d'un dragon chinois. Joker se saisit de la statuette verte pour la montrer au milliardaire chauve.
- Regarde ça ! De la kryptonite massive !
Voyant que le Clown psychopathe était sérieux, Luthor garda son mépris.
- Je ne veux, en aucun cas, qu'on puisse me mêler à cette affaire !
- Oh, mais tu garderas les mains propres, je te le promets, lui assura Joker ravi d'avoir capté l'attention de Luthor.
Il lui tendit sa main avec son sourire mauvais.
- Ça marche ?
Puis, Luthor finit par la serrer avec satisfaction.
- Ça marche.
À l'aérodrome privé de la LexCorp, une foule de journalistes était rassemblé pour assister à l'arrivée de deux personnalités des affaires à Métropolis avec la LexCorp. L'arrivée de Bruce Wayne, milliardaire de Gotham à la tête de Wayne Enterprises, et Mia Queen, héritière des Queen ayant pris la direction de Queen Consolidated à Star City.
Nul ne savait de quoi se portait leur fusion entre les entreprises de Gotham, Star City et Métropolis.
Parmi les journalistes se trouvaient Clark Kent et Loïs Lane, tous deux venant du Daily Planet.
Les deux jets privés venaient d'atterrir à l'aérodrome. Alors que tous attendirent l'arrivée des deux invités de Lex Luthor.
- L'accord que Wayne et Queen ont passés avec la LexCorp s'élèverait à plusieurs milliards, commenta Clark à sa collègue. Bruce Wayne est un gros joueur. Et Mia Queen vient à peine de reprendre les rênes de l'entreprise familial à Star City.
- Je ne sais pas grand-chose de la fille Queen, répondit Loïs en agitant un stylo. Mais en ce qui concerne Wayne, il paraît que c'est une personnalité de Gotham City. Milliardaire. Odieux.
Alors qu'elle parlait, elle ne remarqua pas que Bruce Wayne quitta l'avion à l'ouverture de la porte. Et il descendit la rampe.
Quand les yeux de Loïs se porta sur lui, elle en fut attirée par lui.
- … Et absolument craquant !
Sans regarder qui que ce soit, Bruce Wayne posa les pieds sur le sol de Metropolis en ignorant les journalistes voulant l'interviewer.
- Regardez ! C'est Mia Queen ! s'exclama un journaliste qui s'était tourné au loin.
Tous eurent les yeux sur Mia Queen qui venait d'atterrir à l'aérodrome. Elle était vêtue d'un tailleur-pantalon gris, accompagnée d'une chemise blanche et d'une blouse grise. Et elle avait choisi de coiffer ses cheveux blonds d'un chignon attaché à l'aide d'une simple barrette.
Avec un sourire naturel, Mia se dirigea vers Bruce, tandis que les journalistes vinrent l'accoster avec des micros et des caméras.
- Mlle Queen ? Quelle affaire vous amène à Métropolis ? demanda un homme tenant un micro devant elle.
- Qu'est-ce que cela représente pour votre entreprise ? ajouta une femme journaliste. Quel avenir réservez-vous à Queen Consolidated ?
- Pas de commentaires pour l'instant, répondit gentiment Mia en leur faisant signe de s'écarter.
Le sourire aux lèvres, elle rejoignit Bruce qui venait de descendre de la passerelle de l'avion.
- M. Wayne ! le salua-t-elle en tendant sa main vers lui. Ravie de vous voir. Et merci encore de m'avoir invitée.
- Tout le plaisir est pour moi, Mia, lui répondit Bruce souriant en lui serrant la main. Et je vous en prie, appelez-moi Bruce.
- Très bien, Bruce. Je sais que notre affaire avec M. Luthor est très importante mais je me faisais une joie de me rendre à Métropolis.
Bruce continua de lui sourire avec gentillesse.
- J'espère que votre séjour ici vous sera agréable et bénéfique pour votre… autre travail.
Mia fronça les sourcils se demandant bien ce qu'il voulait dire par « autre travail ». Mais avant qu'elle n'ait pu lui demander, Bruce fit son chemin à travers les journalistes.
Réalisant qu'il n'était qu'à quelques pas d'elle, Loïs se tourna vers son confrère journaliste avec nervosité.
- Est-ce que je suis bien coiffée ?
Elle sortit son petit miroir de son sac à main, et regarda ses cheveux, quand le reflet d'une partie du visage de Bruce Wayne apparut.
- Excusez-moi ? Êtes-vous la célèbre Loïs Lane ? demanda-t-il calmement avec un sourire aux lèvres.
Loïs haleta, laissant accidentellement tomber ses affaires et le regarda timidement. Mia, qui venait de les rejoindre, dévisagea la journaliste avec stupeur.
- Loïs Lane ? s'exclama Mia, reconnaissant son nom, ayant lu ses articles dans la presse. Comme la célèbre journaliste du Daily Planet dont Superman sauve régulièrement ?
