Disclaimer : Je n'ai aucun droit toute l'œuvre Harry Potter et Seigneur des anneaux appartiens a leur auteur, à savoir J. K. Rowling et J. R. R. Tokien.
Avertissement :J'ai ajouter un personnage OC j'espère ne pas la faire "trop puissante" mais je préfère prévenir car je vais changer des choses quelque "truc" (oui je reste a truc pour pas spoil désolée !) ce que je veux dire c'est que tout nos héros auront un petit plus qu'ils n'avaient pas ou qui serait peut être impossible dans les œuvres originels que se sois du coté HP ou LOTR si cela ne vous plait pas je pense que vous devriez partir ^^".
Pairing : Je n'ai pour l'instant pas prévu de "couple" (peut être que si mais je veux rien dire ahaha) mais je préfère prévenir qu'il pourrait y avoir des couples du même sexe, hétéro ou même "triple" de même que mon avertissement précédent si cela ne vous plaît pas merci de passer votre chemin.
Petit message : Voici le deuxième chapitre de la semaine ! Et oui j'ai promis 3 chapitres semaine je compte bien mis tenir !
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POV Amrod
« Eh bien nous avions raison de supposer qu'ils viendraient nous rendre visite. » Fis-je doucement
« Tu ne peu pas savoir a quel point j'ai été soulager de voir ton fils au comptoir… Galadriel a réussi je ne sais comment a me passer devant ! Elle devais descendre du carrosse… » Dit Gildor en secouant la tête
« D'ailleurs Gildor, je crois que tu a parler d'une genre d'expression a un moment… Quelque chose a voir faire le faite que l'on sois têtu et la Maison Fëanor ? Il s'agit bien de la maison elfique dont nous descendons ? » Demanda Tinnúviel
« Mince j'avais espéré que personne ne le relèverais… » Murmure t'il
« Pardon ?! Qu'a tu dit exactement ?! » Je l'interroge
« Hé bien… 'Vous devriez accepter le cadeau qu'elle vous fait, cette famille est remplis de membres têtu… Je n'arrive jamais a leur faire changer d'avis quand ils ont pris leur décision… Vraiment c'est digne de la Maison de Fëanor..' Je me suis arrêter quand j'ai remarquer ma boulette… Mais personne n'a l'air d'avoir relever mon erreur. » Dit il avec un regard d'excuse
« Ne panique pas papa, on sais grâce au livre d'histoire, qu'on a recueilli avec Elanor, que même si aucun corps n'a été retrouver tu a quand même été déclarer mort. » Me rassura Elwing
« Et puis ce n'est pas comme si tu compter rester cacher toute ta vie non ? Je crois que tu nous avais dit vouloir reprendre le contact ? » Me demanda Barahir
« Oui, je comptais envoyer une lettre bientôt via Gildor, il pourrait dire l'avoir obtenue lors d'un voyage et pouvoir certifier l'envoyeur, l'ayant rencontrer… » Fis-je avec un sourire
« Je pense qu'il vaudrait peut être faire la lettre prochainement… Peut être justifier différemment mais j'ai l'impression que ce que certain appeler ma chance 'Potter' est en train d'agir. » S'exprima Haldir
« C'est vrai, les probabilité que Tinnú les rencontres, que la robe plaise a Dame Galadriel et sa fille et que cela attire non seulement la curiosité du Seigneur de la ville mais aussi le Prince elfe en visite… Manque plus qu'un Seigneur des ténèbre et on retrouvera nos soucis d'école. » Dit Borlas avec un sourire
« Tu pense pouvoir écrire cette lettre ? Elrond m'a convoqué a une sorte de conseil… Sûrement des affaires liée a Lindon ou peut être au Yrch qui ont été vu récemment… Je pourrais profiter du faite que j'accompagne Tinnúviel cette après midi pour la remettre a Celebrimbor. » Dit Gildor
« Elle est déjà écrite… Mais tu est revenue depuis quelque jours cela ne serais pas étrange si tu lui remet aussi 'tard' ? » Je m'inquiète
« Pas vraiment, on peu dire que vu que l'affaire est sensible, il voulais attendre d'être seul ou du moins aussi seul que possible et la remettre a se conseil serais parfait. » Réfléchie a voix haute Elanor
« Alors papa va chercher cette lettre, on va pas tenter le destin, on a vu ce que la chance 'Potter' peut faire. » Conclut Aredhel
