Je ne possède aucun des univers de ce recueil

Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples.

Alors oui, je sais, je suis plus habitué à écrire sur des combats et des souffrances physiques mais voilà, en cette Saint Valentin j'avais envie d'amour pour une fois. En plus, je me suis dit que c'était l'occasion que le canon est riche en couple magnifiques et puissants (et sérieusement ça a été une galère de n'en garder que 50... j'ai commencé à 57, là j'en suis à 53 et je ne sais pas lesquels je vais éliminer ;) )

Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)


QUELQUES MOTS D'AMOUR

15. Tony et Pepper (IRON MAN)

PROGRESSIVEMENT (239 mots)

Tony avait des souvenirs émus de sa mère et une admiration sans borne pour son père. Ils les avaient aimés de tout son cœur et le jour de leur mort, une partie de lui était mort avec eux ce jour-là. A partir de ce moment, il avait créé autour de lui des murs de plus en plus épais et infranchissables parce qu'il avait apprit qu'aimer faisait souffrir et le jeune prodige ne voulait plus souffrir. Les filles faciles, les voitures, les jeux dangereux, les soirées arrosées et les strass étaient son quotidien. Personne n'avait de l'importance à ses yeux ou ne paraissait en avoir parce qu'au final, son assistante, nullement impressionnée par son statut, avait fini par créer une brèche dans ses fortifications et elle s'était progressivement infiltrée dans son cœur. Lui qui n'était plus sûr d'en avoir un, avait réapprit à aimer en la serrant des ses bras et en l'embrassant. Elle était son monde, son oxygène, sa raison d'avancer… Elle était celle qui l'avait fait tenir même blessé et à bout de forces. Il tenait parce qu'il voulait la revoir, tremblant de savoir si elle avait survécu… Le simple fait de l'apercevoir courir vers lui, lui redonna la force de se relever et de se laisser basculer dans ses bras. Il ne l'avait pas perdu… et Tony se mit à trembler de joie tout autant que d'épuisement. Il ne l'avait pas perdu, il lui rester une raison de continuer à vivre.