Bonsoir je vous poste le chapitre suivant , j'ai pas oublier ou laisser la fanfic sans suite j'ai juste eu de gros soucis personnel qui ne me permettait pas de poster mais maintenant que ça va mieux je me permet de vous poster les chapitres , tout est déjà traduit donc vous aurez la suite a chaque fois , je vais essayer de poster plus souvent par semaine et pour votre plus grand plaisir il se peut que j'ai encore une fanfic de traduite que je posterais a la suite de celle ci
Je vous souhaite une bonne lecture =)
CHAPITRE 6 : Ne jamais oublier de se baigner partie une :
Le week-end fut rempli de temps de réflexion pour Hermione. Ce qui était à la fois bon et mauvais. Tout le dortoir profita du samedi pour faire du Qudditch ! Gryffondor contre Poufsouffle, qui étaient les leaders du moment. Alors pendant que le reste de ses camarades encourageait leur équipe, Hermione en profitait pour faire la grasse matinée. Puis elle prit une bonne douche, longue et ininterrompue. Elle attrapa la fin du petit déjeuner et choisit quelques aliments à grignoter plus tard. Puis elle retourna dans le calme de la salle commune presque abandonnée. Elle s'assit devant la cheminée, ses livres et son matériel d'étude étalés sur le sol, et s'appuya sur le canapé, espérant prendre un bon départ pour la semaine à venir.
Tout aurait été parfait si elle n'avait pas été distraite par des fantasmes irréalistes la mettant en scène avec un professeur de potions acariâtre. La plupart de ces fantasmes étaient inoffensifs, des vacances dans des villes historiques pour s'imprégner de la culture et des réactions des uns et des autres face aux connaissances acquises. Ou encore des excursions dans des librairies ou des bibliothèques. Ou encore, son séjour préféré, dans une chaumière inconnue et douillette, assis ensemble sur un canapé, blottis l'un contre l'autre, tout en lisant à la lumière du feu. Elle laissait échapper un soupir de nostalgie.
Et puis, il y avait celles qui n'étaient pas si innocentes. Celles qui la laissaient à bout de souffle et la faisaient rougir. Elle les chassa rapidement, surtout parce qu'elle était effrayée à l'idée de s'engager dans cette voie. C'était une chose de fantasmer sur le fait de passer du temps intellectuel avec le mage, mais c'était une toute autre chose de désirer une intimité sous quelque forme que ce soit. Car tout comme les éloges qu'elle semblait toujours vouloir obtenir de lui, elle resterait sur sa faim. Après chaque fantasme incessant, elle se jetait davantage dans ses études, dans l'espoir de chasser ces images irrationnelles de son esprit déjà bien encombré.
#9
Hermione entra dans la Grande Salle pour le dîner, un air de confiance mélangé à de la bravoure résidait en elle alors qu'elle marchait le long de la salle dans l'allée centrale. Les yeux des élèves suivaient sa démarche. Les yeux d'Hermione s'arrêtent sur le regard sombre de son professeur. Ils avaient une teinte choquée mais tout aussi chaleureuse. Hermione se lécha inconsciemment les lèvres en se dirigeant vers la table d'honneur, où tous ses professeurs l'observaient avec une impatience silencieuse. Elle contourna la table et se plaça derrière le professeur de potions. Et d'une voix assurée qu'elle ne se souvenait pas avoir jamais prononcée,"J'en ai assez d'attendre, Severus."
Il la regarda avec indignation, même si elle était raisonnablement sûre que ce n'était que de la comédie. Elle tira le plus grand des deux hommes à ses pieds, passa ses bras autour de son cou et l'embrassa profondément. S'il y avait des bruits provenant de la foule, elle ne les entendait pas. Elle se sentait dans une bulle de bonheur, enveloppée timidement dans les bras de son professeur, qui faisait de son mieux pour se retenir pour le bien du public.
Hermione secoua vivement la tête lorsque quelqu'un lui toucha l'épaule, au moment où elle s'arrêtait à la porte de la Grande Salle.
Il la regarda avec indignation, même si elle était raisonnablement sûre que ce n'était que de la comédie. Elle tira le plus grand des deux hommes à ses pieds, passa ses bras autour de son cou et l'embrassa profondément. S'il y avait des bruits provenant de la foule, elle ne les entendait pas. Elle se sentait dans une bulle de bonheur, enveloppée timidement dans les bras de son professeur, qui faisait de son mieux pour se retenir pour le bien du public.
