Je ne possède aucun des univers de ce recueil
Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples.
Alors oui, je sais, je suis plus habitué à écrire sur des combats et des souffrances physiques mais voilà, en cette Saint Valentin j'avais envie d'amour pour une fois. En plus, je me suis dit que c'était l'occasion que le canon est riche en couple magnifiques et puissants (et sérieusement ça a été une galère de n'en garder que 50...
Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !
En espérant que cela vous plaise
Bonne lecture
PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)
QUELQUES MOTS D'AMOUR
79. Shiryu & Shunrei (Saint Seiya)
VRAI (233 mots)
En arrivant aux 5 Pics, Shiryu ne savait pas ce qui l'attendait, mais il croisa rapidement le sourire tendre et timide de la fille de son maître. Shunrei avait un an de moins que lui et les deux enfants devinrent rapidement amis, Shiryu passait tous ces moments de libre avec elle et Shunrei venait toujours assister à ses entraînement, tremblant quand ils se passaient mal. Son père était un maître sage et respectueux, mais certaines épreuves étaient dangereuses. Quand Shiryu se blessait, elle se précipitait pour prendre soin de lui. Dohko laissait faire. Il avait rapidement cerné le petit garçon qu'il formait. Il était fort, noble, courageux… et ce n'était que deux jeunes gens…. Deux jeunes gens qui grandirent ensemble et dont les sentiments l'un envers l'autre évoluèrent aussi, jusqu'à cette nuit où ils échangèrent un baiser rempli d'amour et de tendresse, cette nuit où ils jurèrent d'offrir son cœur à l'autre pour l'éternité. L'amour qui unissait Shiryu et Shunrei était beau, passionné et vrai. Elle tremblait pour lui à chaque combat, elle pleurait à l'idée de le perdre et lui puisait sa force dans son envie de la revoir, dans son vœu de toujours revenir. Il ne voulait pas lui mentir. Il l'aimait trop pour ça. Il se battait pour Athèna, pour ses convictions qu'il partageait, mais aussi pour la femme qu'il aimait et avec laquelle il comptait bien fonder un avenir.
