Coucou tout le monde! Merci à Kaname et sosoabc95 pour leur commentaire sur le précédent chapitre. Je réponds toujours en MP pour celles qui ont un compte. Depuis quelques temps, on ne reçoit plus les notifications, donc pensez bien à vérifier!
Voici la suite, qui n'a été corrigé que par moi, je suis vigilante mais pas infaillible.
Lorsque je rentre dans le bureau, Edward ne me pose aucune question concernant la visite de la duchesse. Il arrive plutôt bien à masquer sa curiosité d'ailleurs, mais par respect sans doute, il n'en parle pas. Ce qui d'un côté me convient, parce que j'ai vraiment l'impression de tourner en rond avec les deux Cambridge. Je suis têtue et eux aussi.
D'un autre côté, je suis déçue qu'Edward ne s'intéresse pas plus que cela à moi. Je tente d'être raisonnable et ma tête me dit que la situation est probablement semblable à celle d'il y a huit ans; je me fais des films. Je ressens de l'affection pour le roux, une attirance physique également mais il est fort probable qu'il ne me voit pas comme ça. Comme une amie tout au plus et j'ai bien appris ma leçon. Je préfère être son amie que n'être qu'une inconnue.
-Le choix est audacieux, déclare Edward en désignant ma tenue.
-Tu es devenu styliste? Je l'interroge avec humour.
-Non merci! La presse va essayer de trouver une raison à cette couleur inhabituelle chez toi.
-Je porte toujours des tenues colorées, je me défends! La reine Elizabeth a raison, les gens doivent pouvoir nous voir lorsque nous sommes en déplacement.
-Et un tailleur vert est le meilleur choix? M'interroge Edward.
-Tu commences à comprendre! Je m'exclame, taquine.
-Je ne sais pas si c'est une bonne idée pour des personnes âgées avec la cataracte ou une DMLA, plaisante mon attaché de presse.
-Eh!
-Je plaisante, tu es probablement la seule à pouvoir le mettre sans avoir l'air ridicule, me complimente-t-il. Pour revenir à des choses plus sérieuses, les articles concernant le dîner d'hier soir sont bons. Ils ne sont pas excellents, mais, ils sont loin d'être catastrophique.
-Mais? Je demande. Il y a un «mais» dans l'histoire.
-Mais, ce n'est pas sur quoi la presse s'est concentrée.
-Emmett avait donc raison? C'est sans doute pour savoir qui tu es, quel est ton rôle auprès de moi et si je couche avec toi aussi? Je l'interroge.
Je vois à son rougissement et à son malaise que je ne suis pas très loin de la vérité. Bien que je sois étonnée qu'il soit mal à l'aise par ma franchise. Ce n'est pas la première fois que je ne mâche pas mes mots et que je n'y vais pas par quatre chemins.
-En autre. La presse a déjà trouvé que j'étais le frère de Jasper. Et ils ont découvert que mon frère sort avec ta sœur. Pour eux c'est très romantique et s'imagine une relation entre toi et moi.
-Ont-ils découvert que nous nous connaissions d'avant?
-Ça n'a pas été trop difficile de faire le lien pour eux, puisque les photos d'hier était prise sur la base.
-Eh merde. Désolée, je m'excuse.
Il est surpris, mais il ne devrait pas l'être. C'est en partie de ma faute, voire de ma responsabilité s'il se retrouve exposé comme ça. Premièrement, si j'avais été plus prudente avec Victoria, la presse ne nous aurait pas surprises et si elle ne nous avait pas surprises, Vic travaillerait toujours pour moi, donc Edward ne le ferait pas. Et s'il ne travaillait pas avec moi, alors la presse n'aurait eu aucune raison de s'intéresser à lui. A part bien sûr, le jour où Alice aurait convolé en justes noces avec Jasper et la presse n'aurait d'yeux que pour le beau témoin. Ça fait beaucoup de si et de conditionnel, mais cela n'en reste pas moins vrai.
-Ce n'est pas ta faute, on se doutait que cela allait arriver.
