Bonjour Bonjour !
Voilà la suite !
J'étais sur une nouvelle histoire qui m'a traversé l'esprit et dont je vais bientôt posté le premier chapitre (j'en ai écris 3 entiers et le quatrième et à moitié fini !)...
J'ai aussi écrit une histoire qui me trottait dans la tête mais que je n'avais toujours pas couché sur papier, alors je l'ai également faite dans la foulée ! En quelques heures non-stop la veille d'un partiel... elle devait de base ne restait que sur la première partie, mais en l'écrivant, une deuxième partie m'est venu en tête sans mon accord alors j'ai continué et continué... XD
Enfin bref, bonne lecture ! Et je m'excuse d'avance pour les fautes ! J'avoue n'avoir pas été plus attentives que d'habitude sur les fautes... flemme ! XD
Chapitre 4 : Remise à niveau personnel / Toc Toc Toc
Euh… Woaw !
Gringott America center était au centre de la Magickal Energy Place, un équivalent du chemin de traverse anglais.
Enfin, équivalent… De beaucoup plus grande envergure ! La masure aussi blanche que la neige dominait les lieux !
… qui eux-même donnaient le tournis. Il ne s'attendait pas à ce que " la folie des grandeurs" dans le monde monde moldu américain concerne tout autant celle de leurs voisins Sorciers !
Même Gringotts était phénoménalement plus grande que tous les commerces alentour !
Quand il disait que ça donnait le tournis, ce n'est vraiment pas une plaisanterie…
Gringotts Amérique center était la banque centrale principale installée au Nebraska, à quelques kilomètres au nord du Colorado. Les autres éparpillées à travers le pays étaient des annexes pour simplifier la communication et les démarches de la banque à travers le pays.
C'est ce que disait la brochure reçue avec le rendez-vous donné par l'établissement financier. Il avait eu l'occasion de voir la taille d'une annexe en photo dessus, et celles-ci faisaient la taille de Gringotts Angleterre… il aurait dû s'y préparer.
La banque était entourée de tous les commerces attendus pour les jeunes Sorciers si besoin : librairie Aux Livres des Merveilles - de la taille de celle de Poudlard s'il osait -, l'apothicaire Potion and Co , et apparemment une chaîne de fabricants de baguettes qui s'étaient alliés à travers les états, aussi célèbre chez les Amercican qu'Ollivander en Angleterre : The Warlock's Wand,... magasins de Quidditch, astronomie, botanique, couturiers, mais également pour une promenade et de quoi se restaurer - comme le Dragon's cuisiner, ou une glace - à The Ice Taste Dynamite, connu pour ses glaces explosif en bouche…
Les rues étaient pavées de pierres couleur des sables, les murs sans magasins habillés de toutes les autres inimaginables.
Les lieux foisonnent de Sorciers - et de créatures ! - en tous genres !
Il s'agissait en même temps d'un lieu où toutes les époques se mêlaient ! On pouvait deviner d'un coup d'œil l'époque de jeunesse de beaucoup de Sorciers et Sorcières.
Pas comme le chemin de traverse aux air figés à l'apoque du Moyen-âge et leurs robes grandement démodées.
Les plus âgés étaient habillés de la même manière que dans les années 20, les plus jeunes de l'essor du rock'n'roll - entre cuir, collier de chaîne et cheveux bouclés savamment gominés -, et encore plus loin dans le temps avec les costumes, les jeans, chemise, crop top etc…
Des panneaux étaient un peu partout pour permettre de se situer dans toutes les directions de la Magickal Energy Place.
Il s'avouait sans honte que le Chemin de traverse faisait pâle figure à côté.
S'il empêchait de toutes ses forces le même air émerveillé lorsqu'il fût pour la première sur le chemin de traverse….
Tony, lui, ne s'en cachait même pas.
La bouche tombante, il observait de ses yeux grands ouverts de tous les côtés pour ne rien rater… comme s'il risquait de ne plus jamais avoir la chance de revenir un jour. Ses yeux pétillaient de la même manière qu'un enfant qui découvrait à lui tout seul un monde secret.
Il n'en croyait pas sa chance !
Dire que lui, Anthony Edward Stark, a vécu jusque là sans savoir qu'un tel monde coexiste… pour un peu il se serait senti trompé.
Cependant si déjà les fameux procès de Salem n'avait qu'un minima de fond de vérité, il ne leur en voulait pas du tout !
Alors qu'ils approchaient de la banque, il vit des gardes - gobelins ! - en uniforme, et à la vue de leur grande hallebardes et leurs mines austères, il décida de tempérer son enthousiasme.
Il ne voulait pas finir la tête instable sur les épaules et le costume taché !
ça ne faisait pas très homme d'affaires après tout.
Montant les escaliers, il s'arrêta, interpellé par un texte gravé dans une plaque d'or stylisé en forme de parchemin :
Entre ici étranger si tel est ton désir
Mais à l'appât du gain, renonce à obéir,
Car celui qui veut prendre et ne veut pas gagner,
De sa cupidité, le prix devra payer.