« D'ailleurs c'est quoi la chance 'Potter' ? » Questionna Gildor
« Il s'agit d'une sorte d'expression- » Commença Mallorn
« On l'utilise souvent quand- » Continue Malduin
« Les choses les plus improbable- » Reprend Mallorn
« Nous arrive. » Fini Malduin
Je soupire de soulagement quand Gildor ne pose pas plus de question… Il va falloir peut être que je lui raconte toute la partie su mon voyage dans l'autre monde et la magie bientôt…
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POV Celebrimbor
Bureau dans le Manoir du Seigneur
« Si cette réunion est fini, j'aimerais encore parler de quelque chose avec toi Celebrimbor… Je pense que tout le monde devrais rester… » Commença Gildor clairement hésitant
« Un problème mon ami ? » Dis-je inquiet
« Pas vraiment un problème, j'ai fait une rencontre étonnante lors de mon précédent voyage… Il m'a remis une lettre pour toi. » Me fit il en me donnant une lettre
Curieux de qui pourrait bien m'écrire, surtout en passant par Gildor, je décide de l'ouvrir et de la lire… Je suis content d'être assis car j'aurais pu tomber en reconnaissant l'écriture de mon oncle… Comment cela est il possible ? Mon choc a du se ressentir sur mon visage car Glorfindel s'approcha de moi clairement inquiet, il profita de s'être rapprocher pour essayer de lire la lettre par dessus mon épaule.
« Mon cher Celebrimbor,
Je prends enfin la plume pour t'écrire cette lettre, une tâche que j'ai longtemps repoussée, mais que je ne peux plus éviter. Il y a tant de choses que j'aurais dû te dire depuis longtemps, des vérités que j'ai fui, des erreurs que j'ai commises, et un pardon que je ne mérite probablement pas.
Tu as sans doute appris que je suis mort lors du troisième massacre fratricide. C'est un mensonge que j'ai laissé se propager, un mensonge que j'ai entretenu, et pour cela, je suis profondément honteux. En prétendant être mort ce jour-là, j'ai non seulement trahi la mémoire de nos frères, mais j'ai aussi trahi ta confiance, ta loyauté, et ton amour. Pire encore, je t'ai abandonné à un monde cruel, sans soutien, alors que nous aurions dû affronter ensemble les ténèbres qui nous entouraient.
Je ne peux qu'imaginer la douleur et la colère que tu as dû ressentir, la solitude qui a dû te hanter, et pour tout cela, je suis désolé, tellement désolé. Le poids de ma lâcheté me pèse chaque jour, mais ce qui me pèse encore plus, c'est l'idée que j'ai pu te blesser, toi qui n'as jamais mérité cela.
Il y a une autre vérité que tu ignores, une vérité que je n'ai pas le droit de garder plus longtemps. Après avoir fui cette vie, j'ai cherché une rédemption dans l'ombre. Je me suis marié, et j'ai eu des enfants. Je ne pensais jamais qu'une telle bénédiction me serait accordée après tout ce que j'avais fait. Ils sont, à mes yeux, tout ce qu'il reste de bon et de pur dans cette existence. Ils sont la dernière lueur d'espoir dans le chaos que j'ai contribué à créer.
Je ne sais pas si tu pourras un jour me pardonner, Celebrimbor. Mais je t'en prie, considère cette lettre comme une main tendue. Je ne demande pas que tu m'acceptes à nouveau dans ta vie, je ne suis pas sûr de mériter une telle grâce, mais je voudrais t'offrir la possibilité de rencontrer ceux qui sont nés de cette union, ces enfants qui portent en eux l'espoir d'un renouveau pour notre lignée.
Ils devraient connaître leur oncle, celui qui a survécu aux épreuves les plus terribles, celui qui a toujours été plus noble et plus courageux que moi. Ils devraient savoir qu'il reste encore une lumière dans notre famille, une lumière que je n'ai jamais su incarner, mais que toi, tu as toujours portée.
Je comprends si tu choisis de ne pas répondre à cette lettre. Je comprends si tu veux continuer ta vie sans moi. Mais sache que, malgré tout, je pense à toi chaque jour. Et que, dans le fond de mon cœur, il y aura toujours une place pour mon neveu, celui que j'ai abandonné, mais que je n'ai jamais cessé d'aimer.
