Cette fic est écrite dans le cadre de la 148ème nuit écriture du FoF (Forum Francophone) pour le thème "Ultimatum". Le FoF est un forum regroupant tous les francophones de ffnet où l'on peut discuter, demander de l'aide ou s'amuser entre nous. Le lien se trouve dans mes favoris. Rejoignez-nous !


- James, si on se sort vivants de cette situation, rappelle-moi de te tuer pour te faire passer l'envie de tes blagues idiotes ! rugit Remus.

Malgré sa colère, sa voix était essoufflée, James pouvait sentir son épuisement sans même le regarder. Ils ne pourraient pas fuir indéfiniment, en cette veille de pleine lune, Remus était à bout de forces et il comprenait aisément qu'il lui en veuille de l'avoir attiré dans cette situation. En plus d'être la pleine lune, le lendemain était également l'anniversaire de Sirius et, malgré les réticences et protestations de Remus, James avait fini par le convaincre de l'aider à organiser une farce pour le ravir dès le lendemain matin. Peter les avait suivis et ils s'étaient retrouvés tous les trois devant le dortoir des Serpentards de leur année, déterminés à remplir celle-ci d'un ectoplasme verdâtre, gluant et surtout indestructible de façon à ce qu'ils soient tous obligés de le traverser et s'en recouvrir pour s'extirper de la salle. Cependant, l'un d'entre eux qui n'était pas encore endormi les avait entendus et avait réveillé tous les autres, obligeant les maraudeurs à fuir devant la demi-douzaine d'entre eux qui sautaient de leurs lits avec leurs baguettes en main. Ils les poursuivaient dans les couloirs des cachots et, si James et Peter arrivaient à courir assez vite pour les tenir à distance, Remus faiblissait beaucoup trop vite et James chercha rapidement une solution leur permettant d'arrêter de courir.

- Il faut qu'on se cache ! lança Peter. On ne les sèmera pas !

- Ma cape ne nous couvrira pas tous les trois, on est devenus trop grands ! protesta James.

- Alors gardez-la pour vous deux ! répondit Peter.

Il bifurqua d'un coup vers un couloir sur sa droite, se cachant du regard des Serpentards derrière eux et, quand James et Remus tournèrent également une seconde après, Peter avait disparu, remplacé par un rat terré contre un coin du mur. Bénissant intérieurement Peter, James tira la cape d'invisibilité de sa poche et attira Remus contre lui pour les recouvrir tous les deux. Le couloir était un cul de sac mais cela importait peu. Ils se tassèrent contre le coin du mur pendant que les pas des Serpentards se rapprochaient. Ils devaient garder les genoux légèrement pliés et James soutenait Remus qui semblait ne plus pouvoir tenir debout. Il était essoufflé et luttait de toutes ses forces pour que sa respiration ne soit pas sonore au point de trahir leur présence. Quelques secondes plus tard, les Serpentards s'engouffrèrent également dans le couloir et se figèrent net.

- Où ils sont passés ? demanda Avery.

- On les a pourtant bien vus tourner par là…

- Ils ont pu transplaner vous croyez ?

- Pas à l'intérieur de Poudlard, démentit Rogue.

Alors que tous les autres regardaient autour d'eux et inspectaient le grand couloir qu'ils venaient de quitter, Rogue était le seul à avoir gardé un regard suspicieux sur le mur face à eux. Sous sa forme de rat, Peter était tapi dans l'obscurité et se fondait contre le mur, il était impossible de le voir sans savoir qu'il était là. Mais le regard de Rogue continuait de balayer le couloir, à sa hauteur, et il tira sa baguette.

- Everte Statim !

Il avait jeté le sortilège plusieurs fois, dans plusieurs directions différentes, et James ne put que s'interposer entre Remus et le rayon et étouffer une plainte de douleur quand il fut projeté contre le mur derrière lui. La cape d'invisibilité tomba sous l'impact, révélant Remus qui avait tiré sa baguette et James qui se relevait péniblement en foudroyant Rogue du regard.