Loïs rougit d'embarras, avant de bafouiller devant Bruce et Mia.
- Moi ? Célèbre ? Non, je… pas vraiment… je…
Puis elle reprit son côté journaliste professionnel en essayant de rester calme et désigna son confrère.
- Voici Clark Kent.
Et elle en profita pour se baisser afin de ramasser ses affaires.
- M. Wayne ! dit Clark en tendant sa main droite pour serrer la main de Bruce.
Mais ce dernier l'ignora et se pencha pour aider Loïs à récupérer ses affaires. Voyant le journaliste mal à l'aise, Mia s'empressa de serrer la main à Clark.
- Mia Queen ! Ravie de vous rencontrer, M. Kent. J'ai cru comprendre que vous travaillez avec Mlle Lane au Daily Planet.
Clark resta poli devant Mia, mais fut gêné de voir Bruce aider Loïs à ramasser ses affaires tombés.
- J'ai lu ce qui vous est arrivé dans l'avion présidentiel, dit Bruce en ramassant et en tendant le miroir et le sac de Loïs. Vous avez fait la une des journaux.
- Non… moins souvent que vous, déclara Loïs reprenant son sérieux. Ce qui m'amène à vous demander, qu'est-ce que Mlle Queen et vous êtes-vous venue faire ici ?
Avant que Mia ou Bruce ne lui réponde, Mercy Graves, portant un bandage sur la tête, les interpella en ouvrant la portière arrière d'une limousine.
- M. Wayne. Mlle Queen. Votre voiture.
À la grande surprise de Mia, Bruce semblait plus s'intéresser à Loïs qu'à la vraie raison de sa venue à Metropolis. Elle comprit pourquoi Wayne avait la réputation d'être le célibataire le plus convoité de Gotham. Est-ce qu'il la draguerait si elle avait été plus âgée ?
- Peut-être pourrions-nous en parler ce soir au dîner ? suggéra-t-il à la femme journaliste. Si vous êtes disponible ?
- Totalement, répondit Loïs timidement. Enfin, je crois… oui, si je vérifie mon agenda… oui, je suis disponible.
- Fantastique ! Je viens vous chercher à huit heures, déclara Bruce avec extase.
Puis il dévisagea Mia.
- Je pense que nous sommes attendus, Mia.
La jeune femme de Star City acquiesça et salua les journalistes.
- M. Kent. Mlle Lane. C'était un plaisir, dit-elle joyeusement en faisant son chemin vers la limousine noire.
Quand ils s'installèrent sur la banquette arrière de la voiture, Mia ne put s'empêcher de commenter avec humour.
- Loïs Lane ? Vous envisagez sérieusement avoir un rencard avec elle ?
- Je lui ai proposée un dîner et elle a dit oui, répondit Bruce avec le sourire aux lèvres. Vous la connaissez ?
- Seulement de réputation, répondit Mia en haussant les épaules. Elle est souvent en danger et secourue par Superman à la dernière minute. (Elle prit un ton espiègle.) Saura-t-elle résister au vieux charme de Bruce Wayne, le célibataire le plus convoité de tout Gotham ?
Bruce rit un peu amusé par la remarque de la jeune femme.
- Je vois que ma réputation me précède.
- Vous êtes une célébrité assez difficile à manquer, lui fit-elle remarquer. Et sérieusement ? Loïs Lane. Vous savez, j'ai entendu des rumeurs comme quoi elle en pince pour Superman.
- Je ne suis pas du genre à croire aux rumeurs, répliqua Bruce sans la regarder.
- C'est très audacieux de votre part, Bruce, dit Mia avec un regard admiratif. Si vous voulez sortir avec Mlle Lane, vous allez devoir vous mesurer à l'Homme d'Acier de Métropolis. J'imagine déjà sa réaction.
Puis elle gloussa d'amusement, tandis que Bruce se contenta de rire dans sa barbe. Et il redevint sérieux, alors que la limousine les emmenait loin.
- Comment ça se passe pour vous, Mia ? Pas trop dur la succession avec l'entreprise de votre père ?
Mia soupira et s'appuya contre le siège de la voiture.
- Les papiers administratifs ont pris un temps fou. Je ne compte plus le nombre de papiers que j'ai dû signer. L'administration n'est pas pour moi.
- Je sais ce que c'est, répliqua Bruce avec un regard compatissant.
- Mais mon père avait des projets pour Queen Consolidated et il n'a jamais pu parvenir jusqu'au bout, dit Mia avec une pensée triste pour son défunt père. J'espère pouvoir me rendre digne de lui.
Bruce lui adressa un regard réconfortant.
- Je pense que vous le faites déjà bien.
- Merci, Bruce, lui dit Mia avec gratitude.
Un moment passa. La limousine continua de rouler. Mia en profita pour regarder les gratte-ciels de Métropolis.
- Que savez-vous de Lex Luthor ? demanda Bruce voulant changer de sujet.