Avec tout mon remords, et un lien que je n'ai jamais su exprimer,
Amrod Fëanorion»
« Gildor… Tu… Tu l'a vu ? Ce n'est pas une blague de mauvais goût n'est-ce pas ? » Dis-je avec difficulté alors que je passe la lettre a Glorfindel
« J'ai moi même été surpris… Il est venu a ma rencontre, j'ai donc pu confirmer visuellement qu'il s'agit bien de lui. Même si il a fait des choses horribles, il reste de ta famille alors je me suis dit que transmettre la lettre ne me coûterais rien... » Me dit il
« Par Eru… Amrod Fëanorion est en vie… » Dit Glorfindel en passant la lettre a Elrond et Galadriel
« D'après ce que l'on peut lire dans la lettre, et de ce que tu viens de dire, il semble vraiment sortie de la folie du serment ? » Demanda Elrond
« Oui, même si nous n'avons pas parler longtemps… Il m'a dit que pendant la bataille, il a eu une sorte de réalisation et a senti comme si une sorte de fil c'était briser. En réalisant ce que lui et les autre avait fait, et qu'il venaient encore de massacrer d'autre elfe… Il a pris la première occasion pour partir sans se retourner loin de tout. » Me dit Gildor
« Et il a fini par avoir une famille, je me demande quel elfe a réussi a l'accepter. » Galadriel posa a voix haute la question que je n'osais pas poser
« Pas une elfe justement, une Edain, ses enfants sont des Peredhels. Que compte tu faire ? » Dit Gildor
« Eh bien… Comme tu l'a dit il fait partie de ma famille, même si je regrette ce qu'il a fait dans le passer, les enfants sont innocent et j'aimerais beaucoup les rencontrer. Tu dit que ses sa femme est une Edain ? Si ils vivent dans un village remplis d'Edain, ils auront sûrement plein de choses a apprendre sur notre peuple… Pense tu pouvoir lui donner une réponse ? Vu que tu dit que c'est lui qui est venu a ta rencontre... » Lui demandais-je anxieux
« Aucun soucis de se coté la, nous nous sommes arranger un lieu de rendez-vous. Si tu n'avais pas voulu donner de réponse je lui aurais laisser une chance au moins pour les enfants… Je comptais envoyer une missive a Père dans se sens. Mais si tu veux lui répondre, je la transmettrais avec plaisir. » Me fit il avec un grand sourire
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Une semaine plus tard
Manoir de Celebrimbor - POV Elrond
Celebrimbor me guida à travers les vastes couloirs du manoir jusqu'à la grande salle de réception. Lasalle imposante c'est embellie grâce au travail des employer, les lustres en cristal brillait de mille feux, les murs de couleur rouge et or, sont parée de fleurs fraîches qui ajoute une touche de délicatesse à l'ensemble. Sur le mur du fond au centre, des portes en verre, grandes ouvertes, offraient une vue imprenable sur les jardins extérieurs. À travers ces portes, on pouvait apercevoir des lanternes scintillantes, placées avec soin pour éclairer les chemins et offrir aux invités un endroit où ils pourraient prendre l'air sous les étoiles.
De part et d'autre des portes, les instruments de musique étaient disposés, prêts à être animés par les musiciens qui rempliraient bientôt la salle de mélodies envoûtantes. Sur la droite, une longue table magnifiquement dressée offrait de quoi se restaurer, àgauche, des sièges confortables avaient été disposés en petits groupes, créant des alcôves accueillantes où les invités pourraient se retrouver et converser en toute tranquillité. Et bien sur au centre de la salle, s'étendait la vaste piste de danse.
Alors que nous nous avancions dans la salle, les murmures des invités s'estompèrent peu à peu. Arrivant a coter de Celeborn, Galadriel et Glorfindel, je le laisse continuer seul vers le centre de la salle, levant légèrement la main pour attirer l'attention de tous, et il s'adressa à l'assemblée avec une voix chaleureuse :
« Bonsoir et bienvenue à cette soirée exceptionnelle dédiée au magnifique art qu'est la musique, il traverse les frontières et unit nos cœurs. Ce soir, nous célébrons non seulement les rythmes, les mélodies et les harmonies qui nous font vibrer…
La musique c'est bien plus que des notes, elle a le pouvoir de nous transporter dans le temps, de réveiller en nous des souvenirs enfouis et d'en faire naître de nouveaux. Ce soir, Laissez-vous emporter par les vagues sonores qui nous entourent, laissez la musique vous guider vers de nouvelle aventures.
