Merçi pour vos review. cette semaine j'ai décidé de ne mettre à jour que les histoire ayant reçu récement des review. Bonne lecture.

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Chapitre 04 : Dumbledore round suivant.

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Une fois sorti de l'infirmerie ou Harry a déclaré ne se souvenir de rien, Il rentre en chambre ou ses condisciples l'interrogent. Il apprend alors que d'autres que lui ont vu le vieil homme. Par contre, Monsieur Mulligan n'a rien déclaré. Il a été trouvé endormi et impossible à réveiller. Lui est parti aussi à l'infirmerie.

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Harry finit par se confier à ses compagnons de chambres.

"Ma tante et mon oncle me battaient et ne me nourrissait pas. J'ai été placé dans un petit orphelinat. Après un mois, je me suis endormi à l'orphelinat et je me suis réveillé dans mon placard chez mon oncle. On m'a récupéré et amené ici, pour éviter qu'ils ne me kidnappent de nouveaux. Mon oncle est sensé se trouver en prison, mais je surveille une partie de la nuit.

J'ai entendu l'inconnu arriver et chercher après moi. Je suis parti me cacher dans la douche. Mais il m'a suivi. J'ai alors fait un bruit en tapant un tuyau sur les conduites des radiateurs. Tout le monde s'est réveillé, je ne me souviens pas de ce qui s'est passé après. D'après l'infirmière, j'étais épuisé comme si je n'avais pas dormis depuis 15 jours. J'ai seulement voulu m'échapper pour qu'on ne me ramène pas chez mon oncle. "

"Serment. "demande Josse.

Tous tendent la main et la pose sur la sienne.

"Nous ne répéterons pas l'histoire qui est celle d'Harry. Nous promettons de l'aider à fuir si quelqu'un essaie à nouveau de l'enlever. "

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Harry devient paranoïaque et essaie de tout contrôler. Un peu de trop, quand on est jeune, avec une magie qui se développe seulement... L'épuisement est quotidien. Il passe de longue heure à surveiller les pensées de tout le bloc. Plusieurs fois, il s'évanoui et s'endort ayant abuser de sa magie. La paranoïa d'Harry interprète chaque geste comme une possible menace. La méfiance s'installe petit à petit dans son esprit, gangrenant les quelques repos qu'il pourrait avoir.

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Il place une alarme sur la porte du bloc, ce qui le dérange à tout instant du jour ou de la nuit. Harry se lève à plusieurs reprises sur une nuit pour s'assurer que rien n'a bougé, que tout est sous contrôle. Sa magie, encore sauvage et méconnue pour lui, répond à ses émotions tumultueuses. Des faits étranges commencent à se produire autour de lui, des lumières s'éteignent ou s'allument au gré de ses sautes d'humeur. Il ne comprend pas qu'il en est la cause, ce qui alimente davantage sa paranoïa. Il croit à la présence d'ennemi invisible cherchant à l'enlever. Ses notes s'en ressentent.

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Dans un moment de panique intense, Harry, pris d'une terreur incontrôlable, éclatent la majorité des fenêtres du bloc vers l'extérieur. A cet instant, Tout s'arrête. Un homme vêtu de robe comme le vieil homme, mais rouge et unie apparaît et le calme en parlant d'une voix douce.

"Je sais que tu ne l'as pas fait exprès, mais calme toi. Tu es un sorcier, c'est ta magie qui sort quand tu es énervé ou que tu stresses. Je vais réparer les dégâts, mais tu dois te calmer, sinon tes amis auront peur de toi. "

"Vous n'allez pas me ramener chez mon oncle ? "

"Non, je ne connais pas ton oncle. Je travaille pour le ministère de la magie. Mon nom est Elphias Doge Je m'occupe des enfants, qui suite à un accident, font de la magie. Je corrige les choses afin que les non-magique ne se rendent compte de rien. Vers tes onze ans, tu recevras une inscription dans une école magique pour apprendre à contrôler ta magie. Elle a déjà l'air assez puissante pour un jeune garçon. "

"J'ai déjà vu un sorcier. Il avait des robes bleues avec des étoiles qui tournaient autour. "

"Je ne connais qu'un seul sorcier qui porte des robes comme ça, Dumbledore. C'est le directeur de l'école magique. Mais je doute qu'il ait le temps de venir ici pour s'occuper de toi. "

"Oh, je ne suis pas le seul à le voir, une dizaine de garçon l'on vu dans le couloir avant qu'il disparaisse. Il avait un bâton comme le vôtre, il l'a posé à plat sur sa main et il a dit "pointe-Harry-James-Potter. " et son bâton a tourné vers l'endroit où je me trouvais. Juste avant que la moitié de l'étage ne le voie. "

"Tu es Harry Potter ? Dans un orphelinat non-magique ? "