Si tu veux t'emparer, en ce lieu souterrain,
D'un trésor convoité qui jamais ne fut tien,
Voleur tu trouveras, en guise de richesse,
Le juste châtiment de ta folle hardiesse.
- C'est la mise en garde de Gringott contre les éventuels voleurs. Les gobelins tiennent à l'argent sous leur contrôle… lui répondit Harry, qui avait vaguement l'impression d'un remake de son entrée dans le monde sorcier.
Okayyy… d'accord.
La mise en garde était absolument charmante ! pensa Tony.
A voir maintenant si l'ambiance de la banque correspondait à la menace…
Euh… re-Wouaw !
Le hall était magnifique - ET gigantesque !
Et aveuglant de richesse aussi, fallait-il préciser.
Tapis de marbre à chaque recoin de sol, des lustres au plafond s'y reflétaient mille fois.
Des gobelins - il avait toujours du mal à y croire ! - en costume - s'il vous plaît ! - étaient répartis le long de l'allée centrale, soit la tête plongée dans des livres de comptes, soit à compter des pièces et faire des échanges de monnaies si des clients se trouvaient face à leur stand.
Franchement, se fit la remarque Tony, il suffisait d'être assez habile pour déloger et chipper les diamants, rubis, ambre, autres pierres et matériaux précieux constituants les locaux pour se faire assez d'argent. Le voleur n'a même pas à s'embêter de galérer jusqu'aux coffres pour se remplir les poches ! Pourquoi se compliquer la vie ?
Des pensées similaires traversaient l'esprit d'Harry, sauf que lui pensait que si Gringott Angleterre n'avait été un lieu qui démontrait une richesse aussi extravagante, son consort américain le battait finalement à plate couture dans le domaine ! Et toujours dans la démesure qui caractérisait le pays !
Il se rendirent à une file proche des couloirs intérieurs qui était moins remplie, et attendirent leur tour.
- Bonjour Monsieur Gobelin. Fit Tony une fois que celui-ci a fini ses derniers comptes après le passage de la dernière famille.
Harry en fit de même.
- Bonjour. répondit-il sèchement. C'est pour quoi ?
- Nous avons rendez-vous avec un dénommé Cargnok. Il s'agit de notre première fois à la banque centrale et dans le monde sorcier américain.
Pas besoin de préciser que de base, il n'avait aucun accès au monde sorcier tout court.
Il ne voulait pas se faire expulser de ce monde aussi vite après l'avoir découvert il y a si peu…
- Veuillez me suivre jusqu'à la salle d'attente.
Il se leva et sortit de son bureau d'allée pour leur montrer le chemin.
Tony s'amusa de la différence d'impression, entre le gobelin lui arrivant à la taille qu'il suivait actuellement dans le couloir à peine plus sobrement décoré que le hall, et celle qu'il donnait perché au-dessus de son bureau la mine sévère.
Arrivé à la salle d'attente il les laissa là et retourna à son poste. Ils s'installèrent et attendirent de nouveau.
Heureusement qu'ils avaient de l'avance.
Grande Première pour Tony !
Pour sa défense, sa curiosité fut celle qui lui donna la motivation.
Harry à côté était fébrile. Il avait eu du mal à sortir de chez eux - hum, de chez son hôte - de peur d'être reconnu. C'est pourquoi il portait une casquette et des lunettes de soleil aimablement offertes par son compagnon. Qui lui-même, par sécurité, avait décidé d'en mettre. On ne sait jamais.
Cette opération secrète le rendait tout guilleret.
Pour plus de sécurité, ils avaient envoyé la lettre avec un nom d'emprunt.
Harry, qui dans un sursaut de conscience s'était dit qu'il se déguiserait au cas où des affiches de recherches aurait été mise à son nom, Tony lui avait la remarque de pas signer de son nom de naissance également, et lui en donna un pour la lettre à envoyer également.
- Georges Walmar !
Harry sursauta. Heureusement personne ne le vit.
C'était à leur tour.
Il se levèrent de nouveau et suivirent le gobelins en charge de leur personne jusque dans son bureau.
Après s'être assis après lui, le rendez-vous commença :
- Bonjour, je suis Cargnok. Vous avez bien demandé rendez-vous pour une ouverture de compte, Mr Walmar ?
- Ehbien… oui… mais … enfaite y'a pas que ça… Harry ne savait pas du tout comment introduire le sujet sans se retrouver derrière les barreaux.
Le Gobelin le regarda critique, et Tony lui vint en aide :
- Ce que veut dire mon compagnon ici présent, c'est que bien que nous envisageons sérieusement d'ouvrir un compte dans votre banque - en tout cas lui en avait bien l'intention ! - il ne s'agissait pas de la raison prioritaire pour laquelle nous sommes venus. Seulement, nous ne savions pas comment le consigner par lettre, puisqu'il s'agit de notre première fois à la banque centrale et dans le monde sorcier américain.
