En voilà un ramené à de bien meilleurs sentiments XD
Chapitre 382 : Blackheart
S'il en est un qui n'a absolument digéré que Floyd se dresse ainsi sur sa route, c'est bien Jade.
Rook le désigne généralement comme Mr Mastermind ou Monsieur Prémédité. Autant dire que chez Jade, la vengeance est un plat qui se déguste froid.
La force de Jade est qu'il est impossible de débusquer ses pensées. Il peut très bien souhaiter vous planter tout en vous souriant de toutes ses dents et en ayant des termes aimables à votre égard. Voilà la véritable force de frappe de Jade.
Plan d'attaque : dans un premier temps, me rendre dingue. Oui. Dingue. Dingue de lui. Pour clore le bec de Floyd. Et lui prouver que non, il n'est pas un second choix !
Alors je peux le regarder. Le regarder de tous mes yeux. Mais surtout, surtout, ne pas le toucher. Cela m'est défendu. Et pour esquiver, il invoque une excuse qui ne suinte ni l'honnêteté ni la franchise : "Je ne peux pas, désolé, Sugar Cake. Floyd, tu comprends ?..."
Et lorsque j'insiste, il trouve la parade pour se dérober.
Jade sait se rendre attirant sans en faire des caisses. Il sait susciter le désir. Et en jouer.
Mais les choses ne se déroulèrent pas totalement selon le plan de Jade !...
Nous regagnons le Lounge, Floyd et moi. Aussitôt la porte franchie, Floyd bondit sur moi pour me mettre à l'abri au sol et nous éviter d'être pulvérisés par un rayon magique émanant du stylet de Jade lui-même.
"GAFFE !" amortissant notre chute du bras. "PUNAISE !" notant les dégâts.
Un rire dément s'élève - comparable à celui usité par Floyd lorsqu'il s'apprête à commettre un méfait. "Voilà ce que j'appelle un accueil chaleureux !..."
Floyd et moi nous nous regardons, complètement paumés. Cette voix... la tonalité chaude et veloutée qui l'habite d'ordinaire s'est évaporée pour faire place à quelque chose de plus aigu.
Nous rampons derrière un canapé.
"J'espère que vous vous amusez bien !..." lance la voix.
Fort heureusement Floyd possède également son stylet avec lui.
"Jade ! Déconne pas !... J'voudrai pas te faire du mal, tu sais !..." lance Floyd.
"Du mal ? Hahahaha ! Floyd... c'est toi qui vas morfler !..."
Il nous donne véritablement la chasse d'un canapé à l'autre, follement amusé de nous voir ramper d'un mobilier à l'autre.
"Allons... c'est juste un petit moment à passer !... Le temps d'être changés en néant !..."
Il s'éclate, le bougre !...
Son rire nous fait dresser les poils de tous nos pores.
Jamais je n'aurai pu imaginer que Jade soit du même bois que sa moitié !... Et pourtant, quelle raclure lorsque son distingué masque tombe !...
"Punaise, j'ai même pas le temps d'appeler le boss à la rescousse !... On va quand même pas crever lamentablement maintenant !..."
"Et pourquoi pas ?" s'extasie Jade, nous attaquant sans relâche, pulvérisant le mobilier luxueux du Lounge.
"Jade ! Bordel qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?"
"Sors de là, si tu veux le savoir, mon cher Floyd !..." chargeant à nouveau. "AAAARGH !"
Le boss vient d'intervenir, paralysant Jade d'une magie plus puissante que la sienne, le sonnant.
Le regard d'Ashengrotto parcourt la salle au mobilier dévasté, secouant la tête, poings sur les hanches.
Jade revient enfin à lui. "Que... s'est-il pass... ?"
Floyd l'empoigne, le menaçant d'un poing. "T'as failli avoir not' peau, enfoiré !"
Jade cligne.
"Floyd. Enough." lui ordonne le boss. "Jade n'était plus lui-même." se dirigeant derrière le comptoir, inspectant un verre d'eau minérale posé là. "Je vais faire analyser cette eau. Ne consommez que des bouteilles encapsulées d'ici là."
