Je ne possède aucun des univers de ce recueil
Au départ c'était un Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples, maintenant c'est franchir à chaque fois un palier supplémentaire : prochain objectif : 200 couples !
Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !
En espérant que cela vous plaise
Bonne lecture
PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)
QUELQUES MOTS D'AMOUR
162. Apollo & Serina (Battlestar Galactica 1978)
FULGURANT (281 mots)
Entre la pilote et l'ancienne journaliste le coup de foudre avait été presque immédiat. Ils s'étaient plus dès le premier regard et s'étaient laissé porter par cet amour fulgurant qui les avait liés. Serina s'était perdue dans le regard vert du jeune homme, sincèrement bouleversé par ce qui venait d'arriver à leur colonie et désireux d'aider ses gens alors qu'il devait supporter lui-même la mort de son petit frère et de sa mère. Elle aimait comme il était touché par le sort des réfugiés, comme il passait de vaisseau en vaisseau pour les encourager et comme il prenait du temps pour rendre le sourire à son petit garçon. Boxey était si petit, toutes ces horreurs le hanteraient longtemps et Apollo venait de lui-même prendre soin du petit garçon et essayer de lui redonner le sourire. Il était bon, doux, généreux...
Apollo ne pouvait nier qu'il s'était senti étrange dès qu'il avait posé les yeux sur Serina, comme s'il avait su que cette femme serait la femme de sa vie, qu'il l'aimerait de tout son être, de toute son âme, parce qu'il l'aimait aussi fort qu'il était possible d'aimer. Dans toute cette horreur, face à cet exode désespéré, elle était devenue son rayon de soleil et il aimait son fils aussi. Il était prêt à l'élever comme s'il était le sien. Il avait besoin d'elle, besoin d'eux... et alors qu'il la serrait avec tendresse dans ses bras, il rassembla son courage pour lui murmurer avec douceur :
- Je t'aime… Est-ce que tu veux m'épouser ?
Serina frissonna, redressa la tête et plongea une nouvelle fois son regard dans le sien.
- Bien sûr que je le veux, je t'aime tellement Apollo.