- Pour quelles autres raisons viendrez-vous à Gringott si ce n'est pas celle de l'argent ? S'il s'agit d'un problème de règlement de papier ou d'ordre de citoyenneté, il vaut mieux vous rediriger vers le MACUSA - le Ministère de la Magie Américain.
- Nous sommes venus ici car nous voulons tout de même ouvrir un compte et que si vous ne pouvez pas répondre à nos questions vous pourrez tout de même nous indiquer les redirections qu'il faudrait. Nous n'avons pas été voir le - MACUSA ? - , comme vous dîtes, car nous avons un souci à régler qui ne nécessiterait pas l'intervention d'autorité, et nous avons crû comprendre que les Gobelins ne se souciait pas des affaires des sorciers…
Malgré l'agacement Cargnok, la curiosité se fit ressentir de plus en plus face à ses deux "clients" là aujourd'hui pour lui compliquer la vie. Sans compter le fait qu'ils étaient d'une impolitesse !
Après tout, aucun des deux n'avait encore retiré ses lunettes ou sa casquette !
- De plus, nous ne nous sommes pas rendus au MACUSA car - et là, Tony déchargea sa bombe - je viens de découvrir votre monde. Je ne suis pas sorcier. Je suis un moldu. Et le nom que l'on vous a donné n'est pas celui de nos papiers.
Le Gobelins se figea, les transperçant de son regard, il attendait la suite. Même si ses faisant face n'avait pas l'air d'être mal intentionnés ou habités d'intention belliqueuses, son bureau - comme tous ceux des locaux - étaient lourdement protégés.
Tony continua sur sa lancée :
- Je n'ai pas de pouvoir magique et j'avais bien peur que les autorités compétentes fassent le nécessaire pour garder leurs secrets - ce que je comprend bien sûr - mais qui me desservirait pour mon récent protégé - qui lui est sorcier.
Le Gobelins se détendit alors. Un peu.
Car après tout on lui avait émis le souhait que les autorités ne s'en mêlent pas… cela cache forcément quelque chose de plus grand, ou pas net, à voir.
- Quelles sont vos… réels noms, si je puis me permettre…?
- Assurez-nous d'abord que vous ne donnerez pas l'alarme dès que nous vous donnerons nos identités. Fit très sérieusement Tony. Je vous jure sur mon honneur en échange que nous ne sommes pas là dans l'intention de nuire à qui que ce soit et qu'aucun de nous deux n'est dangereux pour vous.
Le Gobelins le jaugea du regard durant presque une minute, avant de finalement se décider :
- Très bien, à la condition que je puisse envoyer un message à l'un de mes confrères pour qu'il puisse s'assurer de mon état si je ne lui donne pas de nouvelle dans les cinq prochaines minutes.
- C'est correct, accepta Tony. Après tous les mystères qu'ils font depuis le début du rendez-vous, ils pouvaient comprendre cette précaution.
Le Gobelin prit du parchemin et une plume pour écrire un mot rapide, qu'il montra aux autres pour montrer sa bonne foi, avant de l'envoyer et de se retourner vers eux.
Tony souffla avant de commencer à enlever sa casquette, puis ses lunettes, et de se présenter :
- Je m'appe-
- Anthony Stark, Coupa le Gobelin
Autant il savait comment il s'appelait, merci bien, autant ce fut une surprise que ce soit Le Gobelin qui finisse sa présentation… Comment !?
- Euh… C'est exact ! Mais comment le savez-vous !?
- Le monde sorcier Américain n'est pas aussi coupé du monde Non-Magique que celui de nos confrères Anglais - que je suppose vient votre charge sorcière au vu du terme que vous avez utilisé pour qualifier un être non doté de magie, spécifique à leur pays.
- Nous utilisons un autre nom en Amérique ? Et dans d'autres pays ?
- Celui de Non-Maj pour une personne ou un objet. Un raccourci pour Non-Magique chez nous - qui peut aussi être utilisé pour les lieux. En France il s'agira plus du terme de Sans-Magie, bien que Non-Magique sera globalement compris…
- Donc vous connaissez aussi le monde Non-Magique ?
- Bien sûr. Nous le suivons de près. Et investissons également dedans. Donc nous connaissons forcément ses inventions, ses actualités, tout comme ses grandes personnalités dont vous faites partie…
Alors là, Tony allait réellement se vexer, se dit-il.
Tout un monde - jusqu'aux créatures - dont il n'était même pas au courant, pouvait le connaître et lui n'en avait jamais eu l'opportunité de l'inverse !
Le Gobelin cependant ne perdit pas le nord et se tourna vers le plus jeune :
- Et vous ? Dois-je m'attendre à une surprise également ?
Harry, qui s'était inconsciemment détendu devant la scène, se fit de nouveau nerveux.
Mais il n'avait pas le choix.
- aha.. je ne sais pas si on peut considérer ça comme une surprise…
Et il commença à se délester de ses lunettes d'abord avant de fixer son regard vert émeraude dans celui du banquier.
