Je ne possède aucun des univers de ce recueil
Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples.
Alors oui, je sais, je suis plus habitué à écrire sur des combats et des souffrances physiques mais voilà, en cette Saint Valentin j'avais envie d'amour pour une fois. En plus, je me suis dit que c'était l'occasion que le canon est riche en couple magnifiques et puissants (et sérieusement ça a été une galère de n'en garder que 50...
Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !
En espérant que cela vous plaise
Bonne lecture
PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)
QUELQUES MOTS D'AMOUR
41. Will et Elizabeth (PIRATES DES CARAIBES)
ÉTERNEL (194 mots)
Il n'avait fallu qu'une longue aventure, tumultueuse et surnaturelle, une aventure qui avait exacerbé leurs sentiments pour que Will et Elizabeth se promettent un amour éternel. Les deux jeunes gens avaient espéré un mariage rempli de passion, d'amour et un avenir serein. Malheureusement, le Destin peut être fourbe et il leur avait refusé cela. Pire, il les avait séparés. Elizabeth restant à terre, pendant que Will était condamné au Hollandais Volant. Tous les 10 ans, ils avaient le droit de se revoir quelques instants, avant de se perdre à nouveau, les larmes finissant de déchirer leur cœur et mais Henry refusa de les voir continuer à pleurer. Avec une détermination sans faille, le jeune garçon décida de sauver son père de la malédiction et lorsqu'il le vit revenir à terre, le serran dans ses bras avant de courir en direction de son épouse, il éprouva une joie à nulle autre pareille. Will, submergé par ses émotions, courut rejoindre Elizabeth, la serrant contre lui avant de la gratifier d'un baiser passionnel qui devint une étreinte douce qui scella leurs retrouvailles… prouvant à tous, qu'un amour éternel, même promis rapidement, pouvait survivre à toutes les malédictions.