Contaminé. Par un sort puissant. La combinaison ultime de deux magies ; l'une étudiée et bercé dans le poison, l'autre plus sauvage et ancienne.
Je pose la main sur l'épaule de Jade. "Hey..."
Il a la tête basse, s'en voulant énormément d'avoir été ainsi manipulé.
"Tu sais que tu es plus effrayant que Floyd lorsque tu te déchaînes ?..."
"Tu... n'étais pas censé voir cela, Sugar Cake."
"Maintenant je sais ce que cache le masque que tu portes, Jade... et c'est..." approchant la bouche de son oreille percée. "... aussi redoutable que sexy. La même, infecte raclure que Floyd." entortillant sa mèche sombre autour de l'index. "Derrière le sourire étudié... Par Hadès, quel monstre..."
Bref sourire. "J'espère que tu sauras tenir ta langue à ce propos, Sugar Cake. Voilà quelque chose qui se doit de demeurer entre les murs d'Octavinelle."
"Si tu souhaites que cela reste entre nous, tu as intérêt à me nourrir, Jade Leech..." faisant cheminer ma paume sur sa cuisse, appétit aiguisé.
"Tu... uh... me fais chanter ? Moi ?..."
"Hmm mmm."
"Tu sais pourtant que je ne cède pas aisément à ce type de manœuvre et que cela risque fort de se retourner contre toi."
Mon index s'égare du côté de son cou. Il en frémit des pieds à la tête, éveillé lui aussi.
"Sugar Cake..." attrapant ma main pour en embrasser le dos. "Ma démone..." sur un sourire allumé.
Fleurs et pralinés. Tu me gâtes, Jade !...
Je l'invite à entrer et il dépose sa veste avant de prendre place au salon tandis que j'arrange les fleurs dans un vase.
"Tu as revu Trey entre temps ?..."
Petit rire qui me vient du salon. "Toujours sur cette histoire ?..."
"J'avoue."
"Je ne comprends pas ce qui te fascine autant dans notre relation."
"Je te l'ai déjà dit..." réapparaissant dans le salon, épaule contre l'huisserie de porte. "... je n'arrive pas à vous imaginer."
"Oh. Et tu comptes sur moi pour te fournir un schéma détaillé ? Je pensais avoir été convié pour marchander ton silence à propos des événements de la semaine passée."
"Tu peux bien me lâcher quelques informations en cours de route, non ?"
"Ah. Cela se fera uniquement si tu sais bien négocier les virages, Sugar Cake."
"Tu me mets au défi, Jade Leech ?"
Petit regard entendu. "En tout cas, ce n'est pas en demeurant agrafée à cette porte que tu parviendras à tes fins." d'une voix presque blanche.
"Tu me défies vraiment, ma parole !..." m'approchant.
"Je peux être un parfait salaud dont tu n'as pas même idée, Sugar Cake."
La révélation l'érige davantage qu'il ne l'est depuis qu'il a franchi la porte.
Il ouvre les jambes pour m'y accueillir tandis que je m'y place, debout. Décollant son dos du canapé, il fait grimper ses mains gantées le long de mes hanches.
Le désir le cheville littéralement, le faisant durement palpiter contre le tissu tendu.
Je glisse les mains le long de son visage. "Traite-moi de la même façon dont tu le fais avec Trey."
"Oya oya, Sugar Cake. Voilà qui est bien plus ambitieux que ta demande de te traiter comme cette chienne de Mirza." exerçant une pression pour me faire basculer sur le canapé, me livrant à sa merci. Il chemine le long de mes cuisses, des paumes et de la bouche, laissant sa langue se livrer à des attouchements pleins.
Il finit par se hisser sur moi, passant ses doigts toujours gantés entre les miens. "Si tu souhaites vraiment jouer le rôle de Trey, permets-moi de te signaler qu'il te manque... un accessoire." sur un sourire pour le moins carnassier. "Avec lequel j'apprécie beaucoup m'amuser."