Toujours dans l'expectative, celui-ci le regarda continuer en retirant sa casquette et dévoiler une tignasse qui n'avait jamais croisé de brosse de sa vie… le Gobelin eut une impression de titillement mais ne savait d'où.
- Vous me dites quelque chose… si vous auriez l'amabilité de m'éclairer…
Et là, Harry fit le paris de ne pas s'embêter de parole pour simplement soulever ses cheveux et voir si réaction il y avait. Il n'avait connu que l'Angleterre, il était curieux de savoir si sa renommée serait aussi prolifique ici également… il ne s'était jamais posé la question.
Le Gobelin leva les yeux sur son front et vit la cicatrice. Il l'observa quelques secondes l'air confus.
Tony assistait au tout se demandant si il allait à la fameuse folie des anglais dont lui avait parlé son nouveau protégé.
- Harry Potter.
Et c'est au bout de quatre secondes que la réalisation se lit sur le visage du Gobelin. Et s'entendit. Par une inspiration étranglée notamment.
Harry hésitait à se tendre encore plus à la reconnaissance du Gobelin. Sa voix ne démontrait pas de haine, ni d'accusation. Il semblait faire un constat surprenant mais sans animosité.
Y-avait-il de l'espoir ?
- Ehbien, je crois déjà savoir maintenant pourquoi vous faites autant de mystères…
- Que voulez-vous dire ? Fit Tony qui sentit plus derrière.
- Les Sorciers Anglais sont actuellement à votre recherche. Ils vous ont qualifié de criminel évadé dangereux pour notre secret.
- Ce n'est pas vrai ! Se défendit Harry.
- Comment savez-vous cela ? Répliqua en même temps Tony.
- C'est ce qu'ils disent tous. Et pour vous répondre, Mr Stark, les autres pays se sont de nouveau récemment tournés vers eux pour un événement exceptionnel remis au goût du jour l'année dernière. Donc nous sommes encore régulièrement intéressés sur ce qui s'y passe. Le dernier où nous l'ayons été autant date de presque 14 ans, et concerne votre charge… Mais ce n'est pas le sujet actuel. Vous dîtes, Monsieur Potter, que vous êtes innocent ?
- Je n'ai fait que sauver ma propre vie et celle de mon cousin moldu par magie et sans autre témoin alentour… enfin seulement une Cracmolle. Un détraqueur nous avait attaqués et j'ai dû nous défendre ! Même mon cousin moldu l'avait senti. Puis on m'a accusé de mensonge malgré les témoignages, avant de me condamner au baiser du détraqueur !
- On a voulu le condamner pour le faire taire ! Ça semble logique, du moins avec ce qu'il m'a raconté. Hocha la tête Tony.
Oui, pour Tony habitué au monde de la haute, ça ressemblait ni plus ni moins à une exécution sur la place d'un homme trop honnête pour les desideratas de politiciens.
- Comment vous êtes-vous échappé au juste ?
- Je- , Harry s'arrêta dans son élan, je ne sais pas…
- Vous ne savez pas ? Cargnok fronçant les sourcils.
- Ehbien, je ne me sentais pas bien pendant le procès… là Tony écouta attentivement, Harry avait été particulièrement vague sur cette partie, j'étais nerve- enfin c'est- c'est normal pour un procès d'être nerveux, mais je veux dire comme si- comme si y'avais beaucoup plus et depuis le début de la journée, c'était bizarre mais bien en faite…
Quelle impression il donnait à s'en mêler les pinceaux ! Le sourcil relevé du Gobelin devant ce désordre ne l'aidait pas non plus.
Il pris une grande inspiration sous leurs yeux et quelques secondes pour remettre de l'ordre dans ses idée avant de reprendre, fixant le bureau pour mieux se remémorer :
- Ce que je veux dire c'est que j'avais un mauvais pressentiment qui a commencé le jour du procès. J'avais le sentiment qu'il finirait mal quoique je puisse faire pour me défendre, que les dés étaient déjà jetés ! Et ça n'a fait qu'empirer durant tout le procès… il fit une pause.
- C'était comme un instinct de survie qui essaie de vous prévenir quand vous faites quelque chose qui va vous être mortel… une sensation d'énergie magique couvait sous ma peau comme depuis des mois - je ne saurais pas dire autrement - comme si elle s'était préparée avec le mauvais pressentiment…et au moment de la condamnation elle ne se retenait plus… j'avais eu très chaud mais ce n'était pas si désagréable et je me rappelle juste au dernier moment avant le noir d'un grand flash de lumière derrière mes paupières et d'un grand bruit sec… Je ne me suis même pas sentit m'évanouir. A mon réveil j'étais dans une chambre chez Mr Stark.
Peu à peu la voix d'Harry avait baissé de volume à la fin de son récit, et un silence réflexif avait pris place.
Le Gobelin le regardait dans les yeux, comme pour jauger sa sincérité. Et Tony lui regardait le bureau sous ses yeux, sûrement dans ses pensées.
