Je ne possède aucun des personnages de la série TV ou du film.
Un recueil de textes courts se déroulant dans l'univers du film Man from U.N.C.L.E
Ce texte a été écrit pour un atelier de la Fabrique à Plumes avec les contraintes suivantes : Troisième contrainte : A et B font semblant d'avoir une relation, seulement A commence à réaliser à quel point il voudrait que cela soit réel
En espérant que cela vous plaise
Bonne lecture
PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)
QUELQUES TEXTES FROM U.N.C.L.E
Pris au piège de ses sentiments
Depuis le début de leur mission, Illya et Gaby faisaient semblant d'être en couple. Le russe n'était pas ravi de faire équipe avec une allemande passée à l'ouest et un agent de la CIA, mais c'était un ordre du KGB et ces bombes étaient dangereuses. Alors Illya avait accepté la mission et à force de se retrouver en tête à tête avec cette agaçante allemande de l'est, il se mit à ressentir des choses étranges.
Gaby avait un fort caractère, elle pouvait à la fois être une vraie femme fatale et démonter le moteur d'une voiture dans la seconde qui suivait. Oui, ce petit bout de femme si légère dans ses bras qu'il pouvait la porter d'une main était intrigante, forte, intelligente… et quand elle s'affala sur lui après l'avoir provoqué, ses lèvres effleurant les siennes, le cœur d'Illya se mit à battre plus fort. Si elle avait été au bout du baiser, il l'aurait laissé faire parce qu'il avait lui aussi envie de l'embrasser.
En fait, lui à qui on avait essayé de supprimer tout sentiment, il devait bien reconnaître que la jeune femme faisait renaître en lui des émotions qu'il pensait ne plus ressentir. Il était confus, troublé et devait bien admettre qu'il ne comprenait pas vraiment ce qu'il ressentait…
Elle l'agaçait et elle l'attirait tout en même temps. D'ailleurs, il frémit alors qu'il se redressa pour la porter jusque dans son lit, l'alcool ayant fini de la terrasser. Avec douceur, il la borda, ses doigts effleurant son bras et il se mit à sourire tout en lui murmurant.
- Repose-toi bien petite mécanicienne…
Et ce fut à cet instant, alors qu'il souriait à quelqu'un pour la première fois depuis des années qu'il comprit qu'il aurait tellement aimé que leur relation ne soit pas qu'une couverture. Elle était peut-être agaçante, mais elle lui redonnait l'impression d'être en vie et il l'aimait… ce n'était pas prévu, mais il l'aimait et il s'autorisa à lui caresser doucement la joue du bout des doigts avant de regagner son lit