"Oui, c'est moi. Mon oncle me battait, alors les policiers l'on mit en prison et moi ici. Mais je pense que votre Directeur d'école à fait sortir mon oncle de prison et m'a remis avec lui à la maison, il y a trois semaines. La police est revenue et m'a changé d'endroit. "

"Je vais en parler avec le chef du Magenmagot, je pense qu'il est ton tuteur chez les sorciers. Je pense qu'il fera quelque chose pour arranger ça. Il aime les enfants, il est également le directeur de l'école magique. "

"Si je n'avais pas peur qu'on m'enlève pour me remettre avec mon oncle, j'étais bien ici, j'ai déjà des amis. "

"Je vais voir ce qu'on peut faire pour toi. En attendant, il faut que je répare les fenêtres avant de partir. "

Quelques mouvements de baguettes à chaque étage ramènent les vitres à leurs états d'origine.

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Harry à les yeux bien ouvert et observe attentivement chaque incantation prononcée. Il s'essaie discrètement sur une vitre non-encore réparée. "Reparo" une dizaine de fenêtres reviennent à leur place. Cette manifestation de sa magie, bien qu'effrayante, lui donne un sentiment de puissance. Pour la première fois, il sent qu'il peut avoir un certain contrôle. Il note aussi ce que le sorcier lance pour effacer la mémoire de ceux qui auraient vu Dumbledore. Harry prends soins de le guider loin de sa chambre et de ses amis.

Il examine les pensées de l'homme et remarque comment il cherche un évènement bien précis avant de l'effacer. La découverte de ses capacités, qu'il peinait à comprendre, l'enthousiasme. Il se retrouve tiraillé entre la peur de ce qu'il peut faire et le désir de se protéger à tout prix. Il voit aussi un souvenir de l'homme buvant un verre avec le sorcier à la robe colorée. C'est un de ses amis. L'homme ne comprend pas comment Harry, venant d'une famille riche, avec surement des voutes pleines d'or, se retrouve dans un orphelinat.

Harry découvre aussi, dans les pensées de l'homme, le ministère de la magie, et un endroit à Londres appelé chemin de traverse. L'entrée se trouve au Chaudron Baveur, une taverne coincée entre une librairie d'occasion et un disquaire. Et la banque dirigée par les Gobelins, qui n'aime pas Dumbledore et la plupart des sorciers.

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Ce soir-là, comme un test, il parle de l'évènement avec Dumbledore à un de ses condisciples que l'homme a effacé. Effectivement, il ne se souvient de rien. En parlant avec ses amis de chambrée, ils ont difficiles à le croire. Josse interroge un de ses amis avec qui il avait parlé de l'évènement et lui aussi ne s'en souvient pas.

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Dans sa tentative suivante, Dumbledore, déguisé en simple visiteur, avait tenté en smoking de convaincre la directrice de l'orphelinat de lui permettre d'emmener Harry pour une "excursion éducative". Malheureusement, sa méconnaissance des procédures légales et son insistance un peu trop fervente avaient éveillé des soupçons, le forçant à battre en retraite sous les regards perplexe du personnel alors que la police arrivait pour arrêter un vieillard avec des intentions malhonnêtes envers un enfant.

Dumbledore trouve étrange qu'autant de gens s'opposent au déroulement du plus grand bien. La fois suivante, il revient la nuit et endort tous ceux qu'il rencontre. Harry se réveille à l'entrée du vieillard dans la chambre, mais Dumbledore endort les enfants de la chambre ainsi qu'Harry.

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Le matin, Harry se réveille dans son placard au son de tambour sur la porte. La voix mélodieusement aigue de Pétunia accompagne le bruit.

"Sort de là, fainéant, avant que Vernon doive te sortir à coup de pieds. "

Harry sort, veut se passer un peu d'eau sur le visage, mais un filet brunâtre coule à peine.

"Tante, il n'y a plus d'eau. " lance-t-il à la girafe en train de remonter enlever ses vêtements de nuits.

"Fais déjà cuire les saucisses et les œufs. Je vais voir s'il reste une bouteille d'eau minérale pour le thé. "

Harry jette vite un œil dans le frigo alors que sa tante redescend pour chercher de l'eau en bouteille. La lampe reste éteinte sur le frigo vide. Les sorciers savent peut-être effacer les mémoires, mais il ne sont pas doué pour penser aux détails. Harry décroche le téléphone. La tonalité fonctionne toujours. Il compose le numéro de la police et laisse le cornet posé à côté.

Pétunia s'affole de ne rien trouver dans le débarra ou elle range les boissons et les conserves.

"Le frigo est vide, il n'y a rien dedans et il ne fonctionne pas. "déclare Harry en restant hors de portée pour si l'envie la prenait de le frapper.

"Je suis sûr que c'est ton anormalité qui est en cause. "grogne sa tante en tournant la tête alors que Vernon descend bruyamment les escaliers.