Que vous soyez ici pour danser, écouter des morceaux qui vous sont chers, de partager de nouvelle chanson et musique, ou tout simplement pour partager un moment de convivialité, sachez que vous êtes tous et toutes les bienvenus. Ensemble créons une symphonie de rires, de chant et de joie.
Merci à tous d'être ici ce soir. Que la fête commence ! » Finit il
Les conversations et rire reprirent alors que la musique s'éleva doucement. Glorfindel me fait signe de regarder vers la gauche, je regarde donc et remarque la foule qui s'écarte clairement en admiration devant un groupe, qui en profite pour se diriger vers nous et je reconnu Celebrían etTinnúviel, la troisième personne est un jeune elfe au cheveux roux.
Celebrían porte la robe qu'elle sûrementacheter a la jeune Tinnúviel. Elle est d'une teinte Azurine envoûtante. Le corsage, finement travaillé et sans bretelles, épousait parfaitement sa silhouette, des motifs délicats, évoquant des arabesques florales ornaient le devant. Les manches, amples et vaporeuses, étaient formées de volants légers qui se déployaient en un mouvement gracieux, dégageant ses épaules avec subtilité. La jupe, fluide et légère, tombait en une cascade de volants, créant un effet de vague douce, comme une mer azur sous le clair de lune. Autour de son cou, un collier fin et élégant complétait la tenue. Ce bijou raffiné, fait de perles et de pierres précieuses accentuait la délicatesse de sa gorge. Ses cheveux argentés, étaient relevés en un chignon sophistiqué, laissant entrevoir l'élégant pique à cheveux que je lui avais offert une semaine auparavant.
Tinnúviel quant a elle, portait une robe d'une originalité saisissante… Le corsage, structuré et sans bretelles, était délicatement orné de motifs argentés évoquant les constellations, chaque étoile semblant scintiller à la lumière des lustres en cristal. Ses cheveux cuivrés, tressés en une natte lâche se terminant par un ruban bleu étoilé, ajoutaient une touche de douceur à l'ensemble. Des volants de tissu léger, jouant avec des nuances de bleu et de blanc, créaient un effet de cascade rappelant une chute d'eau gelée sous la lumière de la lune. La jupe, courte à l'avant, révélait ses jambes fines et laissait entrevoir un accessoire en forme de papillon enroulé autour du haut de sa cuisse. Ses chaussures à talons assorties complétaient parfaitement l'ensemble. À l'arrière, la jupe s'étendait en un long pan qui traînait élégamment derrière elle, semblable à une traîne, des broderies argentées, représentant des flocons de neige et des étoiles, parsemaient le bas de la jupe. Les manches, légères et asymétriques, étaient faites de volants qui dégageaient ses épaules délicates, tandis que de petites fleurs bleues ornaient le haut de ses bras, apportant une note florale à la tenue.
Le jeune elfe portait une veste noire ajustée, richement brodée de motifs bleus et argentée qui semblant capter la lumière de la pièce pour la transformer en éclats scintillant, sur le col en dentelle finement travaillé était accrocher une chaîne d'argent à laquelle pendait un saphir taillé en forme de larme retomber sur son torse. Son pantalon noir se fondait dans ses bottes de cuir, ornées de délicats filigranes argentés ajoutant une touche d'éclat à chaque pas qu'il faisait. Sa cape noire, bordée de plumes bleu électrique, flottait derrière lui comme une ombre accentuant sa silhouette élancée, des chaînes argentées et des pierres bleutées pendaient élégamment de ses épaules. Ce qui frappait le plus, cependant, c'étaient ses traits. Ses yeux d'un vert émeraude brillaient, captivant quiconque croisait son regard. Ce regard intense formait un contraste saisissant avec ses cheveux roux foncé, ondulés et soigneusement coiffés, qui retombaient légèrement en désordre sur son front, laissant entrevoir une légère cicatrice.
« Père, regarde qui j'ai trouvé à l'entrée de la salle ! » s'exclama Celebrían.
« Celebrían, tu es magnifique, cette robe est merveilleuse ! Je comprends pourquoi tu voulais garder la surprise, » s'extasia Celeborn.
« Bonsoir, Tinnúviel, et à vous aussi, jeune homme. Vos tenues sont fascinantes, elles changent tellement de ce que l'on voit habituellement, même parmi les Edain, » dit Galadriel avec un sourire.
« En effet, ma sœur a un talent pour la création de vêtements. Heureusement qu'elle est là, car aucun de nous ne saurait comment s'habiller autrement, » ajouta l'elfe avec un sourire taquin.