- Tu te doutais bien que ta cape ne fonctionnerait pas éternellement, Potter, siffla-t-il. Où es Pettigrow ?

- Pas là, répondit James. On s'est séparés.

- Ne te fous pas de nous, on vous a vus tous les trois entrer dans ce couloir !

- Il en est ressorti quand Remus et moi y sommes entrés, vous pouviez pas le voir. Il a préféré qu'on se sépare.

- Pour une fois qu'il a eu de la suite dans les idées, nota Lestrange en déclenchant un ricanement chez les Serpentards. Il aura au moins plus de chances que vous deux. Tu as une idée de ce que vous allez prendre pour le coup que vous avez essayé de faire ?

James ne répondit pas tout de suite. Il jeta un coup d'œil vers Remus qui s'efforçait de se tenir droit, sa baguette toujours brandie, malgré ses tremblements compulsifs et son teint cireux.

- Laissez Remus repartir, souffla James. C'est moi qui l'ait entraîné là-dedans.

- James ! protesta Remus d'un ton beaucoup plus faible qu'il ne l'aurait voulu.

- Tu crois franchement qu'on va t'accorder ça pour te faire plaisir ? nota Avery.

James accrocha le regard de Rogue.

- Remus est malade. Vous voulez casser la gueule de quelqu'un ? Très bien, je suis là. Vous pouvez même me garder tout le week-end si vous y tenez tant, et je doute que les profs vous le reprochent si sévèrement, la moitié d'entre eux diront que je l'ai mérité. Mais Remus est préfet, il est malade, il ne vous a jamais rien fait et personne ne vous pardonnera de l'avoir séquestré.

Face à lui, James vit que le regard de Rogue était devenu songeur et il esquissa intérieurement un soupir de soulagement. Il pouvait presque suivre les pensées de Rogue. Celui-ci était le seul à savoir que Remus était un loup-garou et donc, à avoir compris pourquoi il était dans cet état-là. La proposition de James de le garder prisonnier tout le week-end, jusqu'à ce qu'ils soient obligés de le renvoyer en cours le lundi matin, était terriblement tentante. Mais ils ne pourraient pas garder Remus, pas sans déchaîner un loup-garou dans leur salle commune – et pas sans encourir le renvoi immédiat pour ceux d'entre eux qui auraient survécu.

- Où est Black ? demanda sèchement Rogue.

- Dans son lit. On est sans lui sur ce coup-là.

- Ah oui, nota Rodolphus, Regulus m'a dit que c'était son anniversaire demain. Qu'est-ce que tu en penses Rogue, on en profite pour offrir à Black un cadeau qu'il n'oubliera pas de sitôt ?

- Oublie Sirius, je te parle de moi ! protesta James.

- Tais-toi Potter, coupa Rogue. Tu sais quoi ? Je suis prêt à accepter ta requête et laisser Lupin partir.

- Quoi ?! s'étonna Avery. Rogue tu…

D'un geste, Rogue attrapa Remus par le col de sa robe et le tira violemment vers lui, l'écartant de James en le faisant trébucher sous la surprise. Remus lâcha une exclamation surprise mais se redressa.

- James, non ! protesta Remus. Il est hors de question que tu restes seul ici ! On s'en fout de mon état, je…

- Remus, coupa James. Tu l'as dit, c'est moi qui t'ai entraîné là-dedans.

- Ne t'inquiète pas Lupin, on va quand même avoir une petite mission pour toi, ajouta Rogue qui le retenait toujours. Tiens-moi ça, ordonna-t-il à Lestrange en jetant Remus vers lui.

Lestrange le rattrapa violemment par l'épaule et le retint pendant que des cordes jaillissaient de la baguette de Rogue pour attacher les poignets de James dans son dos. Un autre coup de baguette propulsa James par terre, le faisant tomber à genoux, et Rogue se rapprocha de lui avant de lui balancer de toutes ses forces un coup de pied dans l'estomac. Remus hurla de protestation en se débattant contre Lestrange qui le retenait pendant que James tombait plié en deux, le souffle coupé, haletant et luttant pour retrouver sa respiration. Une expression de douleur s'était mêlée au défi dans ses yeux quand il releva péniblement la tête vers Rogue, mais celui-ci se détourna vers Remus.

