Je ne possède aucun des univers de ce recueil

Au départ c'était un Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples, maintenant c'est franchir à chaque fois un palier supplémentaire : prochain objectif : 150 couples !

Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)


QUELQUES MOTS D'AMOUR

123. Marcos & Krissie (ACAPULCO H.E.A.T)

PARTENAIRES (290 mots)

Quand Krissie s'était installée à Puerto Vallerta avec le reste de l'équipe mandatée par C5, elle ne se doutait pas qu'ils allaient se faire griller par un ancien flic et agent du gouvernement mexicain devenu chauffeur de taxi, comme un bon nombre de membre de sa famille. Mais finalement, recruter quelqu'un localement, n'était pas une mauvaise idée. Marcos avait des entrées partout, c'était une mine d'informations précieuses, une bonne recrue et… avec sa peau bronzée, son sourire et ses yeux bruns profonds il était agréable à regarder et il était charmant. Elle rougissait dès qu'elle posait les yeux un peu trop longtemps sur lui, ce n'était pas professionnel, mais elle ne savait pas que Marcos aussi était troublé.

Il aimait la douceur, la fraîcheur, le rire et les grands yeux bleus de la jolie blonde. Le hasard avait voulu qu'il reste avec elle à la base pendant deux missions de suite, servant d'appui logistique. Tout en menant l'enquête de leur côté afin d'aider leurs amis, les deux jeunes gens s'étaient rapprochés.

Marcos aimait de plus en plus leurs moments à deux, il aimait aussi ses doutes et la manière dont elle veillait sur l'équipe, elle qui avait grandi seule pendant si longtemps.

Krissie voyait bien que Marcos n'était pas que le macho mexicain qu'il aimait bien montrer. Il était tendre, amusant et elle aimait bien se blottir dans ses bras.

Leur premier baiser fut échangé dans la salle de contrôle, un baiser furtif à peine effleuré qui en précéda de nombreux, plus passionnés et complices. Des baisers qui furent d'abord cachés, mais ils s'aimaient trop pour le camoufler longtemps aux autres et puis c'était plus simple de ne pas avoir à se cacher, ils s'aimaient, ce n'était pas un crime.