« Je ne dirais pas cela… Il n'y a que toi qui as un sens affreux de la mode, » répliqua Tinnúviel en riant.
« Mes excuses, j'ai oublié de me présenter. Je suis l'un de ses nombreux frères aînés, Haldir. Je vous remercie d'ailleurs pour votre invitation, » dit-il avec une inclinaison respectueuse.
« Vous êtes le seul à accompagner votre sœur ? Vous risquez d'avoir besoin d'aide pour repousser les prétendants, » se moqua Glorfindel.
« Ahah, il n'y a pas qu'elle qui a attiré les regards. Ce jeune homme est lui aussi tout à fait charmant. D'ailleurs, vu que vous avez déjà l'attention de tout le monde, pourriez-vous nous chanter ou jouer le magnifique air que vous fredonniez dans le jardin ? » demanda Celebrimbor, impatient.
« Cet air est en effet une chanson… Je n'ai rien contre le fait de la partager, elle est plutôt différente des chants habituels, » murmura-t-elle doucement.
« Cette fête est faite pour partager l'amour de la musique. C'est même parfait que ce soit différent de ce que l'on entend d'habitude, » dis-je finalement.
« Si vous insistez, Haldir, voudrais-tu bien m'accompagner en jouant de la harpe ? » demanda-t-elle en se tournant vers son frère.
« Avec plaisir. Quelle chanson veux-tu chanter ? » lui demanda-t-il.
Ils se dirigèrent ensemble vers les harpes. Une fois installé, elle lui murmura quelque chose à l'oreille. Il hocha la tête en direction de sa sœur et commença à jouer. Elle ferma un instant les yeux, inspira profondément, et sa voix s'éleva doucement dans la salle, accompagnée par le son délicat de la harpe.
« Les fleurs éclosent au printemps,
s'éparpillent dans le ciel d'été.
Leurs éclats sont…
Gravées dans mon coeur.
Bien que je ferme ma fenêtre…
Pour la pluie du matin,
Mon coeur est inondée de lumière,
Comme si le soleil perçait les nuages.
Le bonheur, la tristesse,
Je les enlace tout les deux,
Et je vais de l'avant.
Il sont le lien,
Entre ma main et la tienne.
L'automne est en bord de mer,
L'hiver se cache dans les branches.
Il y a une bonté illimitée
Dans la profondeur du monde.
Chaque fois que la nuit tombe,
laisse-nous lui offrir une prière.
Afin que nous pussions accueillir
Chaque jour prochain en paix.
Guide-moi,
Lointaine, lointaine voix.
Pour sourire,
pour chanter.
La voix retentissante du vent.
Le bonheur ou la tristesse,
Je les enlacerai et continuerai d'avancer.
Ilssont ce qui unit si fortement
Mes mainsaux tiennes. »
Ashita Kuru hi – Hanazawa Kana (Kobato), traduction sur la video de Wan-Chan & Mlleauvive
La salle, plongée dans un silence respectueux pendant leur performance, éclata soudain en une ovation retentissante dès que la dernière note s'éteignit. Les deux jeunes elfes laissèrent échapper des sourires timides avant de revenir vers nous.
« Si jeunes et déjà si bourrés de talents… » commença Glorfindel.
Un craquement sinistre interrompit ses paroles. Il provenait d'un des lustres principaux, juste au-dessus des danseurs, qui vacillait dangereusement. Ses chaînes d'argent semblaient céder sous son poids. L'énorme structure de cristal se détacha alors du plafond dans un éclat de lumière et de son, se précipitant vers le sol dans une chute vertigineuse.
Les invités, pris de panique, reculèrent brusquement. Certains poussèrent des cris de terreur, tandis que d'autres restaient figés, impuissants face à la catastrophe imminente. Mais alors que le lustre n'était plus qu'à quelques mètres du sol, prêt à s'écraser en un déluge de verre et de métal, une force invisible s'interposa.
L'énorme masse de cristal s'arrêta net dans sa chute, flottant dans l'air comme suspendue par des fils invisibles. Un silence stupéfait tomba sur la salle, et tous les regards se tournèrent vers Tinnúviel, sa main droite tendue vers le lustre, ses yeux brillants d'une concentration intense. Avec une lenteur calculée, elle abaissa doucement la main, et le lustre se déposa au sol sans le moindre bruit, comme si l'incident n'avait été qu'un rêve.