Cargnok ayant dû juger qu'il ne se moquait pas de lui commença à lu-
TOC TOC TOC !
Tout le monde sursauta. Harry plus que les autres.
Une voix étouffée leur parvint de la porte :
- Cargnok ! Tout va bien ? Je vais entrer pour vérifier.
Le mot qu'il avait envoyé. Il n'avait pas vu le temps passé. Il regarda son horloge et vit bien que sept minutes étaient passées environ.
Les deux potentiels clients ré-installèrent leur déguisement.
- Oui je t'en prie.
La porte s'ouvrit sur un Gobelin d'un peu plus haute stature comme les gardes à l'entrée accompagné d'une hache de combat à double tranchant...
Tony commençait à s'inquiéter.
L'espèce entière était-elle simplement fana d'armes moyenâgeuse sanglante ou se préparait-elle à la guerre à tout instant !?
Le nouveau ne trouvant rien de suspect et son partenaire lui ayant confirmé sa bonne santé, il répartit.
- hum… reprenons.
Harry et Tony se reconcentrèrent sur Cargnok.
- Au vu de votre situation épineuse, je ne vais pas pouvoir intervenir moi-même sans autorités supérieures. Si vous le permettez, je souhaiterais en référer au Directeur pour que nous sachions quoi faire.
Il ajouta :
- Si vous voulez bien patienter le temps que je l'en réfère. Bien sûr je respecterais le fait que vous ne souhaitez pas la mise au courant des autorités sorcières.
Donnant leur accord, le Gobelin s'en alla aussi vite que ses petites jambes le lui permettaient chez son supérieur.
Après un silence de deux minutes Tony prit la parole:
- Bon, commença-t-il, j'ai plutôt l'impression que ça va pour l'instant… Ils ont - du moins ce Gobelin a - entendu ta version de l'histoire d'abord et n'avait pas l'air prêt à t'enfermer sur-le-champ. J'ai un bon pressentiment.
- Je sais pas… Hagrid m'avait dit de faire attention. Que les Gobelin étaient des créatures sournoises qui ne pensaient qu'à l'argent…
- Et de ce que j'ai… "vu" de lui, il m'a l'air vachement pas fiable… de plus comme tu ne t'ais jamais réellement informé sur la dynamique de ton monde, je te propose de nous faire notre propre avis en nous documentant… hum? Qu'est-ce que tu en dis ?
- Je pense que ça pourrait être une bonne idée… et que je m'en rend compte que j'aurais dû le faire plutôt, comme une amie... J'aurais dû passer plus de temps à la bibliothèque avec elle.
- On en reparlera plus tard… répondit Tony au son sec qui cognait la porte.
- C'est Cargnok. Il entra.
- Veuillez remettre vos… accessoires. Le directeur souhaiterait vous recevoir dans son bureau.
Ni une ni deux, il s'engouffrent dans les couloirs - et d'ascenseur - toujours aussi luxueux de l'établissement jusqu'au bureau du directeur.
Le Gobelin auquel ils se présentèrent était d'aussi petit de taille que les autres, et les cheveux encore plus blanc et une mine sérieuse au visage.
- Bonjour Messieurs. Je vous en prie, installez-vous. Cargnok restez.
Ils prirent place, les deux nouveau face au Directeur et Cargnok à sa droite plus en biais :
- Mon nom est Kurgock et je suis le Directeur de Gringotts Amérique. Cargnoc m'a fait part de votre situation pour le moins… épineuse. Mon employé m'a fait part du récit de votre nouvelle charge officieuse. En revanche, vous vous doutez bien qu'avant de commencer n'importe quelle démarche qui puisse aller dans vos sens, nous jugerons de meilleurs manières les évènements qui ont amené le monde sorcier britannique à vous considérez actuellement comme le fugitif le plus dangereux de leur pays.
Il fit une pause.
- Nous avons à notre disposition une salle qui nous permettra de vous interroger, sans faire intervenir le MACUSA, tout en gardant la certification de l'interrogatoire. La salle ayant été agréée par leur service de justice. Elle fonctionne sur un principe de rune incrusté aux alentours intérieur de la salle et d'un sceau de vérité apposé sur le siège de l'interrogé, activé par un enfonçure que vous aurez alimenté de votre sang, qui vous empêchera de mentir.
- A l'extérieur de la salle, nous poserons les questions qui vous désiculperont - si vous êtes bien innocent - et garderont l'authentification de l'interrogatoire - une copie scellé sera envoyé dans les archives du MACUSA - dans le cas où vous la demanderez dans le but par exemple d'une demande d'un procès sorcier officiel…
- Avez-vous des questions ?
Harry et Tony se jaugent du regard. Tony n'avait aucune objection de procéder tel quel mais il comprit qu'Harry voulait faire une remarque.
- Tu as des questions ? Tony posa la question au cas où. L'enfant devait donner son avis dessus.
