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Voilà qu'un jour de route était déjà passé, ça faisait maintenant 24h alors qu'ils étaient sur la route de Žilina.
Ils s'étaient arrêtés à Starý, une dizaine de minutes, Le temps d'acheter un sandwich et des clopes, et de faire le plein.
À présent non loin de leur destination, ils pouvaient attester qu'ils avaient encore deux bonnes heures de route, d'ailleurs c'était le dernier arrêt, ils feraient le reste d'une traite.
Wanda était passée à l'arrière, Pietro était plus à l'aise devant, il était beaucoups plus grand que sa petite soeur. La belle se posa et regarda un film.
Pietro avait proposé de conduire, puisqu'il avait le permis sokovien, mais Clint resta au volant. Le jeune homme en profita pour questionner l'archer à propos de son amoureuse secrète, persuadé qu'il s'agissait de sa soeur.
« Alors, tu es amoureux de qui?
– Euh... bafouilla Clint.
– C'est ma sœur?! lança le jeune homme.
– Non! cria Clint offusqué.
– Quoi, elle est pas assez bien pour toi? cracha le jeune homme en colère.
– Mais non, c'est pas ça, c'est... C'est pas Wanda, se justifie t-il.
– C'est quelqu'un au Shield en tout cas.
– Qu'est ce qui te fait dire ça?
– Premièrement, Romanoff interroge toutes les femmes au Shield, deuxièmement, t'es plus avec ta femme, et troisièmement soit t'es chez toi, soit en mission, ou soit au Shield, ça ne peut-être que Wanda! se justifiait Pietro.
– Mais ce n'est pas Wanda, et puis ça pourrait être quelqu'un rencontré au cours d'une mission! se défendit Clint comme il le pouvait.
– C'est vrai, acquiesça le jeune homme.
– Tu vois! lança Clint alors qu'ils entraient dans la banlieue de Žilina.
– Elle a quel âge? questionna Pietro.
– Pietro..., Soupira Clint, il n'avait pas vraiment envie de répondre à toutes ses questions.
– Allez vieillard, ça restera entre nous, promis.
– Elle... Elle est jeune, trop jeune d'ailleurs, répondit-il tout de même.
– Trop jeune comment ?
– Trop jeune comme toi, répondit Clint.
– Ah oui quand même! s'exclaffa Pietro. »
Clint grimaça, il n'aurait jamais dû le lui dire. Pietro grimaça à son tour, comprenant qu'il avait blessé l'archer.
« Après, c'est pas trop grave, ça, l'âge, elle est jolie? demanda t-il ensuite.
– Très, affirma Clint.
– Elle est gentille ?
– Gentille? Elle n'est pas méchante, c'est quelqu'un de plutôt dynamique, à l'écoute, et très réfléchit, contrairement à ce qu'on peut croire.
– C'est Wanda! attesta Pietro.
– Non! C'est pas Wanda!! s'énerva Clint.
– Je comprends pas, parce que Captain America dit toujours que tu es très pro, alors je pense pas que tu t'amuserais à draguer alors que t'es en mission, déclara le jeune qui n'avait pas tort. Au Shield, il y a pas mal de femme qui ont la trentaine, mais pour que tu sois amoureux ça voudrait dire que tu la côtoie souvent, hors, tu vas au Shield une fois par semaine maxi, ajouta t-il. Et au sein de l'équipe ça ne peut-être que Black Widow ou ma sœur... Je suis pas sure que Romanoff ait la trentaine, finit-il par dire. »
Clint soupira, puis murmura :
« Pietro, crois-moi, ce n'est pas ta soeur, elle est gentille, mignonne comme tout, c'est une personne vraiment agréable, mais je n'ai aucun sentiments envers ta soeur, je te promets, chuchota t-il.
– Tu es vraiment amoureux alors? mumura le jeune homme.
– Je sais pas, c'est encore confus, j'ai des sentiments mais... C'est encore trop tôt pour... C'est trop tôt quoi! lança seulement Clint ne sachant que dire d'autre.