Mon regard fut attiré par son poignet droit, où un bracelet finement ciselé dans un métal argenté prenait la forme d'une vigne délicate. Chaque feuille, minutieusement gravée, capturait la lumière avec une finesse telle qu'elles semblaient vibrer d'une vie propre, comme si un souffle de magie habitait le bijou. En son centre, un cabochon d'une pierre précieuse d'un bleu profond était serti dans un écrin de filigrane d'argent. La pierre, polie à la perfection, scintillait doucement, renvoyant des reflets mystérieux. De petites pierres plus claires étaient incrustées tout autour. Le bracelet semblait léger, presque éthéré, mais il dégageait une force silencieuse, celle d'un pouvoir ancien.
Avant que quiconque ne puisse réagir, Glorfindel dégaina son épée avec une rapidité fulgurante, prêt à porter un coup à la jeune elfe. Mais avant que l'attaque ne puisse atteindre sa cible, Haldir intervint, se déplaçant avec une rapidité surprenante. Il surgit devant elle, deux dagues jaillissant de ses mains, et dans un mouvement fluide, il croisa les lames pour bloquer l'épée de Glorfindel. Le choc des armes résonna, l'éclat métallique vibrant dans l'air, tandis que les deux guerriers se faisaient face. Tinnúviel, figée à l'arrière, suivait la scène, la peur visible dans ses yeux écarquillés.
« Peut-être pourrions-nous avoir une conversation avant de reprendre les hostilités ? » demanda Celebrimbor d'un ton qui ne laissait place à aucune contestation.
« Je n'ai fait que défendre ma sœur. Nous ne souhaitons pas de conflit. Je baisserai mes lames si vous pouvez nous assurer qu'il ne recommencera pas, » répondit Haldir.
« Glorfindel, baisse ton épée tout de suite, » ordonnais-je. Quand son épée fut rangée, Haldir fit de même avec ses dagues.
« Celeborn, Galadriel, pourriez-vous vous occuper des invités ? Nous allons discuter dans mon bureau, si vous voulez bien me suivre, » dit Celebrimbor en ouvrant la marche.
Il nous guida à travers le manoir, le son de ses pas résonnant doucement sur les dalles froides. Glorfindel gardait un œil vigilant sur les deux jeunes elfes, comme s'ils représentaient une menace potentielle. Haldir se plaçait stratégiquement entre Glorfindel et sa sœur, prêt à intervenir au moindre signe de danger.
Je remarquai alors que Tinnúviel se déplaçait le long des murs avec une agilité et une prudence qui dénotaient une grande vigilance. Elle semblait habituée à surveiller chaque mouvement, ses gestes rapides et mesurés trahissant une grande anxiété. Il était clair qu'elle était non seulement consciente des dangers potentiels, mais qu'elle était aussi prête à tout pour s'échapper si la situation l'exigeait. Sa peur, particulièrement envers Glorfindel, était palpable. Ses yeux cherchaient des issues, des moyens de fuite, tandis que sa posture trahissait une tension constante, prête à réagir à la moindre alerte.
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Memo :
Nom des personnage :
Arthur Weasley : Amrod → utilise Arothir (noble seigneur)
(William) Bill Weasley : Aredhel (noble, haut elfe)
Charlie Weasley : Barahir (seigneur enflammé)
Percy Weasley : Elwing (écume étoilée)
George Weasley : Malduin (rivière dorée)
Fred Weasley : Mallorn (arbre dorée)
Ron Weasley : Borlas (joie fidèle)
Harry Potter : Haldir (héros caché)
Hermione Granger : Elanor (étoile-soleil [fleur])
Ginny Weasley : Gilthoniel (enflammeuse d'étoiles)
Celestia Selwyn : Tinnúviel (fille du crépuscule)
Magasin : Aglarond (Caverne Étincelante)
Malduin et Mallorn → Potion et baume + farce et attrapes ,
Aredhel et Borlas → Forge (bijoux & armes) ,
Barahir → Gère les stocks de matériaux + fait de la sculpture
Elwing → S'occupe de la vente + lecture
Amrod → S'occupe de la vente
Elanor → Tissage magique + Tricote les fleurs des épingles a cheveux
Gilthoniel → Tissage magique + Gravure sur les piques a cheveux
Tinnúviel → supervision des jumeaux, produit de beauté (crème pour les mains, visage etc) + apprend le tissage magique aux filles
Haldir-→ Taille et polissage, aide a la gravure sur les piques a cheveux