Harry, surpris qu'on lui demande son avis, sourit un peu plus détendu et fit part de ce qui le dérangeait.
- Vous avez dit alimenté par le sang… mais c'est pas de la magie noire... ? C'est mal… normalement ? Sa voix se fit plus hésitante sur la fin. Du moins, il ne pensait pas qu'une institution puisse avoir recours à des méthodes illégales, même pour l'aider.
A la question, Tony se retourna vers les Gobelins. C'est vrai que même sans savoir que le monde magique existe, la magie noire avait une connotation négative dans le sien…
Les Gobelins le fixèrent pas moins de quelques secondes avant de répondre :
- Monsieur Potter, vous apprendrez, si nous démontrons votre innocence, que la magie n'a pas… de '' couleur''. Seules les intentions comptent. Nous sommes très loin des préjugés en masse que déversent sur son peuple le Ministère Magique Anglais. Et si vous avez peur de la légalité, vous pourrez le voir par vous-même, en vous documentant sur le sujet après notre interrogatoire. Mais gardez en tête que la méthode a été agréée par le Ministère Américain.
Il patienta quelques secondes.
- Autre chose ?
- Oui, j'ai une autre question qui me vient finalement. Rétorqua Tony.
- Allez-y.
- Je viens de me rendre compte, puisqu'il s'agit d'un citoyen Anglais entré illégalement - car ni de manière officielle magique ni Non-Magique comme vous dîtes - sur le territoire, est-ce que le compte-rendu aura de la valeur ? A-t-on besoin d'officialiser son entrée ?
- Le compte-rendu gardera sa valeur juridique. Après, un accident magique est toujours à la compréhension des instances supérieures et un enfant ne peut être jugé là-dessus. De plus, si vous souhaitez toujours l'adopter officiellement par la suite, cela ajoutera du poids à la démarche, puisqu'il deviendra officiellement Américain. Sur le même principe, l'autorisation de séjour sur le territoire n'aurait plus vraiment de sens…
- Avez-vous encore d'autres questions ?
Il se regardaient de nouveau, ne voyant cette fois-ci aucun refus l'un comme chez l'autre Tony répondit alors :
- Ce sera tout pour l'instant.
- Bien. Veuillez me suivre alors. Nous allons au lieu dédié.
Cette fois-là, ils n'eurent pas à admirer les riches décorations des couloirs, mais suivirent le directeur- Kurgock jusqu'à une porte au fond de son bureau. Sûrement devait-elle amener à la salle…
Et non. Surprise ! Il s'agissait d'un ascenseur.
Mais où monterait-il ?! Tony avait bien vu par la fenêtre qu'il devait se retrouver au dernier étage de bâtiment monumental.
Ah non. Finalement, ils descendirent. Et descendait. Et descendaient… Et jusqu'où allait-il !?
Il ne se rappelait pas qu'à l'aller ils avaient pris autant de temps. La banque avait-elle des souterrains ? Car, s'il se fiait à ses calculs, ils avaient déjà dépassé le niveau du sol.
Au bout d'une minute de plus - "enfin"! parce que depuis une minute, toujours selon ses calculs ils devaient s'être encastré dans le sol depuis ! - il s'arrêta et les portes s'ouvrirent.
On peut dire qu'ils ne s'attendaient pas à ça !
Alors qu'on les avait habitué à des corridors qui rivalisent de richesse, là maintenant ils se retrouvaient face à des couloirs taillés grossièrement dans la pierre, beaucoup plus sombre ambiance…
- Sommes nous dans des souterrains ? C'est là que que sont vos coffres ?
- Effectivement. Gringotts est construite sur un principe de galeries souterraines qui se prolongent à des kilomètres sous la surface. À l'image de notre hiérarchie, plus nous descendons et plus nous avons à faire à une personne de haut rang, plus le chiffre des coffres descendent et plus vous avez affaire à une famille de grandes importance dans la société sorcière.
- Plus vous descendez, mieux vos coffres sont protégés. Bien que Gringotts garantisse la sécurité de tous ses coffres sans problèmes. Les familles de Sang-Pur ont quasiment toutes leurs coffres au plus profond des souterrains. Certains dépendent également de la vitesse à laquelle également de la vitesse de renommée d'une personne ou encore qu'une famille passe le stade de Noble famille à Noble et Très Ancienne Famille… et aujourd'hui un homme d'affaires assez riches pour se positionner sur un statut de noble famille - seulement sur le plan financier évidemment - se voit offrir une place un peu plus basses toujours selon les pourcentages, que le reste de la population.
- Les affaires sont les affaires, huh ? souligna Tony, l'évidence même.
- Bien sûr !
Tout en faisant le chemin, Kurgock et Cargnok expliquaient tour à tour ce qu'ils avaient à savoir. Autant Tony que Harry buvaient les paroles du Gobelin. C'était pour l'un comme pour l'autre des informations nouvelles. Mais Tony s'arrêta sur le fait tout de même :
- Excusez-moi, Monsieur Kurgock c'est ça ? Alors, autant vous m'en voyez ravi d'apprendre ce genre d'information étant nouveau dans ce monde et très curieux de nature, autant je suis surpris du partage de ces informations qui - de ce que je comprend - ont l'air importantes à un Non-Maj et un supposé fugitif… comment ça se fait ?
