Je ne possède aucun des personnages de la série TV ou du film.
Un recueil de textes courts se déroulant dans l'univers du film Man from U.N.C.L.E
Ce texte a été écrit pour un atelier du Discord Les Défis Galactiques avec les contraintes suivantes : Capitale 17 : Rome : écrire une scène se déroulant dans un paysage vallonné
En espérant que cela vous plaise
Bonne lecture
PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)
QUELQUES TEXTES FROM U.N.C.L.E
Fin de mission romaine
Napoléon aimait beaucoup Rome, et pas seulement parce que c'était un vrai paradis pour tout « amateur » d'art. L'ancien voleur d'art reconverti par la force en agent de la CIA aimait le paysage vallonné de la ville qui s'étendait d'une colline à l'autre avec ses maisons aux façades blanches, sa foule grouillante et le soleil qui semblait ne jamais vouloir quitter la ville. Il aimait déambuler sans but dans les rues, montant et descendant les rues vallonnées et se perdant dans les dédales de petites rues, découvrant de nouvelles places cachées et des lieux non fréquentés par les touristes.
La mission qu'il avait menée s'était terminée quelques heures plus tôt de manière relativement agité. Les balles avaient fusés de toute part, mais il était plutôt habile pour se glisser entre les tirs et la seule chose qui pouvait attirer l'œil était le bleu sur sa joue qui remontait sur son œil droit. Œil qu'il avait caché derrière ses lunettes de soleil.
Après un rapide débriefing, on lui avait ordonné de quitter le pays et de rentrer aux Etats-Unis dans les 24 heures, cela lui laissait du temps pour flâner dans les rues et se perdre dans cette ville qu'il aimait tant.
Au fil de sa promenade, il se retrouva à monter au sommet du Quirinal, la plus haute et la plus au nord des collines de Rome. Il avait envie de revoir le palais dont il admirait l'architecture qui faisait de lui l'une des plus grandes résidences de chef d'état au monde et espérait secrètement que son sourire lui ouvre la porte pour qu'il puisse découvrir les peintures de Maderno, Fontana ou Pietro Da Cortona.
Avec le soleil, la montée lui parut plus rude que dans ses souvenirs. C'était joli Rome, mais c'était physique et la mission l'avait véritablement fatigué, bien plus qu'il voulait l'admettre.
Cependant quand il arriva au sommet, il ne regretta pas son effort, le palais était tout aussi magnifique que dans ses souvenirs, maintenant, il fallait qu'il trouve une idée pour entrer à l'intérieur. Palais résidentiel du président de la République ou pas, il voulait voir ses peintures.