Il n'a presque rien lâché. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir tenté de lui arracher la confession. Il quitte l'appartement avec ce petit sourire.
"Finalement, Sugar Cake, le rôle de la fille de joie te convient mieux que celui de l'amant régulier." faisant référence à Trey.
Il n'y a pas... Jade Leech demeure un beau morceau doublé d'un magnifique salaud !...
Undy agite les doigts sur la fournée de cookies aux formes pour le moins dignes d'un ossuaire, servis encore tièdes dans cette assiette.
Ses manières me font rire. Il a toujours été excentrique.
"My Lady ?" au sujet de mon hilarité couvée.
"Non, rien. Surtout... ne change jamais, Undy."
"Oh, ce n'est que cela !..." se servant, savourant ce craquant sous la dent, arrosant le tout de thé aux notes florales. "Oh, la fois dernière, une odeur connue a capté mon odorat en passant devant un fleuriste !... Vous savez, ces plantes carnivores qui dégagent une forte odeur de... corps en putréfaction ?" dernier terme prononcé avec un certain délice.
Caroline rit. "J'adore les plantes carnivores !"
"Tu as toujours une histoire pour nous régaler, Undy." dis-je, rinçant ma gorge de thé.
"Toujours, my Lady."
"Le printemps arrivé, je suppose que tu vas migrer dans la chambre du bas de l'arrière-boutique ?"
"Bien sûr, il s'agit d'une transhumance à laquelle je ne déroge pas."
Comme ces moments me semblent loin...
"Il s'est passé tant de choses..." nostalgique de cette période.
"Des choses qui paraissent un obstacle que si nous les laissons se placer entre nous, my Lady."
"Je ne mérite pas tant d'égards, Undy."
Il caresse ma joue d'un revers doux. "Tu mérites tout mon égard. C'est un fait qu'aucun diable ne pourra jamais venir changer."
Caroline nous observe, regard allant de l'un à l'autre. "Vous allez m'arracher des larmes !..."
"Cela doit te paraître bien désuet pour ton jeune âge, ma brave Caro line."
"Ah non, non. Je rêve d'un homme aimant comme vous savez l'être, patron." plongeant le nez dans sa tasse.
"Eh bien, puisse-t-il un jour passer la porte de notre humble boutique. En tant que visiteur, cela va de soi !... Evitons-lui l'entrée des artistes."
L'oreiller et l'édredon fin sont faits de plumes de duvet. Douillet à souhait !...
Je tapote l'oreiller avant de me glisser dans le lit sur un soupir délecté.
Il arrive, chemise de nuit claire enfilée, lui tombant jusqu'aux genoux - il a définitivement conservé le goût pour les vêtements victoriens.
Il se coule à son tour dans le lit avec le même soupir.
Je viens lentement le coller à lui.
"Mmm... comme la sensation m'avait manqué..." sur un souffle.
"Pardon, Unnie."
"Tu n'y es pour rien, my Lady. Tu es ainsi faite : tu vas là où ton cœur te pousse."
"Quand même..." fourrant mon nez dans son cou pour le humer.
Il enroule le bras autour de moi. "Shh. Pas maintenant. Laisse-nous profiter de ce moment."
Nous ne ferons rien cette nuit, savourant la proximité retrouvée.
Je me sens incroyablement détendue en présence d'Undy. Tout simplement parce que... je n'ai rien à lui prouver. Son amour demeure inconditionnel et pur.
Lune trépigne.
"Euh... tu dois faire pipi, Lune ?"
"Hahaha, très drôle, Lévichoute !..." prenant le thé en terrasse.
"Ah ?"
"J'ai juste une grande nouvelle à t'annoncer !..." trépignant davantage.
"Vraiment ?" surprise.
"Regarde !..." me tendant la main, magnifique anneau fin au doigt. "Alone m'a demandé en mariage !..."