-Mais pas plus tard que dimanche, je disais à tes parents que je n'avais pas hâte du jour où la presse apprendrait la relation de Jasper et Alice, parce que tout le monde serait scruté à la loupe. Je… si tes parents sont trop dérangés par la presse… je ne peux pas vraiment demander à des gardes du corps… Mais ils peuvent utiliser une de mes résidences privées que la presse ne connait pas, ou venir quelque temps au palais, j'offre.
-La presse s'en donnerait encore plus à cœur joie, rétorque le roux.
Et il a raison. Ça donnerait encore plus l'impression qu'il existe une relation, autre que professionnelle entre Edward et moi.
-Tu as pu avoir Jasper au téléphone? Ou tes parents? Je l'interroge.
C'est vrai que cette attention de la presse sur Edward et moi est problématique, parce que cela rajoute un scandale à mon nom, bien qu'il n'y ait rien de scandaleux à ce que j'entretienne une relation cordiale voir amicale avec Edward. Mais il n'est pas le seul à être impacté, toute sa famille l'est également et n'ont pas la sécurité de travailler au palais, où les journalistes et les reporters ne peuvent pas entrer.
-Pas encore, mais j'ai eu mes parents. Quelques journalistes attendaient mon père devant l'hôpital où il travaille et ma mère a vu quelques journalistes devant la maison. Elle travaille de la maison aujourd'hui et je lui ai dit de n'ouvrir à personne et ne pas répondre au téléphone si elle ne connait pas le numéro.
-S'ils ont besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à m'en faire part et je m'assurais qu'ils ne soient pas importunés. Je vais essayer de joindre Alice, elle aura sans doute eu des nouvelles de ton frère.
Edward soupire en se passant une main dans les cheveux avant de se concentrer sur son ordinateur, je ne vois pas ce qu'il y a sur son écran mais j'imagine que c'est un article nous concernant ou un article avec pour gros titre «Mais qui est donc le mystérieux homme dans la vie de la princesse?»
-Je vais rédiger une déclaration, et tenter de contrôler les dommages.
Je hoche la tête et je quitte le bureau d'Edward. Après la visite de Kate et la discussion pourtant rapide avec Edward, il ne me reste pas beaucoup de temps avant de partir pour l'EHPAD. Je réunis mon sac et je prends mon téléphone pour appeler ma sœur.
Je ne connais pas son planning par cœur, et je prie pour qu'elle ne soit pas encore en visite sans quoi elle ne pourra pas me répondre. Par chance, elle répond à la troisième sonnerie.
-Bella! Me salut ma sœur.
-Alice, comment tu vas? Je demande, entrant directement dans le vif du sujet.
-J'ai connu mieux comme réveil que de me faire réveiller par Rosalie pour me dire que ma relation était dans tous les journaux. Enfin, ceux où ils ne parlent pas de ta supposée relation avec Edward.
-Désolée pour ça, je dis en grimaçant bien qu'elle ne puisse pas me voir.
-Ce n'est pas ta faute Bella, tu ne pouvais pas prévoir ça. Bien que j'aie vu certaines vidéos et ce n'était peut-être pas la meilleure stratégie de faire venir Edward près de toi.
-Tu peux le dire, je soupire. Edward va tenter d'apaiser les choses, mais ce n'est pas pour moi ou pour lui que je m'inquiète le plus. C'est pour toi et Jasper. Vous vouliez encore attendre un peu avant d'officialiser votre relation dans la presse et par ma faute, vous voilà scrutés par les paparazzi. Et Edward m'a dit qu'ils ont déjà trouvé où Esme et Carlisle vivent et travaillent. Je suis vraiment navrée pour ça.
-Bella, écoute-moi attentivement. Tu n'es pas responsable de ça. Oui, c'est embêtant mais ça aurait fini par arriver tôt ou tard. Esme et Carlisle ne t'en veulent pas et n'ont même jamais pensé à le faire. Tous comme Jasper, je l'ai eu au téléphone avant que tu ne m'appelle. Bien sûr, il aurait préféré vivre caché de la presse encore un peu, mais il savait et sait dans quoi il s'embarque en sortant avec moi. Et de manière assez égoïste, nous sommes tous les deux contents que les paparazzi ne se concentrent pas sur nous.