Le Gobelin lui répondit simplement, après avoir pris s'être retournés quelques secondes :
- Vous avez l'air prêt à accepter de prendre une charge sorcière avec vous, qui, pour l'instant, agit de manière honnête ce qui joue en son sens, et les informations que je vous donne sont globalement le classique des informations connus par la population sorcière. De plus, si Mr Potter ici présent se retrouve réellement coupable de ce qu'il se défend, il sera simple de vous effacer la mémoire pour que vous retourniez tranquillement à votre routine sans jamais vous rappeler de ces derniers jours…
- Ah. D'accord. Effectivement, je comprends mieux votre confiance.
Il ne connaissait jamais ses limites. Tony regretta d'avoir posé la question.
Savoir qu'il pouvait se faire zapper tout un monde nouveau du cerveau sans le savoir et se réveiller dans son lit de manière tout à fait anodine… il se sentit un poil plus petit quand même…
Pour couronner le tout les deux gobelins - comme s'ils lisaient dans les pensées - s'étaient retourné vers eux un sourire tout en dents d'acier, l'air de beaucoup apprécier la situation… leurs sourires lui donnaient des impressions de proie facile.
Il frissonna.
Les trois prochaines minutes continuèrent dans un silence religieux.
- Nous sommes arrivés.
Toc ! Toc ! Toc !
Alors qu'au 4 Privet Drive, Pétunia et Dudley Dursley se redressèrent, sur leurs garde, Vernon Dursley, lui, ignora consciemment la porte qu'il entendit toquer avec un petit brouhaha et continua tranquillement de se baffrer et boire comme s'il n'y avait plus de lendemain.
Il avait eu suffisamment d'anormaux ces dernières semaines venant lui demander des comptes auprès de l'absence du monstre !
Comme s'il en avait à faire quoi que ce soit de sa disparition. Et en plein procès en plus ! Ils étaient surpris et inquiets de son absence à la demeure… alors que lui était au contraire bien heureux qu'il n'est pas eu l'idée saugrenue de trouver refuge au Privet Drive !
Il ne polluait plus les lieux par sa présence toxique, et c'était tant mieux !
Déjà que leur pauvre Dudley avait dû supporter ces détra-chose… tout ça à cause de l'existence de cet indésirable ! C'était une chance qu'il se soit remis pour la rentrée !
Il ne manquerait plus que leur si bon fils soit impacté dans sa vie scolaire à cause des anormaux !
Toc toc toc !
D'ailleurs, si le corniaud était revenu, il lui aurait fait savoir sa manière de penser au canular téléphonique qui lui a permis de s'échapper, histoire qu'il comprenne qu'il n'a que très peu apprécié cette fuite de mauvais goût !
Qu'il cherche ou non qu'il soit coupable n'avait pas d'importance, c'était forcément sa faute !
Et il ne parle même pas des paiements stoppés pour supporter sa présence dans leur honorable famille !
Ce vieux fou avait dit que les versements reprendraient bientôt ! Il n'attendait que ça !
Il avait déjà assez de problèmes en ce moment !
Un inconnu, sortit de nulle part, lui avait volé son entreprise ! Il ne lui restait plus RIEN…
Il sentait bien qu'on se moquait de lui à l'entreprise… Sa femme n'était toujours pas au courant, ni son fils… il ne pouvait même plus se défouler sur l'Autre. Parce que c'était forcément SA faute. Il attirait depuis toujours le malheur sur sa famille normale et parfaite.
Et le pompon… Plus d'allocations !
Sans elles, il risquait de ne plus maintenir les apparences sur sa prochaine ruine…
C'était une catastrophe !
Et tout ça toujours à cause de cet tare de- de- d- il ne pouvait se résoudre à dire sa filiation !
Des anormaux ! Tous !
Il était sûr qu'IL était la cause de tous ses malheurs.
Toc Toc Toc !
Des voix se firent entendre plus fortes que précédemment.
Le maître de maison calme, de façade seulement, eut définitivement la moutarde qui commença à lui monter au nez. Il décida finalement d'aller au front avec ces anormaux, et dit à Pétunia et Dudley qu'il se débarrassera d'eux fissa avant de retourner à table. Il prit tout son temps pour rejoindre la porte.
Grossière erreur.
TOC TOC TOC !
- Mr Dursley! Nous savons que vous êtes là ! Ouvrez cette porte ! Il s'agit du dernier avertissement !
Cependant, Vernon était encore trop loin pour entendre les paroles trop sérieuses des représentants de l'autorité devant sa porte… et très loin de même se douter de leurs présences.
Alors qu'il traversait le salon, il entendit un grand BOOM qui le surprit, venant de l'entrée, et entama tout de suite plus rapidement sa marche dans le couloir.
