Coucou tous le monde. Je ne suis pas morte ! (Il me semble important de le préciser après plus d'un an sans fic ou même sans OS)
J'ai commencé à écrire cette fanfiction il y a pratiquement deux ans, donc c'est pour cette raison que certaines choses qui se sont déjà passées dans le monde réel n'apparaît pas pour le moment. J'ai eu beaucoup de mal à trouver le temps et la motivation pour écrire et je voulais vraiment l'avoir fini avant de commencer à publier. C'est chose faite, donc la voici !
C'est un all humain, entièrement écrit et fini. J'essayerai de maintenir le rythme d'un chapitre par semaine pour celles et ceux qui me connaissent depuis longtemps. Mon rythme de vie a totalement changé depuis la dernière fois, donc ce n'est pas dit que ce sera les vendredis. Ça pourra être aussi bien le jeudi que le samedi. Cette histoire comporte 19 chapitres et un épilogue. J'ai essayé d'aller dans un univers que je n'avais pas encore exploité et d'apporter un côté à Bella que je ne lui avais pas encore donné.
Et comme nous sommes déjà au mois de juin, Joyeux mois des fiertés à toutes et tous ! Love is love !
Bonne lecture !
Vous est-il déjà arrivé d'avoir l'impression de vous retrouver face à un revenant ou un fantôme ? C'est l'impression que j'ai alors que je me trouve devant mon nouvel attaché de presse. Ce n'est pas que j'en voulais absolument un, mais il paraît que c'est indispensable pour une princesse et la future souveraine du pays. Je ne peux pas vraiment me permettre d'avoir mon nom dans les tabloïds, pas que cela arrive, je suis bien trop ennuyeuse pour cela.
Il faut dire que j'ai tout de la princesse idéale, en apparence du moins et que mes passe-temps ont toujours favorisé l'activité en intérieur et que les seuls que j'avais en extérieur, renforce l'image de fille coincée de l'aristocratie. Il paraît que je suis un vrai cliché ambulant. C'est peut-être le cas, ou c'était le cas jusqu'à il y a quelques semaines.
Il y a quelques semaines, j'ai fait une boulette, en tout cas, aux yeux de ma famille et cela impliquait mon ancienne attachée de presse. Donc elle a démissionné et a même quitté le pays. Je me suis donc retrouvée sans attaché de presse pendant 7 semaines, 7 semaines de liberté et j'en ai profité pour me « rebeller » un peu. A 26 ans, il paraît que c'était temps.
J'ai cassé mon image de princesse toute lisse, pour être plus honnête que jamais auparavant et si mes parents ont eu du mal, il faut après tout que la famille royale soit irréprochable, cela a tout de même eu du bon, puisque j'apparais plus accessible aux yeux du peuple et c'est toujours un effet recherché.
Sauf qu'il me fallait quand même un nouvel attaché de presse, parce qu'apparemment, je ne peux pas gérer mon image toute seule. Oh, j'y arrive très bien, je ne veux seulement plus avoir l'image d'une fille coincée, étroite d'esprit et qui se plait à seulement faire des apparences sans avoir des opinions. C'est le rôle qui me revient et c'est comme cela que fonctionnent toutes les monarchies qui existent. « Never complain, never explain » tel est le motto d'Elizabeth, la reine d'Angleterre et que nous suivons également ici, à Gardena. Après tout, mon père appelle bien la reine Elizabeth, cousine Lizzie puisqu'ils partagent tous deux le même ancêtre, la reine Victoria.
Et si la population Gardenaise est ouverte d'esprit et bien plus progressiste que nos cousins anglais, cela fait quand même du bruit lorsque je sors un peu des rangs établis par des siècles de royauté sur le pays et dans le monde.
Donc, j'ai commencé par exprimer mon opinion qui me tient à cœur, comme le féminisme, les droits des LGBT et l'égalité en général. Ça s'est bien passé au début, parce que cela restait discret et subtile, mais plus le temps passait, plus je m'affirmais, ce qui n'a pas plu à tout le monde et mes parents ont commencé à me faire la leçon. Est-ce que cela m'a arrêté pour autant ? Absolument pas.