– Je te fais confiance.
– Tu peux, affirma Clint. »
Il était pas loin de 14h30, lorsque le trio arriva enfin à Nová Bystrica, Le village de la famille des jumeaux. Ils remontèrent un pont juste large pour qu'une voiture passe, puis remonta la route sinueuse. Wanda avait appelé sa famille un peu avant d'arriver à destination. Ils avaient prévu un apéro à leur arrivé. Ce fut leur tante et leur oncle, qui les acceuillirent.
« Ahoj môj pekný, konečne sa k nám vrátil. (Bonjour ma jolie, enfin revenue parmis nous), s'exclama une femme âgée d'une cinquantaine d'années.
– Ahoj teta Ľudmila.(Bonjour tante Ľudmila), lança Wanda souriante.
– Pietro, ako si vyrastal, si pekný mladý muž. (Pietro, comme tu as grandit, tu es un beau jeune homme), lança la femme.
– Prineste ich do Ľudmily. (Fais les entrer Ľudmila), lança une voix masculine derrière elle.
– Áno, poďte ďalej, pripravili sme aperitív, starý otec práve odišiel hľadať babičku. Robí trh v Stará Bystrica. (Oui, entrez donc, on a préparé l'apéro, grand père vient de partir chercher grand mère. Elle fait le marché à Stará Bystrica), annonça la cinquantenaire.
– Och, videli sme trh. (Oh, on a vu le marché), dit aussitôt Wanda en enlevant ses chaussures.
– En sokovie, on enlève nos chaussures, informa Pietro à Clint qui obéit et se déchaussa.
– Ok.
– Dobrý, Radovan, strýko dvojčiat. (Bonjour, Radovan, l'oncle des jumeaux), se présenta un homme légèrement dégarni.
– Ahoj, répondit Clint en sokovien. (Bonjour)
– Poďte ďalej, aké to bolo na ceste? (Entrez, comment ça a été la route?) demanda la tante des jumeaux à Clint qui restait dans l'entrée.
– Nehovorí Sokovian teta Loulou. ( Il ne parle pas pas sokovien tante Loulou), annonça Wanda.
– Sadnite si. (Asseyez-vous), annonça l'oncle des jumeaux.
– Assieds-toi, traduit Pietro, alors que la porte d'entrée s'ouvrir à nouveau.
– Pavel !! lança Wanda radieuse.
– Dvojčatá !! Ako sa máš? (Les jumeaux!! Comment ça va? ) lanca l'homme en entrant.
– Som v poriadku. (Ça Va.) répondit-elle.
– Ahoj, (Salut), fit-il à Pietro en lui serrant la main.
– Ahoj. (Salut), répondit seulement Pietro.
– Ahoj, Pavel, se présenta l'homme d'une trentaine d'années, alors que tout le monde s'installaient dans le canapé d'angle.
– Clint, répondit-il seulement, en découvrant dans quelle maison les jumeaux avaient vécu avant de déménager dans un appartement. »
Le foyer était rustique, les sokoviens aimaient découper les pièces. Ils étaient entrés dans une sorte de sas, avec une porte qui fermait mal, pas chauffé, elle était juste battit de bois. Un tas de chaussure et quelques parapluies étaient entassés dans un coin. Apparamment en Sokovie les us, dictaient de se déchausser dans la maison.
Un escalier était placé juste après la vraie porte de maison, un petit couloir longeait l'escalier sur une porte fermée. Ce devait être une des porte de cuisine condamnée, au vue de la disposition du salon/salle à manger qui donnait sur la cuisine.
Les meubles étaient rustiques, et la pièce était petite compte tenue de la grandeur du domaine qu'occupait les Maximoff. En arrivant, Clint avait tout de suite vu que plusieurs pièces, voir maison, avaient été construite autour de la maison principale.