"Ou est le petit-déjeuner ? "grogne l'homme.

"Le placard et le frigo sont vide, et l'eau est coupée. "

"Quoi, "hurle l'homme. "Un honnête travailleur n'a même pas le droit de déjeuner normalement. Je suis sûr que c'est ta faute. "

Crie l'homme en avançant sur Harry.

Mais celui-ci comprend mieux les choses et avec deux mois d'apprentissage, n'est pas prêt à avancer pour se faire frapper.

Il déguerpit en hurlant.

"Au secours, on me frappe. "

Atteignant la porte de la cuisine, il sort dehors, et toujours hurlant, saute au-dessus de la palissade. Les voisins sont déjà aux fenêtres. Alors que Vernon s'étale en ratant les deux marches de l'entrée arrière. Dudley, à moitié réveillé est descendu et sort aider son père.

"Mon dudlynouchet, que t'est-il arrivé, on dirait que tu n'as pas mangé depuis deux mois. Qu'a fait ton cousin. "

"je ne sais pas, j'ai rêvé que Marge ne voulait pas de moi et que j'allais dans un orphelinat. Tous le monde me battait et personnes ne voulait partager ses desserts avec moi. Je suis sûr que c'est le truc bizarre qu'Harry m'a fait. "

Le jeune sorcier, lui s'est enfuis dans le parc en face. Il rappelle la police d'une cabine. Cette fois, à l'énoncer du nom de son oncle, la réaction est immédiate. Le jeune garçon attend sagement sur un banc que la police arrive en observant que sa famille ne vienne pas le poursuivre.

Les sirènes de la police retentissent bientôt.

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Le jeune garçon observe de loin son oncle et sa tante trainé dans un fourgon. Dudley, menotté monte dans une voiture de police. Des voisins indiquent le parc du bras. Probablement que des policiers vont venir chercher après-lui.

Harry s'enfuit à pied. Il gagne discrètement la gare et monte dans le train vers Londres. Quand le contrôleur arrive, le jeune sorcier s'incruste dans le siège en pensant qu'il devient invisible. Le contrôleur passe devant lui sans le contrôler.

Arrivé à Londres, il descend du train et consulte un bottin. Il n'y a de Chaudron Baveur ni dans les tavernes, ni dans les pubs. Il coute la page des librairies d'occasion située sur Londres et compare sa liste avec les disquaires. Il n'y en a que deux qui se trouvent proche l'un de l'autre. Les deux endroits sont dans le même quartier, à 2 km l'un de l'autre. Sa recherche lui a quand même prit une demi-journée. Son attention est attirée par un homme assez sale, qui suis les dames avec un sac et vole les portefeuilles.

N'ayant pas d'argent, et son ventre qui gargouille, il récupère des portefeuilles de la veste de l'homme. Il les fait simplement léviter en pensant à eux et il laisse glisser trois portefeuilles sur le sol. Les trois prises glissent immédiatement derrière un présentoir. Après cinq minutes, assuré de ne pas avoir été vu, Harry passe à coté du présentoir et ramasse les biens volés. Harry tire un billet des deux premiers qui sont relativement vide et puise quelques billets du troisième qui tais bien rempli en se disant que la personne étant plus riche, cela lui manquera moins. Il glisse les trois objets dans une boite de collecte postale.

Il s'achète un sandwich.

"Tu n'es pas à l'école aujourd'hui ? "

"Non, mon oncle s'est blessé et nous avons pris le train avec maman. Elle m'attend avec les bagages sur le quai ou vient le train suivant. "

Mais déjà la femme lui tend le sandwich avec une saucisse et de la choucroute.

Harry mange lentement en marchant vers sa destination.

Il y a trois magasins entre la librairie d'occasion et le disquaire. Mais pas de Chaudron Baveurs.

Harry reprend sa route. Il y a plus de 2 km avant l'adresse suivante. Intérieurement, le jeune garçon s'angoisse, peur que l'adresse suivante ne soit pas la bonne non plus, qu'il doivent rentrer à l'orphelinat sans en savoir plus.

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C'est la bonne adresse. La librairie est là, le disquaire aussi et les gens entrent et sortent des deux magasins. Par contre, a part un homme en redingote, personne n'entre au Chaudron qui se trouve au milieu. Harry entre dans un luna-park presqu'en face. Il observe longtemps l'entrée du Pub. Il profite d'être dans un endroit entouré d'autres enfants pour aller à la caisse et changer un billet de 50 £.

"10£ de monnaie pour jouer. Le reste je dois le rendre à mes parents.

L'homme lui tend quatre billets de 10 et de la monnaie, sans poser de question.

Harry s'achète un coca au distributeur, il n'a pas bu depuis le matin. Prenant son courage, il traverse la rue, se protège pour qu'on ne le remarque pas et entre dans la taverne.

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