Il fût furieux, – et c'est peu dire, comme l'atteste le soupçon d'une teinte violacé au cou –, quand arrivé dans le couloir, il vit sa porte d'entrée explosée au sol accompagné d'une fumée assez opaque pour l'empêcher de distinguer les visages de ceux qui avaient osés entrer par effraction chez lui !
Et alors qu'il s'approcha en furie de l'entrée, il se figea dans son élan.
Ce qu'il avait devant lui n'était pas des anormaux qui ont dû dans leur folie, rameuter toute l'attention du voisinage…
Non, c'était bien pire, et ils savaient que leur réputation en pâtira de manière beaucoup plus drastique.
Ils n'avaient pas devant lui des anormaux, mais des membres des forces de l'ordre dont l'uniforme est bien reconnaissable !
Qu'est-ce qu'il se passe ?!
Voilà la question que se posaient les trois Dursley, après que Pétunia et Dudley ont rejoint le patriarche après la surprise du grand bruit !
- Messieurs que puis-je pou…
Cependant, le policier face à lui ne lui laissa pas le loisir de terminer sa phrase :
- Vous êtes bien Vernon Gerard* Dursley résidant au 4, Privet Drive ?
- Oui, c'est exact. Mais qu'…
- Mr Dursley vous êtes en état d'arrestation pour actes de négligence, maltraitance, violence et torture sur enfant, pour manquement à la fonction de tuteur, mise en danger de mineur, non-assistance à la personne en danger - à l'encontre de votre neveu, ainsi que pour corruption. Vous avez le droit de garder le silence et tout ce que vous diriez ou feriez pourra être retenu contre vous. Les détails des charges retenues contre vous vous seront communiqués plus tard au poste.
Et sous les yeux déjà éberlués de sa femme et son fils pour l'arrestation, Vernon se mit à se débattre comme un beau diable contre les policiers, qui durent se mettre à six pour lui passer les menottes !
Néanmoins, sa masse corporelle étant plus due à une alimentation beaucoup trop riche en gras qu'en protéine, il se fit rapidement maîtrisé et menotté avant d'être embarqué de force, sous ses hurlements décriant sa culpabilité et les mensonges du garnement en question.
- Vous êtes bien Pétunia Rose Evans Dursley et Dudley Vernon Dursley ?
- Oui, répondit d'une Pétunia voix tremblante.
Elle avait l'air à deux doigts de la syncope.
- Madame Dursley vous êtes également en état d'arrestation pour complicité que actes de négligence, maltraitance sur enfant, pour manquement à la fonction de tuteur, mise en danger de mineur, non-assistance à la personne en danger, ainsi que pour corruption.
Et il lui passa les menottes à son tour... elle n'essaya même pas de se débattre. Toujours sous le choque. Espérant une plaisanterie, cet enfant ingrat n'aurait pas osé tout de même...
Ils s'étaient toujours assuré qu'il ne dise - ne pense à dénoncer ! - jamais quoique ce soit !
- Dudley Dursley, vous êtes également en état d'arrestation pour complicité de maltraitance, violence et torture sur enfant, pour coups et blessures, mise en danger d'autrui, non-assistance à la personne en danger, ainsi que pour corruption.
Et le même policier que pour Vernon leur asséna, sans faire cas du quasi-évanouissement de Pétunia :
- Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz ou ferez sera retenu contre vous. Les détails des charges à votre encontre vous seront communiqués plus tard au poste.
Il le menotta lui aussi, toujours sérieux et au maximum neutre… après tout il avait vu le dossier sur lequel ils allaient être jugés, et contre qui devoir se défendre… et ce ne sera pas du jolie-jolie à voir.
Dudley, pour une fois, ne fit pas des siennes.
Peut-être a-t-il compris qu'il ne pourra s'échapper aussi facilement des filets de la justice cette fois-ci…
Ou plutôt que voir son père se faire maîtriser lui as fait comprendre qu'il était dans une très grande mouise cette fois-ci, car son père ne pourra pas le sortir de là par ses habituels pot-de-vin.
Quoi qu'il en soit, la famille Dursley se fit conduire aux voitures pour le trajet et…
Horreur !
Toute à sa précédente stupeur, Pétunia se rendit enfin compte en sortant du lieu protégé qu'était sa maison, que tout le voisinage devait forcément avoir vu – et entendu ! – les altercations.
Nul doute qu'ils avaient dû suivre l'arrestation de près !
C'est, plus blanche qu'un linge, et le sentiment d'ennuis aussi grand à venir que sa réputation définitivement détruite, que Pétunia monta dans la voiture de police.
Ne se doutant pas qu'un autre quartier assista à la même scène, sur un autre membre Dursley, tout aussi condamné…
*J'avais pas d'idée XD
Voilà !
Alors qu'est-ce que vous en avez pensez ?
Bien ? Super ? Pas foufou ? Hors-sujet peut-être ... ?
Reviews accepté !
A la prochaine !