« Čo piješ? (Qu'est ce que vous buvez? ) lança l'oncle de Pietro, surprenant Clint au passage.
– Tu veux boire quoi? traduit encore Pietro à l'archer.
– J'en sais rien, tu bois quoi? retourna t-il au jeune.
– On ferait mieux d'amener la glacière non? lança subitement Wanda à Pietro.
– Je m'en charge, dit Clint aussitôt en se levant.
– Non, reste là, j'y vais, coupa Pietro en l'obligeant à se rasseoir.
– J'ai envie de fumer, chuchota Clint bien que personne ne pouvait le comprendre mise à part les jumeaux.
– Ok, vas-y, tu veux boire quoi? demanda tout de même Pietro, alors que son oncle avait disposé quelques verre sur la table et ouvrait une bouteille.
– Borovička ??! lança t-il aussitôt.
– No tak !! Borovička! lanca le cousin des jumeaux (Allez, borovička!)
– Boroviča pre každého! ajouta leur tante. (Boroviča pour tout le monde!)
– Boroviča pour tout le monde apparemment, je viens avec toi, dit Pietro en emmenant Clint à l'extérieur de la bâtisse. »
Les garçons s'excuserent et sortirent. Les jumeaux dormiraient au domaine familial, alors que Clint avait demandé à Wanda de lui louer une chambre d'hôtel ou un truc comme ça. Il n'aimait pas cohabiter avec gens qu'il ne connaissait pas, même s'il s'agissait de la famille des jumeaux.
Clint se chargea de prendre la glacière, Pietro s'occupa de leur valise. Le sokovien allait déjà retourner vers la maison, lorsque Clint l'arrêta.
« Attend, reste avec moi, dit-il en sortant son paquet. »
Pietro acquiesça et s'assit sur sa valise.
« C'est un peu spartiate hein! Ça change du luxe du QG.
– C'est l'Est ! Chacun sa culture, tu sais, en Russie c'est pas mieux.
– De l'extérieur, ça paye pas de mine, on dirait que la maison est construite de Bric à brac.
– Il y'a plusieur maison, non?? dit Clint en regardant le domaine.
– Oui, là, on est dans la maison secondaire, la principale est derrière, c'est chez mes grand parents, ils vivent au rez de chaussée ; mon oncle Peter et ma tante Barbora vivent à l'étage avec leur fille de 13 ans.
– D'accord, ce sont les parents de ton père? demanda t-il.
– Non, de ma mère, répondit Pietro.
– D'accord, fit Clint avant de bâiller.
– Tu commences à être claqué, constata le jeune homme en se levant.
– Je suis naze, affirma Clint.
– On va t'accompagner à la maison où tu vas séjourner, mais après l'apéro, sinon ma tante va être déçue si on boit pas un coup. Ça va, t'as l'habitude avec la Russie, se moqua le jeune, alors que Clint eteignit sa cigarette.
– Ouais..., fit Clint en suivant Pietro qui entrait. »
Clint confia la glacière à Wanda. Elle l'ouvrit directement et sortit un tas de chose. Du fromage français notamment, de la charcuterie également, ainsi que des sauces inexistante en Sokovie.
Clint s'installa à côté d'elle, elle lui montra ce que sa tante avait préparé. Sur la table, il y'a avait non seulement des chips et des biscuits apéritifs connus de tous mais aussi des spécialités du pays comme du Niva, un fromage de lait de vache ressemblant au roquefort, des korbáčiky, des tresses de fromage salées et fumée ressemblant au babybel et de la klobása, un saucisson polonais. Tout le monde attendaient les garçons afin de trinquer tout ensemble.
« Na zdravie (santé), lança Radovan.
– Pre rodinu (à la famille), ajouta Pavel.
– A priatelia (et aux amis), conclut Wanda, avant de voire son verre cul sec. »
Ľudmila les réservir aussitôt. Pavel le but de suite, ainsi que Radovan et Pietro. Clint les suivit également, Wanda et Ľudmila prirent leurs temps. Clint goûta aux spécialités sokovienne. La fatigue commençait vraiment à se faire sentir, mais il ne pouvait pas s'enfuir comme ça. La famille Maximoff était accueillante et il ne pouvait pas les offenser en partant.