- Comme promis on va te laisser partir. Tu vas juste te charger d'un petit message. Tu vas rentrer dans ta salle commune, réveiller Black, et lui dire que s'il n'est pas là à minuit, Potter reprend le même coup de pied toutes les trente secondes, et ce jusqu'à son arrivée.

- NON ! rugit James. Remus ne fais pas ç…

Un autre coup de pied fit taire James et Remus ferma violemment les yeux en le voyant s'effondrer à nouveau sur le sol.

- Attends deux secondes, Rogue… souffla Rosier. Qui te dit qu'il ne va pas juste aller prévenir des profs ? Il en serait parfaitement capable…

- Remus Lupin, qui irait volontairement avouer à un prof qu'il a utilisé son poste de préfet et sa connaissance des mots de passe des salles communes pour attaquer tous les élèves d'une année ? En supposant qu'il ne soit pas immédiatement renvoyé pour ça, il perdra son insigne de préfet et l'estime que tout le corps enseignant a pour lui, soit deux choses qu'il refuserait de perdre pour quoi que ce soit au monde. Pas vrai Lupin ?

Remus le foudroya du regard au travers ses yeux fiévreux. Rogue avait raison, il n'osait même pas imaginer la fureur de McGonagall, la réprobation de Mme Pomfresh qui s'inquiétait autant pour lui avant et après ses pleines-lunes, le mécontentement de Dumbledore qui avait organisé sa scolarité spécialement pour lui… Rogue se rapprocha de lui et reprit :

- Il te reste dix minutes, et dans ton état ce ne sera pas de trop pour remonter à la tour des Gryffondors. On te laisse même la cape de Potter pour t'assurer que tu ne seras pas ralenti par Peeves ou un prof. Alors tu ferais mieux de te dépêcher, et de dire à Black d'en faire autant s'il veut que son pote ait encore quelques côtes intactes quand il arrivera.

Remus croisa le regard de James qui secoua imperceptiblement la tête pour tenter de le dissuader d'en parler à Sirius. Lestrange le repoussa violemment vers la sortie des cachots et Remus s'éloigna en luttant pour tenir debout. Que faire ? Céder à leur ultimatum et leur livrer Sirius ? Être renvoyé en prévenant les professeurs qui pourraient protéger efficacement James ? Organiser une contre-attaque perdue d'avance dans son état ? Tout en marchant, il retourna dans sa tête toutes les solutions, toutes les éventualités. Il avait l'impression d'avoir avancé aussi vite qu'il avait pu mais il était minuit moins deux quand il parvint au portrait de la Grosse Dame. Il n'avait plus le temps d'y réfléchir – et était persuadé de s'être mis d'accord pour la seule solution possible dans leur situation. Il donna le reste de ses forces pour monter dans le dortoir où il s'approcha du seul lit occupé. Après une dernière hésitation, il tendit le bras pour le secouer par l'épaule.

- Sirius ? Réveille-toi, s'il te plaît…


- Tic, tac, tic, tac, chantonna Lestrange. Et… Ca fait trente secondes. Redresse-toi, Potter, tu n'as pas envie que ce coup te tombe dans la tête.

Plié en deux face aux Serpentards, les bras toujours attachés dans le dos, James suffoquait de douleur sous les coups qu'il encaissait depuis cinq minutes. Il n'avait pas trouvé la force de se redresser suite au dernier qui avait provoqué un craquement sinistre sur sa côte la plus basse et toute son énergie restante était consacrée à lutter pour retenir ses larmes sous les pics de douleur insupportables qui en partaient.

- Tant pis pour toi, reprit Lestrange en le voyant resté prostré.

Son pied recula légèrement pour prendre de l'élan mais une voix le coupa :

- ARRETE ! C'est bon, je suis là.

