Je ne possède aucun des univers de ce recueil

Au départ c'était un Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples, maintenant c'est franchir à chaque fois un palier supplémentaire : prochain objectif : 200 couples !

Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)


QUELQUES MOTS D'AMOUR

161. Martin Riggs et Lorna Cole (L'arme fatale 3)

IDENTIQUE (272 mots)

La première rencontre avait été explosive. Les deux s'étaient hurlés dessus pendant un bon moment sous le regard blasé de Roger. Son ex-militaire de partenaire déjanté et suicidaire avait trouvé quelqu'un qui avait du répondant. En plus Lorna était des affaires internes et tous les flics ressentaient de l'aversion pour cette unité qui les bridait dans leur boulot. Sauf qu'au fur et à mesure, les cris se turent. Martin et Lorna acceptèrent de travailler ensemble pour trouver la provenance de ces balles perforantes et ils découvrirent petit à petit qu'ils étaient bien plus semblables qu'ils le pensaient.

Lorna savait se battre. Elle était solide, ne refusait jamais la bagarre et son corps portait presque autant de cicatrices que celui de Martin. En fait, ils étaient bien trop identiques pour ne pas s'attirer et ils s'attirèrent… Lui qui ne pensait pas à nouveau aimer depuis la mort de sa femme, il se sentait à nouveau prêt à le faire pour elle, pour Lorna et Lorna aussi était troublé, attiré vers lui et prêt à se laisser aller dans ses bras.

Ce fut donc assez naturellement qu'ils échangèrent un baiser passionné avant de passer une nuit torride… Ils étaient faits l'un pour l'autre et le cœur de Martin cessa de battre quand il crut qu'elle était morte… heureusement, Lorna était maligne. Elle avait passé deux gilets pare-balles. Elle survivrait et Martin lui posa un baiser sur le front, rassuré de savoir qu'il ne la perdrait pas… et sourit en pensant qu'elle aurait autant de cicatrices que lui. Ils étaient vraiment identiques tous les deux, ils étaient faits pour se rencontrer… comme deux âmes sœurs…