Hermione secoua vivement la tête lorsque quelqu'un lui toucha l'épaule, au moment où elle s'arrêtait à la porte de la Grande Salle.
Hermione, ça va ?" Elle tourne la tête sur le côté et voit Ginny debout à côté d'elle. Elle remarque que la rousse est rayonnante. Cela devait signifier que leur équipe était victorieuse.
Oui, je me suis perdue dans mes pensées". dit Hermione doucement. Elle essayait de ne pas laisser transparaître sur ses traits la réaction que cette nouvelle fantaisie suscitait.
"Eh bien, c'est ce qui arrive quand on passe toute la journée avec des livres." Elle passa son bras par-dessus les épaules d'Hermione et toutes deux entrèrent dans la salle à manger, tandis que Ginny la tenait au courant de la grande victoire contre Poufsouffle. Pendant ce temps, Hermione laissait son regard tomber sur la plus grande distraction qu'elle ait jamais eue, et luttait contre le rougissement qui s'ensuivait.
#9
Le dimanche se déroula à peu près de la même façon, mais l'endroit avait changé pour la bibliothèque. Elle avait besoin de se concentrer à nouveau. Elle relut les sections de ses textes qu'ils devaient apprendre cette semaine et prit des notes générales sur le sujet. Un travail de préparation normal pour elle. Mais à chaque fois, les images jaillissaient librement. Elle devait s'empêcher de tomber dans le piège de voir le professeur Rogue la coincer dans les rayons et commencer à la bécoter sans raison contre les étagères.
Elle était horrifiée à l'idée de la réaction qu'elle aurait lorsqu'elle retournerait au cachot pour les cours et les heures de colle. En temps de repas, elle pouvait résister à l'envie, ne serait-ce que légèrement, de le regarder ouvertement. Mais dans une situation où il était son seul centre d'intérêt, elle ne savait pas comment réagir. N'ayant pas d'autre solution, elle se rendit à son bureau après le dîner, ce soir-là.
Elle hésitait à frapper, mais elle avait vraiment besoin d'aide. Elle fit appel à sa bravoure de Gryffondor et frappa. Elle s'attendait à ce qu'il n'y ait pas de réponse, puisque c'était le week-end et que le personnel n'était pas obligé d'être disponible pendant les heures de bureau. Elle entendit une invitation à entrer, étouffée et à contrecœur.
"Mlle Granger, pourquoi ne suis-je pas surprise ?"
Hermione rougit à cette remarque et à la possibilité d'être si proche de l'objet de ses désirs actuels. "J'ai remarqué une légère réaction aux potions." Cela attira toute son attention, et elle continua. "Ce que je ressens, c'est une attirance inexpliquée pour euh quelqu'un et cela affecte mes pensées. C'est un peu comme si ça prenait toute mon attention." Elle se sentait si ridicule de lui dire cela.
"Tu es une adolescente. C'est la seule chose qu'il a répétée. Elle le regarda avec répugnance. Comment osait-il la mépriser de la sorte ?
"Je peux personnellement attester qu'il ne s'agit pas d'une attraction hormonale. Je travaille très dur et ma concentration ne faiblit pas à cause d'un déséquilibre chimique dans mon corps. Il s'agit d'une distraction d'un autre monde. Je n'invente pas ces scénarios pour m'amuser. Ils sont si distrayants que je cesse littéralement toute activité pendant que je suis vaincue." Elle était légèrement furieuse, mais surtout embarrassée, car certaines choses continuaient à assaillir son esprit. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder ses lèvres et ses mains. Des choses qui, dans ses fantasmes (de plus en plus inappropriés), lui procuraient les sensations incroyables qu'elle ne pouvait que supposer qu'elles lui procuraient. "Je suis désolée de m'être emportée". dit-elle après avoir réalisé que ce n'était pas de sa faute si elle se sentait ainsi. "J'espérais qu'il y avait un moyen de résister aux effets.