Mes parents s'étaient fait une raison et ils savaient que mon équipe gérait mon image et qu'ils feraient ce qu'il faut pour que mon image ne soit pas ternie dans les médias, jusqu'au jour où cela a été le cas. Pour ma défense, je ne pouvais pas savoir qu'il y aurait un paparazzi ce soir-là. Parce que nous avons quand même une régulation assez stricte concernant ce genre de journalisme.
Et apparemment, mes 7 semaines de liberté prennent fin aujourd'hui. Et c'est comme faire face à fantôme, à une personne que je ne pensais ne plus jamais revoir. C'est ce qu'il m'avait en tout cas juré quand on s'est vu pour la dernière fois.
-Edward Cullen, je le salue.
-Votre altesse, répond-il en inclinant légèrement la tête.
Dieu que j'ai toujours détesté ce protocole et les révérences. Je ne comprends pas l'intérêt que des personnes s'inclinent devant moi, juste en raison de la famille dans laquelle je suis née. Je m'incline bien devant les autres souverains, je me dis pour me consoler, mais je ne comprends pas cette tradition non plus. Je n'ai jamais cherché à la comprendre non plus, peut-être que j'aurais dû, mais je n'ai jamais trouvé le temps ou le courage de m'y pencher.
-C'est étonnant de vous revoir, je dis. Surtout ici, je lance.
J'ai conscience de me montrer mesquine, mais je ne comprends pas vraiment ce qu'il fait ici. La dernière fois qu'on s'est vu, il partait pour Sydney et pour y étudier le droit, pas les relations publiques !
-Je suis tout aussi surpris, mais il faut bien travailler et il paraît que je suis doué dans mon domaine et que vous avez besoin du meilleur, alors me voici.
-Non, la meilleure est Victoria Fraser, je réplique.
-Si c'était le cas, alors ce serait elle devant vous et non moi. Mais comme nous pouvons tous les deux le constater, je suis devant vous.
-Pas que j'ai eu mon mot à dire, je murmure en ignorant le regard surpris de mon garde du corps Emmett.
Il faut dire que j'essaye toujours d'être gentille et d'être aimable, même les jours où j'en n'ai pas envie et que je ferais bien des doigts à tout le monde. Donc, j'imagine que ça doit être une surprise pour Emmett, qui est mon garde du corps depuis plus de 5 ans maintenant, de me voir répondre avec tant de sécheresse et sans amabilité.
-J'imagine que nous ne serions pas dans cette situation si vous aviez mieux contrôler votre image auparavant.
-Et je m'en sors très bien sans personne, la porte est par là, si vous voulez partir, je rétorque en désignant la porte de mon bureau.
-Malheureusement pour vous, ce sont vos parents qui m'emploient et tant que leurs Majestés ne m'auront pas renvoyé, vous serez coincés avec moi, princesse.
-Sauf que j'imagine déjà le scandale et en tant que chargé des relations publiques, vous conviendrez que j'en ai assez eu ces dernières semaines, je réplique d'un ton doucereux.
-Il n'y aura pas de scandale, parce que personne n'en sait et n'en saura jamais rien.
-Sauf que tu oublies que tout se sait, je lui dis en passant au tutoiement. Et je le pensais vraiment, je ne veux pas d'un autre scandale parce que si Victoria a dû démissionné, toi, tu n'auras pas ce loisir et même si cela ne me fait pas plaisir de l'admettre, cela aura un impact sur ta carrière et je peux t'assurer qu'il ne sera pas positif.
Je le vois prendre quelques secondes pour peser mes mots et rendre sa décision. L'idée qu'il travaille pour moi, ou en l'occurrence pour mes parents, mais avec moi, ne m'enchante pas. J'aurais préféré quelqu'un d'autre, c'est indéniable mais ce n'est pas pour autant que je vais le laisser bousiller sa carrière. Visiblement, même quand je veux être une garce, j'arrive toujours à penser aux autres, c'est une maigre consolation.
Je pense aussi à moi, à combien cela m'arrangerait s'il décidait qu'il ne veut pas mettre sa carrière en péril, je serais tranquille encore quelques semaines et je pourrais choisir la personne qui travaillerait avec moi. Et comme je lui ai dit, je n'ai pas besoin d'un autre scandale, surtout de ce genre-là.