Ils se retournèrent d'un bond vers un Sirius habillé à la va-vite, encore plus décoiffé que James et essoufflé.

- Vous vouliez que je vienne, c'est fait, reprit Sirius. Laissez-le partir maintenant.

- Il n'a jamais été question de ça, nota Rogue. On souhaitait juste que tu viennes prendre également la correction que tu méritais. Où sont Rosier et Wilkies ? Ils devaient t'attendre devant les cachots…

- Ils ont eu peur que Remus ait tout de même prévenu des profs, ils m'ont dit où vous étiez et sont restés faire le guet, répondit Sirius. Ce n'est pas comme si j'avais eu une chance de vous avoir à six contre un.

- Et Lupin ? demanda Lestrange d'un ton soupçonneux.

- Tu crois vraiment qu'il était en état de ressortir de notre dortoir ?

Le regard de Rogue parcourut le couloir comme pour s'assurer que Sirius était véritablement seul avant de reprendre :

- Tu es réellement venu te jeter seul dans la gueule du loup ?

- Selon Remus tu semblais persuadé que je le ferai si c'était pour James ? Tu avais raison.

Contre le mur, James s'était légèrement redressé. A travers la douleur qui irradiait tout son corps, il nota quelque chose que les Serpentards ne paraissaient pas remarquer. Oui, Sirius était tout à fait capable de se mettre en danger pour lui. Mais c'était la seule chose habituelle dans son comportement. Le Sirius qu'il connaissait les aurait mitraillés de sortilèges, il aurait essayé de leur passer dessus, d'arracher James d'ici… Il ne se serait pas rendu en essayant de les convaincre qu'il n'y avait pas de coup fourré, il ne les ferait pas parler pour ne rien dire… A ce moment-là, James mit le doigt sur cette impression qu'il avait : Sirius gagnait du temps. A un moment, les Serpentards l'attaqueraient et lui ferait subir le même sort qu'à lui-même, il essayait juste de repousser cette échéance au maximum. Mais pourquoi ? Quel miracle Sirius pouvait-il encore espérer ?

- Très bien, finit par acquiescer Rogue avec un rictus. Je suis sûr que dans son état, Potter ne te reprochera pas d'avoir voulu venir prendre quelques coups à sa place. Incarcerem !

Une corde jaillit de la baguette de Rogue mais, avant de toucher Sirius, elle ricocha en l'air et tomba lamentablement par terre. Sirius éclata de son rire semblable à un aboiement de chien.

- Si c'est tout ce que tu sais faire avec une baguette, je comprends que tu te sois rabattu sur des coups de pied à la moldue…

Rogue le foudroya du regard et Sirius pensa qu'il allait lui jeter un autre maléfice mais, au dernier moment, il se détourna et un nouveau coup de pied percuta de plein fouet la côte déjà cassée de James qui lâcha un hurlement de douleur. Sirius avait poussé une exclamation d'effroi et se précipita pour s'interposer entre Rogue et lui.

- Règle ça avec moi, grogna-t-il.

- Patmol… souffla James entre ses dents.

- Ferme-là, James, répondit Sirius sans lâcher Rogue du regard.

- Avec plaisir pour régler ça avec toi, nota Rogue avec un rictus. Everte Statim !

Un rayon rouge se dirigea vers Sirius mais rebondit à nouveau en l'air et revint frapper Avery qui fut projeté quelques mètres plus loin. Malgré une lueur amusée dans son regard, Sirius ne prit cette fois pas le risque de narguer Rogue. Il était resté debout face à lui, sa baguette rangée dans sa poche. Il était impossible que Sirius ait jeté ce sort du bouclier. Rogue jeta également un œil à James avant de juger qu'il n'était définitivement pas en état de l'avoir fait non plus. Son regard se tourna vers le reste du couloir mais, avant qu'il n'ait pu faire un geste de plus, une voix forte retentit :

- Enfin qu'est-ce qui se passe ici ?