-Mais sur moi, je complète. Au moins, je suis protégée par les murs du palais, bien que j'aie une visite aujourd'hui. Je vais tenter de détourner l'attention, probablement avec ma tenue d'aujourd'hui ou pour le bal. Ou un autre ragot plus croustillant fera une apparition et on pourra oublier cette affaire.
-Ce n'est pas toujours à toi de tout régler, me rappelle Alice.
-Ici, si. C'est à cause de moi si tout ça arrive.
-Bella… Toi et moi, nous sommes des personnalités publiques, bien que nous arrivons à garder la plus grande partie de nos vie, privée, il y aura toujours et je dis bien toujours des personnes qui penseront qu'elles ont le droit d'inventer des histoires sur nous, sur qui nous fréquentons, le pourquoi et le comment. Des personnes qui chercheront à se faire de l'argent sur notre dos. C'est triste, mais c'est ainsi. Tu le sais aussi bien que moi, pas plus tard que la semaine dernière, on te prêtait une relation avec Sam et cela ne t'a pas affecté pareil.
Alice a raison, je le sais, tout comme elle. Mais une rumeur sur Sam et moi, c'est différent. Parce que je ne m'intéresse pas à Sam de cette manière, parce qu'elle est ma garde du corps et mon amie depuis des années et parce qu'elle est avec Leah. Et c'est facile de le prouver. Seul un idiot ne verrait pas à quel point elles sont amoureuses. Concernant Edward, c'est différent. Il m'a déjà rejeté une fois, il est attirant physiquement et je ne suis pas la seule à le voir, il est célibataire et on s'est connu il y a des années, pendant un lapse de temps relativement court mais n'importe qui présent sur la base pourrait dire que nous étions proches.
Et puis, ce n'est pas pour revenir sur le sujet, mais un peu quand même, il occupe le même poste que Victoria. Et même s'il ne se passe pas rien avec Edward, il travaille tous les jours sur et pour mon image. Sortir une fois avec une employée, c'est déjà problématique, mais si je venais à sortir avec un deuxième employé, je n'imagine même pas quelle image je renvoie.
Non, je mens. J'imagine très bien l'image que cela renvoie et si cela arrivait à une autre personne que moi, je me demanderais s'il n'y a pas du harcèlement sexuel, une pression quelconque et je demanderais l'ouverture d'une enquête. Et cette perspective ne m'enchante pas. Je n'ai rien à me reproché mais je n'ai pas non plus envie que cela impact la vie d'Edward et de ses parents ou la relation entre son frère et ma sœur. Cela aurait un impact sur bien trop de personne. Peut-être bien sur Victoria et ses enfants et elle n'a pas besoin de cela. Et puis la perspective d'une humiliation publique ne me tente pas non plus.
-C'est différent, je n'ai jamais été amoureuse de Sam, je rétorque.
-Bella, soupire ma sœur. Je croyais que c'était une histoire ancienne? Me demande-t-elle.
-Je le croyais aussi, mais il faut croire que non. Je suis ridicule, n'est-ce pas?
-Tu es humaine, nuance ma sœur. Avec un cœur plus gros que la raison.
-C'est toi normalement, ça, je rétorque. Moi je suis la princesse inaccessible, frigide, pas celle qui se retrouve en même pas trois mois, deux fois dans les magazines et avec deux personnes différentes!
-Comment Edward le vit? Me demande Alice, changeant de sujet.
-Ça va, je crois. Il n'a pas trop fait étalage de son ressenti, j'explique alors qu'un sentiment de culpabilité apparaît. Ça va semblait égoïste, mais j'ai peur que ça change la relation entre nous. On commence tout juste à trouver un équilibre pour être amicaux, mais pas trop, enfin tu connais la chanson et maintenant je ne peux même pas être amicale avec lui, sans quoi les rumeurs se déchainent!