J'admire la finesse de la bague avec le sourire. "Ah ben il était temps qu'il se décide !..." taquine.
"Pfff !"
"Je suis très contente pour toi, Lune."
"T'es invitée, hein ! Avec le cavalier de ton choix."
"Ce sera probablement Undy."
"Ça ne me dérange pas. Euh... ça veut dire que t'es avec lui, là ? Nan parce que j'arrive plus à suivre..."
Je ris. "Oui, actuellement c'est lui."
"Bah et Sebastian laisse faire ?"
"Il n'a pas le choix. Et de toute manière ça a grave frité entre nous. Chacun campe sur ses positions. Relation au point mort."
"Ah ?"
Soupir. "Nous possédons de forts caractères."
"Donc t'es retournée te fourrer dans les bras de Papy ?"
J'éclate de rire. "Lune, enfin !..."
"Ouais, ouais, d'accord il est encore en forme pour son âge !..." pouffant.
Je joue avec Patou dans le parc lorsqu'une silhouette, enveloppée de noir, se présente à la grille, accrochant un gant blanc au montant, le laissant glisser le long d'une barre qui compose ladite grille. Son regard me cible. Les souvenirs s'agitent et se bousculent.
Je cesse mes jeux avec Patou et l'attache avant de m'approcher lentement, un pas après l'autre, m'arrêtant à quelques centimètres de la grille.
Mes pupilles se dilatent tant ce que j'y vois de l'autre côté me plaît, la tension niche entre mes reins, faisant palpiter mon sexe telle une carnivore sauvage.
Cette grille, je sais qu'il serait capable de la renverser d'une simple pression de la main. Il s'obstine pourtant à la faire demeurer entre nous.
Tout son corps m'appelle.
Je glisse les doigts à mon tour sur la traverse et il vient les effleurer, rapprochant le visage de la grille dont l'espacement des montants permet le passage.
Nous sommes attirés l'un par l'autre tels des aimants.
Le baiser suit. Un peu maladroit, fait d'hésitations et de doutes mais que la puissance du désir qui circule entre nos deux corps a tôt fait de rectifier, le rendant débordant, laissant nos geignements naître.
Quelqu'un passerait par là ; scandale assuré !...
Un butler d'une maison aussi digne et prestigieux que la maison Phantomhive n'a pas à se comporter ainsi !...
Mais Sebastian demeure incapable de réfréner cette pulsion qui fait battre son pouls toujours plus fort, toujours plus vite.
Nous nous séparons bien malgré nous, haletants.
Je finis par rire. Lui aussi. Un peu.
"Vous mettez ma réputation à mal, Mademoiselle."
"Je te dirai bien que j'en suis désolée..."
Il consulte sa montre-gousset. "J'ai rendez-vous avec l'un de vos palefrenier. Mon maître souhaite faire l'acquisition de plusieurs de vos exceptionnelles juments."
Justement, lorsqu'on parle du loup. Voilà que l'intéressé s'avance vers nous, clé en main.
Je me déporte sur le côté, désir sauvage chevillé au corps.
"Montre-lui nos meilleures montures, Madden."
"Bien, Mademoiselle."
Petit sourire à Sebastian. Retour.
Je peine à tenir, marchant de long en large dans ma chambre, encore vêtue.
Qu'attend-t-il ?... Ou me suis-je fais des idées ?...
Aurait-il été retenu ?...
Mon cœur s'affole, corps au bord de l'implosion.
Soudain une ombre se pose sur le rebord, souple comme un félin.
J'ouvre.
Il me couve de son regard carmin.
Je m'écarte.
Il s'invite, refermant derrière lui, offrant cette silhouette ô combien désirable à ma vue.
"Je... te pensais retenu..."
"Je pense qu'aucune force au monde n'aurait pu me retenir une seconde de plus au manoir."
Je me pose contre le bureau, ventre dans un chamboulement monstrueux, traversé de spasmes délicieux comme un haut voltage voluptueux.
"Une seconde de plus et je..." sur un petit rire.