-Je suis prêt à prendre le risque. Et contrairement à certain, j'ai besoin de travailler, lance Edward et je sens la pique qui m'est destiné. Crétin.
-Bien, puisque l'affaire est réglée, Emmett, pouvez vous montrer son bureau à Mr Cullen afin qu'il puisse prendre ses marques. Si on garde le même agenda qu'auparavant, alors les réunions ont lieu le lundi matin, le vendredi matin et le samedi soir sauf les jours où j'ai des obligations et où on reprogrammera ensemble. Aucune réunion n'aura lieu le dimanche, sauf urgence absolue mais je compte sur vous pour que cela n'arrive jamais.
Je peux voir qu'il n'apprécie pas tout ce que je lui dis, mais j'ai mes habitudes et il va devoir s'adapter à moi et non l'inverse, parce que c'est un système qui a toujours bien marché pour moi et je ne compte pas en changer. Je ne suis pas inflexible mais pourquoi changer alors que cela fonctionne très bien ?
-Oh et avant que vous ne l'oubliiez, ma côte de popularité n'a jamais été aussi haute que depuis que je la gère seule. Ne me faites pas regretter ce temps où j'étais la seule à avoir un mot à dire me concernant. Le sentiment de liberté qui en découle est des plus appréciables.
-Bonne journée votre altesse, répond simplement Edward en fournissant un effort pour rester courtois.
Une fois la porte de mon bureau refermée, je laisse échapper un soupire de frustration. Je ne pensais ne plus jamais revoir Edward Cullen, le premier à m'avoir brisé le cœur alors que j'avais 18 ans et que nous nous sommes rencontrés en faisant notre service militaire.
Ce n'est pas obligatoire à Gardena, c'est fortement recommandé cependant, d'autant plus pour une future reine comme moi. Je ne voulais pas que cela me porte préjudice si je ne le faisais pas et ça a été trois mois très longs et éprouvants mais j'en suis ressortie plus légitime que jamais, puisque c'est une tradition pour tout futur souverain d'avoir accompli son devoir militaire avant de devenir le commandant en chef des armées.
C'est pendant ces trois mois que j'ai rencontré Edward et qu'il est devenu mon meilleur ami et mon seul ami, si je veux être honnête. J'avais cette image de princesse coincée et bien sous tous rapport et il était plus facile de se moquer de moi ou de rechercher ma compagnie pour essayer d'en tirer profit que de vraiment apprendre à me connaître. Sauf pour Edward. Et il n'a eu besoin de ne rien faire d'autre pour que je tombe amoureuse de lui. Et si pendant des semaines, je ne lui ai rien dis, je lui ai avoué le dernier jour, juste après qu'il m'est fait un compliment sur l'uniforme que nous portions.
Je ne sais pas à ce que je m'attendais, mais certainement pas à ce qu'il me rit au nez et qu'il m'avoue qu'il n'avait aucune intention de rester ici et qu'il partait étudier en Australie. Il a eu le mérite de dire que cela n'avait rien à voir avec ma position, et que peu importe que je sois princesse ou simple étudiante, il ne comptait pas commencer une relation. Il est parti en hurlant qu'il ne remettrait plus jamais les pieds à Gardena et que je ne le croiserai plus jamais parce qu'il n'avait aucune intention d'être le pauvre au service de la princesse.
Autant dire que j'ai eu le cœur brisé et que j'ai ressenti de la colère et de la rancune, mais ce n'est utile qu'un temps. Alors j'ai décidé de l'oublier, de penser à lui comme à un crush ou pire, de penser que j'avais ressenti ces émotions, seulement parce qu'il était gentil avec moi et que c'était un phénomène rare. J'ai bien essayé de le diabolisé, mais je n'y suis jamais parvenue.
Ça ne serait pas vraiment un scandale si le peuple le découvrait parce qu'il n'y a rien à dire de plus, seulement cela mettrait en doute le professionnalisme d'Edward et il y aurait des rumeurs. Avons-nous été amants ? Le sommes-nous devenus ? Ou est-ce que je m'envoie en l'air avec toutes les personnes qui sont chargés de mon image ?