« Ça va? s'inquiéta Pietro encore.
– Oui, oui, ça va, le rassura Clint.
– Je suis désolé.
– De?
– Et bien .. pour l'embuscade ! lança Pietro en riant.
– C'est pas grave non plus. C'est loin cette maison? demanda tout de même Clint.
– Non, c'est à deux pas.
– Bábka!! (Mamie), cria Wanda. Dedko! (Papy!)
– Et voila mes grands parents, annonça Pietro, alors que Wanda s'engouffra dans les bras de sa grand mère. »
Clint se leva aussitôt, saluant comme il se doit les grands parents des jumeaux.
« Kto to je? (Qui est ce?) demanda justement celle-ci.
– Je to náš priateľ, Clint, (C'est notre ami, Clint), le présenta Wanda alors que Pietro embrassait ses grand parents.
– Vitajte, pán Clint. (Bienvenue monsieur Clint.), salut le grand père alors que la grand mère lui fit juste un signe de tête.
– Clint Barton, précisa Pietro, je Američan, pracujeme spolu v Amerike. (Clint Barton, il est américain, on travail ensemble en Amérique.)
– Ah! Radovan! Dajte mu napiť sa. (Ah! Radovan! Sers lui à boire.), lança le grand père.
– Bábka, príliš si mi chýbal, (Bábka, tu m'as trop manqué), annonça Wanda.
– Ach moje milé dievčatko, tiež mi veľmi chýbala. Vyzeráš veľmi ako tvoja matka, moja pekná (Oh ma petite fille chérie, tu m'as trop manqué aussi. Tu ressemble tellement à ta mère ma jolie.) déclara la grand mère. »
Wanda sourit discrètement. Elle a les larmes aux yeux. Pietro a l'air ému également, Clint regarde un instant les jumeaux, il était bien dommage qu'il ne comprenait pas le sokovien.
« Tout va bien Pietro?
– Oui... Oui... Bábka dit que Wanda ressemble à notre mère. Natalya, notre vraie maman. »
Clint posa sa main sur le genou de Pietro et le lui serra.
« Zdravie! Dedovi a babke! (Santé, a Mamie et papy !) lança Pavel.
– Dedovi a babke! Répétèrent tous en coeur, avant de boire leur troisième verre cul sec.
– Ça va aller Clint? s'inquiéta encore Pietro.
– Vous allez me tuer, je le sens, répondit-il en ricanant.
– Arrête, t'as été élevé à la russe, se moqua Pietro. »
Clint pouffa de rire.
« On va y aller, l'informa Pietro. Pavel? Môžem vziať vaše auto a ukázať Clintovi cestu? (Je peux prendre ta voiture pour montrer la route à Clint? )
– Samozrejme áno. Tu. (Biensure, oui. Tiens) »
Pietro se leva et Clint suivi, Wanda lui sourit.
« Vous y allez? demanda t-elle.
– Oui, acquiesça Clint.
– Ok, on vous appelle après, reposez-vous.
– D'acc, fit Clint
– Vysadím Clintovú u Aninho domu, informa Pietro au reste de sa famille. (Je vais aller déposer Clint chez Ana.)
–Dobre, dovidenia Clint, lança Ľudmila. (D'accord, au-revoir Clint.)
– Ahoj, lança Pavel. (Salut)
– Dovidenia pàn Clint. (Au-revoir monsieur Clint), lança Eva, la grand mère des jumeaux. »
Le grand père lui serra la main, ainsi que Radovan. Wanda lui fit juste un clin d'œil avant que les deux hommes ne sortent, Clint alluma de suite une clope.
« T'arrêtes pas de fumer. »
Clint lui lança un regard de biais .