"Oui ? Qu'alliez-vous faire ?..." sur un sourire explicitant le contenu.
Je m'avance vers lui, collant mon corps au sien, doigts caressant sa nuque dégagée. "Engager la première manche. Mais... quel dommage..." le dévorant de tous mes yeux, sourire incapable de se dissiper.
"Quel dommage, en effet." attrapant mon visage entre ses mains pour reprendre le baiser effréné de ce matin même, avec l'exacte même intensité qui tend nos corps jusqu'au point de rupture.
Je ne suis plus que spasmes et palpitations. Tout mon corps ne veut plus qu'un seul être et c'est lui.
Je crache au visage d'Undy. Je m'en voudrai plus tard...
Nos baisers enfiévrés nous conduisent jusqu'au lit, nous défaisant à mesure, dans des halètements incontrôlés, l'urgence nous faisant oublier la délicatesse.
J'abaisse sa veste des deux mains, il la jette sur le fauteuil, s'attaquant à mon corsage sans aucune patience, riant de nous, de lui.
Ses cheveux sombres basculés sur l'avant, Mr Butler a perdu toute sa belle distinction qui le caractérise d'ordinaire. Et... mon Dieu !... Que penser du renflement terriblement éloquent qui tend son pantalon ?...
Nous n'avons pas même la force de nous dévêtir totalement tant nos sexes exigent d'être réunis sur-le-champ ; lui tenaillé par le besoin de pénétrer, moi par celui, urgent, d'être remplie.
Sur le lit, nous bataillons pour retirer l'essentiel et il me prend, mon dos contre son torse, lovés sur le flanc, jambes ouvertes, lui basculant rudement derrière moi, doigts fichés dans ma cuisse, faisant grogner à mon oreille des expressions de pure extase, sexe travaillant durement en moi, nous vouant à des délices criés s'ils ne venaient pas se coincer dans nos gorges. Sebastian bascule de la tête en arrière, laissant passer un rauque vibrant au moment où il rend les armes, m'entraînant dans son sillage.
Nous nous sourions, mon menton reposant sur son torse nu, ses doigts égarés dans mes cheveux.
"Vous me consumez... et j'en redemande..."
"Je voudrai te dire que j'en suis désolée... mais ce n'est pas le cas." caressant et m'amusant avec le bouton pale de son sein opposé.
"Vous êtes... à la fois sulfureuse... et dangereuse." régalé.
J'attrape sa jolie pomme entre les dents avant de léchoter la place, me hissant jusqu'à son visage.
"Rien ne t'obligerait, au vu de ta puissance, de te soumettre à quiconque, démon. Alors pourquoi t'encombrer d'un maître ?..."
Petit rire. "C'est ainsi que nous fonctionnons. Préparer l'âme en vue de sa... dégustation passe fatalement par le pacte et la promesse de nous avoir à leur service avant de servir de repas." caressant mes cheveux en partant du front, souriant. "C'est comme... passer par la cuisine avant de mettre les pieds sous la table. Il existe mille et une façons de préparer une âme en vue de la rendre aussi appétissante que possible. Mais cela reste sans doute très difficile à concevoir pour quelqu'un qui n'est pas de notre espèce."
Je parcours sa mâchoire inférieure fine de baisers et mordillements.
"Et une fois l'âme de Earl engloutie ?... Que va-t-il t'arriver, démon ?..."
"L'histoire s'est considérablement compliquée depuis que votre... ami s'en est mêlé. Il me faut donc envisager d'autres scénarios possibles. A la fois pour déguster tranquillement mon repas et conserver la vie sauve." lucide quant au numéro d'équilibriste qui l'attend désormais. "Les Shinigamis... j'aurai préféré ne jamais croiser leur chemin." sur une moue révulsée.
"J'aime terriblement le contraste entre... ce que tu es réellement et l'image que tu donnes... du parfait majordome."
Petit sourire. "Je ne pensais pas... vous plaire de la sorte..." se pliant à tous mes caprices charnels.