Le point positif dans tout cela, c'est que même s'il y a des rumeurs, elles ne risquent pas de se concrétiser puisqu'il n'a jamais ressenti la moindre attirance envers moi, il a été très clair sur cet aspect i ans. Et puis, j'imagine qu'il doit avoir quelqu'un dans sa vie et même si ce n'est pas le cas, ça ne veut pas dire que quoique ce soit va se passer.
Merde, cela ne fait même pas une demi-heure que je l'ai revu ! Je suis ridicule ! Ou j'ai un problème. Peut-être que j'ai un problème et je ne le sais pas ? Non ! Non. Je n'ai jamais imaginé que je sortais ou couchais avec Emmett. Ou avec Sam. Pourtant le premier est un très bel homme, grand et musclé avec des fossettes lorsqu'il sourit et des yeux d'un bleu océan et la deuxième, qui est aussi ma garde du corps est une belle femme à la peau noire et aux cheveux cours, elle est musclée et athlétique et le rêve de beaucoup de lesbiennes. Le premier est fiancé à la chargée de relation de ma petite sœur et la deuxième est mariée à une des jardinières du palais.
Ce qui signifie que je n'ai jamais été attirée par une personne en couple ! Yes, point positif pour moi. Il faut donc que je découvre si Edward est en couple et ce, rapidement pour éliminer tout risque. Et s'il est célibataire ? Me souffle ma conscience. Et bah, je ferais comme s'il était en couple. Et puis il n'est pas attiré par moi, donc pas de risque.
Rah, je souffle intérieurement ou pas tant que cela, alors que j'entends ma voix qui résonne dans mon bureau vide. Je décide donc de me changer les idées, puisque je ne serais pas productive dans les 30 prochaines minutes, au minimum. Je sors de mon bureau qui se trouve à l'entrée de mes appartements.
L'avantage de vivre dans un palais, c'est qu'il possède assez de place pour que je vive au même endroit que ma famille tout en ayant mon indépendance. Mes parents, le roi Charles et la reine Renée possèdent les appartements principaux, réservés aux souverains et à leurs enfants jusqu'à leur majorité. Une fois les bambins royaux adultes, il existe plusieurs appartements qu'ils peuvent habiter.
Comme j'ai été la première à devenir majeure, j'ai pu choisir entre 4 appartements. Celui que j'habite porte le nom, d'appartement Nord, parce qu'il se situe dans l'aile nord du palais, oui, ce n'est pas très original comme nom. Alice, ma petite sœur, a choisi celui de l'Est. Nos deux appartements se ressemblent assez, comportant 2 bureaux, une salle de réunion, 3 chambres et leurs salles de bains adjacentes, une grande pièce à vivre avec cuisine ouverte, une salle à manger et un salon.
Si le palais est ancien et donc les appartements aussi, la décoration a été refaite lorsque j'ai pris mes quartiers et elle correspond donc à mes gouts, tout en gardant une touche de tradition et d'ancien.
Lorsqu'on rentre dans l'appartement, on tombe d'abord sur le bureau du chargé de communication, donc, celui d'Edward, juste à côté, il y a la salle de réunion et mon propre bureau, qui me fait aussi office de bibliothèque. La grande pièce à vivre sépare le coin travail du coin privé et ensuite viennent les trois chambres. J'en ai choisi une et les deux autres sont inoccupées. Je ne reçois pas souvent de la visite, n'ayant pas énormément d'amis. Je travaille sur ce dernier point parce que je ne suis pas non plus un chat sauvage !
Je quitte mon appartement en passant devant le bureau d'Edward, dont la porte est fermée. Cela ne m'a jamais dérangé que le bureau soit dans mes appartements, jusqu'à maintenant. Cela me laisse vraiment peu d'intimité, maintenant que j'y pense.
Emmett est en poste à l'entrée et il se redresse en me voyant avancée dans sa direction.
-Où allons-nous ? Me demande-t-il.
-Je vais voir ma sœur, je l'informe. Tu peux rester ici, si Mr Cullen a besoin de quelque chose, je lui dis.
-Passe le bonjour à Pixie de ma part, répond simplement le militaire.