Tous les Serpentards se retournèrent avec effroi vers McGonagall et Slughorn, accompagnés d'un Remus plus pâle que jamais. Dès qu'il les vit, et alors que les Serpentards pâlissaient à vue d'œil, Sirius se détourna vers James pour le détacher.


Les potions anti-douleurs et l'épuisement de James avaient eu raison de lui et il s'était rapidement endormi après avoir bu les potions données par Mme Pomfresh. Elle avait également endormi Remus, jugeant qu'il avait besoin d'une potion de sommeil pour économiser ses forces avant la pleine lune, et Sirius et Peter, restés assis à côté d'eux à l'infirmerie, avaient donné à McGonagall les informations qu'il lui manquait. Comment la blague décidée par James pour Sirius avait viré à la catastrophe. Comment Remus avait réveillé Sirius en lui expliquant qu'il était prêt à tout raconter aux profs et risquer le renvoi mais qu'il ne pourrait pas le faire en moins d'une vingtaine de minutes, ce que James ne pourrait pas supporter. Comment Peter qui avait échappé aux Serpentards en se désillusionnant avait suivi Remus jusqu'au dortoir des Gryffondors. Comment ils avaient élaboré ce plan, Remus qui préviendrait McGonagall pour faire cesser cela pendant que Sirius, après avoir neutralisé Rosier et Wilkies qui montaient la garde, gagnerait du temps face aux Serpentards et que Peter sous la cape de James dévierait chaque sort qu'ils pourraient essayer de lui lancer. Leur directrice de maison avait longuement soupiré avant de tendre à Sirius un insigne de préfet.

- Monsieur Lupin l'a déposé sur mon bureau quand il est venu me trouver. Pourrez-vous le lui rendre à son réveil ?

- Quoi ? s'étonna Sirius. Vous… Vous n'allez vraiment pas lui retirer son insigne ou le renvoyer ?

- Pourquoi le ferais-je ? s'étonna McGonagall. Cela fait deux ans que je me suis résignée à l'idée qu'il n'oserait pas s'opposer à vos idées stupides malgré cet insigne, et je n'ai jamais envisagé de lui retirer son poste pour autant. Il a eu un comportement exemplaire en venant me trouver pour me demander d'intervenir. C'est valable pour vous aussi, Pettigrow, vous gagneriez à cesser de vous laisser embarquer par le premier coup fourré proposé par vos amis mais il m'est difficile de vous le reprocher. Quant à vous Black, une fois n'est pas coutume, il semblerait que vous soyez le seul de la bande à n'avoir aucune responsabilité dans cette histoire.

- Et James ? demanda Sirius avec appréhension. Vous n'allez pas être trop sévère ?

Le regard de la professeure se détourna vers le garçon endormi dans son lit avant de conclure :

- Il a largement été assez puni comme cela et si les conséquences de cette soirée ne servent pas à lui mettre du plomb dans la cervelle, alors je doute qu'aucune retenue ni renvoi ne puisse le faire également. Je suis obligée d'enlever 100 points à Gryffondor pour l'intrusion dans une autre salle commune que la vôtre.

Sirius pinça les lèvres. Si vraiment ils s'en tiraient avec uniquement des points en moins, alors ils pouvaient s'estimer plus qu'heureux.

- Et je vous en accorde 25 chacun pour le courage dont vous avez tous les quatre fait preuve ce soir. Potter en protégeant Lupin, Lupin pour avoir mis son insigne et sa place à Poudlard en jeu pour le protéger en retour, Black et Pettigrow pour votre intervention pour le défendre. Soyez assurés que je serais moins magnanime si une telle situation venait à se reproduire mais… Je me dois de vous préciser que Godric Gryffondor aurait été fier du courage et du pragmatisme que vous avez affiché devant un tel ultimatum.


J'avais cette idée en tête depuis tellement longtemps, je suis heureuse d'avoir finalement pu l'écrire sur un thème qui s'y prêtait aussi bien !

En espérant que ça vous ait plu également !

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