-Tu sais que ça a toujours été le cas, rétorque Alice.
-Je sais, mais la différence avec Emmett ou Sam par exemple, c'est que ça n'a jamais été ambigu avec eux, déjà parce que je n'ai jamais éprouvé autre chose que de l'amitié pour eux, et ensuite, parce que les rumeurs étaient faciles à démentir. Emmett est avec Rosalie et Sam avec Leah. Mais Edward est célibataire, je suis célibataire aussi… Ce n'est pas difficile pour la presse d'imaginer la suite. C'est même encore plus facile parce qu'il occupe le même poste que ma dernière relation!
Ce que je ne dis pas à Alice, c'est que non seulement je crains les répercussions que cela aura pour moi, mais également pour les autres. La presse va chercher à avoir l'avis de Victoria, ce qui implique que les paparazzi vont la chercher elle et les enfants. Mon image a aussi des répercussions sur celle de mes parents et je ne veux vraiment pas avoir une autre discussion avec Caïus, ni avec mes parents. Parce que même s'ils me soutiennent et que je leur expliquerais que tout est inventé, je n'ai pas envie d'avoir cette discussion.
Et surtout, cette rumeur infondée a probablement déjà fait son chemin jusqu'aux membres du Parlement, et ce sont eux qui doivent m'aider à faire passer la loi pour le mariage pour tous au sein de la famille Royale et m'aider à changer les règles de succession. Un processus long et houleux qui a commencé il y a quelques semaines. Certains membres, réticents, ne vont pas hésiter à se servir de ma prétendue relation avec Edward pour discréditer et décrédibiliser ce projet de loi. Cela peut ralentir l'avancement du projet, voir y mettre fin.
Et je refuse cette dernière possibilité, je n'ai pas été forcée à faire un coming out pour rien. Il faut que ce soit plus facile pour les générations à venir, pour qu'ils n'aient pas ce combat à mener.
-Tout va bien se passer, me rassure Alice. Edward n'est pas Victoria et la situation n'a rien à voir. Surtout parce que tu n'es pas avec lui.
-Et s'il m'abandonnait quand même? Je demande et je m'en veux d'être aussi pathétique.
J'ai compris et je comprends toujours pourquoi Vic a dû partir, mais son abandon tant personnel que professionnel m'a fait du mal. Et Edward m'a déjà brisé le cœur une fois, je n'ai pas envie de le vivre à nouveau.
-Oh Bella.
-C'est toujours à cause de moi ou de ce que cela implique d'être proche de moi, que les gens partent. Je n'ai pas envie que cela recommence.
-Je ne peux pas te promettre que cela n'arrivera plus, mais tu es forte, tu surmonteras ça. Et puis entre nous, je ne pense pas qu'Edward partira à la première crise. Après tout, c'est son travail de s'occuper des rumeurs, même si pour le coup, elles le concernent aussi, répond Alice avec philosophie.
-Merci Lice.
-De rien, je dois te laisser, il me semble que tu as à faire et moi aussi. Je t'aime.
-Je t'aime aussi, je réponds.
-N'oublie pas d'envoyer un message aux parents pour leur expliquer la situation, me rappelle ma sœur avant de raccrocher.
Je regarde l'heure et je jure tout bas en constatant l'heure qu'il est, il déjà temps que je parte, je suis même légèrement en retard, n'ayant pas fait attention pendant que j'étais au téléphone avec sœur. Heureusement que tout est prêt.
Je passe devant le bureau d'Edward en sortant et je lui dis que j'y vais, qu'il sera seul pour les prochaines heures. Je n'attends pas sa réponse et je cours presque jusqu'à la voiture où m'attend Sam.
-En retard? Me salut ma garde du corps alors que je prends place à l'arrière.
-A peine, je rétorque avec un grand sourire.
La journée n'est peut-être pas idéale mais les taquineries avec Sam me remontent toujours le moral.