« Tu vas t'y mettre toi aussi? »
Pietro rit puis descendit le talus.
« Je suis garé en bas, tu me suis? Il faut retraverser le pont, tourner à gauche et sera sur la droite. On est passé devant en arrivant.
– D'accord. »
Clint grimpa dans la voiture puis suivi la škoda.
Pietro ne lui avait pas mentit, il lui avait fallu 4 minutes pour arriver à destination.
La maison était située près d'un supermarché, Pietro se gara sur le parking, Clint s'était mis à côté.
« T'as de la chance, tu pourras aller acheter ton pain tous les matins, lança Pietro en ouvrant la barrière. Ahoj!! lança t-il en saluant la femme qui sortait de chez elle.
– Ahoj, lui répondit t'elle. »
La maison où logeait Clint était dans le même domaine que la demeure de Ana.
« Som Pavlov bratranec (Je suis le cousin de Pavel), se présenta Pietro.
– Dvojča, to je všetko, vy ste Pietro (Le jumeau, c'est ça, tu es Pietro), répondit la femme.
– To je všetko. (C'est ça), confirma t-il. »
Il se retourna vers l'archer.
« Volá sa Clint. Je z New Yorku ( Il s'appelle Clint. Il est vient de New York), présenta Pietro.
– New York, musí byť dezorientovaný (New York, il doit être dépaysé), lança la femme étonnée.
– Myslím, že nie až tak veľa, (Pas tellement, je crois), supposa t-il. Rusko dobre pozná (il connaît bien la Russie.)
– Dobre. Môže zaparkovať pod verandou (D'accord. Il peut se garer sous le porche, l'informa t-elle. Predvádzate ho? (Tu lui fais visiter?) ajouta t-elle ensuite.
– Dobre, ďakujem Ana. (D'accord, merci Ana.)
– Nie je začo. (Je vous en prie.)
– Allez viens, je vais te faire visiter. »
Clint suivi Pietro. Il remarqua qu'il n'avait pas enlever ses chaussures, Clint le suivi, chaussure aux pieds.
La maison était surélevée. Elle était battit au-dessus d'un porche et d'un atelier. Les hommes grimperent les escaliers. La demeure était tout en longueurs, un couloir reliait toutes les pieces.
La porte d'entrée donnait sur la porte d'une cuisine équipée. Sur la droite il y avait un salon-salle à manger. À la gauche de la cuisine il y avait l'une des deux salle de bain. Elle était équipée d'une douche, et d'une baignoire à jet.
Face à elle, il y avait une petite chambre avec un lit double peinte d'un orange très vif. Les toilettes se trouvaient tout juste après la salle de bain.
Une seconde salle de bain séparait la petite chambre orange d'une chambre plus grande équipée d'un lit double et d'un canapé lit, peinte d'un bleu clair.
La chambre du bout était celle que Clint avait choisi. Elle contenait un lit double et un lit simple. Clint déposa son sac sur le lit simple.
« T'as déjà choisi ta chambre? lança le gamin appuyé contre le battit de porte, les bras croisés.
– C'est la plus grande.
– Elle est violette surtout, se moqua gentiment le sokovien.
– Aussi oui. Le supermarché ferme à quelle heure?
– Oh, il ferme tôt ici, 18h maxi.
– D'accord.
– On se fera un resto ce soir, un vrai, je connais une pizzeria pas trop mal, à cinq minutes à pied.
– Ok.
– Bon, je vais te laisser te reposer. À toute à l'heure.
– À toutes. »
Clint soupira un instant et regarda cette chambre. Les meubles rustiques mélangés au meuble récent contrastaient dans cette chambre. Le lit double était en fait deux lits simples accolé. C'était typique dans les pays de l'est. Et cette porte de chambre vitrée lui rappelait qu'il n'était pas dans un pays si libre que ça, vis à vis de la vie privée d'autrui. Clint enleva ses chaussures, puis s'allongea sur le lit double. Il s'endormit rapidement.
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