Il considéra sa demande, comme s'il comprenait son dilemme et avait pitié d'elle. Il laissa échapper un soupir. "Je déteste vous décevoir. Mais il n'y a aucun moyen de s'immuniser, pour ainsi dire, contre les effets de la fabrication des potions." Hermione sentit un sentiment de malheur envahir son corps. "Tout ce que je peux vous recommander, c'est de prendre un bain complet après chaque séance d'infusion, de nettoyer souvent vos vêtements ou de ne porter qu'une seule tenue désignée pour ne pas contaminer toute votre garde-robe, et de trouver des parfums qui vous aideront à dégager vos fosses nasales, mais pas assez forts pour vous donner mal à la tête." Il les fit entrer dans son laboratoire et sortit une petite fiole de liquide fermée par un bouchon. "Essayez d'ajouter une goutte de ce liquide à un mouchoir, au revers de votre chemise ou à quelque chose que vous pouvez porter autour de votre poignet et que vous pourrez renifler lorsque les effets deviendront trop forts.
Bien qu'il ait été impoli au début de leur conversation, elle ressentit une immense gratitude pour sa solution. Elle prit la fiole gracieusement. "Merci, Monsieur. Elle repensa à tous les objets qui se trouvaient dans son coffre et qui pouvaient servir de diffuseur. Et elle pensa à quelque chose de parfait.
"Allez-y avec vous." dit-il avec un soupçon de douceur dans la voix.
Hermione traversa à contrecœur son lundi, hébétée. En effet, même dans son sommeil, elle ne pouvait échapper à ses fantasmes. En fait, dans son univers onirique, les actions qui s'y déroulaient semblaient plus réelles. Elle n'avait jamais été aussi reconnaissante pour les charmes de silence placés sur les baldaquins autour de leurs lits. Car elle ne pouvait qu'imaginer les gémissements embarrassants qu'elle aurait pu laisser échapper alors qu'elle rêvait des rêves les plus délicieux.
Elle était reconnaissante à la plupart de ses professeurs d'avoir mis son épuisement sur le compte d'une retenue injuste et de ne pas l'avoir interpellée sur son comportement inhabituel. À l'heure du déjeuner, elle se traînait tellement qu'elle alla dormir dans son dortoir au lieu de manger. Elle alla vider les poches de son peignoir et trouva un petit morceau de papier plié. Elle l'ouvrit et découvrit qu'il s'agissait du charme que le professeur Rogue lui avait donné avec l'incantation pour le charme de détection. Elle l'avait déjà mémorisé, mais pour une raison étrange, elle le serra contre sa poitrine et le plaça soigneusement dans une petite boîte à souvenirs au fond de sa malle, comme s'il s'agissait de quelque chose de spécial qu'il fallait manipuler avec soin. Elle se dit alors que la raison de ce comportement étrange était sans aucun doute le manque de sommeil. Elle enleva ses chaussures, se glissa dans son lit et s'endormit.
Se réveillant quelques heures plus tard, réalisant qu'elle ne pourrait probablement pas retourner à son dortoir avant sa retenue, elle fouilla dans sa boîte à bijoux et y trouva un petit bracelet fait de pierres de lave, que ses parents lui avaient acheté lors de leurs vacances en France, ainsi que la petite fiole que Rogue lui avait donnée. Elle se rendit ensuite à la bibliothèque pour assister à la fin de sa période libre.
Même si elle appréciait ses autres cours, elle était distraite. Elle savait qu'il lui restait les trois potions buvables et la potion de vapeur, et elle ne savait pas trop comment elle allait s'y prendre avec la dernière potion. Elle passa les derniers cours et la plus grande partie de son temps de dîner à revoir ses notes sur les potions et à faire une liste de questions à son professeur sur la bête, Amorentia. Puis elle se distrayait encore plus lorsqu'elle pensait à lui. Mais Hermione avait beau essayer, elle ne parvenait pas à chasser ses fantasmes. C'est après un fantasme particulièrement inventif qu'elle croisa le regard de l'homme en question qui la fixait. Elle se demanda s'il surveillait ses faits et gestes, s'il vérifiait les symptômes qu'elle lui avait dit avoir, s'il pouvait observer une quelconque réaction à l'exposition. L'idée qu'il puisse se préoccuper de sa santé d'une manière ou d'une autre lui fit bondir le cœur. Sur cette pensée, elle rangea ses affaires et quitta la Grande Salle pour les cachots.
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