Aujourd'hui, Billy est derrière le volant et Sam prend place sur le siège passager alors que je sors un miroir de poche pour vérifier mon maquillage et ma coiffure.
Pendant le trajet je discute un peu avec Billy et Sam et aucun des deux n'abordent les rumeurs, ils savent depuis le temps que si je n'en parle pas moi-même, c'est que je ne veux pas aborder le sujet. Je suis contente de retrouver une ambiance plutôt sereine, même si ce n'est que pour quelques minutes. On parle du bal de ce soir, de Jacob, le garde du corps de ma sœur et fils de mon chauffeur et de Leah.
On laisse les sujets plus sérieux au placard et le temps défile en même temps que les rues que j'aperçois depuis ma vitre.
Assez rapidement, nous arrivons à notre destination et déjà la directrice de l'établissement, la cadre de santé et les membres du personnel m'attendent sur le perron. Sam descend avant moi et m'ouvre la porte. Les quelques journalistes présents font cliquer leur appareil dès que je fais un pas sur le trottoir. Je m'avance vers la directrice et même si mon sourire est un peu figé, je suis réellement heureuse d'être là.
C'est un des aspects que j'aime le plus et qui va avec la fonction de princesse, rencontrer des personnes, essayer de comprendre leur quotidien et tenter de l'améliorer. Et j'ai toujours aimé les personnes âgées. Je trouve, que comme les enfants, elles vont être d'une franchise à toute épreuve, mais contrairement aux plus petits, ils ont tant de choses à raconter, à transmettre. C'est fascinant.
La directrice accepte ma main tendue et exécute une référence, je salue également la cadre de santé et je prends le temps de serrer la main de tous les membres du personnel. Oui, la directrice et la cadre sont importantes, mais sans les aides-soignants, les auxiliaires de vie, les infirmiers et les agents de service hôteliers, une maison de retraite ne tourne pas et personne ne s'occupe des résidents. C'est du «petit personnel» qu'il faut écouter les plaintes.
Et même si l'emploi du temps est serré, j'essaye d'optimiser ma visite et de donner toute mon attention à la personne en face de moi. J'ai même droit à un compliment sur la couleur de mon tailleur de la part d'une très gentille résidente. Une petite mamie toute pimpante et d'une honnêteté à toute épreuve. Et si j'en crois les sourires des aides-soignantes et des infirmières, il me semble que j'ai gagné l'approbation de la mascotte de la maison et que ce n'est pas une chose aisée.
Je passe un très bon moment et c'est avec regret que je dis au revoir à tous ces résidents et aux membres du personnel, leur compagnie est bien plus attrayante que celle qui m'attend ce soir, c'est certain. Même si le repas de cette maison de retraite n'a pas été préparé par un chef étoilé, qu'il n'y avait pas d'orchestre et que le vin était de la piquette, j'ai passé un excellent moment.
-Quelque chose me dit que tu préférais rester avec tous ces petits vieux que de rentrer au palais, énonce Sam alors que nous reprenons le chemin du palais.
-Ils sont bien plus charmants que tous les aristocrates invités ce soir.
-Tu as établi la liste toi-même
-En veillant à ne pas créer d'incident diplomatique, pas parce que je les voulais à ma table, je rétorque.
-En tout cas, tu sais que la petite fille de Mr Greene est une avocate et qu'elle est charmante. Si tu as besoin de compagnie, se moque Sam.
-Oh arrête, c'est la chose la plus mignonne! Je défends ce petit monsieur, ancien médecin.
Quand quelques résidents ont essayé de me caser avec leur petit-fils, ce monsieur tout gentil est venu à son tour et a dit que puisque j'aimais les femmes aussi, sa petite fille, avocate brillante était aussi célibataire et qu'elle aussi aimait les femmes. Il m'a même montré une photo pour me convaincre! C'était la chose la plus adorable.
-C'est vrai, reconnait Sam alors que nous arrivons au palais.
Voilà pour ce chapitre ! J'espère que cela vous aura plu ! La semaine prochaine nous retrouverons les anglais pour le bal ! Bonne semaine à vous !