- Pas grand-chose, déclara Mia en haussant les épaules. Juste que c'est l'homme le plus riche et puissant de Métropolis. Sa famille a contribué à bâtir la moitié de cette ville. Il est à la tête du plus grand groupe du monde multinationale. Je sais aussi qu'il est un important entrepreneur sur la création des armes. Il a pas mal de relations avec les gens très haut-placés du Pentagone. Je ne suis pas sûre d'approuver sa vision des choses.
- Moi non plus, admit Bruce Wayne. Je suis là pour m'assurer que Lex respecte sa part de notre accord avec Wayne Enterprises et Queen Consolidated.
- Je me réjouis que vous soyez ici, Bruce, lui dit Mia avec gratitude.
- Vous n'avez pas idée, Mia, répondit le milliardaire de Gotham en la regardant avec extase.
Mia remarqua que Bruce Wayne avait l'air de pouvoir tout dire sur une personne rien qu'en la regardant dans les yeux. Elle y sentit un malaise entre lui et elle, mais ne saurait d'où cela venait.
Cette nuit-là, un chef du crime local du nom de César Carlini dînait avec ses associés dans un de ses restaurants privés. Quand il reçut la visite du Joker qui débarqua chez lui, ayant l'intention de s'incruster.
- César Carlini, mon vieux copain ! (Il fit mine de réfléchir.) Je ne t'ai pas revu depuis… Attends, je ne t'ai jamais vu, c'est bien ça ! Tu devrais sortir plus souvent !
- Qui est ce clown ? s'exclama Carlini furieux de la présence de cet énergumène.
- Pas un clown, le Joker, s'annonça le truand fou en jetant une carte Joker sur la table des malfaiteurs. Je suis en ville pour affaires, et j'ai besoin d'un endroit pour poser mes valises.
- Essayez le motel du coin, rétorqua le chef du crime.
- Mais c'est tellement plus confortable chez toi, mon ami, comme si on était copains d'enfance ! poursuivit le Joker en ricanant.
- Vous êtes cinglé ! rétorqua Carlini avec mépris avant de se tourner vers ses hommes. Tuez-le !
Aussitôt, tous les gangsters réunis autour de la table dégainèrent leurs armes à feu et tinrent le Joker en joue.
- Oh, je peux jouer avec vous ? fit une voix féminine au-dessus de leurs têtes.
Tous levèrent leurs têtes pour voir Harley Quinn jaillir du plafond et rebondir sur le sol sur un bâton à ressort. Elle rebondit sur un gangster, évita les balles des autres truands et brisa la table.
Carlini tenta de fuir, mais le Joker lui barra la route.
- Carlini, cette nourriture était trop épicée ! J'ai peur que les gaz te guettent !
Aussitôt, il usa de sa fleur verte sur sa veste et fit jaillir son gaz hilarant sur le caïd. Carlini toussa, avant de partir dans un fou rire incontrôlable.
Amusé, Joker le jeta dehors comme un déchet et s'adressa aux autres truands qui restaient.
- Nom d'un bol de guacamole ! On dirait que vous avez besoin d'un nouveau chef ! Je propose que ce soit moi !
- Et moi, je serai son sous-chef, ajouta Harley en brandissant une arme à gant de boxe mécanique.
Les truands se mirent à se diriger vers une sortie de secours, quand la porte de service s'ouvrit en grand, révélant plusieurs hommes portant des masques noirs et oranges. Le clan des Deathstroke. L'un d'eux sembla être le meneur se tint juste devant les gangsters.
L'un des hommes de Carlini voulut tirer, mais Deathstroke lança un shuriken qui alla se planter dans le canon de l'arme, l'empêchant de tirer. Les gangsters furent démunis et dévisagèrent le nouveau clan avec angoisse.
- Soit vous nous obéissez, soit vous mourez ! déclara Deathstroke d'une voix déformée par un modulateur.
- Aucune protestations ! scanda le Joker avec un sourire mauvais.
Plus tard, Superman se trouvait à l'hôpital, rejoignant l'inspecteur Dan Turpin. Ils étaient au chevet de César Carlini qui riait de manière hystérique. Tous les deux savaient qu'il ne s'agissait pas d'un rire naturel.
- On l'a trouvé dans cet état à la décharge publique, expliqua Turpin. Il est encore en vie, mais paraît très atteint.
Superman dévisagea Carlini hilarant avec dédain.
- Nous connaissons le responsable. Il est en train de nous dire qui c'est.
L'Homme d'Acier savait que le rire hilarant et sans fin de Carlini signifiait la présence du Joker dans sa ville. Il allait devoir confronter le Clown le plus fou et le plus dangereux de tout Gotham City.
Il n'est pas précisé dans le dessin animé le fait que Joker et Batman connaissent la Kryptonite qui peut tuer Superman.
Pour le Joker, j'ai introduit Deathstroke.