-Tu es au courant que ce n'est pas tout le monde qui accepterait qu'on parle comme ça de la princesse ? Je demande de façon purement rhétorique.
-Oh, je suis au courant, mais puisque cela ne te dérange pas et que cela amuse Alice, je ne me vois pas pourquoi je m'en priverai. Tu vas vouloir qu'on soit un peu plus « professionnel » devant Cullen ? Me demande Emmett en mimant les guillemets.
-Que cela me plaise ou non, il est amené à rester pendant un temps, alors autant qu'il s'habitue rapidement à notre dynamique. Qui, je te l'accorde, n'est pas des plus conventionnelle.
-Je n'ai pas l'impression que cela va le déranger. Toi en revanche… J'imagine que tu me diras ce que c'était tout ça, quand tu en auras envie.
-Tu as tout compris Em ! Si jamais Edward Cullen me cherche je suis chez Alice. A plus !
-A tout à l'heure Bella, répond Emmett.
Lorsque je referme la porte de mes appartements et que je me dirige dans le couloir en direction de celui de ma sœur, je ne peux pas m'arrêter de penser aux relations que j'ai avec les membres de mon équipe. Elle n'est pas grande, par mon choix. Elle se compose d'Emmett et de Sam pour la sécurité et maintenant d'Edward pour les relations publiques. Je n'ai pas d'assistant, parce que je suis capable de retenir les dates de mes apparitions et de les noter. Je n'ai pas non plus de dames de compagnie. Je fais parfois appelle à un styliste, Aro est formidable quand je ne sais pas comment m'habiller pour une occasion. Et c'est son équipe qui me maquillle. Jane est incroyable avec des pinceaux dans les mains et je ne fais confiance qu'à Dimitri pour mes cheveux, mais ils ne travaillent pas vraiment pour moi.
Et avec mon cercle proche, même de travail, les relations sont très… pas très protocolisées. Cela peut poser un problème avec Edward parce que je pense qu'il n'imagine pas des relations aussi décontractées. Enfin, seulement dans l'enceinte de mes appartements ou du palais. En dehors, le protocole reprend le dessus et c'est courbette et des « altesses » en veux-tu en voilà !
Lorsque je rentre dans l'appartement de ma sœur, je salue Jacob, le garde du corps de ma sœur.
-Bonjour Jacob. Alice est dans son bureau ? Je l'interroge.
-Bonjour votre Altesse. La princesse Alice est bien dans son bureau, me confirme le garde du corps.
-Depuis combien de temps, je vous demande de m'appeler Bella ? Je l'interroge.
Jacob est relativement nouveau, il a pris son poste depuis moins d'un an et il est très à cheval sur le protocole et les formalités, tout ce que Alice et moi, ne sommes pas. Il n'ose pas encore nous appeler par nos prénoms, même si Alice et moi lui demandons. Je crois que ma sœur a arrêté de lui demander, mais vu que je le vois moins régulièrement, je continue.
-Depuis pas assez longtemps, répond de bonne foi le garde du corps.
-Ma sœur est seule dans son bureau ?
-Oui, madame.
-Merci, je réponds avant d'ouvrir la porte sans toquer.
Je referme la porte derrière moi et je me laisse tomber sur la chaise en face de ma sœur qui relève à peine les yeux de son ordinateur alors qu'elle continue de taper sur le clavier.
-Qu'est-ce qu'il se passe ? Demande Alice sans même me dire bonjour. Qu'elle est mal éduquée !
-C'est la fin ! Je soupire dramatiquement en mettant ma tête entre mes bras sur le bureau de ma sœur.
-Aller, raconte-moi tout !
Voilà pour ce premier chapitre, qui je l'espère vous donnera envie de lire la suite !
Les commentaires sont toujours les bienvenus et n'oubliez pas que je réponds toujours !
Petite question…. Au vu de l'univers de l'histoire, je me suis amusée par la suite avec les tenues de Bella notamment. Pour ses tenues, je les posterai sur mon insta gwen . who (sans les espaces). Mais est-ce que vous préférez que je poste tous une fois l'histoire complétement publié ou vous vous moquez des spoils et je poste tous maintenant ?
Donnez moi votre avis !
